Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Dalton Brothers Kidnap Local Banker's Daughter Calpurnia Tanner!
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 07 décembre 2025, 16:48:03 »

Calpurnia Tanner était le joyau de la famille. Fille unique, mais pas par la volonté de ses parents, elle se voit passer tous ses caprices. A 23 ans, sa réputation dépasse les frontières de sa petite ville natale du nom de Chastity Falls. Surnommée parfois « La fleur du désert » ou « L’ange de Chastity Falls », la jeune femme était en effet toute en beauté. Une silhouette menue mais pourvue d’attributs féminins généreux, une crinière d’or que le soleil entretient, une peau pâle qui bronzait facilement, un visage d’ange avec ses grands yeux dont ont dirait que la teinte de ses iris ressemble à la couleur de la lavande et ses lèvres rosées, pulpeuses… Elle suscitait l’envie et la jalousie.

Malgré son âge « avancé », la belle était toujours célibataire. Elle aurait pu être considéré comme une vieille fille si l’on ne savait pas qu’elle entretenait des liaisons avec certains hommes qui passaient en ville. Bien sûr, ces rumeurs n’atteignaient pas les oreilles de son père, Lucius, ou de sa mère, Boetia. Les commères les plus puritaines n’en savaient rien non plus, où elles se seraient empressées de traîner le nom de cette libertine dans la boue. Si elle n’était toujours pas mariée, toutefois, c’était parce qu’aucun de ses « prétendants » n’obtenait l’approbation parentale. Autant Boetia était encline à la laisser épouser le fils du shérif, un grand gaillard aux épaules carré appelé Colton Lockwood, autant Lucius aurait préféré quelqu’un comme un autre banquier qui ne venait pas d’une petite ville perdue dans le désert. Incapable de s’entendre sur le choix du futur époux de la belle, ils rejetaient donc toutes les demandes.

Pendant que Lucius se délassait au saloon, dans les bras de la ravissante Andrea Plower, Boetia tenait la boutique en flirtant innocemment avec Marshall McCready, l’un des gardes de la banque, et Calpurnia faisait des avances au révérend Gideon Fairlove, sa dernière proie en date. Une bonne petite famille dysfonctionnelle comme il en existait tant.

Le jour du braquage, alors que la diligence repartait, Lucius se disputait encore une fois avec Boetia -tout en rangeant l’argent dans le coffre- au sujet du futur époux de leur fille unique. Calpurnia tenait compagnie au cow-boy boiteux -Buck Weaver- en l’entretenant de sujets variant de la meilleure manière de dresser un cheval jusqu’à l’arme la plus indiquée pour chasser les vautours d’une carcasse de vache. Elle voulait retirer un peu d’argent pour aller boire un coup au saloon, mais son père insistait pour qu’elle attende l’ouverture comme les autres.

Adossée au chambranle de la porte, habillée d’une robe corsetée de couleur sable dont les boutons dorés brillaient au soleil, la blonde levait les yeux au ciel en entendant la discussion de ses parents sur les attributs que devaient avoir son époux. Elle enfoui ses mains dans les poches de ses jupons -longs pour l'instant, tant qu'elle était en vue de ses parents- et échangea un regard amusé avec Buck pendant que Marshall aidait son père à vider les sacs d'argent dans le coffre.

« Il vaut mieux une tête bien faite qu’un corps de barbare, répétait Lucius pour la millième fois. A quoi ça va lui servir d’avoir un époux musclé s’il ne peut pas aligner deux pensées et faire fructifier l’argent de sa dot ?
- Et à quoi ça lui servirait d’avoir un gros cerveau s’il n’est pas capable de protéger ma petite fleur des dangers du désert ? Tu crois que réciter du Whitman lui permettra d’éviter de se faire rançonner par des bandits ? Je maintiens que Colton Lockwood est le parti le plus intéressant de cette ville. Et je refuse que mon bébé s’éloigne pour aller vivre à des milliers de kilomètres de moi ! Elle aura besoin de mon aide quand elle aura des enfants à son tour !
- Même si elle vit loin, elle aura du monde pour l’aider ! Le fils de mon ami banquier, Dale Whitmore, est très proche de sa mère et de ses sœurs. Elle ne sera pas toute seule !
- C’est non ! Et si tu ne veux pas que ton repas soit trop salé ce soir, je te conseille d’arrêter de proposer ce petit prétentieux qui ne saurait pas reconnaître sa queue de la crosse d’un révolver, Lucius. »

Bien que très puritaine, Boetia n’hésitait pas à utiliser un langage plus vulgaire quand elle était furieuse. Et son époux savait très bien qu’il devait abandonner la lutte quand elle commençait, au risque de se retrouver affamé et avec des affaires trouées sur le dos. Quand il fermerait la banque, ce soir, il lui laisserait le temps de se calmer en allant se détendre dans les bras d’Andrea.

