Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Takezo O. Mamoru

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Les alentours de la ville / Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)
« le: samedi 15 avril 2023, 15:58:17 »
Ce qu’il peut faire chaud…
Le rouge plus que jamais monté aux joues, j’ai le comme le souffle coupé par tout ça. La plantureuse Mariko, à laquelle j’avais si souvent pensé en me faisant du bien, venait de m’offrir, en retour de toute cette attention qu’elle devait me savoir lui porter, un cadeau des plus inestimables selon moi.

La voir se tenir à poil devant moi, et se masturber en susurrant mon nom, voilà une vision du paradis qui aurait sans doute pu occuper mon esprit et mes nuits pour les années à venir… mais, ça ne s’arrêtait pas là.

Encore bien trop raide et paniqué, j’ai fini par flanquer mon large dos tout contre la porte, comme pour fuir alors que la belle blonde n’a de cesse d’approcher. La voir me mater m’excite, me flatte… mais me terrifie encore plus. J’étais déjà disons… « bien formé », la dernière fois que Mariko avait pu me voir nu, toutefois, je n’étais encore à l’époque qu’un gamin à qui la vue de son bikini avait flanqué une bien belle trique… Cela n’avait tellement rien de comparable à aujourd’hui.

Alors que je fais qu’acquiescer très nerveusement à ses mots, je lâche un grand souffle, comme pour faire ce qu’elle me demande : lâcher prise. Ses doigts, fins mais pourtant longs, me paraissent incroyablement petits alors qu’ils se serrent sur mon vît par le dessous. Je souffle et souffle encore tandis qu’elle s’active, qu’elle frôle mes bourses enflées, dont la circonférence n’a de comparable, à l’échelle, que l’absurde diamètre de ce mandrin vigoureux, que ses doigts ne parviennent même pas à pleinement encercler.

Ma respiration retenue un léger instant, j’expire fort pour reprendre mon souffle, lorsqu’à mon regret finalement, Mariko s’écarte.
Ses doigts laissent aller mon chibre qui tressaute d’un sens à l’autre et j’ai soudain l’impression de me sentir vide, seul, trop désireux que je suis désormais.

Mais aussitôt ce vide creusé, aussitôt ce même vient se remplir.
À peine mes yeux s’accrochent-ils à l’énorme poitrine de ma merveilleuse amie que ces gigantesques mamelles s’approchent pour se presser à mon buste, pour le réchauffer et le masser. De toute sa longueur, ma massive trique s’écrase et s’étale contre elle, de son ventre nu à ses seins. De surprise, je lâche comme un petit hoquet, que je masque au mieux d’un petit marmonnement tout autre.

Ses mots finissent de m’achever, de me surprendre alors que je peine encore à comprendre ce qui m’arrive. Je l’avais parfois vue m’adresser quelques petits clins d’œil, quand elle se savait épiée, mais quand bien même, j’étais bien loin d’imaginer que s’exhiber devant moi était pour elle source d’excitation…

« Hin hin… o-okay… »

Encore bien trop honteux de me montrer ainsi devant elle, armé de ce chibre aussi large et épais que celui d’un cheval -que toute autre aurait sans doute trouvé effrayant et bien trop gros-, quand bien même Mariko semblait se complaire à le mater, comme à le toucher, je peinais à retrouver ses yeux. Ces parfaites petites billes d’un bleu profond, pleines de malice m’intimidaient encore…

Au garde-à-vous comme un bon petit soldat, je n’osais pas, n’osais rien.

La buée se dispersant, s’échappant du miroir, je posais alors mon regard dans sa direction, pour ne pas avoir à directement regarder cette sulfureuse tentatrice qui se jouait si bien de moi. Soufflant tel un buffle, j’expirais bruyamment, tout en matant le reflet de son dos, de ses hanches si larges qui donnaient à ses grosses fesses charnues la forme d’une lune parfaitement ronde et musclée, très joliment bombée.

Je soufflais tout bas :
« Waw… le cul de Mariko… »

Sans poser directement mes yeux sur elle, je nous observais alors par ce prisme détourné quand je la sentis glisser contre chacune des bosses formées par ma musculature saillante. Je frémis en sentant les petites pointes de ses seins se tordre et tracer de longues lignes le long de mes abdominaux, et finis même par me crisper, sur la pointe des pieds, quand je sentis l’épaisse pointe de ma queue se redécouvrir, sur la pression de ces gigantesques poids moelleux, que je devinais être ses seins.

