Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Takezo O. Mamoru

Pages: [1] 2 3 ... 7
1
One Shot / Quelques braises en hiver (OS - PV Rosalia Del Tredici)
« le: vendredi 22 novembre 2024, 01:31:06 »
« Les clients de la 4 sont partis, tu peux aller t’en occuper ? » lance Himiko, jolie brune quelque peu fluette, la quarantaine, depuis le large comptoir de bois, à l’accueil de son auberge, à l’espèce d’armoire à glace qui passe d’une porte à une autre, dans son dos.

« Quoi, déjà ? Je croyais que ceux d’la 4 devaient rester jusqu’au réveillon. Je pensais justement descendre au marché leur chercher du saumon, ce matin », rétorque le grand type bedonnant qui, ayant interrompu ses incessants va-et-vient d’une porte à l’autre, semble peu à peu perdre son large sourire.

« Hm. Faut croire que ton menu n’a convaincu personne, cette année non plus. » lâche Himiko avant de conclure par un soupir empreint d’une pointe de déception qu’elle ne cherche même pas à dissimuler.

Forçant pour feindre un nouveau sourire tout plein de bonhommie, le grand homme barbu pose doucement l’une de ses larges pognes sur l’épaule de sa femme, avant de déposer un petit baiser sur sa joue.

« Tss. », fait-elle en le repoussant discrètement, d’un geste de la main, juste derrière le comptoir.

« T’en fais pas, va. On va y arriver. On y arrive toujours, non ? Allez, tu devrais aller à la salle à manger. Moi j’te remplace ici, puis j’irai débarrasser la chambre. J’ai fait des croissants ce matin. Comme en France, tu sais ? Tu devrais en prendre un, je suis sûr que ça te ferait du bien. »

Soupirant de nouveau, Himiko s’écarte lentement du comptoir, l’air renfrogné, avant de prendre la direction d’une porte par laquelle elle disparaît aussitôt.

« Des croissants ? Sérieusement, Honda ? J’ai beau chercher, je ne comprends pas pourquoi tu t’entêtes à te démener de la sorte jour après jour. On n’a même pas dix clients, là. J’espère au moins que ça ne t’a pas coûté trop cher. »

Alors que disparaît progressivement l’écho de cette voix continuant encore un moment de maugréer, d’une pièce à l’autre, Honda, lui, reprend machinalement un peu de son habituelle douceur. Une heure passe et l’homme salue à chaque fois bien chaleureusement ses quelques clients qui passent par là, et quel que soit leur besoin.

Sa femme ayant déjeuné et, revenant donc à son poste habituel à l’accueil, Honda quant à lui, prend la direction des chambres de la seule aile occupée de son immense auberge de montagne. Évidemment inquiet d’avoir perdu ses seuls clients ayant réservé pour les fêtes, mais ne le montrant aucunement, le grand homme s’occupe tranquillement du linge en sifflotant, ne faisant montre d’aucun signe de fatigue quand bien même il aurait bien des raisons de se dire épuisé…

Passant ensuite inspecter ses cultures au dehors, presque toutes ensevelies sous la neige, maintenant que débute le mois de décembre, il prend un moment pour tout bien recouvrir de cette vieille bâche qui, jour après jour, ne cesse de tomber sans qu’il ne sache trop comment.

Ceci fait, il est presque dix heures, l’heure de prendre une pause bien méritée, lui qui s’est levé il y a déjà six heures pour s’adonner à un peu de pâtisserie. Fort heureusement pour lui, au vu de leurs retours, ses clients semblent conquis par cette petite attention, qui les changent un peu de leurs traditionnels petits déjeuners, quand bien même Honda les confectionne avec tout autant de soin.

« Pfioouuu… », soupire-t-il, alors qu’il se glisse, seulement vêtu d’une serviette, dans l’eau presque brûlante des sources chaudes naturelles qui occupent l’arrière du complexe, en pleine nature et donnant vue sur la chaîne de montagne entourant les environs.

Bien sûr, si Honda appelle cela une pause, ce n’en est pas vraiment une.

Ses articulations s’étant à peine détendues, l’homme s’élance aussitôt d’un bon pas dans les bains, les traversant de part en part pour s’assurer du bon fonctionnement de celui-ci. Briquant la rocaille et s’assurant qu’aucun des contours du bassin ne présente la moindre aspérité, la moindre petite cassure qui pourrait blesser un pied ou un dos, Honda fait son grand tour une bonne demi-heure durant, avant de sortir de l’eau en vitesse pour ouvrir la porte qui, depuis l’accueil, donne aux clients un accès direct sur les bains.

Il n’est pas dix heures trente pile, mais aucun client ne s’en est jamais plaint.

« Dix heures quarante-cinq. Bravo, tu t’améliores. » lâche Himiko en ne riant qu’à moitié, tapotant l’heure qui s’affiche sur sa caisse enregistreuse, du bout de l’attelle qui encercle trois de ses doigts, tandis que son mari apparaît dans l’encadrement de la porte, en train de finir de se sécher.

Sa femme poussant un énième soupir en apercevant les quelques gouttes qui perlent sur le pas de la porte et qui trempent les merveilleuses boiseries de ce qui, un jour, fut le domaine de ses parents, Honda s’empresse de se baisser pour les éponger de sa serviette, comprenant tout de suite ce que voulaient dire ses mimiques.

« R.A.S. dehors. J’ai remis la bâche sur les choux et sur la rhubarbe, aussi. J’comprends toujours pas comment… »

« Hm hm. Oui. Madame Satoshi est passée tout à l’heure, chambre huit, elle ne veut pas reporter son rendez-vous, elle dit que son vieux dos la fait trop souffrir. »

Terminant de sécher ses cheveux et son épaisse barbe noire, Honda rejoint sa femme jusqu’au comptoir, attrapant délicatement sa main blessée.

« J’comprends bien mais, tu peux pas t’occuper d’elle comme ça. Et… on en a déjà discuté, la dernière fois tu me l’a bien fait comprendre : on n’a pas les moyens d’engager quelqu’un, alors… qu’est-ce que tu comptes faire ? »

« Hm, nan. Rien. C’est toi qu’elle veut. »

« Pardon ? »

« Je lui ai demandé si cela lui poserait un problème, si jamais, pour une fois, c’était toi qui venait la masser. Son mari lui a dit que tu faisais ça très bien, pour les hommes, alors elle a dit qu’elle te faisait entièrement confiance… et même que ça lui ferait peut-être pas de mal, d’avoir un homme fort pour soulager ses vieux os. »

« Oh. Bon… eh bien, si tu n’y vois pas d’inconvénient et… et elle non plus, d’accord. Je peux faire ça. »

« On a trop besoin de cet argent pour cracher sur ce que nous rapportent les massages. Mais… t’avises pas de mettre tes mains sous sa serviette. Pigé ? »

« Q-quoi ? Madame Satoshi ? M-mais elle a… elle a… au moins soixante-dix balais ! »

« Ah parce que tu le ferais si elle était plus jeune ? »

« Non ! Bien sûr que non. Ce n’est pas ce que je dis… tu sais bien… »

« Bien. Non, mais parce que la vieille Satoshi, elle, elle pourrait bien te le demander, alors fais attention, d’accord ? Bon, très bien. Le rendez-vous est à… quatorze heures cet après-midi. Je vais décaler ton rendez-vous homme d’un petit quart d’heure, que tout s’enchaîne bien. »

« Ok, super. Merci. »

« Ça va aller, juste après le repas de ce midi, ou tu veux que je reporte aussi celui de Madame Satoshi ? »

« Non. Non non. C’est très bien comme ça, laisse. Je vais aller voir où en est le bouillon de ce midi et commencer à mettre la table. Je me dépêcherai de tout débarrasser quand tout le monde aura mangé et… tout ira bien, d’accord ? »

Ceci dit, Honda entreprit aussitôt de retourner en direction des cuisines, mais fut interrompu par Himiko, qui l’attrapa par la manche. D’un tiroir du comptoir, celle-ci tirait un grand livre de comptes noir.

« Attends deux secondes. J’peux te demander de regarder ça une seconde, avant que t’y ailles ? Il y a un truc que je ne m’explique pas. Regarde, chambre douze, la semaine dernière. Le petit garçon, il avait bien pris une glace, non ? Tu te rappelles, il en avait parlé toute la semaine mais ses parents n’arrêtaient pas de lui dire qu’on mangeait pas de glace en hiver, et… »

« … et je suis allé acheter de quoi lui en faire une avec les fruits qu’il nous restait. Oui. »

« Eh bien je trouve pas de glace, sur leur note. »

« Ah bon ? C’est… bizarre. »

Honda se pencha un instant pour inspecter le livre de comptes, ne sachant encore comment annoncer à sa femme que si cette glace n’apparaissait pas, c’est simplement parce qu’il l’avait offerte à l’enfant, lors du dernier repas de la famille, avant leur départ à tous.

Mais alors qu’il commença à bredouiller quelque chose à ce propos, l’homme se rendit compte que sa femme ne l’écoutait plus, son attention visiblement attirée par quelque chose d’autre… il ne savait pas quoi.

Au dehors et en pleine tempête, derrière la grande porte vitrée de l’entrée, repartait un taxi. La cloche à la porte tintait soudain, quelqu’un venait d’entrer, interrompant le couple dans leur conversation.

« Bonjour, soyez la bienvenue. », dit Himiko.

Honda n’eût même pas le temps de lever la tête que sa femme lui flanqua un petit coup de coude sous le comptoir, puis un autre, pour attirer son attention. C’est un truc qu’elle faisait, quand arrivait une jolie femme, comme pour dire à son mari « Non mais, tu l’as vue, celle-là ? Elle se prend pour qui cette pétasse ? ».

Il la connaissait bien.

« Va donc prendre ses valises, tu veux ? J’peux pas porter tout ça en ce moment, tu sais bien. J’vais aller voir le bouillon. », renchérit-elle discrètement à l’intention de son mari, avant de disparaître tout en roulant des yeux.

Honda ne l’avait pas encore vue, mais il l’avait déjà bien compris, elle ne devait pas être du genre à plaire à Himiko.
Doucement, il redressa la tête.

2
Salles de cours et bibliothèque / Re : Takezo & Rosalia ✦ Special Treatment
« le: dimanche 17 novembre 2024, 17:29:49 »
Pour un garçon aussi jeune, inexpérimenté et timide que Takezo, il y avait toujours eu quelque chose de très… intimidant, dans le fait de se voir devenir le centre d’attention d’une femme comme Rosalia.

Les filles l’observaient bien un peu, en sport le plus souvent, mais ne l’approchait guère. Aussi, l’idée qu’il se faisait d’une hypothétique vie sentimentale, comme des contacts charnels qui pourraient découler de telles relations s’était, à dire vrai, bâtie davantage au biais de séries ou de films. Souvent pas les mieux écrits, d’ailleurs.

Pour être tout à fait honnête, l’imaginaire du garçon à ce sujet s’était surtout garni, avec le temps, d’images et de situations rocambolesques, qu’il tirait simplement du sacré paquet de films pour adultes qu’il consommait soir après soir… tristement machinalement. Son rapport à l’amour et aux femmes en devenant évidemment quelque peu… biaisé.