« Calpurnia, chérie. Tu voulais retirer combien ? Et attention, je ne veux pas que tu boives autre chose que du thé ! Madame Marlowe m’a mis au courant pour la bouteille de whisky de la semaine dernière ! Ce n’est pas digne d’une jeune femme de bonne famille !
- Pèèèère !, Geignit la blondinette en ajustant la ceinture de cuir qui ceignait sa taille fine. Je ne suis plus une enfant ! Je sais ce que je fais ! Tu as bien vu que j’ai réussi à atteindre toutes les cibles à l’exercice de tir ce week-end !
- Ton père a raison, jeune fille. Tu n’es pas l’une de ces catins du saloon, tu dois te comporter avec grâce et élégance ! Complètement ivre n’est pas un état flatteur. Et si j’entends que tu nous as désobéi, je te confisque ce révolver et j’annule tes sessions d’entraînement ! Est-ce que je me suis bien fait comprendre, Calpurnia Rosalie Tanner ? »

Baissant la tête à la mention de son nom complet, la jeune femme masque le roulement de ses yeux en murmurant d’une voix penaude mais absolument pas sincère.

« Oui, mère. C’est compris. Je peux avoir 2$ ? »

Avec un soupir, sa mère se retourna en direction du coffre que son père venait de refermer. Aucun des trois -des cinq si l’on comptait les deux gardes- ne se doutaient que les choses allaient bientôt dégénérer.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le dimanche 07 décembre 2025, 13:14:00 »
Le dos contre le mur, les reins martelés par les coups d’Hadrian, Cypress voyait des étoiles derrière ses paupières closes. Elle murmurait le nom du vampire comme une litanie, une prière, alors que son corps était en proie aux délicieuses tourmentes de l’orgasme. Elle avait instinctivement croisé les chevilles derrière les hanches de l’homme, s’accrochant à lui autant par le biais de ses cuisses que par ses mains qui étaient revenues s’arrimer à sa nuque. La vague de chaleur qui était née dans son centre, dans les multiples petits nerfs qui se trouvaient au niveau de sa féminité, inonda chaque terminaison nerveuse que la gorgone possédait. Les vagues d’extase était peut-être encore plus intense que précédemment.

Quand les ondes de l’orgasmes se calmèrent, la brunette rouvrit de nouveau les yeux, haletante, pour observer son amant. Elle n’eut pas le temps de faire plus qu’Hadrian la retourna pour qu’elle soit contre le mur, revenant l’investir sans tarder, déclenchant quelques petits cris surpris mais extatiques alors que la position changeait l’angle de la pénétration. Sa fleur, encore sensible, encaissa ce nouvel afflux de sensations tandis que Cypress haletait, ne sachant plus où donner de la tête. Ses mains tentaient de s’agripper au mur, ses ongles glissant contre le carrelage en vain.

« Ooh, oh, Hadrian ! Exhala-t-elle en rejetant la tête en arrière tandis qu’elle fermait de nouveau les yeux. »

Elle était incapable de dire plus. Toutes ses facultés mentales étaient aux abonnées absentes. Elle n’était plus qu’un amas de nerfs sur-sollicités, une petite boule d’extase qui ne redescendait pas de son nuage. Les mains du vampire contre ses seins, son torse plaqué contre son dos, sa queue qui labourait sans merci sa fente outragée et qui cognait délicieusement contre ce petit point sensible qu’elle ne connaissait pas encore, à l’entrée de son utérus… C’était un cocktail terrible, qui lui tirait des petits cris jubilatoires, des gémissements langoureux, des soupirs lascifs. Et sa voix… Tout contre son oreille… La gorgone ne comprit pas tout de suite le sens de ses mots, trop occupée à faire le tri entre toutes ces sensations qui l’assaillaient. Quand, enfin, la signification se fit dans ses connexions neuronales…

« Haaa… Moi non plus, Hadrian ! S’exclama-t-elle d’une voix semblable à un soupir. N’arrêtez… Surtout pas… Ooooh ! »

Les doigts de son amant étaient revenus s’occuper de son bourgeon et l’esprit de la brunette dérailla complètement. Elle siffla son plaisir sans vraiment s’en rendre compte, les yeux fermés, la tête rejetés vers l’arrière pour cogner dans les épaules du vampire. Ses reins s’activaient frénétiquement contre ceux d’Hadrian, poussant contre lui quand le bassin masculin venait claquer contre le sien. Avec plus de forces qu’on ne soupçonnerait son corps menu de posséder, Cypress poussa sur ses bras, s’écartant du mur. Elle poussa avec son dos contre l’homme qui la labourait avec autant de passion… Et se pencha vers l’avant, ses coudes trouvant appui contre le carrelage tandis que son amant ne pouvait plus que s’agripper à ses hanches pour continuer à pilonner sa fleur abusée.

« Plus fort, ne put s’empêcher de réclamer la gorgone, les jambes bien planté contre le sol apparemment anti-dérapant de la douche. Oooh, juste là, oui, comme ça, aaah ! »

Sa voix était rauque à force d’exprimer les délices qu’il lui faisait ressentir. Essoufflée. Distraitement, elle songeait qu’il faudrait sûrement qu’il la porte vers le lit lorsqu’elle serait finalement épuisée, lorsqu’ils seraient repus, encore et encore, tous les deux. Et peut-être qu’elle rencontrerait quelques difficultés à marcher le lendemain. Mais ça en valait certainement le coup. Sur l’instant, en tout cas, elle le pensait avec conviction tandis qu’elle miaulait presque sous les assauts virils du vampire. Elle ne savait pas si elle pourrait lui dire d’arrêter tant son cerveau était court-circuité par l’extase. Peut-être que le signal serait quand elle perdrait conscience ?
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 07 décembre 2025, 10:35:35 »
Tout ce petit monde n'aura pas pris bien longtemps avant de trouver ses aises dans cette nouvelle installation. Même la vendeuse n'est pas parvenue à rester longtemps éloignée de l'action pour revenir rejoindre le groupe à sa façon. Qui faisait quoi importait peu au mafieux car le trio de jeunes femmes lui avait déjà prouvé il y a tout juste quelques minutes qu'elles étaient toutes dotées d'un certain talent avec leur bouche respectives.

