Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Takezo O. Mamoru

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1
Alors que le voilà penché au-dessus de la jeune caissière, blotti entre ses larges cuisses et le pantalon aux chevilles, la respiration du garçon se saccade soudain, se fait plus difficile, alors qu’il pousse si fort pour loger en elle son gros engin.

Les mains fermement agrippées à ces belles gambettes de femme, comme pour les écarter plus encore et les tenir bien haut, il s’enfonce. Doucement, lentement et par petits à-coups. Faiblement, pour qu’on ne l’entende pas, il gémit, grince presque des dents sous la pression. La sensation de ces chairs chaudes et humides enveloppant et caressant son énorme gland le rend dingue. C’est si bon…

Un petit bruit de succion résonne alors. Ça y est. Ce… « plop » marque le coup d’envoi, se fait signal, en quelque sorte. Huit ou neuf premiers centimètres l’ont déjà pénétrée sur la longueur… et il ne s’agit là que de son gland, massif et triomphant. L’épaisse tête enfin entrée, ne reste au garçon qu’à enfourner sa grosse tige.

Dans un râle, il pousse… soupire.
Forcé par la trop épaisse pointe de son mandrin, l’accès très étroit à cette belle petite chatte se facilite. Takezo n’a qu’à pousser encore un peu, plus fort encore, pour que les contours veineux de son bel organe viennent imprimer leur forme et leur contour si loin en elle.

« Mmf… mmmAah… haa… c’est si chaud… »

Le souffle court, le jeune homme ne loupe pas une miette de ce petit spectacle auquel s’adonne sa partenaire, dont le bas-ventre se gonfle déjà tant il la remplit.

Empoignant l’un de ses beaux et gros melons avec lequel elle joue pour attiser en lui un brasier, il le porte à sa bouche comme un affamé. Rendu complètement fou d’amour et de plaisir par ce merveilleux supplice du pal auquel il la soumet, il suce, lèche, mordille et baise ce gros nichon sans la moindre once de gêne ou de honte, la dévorant goulûment. Comme par gratitude, le garçon s’applique, telle qu’elle-même s’était si bien appliquée pour lui pomper le dard.

Un petit sourire malin se dessinant aux commissures de ses lèvres, il lève alors doucement la tête et ancre son regard à celui de la belle.

« J-je crois que j’adore la chatte… »

Se redressant dans un nouveau soupir, l’ado se relève comme il le peut tout en gardant sa si confortable position. Se mettant malgré lui à onduler de bassin, par jeu purement inconscient, le voilà qui entame quelques longs et lents va-et-vient. Sa belle grosse queue s’enfonce, fore cette si petite chatte et la fait enfler au passage. Il s’amuse, la regarde disparaître et se prend au jeu d’essayer d’en mettre chaque fois un peu plus, pour la ressortir toujours plus chaude, raide et trempée.

Son joli boudin blanc gonfle et palpite. Les gémissements de Takezo s’amplifient à présent. Il commence enfin à en prendre conscience : il baise.

Ramonant, insinuant en elle son gros engin sur déjà vingt bons centimètres au moins, un rythme de croisière s’installe. Ça y est, ça glisse bien. Il peut la démonter, prendre son pied comme un dingue, comme une bête.

Ses grosses mains glissent tout contre ce corps tout fait de voluptés et de courbes généreuses. Ses doigts glissent entre les maillons de ces bas résilles avec lesquels la belle aguichait, s’amusait à allumer ses clients. Sans plus ressentir le besoin de demander la moindre permission qui soit, il agrippait ce cul énorme, si ferme et pourtant si dodu, si large. Il trouvait sa peau si douce…

« J’veux qu’on le fasse par derrière. Vot’ cul est beaucoup trop beau… »

Plus confus, mais toujours sur sa lancée, le garçon continua, un peu plus bas.

« Et… j-je… est-ce que vous voulez bien continuer à dire des trucs comme ça. Sur ma bite et… enfin, tout ça. Je… je crois que ça m’excite quand vous jouez la salope. »

2
Un gamin turlupiné par son gigantesque mais inassouvi appétit de chair aurait-t-il pu rêver mieux ? Tomber sur une véritable nymphomane adoratrice de gros calibres relevait du fantasme, du genre de ceux que l’on s’imagine mais qui ne prennent vie que dans nos têtes seulement… et pourtant, voilà bien ce à quoi avait droit Takezo, qui s’apprêtait à faire l’expérience d’un décoinçage en règles.

Les yeux rivés dans ceux de l’étonnante petite vendeuse, il s’astiquait furieusement à l’aide de sa grosse main, et finissait de faire reluire son gland aux proportions exagérées au creux de ces belles lèvres pulpeuses mais grandes ouvertes rien que pour lui. Pris de spasmes, il n’avait de cesse de se raidir et de se raidir encore, à l’image de ses deux énormes bourses qui gonflaient et gonflaient, pour que gicle leur épais contenu.

De la même façon, les joues de la caissière, déjà bien remplies par l’énorme sexe du garçon, s’arrondissaient encore, prêtes à exploser sous l’effet de la trop importante quantité de semence qu’il libérait en elles. Mais par je-ne-sais-quel miracle, ou par la force de l’habitude peut-être, celles-ci se dégonflaient aussitôt, avant de reprendre du volume la seconde d’après. Contractant sa gorge experte, la jeune femme pompait, pompait et pompait encore, avalant par lampée, à chaque nouveau jet de foutre, ce que dix hommes normalement constitués auraient bien pu lui jouir au visage.

Quelques épaisses gouttes débordèrent évidemment, coulant abondamment jusqu’à la pointe de son joli petit menton… mais quel exploit malgré tout. Une telle expertise du bukkake était-elle seulement normale ? Qu’importe après tout. Devant un tel spectacle, le garçon, plus excité que jamais, ne pouvait en revenir… à bout de souffle après avoir tant éjaculé, et ce pas une, mais bien deux fois, il bandait encore, raide comme un taureau, tant cette belle nymphe à gros cul semblait lui promettre monts et merveilles, au moins pour les quelques prochaines heures à venir.

Ce qu’elle lui dit en se relevant, sans même sembler éprouver ni fatigue ni difficulté l’aida d’ailleurs en ce sens. Se défaisant de son ridicule et tout petit short pour en faire jaillir un postérieur plus imposant encore vu comme ça, celle qui n’avait pas encore fini d’avaler son copieux déjeuner lui avait encore balancé, de but en blanc, comme elle avait aimé ça…

Tandis que Takezo se tournait pour la laisser prendre place sur l’étroit fauteuil, détaillant du regard l’impressionnante largeur de ces hanches faites pour enfanter, celle de ces cuisses, débordant de part et d’autres de ces affriolantes résilles… il déglutit, tout en cherchant son souffle, la contemplant, debout qu’il était, la bite à l’air, levée bien haut et toute dure, comme une grosse bûche, de celles que l’on se partage au moins à dix tant il y a à bouffer. Toute luisante de salive, couverte de traces de rouge à lèvres, marquant ça et là l’impressionnant record de gorge profonde qu’avait dû battre la jeune femme à l’instant…

Hésitant, le garçon avait quand même bien envie de la poser, sa question.

« … e-est-ce que… je pourrais passer me faire sucer, de temps en temps ? »

Mais n’avait-il pas encore obtenu de réponse que les gestes suivants de la belle à la peau d’ébène, quoique déjà bien maculée de blanc, vinrent le ramener au moment présent. Écartant grand les cuisses, la belle tentatrice venait de poser ses mollets sur les accoudoirs du fauteuil en guise d’invitation à son encontre. Sa grosse raie enfoncée dans le cuir du siège, le string écarté… la jeune femme n’avait pas tardé une seconde pour faire un trou béant dans ses dessous sexy, à l’endroit où Takezo, à en croire ses mots, devait venir la lui mettre.

Lui souffla fortement, tentant de rassembler ses esprits, alors que tout se bouscula d’un coup dans sa tête. Il allait le faire. La baiser, la déglinguer… et dès lors qu’il la lui aurait mise, il ne serait plus vierge. Plus jamais. Peut-être même qu’il n’aurait plus jamais à s’en faire quant à la taille démesurée de son engin… au moins pour un temps, peut-être aurait-il la chance de tringler cette beauté régulièrement. Que cela se fasse ou pas, au moins, il s’assurerait de rendre cette fois-ci mémorable. Autant pour elle que pour lui, assurément.

Hochant doucement la tête, toujours debout, il se pencha et posa ses mains sur les accoudoirs cerclant le fauteuil. Lâchant l’un deux, il remonta doucement, posa ses doigts sur l’une des cuisses de sa partenaire de fortune, jusqu’à remonter encore pour attraper sa cheville, bien haut, l’attirant à lui pour qu’elle vienne reposer sur son épaule. Il fit pareil de la seconde, puis la lâcha pour enfin agripper son gros engin, qui reposait du bas-ventre de la vendeuse, jusqu’à la base de son sternum, côtoyant encore ses beaux et gros lolos.

Posant un pied au bord du siège, il se hissa pour prendre un peu de hauteur, et vint enfin nicher son gland à l’endroit où ce dernier devait finir. Plus ou moins. Tirant l’énorme saucisse en direction de ce trou formé dans les bas de la belle, il la frotta longuement, marquant de son gros gland la belle raie de son cul, qu’il écarta curieusement, remontant de bas en haut, puis allant de haut en bas. Putain… le cul de la donzelle était si gros que, sans même entrer en elle, il pouvait déjà enfouir son gros gland bien au chaud entre ses fesses toutes rondes.

Se branlant un instant dans sa belle raie, à la recherche de ce trou qu’il lui fallait encore trouver, le garçon soupira déjà, réchauffé par la somptueuse vision qu’il avait, se promettant d’immortaliser celle-ci dans son esprit.

Son gros sexe remontant encore, il put enfin sentir, quand bien même il n’était pas bien sûr de lui, qu’un creux bien humide semblait l’accueillir, le happer. L’énorme pointe, d’une douzaine de centimètres de diamètre, vint doucement s’enfoncer, tout près de ces belles lèvres charnues et trempées… mais s’enfonça à peine. L’énorme chose, malgré tout ce lubrifiant naturel, peina à entrer et, enfin convaincu d’avoir trouvé le chemin de sa chatte, le garçon, prenant meilleur appui, se mit à pousser.

« Oooh »

Serrant les dents, Takezo poussa fort.
Attrapant fermement les jolies gambettes de la jeune femme, posées sur son épaule, il y mit de son poids, de sa centaine de kilos de muscles pour pousser de ses hanches, comme un joueur de rugby, pour faire entrer en force son gigantesque gourdin.

Ça y est, la pointe de l’énorme sexe était enfin en elle, accompagnée de quelques premiers centimètres à peine de ce gigantesque phallus, qui peinait à se faire une place, malgré l’excitation des deux amants. Soupirant bien fort, le garçon leva les yeux d’extase, puis se mit à tamponner la caissière, tout doucement, tentant toujours d’entrer plus encore…

3
Le coin du chalant / Kiki(s) dans la petite sorcière (Halloween One-Shot)
« le: mardi 17 octobre 2023, 13:54:06 »
Hello hello, la compagnie !

Halloween approchant à grands pas, je viens vous proposer ici une nouvelle petite trame d’OS, plus ou moins thématique. Contextualisons donc :

Quelque part sur le plan de Terra, au beau milieu d’un bois dense et verdoyant se tient un petit village, auto-suffisant et à l’abri de tout mal, protégé des dangers du grand monde par la magie née en son sein.

Habité par un coven de sorcières, hissées presque au rang de déesses par les villageois, c’est un lieu que l’on dit tranquille, « idyllique », où il fera encore bon vivre des lustres durant, tant que les rituels et coutumes de ces dernières continueront d’être respectées.

Quitte à parler coutumes, entrons donc dès à présent dans le vif du sujet, pour aborder maintenant celle qui nous intéresse, celle que tous attendent avec impatience, depuis bien trop longtemps. Tous les huit ans, à l’approche de l’Automne, est choisie parmi les plus jeunes du coven celle qui devra porter en elle la vie d’une autre sorcière, devant grossir les rangs pour l’avenir, et ainsi perpétuer à la fois traditions, et survivance du village.

En plein coeur des festivités païennes de l’automne de cette belle et douce année, c’est la jeune et sublime Morgane, que le coven a choisie. Allongée sur l’autel dressé au centre même du village, les poignets tenus par l’une de ses pairs, la voilà prête à être offerte à tout homme de plus de vingt ans, et dont la vigueur n’a pas déjà été érodée par les affres du temps.

Mais… la jolie Morgane est si belle, si douce et plantureuse que sa beauté en réveillerait même les morts, dit-on. À la voir ainsi, même les doyens du village, usés par l’âge, sentent une part de leurs forces d’antan leur revenir. La queue près de l’autel n’en finit pas. Ce sont des dizaines d’hommes qui attendent…


Voili voilou !

J’ignore encore quel rôle tenir dans tout cela, mais s’il y a par ici quelqu’un d’intéressé(e) pour incarner la jeune Morgane, le temps de ce One-Shot, n’hésitez pas à poster ici ou à m’envoyer un MP  :D

D’avance… joyeux Halloween  ;)

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4
Comment ne pas défaillir face à de telles propositions ? Face à de tels… arguments ?
Réduit à mon très simple état de jeune mâle en rut, je peine chaque seconde un peu plus à contenir toutes ces envies qui sont les miennes, celles qui… ne sont généralement pas avouables à une femme que l’on vient de rencontrer.