Électrisé par le plaisir fou de cette sensation jusque-là encore inconnue, j’ouvrais les yeux bien grands, pour enfin revenir les poser vers le contrebas. Accroupie devant moi, Mariko soulevait ses seins, les remuaient pour masser mon gros pénis.

Plus impressionnante en vrai qu’en rêves, cette vue fit d’un coup battre mon coeur plus vivement.

« Aaaah… ! »

J’eus une fois encore l’impression de voir flou, alors que mes yeux hésitaient à se fixer aux siens, ou bien à mater le parcours arpenté par mon vît dans son si large sillon intermammaire.
Ses gargantuesques loches étaient si douces… Je pouvais, quand bien même j’en restais tout crispé, sentir comme leur chaleur envahissait ma queue tout en la faisant bouger dans tous les sens. Mes énormes veines roulaient, au rythme de ses douces, mais lourdes et écrasantes palpations. C’était… terriblement plaisant.

« M-Mariko… c-c’est… c’est tout chaud… »

Il ne lui fallut pas bouger beaucoup plus pour que mes sens ne viennent à nouveau s’emballer de plus belle. Le seul fait de l’imaginer me faire un truc pareil n’aurait déjà pas mis deux minutes à me faire jouir, seul dans la nuit, alors là…

Désemparé à l’idée de venir si vite, mes muscles se serraient, se bandaient fort tandis que j’essayais de me contenir. J’avais envie de perdre mon pucelage et ne voulais pas manquer cette formidable occasion -si toutefois Mariko était d’accord- en giclant avant même d’avoir pu essayer.

Une main agrippant fort la poignée de porte derrière moi, je gesticulais, agitait mes fesses de bas en haut contre la porte. Je tremblais.

« Aaah… hAa.. HA… Ma-… att-attends… Mariko ! S’il te plaît… j’aimerais essayer de la mettre dans ta… ta… dans mon lit… toi et moi… »

Je ne pus en dire ni en articuler plus, que ma tête bascula d’un coup d’un seul vers l’arrière pour frapper la porte d’un grand coup.
Me raidissant encore, s’il était possible d’en faire plus, tout le bas de mon corps se mit à trembler et je ne pus rien retenir lorsque mon urètre gonfla, palpitant.

Me mordant les lèvres comme pour contenir, ne pas m’avouer ce qui était en train de m’arriver, j’assourdissais les hurlements de plaisir que cet orgasme ravageur vint faire monter à ma gorge.

De l’épais conduit de chair vint jaillir un premier jet, long et violent, de foutre blanc. Et, aussi bien que mes proportions étaient absurdes, la quantité de semence qui jaillit le fut tout autant. Les sept ou huit jets qui suivirent furent tout aussi puissants et épais, crépissant le visage de la belle avec ce qui aurait tout aussi bien pu remplir un petit verre d’eau.

« HMMM… MMM-MMMHMMMHHHMMHHHMMMMMM !!! »

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Dans le plus noir de la nuit, j’avais fini par m’effondrer. Arrivé à bout de forces comme d’espoir, misérable et affamé depuis des lunes, la vision trouble, j’en venais presque à prier pour que tout cela s’arrête.

Pour le salut des gens du village, j’avais tenu bon des jours durant, j’avais surmonté de mon mieux la fatigue et la faim, repoussé jusqu’à leurs limites mes angoisses les plus primaires mais profondes, toutefois il m’était désormais impossible de nier l’évidence : mon corps me lâchait. J’étais arrivé jusqu’ici, là où sans doute aucun autre villageois de chez moi n’aurait pu arriver par pareilles conditions, mais c’est pourtant là que s’achèverait le voyage. Si près du but. Cette maudite et labyrinthique forêt aura eu raison de moi, et c’est ainsi que je finirai : noyé dans la boue, ou bien battu à mort par l’un de ces vieux arbres qui menaçait de tomber par cette tempête, qui à aucun moment, ne semblait vouloir faiblir.

Les deux genoux dans l’eau noirâtre, le visage émacié et le corps couvert d’ecchymoses, d’entailles et de légères coupures en tout genre, je devais faire si peine à voir que l’espace d’un bref instant, j’en vins à maudire l’étrange sens de l’humour et le goût du dramatique du dieu créateur qui devait sans aucun doute s’amuser à me torturer de la sorte.