D'ailleurs, il a eu confirmation de ce dont il se doutait grâce aux paroles de celles-ci quand la langue de la rouquine ne venait plus s'occuper de lui. Histoire de l'aider à garder l'attention de Céleste sur son plaisir sans se demander d'où il pouvait venir, sa main gauche vient attraper le gros sein droit de la belle pour le malaxer allègrement. A force d'avoir joué avec sa poitrine au fil de la journée il parvient à s'en saisir de manière naturelle désormais. Sa paume sait où se placer pour épouser les contours de cette large forme qui pèse son poids. Tandis que ses doigts s'y greffent tel un grappin pour faire en sorte de lui laisser aucune chance de s'échapper. La voilà désormais avec ce sexe qui lui étire l'anus, une langue qui vient jouer avec sa fente et une main qui presse sur son sein en pinçant sa pointe par moments.

Le visage de Randal est tourné sur sa droite car il ne s'occupe plus de la sorcière seule désormais. Sa joue vient flirter régulièrement avec la tignasse sauvage de cette dernière pendant que sa bouche est désormais occupée à suçoter et tirer fort sur les tétons de Shana. L'autre main déjà de retour dans sa culotte pour jouer avec son minou humide qui doit baigner dans son propre jus depuis de longues minutes.

Une véritable symphonie du sexe est joué dans cette pièce. On a les percussions avec le couple originel qui s'emboite l'un dans l'autre avec une vigueur permanente, la mélodie offerte par les sons humides de doigtage et succion, puis les gémissements et couinements pour les chœurs.


- Puuuuutaaiiiiiinnn ! Ses doigts sont tellement gros.
- Tu vas jouir ? Non...
- Je crois que si. Merde ! Si je vais jouir !
- Attends ! Laisse-moi faire le tour !



Amusé par cette situation, Randal tire fort sur un des seins de la jeune femme aux cheveux bleus pour le recracher dans un son impossible à manquer. Ses doigts, eux, s'enfoncent aussi loin que possible dans sa fente détrempée comme pour tenter de la faire jouir avant que son amie ne puisse capturer l'instant car il voit qu'elle fait tout pour se retenir. Sauf que la rouquine décide de mettre son grain de sel au moment où il va pour changer de nichon.
La pointe atteint le niveau de ses lèvres quand ses deux boules se font gober et aspirer en même temps, provoquant une décharge électrique dans tout son corps qui se raidit dans la foulée. De ses doigts qui s'enfoncent dans Shana, à sa bite qui se tend et gonfle encore un poil plus, passant par l'autre main qui malaxe le sein de Céleste à l'en écraser... pour finir par faire planter ses dents dans le mamelon qui n'avait rien demandé.


- Hiiiiiiii ! Mon sein ! Aaaaahnnnn ! C'est trop...
- Non ! Non ! Attends ! C'est bon !
- Aaaaah ! Encore ! Oui ! Mords-moi ! Doigte-moi ! Fort !



La demande est aussitôt remplie et pour les deux femmes. Tous les muscles travaillés du mafieux sont mis à contribution dans la foulée. Ses hanches s'activent tout aussi vite et fort que ses doigts et sa bouche pour offrir un plaisir intense aux deux femmes accrochées à son corps. Les petites mains de Shana s'agrippent comme elles le peuvent à son bras musclé car l'orgasme semble consumer ses dernières forces. La pauvre ne se doute pas que l'homme avec qui elle se trouve n'est pas du genre à faire les choses à moitié car il n'arrêtera de la faire hurler que lorsqu'elle s'écroulera sur lui ou à même le sol.


- Hiiiiiii ! Mnnnnnnn !
- Mon Dieu ! Je l'avais vu faire cette tête avant.
- T'en fais pas, tu vas y avoir droit aussi. Et dans très peu de temps.



Au bout d'une trentaine de secondes Shana finis par lâcher prise et s'écroule en arrière sur le canapé, épuisée. Elle va être hors service pendant quelques minutes facilement. Ce qui n'est pas une raison suffisante pour faire baisser la cadence.


- Trouve un truc... Tiens, il y a une table là. Pose le téléphone dessus en le bloquant pour qu'il filme et vient nous rejoindre. Je sais que tu n'attends que ça depuis tout à l'heure. Je te laisse décider où tu veux te mettre.