Lui qui n’était déjà pas bien populaire, n’avait non plus pas la moindre idée de comment plaire, de comment se faire remarquer…

Alors, forcément, quand s’inscrit soudain dans le paysage de son morne quotidien, une femme comme Mademoiselle Del Tredici, sa professeure de langue étrangère, figure semblant tout droit sortie du panthéon de ses fantasmes charnels et amoureux, que celle-ci s’approche sans qu’il n’ait pourtant rien demandé… ça fait quelque chose.

Faite comme ces femmes qu’il a pris l’habitude de regarder nues, en pleine action et dans des positions souvent… dégradantes, plus que comme ces autres filles qui peuplent son entourage et son quotidien, elle, et seulement elle, dans la réalité du moins, semblait avoir ce pouvoir… cette… capacité, à mélanger dans sa petite tête à lui, déjà bien en bazar, réel et fiction.

Comme tout droit sortie de son écran d’ordinateur, tard le soir, ou bien d’un de ses rêves, la seule existence de sa professeure, et le fait qu’ils coexistent l’un et l’autre en une seule et même pièce relevaient tout droit du mythe devenu réalité. Rosalia Del Tredici se faisant… fantasmes inavouables faits femme, pour ce garçon qui venait à peine de fêter son dix-huitième printemps.

C’était déjà assez compliqué comme ça, d’ordinaire, alors imaginez-vous à quel point ça l’était pour le garçon, maintenant qu’il se trouvait seul avec elle, en tête à tête dans cette petite salle de classe dont la porte venait d’être fermée. Figurez-vous comme cela devient pire encore, dans la tête de l’adolescent quand, du coin de l’œil, il la voit, il la sent approcher, dans cette démarche chaloupée qui fait si bien balancer ses larges hanches, et dont il connaît déjà par coeur l’hypnotisant mouvement de balancier.

Sa gorge se serre, son rythme cardiaque accélère.
Il appréhende, se fige presque, intimidé par cette bien trop délicate silhouette qui vient soudain projeter son ombre sur cette petite table qu’il finit de mettre en ordre.

- « C’est mon devoir de professeur que d’aider les moins bons élèves à progresser. »

Aïe.
Réfléchie ou non, voilà une pique qui ne manque pas de déstabiliser le jeune homme, qui manque déjà bien assez de confiance en lui. Ce n’est sans doute pas grand-chose mais, puisqu’elle fait, en tant que professeure, figure d’autorité, voilà des mots qui résonnent soudain lourdement dans sa tête, n’en finissant pas de le mettre en position d’infériorité.

Comme figé, alors qu’il peine déjà bien assez à ranger ses affaires, Takezo ne sort même pas un mot, pas un merci, n’étant pas bien sûr que de tels mots soient censés le réconforter.

Elle s’approche encore, se penche juste au-dessus de lui, au moment même où celui-ci pose son sac tout contre ses genoux.

- « Ne te soucies pas tant du regard des autres. Ou les rumeurs te gênent ? »

Le cœur du garçon fait un bond dans sa poitrine, encore, alors que bien des choses lui viennent en tête suite à ces mots. Comme un animal pris sur le fait, surpris en pleine bêtise, Takezo pense à lever la tête pour faire face à sa professeure… gêné, comme s’il était sur le point de se faire gronder.

Mais… bien vite, son regard n’a d’autre choix que de tomber face à tout ce qu’il n’avait fait que deviner jusqu’ici, et qu’il essayait d’éviter. Ses yeux cherchent à monter, mais bloquent, se paralysent, à la vue du si large décolleté que Rosalia offre à sa vue, en se penchant ainsi devant lui. À hauteur de son visage, tout juste, pendent deux énormes seins lourds et ronds, une plastique toute de rêve et de fantasmes, qui semble atrocement comprimée par ce chemisier pourtant si ouvert, et par des dessous qui devaient -c’est en tout cas ce qu’imaginait le garçon- en cacher plus encore.

Juste sous son nez, balançaient ces deux énormes choses…
Takezo dut se taire une seconde, peut-être deux, avant de trouver la force de regarder ailleurs, de se recentrer un peu pour répondre.

« - D-des rumeurs ? Quelles rumeurs ? »

Son visage ayant blanchi, ou rougi, il ne le savait pas, Takezo s’était empressé de détourner le regard, de faire mine de vérifier son sac à dos, encore.

« - Tu préfères qu’elles deviennent réalité, Illo ? »

Et rebelote. Takezo se figea, alors que son regard, plein de surprise, s’était levé une fraction de seconde à peine, pour croiser celui de la jeune femme.

Il était bien trop honteux pour espérer faire autre chose, alors il avait tenté de jouer les innocents. Jamais l’élève n’avait pensé que de telles rumeurs arriveraient jusqu’aux oreilles du corps professoral aussi, il n’en fut que plus surpris d’entendre Rosalia les mentionner ainsi.

Évidemment qu’il savait de quoi parlait sa professeure.
Si vous saviez ô combien celles-ci étaient venues nourrir son imagination, et hanter certaines de ses nuits…

Lui qui n’avait déjà pas perdu de temps pour se donner du plaisir, au-dessus de sa photo, dès lors qu’était arrivé dans sa boîte à lettres le trombinoscope de cette année, ses hormones n’avaient eu aucun mal à faire le reste du travail quand, au lycée, il entendit de plus en plus d’élèves les imaginer ensemble, l’un et l’autre…

Dans certains de ces rêves absurdes et complètement fous, que Takezo teintait évidemment de son expérience personnelle de la chose, Mademoiselle De Tredici et lui se tenaient ici, dans cette même salle de classe, mais pas tout à fait au même endroit.

Dans celui-ci en particulier -même si tous ses fantasmes se ressemblaient un peu, il faut l’avouer-, Rosalia était penchée à son bureau, à côté du tableau et face à tous les autres élèves de la classe. Complètement nue, sa large croupe ronde rougissait, claquait sous les assauts brutaux du jeune homme, qui n’avait de cesse de la faire hurler à chaque coup de butoir plus fort encore, coulissant son puissant organe entre ses fesses dodues…

Cette scène n’avait rien de réelle, de bien… réalisable, à n’en pas douter, du fait de ses propres proportions notamment, mais que voulez-vous, toute expérience, toute idée que Takezo avait de la chose, n’avait pour provenance que de nombreux sites aux noms douteux.

Quoiqu’il en soit, c’est cette scène en particulier qu’il eût en tête, quand il prit vraiment conscience de ce que sa professeure venait de lui demander.

Il s’était de nouveau imaginé en train de la sodomiser jusqu’à l’extase, comme il avait pu le voir dans un film qu'il avait regardé récemment, et cela avait eu pour effet de réhausser un peu plus ce gros sac, qui reposait sur une jeune mais bien belle bosse, qui n’en finissait plus d’enfler.

À cet instant, Takezo était perdu. Complètement perdu, trop emporté qu’il était par l’élan soudain de ses propres hormones.

Ce fut le rire soudain de sa professeure qui le ramena durement, mais heureusement sans doute, à la réalité.

« - Ne fais pas cette tête, je rigole ! »

Attrapant la chaise devant lui, la plantureuse jeune femme s’installait en riant, tandis qu’il peinait encore à reprendre entière et pleine conscience. Il était… hors de ses moyens, clairement, ayant l’impression de retrouver l’énorme décolleté de Rosalia partout, quand bien même lui cherchait à regarder ailleurs.

Puis vint un grand frisson, une véritable décharge électrique, qui parcourut en un instant son corps tout entier, courant le long de son échine, à lui faire hérisser les poils. Takezo se raidit, en comprenant que c’était l’une des belles et longues jambes de Rosalia, qui remontait doucement contre la sienne.

« - Je peux te donner des cours privés, si tu préfères. En fait, je te laisse le choix. Je peux continuer à montrer à toute la classe que tu es mon chouchou ou m’occuper de toi à la fin des cours. »

Lui qui n’avait aucune expérience de ce type de contact, ne put que s’imaginer bien des choses encore, d’autant plus après pareille « proposition ». Nombreux étaient les semblants de scénario qu’il avait dévoré, qui commençaient comme ça, pour finir eh bien… en parties de jambes en l’air des plus torrides, alors… Takezo déglutit encore, ayant perdu pied avec la réalité, une fois de plus.

Il tentait bien sûr de raccrocher les wagons entre eux, mais ne comprenait pas où sa professeure voulait en venir. Lui s’imaginait bien des choses, mais raisonnait encore juste assez pour savoir que tout cela restait du ressort de la fiction…

Décidément, cette sorte de… piège, qui semblait se refermer sur lui, lui paraissait bien compliqué. Était-ce pour cela qu’elle lui avait demandé de rester ? Qu’est-ce qu’elle avait en tête, sérieux ? Espérait-elle soutirer un peu d’argent supplémentaire à des parents peu regardants, en donnant des cours de soutien, après l’heure des cours ? Était-ce une arnaque ?

« Hum… e-eh… eh bien… »

S’efforçant de regarder par la fenêtre, pour être sûr de ne plus l’avoir, elle, dans son champ de vision, le garçon serra son sac tout contre lui, pour se rassurer, comme pour masquer une envie dont la… « taille », l’ampleur démesurée, ne risquait que trop bien de susciter émoi et surprise…

Il se sentait pris au piège.
Attendez, quand on y réfléchit… c’est bizarre, non ? Ce serait… une sorte de chantage ? En tout cas, c’était clairement pas une invitation à un rencard, c’est sûr.

Résigné et, désirant plus que tout s’extirper de cette fâcheuse situation, le jeune homme poussa un soupir.

« Je… je crois qu’je préfère la deuxième solution, si ça peut rester entre nous. Juste entre nous… après les cours. »

Une pensée traversa son esprit et ses joues virèrent encore au rouge, avant qu’il ne secoue la tête comme pour la faire partir. Comme si une petite voix s’était adressée à lui dans sa tête, Takezo venait de se demander : si l’école fermait ses portes après l’heure des cours, où allaient-ils bien pouvoir se rencontrer ?

La petite voix suggérait un love hotel, trois à quatre fois par semaine, sur l’heure du midi, ou bien le soir.

3
La boule au ventre, Takezo appréhende déjà la fin de cette nouvelle journée.

Et on n’est que lundi… des cours d’anglais, le garçon va encore en subir quelques uns, avant que cette semaine n’arrive à son terme.

Il est presque seize heures. Leur professeure n’est pas encore arrivée que déjà, nombreux sont les élèves de la classe à quitter leur chaise pour l’assommer de questions dont il n’a pas la réponse. Qu’est-ce que Madame Del Tredici peut bien lui trouver ? Se connaissaient-ils d’avant ? Est-ce qu’ils… sont ensemble ?

Le pauvre garçon n’avait déjà pas la cote, du fait d’être perçu par tous comme un « ignare tout droit sorti de sa campagne » mais, depuis que la classe avait changé de professeur de langue étrangère, tout cela avait pris une tournure plus désastreuse encore.

Heureusement pour lui, Takezo avait cette chance d’être plus grand et mieux bâti qu’une bonne majorité des adultes du lycée, alors de ses camarades, n’en parlons pas… S’il n’était pas bien apprécié des autres, ces derniers avaient au moins la jugeote nécessaire pour comprendre qu’il ne serait pas dans leur intérêt de s’en prendre à lui… physiquement.