Nerveusement, j’eus failli éclater de rire, me résignant à accepter mon triste sort. Toutefois je ne le fis pas, le fil de mes pensées s’interrompant net au son des bêlements qui résonnèrent par échos jusqu’à moi. J’eus pu me réconforter et rire un peu en m’imaginant visité par un possible Dieu-mouton -ç’aurait été drôle-, mais l’effroi qui transparaissait de leurs voix me fit d’autant plus redouter un destin tout autre que celui que je m’étais imaginé…

De tels bois devaient abriter bien des bêtes, bien des choses terrifiantes et dangereuses et la perspective de finir dévorer par des loups vint vite tenailler mon estomac bien vide. Après tout, peut-être en terminerions-nous plus vite ainsi…
Les yeux fermés, les dents serrées, j’appréhendais alors la douleur et la force du coup à venir -car il viendrait sûrement- et en venais à espérer que cela se fasse avant que je n’aie le temps de vraiment m’en rendre compte.

Mais ce coup jamais ne vint.

Le fracas d’un nouveau coup de tonnerre frappa le sol et illumina ma silhouette décharnée, avalée par l’ombre d’une autre, plus en retrait, qui se tenait là dans mon dos, à en constater l’obscur reflet que je pouvais entrevoir dans cette immense flaque, dans laquelle je trempais.

Celle-ci n’était ni immense, ni vraiment grande, toutefois… ces oreilles… L’idée bien insensée d’avoir été acculé par un loup marchant sur ses deux pattes arrières me glaça le sang… avant qu’une voix bien plus claire et posée que celle à laquelle je m’attendais ne finisse par se faire entendre. Je reconnus assez simplement le bruit du chien d’un fusil que l’on arme, mais n’eus même pas la force ni le réflexe de lever les mains.

Mes lèvres se serrèrent, sèches qu’elles étaient, et je tenta fébrilement d’en faire sortir quelques mots. Mais une seconde voix, celle-là même que j’attendais, celle du monstre dans mon dos, me coupa l’herbe sous le pied, m’arrachant un grand frisson qui vint faire se dresser tout mon dos. Avant que je ne me mettes à trembler, l’autre voix, féminine et douce, bien que témoignant d’une certaine froideur, vint reprendre et me calmer un peu, par la même occasion. Quand bien même je devais m’avouer peu rassuré à l’idée qu’une balle ne vienne répandre l’intérieur de mon crâne sur le sol.

Le souffle court, la vue toujours plus trouble, je forçais pour garder les yeux bien ouverts. De mes épaules tombaient ces deux besaces pleines de choux morts.

Je n’osais me tourner, sortant seulement l’une de mes mains de cette eau dans laquelle je trempais, la levant faiblement en guise de salut, comme en signe de paix. Je n’étais nullement un danger pour personne, mais n’avais rien pour le prouver.

« J-je… suis seul. »

Me remettant à vaciller, de gauche, à droite… très lentement, je tentais inutilement de rassembler quelque force que ce soit, mais ne parvenais même pas à me remettre sur pieds.

De ma main, je balayais dans l’eau les feuilles de légumes dispersées.

« S’il vous plaît. J’n’ai rien d’autre… que ça. On n’a… plus rien. Je cherche seulement le village, que j’ai vu depuis la colline… »

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Ville-Etat de Nexus / L’âtre cinabre par-delà les bois (PV Chaperon)
« le: vendredi 07 avril 2023, 20:55:36 »
Uriel, jeune palefrenier d’à peine dix-huit ans, si tant est que quelqu’un ait véritablement tenu les comptes des années, pourrait être la copie conforme du Takezo que nous connaissons sur Terre. Malgré un corps, forgé par des années de dur labeur, aux champs comme auprès de nos amis équidés, il n’en est pas moins, tel que l’est son double, un timide maladif qui ne sait rien des choses de l’amour. Le voilà donc…


Un hiver rude. Comme le précédent, et celui le précédant encore.
Dans la vallée, les terres et les champs ont gelé et chez moi, cette année encore, les gens s’effraient à l’idée que nos récoltes ne suffisent pas à tous nous nourrir convenablement. La terre est dure, les feuilles des choux que nous avions plantés l’an dernier sont brûlées, trouées et piquées par ce froid mordant qui nous accable.
Le fruit de journées harassantes et interminables, passées à trimer comme des bêtes de somme, pourrait bien être réduit à néant.