Et on ose dire que la galanterie n'est plus au jour d'aujourd'hui ? La blonde peut prendre la place de Shana, demander à remplacer la rouquine ou même la rejoindre. Voire faire tout autre chose. Les possibilités sont multiples tant que personne n'empêche la montagne de muscles d'enculer sa belle sorcière métisse qui va bientôt avoir droit à un nouveau remplissage. Ce n'est plus qu'une question de temps désormais.
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Les alentours de la ville / Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina
« Dernier message par Vance Dax le dimanche 07 décembre 2025, 02:05:18 »
Catalina ne se déroba pas, et Vance ne s’attendait pas à ce qu’elle le fasse. Elle se montra aussi féline et coquine qu’il s’y attendait plutôt, et peut-être même plus que cela encore. La façon dont elle se pressa contre lui gorgea son entrejambe d’un désir inaltérable tandis qu’il la sentait prise entre les fentes de ses fesses et de ses cuisses avec une ardeur sans équivoque. Sa braguette était sur le point d’exploser, et elle aurait peut-être cédé si elle n’avait pas été de si bonne qualité.

Il fallait dire que la brune savait se mettre en valeur également. La façon qu’elle avait de constamment se mettre en valeur lui faisait tourner la tête, stimulait ses hormones au point d’en anéantir ses pensées rationnelles, inondant sa tête d’une excitation qui ne laissait la place qu’à une seule réflexion possible : le sexe, la copulation, la baise, qu’importait le mot tant qu’il se retrouvait en elle et la remplissait comme un sauvage.

Et il savait le moment non seulement inévitable, mais maintenant très proche. Elle n’eut presque pas la peine d’amener sa main à son chemisier pour qu’il s’en empare. Sa grande main était déjà à mi-chemin, et elle empoigna un de ses seins à travers le tissu, se refermant dessus avant d’en glisser, saisissant le seul écrin blanc pour le tirer, en forcer les entraves, faisant sauter un bouton tandis qu’ils se dérobaient un à un quand sa force dépassa leur résistance. Il dévoila sa poitrine blanche, voulut la saisir encore, mais elle était déjà retournée.
Ah ! Frustration superflue ! Il grogna légèrement, mais se laissa découvrir avec un plaisir évident, la laissant découvrir son buste sans lutter, prenant une gorgée du Macallan d’un air détaché avant de délaisser totalement les verres, qu’elle écarterait de toute manière bientôt.

« Je sens qu’on aura besoin de quelques temps morts, oui, ricana-t-il. »

Comme elle embrassait son torse, il passait une main dans ses cheveux, la tenait contre lui, lui massait le crâne avec emphase, d’une manière bien proche que celle qu’il avait eu lorsqu’elle le suçait dans la voiture. De quoi lui rappeler l’expérience, la stimuler encore davantage, et de quoi le renvoyer, lui, à ce moment d’extase qui lui avait donné envie de tellement plus.

Elle avait finalement grimpé sur le meuble, écartant les verres, écartant les cuisses. Il la suivit avec un sourire carnassier, et elle attrapa sa ceinture à la volée pour la décrocher avec expertise. Une fois le bouton de sa taille ouvert, le reste de la braguette céda sans aucune intervention, et elle eut juste à déballer un vît turgescent déjà bien raide et veiné qui pulsa dans sa main. Il approcha encore, se colla à elle, l’embrassa fougueusement en frottant son pal à sa fente humide et chaude.

« J’ai envie de te baiser depuis que je t’ai vu, admit-il sans aucun détour. Mais là, j’ai envie de te défoncer, ma belle. »

Il passa ses mains derrière ses genoux et releva ses jambes, la laissant s’appuyer en arrière et sur le miroir pour ne pas tomber. Elle était peut-être surprise, mais certainement ni mécontente ni dupe. Il ne fit pas que relever ses jambes, il écarta bien ses cuisses aussi, et il ne se fit pas prier pour arrêter de jouer avec elle et glisser son large gland dans le creux de sa petite chatte, où il s’enfonça sans aucun mal dans un soupir comblé. Il poussa avec énergie, laissant sentir la puissance de ce tronc ferme et massif qu’il exposait volontiers en la pénétrant avidement, l’écartant et la remplissant avec un appétit manifeste, ses yeux remplis d’une lueur sauvage plantés dans ceux, transis, de la veuve noire.

« T’es tellement bonne, et t’es tellement chaude, je vais tellement prendre mon pied avec toi, lui lança-t-il sans plus aucune mesure. »

Il fonça tout en elle, ignorant toute limite pour se ficher jusqu’à la garde, se presser contre elle, gigoter, jouer du bassin et s’amuser au fond de son écrin chaud avant d’entamer une danse de reins féroce dans laquelle il la laissa presque vide pour mieux revenir buter pleinement au fond, prenant un plaisir si évident que les ahanements et les grognements amusés en étaient superflus tant il la tenait fermement et se plaisait à se servir d’elle ainsi.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 07 décembre 2025, 00:08:13 »
Toute cette situation évolue à une vitesse folle comme je pouvais m'y attendre de la part de gamins dont les hormones leur travaille le cerveau à longueur de journée. C'était soit ils se barraient en courant par peur, soit ils fonçaient tête baissée histoire d'avoir une expérience qu'ils n'oublieront jamais de leur vie. Par contre, je suis surpris d'en voir un prendre ses aises en allant venir s'amuser avec ses gros seins sans attendre mon autorisation. Dans d'autres circonstances je lui aurais aplati la face contre un mur.