Ma toute première expérience d’une poitrine de femme est… tout bonnement extraordinaire, exquise. Tout ce dont j’aurais bien pu rêver si ce n’est plus, à vrai dire. Faut dire aussi que la vendeuse a de gros, très gros pare-chocs. Posés ainsi sur mes cuisses, aussi énormes qu’ils sont, c’est fou ce qu’ils paraissent lourds. Tendres, souples et moelleux à souhait, ils forment un écrin tout juste parfait pour mon sexe qui les martèle fort… et heureusement, ils sont même assez gros pour que je m’y enfouisse bien. N’en dépassent que quelques bons centimètres, tout juste assez pour que ma charmante compagne m’offre à la fois pipe et branlette espagnole.

Soupirant toujours plus fort toute mon aise et mon plaisir, je suis aux anges, déjà accro à ces sensations en tous points meilleures que tout ce à quoi j’ai pu m’adonner, seul.

Emporté par mon propre élan de luxure, je ne manque pas de sourire intérieurement à la réponse qu’elle me donne quant à mon envie de baiser ses deux gros seins comme s’il s’agissait là de son cul, auquel je m’attaquerais tel un sauvage. Les prenant à pleines mains, je m’y agrippe bien, les soupèse et les touche encore et encore, parcours toute leur rondeur, tandis que tout le sperme qui coule encore entre eux facilite mes va-et-vient. Attrapant ses tout petits tétons entre mes pouces et index, je les presse doucement, amplifie l’allure et la force de mes coups de reins pour bien enfourner ma grosse bite entre ses deux obus…

Les yeux fermés, rivés en direction du plafond, je m’agite, donne des coups de plus en plus grands, de plus en plus secs, frappant l’arrondi parfait de ses nibards à grands coups de mes bourses qui claquent et rebondissent dessus. L’écouter gémir, l’entendre me dire comme elle se sent excitée, tout comme j’entends les bruits humide de succions se répandre dans la pièce… tout ça me conforte, m’émeut, alors que je m’imagine déjà dans son gros cul.

D’un bond je me redresse pour prendre un bien meilleur appui, et sans même plus faire attention à quoique ce soit autour de nous, me voilà debout, un pied posé sur l’accoudoir, à purement et simplement malmener ses gros seins en m’imaginant en train d’enculer la vendeuse. Ma bouche se tord en soupirs et gémissements intenses… j’ai envie de me retenir… mais à la fois tellement envie de continuer. Mes hanches bougent toutes seules. La sensation de mon gland qui entre et sort de sa bouche me fait fondre, comme celle de sa langue qui me titille me fait frissonner à chaque fois.

J’ai du mal à séparer fantasme et réalité. Les yeux ainsi fermés, j’imagine tellement de choses… alors j’en dis d’autres, sans même prendre conscience que je le fais à voix haute.

« MmmH… a-ah… ah… hhmmm, ça t’plaît, hein ? T’aimes ça pomper des grosses queues, salope… HOO ! H-ha-aaaaaah… »

Rouvrant les yeux sans même me rendre compte de ce que je viens de lâcher, je ralentis peu à peu… à bout de souffle et bien trop près d’une nouvelle extase.
Mais à peine ai-je lâché ses seins que la vendeuse reprend ma queue en main, la soupèse pour la guider un peu plus loin dans sa bouche. Debout devant elle, la jambe levée, je l’observe les yeux écarquillés, de surprise, quand elle en vient à me gober plus loin… et plus loin encore.

Couvrant ma bouche d’une main pour retenir un hurlement trop brusque, je me sens entrer, coulisser longuement… et vois aux traces de rouge à lèvres déjà laissées sur ma bite qu’elle est sur le point de battre son propre record tandis que les centimètres défilent.

La bouche ouverte plus grand que jamais, elle me pousse un peu, vers elle, pour m’aider à coulisser encore un peu plus. Plus de la moitié de mon gros chibre est entré dans sa bouche, déformant grossièrement sa si petite gorge. Me regardant droit dans les yeux, elle me laisse là un moment… un long moment…

« H-haaa… hannnn… »

Mais, comme si une telle prouesse n’avait même pas suffi à lui couper le souffle, la voilà qui sourit, en m’adressant cette phrase… cette phrase…

Tout doucement, je hoche la tête, réfléchissant en même temps à tout ce qu’elle vient de me dire, prenant difficilement conscience du fait qu’elle me propose, en échange d’encore un peu de mon sperme dans sa bouche, de prendre ma virginité… et peut-être même d’aller lui enfiler ma grosse chose dans chacun de ses trous. Ce truc énorme… dans son cul.

Guidant mon sexe d’une main jusqu’à ses lèvres encore entrouvertes, j’impose mon gros gland dans sa bouche en lâchant un profond soupir, tandis que je tremble, plus excité que jamais.

Posant mes mains derrière sa tête, je la guide, comme pour mener cette nouvelle fellation qu’elle semble désirer tout autant que moi.

« Bon appétit. »

Poussant doucement sur sa tête aussi lentement que s’avancent mes hanches, je fais coulisser ma queue entre ses lèvres, tentant d’en revenir ) ce point où elle avait réussi à me faire entrer, quelques secondes plus tôt.

Lentement, je ramone… râlant de plaisir en écrasant sa langue toute baveuse de tout le poids de ma grosse bite.
Me servant d’elle comme d’une pompe bien humide, j’y vais toutefois bien doucement et avec précaution, profitant de chaque petit morceau de ma peau qui entre en contact avec sa belle cavité à pipes.

« aaaah… Haaa… sucez-la bien… comme ça, oui. J’vais vous la mettre comme ça… »

Sans plus tarder, le plaisir croît et monte. Malgré la douceur de ces caresses, la chaleur grimpe et mon corps bout. La sauce monte et je me sens… électrisé.

« Haa… haaa… ça va… ça va venir. Ça vient… h-aa-HAAA… A-avalez tout… av-… haaa ! HMMMM »

Ma main posée sur l’une de ses joues, j’extirpe ma queue de son gosier pour ne plus laisser tremper que mon gland au creux de sa petite bouche. Reposant contre sa langue. L’enfonçant un peu pour déformer son autre joue, par jeu, je donne de petits coups involontaires alors que de nouveaux spasmes m’assaillent déjà. Sur la pointe des pieds, je m’astique furieusement…

Et se déversent de nouveaux flots incessants de mon foutre, qui en un premier jet à peine, gonflent sa petite bouche à l’excès.

Dans la bouche de notre petite salope de vendeuse tremble et tressaute de nouveau l’énorme lance à incendie, palpitante, qui ne cesse de déverser en elle d’astronomiques quantités de semence.

5
Si tout cela n’était qu’un rêve, alors je vous en prie, ne me réveillez pas.

Qui donc aurait pu croire que, de toutes les boutiques que j’aurais pu faire dans ces quartiers de la ville, je puisse tomber, par le plus grand des hasards, sur celle tenue par une telle chaudasse, amatrice d’énormes bites ? Et amatrice, le mot était encore bien faible.

À bout de souffle et surpris moi-même par l’énormité de mon orgasme soudain, je tentais à peine de m’excuser que la salope au bout de ma bite me lançait un petit sourire en m’avouant comme elle regrettait de ne pas avoir pu déglutir un peu de toute cette semence qui lui parsemait le visage. Elle en avait vraiment partout.
Mais si moi j’étais désolé de ne pas avoir su me retenir, il sembla évident que elle, ça ne la dérangeait pas du tout. Elle parut même excitée… et fière d’elle, de m’avoir fait juter comme ça.

La phrase qu’elle prononça juste après aurait pu me faire fondre…
J’y réfléchis un très bref instant, de peur d’avoir mal compris, ou bien d’avoir interprété les choses de travers, tant j’étais moi aussi excité mais, bien cramponné aux accoudoirs de mon siège, je finissais par acquiescer vivement de quelques mouvements de tête… sûr qu’elle venait de me dire qu’elle crevait d’envie à l’idée de me faire une fellation. Une vraie, cette fois.

« Hin hin… Sérieusement ? Eh bien… c’que vous voulez. Bien sûr.»

Quelle étonnante jeune femme que cette vendeuse. Se rendait-elle compte, au moins, que jamais personne ne m’avait dit ou fait ce genre de choses de toute ma courte vie ?
Quand bien même venais-je de jouir que cette seule petite phrase placée comme ça suffit à me redonner quelque raideur.

Hyper-sensible comme je le suis encore, je frissonne quant à sa parole elle joint le geste, frictionnant mes larges bourses encore bien pleines. Mes yeux ne peuvent plus décrocher d’elle, comme de ses gestes aguicheurs… ceux-ci grands ouverts, j’observe même, stupéfait, comme est épaisse cette couche de mon onctueuse crème qu’elle ramène de sa joue jusqu’à sa bouche. Sans un mot, je la regarde racler, puis suçoter longuement ce doigt recouvert de mon foutre, qu’elle lèche et aspire bruyamment jusqu’au fond de sa gorge.

Je ne dis rien, mais bous de l’intérieur, ébahi.
Pour la toute première fois, une femme m’a fait jouir… et celle-ci se régale désormais même, en avalant mon sperme. Je crois rêver, ou bien devenir fou, tant cette scène a tout d’un film.

De toutes, celle-ci c’est clairement la bonne… et j’aimerais en profiter un maximum.

« Elle est… toute à vous, si vous la voulez dans la bouche. »

Je me mordille, me lèche les lèvres d’impatience en me rapprochant un peu, quittant mon dossier. Ses bras se croisent sous son t-shirt, et celui-ci monte d’un coup… soulevant ces deux gros globes appétissants, qui lourdement retombent en balançant. Oh putain… La vendeuse fait encore grimper la pression en exhibant sous mon nez ses deux énormes nibards ronds, qui bondissent et pendouillent comme deux énormes pastèques noires, gonflées aux hormones. Ils sont… gigantesques, magnifiques… tout simplement bandants.

Je n’en reviens clairement pas et suis bien incapable de calmer mes ardeurs, quand ses petites mains passent sous ses obus pour les soupeser et les soulever, avant qu’elle ne les laissent reposer sur mes cuisses écartées. Mes mains n’ont jamais effleuré la moindre paire de seins qui soit que ceux-ci, tout juste parfaits, viennent se reformer en un étau tout chaud et tout moelleux tout autour de ma grosse queue. Soufflant comme un buffle, voilà que je me retape une érection à en faire pâlir les taureaux eux-mêmes.

M’avançant encore un peu, les muscles de mon bas-ventre se bandent durement tandis que je me contorsionne, les mains grandes ouvertes, déjà prêtes à partir à la découverte.

« C-c’est vrai je… je peux ? »

Comme un enfant, le sourire aux lèvres, j’appose l’empreinte de mes deux grosses mains sur les côtés de ses belles mamelles pour venir les pétrir avec lourdeur. Les malaxant tendrement, je les pèse, les soupèse et les écrase tout contre ma bite si chaude… et mon bassin se met à bouger de lui-même, au moment même où la petite bouche de la vendeuse s’ouvre très grand pour gober mon gros gland.

« H-haaaaan ! »

Je lâche subitement l’un de ses seins pour enserrer fermement l’un des accoudoirs, bien trop surpris par ce flot de sensations nouvelles et divines qui parcourt tout mon être. Sa petite bouche m’aspire, sa langue court tout autour de mon gland, tourne… fouette et lèche, lape et boit les quelques gouttes de mon foutre qui restaient là… et elle m’enfonce, m’enfonce… encore… et encore…

Pressant sur ses gros seins, j’avance et recule, coulisse longuement dans l’interstice entre eux, comme s’il s’agissait de la raie de son énorme cul que je me prenais à imaginer… fantasmant sur l’idée de le baiser si fort.

« Hhaa oui… mmh… i-ils sont… waw… m-magnifiques… est-ce que je peux les… les baiser, comme ça ? »

Les malaxant dans un sens, puis dans un autre, j’ondulais peu à peu du bassin, cherchant des façons toujours plus érotiques et sensuelles d’insinuer mon chibre entre ses deux gros nichons.

6
Quand bien même j’en viens à lui demander de ralentir, la jolie coquine censée prendre mes mesures vient joindre une seconde main à celle me procurant déjà bien des caresses, enserrant ma grosse queue entre chacun de ses dix doigts pour ne me masser que plus fort et plus longuement encore.

« hiiiiin… »

Une main serrée bien fort sur le dossier du large fauteuil de cuir, je trépigne et l’emprise de ma poigne ne se fait que plus forte à chaque nouvelle seconde, à chaque nouveau mouvement de va-et-vient que sa peau fait sur cette parcelle large, mais si délicate de la mienne. Je ne cesse d’aller et venir et de changer de position, tant mon inconfort est certain, dansant sur un pied puis sur un autre, me hissant sur la pointe de ceux-ci…

C’est pour moi une torture de me retenir, d’attendre qu’elle se décide enfin à se servir du mètre de couturière qui repose sur ses épaules, tant tout de ces sensations et de cette vision sont pour moi des plus chaudes et exaltantes. Mon incroyable petite salope de caissière m’a attiré jusque dans la réserve pour me branler à l’abri des regards, est à ce titre la première femme à m’offrir pareille attention, mais mon esprit s’en trouve plus qu’embrumé désormais, tant je lutte pour bien faire la part des choses entre ce qu’il lui est nécessaire de faire… et entre ce désir brûlant que je ressens à son égard.