C’est du fait de cette atmosphère sombre, triste et lugubre que les gens de mon petit village m’avaient désigné comme étant le plus à-mème de traverser nos froides landes d’un bout à l’autre, dans l’espoir que je trouve quelque marchand plus clément que nos voisins, qui accepterait de commercer avec nous, malgré ces difficiles conditions. Renflouer nos caisses, ne serait-ce qu’un peu, nous permettrait peut-être d’acheter de quoi subsister à ces voisins plus heureux en culture et plus portés que nous l’étions sur les affaires. C’est du moins ce qu’espéraient les aînés.

Le travail était bien trop dur pour se séparer de plus d’une personne, aussi avaient-ils jugé que le grand et solide gaillard que je suis suffirait, quand bien même marchander n’avait jamais été mon fort. Tous m’avaient convaincu que je me débrouillerai bien, alors j’étais parti, quelques maigres feuilles de choux dans une besace, censées convaincre quelque marchand que je trouverai sur ma route qu’elles étaient mangeables, sinon délicieuses, malgré leur triste état.

Sans vraiment savoir quelle direction prendre, je m’étais contenté de suivre celle qui voyait naître le soleil chaque matin. Monté sur le dos de la vieille jument que le maître avait bien voulu que j’emprunte, j’avais déjà vu quelques jours passer et plus encore de mornes plaines défiler. À mes yeux, la vie que je fantasmais lorsque je pensais à l’ailleurs ne me semblait finalement guère meilleure. Les paysages, tout aussi gelés, ne me paraissaient guère changés, malgré le nombre de lieues que je pouvais bien traverser.

Au bout de trois jours, mes jeunes traits déjà tirés par la fatigue, j’avais dû ralentir. Ma vieille jument ne suivait plus et je n’avais plus de quoi la nourrir. Au bout de cinq jours, même l’herbe froide ne sembla plus lui suffire. Je n’avais rien avalé depuis un bon moment non plus et mon ventre ne cessait de me le rappeler.

Au sixième jour, j’avais fini par tomber.

Lorsque je m’étais réveillé, encore faible et tenant difficilement sur mes jambes, je crus même halluciner en apercevant les lumières et la fumée de ces chaumières que je voyais au loin, depuis le sommet de la petite colline sur laquelle j’avais finalement atterri.
À bout de forces, la vieille carne, tombée comme moi, ne s’était quant à elle pas relevée. Il m’avait fallu de longues minutes pour que je puisse enfin délasser de ses flancs les autres besaces que j’avais avec moi. J’avais inspecté leur contenu, tenté, mais n’avais pas pu me résoudre à dévorer les choux qu’elles contenaient.

J’eus envie d’enterrer la pauvre jument dignement, comme elle le méritait pour tous ces efforts accomplis, mais là encore, réaliste quant à mon état de fatigue avancé, je finis par me résoudre à la laisser reposer là, me promettant de revenir pour elle plus tard, une fois reposé et une fois ma mission accomplie, je l’espérais, dans ce village un peu plus loin.

Les larges besaces sur le dos, j’avais entamé, ce matin-même, la descente de la colline. Frigorifié, affamé et usé jusqu’à l’os, il m’avait fallu un temps fou pour arriver jusqu’en bas, jusqu’aux abords de cette large forêt qui me séparait encore de mon but.

M’étant enfoncé pendant des heures entre ces immenses arbres noueux, je ne saurais même plus dire par où j’étais arrivé. Il faisait bien trop sombre et les troncs étaient bien trop épais, trop nombreux, pour que je n’espère ne serait-ce qu’entrevoir la lueur des lampes du village.

Il faisait nuit noire et il s’était même mis à pleuvoir. Fort. Très fort.
D’intenses bourrasques de vent avaient fini par frapper la terre, secouant les branches dans tous les sens. La lueur des éclairs déchirant la nuit venait parfois dessiner d’étranges et terrifiantes formes sur le sol, trempé, boueux. J’avais plus froid encore à chaque instant, mais faisais encore de mon mieux pour ne pas faiblir si proche du but. Mes besaces gorgées d’eau me paraissaient plus lourdes que le plus lourd de nos instruments de moisson. C’était un calvaire. Un véritable calvaire.

À chaque pas, mes fines bottes semblaient s’enfoncer plus profondément encore dans la boue. Je serrais les dents, gémissais d’efforts en avançant, sans savoir vers où, vers quoi.