Mais ce soir il n'y a qu'une seule personne sur qui j'ai envie de me déchaîner et mon énergie lui sera uniquement consacrée. A tel point que je la fais basculer en avant de quelques centimètres quand le second geek prend la place de son copain en plaçant sa queue frémissante entre ses seins glissants. Et ça, d'un simple coup de rein puissant. Une façon bien à moi de montrer à tout le monde qui dirige ce petit jeu où ils ne sont que des invités.


- Alors les jeunes, ça fait quoi de se faire branler par une salope avec des nichons comme les siens ? Vous aimez les sentir s'écraser sur votre bite quand vous pressez assez fort dessus ? Ben elle aussi. Cette chienne adore qu'on joue avec son corps, c'est pour ça que vous l'entendez gémir depuis tout à l'heure.


La présence des deux petits jeunes est du pain béni pour abuser d'elle de bien des façons. Autant physiquement que psychologiquement afin d'assoir ma domination. Et je ne vais pas me gêner. Bouder mon plaisir alors que tous les voyants sont au vert serait un crime. C'est donc avec un certain aplomb que je repars de plus belle en venant la prendre plus vigoureusement sur un rythme soutenu. Que l'inconnu en face d'elle en profite moins n'est pas mon souci. Je peux sentir ma bite être si dure qu'elle force le passage en elle sans rencontrer de difficulté. Mon gland se fraie un passage en elle par la force en profitant du lubrifiant naturel que la blonde nymphomane produit en bonne quantité.
Cette sensation humide et brûlante me procure un regain d'énergie en boucle. Dès qu'elle presse trop sur mon sexe, mes hanches se réveillent et viennent lui en remettre une couche la seconde suivante. L'alchimie entre nous deux est plus qu'évidente désormais.

Sauf que les minutes passent et je ne compte pas rester toute la nuit ici. Pas pour le compte de deux personnes que j'ai poussé à participer dans l'unique but de faire passer un message. C'est avec les mains ancrées sur ses hanches que je la maintiens en position pour l'empêcher d'aller où que ce soit pendant qu'elle prend son pied et que les deux débiles finissent leur affaire. Ce qui n'est pas loin. En même temps ça doit être leur première expérience sexuelle.


- Bougez-vous, j'ai pas toute la soirée. Elle est attendue ailleurs.


Pour se faire prendre par tous les trous jusqu'à ce que le soleil se lève. Heureusement que l'avertissement suffit à les motiver assez car ils se remettent très vite dans le sens de la marche. Leurs places s'échangent et le premier retourne entre les mamelles de la blonde dont il se sert cette fois plus directement avec l'envie évidente de cracher. Avec ses mains il écrase les deux masses de chair sur sa bite en grognant comme un possédé jusqu'à ce que le jus gicle sur son menton. Le liquide doit probablement passer à travers le tissu de la cape. En tout cas il y reste collé sur ce qui doit être le menton de la blonde vu d'ici.
De son côté, son ami se fait branler par la main experte. Et il imite son ami en balançant une véritable purée jaunâtre sur le front de la belle. Sa cape a beau être épaisse, la chaleur et le poids de tout ce fluide doit se faire sentir par sa peau délicate.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le samedi 06 décembre 2025, 20:03:39 »
Décidément, cette attitude qu’il avait la rendait toute chose. Cette autorité qu’il dégageait… Et ses doigts ! Présage gémissait contre lui alors qu’il les faisait explorer son antre encore trempée, gorgée de foutre, de cyprine et d’envie. Ses reins accompagnaient les mouvements, son souffle se faisait court, et elle allait sûrement avoir un autre orgasme d’ici pe-

Un geignement plaintif s’échappa de ses lèvres entrouvertes tandis qu’il retirait ses doigts. Elle était si proche ! Ce geignement fut toutefois vite remplacé par un petit couinement de plaisir tandis qu’il la portait pour la faire s’empaler sur sa trique. La blonde sourit contre l’épaule de l’homme, s’accrochant à ses épaules et serrant les cuisses autour de ses hanches pour venir nouer ses chevilles dans son dos. Ainsi arrimée, elle ne tomberait pas !

Ils sortent du tunnel, et elle lui donne la direction générale de son appartement pour commencer. Tandis qu’il marche, elle profite du balancement de son bassin contre le sien, de ce sexe qui est confortablement installé entre ses cuisses. Elle s’efforce de ne pas gémir et ne fait que soupirer contre son épaule, exploitant sans vergogne les mouvements de ses pas pour contracter ses chairs autour de lui.

Quand il s’arrête, elle fronce les sourcils. Mais ses paroles effacent bien vite cette expression. Elle n’a absolument rien contre de petites pauses sur le chemin, et elle s’exécute sans broncher. Le bruit mouillé et obscène de sa queue épaisse qui quitte son fourreau humide l’enchante, de même que le chuintement qui se répète quand il revient se caler entre ses reins. La blonde ne fait pas gaffe à ce qui les entoure, et son sixième sens ne voit pas l’intérêt de la prévenir de l’arrivée des deux passants. De toute manière, Tank se charge de couvrir son visage pour qu’elle ne soit pas reconnue. Elle lâche quelques petits gémissements tandis que l’idée de se faire prendre ainsi devant des passants devient réalité. Elle pousse même l’audace jusqu’à redresser le buste afin d’exposer sa poitrine arrogante.