Dans d’autres circonstances, il aurait été tout à fait possible que cette bien étrange attention dont il jouissait de la part de cette femme, considéré par tous les autres garçons comme étant la prof la plus canon du lycée, lui fasse connaître les affres du harcèlement scolaire…

Mais tandis que les questions s’accumulaient, à tel point qu’il ne savait plus ce qui venait tout juste de lui être dit, Takezo se mit à se demander, une nouvelle fois : pourquoi lui ?

C’est vrai, quoi. Qu’avait-il bien pu faire pour se faire remarquer de la sorte ? Assis au milieu des autres, il était évident qu’il était le moins gringalet d’entre tous et qu’il fallait être aveugle pour le louper, toutefois, ce n’est pas comme si il était particulièrement brillant. Pire encore, puisqu’il se plantait au moins deux fois sur trois, quant sa professeure lui posait une question -et cela arrivait souvent-, les railleries des autres n’en finissaient jamais. À tel point que ces cours d’anglais lui semblaient être un véritable calvaire.

« - Nan mais… sérieux, vous l’avez fait, c’est ça ? », venait de lui demander un élève qui, avant cela, ne s’était jamais donné la peine de lui adresser la parole.

« - Q-quoi ? »

Vissé sur sa chaise, encerclé par une bonne douzaine de ses camarades, le grand dadais venait de rougir. Il lui avait fallu une demi seconde pour comprendre où l’autre adolescent voulait en venir mais, moins que ça pour s’imaginer la scène. Après tout, ce n’était pas comme si il n’y avait jamais pensé.

Tous les mecs de l’école avaient dû y penser.
Au moins une fois, c’est sûr.

Il fallait dire aussi que, Mademoiselle, hum… Madame De Tredici, c’était quelque chose. Elle était belle, assurément, très belle même. Mais… sexy était peut-être un terme plus éloquent ici, tant la plantureuse jeune femme, que la nature avait pourvue de courbes plus folles que folles, tendait à jouer continuellement de ses charmes.

C’est… le genre de femme qui se sait belle, vous voyez ?
Et qui, de fait, aime attirer l’attention, savoir que c’est là tout un monde qui gravite autour d’elle. Même à l’école, pas un jour ne passe sans que l’on n’entende quelqu’un commenter son vertigineux décolleté d’aujourd’hui, ou bien le serré de sa jupe.

Il est impossible qu’elle ne soit pas au courant, qu’elle soit si naïve au point de ne pas voir, de ne pas entendre tous ces bruits qui courent à son propos, tout autour d’elle. Non, elle le sait… et elle en joue, c’est certain.

Mais alors… les autres ont raison, que lui veut-elle… à lui ? Pourquoi jeter son dévolu sur Takezo plus que sur un autre ?

L’adolescent n’a même pas le temps de formuler une réponse à cette question, à voix haute, que le bruit distinctif de ces talons hauts martelant le plancher de la classe l’interrompt dans le cheminement même de sa pensée.

Notre fantasme ambulant, celui de presque tous les garçons, pire ennemie de bien des filles, vient tout juste de faire son entrée dans la classe. Telle une nuée de corbeaux effrayés fuyant un épouvantail laissé en charpie, planté au beau milieu d’un champ, l’attroupement d’élèves qui s’était formé autour de Takezo déguerpit aussitôt.

Et… comme à chaque fois, cette nouvelle heure d’anglais suit exactement le même schéma que les précédents : tout devient vite une occasion pour la professeure de mettre en lumière son chouchou tout désigné… et cela suscite bien des interrogations tout autour.

La jeune femme ne rate pas la moindre occasion pour venir se pencher un peu sur sa petite table, bien consciente des regards posés sur cet énorme décolleté qu’elle ne dévoile que pour lui… mais qu’une telle proximité l’oblige à fuir…

Évidemment, comme à chaque fois, sa vision périphérique n’en loupant pas une miette, c’est gonflé qu’il finit, là, sous la table, priant pour ne pas être de nouveau interrogé au tableau quand approche la fin de l’heure.

À chaque fois, il l’échappe belle.

Mais cette fois, aujourd’hui, alors que sonne enfin l’heure de la fin des cours, l’heure de la libération…

« - Tu peux rester, Takezo ? »

Dans une nuée de murmures disparaissent peu à peu les élèves, désemplissant la classe en hâte, le laissant… seul face à elle.

Toujours vissé sur sa chaise, le dos droit, et raide, n’osant bouger, Takezo termine de réunir ses affaires… très lentement, retardant le moment où il devra quitter sa place pour se mettre debout.

« - O… oui ? Pourquoi moi ? »

« - Tu as l’air gêné, Illo. »

Et comment, qu’il l’est !
Fuyant son regard, comme la simple vue de ces courbes, à quelques mètres, l’ado cherche du regard un stylo, d’un côté, sa trousse, d’un autre… son sac, par-terre.

«  - Gêné ? Eh… eh bien… »

Les yeux rivés en direction de sa table, il range, prenant tout son temps, cherchant un moyen pour ne surtout pas tomber de nouveau nez à nez avec son décolleté. Le pauvre s’était déjà demandé quelle était sa taille de bonnet, ce genre de choses et là, maintenant, ce n’était surtout pas le moment d’y repenser.

Mais… peut-être pouvait-il aborder avec elle ces soucis qu’elle lui causait ? Après tout, elle était prof, non ?

« - Pourquoi… c’est toujours moi que vous interrogez ? C’est vrai que… je me suis un peu amélioré en anglais, depuis que vous êtes là, j’veux pas dire que c’est pas bien… mais vous avez remarqué que ça embête les autres, non ? »

Terminant de boucler ses affaires, le garçon reculait juste assez sa chaise pour pouvoir poser son sac sur ses genoux… et masquer son envie. Déglutissant avec difficulté, il priait pour que ses hormones le lâchent un peu, tandis que ses narines s’ouvraient, humant le doux parfum sucré de celle qui lui avait demandé de rester et… qui s’approchait maintenant.

4
Le coin du chalant / (OS) Dans l’espace, personne ne vous entendra crier…
« le: vendredi 25 octobre 2024, 17:25:12 »
Hello hello et joyeux (presque) Halloween, héhéhéhé !

Une fois n’est pas coutume, j’aimerais proposer ici, à qui le voudra bien, une nouvelle petite trame qui me trotte dans la tête depuis… un moment déjà. Je n’avais juste pas trouvé le temps de sauter le pas.
C’est désormais chose faite !

Le pitch :
Quelque part dans l’espace. Capturée à la suite de malencontreux événements, une célèbre pirate de l’espace décide, comme à son habitude, de jouer de ses charmes pour permettre son évasion avant d’être remise aux autorités. 

Pour plus de contexte :
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Le personnage à jouer :
Samus Aran as Capt. Mira
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Il s’agit évidemment d’un OS très porté sur la chose, mais je ne suis pas contre un peu de narration supplémentaire pour nourrir ce RP.
Je ne suis pas difficile non plus pour ce qui est de la longueur des posts, j’accueille avec plaisir les débutants comme les vétérans et m’adapterai en fonction, si tant est que cet OS trouve OSeur à son pied :-)

Voilà voilà !
Si jamais cette petite trame toute simple vous intéresse, n’hésitez pas à me répondre ici ou par MP. On peut encore l’étoffer un peu comme discuter de tout et de rien de sorte à en faire quelque chose de chouette (houhou).

À très vite o/


Petit plus à propos du Capitaine Mira :
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

5
Le coin du chalant / Re : Beware, she plays for win. [0/2]
« le: mercredi 16 octobre 2024, 00:57:13 »
Une professeure, hein ?

Eh bien... si jamais tu as déjà quelques idées en tête, je me laisserai peut-être tenter, tiens  ::)

6
Prélude / Re : Bad Bitch
« le: lundi 14 octobre 2024, 01:36:44 »
Bienvenue à toi  :D

7
Vu ce qu’il venait de se passer, le vieux Honda était aux anges, tout ravi qu’il était de savoir qu’il allait passer du temps avec une certaine Tenshi, que l’adolescence avait plus que transformée.

La petite nympho de dix-huit ans à peine venait de passer de longues minutes à le soulager d’une merveilleuse façon et l’avait presque laissé sur le carreau. Sous ce pantalon que le vieil homme avait eu tant de mal à remettre, son sexe était encore trempé, tout couvert de bave… et ça se voyait, son bas se marquant d’une grande tache humide, courant jusqu’à l’un de ses genoux.

Heureux de la tournure qu’avaient pris les événements, ce dernier n’arrivait pas à redescendre, un énorme sourire marquant encore son visage d’une oreille à l’autre.

« Qu’est-ce qui te fait sourire comme ça ? », dit le vieux Gou qui émergeait alors de sa longue sieste, se tournant doucement sur le siège passager.

« Oh ! Tu es réveillé, vieux briscard, héhé. C’est rien, c’est rien… je suis content d’être là avec toi et ta petite-fille, c’est tout. Il fait beau, là. Ça fait du bien. »

Se redressant lentement, à son rythme, le grand-père de Tenshi tournait alors la tête à droite, puis à gauche, cherchant à comprendre où le groupe en était de son trajet, alors qu’Honda venait tout juste de se stationner, à quelques mètres d’une pharmacie.

« Où elle est, d’ailleurs, ma princesse ? »

Repensant à ce que sa « princesse » et lui avaient fait une petite heure plus tôt, Honda dut étouffer un petit rire.

« Ta princesse ? Oh, elle voulait que je m’arrête, là, pour acheter des trucs. Des trucs de fille, héhé. Tu sais ? »

« Oh, d’accord. »

« Tu as bien dormi… « papy » ? »

Gou se mettant à bailler aux corneilles, son ami prit ça pour un oui.

« Héhéhéhé, on a vu ça, oui… j’avais perdu mon copilote, héhéhé. Heureusement c’est une brave petite que tu as là… elle est venue me donner un coup de main, héhé. »

Tenshi faisant irruption, de retour de la pharmacie, les deux hommes s’interrompirent. Attendant que Gou regarde ailleurs un moment, tandis qu’ils reprenaient la route, le vieux dégueulasse plia en deux le gros chèque qu’il avait préparé pour Tenshi, avant de le glisser entre ses fesses, dès qu’ils les vit passer.

Avant que son grand-père ne se réveille, Honda avait pu s’amuser encore un peu, alors que la jeune fille s’était assise seins nus juste à côté de lui mais, désormais, il leur fallait être plus discret.

Aussi, quand Tenshi s’exclama après avoir vu les nombreux zéros indiqués sur le chèque, le vieil homme dut lui faire « chut » discrètement, pour n’éveiller aucun soupçon.

« Qu’est-ce qu’elle a dit ? »

« E-elle a vu une biche. Une biche. Tu l’as pas vue ? Elle était juste là, à côté. Heureusement que je roule pas trop vite, hein. Elle a bondi d’un coup. Merci ma chérie… on a failli avoir des ennuis, là. »

Plus tard encore, alors que le groupe s’aventurait toujours plus loin en forêt, traversant désormais des massifs plus montagneux, le vieil homme dut recommencer son manège.