L’ombre de bêtes chargeant, ou cherchant à se réfugier de ce déluge, me fit sursauter. Dans tous les sens, les branchages et buissons dansaient, bruyamment…

De nouveau, je me sentis défaillir. Un de mes genoux frappant le sol, je restais sans voix, fébrile, cherchant des yeux une issue, un miracle salvateur auquel me raccrocher… Quelque chose qui, au moins, me redonnerait un peu espoir.

34
Prélude / Re : Little Red Riding Hood
« le: jeudi 06 avril 2023, 14:55:28 »
Holà !!!

Hmm… b-bienvenue ici  :o ::)

35
« Bien, mettez-vous deux par deux avec votre voisin de table et choisissez un film. Vous avez jusqu’à la fin de l’heure pour imaginer une scène de votre choix et pour en imaginer les dialogues. Soyez créatifs. Et… en anglais, s’il vous plaît. N’en profitez pas pour bavarder. »

Après cette annonce, madame Kim était retournée s’asseoir à son bureau pour vaquer au reste de ses occupations. Sortant et allumant son ordi sur la table, tout laissait à croire que nous proposer un tel exercice l’arrangeait bien. Peut-être avait-elle beaucoup de travail en retard, des devoirs d’autres classes à corriger, ou bien avait-elle seulement envie d’un peu de calme et d’un moment pour elle… quoiqu’il en soit, les voix se haussèrent toutes d’un coup, comme le bruit des chaises qui bougeaient ça et là. Certains changeaient de place, d’autres, comme Eunyee et moi, ne bougeaient pas… mais surtout, le bruit emplit vite la profonde salle de classe. Tous, pour la plupart, avaient du mal à trouver un film sur lequel s’arrêter et se chamaillaient déjà, à propos du meilleur film qu’ils avaient vu récemment.

Mais bien derrière, par-delà de l’agitation chaotique qui régna quelques minutes durant, l’ambiance restait plus calme et… pesante. La petite voix interrogatrice d’Eunyee résonnait fort dans ma tête, tandis que, je le devinais… elle feignait complètement l’étonnement. À vrai dire, son ton ne trompait pas vraiment et je me pris même à craindre un instant qu’elle ne fasse tout ça que pour se moquer de moi.

Les mains toujours serrées, agrippées sur mes cuisses, je restais stoïque, droit comme un piquet alors que j’avais la sensation d’être soumis à un véritable interrogatoire.

« Ah… d-désolé… j’étais en retard. Pour mon cours de judo, tu sais… ? »

Faux.
Depuis l’obtention de mon dernier grade, à la saison dernière, j’étais passé aux cours pour adultes et n’avais désormais plus de cours le mercredi soir. Mais ça, à moins de s’y intéresser de près, Eunyee n’avait aucun moyen de le savoir, n’est-ce pas ?

Je ne bouge plus, je tremble. C’est vraiment de la torture. Eunyee se colle davantage, pressant son épaule tout contre moi comme si elle allait me tomber dessus, de tout son poids. Bien sûr je reste solide et droit, mais pourtant je meurs d’envie de bondir vers l’arrière, avant que mon coeur n’explose en morceaux. Du coin de l’œil, quand bien même j’évite encore de lui faire face, je ne peux ne pas remarquer comme ses seins ne prennent désormais plus appui sur la table, mais se trouvent maintenant complètement posés dessus. Je ne regarde pas, mais je le vois bien, comme le tissu tire pour rendre son décolleté plus large et plus profond encore. Ces deux masses énormes et rondes qui roulent et bougent en direction de ma table alors qu’elle se rapproche…

Puis je frémis, me raidissant encore plus, si tant est que cela soit possible, quand je sens sa main passer derrière la mienne, bien au-dessus de mon genou. Ses ongles crissent et griffent doucement contre mon jean, montant très lentement alors que sa tête s’agite dans ma direction. Je n’ose même plus battre un cil, ni respirer là encore.