Calamity n’a rien contre un peu d’exhibitionnisme. Faire participer ces deux passants, en revanche ?

Ah, ça passe aussi, à en juger les frémissements de son corps quand le malfrat propose que les deux jeunes sortent leurs queues afin qu’elle se charge de les branler. Ils sont d’ailleurs prompts à accepter, et la blonde ne tarde pas à sentir deux sexes masculin glisser dans les mains qu’elle a ouvert à leur intention. Ses doigts se referment sur ces tiges qui durcissent à vue d’œil -même si elle ne les voit pas- avant de changer de position pour que ce soit plus confortable.

« Ces biscuits chinois avaient raison ! Marmonne l’un deux tandis qu’elle le branle vigoureusement. "Une rare opportunité va se présenter à vous", qu’il disait. Ha ! J’a-dore ! »

L’autre répond par un grognement, observant Tank un instant avant de saisir la main qui le branle pour s’en servir lui-même. Présage ne rechigne pas, le laissant utiliser ses doigts fins enroulés autour de sa queue comme il l’entendait.

« J’vais lui recouvrir les seins de foutre, mec ! S’excite-t-il, son autre main venant agripper l’un des généreux seins aux tétons érigés. Ça ne vous dérange pas si j’libère ses loches, hein m’sieur ? Mais, visiblement, le contact avec le tissu ne lui plaisait guère. »

Il n’attendit d’ailleurs pas la réponse de Tank pour arracher le fin tissu élastique qui moulait sa poitrine. Avec un gémissement approbateur, il se rapprocha en retirant la main de l’héroïne de sa trique. Il attrapa sa poitrine à pleine main, la forçant à redresser la tête pour que la cape sur son visage ne le gêne pas, et vint caler son chibre entre les deux monts féminins.

« Aaah, ouais, beaucoup mieux ! Si tu veux en profiter, mec, va falloir que tu m’dise avant que j’y jute ! Pu-tain, elle est trop bonne ! »

Et il se déhanche en serrant les seins opulents de la mutante contre sa queue veineuse. Un fantasme à lui devenu réalité.

Son pote ne tarda d’ailleurs pas à émettre le souhait d’en profiter, et il se recula pour lui laisser la place. Et Calamity, pendant qu’ils se faisaient plaisir contre son corps ? Elle gémissait comme une petite chienne sous la cape qui masquait ses traits. Elle ondulait pour répondre à chaque coup de reins de Tank. Elle se sentait partir vers l’orgasme à vitesse grand V. Sentir les deux jeunes hommes lui éjaculer dessus sera probablement la goutte qui la fera passer de l’autre côté.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Cora Travers le samedi 06 décembre 2025, 19:08:33 »
« Mmmh… Réfléchit rapidement la mutante alors que son regard erre par la fenêtre. J’ai déjà une bonne partie de mes fringues ici. Et je crois que je dors plus ici que chez moi… Mmmoui, ça m’semble faisable. C’est même un très bon plan, sourit-elle en posant sa tête contre lui. »

Si elle paraît ainsi blasée, elle jubile intérieurement. Elle n’aurait probablement pas osé être la première à aborder le sujet de la cohabitation. Si Cora n’avait pas froid aux yeux pour avoir ce qu’elle désirait, c’était principalement du côté sexuel. Dès qu’il s’agissait de discussions plus intimes, elle devenait presque timide.

« Prendre l’air ? Pourquoi pas ? »

La blonde va finalement prendre son petit déjeuner, grimaçant alors que son crâne ne cesse de lui rappeler ces excès de la veille. Et que son esprit ne cesse de vouloir lui repasser certaines scènes obscènes. Mais elle refuse, refoule ces souvenirs, et se concentre sur le pain grillé et son café. Puis sur une douche rapide avant d’enfiler un jean délavé et un t-shirt blanc moulant ses formes. Son éternelle veste de cuir par-dessus, une paire de bottines à talon, et la voilà prête à aller se promener.

Cora avait toujours évité de trop traîner dans le quartier de la Toussaint. L’une des seule fois où elle y était, elle avait rencontré Ryo, heureusement. Mais dans les journaux, elle lisait toujours un tas de faits divers pas forcément reluisants à propos du quartier. Pourtant, sous ses yeux, les riverains ne semblaient pas se soucier des diverses bagarres qui éclataient, des putes qui arpentaient les trottoirs ou des dealers qui faisaient leurs affaires. Pas un seul flic en vue, hormis son amant. Et il n’était pas en service.

Lorsque des commentaires étaient jetés dans sa direction, l’américaine faisait comme si elle ne les entendait pas. Mais sa main se resserraient autour du bras du grand flic, son corps se pressant un peu plus contre lui. Avec un petit rire, elle le remercia pour la soupe, avalant quelques gorgées en espérant que ça calme les élancements de son crâne.

« Tu voudras qu’on aille chercher ce qu’il reste de mes affaires après ?, demande-t-elle en finissant sa soupe. En vérité, il ne doit pas rester grand-chose… Aucun meuble, il était meublé quand je l’ai loué. Juste des fringues, des affaires de toilettes… De la bouffe peut-être aussi… »

Ses doigts glissèrent le long du cuir du manteau de Ryo pour venir s’entremêler aux siens. Elle ne ressentait pas encore le besoin de lui demander un rail, mais elle préféra fouiller dans la poche de son perfecto pour en sortir un paquet de cigarettes neuf. Elle en proposa une à son amant avant d’en sortir une pour elle et de l’allumer avec un briquet lambda, sûrement acheté au supermarché.