Alors que, dans son rétroviseur, monsieur Honda avait vu Tenshi glisser la petite boîte de pilules dans son décolleté, il sentit son coeur se serrer alors que, sans trop de discrétion, la belle s’approcha pour lui demander, tout bas, s’il voudrait bien jouir dans un bol demain matin pour qu’elle ait un peu de son « lait » pour tremper ses tartines.

Ne pouvant refuser de répondre à pareille invitation, Honda le fit tout bas. Il murmura, et murmura vite moins fort encore, en constatant que derrière Tenshi, Gou, son grand-père, tendait une oreille curieuse.

« Oooh… petite coquine… héhé. Seulement si c’est toi qui viens le chercher… »

« Qu’est-ce qu’elle dit ? »

« Dis-donc, tu deviens sourd, héhé ? Ta petite-fille dit qu’elle a acheté du lait pour le petit-déjeuner, vieux curieux. Comme elle sait que tu aimes pas ça, elle demandait si j’en prenais aussi… c’est tout. »

« Oh. Tu es gentille, ma chérie. Mais moi j’aime pas ça, le lait. »

« Oui, c’est bien ce que je viens de dire, vieux grisou. C’est dommage hein, je voulais vous emmener chez mon frère demain. Dans sa ferme. Là-bas aussi ils ont du bon lait… C’est pas grave, Gou, je t’emmènerai pêcher pendant que les garçons montreront à ta petite chérie comment traire les vaches. On va tous s’amuser. »

Guettant du coin de l’œil comme Tenshi l’aguichait depuis l’arrière du camping-car, Honda se fit nerveux, cherchant un nouvel endroit où s’arrêter au plus vite… maintenant que Gou était réveillé, il lui serait sans doute plus difficile de passer du temps seul avec sa petite-fille, mais quand bien même, il lui fallait essayer. Après leur échange de tout à l’heure, le vieux porc mourait d’envie à l’idée d’enfiler la jeune fille.

Surveillant les panneaux à la recherche d’un coin tranquille, Honda finit par en laisser un capter son attention, signalant une vieille cité médiévale, et de caractère, qui semblait aussi comprendre un parc à thème. Perché à flanc de falaises rocailleuses, l’endroit paraissait -sur le panneau du moins- sublime.

Regardant Gou, puis Tenshi, Honda proposa :

« Vous voulez qu’on aille faire une balade ? »

Gou regardant le soleil déclinant, puis l’heure -il était presque 18h-, il soupira.

« Il se fait tard, Honda. Continuons un peu et trouvons un endroit pour la nuit. C’est qu’on n’est plus tout jeunes, nous, hein ? »

« Oooh… allez. Tu as dormi tout l’après-midi. Marcher te fera le plus grand bien. Et ta petite fille, alors ? Une princesse comme elle… elle mérite son château, tu crois pas ? »

S’imaginant un parc à l’entrée hors de prix, le pauvre Gou craint alors le pire.

« On peut revenir demain si vous voulez. Il est tard maintenant. On n’aura pas le temps d’en profiter à cette heure. Ça ne te dérange pas Tenshi ? »

« Vieux rabat-joie, va. Peut-être qu’ils ont des spectacles de nuit, du son et lumière… on peut tout de même aller regarder, ça ne coûte rien. Puis ils ont peut-être des hôtels thématique aussi, héhéhé… Allez, allons voir. Pour faire plaisir à ta petite fille. Dis-nous tout ma chérie. Tu veux pas que tes deux papys te payent une belle robe de princesse, là ? »

« À quoi bon venir en camping-car si c’est pour dormir à l’hôtel, tu veux bien me dire ? »

« C’est pour nous changer un peu. Puis il n’y a peut-être déjà plus de place hein… je dis juste ça comme ça. On va passer les prochains mois dans cette vieille bicoque roulante, alors… ça nous changera. »

Bien embêté tandis que le vieux Honda avait pris la sortie en direction de la cité médiévale, Gou lâcha un nouveau soupir, signe qu’il avait déjà plus ou moins abandonnée la lutte.

« Bien, bien… si ça peut vous faire plaisir. On va aller voir si c’est toujours ouvert. Tenshi, c’est toi qui décides. Tu veux aller voir le parc et faire les boutiques, un peu ? Après tout, c’est ton premier jour avec nous. Ça se fête… »

Lentement mais sûrement, le camping-car prenait déjà la direction de la cité et de son parc, fléchés à quelques kilomètres plus loin.

8
Pour un vieil homme qui n’avait eu d’occasion de montrer le loup à une jeunette depuis longtemps, le vieux Honda se débrouillait encore pas trop mal, fallait-il croire !
Quand bien même Tenshi devait se retenir, de peur de réveiller son grand-père, la belle petite chatte ronronnait fort quand Papy s’occupait d’elle du bout de ses gros doigts. Elle semblait prendre du plaisir et ça, c’était quand même pas rien, pour un vieux hibou comme lui.

C’est qu’elle lui plaisait bien, en plus d’être terriblement canon, à lui balancer toutes ces insanités comme s’il s’agissait de mots doux. Qu’elle lui dise qu’elle n’avait jamais connu d’homme noir… ça, ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd.

La jeune fille l’aidant à se relever, il se décolla vite du lit, un sourire jusqu’aux oreilles.

« Hihihihihi… bien, bien. C’est bien, ça. Tu es une brave fille, ma jolie poupée. Si c’est des gros kikis noirs que tu veux, Papy y va t’en donner. Il va vendre tes grosses fesses là. Je vais t’emmener faire un petit tour de la région, tu m’en diras des nouvelles. Je vais t’amener chez les sauvages, moi… tu vas écarter tes belles jambes là, te mettre à quatre pattes. Et ils vont te baiser chacun leur tour. Comme une belle jument. héhéhé. À cent… peut-être mille, héhéhéhé. Si c’est ce que tu veux, je peux te présenter du beau monde, hé… »

Lâchant de telles obscénités sur le ton de la plaisanterie là encore, l’idée germa quand même un peu dans la tête du vieux pervers, que tout cela amusait sans doute un peu trop.

Laissant la jeune femme l’emmener avec elle jusque dans la minuscule cabine de douche, silencieusement, ce bon vieux monsieur Honda continua de se laisser faire, toujours attentif à ses moindres désirs. Continuant de caresser son petit sexe, il n’en oubliait pas d’autres attentions, comme l’embrasser dans le dos ou dans le cou, en pinçant deux fois ses belles fesses de sa grosse main libre.

Tenshi prenant vite place, dos à lui, l’homme se mit également à son aise, la laissant soulever à deux mains son gros bâton très lourd pour continuer de l’astiquer entre ses cuisses.

« Mmmmh… si tu te penches comme ça, c’est un peu comme si je baisais ton gros cul hein ? Héhéhé… »

Se mettant à la taquiner du bassin, le pervers de mit à balancer le popotin d’avant en arrière, mimant des va-et-vient qui firent vite rougir le cul de la rouquine.
À sa demande, il enfonça de nouveau ses gros doigts entre ses fesses, lui en mettant bel et bien trois d’un coup, sans plus la préparer, histoire qu’elle les sentent bien.

« Héhéhé… tu vas jouir aussi, hein ? Coquine… Tiens. »

Agrippant son cul d’une main ferme et féroce, il se mit à la culbuter de l’autre sans plus attendre, s’enfonçant en elle vite et bien, sans plus chercher à la ménager.

La belle étant déjà au bord de l’extase, son effort ne fut que de courte durée, avant qu’elle n’explose tout contre lui, retenant au mieux ses couinements. Se tordant dans tous les sens sous l’effet du plaisir, la jeunette se contractait, se lovant contre son gros ventre avant d’aller l’embrasser à pleine bouche.

Pour la peine, le beau mâle la lâcha pour la serrer tout contre son corps, empoignant ses gros nichons, les décollant de la vitre de la cabine pour l’occasion.

Imposant davantage dans sa bouche cette grosse langue baveuse qu’elle était venue chercher de son plein gré, le gros noir ne lui laissa pas le moindre répit, malgré son orgasme récent.

« Mmmlllmmmhmlmmm… tu as aimé, hein ? J’ai très très hâte aussi, moi. Tu le mérites hein… petite traînée, héhéhéhé. »

Voyant comme Tenshi se laissait glisser contre son corps, échappant lentement à son étreinte, l’ancêtre lâcha ses gros seins pour la laisser se tourner, se mettre à genoux, à hauteur de son prodigieux chibre.

Soulevant de ses deux mains l’épaisse bûche toute molle, qui n’avait de cesse de rebondir un coup à droite, un coup à gauche, la jeune femme la reprenait aussitôt en bouche, la couvrant de plus de traces de son rouge à lèvres… de sa salive…

Baissant les yeux pour la regarder, leurs deux regards accrochèrent l’un et l’autre intensément, tandis qu’elle lui bouffait le gland. Tendrement, le vieux Honda lui caressa la tête, passant ses doigts entre ses beaux et longs cheveux roux. La bouche légèrement entrouverte, le vieillard laissait échapper quelques petites soupirs… il était près de la fin. Il ne le hurlait pas, certes… mais il le sentait bien.

« Mmmmh… ou-ouiii… c’est ça. Mmmh… ouh, ça c’est la bonne fille à son Papy, hein ? Dis-le à Papy, tu as aimé le gros zizi de Papy Honda, hein ? Tiens… tends-moi donc ta joue, là. Je vais te la donner, ta crème solaire, là. Tu lui as fait beaucoup plaisir… c’est l’heure du dessert maintenant. »

Rentrant les fesses pour reculer d’un petit pas, le vieil homme se saisit de son sexe à l’aide de ses deux grosses paluches, l’extirpant de la bouche de Tenshi dans un soupir.

S’astiquant lentement d’une main, serrée contre sa base, Honda se servait de l’autre pour secouer son engin, tapotant la joue de Tenshi avec.

« ooooh… ooooooooooh… ouuh, ferme les yeux, mon trésor. Papy va te jouir sur ton beau visage. »

Attendant que la jeunette s’exécute, le vieillard entama quelques rotations de poignets censées l’achever. Son poitrail gonflait, gonflait et gonflait encore à mesure qu’il retenait son souffle… sur le point d’exploser.

« Mmmmmmmh. MMmmooh oui… ouiiiii. »

Et sans crier gare, alors que le bout de son gland était dirigé tout droit vers l’œil de la jeunette, son urètre gonfla… s’entrouvrit… pour libérer un premier jet de foutre. Long, épais… semblant intarissable, celui-ci vint frapper de plein fouet le visage de Tenshi tel une fontaine, la crépissant de blanc.

S’activant encore, se masturbant plus vite, plus vivement pour que sorte la suite, Honda se vidait les poumons, soufflant un grand coup. Un autre jet de même ampleur survint presque aussitôt après le premier… et puis encore un autre. Un autre…

Au bout d’une dizaine de jets de sperme, tous semblables à un torrent, ne restait plus rien à voir du visage de la belle Tenshi qui, même sous l’eau de douche, était méconnaissable, couverte de crème épaisse et chaude des cheveux au menton… et jusque dans les oreilles.

Lorsque la pauvre pensa le raz-de-marée passé, un énième jet vint même gicler dans ses yeux qu’elle venait tout juste de rouvrir…

Monsieur Honda ricana doucement, tout en reprenant son souffle.