Mais ces mots qu’elle choisit… son ton, qui soudain devient plus chaud et saccadé alors que le bruit de son souffle lourd commence à entrecouper ses phrases au rythme de ses lentes glissades sur ma bite… tout ceci ne me confuse que plus encore et embrouille mes méninges déjà trop pleines, les remplissant d’une idée dont je ne sais que faire : j’ai comme l’impression que la vendeuse aime faire ce qu’elle me fait, et qu’elle s’est décidée d’elle-même, sans me mettre au parfum, de m’offrir une petite branlette pour me mettre à l’aise. C’est du moins ce que j’espère, l’esprit échauffé par cette toute première expérience avec une femme.

« Haaaa… ha… »

J’éprouve cependant comme un énorme regret, une part certaine de frustration, lorsque ses mains quittent mon vît, comme à ma demande, pour qu’elle s’en aille chercher son téléphone dans l’une de ses poches. L’absence soudaine de ses caresses forme en mon bas ventre un grand vide, un empressement intense… Mon gros chibre remue, balance et tressaute d’impatience comme pour réclamer son attention, comme le font ces couilles épaisses qui pompent et se gonflent déjà, prêtes à déborder.

Fort heureusement, elle revient vite, portant de nouveau l’une de ses paumes sous mon énorme lance fièrement dressée, pour la soupeser et l’emmener plus près, en direction de l’objectif du petit appareil qu’elle a sorti pour l’occasion. Le clic du déclencheur me fait frémir tandis que j’imagine ce à quoi la photo doit ressembler, mettant évidemment en scène une comparaison de la taille de sa petite main, de son petit avant-bras, avec cet immense colosse de chair qui palpite, de son poignet jusque plus loin, au-delà de son coude.

Puis elle me lâche, encore… mais revient vite d’une manière plus excitante encore. Mon dieu comme j’ai envie qu’elle en prenne d’autres de ces clichés, si c’est pour me faire des trucs pareils !
Se reculant à peine d’un tout petit centimètre, l’entreprenante jeune femme plie un genou, puis l’autre pour se mettre à la hauteur de ma grosse queue. C’est excitant… plus encore que n’importe quelle vidéo en POV à laquelle je pense en contemplant une telle scène. Mes pensées se bousculent vivement alors que défilent dans ma tête de trop nombreuses images et compilations de gorges profondes… Je vois d’ici comme s’écartent les mailles de la résille sur ses cuisses larges, comme son décolleté s’ouvre encore sous mes yeux ébahis, comme ses formidables nichons bondissent et rebondissent, ne demandant qu’à sortir pour s’exhiber face au pervers que je suis…

« A-aah… oui. Allez-y, allez-y. P-prenez-en autant que vous voulez… »

Je soupire, me crispe d’un coup, lorsque la situation prend une tournure plus inattendue encore, quand bien même je l’espérais vivement. À la sensation de sa toute petite bouche qui vient se sceller d’un baiser tout contre mon gland massif je soupire et l’un de mes yeux se ferme d’appréhension comme de plaisir. Ses lèvres sont douces et humides… ça chatouillerait presque.

« HAN ! »

L’énorme pointe tressaute d’un nouveau bond quand cette intense vague de plaisir m’assaille, presque électriquement. Celle-ci sautille contre les petites lèvres fines, dont le rouge léger me marque indécemment. Je manque de défaillir en scrutant cette scène depuis l’écran de son téléphone qu’elle tient sur le côté, affichant un plan plus ou moins large de ce timide baiser qu’elle offre à une queue bien trop énorme en comparaison de son visage… Même si ce sont là des photos prises au téléphone, ô comme elles sont… sexy.

Mais lentement, le petit écran retombe, suivant le trajet de sa main qu’elle pose sur son genou et je ne vois soudain plus rien de cette scène, en photo du moins. L’autre suit le même parcours, trouvant la seconde rotule et… perdu, mon corps tout affolé, je ne sais plus que suivre du regard. J’aurais moi-même eu envie de prendre une photo de ce que j’ai sous les yeux, pour ne jamais oublier pareil panorama. À genoux sous mon sexe tendu, la vendeuse aux énormes lolos se tient là, telle une actrice soumise et bien obéissante au tout début d’une séquence de porno… voir ça en vrai, ça me fait quelque chose. Ma queue sautille et bouge encore, requérant son attention sur l’instant…

Et elle ne perd pas une seconde à se faire prier ou désirer. N’ai-je rien demandé que sa bouche s’entrouvre, pour qu’en sorte sa petite mais longue langue rose, qu’elle vient d’un coup presser contre l’énorme veine sous ma bite, presque à la commissure de mes bourses. Celle-ci humecte ma grosse queue et lentement, doucement, tout… doucement… la voilà qui remonte, centimètre après centimètre contre l’énorme veine boursouflée, qu’elle tâche de sa salive.

« ha-haaaa… haaaaaa oui… »

Depuis mon angle mort, j’aperçois maintenant comme ses yeux se sont ouverts et ne peux me résoudre à faire autrement que de joindre mon regard au sien, qui s’est d’un coup fait si chaud, tandis qu’elle me lèche la bite. C’est si vulgaire… que ç’en est juste incroyable. Je sens déjà comme mes couilles gonflent et pompent à cette simple vue, en cette seule sensation à peine. La vendeuse ne me regarde vraiment plus comme un client… ou bien, c’est que c’est une sacrément bonne vendeuse, d’une certaine façon… mais je comprends en tout cas, avant même qu’elle ne le prononce à voix haute, qu’elle aurait bien envie de m’en donner un peu plus.

Je ne sais pas bien ce qu’il me prend, mais alors qu’elle me lèche ainsi, en me regardant, j’ose et fais un pas, passant une main un peu fébrile dans ses cheveux. Mais ce n’est que de courte durée.

Mes pupilles se dilatent d’un coup à ses mots, et ma respiration ne s’en fait que plus forte, que plus intense et chaude. Pourquoi donc devrait-elle s’excuser ? Ce qu’elle est en train de me dire est plus que formidable. Cette bonnasse veut me sucer la bite !

Bien sûr que je me laisse faire lorsqu’elle me repousse de nouveau vers l’arrière. Le pantalon sur les mollets, j’écarte bien les jambes en me laissant tomber dans le fauteuil, pour lui donner tout l’espace qu’il lui faut… impatient de la laisser m’offrir ma première fellation, si c’est bien là ce qu’elle se propose de m’offrir. Le regard fiévreux, je l’observe s’installer, curieux mais presque en panique, à bout de souffle tandis qu’elle écrase ses grosses fesses au sol pour se trouver une place qui ne lui est pas trop inconfortable.

« B-bien sûr ! Tout c’que vous voulez, a-allez-y ! »

Les mains fermement ancrées aux accoudoirs, je me tords d’un coup d’un seul vers l’arrière en sentant déjà sa langue repartir à l’assaut. La salope ne s’est pas faite attendre et la revoilà déjà qui bave sur mon sexe, jusqu’à s’attaquer cette fois à mon gros gland, qu’elle avait jusqu’ici délaissé.

« haaaaaaaaan… hmm. HMM… ouiii… oui ! OUI ! Oh, c-c’est trop… trooop… HMMM aaaaah… AH ! »

Le ballet entamé par sa langue sur le bout de mon large sexe me rend dingue. Entre chatouille et vagues de plaisir électrisant chacun de mes sens, je me tords dans un sens puis dans un autre, incapable de lui dire ce qui me brûle les lèvres, de lui avouer ma folle envie de me faire sucer sur l’instant.

Beaucoup trop sensible, je ne peux plus que réagir, me tortiller, soupirer et gémir en profitant de ces sensations de lapements humides dont elle gratifie mon urètre palpitant. Sa langue balaye et chatouille chaque parcelle de cette zone découverte, fait bien le tour des reliefs de ce large bout… et d’une façon si experte pour un novice tel que moi, que j’aurais pu en hurler, si je ne me mordais pas les lèvres si fort.

« MMH… MMMMMH ! MMH-oui, OUI, OUIII… HAAAN, haan je vais, je… je viens, je viens… AAAH !

Déformé de la tête au pied par l’implacable choc que je dois à cette montée trop soudaine de mon plaisir, je me tords soudainement tel un désespéré, décollant mes fesses du cuir du canapé quand elles se serrent… Tout le bas de mon corps tremble. Je n’ai qu’à peine le temps de poser une main sur la tête de ma sulfureuse conseillère de vente, me cramponnant de l’autre au petit meuble, que tout mon bas-ventre vient à se contracter sous les spasmes qui me gagnent.

Ma queue tressaute encore et ripe contre sa langue, pour que mon gland finisse posé contre le bout de son nez quand mon urètre s’entrouvre une toute première fois. Aucun retour en arrière n’est possible et, quand bien même je le désirerais ardemment, je ne peux plus rien contenir, alors que je ne suis même plus en contact avec sa bouche délicate. Le râle qui parvient depuis le fond même de ma gorge est intense… tant qu’il aura sans doute été entendu dans tout le magasin, à n’en pas douter.

« MMMMOOOOOOOOH ! OUII, OUIIIIIIII »

De l’énorme conduit tremblant, se comportant dès lors comme le ferait une gigantesque lance à incendie que l’on ne tiendrait pas bien, s’échappe un premier jet, d’une épaisseur inédite, de ma semence. À bout portant tel que c’est le cas juste ici, le choc de l’impact se fait soudain et violent. L’énorme jet de sauce crépit dans un véritable déluge tout le haut du visage de la vendeuse, scellant ses yeux clos comme à coup d’une épaisse colle dans ses cils, marquant tout autant ses joues que la naissance de sa magnifique crinière au-dessus de son front.

Bien sûr je me recule un peu, tente de contenir l’impact de ce flot trop important de foutre qui s’échappe, alors que mes fesses se reposent dans le fauteuil… mais cela ne suffit guère, quand bien même j’empoigne la base de mon sexe de ma main libre.

Le bout de celui-ci continuant de vaciller à gauche, puis à droite, la seconde salve est quand même plus violente encore, malgré le fait que je me sois éloigné de ma cible involontaire de quelques centimètres. Le second jet lui explose quand même en pleine poire, éclaboussant ses cheveux et arrosant ce qui de ses narines n’avait pas encore été atteint. J’éjacule en quantité sur ses petites lèvres closes et explose assez pour que c’en déborde à grosses gouttes sur son menton. De son joli teint d’ébène, on ne voit déjà presque plus rien après deux jets seulement… et mon orgasme, intense, ne semble pas vouloir s’arrêter là.

« HHHMMM.. OOH O-OH… OOOOHAAAAN »

Pour parachever cette surprenante oeuvre, presque contemporaine, les trois jets suivants ne font que s’intensifier, tapissant ce si joli minois déjà tout maculé de ma purée… bien assez -ou trop- pour que le tout en vienne à couler en de grosses flaques épaisses tout contre sa face. Le fruit de mon extase est si épais, si lourd que ça coule, tombe en vitesse, sous l’effet de la gravité. De grosses gouttes ne cessent de tomber, encore et encore, pour s’écraser dans son décolleté, formant entre ses deux gros seins noirs comme une grosse mare de sperme qui colle à son t-shirt.

Lorsque les vannes se referment enfin, après cette extase du tonnerre, mon énorme queue retombe un tout petit peu, mon gland surplombant ses beaux nichons pour les tâcher de ces quelques gouttes de sauce qui perlent encore.

Au fond de mon siège, je reprends très difficilement mon souffle, constatant, bien désolé, le carnage que je viens de causer.

« Haa-haaa… haa c’était… c’est… je suis désolé, pardon ! J’ai juste pas pu… »

7
Une fois n’était pas coutume : aussitôt tentais-je encore de fuir, de me défiler, que j’étais rattrapé par le caractère fort… entreprenant, de cette bonnasse de caissière en bas résilles.

Son petit « oh » de surprise se teinta d’un brin de déception, qu’elle rendit sans doute perceptible exprès, et je n’eus le temps de rien d’autre sinon d’enlever mes mains de là où elles étaient, quand les siennes vinrent prendre leur place. J’esquissais un hoquet surpris, mais ne protesta pas. Tant parce qu’elle était la professionnelle ici, que parce que jamais une femme n’avait fait courir ses doigts ici.

Je n’ose plus bouger d’un millimètre, car elle s’est approchée encore, comme quelqu’un le ferait pour embrasser son partenaire. Nous sommes presque collés l’un à l’autre et je m’estime heureux d’être bien plus grand qu’elle… ceci me permettant au moins d’aller quérir un peu d’air en hauteur, comme un apnéiste avant de plonger.

Le bout de ses doigts fins agrippe les bords de ma ceinture et ses pouces s’arrêtent contre sa boucle. Soufflant très légèrement en sentant mon corps envahi de frissons continu, je laisse mon sac à dos retomber à côté du fauteuil, et me saisis de ma chemise pour la tirer doucement vers le haut, la sortant de sous mon pantalon.