« J’crois qu’il faut que je ralentisse sur… Mmh. Tu sais, marmonne-t-elle d’un air songeur. Peut-être en prendre juste en soirée, le week-end ? Non seulement la redescente est hard, mais je crois que ça commence à altérer mes performances au boulot… »

C'était sûrement la fraîcheur de l'air qui la fit frémir à l'instant, et pas une vision d'une scène de la veille. Certainement pas. Elle ne voulait d'ailleurs plus penser à la veille du tout pour l'instant, et se concentra sur l'instant présent. S'ils allaient à son appartement pour empaqueter ce qui lui restait d'affaire, ça ne prendrait guère qu'une petite demi-heure. Elle pourrait y revenir plus tard pour y faire le ménage avant de rendre les clés au propriétaire. Et changer son adresse après, aussi.
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Les alentours de la ville / Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina
« Dernier message par Catalina Taylor le samedi 06 décembre 2025, 17:53:38 »
Le regard clair de la veuve avait en effet bien remarqué l’approche silencieuse de l’ancien athlète. Avec un sourire en coin, elle n’avait pourtant pas cessé d’onduler : un appel clair et sans équivoque.

« Un whisky, c’est noté, a-t-elle susurré en tirant un verre et la bouteille de whisky cachée au fond du minibar. »

Et tandis qu’elle s’affairait à verser un Macallan de dix-huit ans d’âge dans le verre à whisky, Vance avait fini son approche et se tenait contre sa croupe. Catalina ferma les yeux un instant, exhalant avec délice quand il la gratifia d’une claque sur son fessier offert, et les rouvrit avec un petit rire tandis qu’elle frottait son séant contre l’éveil d’une nouvelle érection.

« Peut-être… Après ce second round ? Souffla-t-elle en attrapant un autre verre afin de le remplir aussi, pour elle-même cette fois. Pour nous désaltérer avant de repartir pour un tour ? »

Elle se redressa finalement, les verres à la main, se frottant indécemment contre lui. Posant les verres sur le bar, refermant le battant avec le genou, l’ancienne tueuse pivota son buste sans se dérober à la sensation du membre qui s’érigeait contre elle. Les trois boutons de son chemisier semblaient tenir par l’opération du Saint-Esprit, le tissu luttant pour rester fermé contre l’opulente poitrine qui n’était plus emprisonnée dans son carcan de dentelle.

« Après cette mise en bouche, j’ai bien envie de tester la suite, murmura-t-elle en levant le visage vers le sien. De profiter pleinement de l’expérience qui s’offre à moi, ajouta-t-elle en saisissant l’une des mains de Vance pour la guider vers les courbes qui étiraient le tissu de son chemisier. »

Elle se retourna finalement complètement, laissant ses doigts agiles faire leurs affaires pour débarrasser l’ancienne star du catch de tout ce tissu superflu qui masquait son torse puissant. Aussi près du bar, il n’avait qu’à tendre la main s’il voulait boire une gorgée tandis que la veuve s’affairait à faire glisser ce qui couvrait son torse pour venir déposer des baisers lascifs contre sa peau nue.

« La soirée ne fait que commencer, de toute manière. On aura amplement le temps de… boire un verre… Mmmh ? »

Ses iris d’azur commençaient de nouveau à être mangées par le noir de ses pupilles. On pouvait dire beaucoup de chose de Catalina. L’une d’entre elle étant qu’elle était une amante insatiable. Ou que sa gourmandise n’avait probablement pas de limites une fois réveillée. Tout cela, Vance en ferait l’expérience ce soir.

Libérant une main pour décaler les verres sur le mini-bar, la sulfureuse brune esquissa un sourire taquin en reculant pour ensuite s’y hisser, écartant ses cuisses pâles pour l’inviter à revenir se coller contre elle. Et s’il ne le faisait pas assez vite, la veuve pourrait faire preuve d’impatience en venant le tirer par la ceinture de son pantalon. Ceinture et pantalon qu’elle s’employa d’ailleurs à déboucler et faire glisser pour libérer l’attirail qui ne manquera pas de la combler pour la nuit.

« Pour le moment, je n’ai soif que de toi, Vance…, susurra-t-elle en lui offrant ses lèvres avides. »
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Prélude / Re : Lapi-mielle [Vanéalidée !]
« Dernier message par Randal Dragunov le samedi 06 décembre 2025, 08:08:46 »
Bienvenue dans le coin, m'dame !  8)
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One Shot / Dalton Brothers Kidnap Local Banker's Daughter Calpurnia Tanner!
« Dernier message par Jack Marston le samedi 06 décembre 2025, 00:08:17 »


Pour les besoins du récit, les profils des frères Dalton ont été ajustés, et Bill, qui n’a jamais maraudé avec eux, a été joint au groupe.


Robert, Gratton, William et Emmett Dalton. Bob, Grat, Bill et… Emmett Dalton. Les frères Dalton. Les fameux braqueurs et bandits de grands chemins.