« Haaa… héhéhéhé… pardon, pardon. Ooouuuh, c’était bon ça… ouuuuh, ça faisait longtemps. Trèèèès longtemps. Héhéhéhé, brave fille, hein. Je vais aller me rhabiller et retourner conduire un peu pendant que tu te débarbouilles un peu, d’accord ? Je vais faire attention à pas réveiller ton Papy. »

Ouvrant la porte de la cabine dans son dos, le vieillard reculait lourdement, légèrement chancelant comme s’il venait de se décharger d’un coup d’une dizaine de ses kilos.
Retournant enfiler son pantalon dans la chambre, il renfilait son t-shirt sur le chemin vers l’avant du camping-car, ne s’arrêtant qu’un bref instant pour jeter un regard vers Tenshi, nue et couverte de son sperme sous la douche.

« À tout à l’heure ma belle. Je vais aller regarder où est la pharmacie la plus proche, héhéhé. »

Lui envoyant un baiser à distance, le vieil homme retourna vers le volant, ricanant joyeusement en constatant comme son vieux copain Gou dormait toujours comme une souche. L’autre vieillard ronflait si fort que même si Honda avait enculé sa petite-fille à sec, celui-ci n’aurait rien entendu.

Remettant les clés sur le contact et le pied au plancher, le vieux chauffeur pervers quitta le parking, reprenant la route vers de nouvelles aventures…

Bien heureusement pour ses affaires, il ne leur fallut qu’une petite heure pour rejoindre un petit bourg minuscule, comptant évidemment une petite pharmacie, dans laquelle Tenshi trouverait sans aucun doute tout ce dont elle avait besoin.

Préparant un gros chèque à son intention, à plusieurs zéros, Honda attendait que la jeunette lui passe devant pour le lui remettre.

9
Bien cramponné à ses fesses, pétrissant en grande pompe ces deux énormes miches toutes blanches, deux voire trois fois plus larges que sa tête, le vieux monsieur Honda broutait le joli petit minou de Tenshi sans chercher à retenir le moindre de ses coups de langue. Comme absorbé par le plus beau des rêves, le pervers fondait sur elle comme une pieuvre dont les ventouses viendraient tout aspirer.

L’ancêtre léchait, pourléchait à s’en mettre partout, s’éclaboussant le visage de mouille comme de bave, ne laissant pas une miette de ce succulent repas.

Léchouillant de part en part, il triturait en détail son délicieux abricot, jouant parfois de caresses buccales plus qu’insistantes contre son clitoris gonflé de désir. Le pauvre vieux, dont le coeur s’emballait comme jamais il ne s’était emballé, restait toutefois tout sourire. Ce depuis qu’il avait pu poser ses grosses mains sur ce cul. Le plus gros, le plus beau qu’il ait vu.

« Mmmh… slurp. Ton petit sexe est tout prêt pour un gros zizi tout dur là, oui. »

Puisque la jeunette avait mentionné l’idée qu’il puisse se vanter de faire jouir pareille bonnasse, Honda s’en donnait à cœur joie, ne retenant rien de ces envies qui avaient chatouillé son bas-ventre des décennies durant, mais qui fort malheureusement, étaient restées inassouvies.

D’autant plus que sous son gros ventre, là où Tenshi laissait ses deux nibards bien lourds reposer, la jeunette lui réservait un traitement plus que royal. Faisant totalement fi de sa vieille carcasse ventripotente, la petite reine lapait langoureusement son gros gland, le savourant tel une friandise.

Pour son jeune âge, quel jeu de langue ! C’est qu’elle en avait sous le capot, la petite. Sous son très gros capot, même, osa penser le vieux vicelard en gémissant.

Et puis encore… c’est que le vieux dodu n’était pas au bout de ses surprises ! Alors que la petite le chatouillait déjà, en faisant rouler ses deux énormes couilles pleines entre ses petits doigts tout fins, le vieil homme se sentit soudain comme aspiré, son énorme machin s’enduisant peu à peu de toujours plus de bave.

Monsieur Honda le sentait bien, Tenshi remuait la tête dans un sens, puis dans un autre, pour essayer d’engouffrer dans sa bouche son si long sexe noir. Tout mou, le bel objet peinait à entrer. Ce devait être comme tenter d’avaler un serpent, tant la chose se pliait d’un côté, puis d’un autre encore, pour lui échapper.

La tête enfoncée dans l’oreiller, il s’agrippa plus fort que jamais à son gros popotin, sentant bien que, à force d’efforts, la belle parvenait déjà à enfiler son gros bout dans sa gorge. Molle, la belle queue d’Honda devait bien faire dans les quarante centimètres et pourtant, à grands coups de « glrg », de « glarg », de « sluuurp » ou encore de « gulps »… la petite salope l’avalait tout cru.

Se crispant, l’homme se tourna vers l’avant du camping-car, s’assurant que le vieux Gou dormait encore. Le pauvre serrait les dents, mourrait d’envie d’hurler son plaisir alors que la jeunette, de dix-huit ans à peine, lui faisait reluire tout le mandrin, de la pointe jusqu’à la base. Tentant de calmer son souffle, il essayait de se faire le moins bruyant possible.

« Oh… oh… ooooh… oh, ma p’tite chérie. »

Incapable de continuer à la brouter alors qu’elle le mettait dans tous ses états, le gros vicelard se laissa faire, laissa Tenshi prendre sa main… se saisir de deux de ses doigts. La laissant forcer sans dire mot, ne faisant plus que gémir faiblement, il la laissa se les enfoncer dans le fion en se régalant bien du spectacle.

Vu la taille de ses gros doigts, ce devait être comme si deux beaux pénis noirs, pas trop gros non plus, certes, s’étaient soudain collés l’un contre l’autre pour la sodomiser à sec. Son cul n’était absolument pas préparé à un tel traitement, mais cela ne fit qu’exciter encore plus le vieux Honda, qui pensait alors au nombre d’hommes qu’elle pourrait bien prendre en elle en même temps. Bien sûr, ces deux doigts n’avaient rien de comparables en taille à son gros sexe qui, seul, pourrait occasionner bien des dégâts, toutefois il fallait bien reconnaître que ses efforts étaient plus que louables.

Maintenant qu’il avait pris cette chouette place entre ses grosses fesses, le gros homme noir se mit à bouger, lui assénant de longs et lents va-et-vient. Il ne tarda pas non plus à approcher son autre main, insérant un seul tout petit doigt dans sa chatte, afin de faire de même, en canon…

Ce petit jeu le calma un peu, lui permit de reprendre son souffle, quand bien même il se sentait encore avalé tout cru dans la belle petite bouche de sa formidable partenaire.

« Ouuuh… ça te fait du bien ça, hein ? Tu veux ça ? »

Se redressant pour couvrir son fessier de baisers, il n’arrêta pas de bouger un seul instant, guettant les réactions de la demoiselle qui, si elle ne se retenait pas un peu, pourrait bien finir par se mettre à hurler.

« Oulalah oui, hein ? Tu aimes ça… Oooouh… tu sais, mon petit frère a des petits-enfants aussi. Du même âge que toi ou un peu plus… dix ou douze je crois. Ils ont une petite ferme un petit peu plus au Sud. Si tu es gentille comme ça… je pourrais t’emmener les voir, hein. Ils n’ont jamais connu de fille ces gars-là, non non non… oh, je crois qu’ils seraient contents si Papy leur payait une petite prostituée comme toi. Tous ces grands gars noirs bien bâtis… ah je te paierai cher, hein… »

Écartant les jambes plus largement à mesure qu’il se sentait fébrile, le plaisir montant bien vite dans son très gros boudin, pompé si goulûment, le vieil homme dut prendre une nouvelle pause avant de reprendre. C’est qu’il n’avait pas fait de cochonneries comme ça depuis longtemps !

« Oouuh… oulalalala… ouuuuh oui. Mmmmh. Allons-nous mettre sous la douche tous les deux… sinon je vais tout te salir tout partout. Tu vas me faire gicler très très fort, hein ? Viens te coller à moi dans la cabine, que Papy te fasse un gros bisou, pendant que tu finis de lui caresser le serpent. D’accord ? Après ça, Papy t’emmènera à la pharmacie et… on se rapprochera de la ferme pour y aller demain si tu veux. Chut… il ne faudrait pas qu’on réveille ton grand-père hein ? Héhéhéhé… »

10
Veuf depuis plus d’une quarantaine d’années déjà, le vieux monsieur Honda s’était senti bien seul et ce, durant presque toute la moitié de sa longue vie. Sa femme et lui n’ayant point eu de descendance, le vieil homme n’avait ainsi personne à qui léguer la maigre fortune qu’il avait amassée tout au long de son existence.

Ainsi, s’il avait évoqué, plus ou moins sur le ton de la plaisanterie, l’idée d’acheter les faveurs de la jolie Tenshi, une part de vérité, comme de sincérité, résidait tout de même dans sa démarche.

Elle était jeune, belle à croquer… et ne voyait visiblement aucun inconvénient à s’occuper d’un vieillard comme lui, anormalement membré alors… cette idée, d’en faire sa gentille petite pute, continua de faire son chemin, peu à peu, dans sa vieille caboche.

Se déhanchant comme une belle diablesse, la sulfureuse rouquine avait attrapé son gros pénis pour le lui reposer sur le ventre, s’assurant ainsi d’y avoir un accès plus que privilégié. Le vieil homme soupira de bonheur en la sentant l’attraper ainsi, se délectant de voir comme, même avec ses deux petites mains toutes douces, elle ne pouvait entièrement l’empoigner.

Contre sa belle fente humide, lisse et chaude, parfaitement épilée, il sentit son gros bout se décalotter de lui-même, poussant les plis et replis de cette toute petite chatte… Son gros gland parvenant presque à entrer en elle. Chose qu’il ne parvint à faire, puisque sans dureté, sans force, lui restait bien impossible de faire pénétrer en elle une chose si énorme, plus grosse qu’un poing.

L’homme d’âge mur étouffa ses soupirs dans les gros seins de la donzelle, les lui bouffant comme il en rêvait. S’excitant de l’entendre gémir et de lui entendre lui dire qu’elle aimait ça.

« Mmmmh… hohoho… tu aimes bien, ça, toi aussi, hein ? Tu aimerais bien que Papy te fasse les fesses avec ce gros zizi, n’est-ce pas ? Héhéhé. C’est ça ma chérie, bouge bien…. »

L’attrapant par les hanches pour la guider, l’aidant à onduler si fiévreusement contre son sexe, Honda souriait, rêvait…

« Obèse ? Héhéhé… comment tu parles à ton Papy toi, hé ? Vilaine, va. Tu veux que je te donne du plaisir, hein ? Papy va te faire du bien, oui. Oui oui oui. »

N’ayant pas la moindre idée de ce que la jeunette avait en tête, nul besoin de dire que le grand-père ne fut pas déçu du voyage lorsqu’il sentit la jeune femme changer de position, se tourner, pour lui coller son popotin presque en plein visage. Le vieux vicelard eut alors l’occasion de la toucher tout partout, de caresser ses loches, ses gambettes comme ses hanches… et cela lui plut beaucoup.