Plein de gêne, j‘acquiesce, mais obéis, découvrant de quelques tous petits centimètres le bas de mon abdomen, sculpté et légèrement fourni d’une petite toison sombre, annonciatrice de l’épaisse forêt qui surplombe autant mon pubis que mes bourses. C’est une zone bien trop délicate de mon anatomie pour que je ne me sois perdu ne serait-ce qu’une fois à la ratiboiser. Puis allez savoir pourquoi, malgré mon jeune âge, la pilosité est une chose que je trouve plus esthétique, en ces endroits.

« Ffffffff… »

Soufflant entre mes dents, je ferme les yeux d’appréhension, n’ose d’abord pas regarder quand je commence à entendre tinter la ferraille de ma ceinture. Trop curieux et désireux d’apprécier ce spectacle pour la première fois de ma vie, l’un de mes yeux s’entrouvre toutefois… et je continue de zieuter, avec appréhension. Le bout de ses ongles s’infiltre sous le haut de mon pantalon tandis qu’elle attrape la ceinture tout en la débouclant… et je frissonne encore, mes poils se hérissant d’eux-mêmes sur ma peau. Deux de ses doigts pincent le bouton de mon vêtement, le font sauter d’un coup sec… puis ils descendent, effleurant la grosse bosse chaude, dont il se dégage déjà tant de chaleur.

« Hmpf ! »

Ça y est.
La jeune femme ne fait pas dans la dentelle et ne se contente pas d’aller quérir la petite braguette du bout de ses doits seulement, non. Le bas de sa main se pose, s’écrase même presque sur la base de mon début d’érection, tandis que son index et son pouce, eux, s’attellent en effet à dézipper le colosse. J’aurais presque soupiré d’aise, en sentant comme la bosse dans mon caleçon trouvait enfin l’espace dont elle avait besoin, alors que l’épaisse masse se trouvait bien plus libre sans braguette pour la contenir.

Sa petite main droite rejoint l’autre, et toutes deux s’en vont écarter plus encore le tissu de mon pantalon, pour que commence à en ressortir un début à peine de la colossale bosse qui déforme mon caleçon long, le striant du motif dessiné par ces grosses veines qui, doucement mais sûrement, se gorgent de sang. Ses yeux se lèvent un instant dans ma direction et, le souffle court, je rouvre les miens pour la regarder, droit dans les yeux cette fois… chaudement, excité comme je suis perdu, à ne savoir ni que faire, ni ce qu’il est en train de se passer.

Sa main se pose sur la bosse, caresse plus qu’elle ne l’effleure… je déglutis en attendant sa réaction, en attendant la suite, alors que nous constatons tous deux que je suis plus large que la paume de sa main, qui ne recouvre qu’un peu du dessus de ma protubérance. La vendeuse ne sursaute pas, ne recule pas non plus de surprise… seule son expression change, s’illuminerait presque, alors que ses yeux ont vite quitté les miens pour, je le vois, se reposer sur ce qu’il y a sous ses doigts si fins, en comparaison.

Le souffle coupé, je sens de nouveau ce même grand frisson qui me parcourt l’échine, quand ses ongles viennent racler ma peau une seconde fois. Ses mains sont passées sur mes hanches et tirent lentement sur l’élastique de mon bas, qui à cause de mes mensurations, court jusqu’au-dessus de mes genoux. Tout doucement, celui-ci descend, comme descend aussi mon pantalon, et… peu à peu, se dévoile mon aine, mon pubis, bien couvert qu’il est de son épaisse toison brune et entre laquelle, quelques centimètres plus bas, se découvre la base épaisse d’un véritable tuyau de chair, d’une belle lance à incendie encore molle, mais déjà plus large en tous points qu’un avant-bras de notre belle amie vendeuse.

Mon pantalon tombe doucement et difficilement, tout contre mes cuisses bien trop musclées pour rendre la chose aisée. Tout aussi lentement se découvre le reste de l’épais conduit veineux mais encore tombant, jusqu’à ce que, arrivé au niveau de mon genou enfin, celui-ci ne finisse par ressortir d’un petit bond, signalant que même sa pointe avait fini à découvert. Légèrement courbée vers le haut en un début d’arc-de-cercle, sous l’effet de mon excitation naissante, l’énorme queue qu’était la mienne retombait enfin lourdement, à moitié molle, mais sous les yeux de la curieuse enfin…

Ce qu’elle lâcha à cette vue fut si soudain qu’il ne me fut pas compliqué de deviner comme cela était franc, et venait du fond du coeur. La belle, douce… et grosse salope venait de lâcher un « ouaw » qui me réchauffa d’un coup de l’intérieur. Venant de la part d’une jeune experte qui devait en avoir vues bien d’autres, je me sentais comme libéré d’un poids et sentais même poindre plus d’excitation encore alors qu’elle ne prenait pas de gant pour ce qui est de complimenter mon engin.

L’une de ses mains m’effleure, glisse le long de mon épais conduit, et je sens ma chair se serrer dans un énième frisson. Mes veines roulent sous ses tout petits doigts lorsque ceux-ci viennent tracer le contour de mon sexe, passer derrière comme pour le soupeser un peu, avant de se glisser sous mes couilles pour les porter, en apprécier tout le poids…

J’ai beau serrer la mâchoire, je ne peux contenir ce gémissement, ma bouche s’entrouvrant d’aise comme de surprise.

« haan… p-pardon. J’suis désolé. »

Mais sans doute que mes excuses n’ont pas vraiment lieu d’être. Tout aussi vite que tout cela était arrivé, sa réponse ne se fait pas attendre et prend même la forme d’une nouvelle question, qu’elle pose encore de sa voix douce et rassurante. Les doigts d’une de ses mains tentent de m’entourer, se referme en un demi anneau à peine, alors qu’elle me la secoue lentement. Ma peau glisse et vrille sous sa lente caresse, commençant à découvrir, à nu, le bout de mon gland boursouflé.

J’ai du mal à lâcher prise, puisque ce n’est pas vraiment ce que je suis censé faire… toutefois oui, je commence à apprécier, plus que je n’appréhende et plus encore que je ne me sens gêné.
Vivement, j’opine du chef pour acquiescer, les lèvres closes alors que je contiens de lâcher un nouveau témoignage de mon plaisir.

« Mmh… hm hm. Moui… oui c’est… c’est différent, c’est sûr… de quand c’est moi qui l’fais… h-haaa… mh. P-pardon, j’arrive pas à m’en empêcher. »

J’ai presque un sursaut quand les autres de ses doigts viennent enserrer le bout de ma queue, forçant un peu pour que mon gland vienne à se découvrir tout entier. La soudaine caresse de l’air me surprend, mais moins encore que l’effet que me procure ce doigt qui effleure ma grosse pointe sensible.

« OOH ! »

De nouveau, je m’arque légèrement vers l’arrière, sur la pointe des pieds, et manque encore de tomber à la renverse dans le large fauteuil sur le bord duquel je me rattrape pour prendre appui. Il faut dire que… je ne m’attendais pas à ça, lorsque nous parlions de « mesurer » mon sexe.

Pris ainsi au dépourvu, j’éprouve un mal fou à penser, quand vient l’étrange question qu’elle me pose. À sa merci de la sorte, je n’ai rien de vraiment rationnel à lui dire tant je peine à réfléchir. Sa main sur ma bite me fait du bien, et le corps caverneux de celle-ci ne cesse d’enfler pour la faire doucement se lever… comment trouver quoique ce soit d’anormal dans un moment pareil ?!! Pire encore, j’aime qu’elle me touche la queue, qu’elle m’en parle comme ça… et l’entendre me dire qu’elle pourrait se masturber en y pensant m’excite comme un fou. Si la honte est encore là, parmi nous… elle s’est au moins cachée assez loin en cet instant. Bien assez, du moins, pour que je n’y pense pas de suite.

« H-hmm… oui, oui bien sûr. Enfin… je peux pas… mmh… HhaaaaaaAa… hin… j’peux pas vous en empêcher. C’est même… cool, si elle vous plaît. Vous êtes une femme sacrément… sacrémenhAAhaaaaHaann… »

N’a-t-elle pas besoin de faire de vifs mouvements, que tout ça me chauffe déjà grandement. Quelques caresses, quelques compliments, regards et commentaires et je suis déjà dans tous mes états, tandis que je ne sais plus si je dois la regarder me branler, où me concentrer sur ses énormes lolos qui ballottent au rythme de son geste du poignet.

La grosse queue s’est levée, raide et palpitante comme jamais au creux de sa main. Son volume a encore bien augmenté, et celle-ci s’allonge même sur plus de quarante centimètres. Ma peau me tire… c’est infernal. Et pourtant si bon à la fois. Je tiens difficilement debout tant j’ai l’impression de vibrer. Ma bite tremble, gigote, ainsi touchée pour la toute première fois. Déjà si proche de l’extase, je me sens pris de soubresauts que je contiens nerveusement.

La pauvre vendeuse n’a même pas encore sorti son mètre-ruban que je suis près à exploser.

« A-att… moins… moins vite… c’est bon, j-je... vous m'faites bander… »

Et ça pour bander… en un clin d’œil, elle avait réussi à me faire bander comme un âne.

8
Prélude / Re : Soeur Iseult. [Valitronçonnée]
« le: dimanche 24 septembre 2023, 22:31:24 »
Décidément... il serait temps de revoir mes opinions sur la religion, hum.

Bienvenue ici ~

9
Par… chance, la fin d’après-midi qui pointe désormais le bout de son nez sonne aussi la fin du rush de cette heure dans la boutique, visiblement. Sans même être passés par la caisse, les curieux s’en vont doucement, les uns après les autres, après avoir longuement observé ce qu’ils étaient venus voir. La clochette de l’entrée tinte une fois, deux fois, puis encore et toujours pendant de longues secondes. Il reste bien une personne ou deux n’ayant pas fini son tour des rayons, mais celles-ci ne partagent pas le même couloir que la vendeuse et moi nous partageons déjà. Seuls les miroirs disposés plus haut me confirment leur présence… c’est déjà ça qui suffit à me rendre moins nerveux. A priori, personne n’aura rien entendu de notre conversation et c’est pour le mieux.

Quoique réflexion faite, le clin d’œil que me fait la vendeuse en m’assurant qu’il est des femmes préférant des pénis imposants vient gonfler mon ego. J’aurais presque eu envie que les autres femmes encore présentes dans le magasin l’entende me dire ça… ne serait-ce que pour confirmer ces dires, et me réconforter davantage. Évidemment que je me doutais de tout ça, mais peut-être la vendeuse n’avait-elle pas encore tout à fait saisi toute l’ampleur du problème. Je ne parlais pas de gros sexe, mais de « trop gros » sexe. Ce que j’avais accepté de m’en aller mesurer était d’un tout autre niveau encore que ce à quoi l’industrie du X nous avait habitué. Plus épais encore et plus long que tous les membres apparaissant dans ces vidéos aux titres les plus putaclics qui soient, celui dont je faisais mention… le mien… aurait tout pour surprendre même les professionnelles du métier, voire les inciter à demander une prime de risque ainsi qu’une augmentation de salaire en conséquence.

Ces menus détails mis de côté, je devais bien admettre qu’il était bien plaisant de l’entendre me dire des choses comme ça. Que tout pouvait « passer ». C’était là tout l’inverse de ce que j’avais pu lire ou entendre récemment… et cela me rassurait déjà un peu, me redonnait espoir, quant à l’éventualité de pouvoir mener, un jour, une vie sexuelle épanouie.

Comme si je la fantasmais telle une actrice de charme, je réfléchissais un temps à ses mots, me demandant si ceux-ci étaient encore une fois choisis pour me rassurer, ou bien s’ils étaient là le témoignage de son expérience personnelle…

Alors que je la suivais, timidement, mes yeux suivant le mouvement de balancier de ses grosses fesses, j’hésitais à formuler à voix haute toutes ces questions qui me venaient alors en tête. Préférait-elle les hommes bien montés ? Et bien montés comment ? Préférait-elle l’homme en lui-même, ou se contentait-elle de n’importe qui, préférant sa bite à sa personnalité ? Était-elle complètement nympho, aimait-elle se faire prendre par plusieurs hommes à la fois ? L’avait-elle déjà fait ? Est-ce qu’elle aimait ça ? Était-elle complètement en chaleur et était-ce là la raison de son choix de venir travailler ici ? Et quid des caméras de surveillance un peu partout ? S’était-elle déjà fait sauter au travail ? Si oui… alors je serai carrément prêt à acheter l’une des vidéos…

Des dizaines d’autres questions du même type vinrent se bousculer dans mes petites méninges, alors que j’avais été complètement hypnotisé par le rebond du bas de ses fesses contre ses cuisses, juste sous son mini-short. J’en devenais bien trop curieux, m’imaginant à quoi elles pouvaient bien ressembler, nues, et pénétrées par un chibre de grande taille, coulissant lentement au coeur de sa raie.

Je ne m’extirpe vraiment de ces chaudes pensées qu’après avoir passé l’encadrement d’une nouvelle petite porte seulement. Je la quitte des yeux un instant pour réaliser, seulement maintenant, que nous avions bougé… je ne m’en serais presque pas rendu compte, tant cela avait été automatique, mécanique de ma part.