C’étaient des fils de bonne famille chrétienne d’Oklahoma, et la partie connue d’une fratrie de quatorze enfants, dont trois avaient déjà été rappelés par le Seigneur. Un d’entre eux, Frank, James Franklin Dalton, avait même été U.S Marshall et tué dans une opération de police.
Bob avait même suivi ses traces ! Mais, désabusé par la corruption, l’injustice, l’inéquité du système et la retenue de sa paye, celui-là s’était rendu avec Emmett au Nouveau-Mexique pour y tenter une nouvelle vie.
C’est là-bas qu’avec d’autres gars, ils ont commis leur premier larcin, contre une bande de Chinois les ayant plumé à un jeu truqué. A partir de là, leur réputation était faite, et ces types venus d’ailleurs s’étaient vus placardés tous les délits et crimes du coin sans procès. A partir de là, ils ne pouvaient plus revenir à la vie civile.
Bob et Emmett avaient fui dans les montagnes, avec l’aide des fermiers et ranchers compatissants des environs. Arrêté dans leur ville natale pour avoir été associé aux crimes qu’on leur avait collé, leur frère Grat s’est évadé pour les rejoindre en cavale, tandis que Bill, lui aussi, avait appris la prime mise sur sa tête et les avait imité.

A 28 ans, Grat, à droite sur l’image, est de loin l’aîné de la bande, mais il n’en est pas le chef, faisant plutôt office d’autorité morale. C’est Bob, celui de gauche, le plus téméraire, qui, du haut de ses 22 ans et grâce à son charme, obtient des filles du coin les informations nécessaires aux braquages qu’ils sont bien forcés de commettre pour vivre à présent. Emmett, à côté de Grat, à 18 ans tout juste, est le cadet et le suiveur, tandis que le dernier, Bill, 24 ans, est l’enfant du milieu, et l’arbitre entre ses frères.
Évidemment, parler de moralité les concernant était assez osé. Élevés à la dure dans une société très violente, victimes de l’injustice et de l’arbitraire, ce sont des fruits sauvages de l’Ouest sauvage, des bêtes plus que des hommes, réduits à l’état de subsistance élémentaire et prenant tout ce qu’ils peuvent prendre à la gorge de l’État, de la société et de leurs semblables. Quant à leurs manières, il les ont largement perdues pour devenir les vandales assassins que l’on dépeint partout.

Au moment du récit, les Dalton ont décidé de se rapprocher de leur terre natale, et de remonter la Piste de Santa Fe en direction du Kansas via le Colorado. C’est dans une petite bourgade sans avenir se trouvant sur leur chemin, comme il en fleurissait à cette époque, étape de pionniers, de cowboys et de fermiers grincheux, que se déroule notre histoire.
La petite banque locale de Lucius M. Tanner, orgueilleux fils de banquier du Massachusetts venu ici profiter de la conquête de l’Ouest, était un endroit tranquille. Les diligences venaient y déposer les fonds des gens voyageant dans leur direction, et les gens venaient déposer ce qu’ils parvenaient à garder de leurs maigres salaires. Chaque semaine, il y avait de gros dépôts, mais personne n’était vraiment inquiet. Il y avait deux gardes armés, un ancien cowboy boiteux et bourru et un vétéran de la guerre de Sécession, et le coffre était un des meilleurs de la région, et seules trois personnes en connaissaient le code : Lucius Tanner, évidemment ; sa femme Boetia, qui tenait le comptoir ; et leur fille chérie, Calpurnia Tanner, fleur sublime du désert et principale attraction de ce coin perdu de désert de buissons épineux et de puritains anxieux.

Enfin, il n’était pas vrai que seules trois personnes connaissaient ce code. Mr Tanner avait ses habitudes au saloon, mais il cachait surtout sa liaison avec une fille de joie nommée Andrea Plower. Celle-ci avait récemment reçu la visite de Bob et, en échange d’une part, elle lui avait tout craché sur l’homme, y compris sur sa banque et ses petits secrets ; dont le code du coffre.
C’est ainsi que les Dalton, qui campaient non loin, avaient eu l’idée de se faire un peu de beurre en braquant la banque de Tanner. Ils allaient s’y prendre le jour du passage de la diligence, juste après le dépôt, pour que personne n’ait le temps de venir retirer, mais juste assez longtemps après pour que les convoyeurs de fonds aient, eux, eu le temps de filer assez loin pour ne pas entendre les coups de feu.
Car il y aurait des coups de feu. Les Dalton savaient que, pour faire bouger les gens, il fallait leur faire peur, et qu’il fallait donc frapper fort.

Les quatre hommes étaient connus. Ils ne pouvaient pas juste se poster dans la rue en repérage. Ils étaient donc postés sur un promontoire proche, et Plower devait les avertir du départ de la diligence avec un signal convenu d’avance. Ils avaient attendu et avaient vu la fumée poussiéreuse laissée par la diligence à son approche. Un moment plus tard, un drap rouge avait été agité à une fenêtre, et ils avaient vu se redresser la poussière sur le passage de la diligence en sens inverse.
Il était temps d’y aller. Armés jusqu’aux dents et déterminés, ils montèrent leurs chevaux et descendirent droit vers la bourgade isolée et tranquille, prêts à faire parler la poudre, la rage et la colère, et à repartir bien plus riches qu’ils étaient arrivés.
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