Frottant bien son gros pétard, il fit glisser ses doigts boudinés, presque aussi gros que des pénis de taille moyenne, tout le long de sa sublime raie.

« Oulala c’est beau… c’est beau ça oui. Tu as des grosses fesses, hein ? J’adore ça moi… ton gros popotin. »

À ceci, le vieux Honda lui donna quelques petites tapes sur les fesses, avec amusement. Le vieil homme jouait était comme un môme devant pareil spectacle.

Quand d’un coup, il eût tout chaud.
Se penchant sur le côté pour voir ce qu’il pouvait bien se passer là en bas, le vieillard vit Tenshi gober son gros gland noir, finissant de le décalotter avec brio pour aspirer son gros bout.

« Ooooouuuuuuh… ouuuh oui. Oh, tu as une grande bouche aussi, hein ? Ma femme savait pas faire comme ça, hein. Tu aimes ça ? Mmmh… tu lèches bien hein. Toi tu veux la bonne crème de ton Papy, ça se voit. »

Ne prêtant pas tout de suite attention au téléphone que la jeunette venait de jeter près de lui, ne sachant pas trop se servir d’un tel appareil, Honda laissa sa tête retomber sur l’oreiller un instant, profitant de ce qui semblait être sa toute première fellation. Après tout, il était tellement bien membré que jusque-là en effet, pas une femme n’avait su le prendre ainsi dans sa bouche.

« Mmmmh… lèches bien. Tu aimes ça hein, mon gros zizi tout noir ? Mange-le. Mange-le bien. »

Attrapant les deux grosses miches de la jeune femme, Honda se redressa, y enfonçant sa tête sans crier gare. Sans aucune autre forme de procès, le vieil homme se mit à la brouter.

« Mmmmh… Papy va te faire un gros chèque. Je vais nous arrêter en ville pour que tu ailles m’acheter des petites pilules, héhé… tout le reste sera à toi. Si tu me dis que tu veux que Papy te paye pour faire l’amour à Papy Honda, que tu veux bien faire comme les putes, alors Papy te paiera tout, hein. Héhéhéhé. »

11
Allongé confortablement, bien à son aise, le vieillard levait les yeux en direction de la jeunette, nue, et à genoux juste à côté de lui. Ne pouvant contenir l’élan de malice et d’envie qu’il sentait monter en lui avec rage, à la vue de cette petite dévergondée, il se remit à ricaner tout bas.

Posant ses gros doigts sur la boucle de sa ceinture, il s’en défit vite, avant de se mettre à tirer doucement son pantalon vers le bas.
Tenshi ne s’attendait peut-être pas à ce que le vieil homme se déleste ainsi de ses tout derniers vêtements mais, quand bien même, c’est ce qu’il fit, trop alléché par l’idée de l’entendre commenter son gros pénis noir, qu’il savait gigantesque, démesuré.

« Il fait chaud là aussi, héhé… excuse-moi, je vais faire comme toi et me mettre tout nu dans le lit. Comme ça je sentirais tout bien, quand je vais te toucher. »

Remuant les fesses, se débattant un peu, Honda continua, avec difficulté, de baisser son pantalon tout contre ses cuisses.
Lentement, très lentement, commençait à apparaître là, entre ses grosses cuisses, les contours bien larges de son énorme bûche foncée, plus large encore que ne l’était son avant-bras.

« Tu voulais voir un gros zizi, hein ? »

Riant à pleines dents, le vieil homme redoubla d’effort pour tirer encore un peu sur le tissu de son pantalon, jusqu’à ce qu’en soit enfin extirpée jusqu’au bout, sa colossale colonne de chair noire. La… « chose » était telle, si longue, qu’elle pendait dans le vide, au bord du lit. Trop grosse, trop longue… celle-ci relevait toutefois du bel objet. Couverte d’un prépuce épais, elle était d’un noir profond mais était belle, si lisse… couverte de belles grosses veines qui, bien malheureusement, n’avaient su gonfler depuis bien des années. C’était en effet un pénis que tous et toutes auraient qualifié de trop gros, mais au moins… ç’en était un très beau.

Très attentif aux réactions de la jeunette, le vieux Honda sourit en entendant ce petite gémissement qu’elle lâcha, à la seule vue de son organe.

« Oh… je crois qu’il te plaît. »

Posant une de ses grosses mains sous son membre, il se mit à le faire sautiller, comme s’il se préparait à une érection… qui ne viendrait jamais, ou comme s’il cherchait à attirer l’attention de la jeune femme dessus.

« Alors, que disent les rumeurs maintenant, héhé ? Tu aimes ça quand c’est gros, hein ? Petite cochonne, va. »

La formidable bombe sexuelle qui l’accompagnait sur ce matelas ne se faisant pas attendre pour l’enjamber et pour se positionner au-dessus de lui, Honda lui glissa un sourire très satisfait. Le vieillard impuissant était aux anges. Ou presque, puisqu’à cet instant, il aurait rêvé pouvoir l’enfiler sauvagement.

Tenshi avait cependant de la suite dans les idées et, quand bien même Honda ne pouvait pas bander, il ne lui fallut que quelques secondes pour sentir sa chatte, si petite en comparaison, se glisser tout contre son gros serpent. Satisfait, il lâcha un petit sourire, signalant comme il était content de lui, mais remarqua également, et cela lui plut plus encore, que tout contre sa bite, la minuscule chatte de Tenshi était humide.

« Mmmmh… tout ce que je veux, hein ? Oh si, tu es une fille sage… une fille très très très sage, même. Viens là. »

Chevauché par cette véritable déesse de beauté comme de jeunesse, le vieil obèse arrêta les simagrées. Lâchant sa belle grosse queue, il prit les seins de Tenshi entre ses doigts, se mit à les masser, à les pétrir, à les malaxer tendrement… quand bien même il ne s’était pas encore servi en crème solaire. Sur l’instant, cela ne lui avait pas paru important.

Alors que la belle se mit à se déhancher fiévreusement, Honda se laissa guider, comme par une amante sur le point de le dévorer. Récupérant la crème solaire quand elle la lui tendit, il s’en saisit, mais ne s’en servit pas tout de suite. À cela, le vieil homme préféra se laisser faire. Curieux de voir où tout ça les amènerait et préférant profiter de l’instant, préférant le faire durer, il laissa la rouquine retirer sa main de son bel obus et la poser, en échange, sur son gros cul dodu… mais si ferme. Ooh, de ça il en rêvait.

« Oooh… c’est tout ce que je veux, ça, héhéhé. Pétrir ce gros cul, là. »

Pour conclure sa phrase, le vieux Honda donna alors à Tenshi la fessée.

« Baiser ton gros cul tout nu, là. Ça ça te donnerait du plaisir, hein ? »

Lâchant la crème solaire, sa seconde main vint vite rejoindre la première, attrapant sa deuxième fesse avec tout autant de vigueur. Sans plus discontinuer à partir de cet instant, il les malaxa joyeusement.

« Ah si je pouvais le faire… je paierai pour te baiser, hein. C’est sûr. Héhéhéhé. Excuse-moi, je m’emporte. J’en ai presque oublié la crème, héhéhé… mais tu me rends tout fou, là, avec ta petite chatte toute mouillée. Tu es toute jeune et toute belle… Tu dois vraiment aimer les gros zizis pour faire des cochonneries comme ça avec un vieux machin comme moi… »

La jeune femme se penchant alors plus encore, faisant pendre ses nibards à quelques centimètres à peine de la bouche du vieux dégueulasse, celui-ci continua, répondant aussitôt à la question qui lui fut posée, quand bien même il la trouva étrange.

« Ça oui, héhéhé. Je bande mou, je suis pas insensible. Je sens bien comme tu te frottes là… c’est bien pour ça que j’aimerai te donner mon argent, hahaha. Si par miracle je pouvais rentrer dedans et vider mes vieilles noix pleines… ce serait sûrement le paradis ! »

En effet, vu comme ses bourses étaient grosses, le vieil homme devait être plein… et n’avait sans doute pas connu de vidange depuis longtemps.

Les nichons de Tenshi s’approchant encore de son visage, le vieux porc ne put plus s’y soustraire. Dressant à peine la tête, il happa vivement, la bouche grande ouverte, l’un des larges mamelons de la belle, l’aspirant bruyamment, le suçotant… le mordillant avec envie, avec passion.

Lâchant enfin son cul, l’homme s’en prit de nouveaux aux gigantesques loches de la jeune fille, les pétrissant chacune, les embrassant, les léchant tour à tour, sans plus s’intéresser à la crème solaire.

« Mmmh… mwaah… ça aussi, je veux. Que tu donnes le sein à ton vieux Papy, comme ça… la crème solaire c’était rien. C’que tu voulais, quand tu as retiré ton petit string là… c’était ça, hein ? Que je m’occupe de tes gros nichons bien lourds… »

12
Plus qu’impudique, Monsieur Honda découvrait alors que la belle et jeune Tenshi était même carrément dévergondée. Ce, pour son plus grand plaisir.

Il rit à gorge déployée en entendant la jeunette, de soixante-douze ans sa cadette, parler de son gros engin en des termes si directs. Aussi inattendue soit-elle, cette réponse avait le mérite d’être franche et cela l’amusait beaucoup.

« Oulala ! Toi tu es une bonne fille, hein ? Ah, c’est pour ça que j’ai toujours rêvé d’épouser une belle femme blanche comme toi, avec de gros nénés. Vous aimez ça les gros zizis tout noirs, hein ? Coquine. »

Souriant très largement, le vieil homme bifurquait, déjà impatient de se garer sur l’aire de repos, bondée de touristes de tous horizons.

« Tu aimerais savoir si les rumeurs sont vraies, hein ? Héhé. Je vais m’arrêter là, ici. Je peux te donner mon zizi si tu veux, hein. Si tu veux le toucher pour voir comment on est outillés, nous. Hahahaha… je plaisante, je plaisante. Mais c’est flatteur que tu m’envisages comme… partenaire, hahaha. Si seulement. »

Le véhicule à l’arrêt, au beau milieu d’un nouveau parking en lisière de forêt, Honda observa Tenshi, qui se penchait bien bas, récupérant le tube de crème solaire discrètement, aux yeux et à la barbe de son grand-père qui dormait à côté.

Les yeux rivés sur ses énormes fesses, tout sourire encore, le vieil homme dut se faire violence pour ne pas lui donner la fessée.

« Des belles grosses fesses comme ça… de mon temps, je t’aurais sodomisée très fort pour t’apprendre les bonnes manières. Avec ma grosse bite, là, comme tu dis… c’est pas des manières de parler à ses aînés, ça. »

Ricanant de nouveau, pour lui montrait qu’il blaguait là encore, le vieil homme se releva pourtant, plus que surpris, quand la jeune fille se saisit de sa main pour l’attirer jusqu’au fond du camping-car, à quelques mètres de là.

Se laissant faire, il la regarda se défaire de sa chemise, estomaqué, puis de son string, qu’elle laissa tomber au beau milieu du petit couloir les séparant de la chambre.

Monsieur Honda siffla doucement.