Sa petite voix se fait plus discrète, mais aussi plus mielleuse… plus… chaude. Je sens son souffle dans mon cou, vois son cahier se lever encore un peu plus pour nous cacher aux yeux du reste de la classe, comme de madame Kim…

Sur le point de devenir complètement fou, mort de trouille, je ne suis même pas capable d’aligner le moindre mot tant je ne sais pas quoi lui dire. La paume de sa main glisse, remonte lentement puis se relève, pour effleurer ma braguette. Je ne sais plus quoi penser. J’ai chaud. Peut-être que toutes ces rumeurs disent vrai… ou peut-être qu’elle se moque de moi et qu’elle s’apprête à déchaîner toute sa colère…

« Ben… »

Hésitant, mon visage se tourne timidement en direction du sien. De ma hauteur, j’ai une vue bien trop plongeante sur ses seins pour ne pas me perdre à les regarder. J’ai beaucoup trop de mal à la regarder dans les yeux…

« C’est que… tu… tu vois Minoru ? Du club d’informatique ? Et Sato… et Maru, aussi… »

Non. Non, non, non et non. Comment je pouvais lui dire ça ? Rien que d’y penser, j’en étais malade, les dents serrées. Je ne pouvais pas lui balancer ça de but en blanc et lui raconter ce que eux m’avaient raconté ! Ces trois-là auraient tout fait pour se faire mousser, surtout concernant un sujet comme celui-là. Ils ne pouvaient pas dire vrai ! Encore moins avec Eunyee !

Croisant malencontreusement son regard, je me tournais vivement pour croiser celui, désapprobateur, de madame Kim qui, fort heureusement, retourna vite à son ordinateur. Mes mains, elles, se serraient plus fort à mes genoux. Je ne savais vraiment pas quoi lui répondre, ni comment me sortir d’une situation pareille…

Baissant les yeux, je finissais par desserrer doucement la pression. Observant comme la petite main d’Eunyee se tenait tout près de ma braguette, je déglutissais difficilement. C’était… effrayant… mais pas si désagréable de la sentir ici. Mes narines s’emplissaient encore plus de son parfum… je crus défaillir.

« L-les… les autres racontent beaucoup de choses sur toi. Des choses pas sympas… e-et… et je pense pas ça, hein. C’est juste que… Tout le monde en parle et… je voulais prouver qu’ils avaient tort. »

Ému, mais surtout gêné d’avouer une part si importante de la vérité, je tournais mon regard vers l’autre côté, vers la fenêtre, l’extérieur. Je prenais une faible inspiration, puis me tournais de nouveau, vers elle, sans pour autant parvenir à la regarder droit dans les yeux.

« J’aurais pas dû… j’suis désolé. T’es une fille vachement cool et… t’es toujours gentille avec tout le monde… »

Derrière le cahier, je soufflais.
Je savais plus quoi dire, ou comment le dire.

36
J’étais nerveux. Vraiment, vraiment nerveux.
Eunyee m’intimidait un peu. Elle était si près !

Il ne lui faut pas longtemps pour s’installer et disposer très proprement toutes ses affaires : trousse, cahiers, stylos, tout est parfaitement aligné, méticuleusement. Rien ne dépasse. Elle fait vraiment tout bien, Eunyee.

Alors qu’elle gigote à droite à gauche pour tout sortir de son sac, je n’ose même plus me tourner vers elle, de peur de lui faire face de nouveau. Et… pourtant j’en ai envie. Le sucre de son parfum m’enivre comme ces rebonds incessants que capte le coin de mon œil, dans sa vision périphérique. Mince alors, aujourd’hui… elle avait vraiment fait fort.

Bien sûr, Eunyee portait souvent des décolletés, mais aujourd’hui, aujourd’hui…

Je me redresse d’un coup sur ma chaise, l’échine comme prise d’un énorme frisson dès lors qu’elle rouvre la bouche. Elle me raconte ce qui l’avait retardée et fait vite fuir ces images qui me traversaient l’esprit et qui me minaient le moral, la mettant en scène avec le vieux Yamato. Dieu merci, c’était un cauchemar !

Mais aussitôt soulagé, aussitôt piqué au vif !
Je manque presque de m’étrangler à sa question, me mettant à rougir de gêne, avant qu’elle n’interrompe là encore mes pensées en me donnant un petit coup de coude. Les joues gonflées, j’évitais de lâcher ce souffle de surprise sur l’instant, de peur de trop attirer sur nous l’attention de madame Kim.

Puis doucement, j’expire. Je tente tant bien que mal d’esquisser un sourire amusé pour faire semblant de rien tandis qu’Eunyee ricane de sa petite voix claire. Je ne me tourne pas non plus… encore bien trop gêné. Est-ce qu’elle m’avait manqué ??! Aaaah ! Au secours.