Découvrant la petite pièce, grande d’à peine quelques mètres carré seulement, je m’interrogeais déjà, en me retournant, sur le fait que celle-ci ne soit séparée du reste du magasin que par un fin rideau rougeâtre et transparent. Quelques étagères séparaient un espace grouillant de cartons et de boîtes en tout genre d’un espace un poil plus cosy, mais rien de plus. Une petite lampe à lave éclairait faiblement le cuir d’un grand fauteuil qui trônait dans un coin, face à l’une de ces toutes petites tables basses que l’on achète pas très cher mais qu’il faut monter soi-même. Il semblait y avoir de quoi se désaltérer, ou bien de quoi faire réchauffer son repas du midi, lors de pauses des employés, mais pas l’ombre d’un espace tout simplement prévu pour la fameuse prise de ces… mesures.

Moi qui pensais trouver du matériel, une cabine d’essayage au moins… ou bien ne serait-ce qu’un paravent, derrière lequel me changer, sans risquer d’être vu ou dérangé par un client qui passerait juste dans le couloir adjacent… La vendeuse venait tout simplement de m’emmener dans sa salle de pause.

« Vous êtes sûre que personne ne peut me voir, d’ici ? C’est quand même… très transparent. »

N’ai-je pas le temps d’obtenir la moindre réponse à cette question, pour l’instant du moins, que la caissière sexy repasse devant moi pour me pousser du bout de sa main, posée contre le centre même de mon sternum. Lentement je recule. D’un pas, puis deux, jusqu’à me retrouver les mollets ancrés au cuir du fauteuil, sans que je n’ose pourtant m’y asseoir.

À l’image d’une infirmière en petite tenue échancrée dans un film à très, très happy end, celle-ci passe tout contre sa nuque délicate le mètre ruban dont j’allais supposément devoir me servir. J’avouais sur l’instant ne pas bien comprendre : comment allais-je faire si la vendeuse gardait l’instrument pour elle seule ?
Creusant son dos, elle se pencha un peu, puis un peu plus, et fit gonfler les deux énormes pastèques qui habillaient merveilleusement bien son poitrail. La très faible lumière vint en faire ressortir ses magnifiques pointes dressées à travers son t-shirt… j’eus presque l’impression de sentir mon bas-ventre tressauter à la seule vue de ces larges mamelons qui gigotaient, frôlés par le tissu, tandis que son geste soudain provoquait un rebond de ses seins qui jamais ne sembla vouloir s’arrêter.

Très obéissant, j’avais posé mes deux grandes mains sur la boucle de ma ceinture avant même de prendre pleinement conscience de ce qu’il me fallait maintenant faire. Elle s’était approché plus près qu’elle ne l’avait jamais été… et la chaleur de son souffle dans mon cou vint faire dresser davantage la grosse bosse sous mon vêtement, frôlant l’une de ses jambes, désormais bien trop près.

Cela me surprit et, cherchant à me reculer, je manquais de tomber à la renverse dans le fauteuil. Je me ressaisis vite et parvins à rester debout, mais me pencha légèrement vers l’arrière pour me décoller un peu, et chercher à ne pas la gêner.

« H-hum… oui. Oui. Est-ce que… vous pouvez vous retourner et me passer le mètre ? Dites-moi juste comment faut faire et je vous donne les chiffres. »

Pour cela du moins, il faudra déjà attendre que ceux-ci soient optimaux.

10
C’est quand je suis sur le point de partir, à la recherche d’une d’échappatoire qui me permettrait de fuir mon implacable honte que les choses semblent empirer et s’emballer de plus belle. Comme si le fait d’être surpris dans un tel endroit n’était pas déjà assez honteux pour moi, un ado tout juste majeur, fraîchement sorti de sa salle de classe…

Voilà maintenant que la vendeuse -qui sait pertinemment que je la mate, c’est sûr- refuse de me laisser partir !

Comme si elle n’était déjà pas assez près, la petite mais plantureuse jeune femme s’approche encore, presque trop pour que cela me mette à l’aise. Son ton est doux, calme et… chaleureux, même… mais sans doute un peu trop, d’ailleurs. Cet air, presque de grande soeur, ne m’aide pas, dans la mesure où c’est bien des mensurations de mon pénis dont elle parle, et ce sans vraiment chercher à cacher cette curiosité qui la titille. Quand bien même je tente une parade en cherchant à me défiler, voilà qu’elle fait presque barrage de son corps, pour me bloquer la route, s’approchant assez pour que je sente son souffle se poser jusque dans mon col, insistant pour que sa question trouve sa tant attendue réponse.

Je ne peux bien sûr que me tourner de nouveau dans sa direction, en la voyant venir si près. Mes yeux ont décollé de la sortie, par réflexe, et je la toise désormais de trop près. Aussi grand que je suis à côté d’elle, la hauteur de par laquelle je la domine me donne accès à une vue plus époustouflante encore que toutes les autres sur ce large décolleté, qui semble s’être creusé encore… sans doute la faute à ce téton sombre que je remarque enfin et qui pointe dur, tirant vers l’avant un peu du tissu. Si je n’en avais rien vu auparavant, l’éclairage fait désormais en sorte que je puisse presque tout voir, par transparence à travers son t-shirt blanc : cette large aréole brune transparaissant, si large, en bout de l’un de ses gros obus (probablement un bonnet H, ou double H… ils me semblent si gros maintenant que je les vois du dessus), au centre de laquelle point un délicieux bouton aussi sombre.

Évidemment, en cette seconde à peine je divague… toujours émerveillé que je suis en constatant qu’une jolie femme ne porte pas de soutien-gorge. Juste ça passe encore, mais couplé à son mini-short, ses bas résilles, ses bottines de cuir et à son string dont les ficelles dépassent bien haut, pour qu’il soit sûr qu’elles soient remarquées de tous… j’ai tout bonnement envie de laisser de côté tout féminisme qui soit pour dire qu’elle a tout l’air d’une salope. Pas dans le mauvais sens du terme évidemment, mais plutôt comme moi et mon addiction au porno l’entendons : comme une bonne salope. La regarder m’excite, et ce n’est pas la demi-molle qui commence à tracer un arc-de-cercle dans mon pantalon, tout contre ma cuisse, qui me fera dire le contraire. Ma chair se raffermit déjà, là en bas, alors que défilent dans ma tête des tas d’images tout droit sorties d’un mauvais film X, dans lesquelles une énorme saucisse gifle chacune de ses joues, avant de finir par entrer tout droit dans son décolleté, à travers son t-shirt.

Plus proche de moi, elle me tutoie en plus, comme si j’étais un ami, ou un client fidèle… ou son petit frère, quelque chose comme ça. Je n’ai même pas cette proximité avec les filles que je côtoie tous les jours. Enfin, avec lesquelles je vais en cours… celles qui sont dans ma classe. C’est bien trop étrange, familier et soudain.

« M-mes… merci mais, ç-ça va aller, vous savez. Il faut juste que j’y aille. »

M’aider à faire mes devoirs ? Mais que peut-il bien lui passer par la tête ? C’est chronophage, certes, mais je n’étais plus à l’école primaire non plus, j’étais bien capable de les faire seules, sans un… professeur particulier pour m’aider. Même si l’image que je me faisais des cours particuliers m’apparaissait fort attrayante.
Puis, c’est surtout que des devoirs, je n’en avais aucun aujourd’hui. Rien. J’avais seulement eu des cours de sport, fait quelques activités au sein de ces clubs auxquels je m’étais inscrit, mais il ne trônait en vérité aucun manuel dans mon sac… aucun. Du tout. Pire encore, maintenant que j’y pensais : y résidait bien un « bouquin », une revue, que j’avais recouverte d’un protège-cahier pour faire genre. Il s’agissait d’une vieille revue de charme, du temps où je vivais encore loin des connexions internet haut débit, et dont bien des pages avaient été scellées, collées entre elles par une quantité absurde et faramineuse de mon… plaisir. Non pas que j’y sois retourné souvent et frénétiquement, mais force était de constater qu’en plus de mes mensurations folles, j’étais tout aussi absurdement… fertile, et produisait peut-être cinq à six fois plus de semence que tout ce que les films avaient bien pu me montrer comme étant la… norme.

Repenser à ce cahier manqua de me faire exploser tant j’eus peur que quiconque ne tombe dessus. Dans un coin de ma tête, je me promettais alors de m’en débarrasser une fois pour toutes sur le chemin du retour, mais le clin d’œil que je la vis me faire me sortis vite de mes pensées du moment, pour que j’en revienne plus rapidement encore à celles la concernant.

Sérieusement. Qu’entendait-elle par « tous mes désirs » ? Voilà une phrase et une situation qui m’avait tout l’air tout droit sortie d’un mauvais porno… c’était follement excitant, mais si éloigné de la vie réelle. C’était pas bien de jouer comme ça, avec des mots pareils. Sans doute voulait-elle dire autre chose et que cela n’était pas sorti comme il fallait. Waaaw… il faut faire gaffe avant de dire quelque chose.

Cela dit, elle n’eut pas tort en supposant que jamais je ne reviendrais ici si jamais je partais sur l’instant. J’avais bien trop honte et ça allait me poursuivre pendant des jours, sinon des semaines. J’étais bien capable d’éviter le quartier tout entier jusqu’à la fin de ma vie, pour ne pas y être reconnu.

Tout de ses mots et de sa conduite paraissait ambiguë, j’imaginais plein de choses et mes pensées dépassaient sans doute de très loin toute rationalité qui soit, toutefois… toute pensée se coupa nette dans ma tête d’un coup d’un seul, comme si j’avais buggé, alors que je pris un air interrogateur en la regardant. C’était une professionnelle. Elle en avait vues d’autres et cela ne voulait sûrement rien dire, elle ne me toucherait sûrement pas et se contenterait de me guider pour me pousser à faire des achats dans son magasin, comme n’importe quel vendeur-conseil… mais, je ne pus m’empêcher d’y penser lorsque la vendeuse me dit qu’elle pourrait m’aider à la mesurer : cela voudrait forcément dire montrer ma grosse bite à cette fille, la plus bonne de toutes celles, et de loin, que j’ai pu rencontrer. Cela voulait dire bander, et la voir me regarder…

Et étrangement, cela m’excitait bien plus que ça ne me faisait honte. Ce n’est pas tous les jours que l’on pouvait s’exhiber ainsi devant une femme qui nous attire. Je m’avouais à ce compte bien curieux, à l’idée de voir quelle serait sa réaction, si tant est qu’elle en ait une dépassant son professionnalisme. J’appréhendais, évidemment, à l’idée qu’une autre femme soit également repoussée, voire atrocement effrayée en voyant l’immense masse que représentait mon engin, proportionnellement au reste de mon corps… mais zut, quoi. Plus je la regardais, elle, son gros cul, son string, ses énormes lolos qui pendaient nus et pointaient sous son t-shirt, plus je me disais que j’aimerais qu’elle me regarde bander.

Avalant difficilement ma salive, je regardais nerveusement à droite, puis à gauche, cherchais un je-ne-sais-quoi du regard, comme pour esquiver la charge de ma propre réponse à ses questions, tout comme je voulais esquiver cette proximité, qui me donnait à la fois l’envie de la fuir, comme celle d’être plus près encore… beaucoup plus près. Entendez : faire des centimètres qui nous séparent un nombre négatif.
Comprendra qui pourra.

« C’est vrai… hum. Ok alors. O-on… on fait ça, si vous voulez bien. Est-ce que… c’est rapide ? »

Évidemment. Je venais d’accepter de montrer mon engin à demi-dur à une parfaite inconnue, n’allez pas non plus croire que cela se ferait sans gêne. Ce pourrait être une expérience sympa, ça oui… mais j’avais encore très hâte de me barrer d’ici ! Au moins, j’aurais réussi à trouver des préservatifs à ma taille.

« Est-ce que c’est des tailles… normales ? Pour quelqu’un. C’est pas… trop gros, pour une femme ? »

Qu’elle aussi comprenne ce qu’elle pourra, je venais à demi-mot d’avouer, sans m’en rendre compte, que j’étais encore vierge.

11
C’est fou comme je suis de moins en moins à l’aise tandis que je me trouve ici, au rayon des capotes d’un sex shop, conseillé par cette véritable bombe qui n’a de cesse de répondre à mes discrets coups d’œil dans sa direction par de petits sourires amusés… et presque flattés.

Sans doute mon teint aura-t-il viré plus encore au rouge tant je suis convaincu qu’elle m’a vu la mater, avant de me sourire comme ça. Perdu de trop nombreuses secondes à bouffer des yeux ses deux merveilleux nibards. Mes yeux avaient croisé les siens lorsque j’avais relevé la tête, et avais-je pu voir ses yeux suivre le mouvement des miens, avant que sur ses lèvres ne s’esquisse un de ces petits airs qui en disent long.

Sans forcément mener à plus, est-ce que c’était son truc ?
Après tout, pour travailler dans un truc pareil, j’imagine bien qu’il fallait en avoir un, être assez ouvert, tout ça… mais son truc à elle, est-ce que ce serait ça ? Elle aime se faire mater ? Foutue comme elle est, aussi… elle ne devait clairement pas se priver. N’importe qui de normalement constitué devait se retourner sur son passage, la dévorer du regard comme je ne pouvais m’empêcher de le faire. Elle était beaucoup trop bonne.