« Mets-toi toute nue, oui… Tu emmènes Papy dans ton lit, hein ? Attention, hein. Ce n’est pas comme ça que se comportent les filles sages… nan nan nan. »

S’arrêtant debout face au petit lit trônant au fond de la pièce, Honda se mordilla les lèvres, impressionné par le caractère bien trempé de la jeune fille. Décrivant du regard les contours de ses larges hanches, de ses jolis mamelons roses, puis l’intérieur de ses cuisses, il sentit comme cette vue lui ouvrait l’appétit. Un appétit… qu’il n’avait pas connu depuis des lustres.

Doucement, et de façon quelque peu hésitante, Honda tendit une main. Déglutissant bruyamment, voilà que le vieil homme appréhendait le contact avec pareille merveille.

Sa grosse paluche noire se posant sous l’un des seins de Tenshi, il se mit à le soupeser, évaluant son poids, sans pouvoir l’agripper pleinement tant il était gros.

« O-oh… c’est parfait. C’est bon, ça. J’ai jamais vu des lolos comme ça, moi. »

Se ravisant, replaçant son bras le long du corps, il s’avança d’un pas et s’assit au bord du lit, juste à côté de la plantureuse rousse.
Attrapant les plis de son très large t-shirt, le vieil homme dût se débattre un instant avant de réussir à s’en défaire, découvrant son large ventre noir, couvert ça et là de son épaisse toison blanche, comme l’étaient ses cheveux.

« Aaah… voilà. Voilà. Pardon j’avais chaud un peu, moi aussi. Si je m’allonge là, comme ça, est-ce que tu voudras bien te mettre au-dessus, à quatre pattes pour que je te les masse ? Ce sera plus facile pour moi comme ça, tu comprends ? »

Se laissant doucement tomber en arrière, Honda prit un oreiller, qu’il plaça derrière sa tête, et s’allongea, les pieds toujours hors du lit, posés au sol.

« J’en ai de la chance, hé… une belle fille comme toi. Mmmmh, on a envie de te croquer, là. Donne-moi la crème chérie, si tu veux que je t’en mette sur tes beaux nénés. »

13
Voilà une petite qui n’a pas froid aux yeux, pensa le vieux Honda lorsqu’il aperçut la petite-fille de son ami Gou, qui sortait nue de sa toute petite salle de bain.

Le pauvre vieux faillit même faire une embardée, trop occupé qu’il était à se rincer l’œil depuis son rétroviseur. Honda avait aperçu le gros cul de Tenshi et, ça, ça lui avait fait quelque chose… quel choc ! Son coeur en avait fait des bonds.

Comprenant à sa façon de se comporter que la jeune fille n’était ni timide ni pudique, le vieil obèse ne s’empêcha pas de lui adresser un grand sourire, affichant bien largement ses très belles dents blanches.

« Ah ça tu es belle, hein… ah oui oui oui. Comme tu es jolie… »

Puisqu’elle avait accepté de venir s’essayer au volant, il lui fit signe d’approcher avec sa main.

« Allez viens. »

Devant tout de même se concentrer sur la route, Honda ne se tourna pas pour l’admirer, mais devina, à ce qu’il voyait du coin de l’œil, que Tenshi lui était revenue très peu vêtue.

Lui tendant une main pour l’aider et s’adossant au mieux dans son siège pour lui faire de la place, le vieux vicelard guida la jeune femme pour qu’elle vienne s’asseoir à son aise, avant qu’il ne lui refile les rênes de son bolide.

Le vieil homme gardait bien les pieds sur les pédales, mais la laissa faire, confiant, lorsqu’il se dessaisît du volant. Baissant les yeux, il observa l’énorme croupe qui, doucement, lui tombait dessus, se positionnant de sorte à ce que son gros engin vienne prendre sa place entre ces deux fesses dodues et presque nues.
Tenshi lui paraissait lourde… mais sacrément confortable.

« Oh… tu es bien assise là, hein ? Oui ? Mets-toi bien à l’aise. Oh lala, tu as de belles fesses, hein ? Moelleuses et tout et tout… »

Ne pouvant pas non plus rester là à rien faire, puisqu’il était encore en charge des pédales, comme du passage de vitesse, Honda dut vite retourner se concentrer sur la route.

La route étant particulièrement mauvaise dans cette partie des bois, le vieil homme ne put finalement faire autrement que sourire, et profiter, en sentant ces grosses fesses dodues rebondir sur son braquemart tout mou.

« Tu te débrouilles bien, hein ? Comme une cheffe. Tu as du talent avec les gros engins. Je suis fier de toi.

Puis vint une bosse. Sur la route malheureusement.
Malheureusement, quoi que…
Déjà peu maintenus par cette chemise fine qu’elle portait, voilà que les deux énormes nibards de Tenshi en sortaient soudain pour se faire la malle au dehors. Quand bien même Honda ne la voyait que de dos, il les vit très bien, pendre et balancer sur les côtés, puis de sa hauteur également, puisque le vieil homme était aussi plutôt grand.

Incapable de résister, d’en rester à la route, le vieil homme se tourna vers le vieux Gou pour s’assurer qu’il dormait encore, et bien profondément, puis en revint à ces gigantesques lolos qui ballotaient dans tous les sens, au gré des nombreux nids-de-poule qui pullulaient sur cette vieille route en mauvais état.

« Oulala… c’est beau ça, hein. Tu as de beaux seins. J’aime bien, ça. Ça oui. Une belle femme blanche comme toi, oulala… Ton papy a raison, les hommes doivent beaucoup aimer te courir après. »

Malicieux, Honda se mit à la faire sautiller doucement sur ses genoux, lui assénant de petits coups de bassins, rendus imperceptibles puisque la route les faisaient déjà sautiller tous les deux.

« Si j’étais plus jeune ah… ça oui. »

Regardant ces gigantesques seins balancer, il se racla la gorge un court moment, se disant qu’il valait mieux clarifier les choses plutôt que trop en dire. Tenshi n’était pas pudique, mais il ne faudrait pas qu’Honda fasse quelque chose qui serait aller trop loin. Pour un vieil homme comme lui, voir pareilles fesses toucher son engin était déjà une aubaine, il ne faudrait pas qu’il offusque ou vexe la jeune femme en faisant une bourde.

« Ça ne te gêne pas si Papy regarde tes lolos, hein ? J’en ai pas vus depuis longtemps alors… et des comme ça, en plus ? Jamais ! Si j’étais plus jeune, je t’aurais volontiers donné mon zizi, hein. Si tu vois ce que je veux dire. »

Posant ses mains sur le volant lui aussi, pour éviter de poser ailleurs ses deux mains libres, un poil trop baladeuses, Honda s’approcha doucement de celles de la jeune fille.

« Si seulement j’avais vingt ans de moins… héhéhé. Par une chaleur pareille… j’aurais déjà baissé mon pantalon, hihihi. À l’air libre, zou ! »

Comprenant qu’il ricanait un peu trop fort, le vieillard se calma rapidement quand il vit Gou bouger. Heureusement pour lui, se dit-il, son ami, qui dormait encore à poings fermés, s’était seulement retourné.

« Tu dois avoir la peau douce, hein ? Est-ce que tu veux enlever ta chemise comme tout à l’heure et laisser Papy Honda te masser les épaules un peu, pendant que tu conduis ? Laisser Papy te toucher… Il va falloir penser à te mettre de la crème hein ? Le soleil tape fort cet été. Si tu restes comme ça, tu vas attraper des coups de soleil tout partout. »

Doucement, peu à peu, Honda avait fini par poser ses mains sur celles de Tenshi.

Observant le bas côté de la route, il laissa un panneau signalant une aire de repos, prévue pour les voyageurs effectuant de grands trajets, capter son attention.

« Ça fait déjà trois heures que je conduis. On peut s’arrêter là d’ici une petite demi-heure pour faire une pause. Regarde dans la boîte à gants, devant ton grand-père. Il doit y avoir un tube de crème solaire et… je ne sais plus trop quoi d’autre. »

14
Flattée par les doux mots de son grand-père, Tenshi fit un petit tour sur elle-même, offrant aux vieillards une sacrée vue sur ses courbes qu’aucun des deux n’était prêt d’oublier.

Il fallait dire qu’aussi gentilles fussent ses paroles, celles-ci n’étaient certainement pas que flatteries. Tenshi s’était tellement développée, depuis la dernière fois que son grand-père l’avait vue, que la jeunette avait désormais tout de la bombe sexuelle. Elle qui, jadis, était plate comme une limande, était désormais munie des plus grosses loches que les deux vieux avaient vues. Avec un décolleté tel que celui que lui faisait sa petite chemisette, il ne fallait pas être expert pour deviner comme ses seins étaient gros, plus gros encore que deux pastèques bien mûres.

Il y avait de quoi se régaler les yeux rien qu’en ne s’attardant que sur cette partie de son corps…

Et si l’on regardait plus bas, que dire alors de ses grandes et longues jambes, flanquées sous pareille petite jupette ?

Regardant par-dessus l’épaule du grand-père de la jeune femme, Honda, comme son ami, n’en manquait pas une miette.

« Mais pas du tout voyons… regarde-toi. Oh, tu dois en faire chavirer, des cœurs… hein ? C’est sûr. »

Ne la quittant pas des yeux alors qu’elle se dressait sur la pointe des pieds pour ranger ses affaires dans l’un des placards en hauteur, Gou continua, d’une voix plus discrète… pour éviter qu’Honda n’entende le reste de la conversation, qui tenait là du privé.

« Tu te protèges au moins, hein ? »

Honda n’ayant pas entendu, il se rapprocha, de peur de se sentir exclu de la conversation. Gou l’ayant bien compris, il se remit à parler comme à son habitude, se tournant vers son partenaire de toujours.

« Pas vrai qu’elle est belle ma princesse, hein ? Qu’est-ce que tu en penses Honda ? »

Époustouflé par la vue, Honda ne répondit pas tout de suite.
Se dressant sur ses petits pieds pour mettre au placard tout un tas de petites tenues, qu’il devinait aisément fines et faites de très peu de tissu, la jeunette lui donnait, sans le savoir, une vue imprenable sur un popotin qui n’avait pas son pareil…

Sa mini-jupe d’écolière remontant tout doucement le long de ses larges hanches, glissant tout contre son impeccable peau de pêche, se découvraient un peu les plus grosses fesses que le vieil homme noir avait vues, striées en leur centre par la ficelle d’un tout petit string coloré…

Chacune d’elle, de par leur taille, valait bien deux fesses d’une autre femme. Honda n’avait jamais rien vu d’aussi gros… d’aussi beau. Il s’oublia quelques instants en les regardant, mais fut vite ramené à la réalité par Gou, son compère, qui le sortit de ses songes en quelques coups de coude, attendant toujours une réponse.

« Pas vrai ? »

Se léchant discrètement les lèvres, Honda, même s’il chercha à vite se reprendre devant son ami, ne put s’empêcher de mater encore l’énorme cul de la belle et jeune Tenshi.

« Oh ! Ou-oui… une belle, belle femme blanche. Très belle. Ton grand-père a raison Tenshi… tu es… un régal pour les yeux. »

Gou n’ayant pas prêté attention au dessous qui venait d’échapper à la vigilance de sa petite-fille, Honda lui, qui n’avait pas quitté la jeune femme des yeux un seul instant, ne manqua pas d’y prêter un œil curieux. Se baissant pour ramasser le petit amas de ficelles fines qui trônait aux pieds de son ami, le vieil homme, faisant semblant de rien, s’empressa de le cacher au deux autres. Tirant sur l’élastique de son pantalon très ample, le vieil homme planqua le petit string dans son caleçon, tout contre son sexe.