« Haha… non non… d-du tout… c’est, c’est juste que… j’veux dire oui. Si tu en avais eu besoin, j’aurais pu prendre les devoirs et… les donner à notre délégué pour toi. »

Ma voix porte trop et je m’en rends sans doute compte qu’au dernier moment. Madame Kim n’arrête pas de nous surveiller du coin de l’œil, ça me met encore plus mal à l’aise. Je fais ce que je peux pour parler à voix basse, mais c’est pas si facile.

Je tourne légèrement la tête, mais à peine seulement, quand j’ai là l’impression que le temps s’arrête. Les sourcils froncés, Eunyee a sans doute remarqué comme madame Kim nous suit de près tous les deux. Enfin, moi surtout… Les yeux rivés sur ma copie, ses deux prunelles claires semblent afficher un air si profond, si concentré. Elle a l’air tellement sérieuse, d’un coup. C’est incroyable ce qu’elle est belle.

Je n’ose pas baisser les yeux. Malgré la toute puissance de la gravité, qui m’attire à regarder ce qui se devine un peu flou dans mon regard, là, juste en dessous de son cou… J’aurais trop peur qu’elle me voit faire, quand bien même, après l’avoir vu se pencher tout à l’heure… j’ai très envie de les regarder. Ils sont juste là.

J’ai la bouche sèche et du mal à avaler. Sa petite langue pend à peine tout contre la pointe de son crayon que je sens mon coeur battre la chamade. En plus de ça… j’ai peur de ce qu’elle va dire. Eunyee voulait me parler ?

D’un simple revers de la main, elle abandonne, me soulageant de ce poids qui m’écrase pour tracer un trait sur ma feuille. Heureusement pour moi, elle me tire de mes pensées comme des mes appréhensions, son geste me forçant à regarder ce qu’elle fait.

« Ah ! O-oui… t’as raison… »

Pour me changer les idées, je décide de la mimer et de tenter, au moins, de me concentrer un peu sur ce qu’elle me raconte. Elle ne cesse de barrer des choses dans un coin puis dans l’autre, mais c’est comme si je n’entendais rien à ce qu’elle pouvait bien me raconter. Je n’arrive pas à penser à autre chose qu’à cette fichue enveloppe que j’avais déposée sur son bureau hier…

Faussement, les yeux ancrés sur cette feuille, j’acquiesce seulement.

« H-hum hum. D’accord. Merci… »

Mais je me redresse presque d’un coup, les muscles de tout mon dos se serrant vivement. Eunyee s’était approchée, encore, doucement… mais avait fini plus brusquement, en posant son épaule contre la mienne. Je n’osais même plus respirer.

Doucement, tout doucement, elle penche, puis fait glisser la feuille dans sa direction. Je devine du coin de l’œil l’énorme masse qu’elle vient de presser sur mon coin de la table, mais n’ose regarder… La feuille se tire et la réponse qu’elle venait de barrer, sur laquelle mes yeux s’étaient posés, se tire avec elle, glisse lentement. J’essaye de me rattraper à autre chose. À… un autre mot, peut-être ?

Mes yeux s’écarquillent quand je comprends qu’il n’y a rien d’autre à quoi se raccrocher, sinon l’inévitable. M’étant tourné pour suivre le parcours de ma copie, je la regarde glisser longuement, jusqu’à ce que mes yeux se posent enfin sur ses seins. Écrasés sur la table, étirant le tissu de son petit top rose, ils ont l’air encore plus gros… c’est tellement…

Je déglutis, mais reste bien incapable d’en décrocher la seconde suivante.

« Hm-hm… »

À ce moment-là, je n’écoute plus qu’à moitié.
L’enveloppe que je lui ai donnée hier…

« Qu-quoi ? »

Il me faut une seconde de plus pour rassembler dans ma tête les petites pièces du puzzle et pour comprendre qu’elle me faisait seulement faire mon exercice. Enfin… qu’elle faisait passer sa question pour ça, en tout cas.

« J-je… eh bien. I… I don’t know ? »

Quand bien même je donnerai le meilleur de moi-même, j’étais pas convaincu de pouvoir m’en sortir en anglais. Je l’étais déjà pas de le faire dans ma langue maternelle, alors… pourquoi essayer ?
Inspirant un grand coup, le regard de nouveau fuyant, je baissais encore un peu le ton, l’air quelque peu solennel.