Il fallait dire aussi qu’une tenue pareille, avec de tels… « arguments », avait de quoi faire tourner les têtes. La mienne la première.
C’était clairement indécent, pour ne pas dire complètement vulgaire. Et moi… je trouvais ça absolument torride. Sexy. Habillée comme ça, la vendeuse, qui ne devait pas être beaucoup plus vieille que moi, étonnamment, avait tout l’air d’une actrice porno en plein tournage. Ou bien d’une… d’une… du genre que l’argent convainc facilement, pour dire les choses ainsi.

Si tel avait été le cas, nul doute que j’aurais pu claquer une année entière de mon argent de poche pour la voir à poil… et pour profiter un peu de ses charmes ahurissants de sorte à perdre ma virginité une bonne fois pour toutes.

En attendant, ces pensées bien trop osées mises à part, j’avais presque coupé ma respiration, au moment où ces yeux finirent par se décrocher des miens. Gêné plus qu’il n’en fallait après avoir posé ma question à cette professionnelle à l’écoute, je ne savais plus où me mettre, mais ne pu m’empêcher de remarquer comme son regard dériva, après que je lui ai demandé si son magasin vendait des préservatifs plus larges que ceux déjà dits « grande taille ». Au rapide mouvement que firent ses petites pupilles, il me fut aisé de comprendre qu’elle ne s’attarda pas plus d’une demi-seconde à peine sur la partie supérieure de mon uniforme scolaire. Ni sur ma chemise blanche, sur ma cravate, ni sur le blazer sombre qui les recouvraient, non… ce qui l’intéressait à la simple évocation de mon « problème » se trouvait évidemment plus bas.

S’étant discrètement rapprochée d’à peine un pas, la caissière du sex shop venait, sans aucune honte, de fixer l’épaisse et saillante protubérance qui déformait le tissu grisâtre de mon pantalon d’uniforme. Incapable de faire le moindre mouvement, figé sur place, je la regardais faire sans un mot, le souffle coupé. Je voyais comme ses yeux curieux descendaient encore et encore, et pu ainsi aisément deviner quelle était leur course. Toisant mon bas-ventre de toute sa hauteur, je su quand son regard fut arrivé assez bas pour qu’elle ait tout vu. Ses yeux avaient dû s’arrêter juste au-dessus de mon genou gauche pour finir leur course sur l’épaisse excroissance terminant mon sexe. Même au repos, la taille de celle-ci, comparable à celle d’une petite pomme, était telle qu’il n’était en rien compliqué d’en imaginer la forme, même recouverte de son petit cache de peau et d’un peu de tissu.

J’avais dû commander à l’école un pantalon un peu plus large, à la rentrée… mais celui-ci était à laver aujourd’hui. Celui que je portais aujourd’hui était d’une taille plus… standard, convenant parfaitement à ma morphologie quelque peu atypique, mais pas à ces impressionnantes mensurations que le summum de ma puberté avait su me conférer… il n’y a pas si longtemps que ça.

Gloups. Figé, toujours, j’ai l’impression de suffoquer lorsque son sourire s’élargit, de façon plus coquine que je n’aurais pu l’imaginer, quand je devine qu’elle mate la forme de mon gland pointer sous mes vêtements. Mon dieu que je suis gêné… et étrangement excité en même temps. Ce n’est pas comme si elle semblait horrifiée par ce qu’elle regarde… au contraire. Ou bien est-ce parce que c’est son métier, un peu comme les médecins. Mais sourirait-elle comme ça si c’était le cas ?

Une fois encore, je manque de sursauter quand sa voix me sort soudain du tumulte de toutes ces pensées parasites. Ses yeux se sont relevés d’un coup alors que je ne m’y attendais pas et j’eus à peine le temps de détourner le regard… pour ne pas dire : je sais que vous regardiez ma bite. Quoique dans le cas présent, un peu comme avec un médecin encore une fois, cela aurait pu être normal. Non ?

Je manque clairement d’assurance quand je réponds, faisant de mon mieux pour ne pas paraître aussi gêné que je ne le suis… Mais je suis sûr que cela doit s’entendre à ma voix, alors qu’elle me parle de préservatifs sur-mesure, et du sexe d’un autre de ses clients. Pour qu’elle m’en parle ainsi, j’en venais à penser qu’elle avait dû la voir, cette queue si épaisse selon elle… je finissais même par me demander si elle l’avait touchée.

« Ha ha… eh biiien… cool. Super. J’veux dire, c’est parfait. J’imagine… »

Je suis bien trop décontenancé pour penser comme il faut, pour rester rationnel. Je suis clairement en train de parler de mon sexe avec une fille d’à peu près mon âge, que je mate et qui mate clairement elle aussi ce qu’il peut bien y avoir dans mon pantalon, et qui me raconte sans la moindre gêne que rencontrer des types bien montés est dans ses habitudes. Professionnelles j’entends… mais dans ses habitudes quand même.

« J’imagine que… il me faudrait un truc comme ça. »

D’une circonférence trois fois supérieure à la normale ?
Sans doute. Peut-être même plus, dans la mesure où ce ne serait là qu’un préservatif qui conviendrait à mes mensurations du moment. En vérité, je n’avais aucune idée précise de ce qu’il me faudrait en pleine érection. Fallait-il dire aussi que celles-ci étaient rares, tant il y avait de chair et de poids à irriguer. Le plus souvent, mes érections ne devaient être que ce que l’on appelle des demi-molles, généralement… il fallait que je sois vraiment très, très excité, pour que ç’en arrive au point où, même nu, cela en devenait relativement douloureux. C’était le cas, parfois, quand je ne pensais qu’à ça toute la journée… quand cela me prenait en plein cours le matin, et qu’il fallait que j’attende d’être rentré pour me soulager, alors que mes pensées avaient été grignotées par le vice des heures durant.

N’eus-je pas le temps d’y penser plus -en un sens, heureusement- que je sentis le regard de la vendeuse se reposer sur moi avec malice, avant qu’elle ne fasse volte-face subitement.
Je n’étais pas bien sûr, sur le moment, de quelle mouche avait bien pu la piquer. Elle s’était tourné si vite que je n’eus le temps de rien, même pas un mot, sinon que de la suivre du regard, alors qu’elle s’éloignait dans le rayon, en direction de sa caisse, à quelques mètres seulement.

Sans doute dois-je me faire plus précis. Elle n’a pas disparu subitement. Elle s’est seulement retournée vite. Comprenez que, allez savoir là encore si elle le faisait exprès, qu’elle s’éloigna même plutôt lentement, dans une démarche excessivement chaloupée…
Elle roulait tant du cul que je ne pus ne pas le remarquer : ses fesses étaient vraiment très… très grosses. Pas sûr qu’il m’ait été donné d’en voir de pareilles chez mes compatriotes nippones, même chez certaines de mes professeures « les mieux faites ».

À le détailler ainsi, c’est autre chose que par le reflet du miroir, c’est sûr. Bien sûr j’avais remarqué comme ses hanches étaient larges et comme elles permettaient aux ficelles de son string de tenir sur le haut de celles-ci… mais d’ici, c’était bien différent. Mince alors, au plus tendre de sa chair, son cul paraît si gros qu’une seule de ses fesses semble presque aussi large que mes deux cuisses côte à côte, aussi musclées soient-elles. Devant mon regard ébahi, il roule et rebondit, même ainsi, en bougeant à peine. Le mini-short en jeans qui le recouvre le couvre à peine, me laissant entrevoir le bas de ses reins en haut… comme la naissance de ses fesses rondes par le bas, strillée par ces bas, dont la seule vision commence à faire tambouriner mon coeur dans ma poitrine.

Sa démarche est rythmée de façon si lente… je me demande même si elle ne sait pas déjà que je suis encore en train de la mater.
Cela m’arrangerait bien qu’elle aime ça, moi qui n’ai jamais vu la moindre femme nue de toute ma vie ailleurs que dans des magazines ou sur le net. Si c’était ça… alors peut-être que je n’me priverai pas à passer la regarder un peu tous les jours, après l’école, ne serait-ce que pour voir quelle nouvelle tenue de ce style la met en valeur un jour ou bien un autre… peut-être.

Me mettant sur la pointe des pieds pour continuer de la voir tandis qu’elle passe derrière l’étal, au bout du couloir d’à côté, je finis par tracer moi aussi la même route, pour me poster au bout de l’allée, près de la caisse. Presque étalée de tout son long, penchée sur la caisse bien trop basse, la vendeuse tapote je ne sais quoi à l’écran, si vite d’un côté, puis de l’autre de celui-ci, que ses gros seins en ont la tremblote. Son large t-shirt s’ouvrant encore plus dans cette position, j’ai là presque vue sur tout son balcon… sans pour autant être capable de deviner si elle porte un soutien-gorge ou pas, une fois encore. Ses obus sont si massifs, difficiles de tout voir, même avec un décolleté pareil.

Tout ce que je peux voir, même d’aussi près, c’est la pureté impeccable de sa peau, sans imperfection aucune, comme sa peau d’ébène clair reflète merveilleusement la lumière des petits néons blancs qui illuminent l’espace. C’est comme si ses nichons brillaient. Et comme si son cul aussi. Elle devait avoir la peau douce, et sacrément agréable au toucher.

Avec un corps comme le sien, nul doute que son ou ses partenaires devaient s’en donner à coeur joie. Lui péter l’cul devait être génial… et sa peau devait tout particulièrement bien faire ressortir la couleur de la semence que l’on devait parfois expulser sur son corps. Forcément qu’avec un métier pareil, elle devait avoir de… l’expérience, et aimer faire des folies de son corps. Peut-être même essayait-elle elle-même la plupart des produits qu’elle mettait en vente ? Allez savoir, j’sais pas trop comment ça fonctionne, mais j’imagine qu’il faut bien s’y connaître un minimum pour conseiller les gens.

Alors qu’elle semble s’étirer, ou du moins… bouger, je sens cette fois venir le moment et tourne la tête pour regarder ailleurs quand elle se redresse soudain, pour faire mine de rien.
Aussitôt s’approche-t-elle, tout aussi près de moi qu’elle l’avait été tout à l’heure, que je comprends à ses mots ce qu’elle était partie chercher. Forcément que cela avait un rapport avec ce fournisseur sur-mesure qu’elle avait mentionné à peine deux minutes plus tôt. Je sais pas bien ce que j’imaginais… à part elle, bien sûr.

Je lâchais un petit soupir, soulagé d’abord, d’une certaine manière, d’apprendre qu’il était peut-être possible de trouver un préservatif à ma taille. Toutefois, après une toute petite seconde de réflexion, force était de constater que cela ne réglait absolument pas mon problème : c’était du sur-mesure, pas un truc que l’on trouve simplement dans le commerce. Cela me rangeait encore dans la fameuse catégorie « hors-norme », et ne m’aidait en aucune façon à savoir si mon sexe pourrait un jour pénétrer celui d’une femme. À cette pensée, un second soupir plus contenu vint s’ajouter au premier… de déception cette fois.

« hhaa… T-Takezo. »

Mais en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la déception fait de nouveau place à la surprise, quand la jolie vendeuse, revenue vers moi, finit sa phrase en me toisant de nouveau. Quelle… taille ?
Mais enfin, je ne sais pas ! Comme je le disais… 6, 7 ou 8XL peut-être ? Peut-être plus ? Je l’avais bien mesurée, une fois, alors que j’avais une demi-molle du tonnerre, et étais arrivé à la conclusion qu’elle était large sur pas moins de 8 ou 9cm de diamètre, et faisait presque 40cm de long… mais au maximum de mes « capacités », jamais n’avais-je réussi à surpasser ma frénétique envie de jouir pour aller attraper un mètre ruban. Qui ferait ça ?!

Me reculant d’un demi-pas, voilà que je me gratte la tête, gêné et de nouveau face à une situation qui me paraît inextricable.
Jetant un très bref coup d’œil vers la sortie, j’hésite…

« En fait j’suis pas sûr. Trois fois la taille d’un élastique normal, c’est gros comment ? C’est que… il me faut… les deux mains pour… vous voyez. Mais pour la taille exacte, je sais pas trop. Est-ce que je peux revenir demain ? Ou rappeler au magasin pour vous communiquer tout ça ? »

Pas sûr que j’ose revenir, mais un jour c’est sûr… je prendrai le temps de prendre une cote précise de ces fameuses mensurations.

Feignant de regarder l’heure sur une montre que je n’ai même pas, je regarde ailleurs une fois de plus, après avoir vite fait rabaissée la manche de mon uniforme.

« Pour aujourd’hui il se fait tard, il faut que j’aille faire mes devoirs… »

12
Je manque de faire tomber cette fameuse boîte de 12 préservatifs « 4XL hard hard pleasure & sensations » lorsqu’une main se pose d’un coup sur mon épaule. Quand bien même celle-ci se fait prévenante et douce, c’est tellement inattendu !

Et si c’était le type bizarre de tout à l’heure ? Me dis-je alors l’espace d’un très bref instant.

Heureusement il n’en est rien, comprends-je alors quand s’élève cette petite voix douce et posée, censée joindre le geste à la parole de mon interlocuteur surprise. La question se pose toutefois subitement comme une évidence quand je l’entends : est-ce vraiment mieux qu’il s’agisse là de la voix d’une femme ? Pris de panique, je bafouille encore et manque une nouvelle fois de faire tomber la petite boîte que je viens à peine de reposer. J’ai compris à la question qui vient de m’être posée qu’il s’agit là d’une vendeuse… et c’est pour moi une situation pire encore que toute autre. Enfin je crois.