Que la jeune fille se rassure : si Honda, malgré son âge, était encore plein de malice et d’ardeur, voilà bien des années que son énorme boudin noir -dont on pouvait deviner la forme à travers son pantalon tant il était épais- ne s’était plus levé.

S’assurant de ne pas avoir été vu, le vieillard reprit, entreprenant de répondre aux interrogations de la jeune femme.

« Tu peux dormir là, ne t’inquiètes pas. Il y a toute la place qu’il te faut. Comme je le disais à ton grand-père, nous, nous pouvons prendre les banquettes, juste derrière moi. Ça ne me pose pas de problème. »

Surpris de s’être fait voler sa réplique, Gou se tourna vers son comparse.

« Eh ! Espèce de vieux débris, haha… »

Poussant doucement Honda vers l’avant du véhicule, de sorte à laisser un peu d’intimité à Tenshi, Gou continua.

« Allons allons, prends le temps de défaire tes bagages, hein ? Allez viens, Honda, va plutôt faire chauffer le moteur au lieu de dire des bêtises. Prends le temps qu’il te faut, Tenshi. Nous trinquerons ce soir quand nous aurons trouvé où nous arrêter pour la nuit. Il y a quelques campings dans la région mais… il est déjà tard. Je ne sais pas si on y arrivera d’ici ce soir. »

Le vieil Honda s’exécutant sans broncher, il alla s’asseoir au volant et mit le contact, en vue d’un départ imminent, tandis que Gou, de son côté, finissait de ramasser les cartes et les chaises à l’extérieur.

Attendant son retour, Honda scrutait l’arrière du camping-car, le lit, depuis son rétroviseur intérieur.

« Mets-toi à l’aise ma chérie. Tu dois avoir chaud. La douche est juste là si tu as besoin, derrière cette petite porte. C’est pas très grand non plus mais… tant qu’on n’y va pas à deux… ça suffit très bien. »

Gou revenant enfin, il fit signe à son ami qu’ils étaient prêts à partir. Aussitôt, Honda démarra et, bien rapidement, le camping-car quitta le parking, en direction des vacances.

S’asseyant sur le siège passager, à côté de son ami, Gou observa le paysage défiler, de longues minutes durant.



Quelques heures plus tard, le vieil homme s’était endormi, tout sourire là encore. Passant par de petites routes de forêt, le camping-car zigzaguait alors entre les arbres.

Ne voulant pas quitter la route des yeux, de peur de rater un virage, Honda dit alors, sans non plus se retourner complètement :

« Tenshi ? Ton… grand-père m’a dit que tu avais eu ton permis ? Tu… tu veux essayer de tenir le volant, un peu ? »

Lui indiquant une place toute désignée, il tapota sur ses genoux, un grand sourire aux lèvres.

« Attention, tu verras hein… ça a pas l’air, mais les gros engins, comme ça, ça se manœuvre pas pareil. Qu’est-ce que t’en dis, tu veux essayer ? »

15
Combien de temps les deux vieux bonshommes avaient-ils passé là-dehors ?
L’histoire ne le dit pas. Quand bien même ceux-ci multiplièrent les parties de cartes, celui-ci leur sembla… interminable. La jeune Tenshi avait du retard et cela n’était pas au goût du vieil Honda, qui crut un temps s’être fait avoir.

Quand soudain, après quelques embrassades résonnant en cet espace plus que vide, désert si l’on peut dire, vinrent résonner, plus fort encore, le claquement de ces talons hauts, faisant écho jusqu’à travers la forêt.

On aurait pu croire alors, que s’avançait, à toute hâte, une infirmière au beau milieu de son service.

Gou leva la tête le premier, blémissant, alors même qu’il venait d’apercevoir -il l’avait reconnue à sa longue chevelure rousse-, celle qu’ils attendaient tant, et ce depuis des heures.

En une démarche des plus chaloupées et des moins gênées qui soit, s’approchait alors la plus belle créature que Gou eût pu voir en près de cent ans. S’il s’agissait vraiment de Tenshi -il le sut alors-, alors celle-ci, malgré son jeune âge, avait déjà fini couronnée femme entre les femmes.

La voyant s’approcher, son propre grand-père se mit à rougir, tandis que son ami, plus vieux encore, lui assénait quelques coups de coudes.

« O-oooooh… T-Tenshi ? C’est vraiment toi ? »

Voyant cette belle jeune femme approcher et, Honda comprenant qu’ils venaient tous deux de ferrer la bonne, les deux hommes lâchèrent leurs cartes sans un bruit, ébahis par la vision qui venait de leur être offerte.

« C’est vraiment elle ? »

Comme venait de le faire Gou, peut-être plus subtilement, le vieil Honda ne se retint pas de poser les yeux sur cette sublime créature qui s’était soudain approché d’eux. À sa grande surprise, et ce au vu de cette tenue d’écolière qui ne lui allait plus, la jeune femme n’avait plus rien de… jeune… et méritait, plus que toute autre, de se faire appeler « femme ».

Presque intimidé, tout autant qu’il était d’un coup réveillé, le vieil Honda tendit une main en sa direction. Main que, malheureusement, elle ne semblait pas voir.

La plantureuse demoiselle courbant vite l’échine pour embrasser la main de son grand-père, un silence se fit soudain. Devant une telle beauté, tous deux, semblaient bien démunis… comme inexpérimentés.
Assis à côté de Gou, Honda pencha la tête d’un côté pour la regarder faire, profitant d’un décolleté tel que, il en était sûr, il n’en avait jamais connu de tel en quatre-vingt-dix ans.

Surpris, comme intimidé devant ce charme soudain, qui se présentait à eux, le pauvre Gou resta bouche-bée un instant.

Avant qu’Honda ne s’en mêle, il se leva toutefois d’un bond, suivant sa jeune protégée jusqu’à l’entrée du camping-car.

Derrière ses hanches si larges -deux fois celle de son épouse, au bas mot-, le pauvre ne sut quoi dire.

« É-évidemment ma chérie… fais comme chez toi. Viens, entre. »

Laissant la demoiselle entrer, Gou la suivit pas à pas, s’avançant tout doucement, suivi d’Honda, qui, étonnamment intéressé, se leva vite pour constater du remue-méninge qui pourrait bien secouer son petit havre de paix.

Difficilement, marche après marche, Gou suivit Tenshi.

« C-ce n’est pas très grand, c’est sûr, mais cela devrait faire l’affaire, ma princesse. Tu ne crois pas ? »

Pointant le joli lit à moitié défait, accollé à la fenêtre, il reprit :

« Tu dormiras ici. Ça te va ? C’est pas si mal tu sais ? »

Tenshi n’ayant fait qu’un pas et s’étant déjà approché du lit, trônant au fin fond de cette minuscule embarcation, Gou ne put se retenir, tant empreint de joie que de surprise… et d’excitation, en la regardant, le rouge aux joues :

« C’que tu es belle… Regarde-toi maintenant. Une vraie petite femme…. »

Combien de temps les deux vieux bonshommes avaient-ils passé là-dehors ?
L’histoire ne le dit pas. Quand bien même ceux-ci multiplièrent les parties de cartes, celui-ci leur sembla… interminable. La jeune Tenshi avait du retard et cela n’était pas au goût du vieil Honda, qui crut un temps s’être fait avoir.

Quand soudain, après quelques embrassades résonnant en cet espace plus que vide, désert si l’on peut dire, vinrent résonner, plus fort encore, le claquement de ces talons hauts, faisant écho jusqu’à travers la forêt.

On aurait pu croire alors, que s’avançait, à toute hâte, une infirmière au beau milieu de son service.

Gou leva la tête le premier, blémissant, alors même qu’il venait d’apercevoir -il l’avait reconnue à sa longue chevelure rousse-, celle qu’ils attendaient tant, et ce depuis des heures.

En une démarche des plus chaloupées et des moins gênées qui soit, s’approchait alors la plus belle créature que Gou eût pu voir en près de cent ans. S’il s’agissait vraiment de Tenshi -il le sut alors-, alors celle-ci, malgré son jeune âge, avait déjà fini couronnée femme entre les femmes.

La voyant s’approcher, son propre grand-père se mit à rougir, tandis que son ami, plus vieux encore, lui assénait quelques coups de coudes.

« O-oooooh… T-Tenshi ? C’est vraiment toi ? »

Voyant cette belle jeune femme approcher et, Honda comprenant qu’ils venaient tous deux de ferrer la bonne, les deux hommes lâchèrent leurs cartes sans un bruit, ébahis par la vision qui venait de leur être offerte.

« C’est vraiment elle ? »

Comme venait de le faire Gou, peut-être plus subtilement, le vieil Honda ne se retint pas de poser les yeux sur cette sublime cré   ature qui s’était soudain approché d’eux. À sa grande surprise, et ce au vu de cette tenue d’écolière qui ne lui allait plus, la jeune femme n’avait plus rien de… jeune… et méritait, plus que toute autre, de se faire appeler « femme ».

Presque intimidé, tout autant qu’il était d’un coup réveillé, le vieil Honda tendit un main en sa direction. Main que, malheureusement, elle ne semblait pas voir.

La plantureuse demoiselle courbant vite l’échine pour embrasser la main de son grand-père, un silence se fit soudain. Devant une telle beauté, tous deux, semblaient bien démunis… comme inexpérimentés.
Assis à côté de Gou, Honda pencha la tête d’un côté pour la regarder faire, profitant d’un décolleté tel que, il en était sûr, il n’en avait jamais connu de tel en quatre-vingt-dix ans.

Surpris, comme intimidé devant ce charme soudain, qui se présentait à eux, le pauvre Gou resta bouche-bée un instant.

Avant qu’Honda ne s’en mêle, il se leva toutefois d’un bond, suivant sa jeune protégée jusqu’à l’entrée du camping-car.

Derrière ses hanches si larges -deux fois celle de son épouse, au bas mot-, le pauvre ne sut quoi dire.

« É-évidemment ma chérie… fais comme chez toi. Viens, entre. »

Laissant la demoiselle entrer, Gou la suivit pas à pas, s’avançant tout doucement, suivi d’Honda, qui, étonnamment intéressé, se leva vite pour constater du remue-méninge qui pourrait bien secouer son petit havre de paix.

Difficilement, marche après marche, Gou suivit Tenshi.

« C-ce n’est pas très grand, c’est sûr, mais cela devrait faire l’affaire, ma princesse. Tu ne crois pas ? »

Pointant le joli lit à moitié défait, accollé à la fenêtre, il reprit :

« Tu dormiras ici. Ça te va ? C’est pas si mal tu sais ? »

Tenshi n’ayant fait qu’un pas et s’étant déjà approché du lit, trônant au fin fond de cette minuscule embarcation, Gou ne put se retenir, tant empreint de joie que de surprise… et d’excitation, en la regardant, le rouge aux joues :

« C’que tu es belle… Regarde-toi maintenant. Une vraie petite femme…. »

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