« Ah ! Euh… Bonjour. Non, non. »

Est-ce que c’est… la caissière du magasin ? Je ne l’avais même pas vu quitter son poste. J’étais tellement obnubilé par cette affaire de capotes très grandes tailles que je ne l’avais même pas entendu s’approcher. Et que faire si c’était elle ? J’veux dire… vous avez vu comme moi, dans ce miroir : ces gros pare-chocs si ronds et lourds, ces deux énormes fesses bien dodues et rebondies qui se dandinaient, saucissonnées de façon si provocante dans toute cette ficelle affriolante… clairement, j’étais pas de taille à affronter un truc pareil ! J’avais déjà bien du mal à faire tenir sur la durée une conversation avec les filles de mon lycée, alors là…

Même si ses mots sont choisis pour me mettre à l’aise, je ne le suis évidemment pas du tout, tandis que la main de la vendeuse est toujours posée sur mon épaule. J’ai pas vraiment… l’habitude, qu’on me touche. Encore moins une fille. Une parfaite inconnue qui plus est… puis, foutue comme ça, en plus… S’il ne me fallait pas tant de sang pour me gorger pleinement, j’aurais très bien pu avoir une érection à ce moment même, à seulement imaginer son corps tel que j’avais pu l’entrevoir. Fort heureusement, ce ne fut pas le cas, mais la chose n’en était pas plus aisée pour autant.

Poussé à lui répondre, ne serait-ce que par convenance et politesse alors qu’elle s’adressait à moi, je ne me tournais qu’à demi en lui rendant un sourire censé cacher ma gêne. Les yeux clos, je la remerciais seulement d’un petit mouvement de tête amical, faisant encore tout pour ne pas la regarder en face.

« Merci, c’est… enfin… »

Mes yeux ayant bien sûr fini par se rouvrir, ne pouvant plus rester plissés plus longtemps, j’apercevais enfin la divine créature qui s’était d’elle-même mise sur ma route. Bien plus petite que moi, je dus baisser la tête pour détailler les traits de son visage et… de cette position évidemment, je ne pus manquer tout le reste, alors que je la toisais de haut malgré moi. Si son visage semblait doux, finement taillé et très sympathique -pour ne pas simplement dire qu’elle était mignonne et sacrément plus jeune que ce à quoi je me serais attendu-, tout le reste, lui, me sautait en pleine face comme s’il s’agissait d’une provocation du démon.

À quelques centimètres de moi à peine, un peu plus bas, ballotaient comme des pastèques bien mûres ses deux très gros seins, à peine retenus dans ce t-shirt un peu large et lâche, mais qui offrait sur eux une vue des plus plongeante. Depuis mon point de vue surtout. D’ici, je pouvais presque voir se dessiner le sommet de son abdomen, à travers l’interstice étroit formé par ces belles mamelles.
Est-ce qu’elle portait un soutif, au moins ? Non, il ne fallait surtout pas que je me pose cette question.

Bien sûr que je bafouillais de plus belle en lui faisant ainsi face. D’ici, je pouvais voir comme la ficelle de son string marquait la chair de ses hanches tendres mais fermes, comme le faisaient aussi celles de ses bas qui ficelaient ses cuisses…

Mon regard ne s’était perdu qu’une seconde à peine, ou deux, mais déjà avais-je la sensation que c’en était bien trop. Mes yeux pivotèrent d’un coup pour regarder ailleurs et je pus sentir comme mes joues se réchauffèrent encore elles aussi. Ainsi près d’elle, je faisais de mon mieux, bataillais pour ne pas la regarder, ni pour trop penser. À la voir de si près, je m’imaginais encore mater son gros cul dans le reflet du miroir… en venant presque à espérer qu’elle me laisse le mater de plus près en s’éloignant pour regagner sa caisse. Ou bien qu’elle se baisse pour ramasser quelque chose, que son short glisse un peu sur l’arrière de ses fesses, pour que je puisse les voir ne serait-ce qu’un tout petit peu dans ces bas… et dans ce joli petit string qui devait lui aller à merveille.

« Hum ! »

Toussotant un peu nerveusement, je chassais vite ces idées de mon esprit… avant qu’elles ne reviennent aussitôt d’elles-mêmes, au triple galop. Un court instant, j’en aurais presque oublié ce pour quoi j’étais là, en plein milieu de ce rayon.

Me retournant en direction de ces boîtes, je cherchais un moyen de me dépêtrer de ce moment quelque peu difficile à passer. Il fallait que je l’éloigne, que je l’occupe… que je fasse quelque chose pour ne pas paraître plus idiot encore…

Mes doigts se refermant de nouveau sur la boîte de « 4XL hard hard pleasure & sensations », je reprenais celle-ci en main et tapotait du bout de celle-ci l’écriteau mentionnant les tailles plus grandes de la gamme. Sans doute trop grandes pour être vendues à destination d’êtres humains, faits de chair et de sang… à quoi pouvaient-elles bien servir alors, c’est une toute autre question. Enfilait-on des capotes sur ces énormes godemichets du rayon d’à côté ? Allez savoir.
Avant d’oser poser ma question, je priais pour que la jeune femme ne s’imagine pas des choses…

« À vrai dire, euh… »

Fuyant son regard, je luttais encore plus pour ne pas retourner mater ses magnifiques nichons, qui semblaient m’attirer comme la gravité nous attirent tous au sol, lorsque l’on tombe. Quitte à parler proportions, c’était là une vraie question qui vint se poser dans ma tête sans que je ne lui demande d’apparaître là : sérieusement… bonnet F, G ? Plus ?

M’écartant timidement du puissant rayon gravitationnel formé par son décolleté, je forçais mon regard à aller se poser bien ailleurs. Je croisais brièvement son regard, mais n’osa jamais le soutenir, préférant plutôt détailler les contours de ses joues, ses cheveux ou encore ses oreilles… tout, pour ne pas la regarder en lui demandant :

« Est-ce que vous en avez des… plus larges ? »

Priant intérieurement pour qu’elle aille chercher cela en arrière-boutique, où elle se perdrait assez longtemps pour que je disparaisse en vitesse, je renchérissais même… quand bien même trouver « chaussure à mon pied » m’aurait sacrément soulagé.

« Peut-être 6 ou 7XL… ou 8 ? »

13
Ayant surpris une autre conversation entre ses deux sœurs aînées à son propos, Takezo n’a que peu fermé l’œil au cours des dernières nuits, bien trop préoccupé par leurs dires et moqueries tandis que, à son âge, les hormones n’ont déjà de cesse de le travailler.

Quelques jours auparavant, Tomie, l’aînée des deux, avait surpris son jeune frère sous la douche, alors qu’il avait encore oublié de fermer la porte de la salle de bain. Quelle surprise que la sienne lorsqu’elle s’était retrouvée nez à nez avec ce qui aurait tout à fait pu être un python, qui aurait mordu son frère à la cuisse. L’énorme chose qu’elle avait eu le malheur de voir l’avait un court instant stupéfaite, mais l’avait tout aussi vite fait fuir en hurlant, horrifiée qu’elle était.

Le soir-même, Takezo eut droit aux rires incessants qui perçaient à travers le mur séparant sa chambre de celle de ses sœurs. Entre elles tout d’abord, puis au téléphone ensuite, la nouvelle semblait faire le tour de toutes leurs copines : quand bien même certaines les aimaient bien grosses, il était improbable que le garçon trouve un jour chaussure à son pied, ainsi littéralement monté comme un cheval, répétaient-elles à tue-tête. Les rires et affreux surnoms perdurèrent et se multiplièrent même presque toute la nuit durant alors que le garçon, honteux, couvrait ses oreilles avec des coussins pour ne plus les entendre. En haut-parleur, il les entendaient toutes… s’offusquer ou se moquer. Même celles qui se disaient curieuses à l’idée de voir ça en vrai étaient catégoriques à ce propos : il restait hors de question pour elles de coucher avec un mec ainsi fait, quand bien même celui-ci aurait été le plus beau des hommes sur Terre.

Décontenancé par ces mots durs et parfois même méchants, Takezo n’eut de cesse de les entendre comme en boucle dans sa tête les jours suivants, se convainquant encore une fois que, même s’il arrivait un jour à draguer une fille, jamais il ne serait capable de perdre sa virginité avec celle-ci. Après tout, et quand bien même il avait cherché durant des jours entiers, même dans les pornos, aucun autre type ne semblait en avoir une aussi grosse. À titre de comparaison c’est pour dire, le pénis de notre jeune adolescent semblait aussi gros et long au repos que les plus gros engins qu’il ait pu voir tourner, en érection, dans toute l’industrie…
Déjà dans une impasse, il espérait évidemment qu’à ce niveau là, sa croissance soit terminée pour de bon.

Obnubilé par la terrible idée de ne jamais rien pouvoir faire de son sexe, c’est après les cours, en fin d’après-midi, que notre jeune accro au porno décida de faire un petit détour parmi quelques allées du quartier chaud de la ville avant de rentrer faire ses devoirs.

Son regard illuminé par de nombreux néons roses et rouges, plus chatoyants et criards les uns que les autres, Takezo finit, après un moment, par jeter son dévolu sur la boutique qui semblait être la plus discrète du coin. À l’abri des regards et des étonnants mouvements de foule du petit quartier, celle-ci lui semblait évidemment plus… discrète et accueillante, avec ses rideaux tirés en façades, comme pour masquer et préserver l’anonymat de sa clientèle.

Après une grande inspiration, prise pour se donner du courage, le garçon poussa la petite porte, faisant se déclencher la petite clochette à l’entrée, qui annonçait l’arrivée d’un client.
Aussitôt le grand jeune homme baissa la tête et détourna le regard pour ne pas risquer de croiser celui d’un vendeur ou d’un autre client, et il prit la direction de la première allée possible pour dissimuler sa présence.

Il n’y avait évidemment pas foule ici, comme dans un supermarché, mais la petite boutique n’était toutefois pas vide. Quelques clients défilaient ça et là entre les petites allées. Tous n’avaient pas forcément l’air très nets, et Takezo fit ainsi de son mieux pour ne croiser le regard d’aucun d’entre eux. Certains étaient masqués… contrairement à lui. Il eut même peur de tomber sur quelqu’un qui le reconnaîtrait.



M’étant enfoncé hasardeusement dans la première allée qui soit, celle qui faisait presque directement face à l’entrée, je m’avançais, le rouge aux joues, entre ces étagères et bibliothèques pleines à ras-bord de DVD, qu’observaient aussi quelques types un peu louches, disséminés sur toute la longueur du couloir. Des films, il devait y en avoir des milliers, des dizaines de milliers, même… mais je me surpris à finir par sourire malgré la gêne, au bout d’un moment, m’étonnant du fait que j’en reconnaissais beaucoup, que j’avais vus une fois ou… parfois bien plus.

Baissant les yeux pour ne toujours croiser le regard de personne, je continuais de m’avancer en esquivant les deux-trois types qui, eux aussi, semblaient aux aguets à l’idée d’être vus ici. Au détour d’une allée en direction d’une autre, je levais les yeux vers le grand miroir de circulation disposé de ce côté du rayon, et tentais de trouver une place depuis laquelle on ne pourrait voir ma tête. Prenant le reflet de la caisse pour référence, je faisais un pas de côté, puis un autre… me convainquant du fait que si je ne voyais pas le visage du caissier, alors il ne verrait pas le mien non plus. Elle, pardon. C’était… une femme.

M’apercevant que j’avais fini au beau milieu d’une nouvelle allée pleine de godes, rangés par ordre croissant de taille, je tentais alors de me planquer de nouveau, et observais avec plus d’insistance et de précision le placement de la caissière, pour être sûre qu’elle ne me voit pas ici.

« Waaah… »

M’étant un peu approché, j’avais fini par obtenir une vue presque en gros plan de la caisse depuis le reflet du miroir. Je ne pouvais alors pas voir le visage de la vendeuse qui s’y tenait, mais en voyais désormais bien assez pour que le spectacle me surprenne… aussi bien avais-je soufflé tout bas, surpris de voir comme, physiquement, la vendeuse également semblait tout droit sortie d’un porno. Penchée sur son téléphone, depuis le comptoir, cette dernière ne semblait presque rien dissimuler de sa féminité, sous cet énorme décolleté que lui faisait son petit haut. Ses deux énormes lolos ballotaient, s’entrechoquaient et s’écrasaient en rythme sur le comptoir à chacun de ses très lents mouvements… C’en aurait presque été hypnotisant.

Au détour d’une autre allée, m’offrais-je son reflet dans un miroir autrement positionné, et avais presque vue sur elle de dessus, par jeu de reflet d’un miroir à un autre. Ses fesses semblaient tout aussi énormes que l’étaient ses seins, comprimés dans un short en jeans si court et moulant qu’en ressortaient les ficelles de son string qui lui marquaient si bien les hanches. Sous celles-ci, des bas résilles, qui strillaient sa peau, pour terminer par de grandes bottines de cuir… Waw. J’en aurais presque eu le cœur qui bat la chamade, c’était vraiment sexy.

Perdu un peu trop longtemps à jouer de ces positionnements de miroirs, je n’en avais remarqué que trop tard la présence de cet homme plus âgé, qui semblait guetter mon regard d’un air amusé et lubrique. Déglutissant, gêné et quelque peu dégoûté, je tournais vite les talons, me décidant à vite trouver ce que j’étais venu chercher, ce pour m’en aller au plus vite de cet endroit.

Jetant un œil discret par-dessus les étals, je trouvais enfin le rayon que j’étais venu chercher, vide, heureusement, de tout occupant : celui des capotes. Mon idée était simple et était donc la suivante : s’il en existait à ma taille, alors c’est qu’il serait tout aussi naturel pour moi que pour n’importe qui d’autre de coucher avec une femme… un jour. Cela voudrait dire que c’est faisable, normal ou qu’en sais-je… Que je ne suis pas seul dans ce cas, et qu’il est possible d’avoir une vie épanouie.

Vide comme il était, ce rayon me paraissait gigantesque, presque interminable. Les marques les plus connues y disposaient l’intégralité de leurs gammes… et les moins connues aussi. Il y avait des packs, des lots, de goûts ou des formes, des nervures… des qui brillent dans la nuit, comme pour jouer au Jedi dans le noir… mais j’avais beau balayer le rayonnage du regard, aucun des modèles dits « XL » ne possédait d’élastique d’un diamètre suffisant. J’avançais encore, jusqu’à cet écriteau affichant « très grandes tailles », et terminais presque au bout de ce long couloir, à deux pas de la caisse, mais encore un peu caché du regard de tout vendeur.

Du bout du doigt, je parcourais les boîtes, en retournais quelques-une pour observer les consignes d’utilisation et autres dimensions indiquées. Désemparé tandis que même après d’intenses recherches, je ne trouvais rien ne convenant à au moins 8cm de diamètre, je m’avouais déçu… et presque vaincu, en constatant qu’il ne me restait plus beaucoup de boîtes à inspecter sur cette toute dernière étagère.

Mon regard finit par s’arrêter sur un petit écriteau disant : « Tailles 5XL et + sur commande, merci de vous renseigner en caisse pour plus d’informations ; ) ».
Gêné, je passais très légèrement ma tête au-dessus du rayon, mais me ravisais plus vite encore, de peur d’être vu par la vendeuse. Il était hors de question que j’aille demander un truc pareil à quelqu’un. Si de plus grandes tailles existaient, j’irai voir ça sur internet.

Soupirant tout doucement, je replaçais sur l’étagère la boîte de préservatifs dénommée « 4XL hard hard sensations & pleasure ».

« Pffff… »

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Le palais d'ivoire / Re : Serpents et sable chaud (One-shot - PV Iris)
« le: mercredi 06 septembre 2023, 19:03:15 »
À n’en pas douter, le jeune garçon qui sommeillait là, à demi recroquevillé sur lui-même, aurait préféré à sa torpeur et à ses maux du moment les prodigieuses caresses qui allaient lui être prodiguées sous peu.

Quand bien même celle-ci semblait baisser miraculeusement au bout de quelques heures seulement, la fièvre tenaillait encore toujours ce grand bout d’homme, pourtant si grand et fort pour son âge. Des heures durant, ses lèvres fines n’avaient eu de cesse de se serrer, alors qu’il marmonnait des choses inaudibles, tant et si bien que l’on aurait pu le croire en plein délire, aux portes de la mort.

En vérité, à sa douleur avaient fini par s’ajouter mauvais rêves et souvenirs encore bien vifs, de ce matin même, où tout lui avait été subitement arraché.

Dans son esprit encore trouble se succédaient ainsi en nombre des images atroces, dans lesquelles voyait-il, en boucle, ses plus proches amis mourir les un après les autres. Encore et encore.

Ainsi pris au piège de ses propres méninges, ne put-il même pas voir s’approcher, ni détailler de ses yeux les deux jolies nymphes qui s’approchaient de son lit, tout en l’interpellant de leurs voix douces. Le sucré de leur parfum vint certes chatouiller ses narines qui s’écartèrent pour mieux le respirer, mais cela ne suffit bien sûr pas à l’extirper de ce sommeil trop profond pour n’être qu’une simple sieste.

Il ne les sentit même pas s’approcher davantage, tout comme il ne les sentit pas non plus, lorsqu’elles le firent basculer de sorte à ce qu’il soit de nouveau allongé sur le dos. Sa mâchoire se crispa et ses dents se serrèrent sous la douleur alors que la plaie à son ventre vint le lancer vivement, mais rien n’y fit cependant : l’état du garçon était encore bien trop préoccupant pour que celui-ci ne s’éveille. 

C’est lorsque l’une des deux nymphes, la brune, décida de s’approcher plus encore, que quelque chose semble enfin se produire. Peut-être n’était-ce là qu’un réflexe tout naturel du corps, même endormi, toutefois, les jambes du nomade s’écartèrent comme d’elles-mêmes, pour laisser la place à cette jeune femme qui le débarrassait longuement de sa tunique. Il sembla même que ses cuisses s’élevèrent un peu, lorsque les doigts fins de la brunette vinrent se perdre entre les maillons de sa ceinture, alors qu’elle en défaisait la boucle. Même en rêves, il fut parcouru d’un intense frisson, tandis que cette main, petite et inconnue, parcourait l’énorme bosse à la recherche d’une braguette à défaire.

« haaaaaaa… »

Comme s’il était soulagé d’un poids le tiraillant, il soupira même profondément, lorsque celle-ci extirpa de ses tout petits doigts l’épais mandrin de cet amas de tissus bien trop serré, avant de simplement baisser le vêtement jusqu’à ses mollets. S’étirant, comme s’il avait été plus soulagé encore, d’être libéré de chaînes invisibles, il laissa davantage de place à ses geôlières, s’exposant sans gêne ni honte, alors qu’il ne réalisait pas encore le traitement qu’allait être le sien, ni quelle sensation était à considérée comme rêvée, ou bien réelle…
Celle-ci, du moins, sembla rendre ses rêveries plus douces. Ses grimaces de douleurs s’estompèrent légèrement, et son visage sembla presque s’illuminer un peu, tandis que la seconde prêtresse s’approcha à son tour, pour soulever le trop épais objet de sa convoitise.

Même dans ce pitoyable état, et ce malgré les premières caresses prodiguées par la seconde jeune femme, la longue et large saucisse blanche que celle-ci tenait entre ses deux mains s’avérait être exagérément proportionnée, sans doute bien plus encore que tout ce que les deux jeunes femmes avaient pu voir, même parmi les hommes les plus virils qu’elles aient pu rencontrer : d’un diamètre avoisinant les six ou sept centimètres, l’épais conduit s’étendait longuement de l’aine presque jusqu’aux genoux du garçon, sur un peu plus d’une trentaine de centimètres déjà. Seulement très longue et anormalement grosse, cette verge hors du commun n’avait cependant rien d’un objet monstrueux, visuellement parlant. Aucune bosse ni difformité quelconque ne venait la marquer ou bien la rendre désagréable à l’œil ou bien repoussante… non. C’était… un très beau membre. Un très gros membre, sans doute plus approprié à un animal de grande taille de par ses proportions, mais confié, par la nature ou par un dieu quelconque, aux bons soins d’un seul très jeune homme.

« Haaaaaaa… MMMmmmmh… mmmh »

Sa mâchoire semblant s’être décrispée, soudain moins rigide, le garçon finit même par gémir faiblement, lorsqu’un nouveau frisson, plus profond encore, vint piquer son échine. Quelque chose d’humide, de doux et de très accueillant venait de se poser sur cette zone vierge et si sensible de son anatomie, et semblait chercher à se l’accaparer jusque dans le moindre détail, jusque dans le moindre de ses recoins.

Bien sûr, Baän ne le savait pas, et ne pouvait pleinement prendre conscience de tout cela dans pareille condition, toutefois la sensation restait la même, il avait l’impression que l’on cherchait à le traire, ce qui… s’il avait pu ouvrir les yeux, n’aurait pas été très éloigné de la vérité. Tandis que la prêtresse à la peau mate soupesait en un arc-de-cercle le serpent de quelques kilos d’entre ses cuisses, pour le masser un peu, l’autre en avait profité pour soulager les effets d’une très impressionnante gourmandise.

À demi penchée sur le lit de fortune, ses deux énormes seins écrasés sur le matelas, la belle brune avait ouvert la bouche en grand, pour en laisser sortir une langue experte et gourmande, qu’elle faisait courir tout doucement tout autour du gros sceptre de chair. Bavant chaudement pour humidifier son pourtour, on aurait même pu dire qu’elle se régalait plus qu’elle ne cherchait à prodiguer quelque bien-être que ce soit. Elle léchait, léchait et léchait encore ce que sa partenaire voulait bien lui laisser à dévorer, et remontait peu à peu, après s’être assuré d’avoir bien humidifié tout le tour de cette queue. Ses jolies lèvres pulpeuses se collèrent furieusement tout contre l’épaisse couronne encore couverte de ce gland massif qu’elle avait sous les yeux, et, la sensation soudaine qui assaillit le garçon dans ses rêves le laissa penser que l’on cherchait à le dévorer.

La belle et longue langue, experte et agile, passa sous les plis de son prépuce, pour aller y chercher son gland à nu, qui déjà, en pareille situation, devait bien faire la taille d’une pêche, sinon d’une petite pomme. Prisonnière et enfournée sous cette très fine couche de peau, la petite langue tournoya et tournoya encore en quelques claquements si sonores. Alors que les mouvements de poignet de la première prêtresse finirent de décalotter l’énorme chose, mais à moitié seulement, la bouche joueuse de la seconde n’arrêta pas son ballet.

« Haaan… o-ooooh…. oooooh »

Le sang affluant bien sûr, au gré des stimulations bien trop intenses pour un non averti, les gigantesques bourses du jeune nomade se rétractèrent doucement, comme pour témoigner de tout ce plaisir venu d’ailleurs, dont son corps pouvait soudain jouir. Tout cela était bon… fabuleux…
Le bas de son ventre se contracta doucement, comme le firent ses cuisses. L’énorme chose tressauta et ballota d’un côté puis d’un autre, comme pour en réclamer plus… L’extase était déjà proche. Ces simples chatouilles, si l’on pouvait appeler cela comme ça, auraient sûrement bien vite raison du garçon, dont les pieds venaient à se serrer au bout du lit, tandis que des litres de son épaisse semence bouillonnait dans ses bourses à l’idée d’exploser.

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Le palais d'ivoire / Re : Serpents et sable chaud (One-shot - PV Iris)
« le: lundi 28 août 2023, 14:34:19 »
Qui sait combien d’heures s’étaient écoulées depuis que, emporté par la fièvre, notre très jeune marchand nomade s’était effondré.
Le jour passa presque entièrement et, sans qu’il ne le sache ni le remarque en aucune façon, son corps fut ainsi trimballé d’un point à un autre, de sorte à obtenir ces soins qui lui étaient, vu son état, grandement nécessaires.

Pour une raison tout aussi obscure qu’étrange, la prêtresse de la ville qui décida de son sort préféra que le jeune garçon soit amené à une petite geôle, à l’écart des autres, et réservées aux criminelles, plutôt que de le faire amener jusqu’aux suites du temple, où officiaient le plus souvent les médecins.

Peut-être était-elle de nature méfiante, ou peut-être avait-elle peur que le jeune nomade soit expulsé hors de la ville par ses habitants, s’il était découvert. Quels que furent ses plans, ils restèrent évidemment un mystère pour celui qui, blessé, voyait son esprit vaciller entre vie et trépas.

Profondément sous la terre, à des dizaines et des dizaines de mètres sous le sol du temple, au creux de ces cavernes gigantesques creusées par l’homme, le garçon finit-il par être laissé aux bons soins de médecins dépêchés en urgence par les prêtresses elles-mêmes. Bien loin de l’or, des ornements, des soieries et des drapés, ce dernier fut ainsi allongé sur  un lit de fortune, entre quatre épais murs de pierre. Jamais ne fut-il capable d’ouvrir les yeux ni de hurler, mais plus tard, il jura que même endormi, il put entendre les voix des docteurs et… pire encore, sentir la douleur, lorsque la pointe crantée de la flèche quitta son abdomen.

L’opération terminée, il fut enfin laissé à son repos, sous l’observation de ses geôliers. Sa chemise de lin toute tachée de sang fut remplacée par une autre, faite tout de blanc, mais on lui laissa malgré tout pantalon et ceinture malgré la fièvre. Convaincus qu’il lui fallait transpirer pour éliminer un maximum de toxine, les médecins le laissèrent tout habillé sous l’épaisse fourrure qu’on posa sur son corps en guise de couverture (attention qui n’est habituellement pas réservée aux autres prisonniers des geôles souterraines, pour sûr).



Bien trop profondément emporté par ses obscurs songes, le garçon n’entendit nullement la porte de sa cellule se rouvrir, quelques heures plus tard.
Ce n’était pas encore le matin, loin de là… et il ne s’agissait pas là d’une visite prévue par les médecins.

Marmonnant dans ses rêves, il crut entendre des voix faire appel à lui, par-delà cette lumière qui, d’un coup, vint illuminer ses songes… mais tout cela était encore trop faible encore.

« Hmm… nnngggh… »

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