« Eunyee, euh… je sais pas comment on dit. J-je sais pas. Je l’ai juste trouvée sous ton bureau alors j’ai… j’ai pensé que tu l’avais fait tomber en rangeant tes affaires. »

Crispé, les mains sur mes cuisses, je la guettait du coin de l’œil, attendant de voir sa réaction. C’était jamais bien beau de mentir, mais j’espérais quand même qu’elle me croirait.

Le son de la règle en bois de madame Kim frappant le tableau noir me fait sursauter tant je suis nerveux. Nos dix minutes de correction étant terminées, il est maintenant l’heure des travaux pratiques !

37
Comme le reste de mes camarades, je me lève pour saluer quand entre Madame Kim, notre professeure d’anglais. Mais quand bien même celle-ci nous salue en retour, mon attention reste ailleurs, tandis que je balaye la pièce du regard.

Même si voir Eunyee avait toujours été un plaisir jusqu’ici, je devais bien m’avouer soulagé de ne pas la trouver aujourd’hui. J’aurais été bien trop gêné de devoir lui faire face comme de devoir répondre à ses interrogations. Toutefois, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le pire, finissant même par me demander si mon geste d’hier après-midi n’était pas à l’origine de son absence du jour.

Et si je l’avais déçue ? Et si elle était au courant de ces rumeurs à son propos, mais qu’elle n’en faisait rien, supportant encore tout ça tant bien que mal tant qu’elle était convaincue qu’il restait quelques personnes, comme moi peut-être, qui n’en croyaient pas un mot ? Et si j’avais tout fait foirer ?

Imaginer tout ça m’énerve déjà. J’ai l’impression d’être trop con… et je le suis sans doute. Sans un mot, je serre les poings, gardant pour moi cet horrible sentiment que j’ai d’être un parfait idiot.

Mais l’inattendu se produisant souvent, comme son nom l’indique, lorsque l’on s’y attend le moins, c’est évidemment lorsque je baisse totalement ma garde que l’on vient à frapper à la porte de la classe. Tout le monde s’est déjà rassît et la porte coulisse pour laisser entrevoir la tête désolée de celle que l’on n’attendait plus, Eunyee, accompagnée de Monsieur Yamato, venu s’excuser pour elle.

Comme c’est le cas souvent, son entrée fait sensation, déchaînant déjà les passions quand les yeux de tous viennent quitter Madame Kim pour se greffer à l’étonnante plastique de notre camarade, qui, au vu de ce qu’elle nous dévoile en ce décolleté plongeant qu’elle nous sert à tous en se baissant respectueusement, a sûrement dû être bénie par on-ne-sait quel dieu. Ou peut-être que c’est nous qui sommes bénis, pour la chance qu’on a de pouvoir voir ça. Eunyee est jeune, mais de toutes les femmes ici, c’est sûrement elle qui a les plus gros. Même parmi les professeures, il n’y en a pas une pour rivaliser avec ses décolletés. Bien sûr, beaucoup de filles racontent qu’elle rembourre ses soutien-gorges, qu’il est impossible qu’une asiatique en ait d’aussi gros, ou bien qu’ils sont faux, puisqu’il paraît que les coréens sont très friands de chirurgie esthétique, mais… sans être un expert, je serais prêt à mettre ma main à couper qu’ils sont tout ce qu’il y a de plus vrais. De ce que j’en sais en tout cas, quand ils ne le sont pas, ça se voit.

Sans doute ai-je rougi à cette simple idée, mais c’est pire encore quand Eunyee redresse subitement la tête, autorisée par Madame Kim à prendre place. Je fuis du regard pour ne pas avouer que, comme tous les autres, j’en ai encore profité pour mater ses seins, mais je vois bien que sa tête se tourne dans ma direction, et qu’elle s’approche, passant entre toutes ces autres tables déjà occupées.

Quel idiot je suis. Quitte à la fuir, j’aurais mieux fait d’aller me poser sur une table déjà prise, quand bien même il m’aurait fallu passer tout le cours à côté de quelqu’un que je ne supporte pas. La voilà de plus en plus  près et je n’ai plus vraiment le choix, je ne peux pas non plus faire semblant de ne pas l’avoir vue. Me tournant timidement vers elle, j’esquive du mieux possible ce magnifique sourire qu’elle m’assène. Au moins, je me rassure à cette idée : elle n’est pas fâchée après moi ?

Détournant le regard pour le porter sur mon sac qui prend toute la place sur cette chaise à côté de moi, je débarrasse le tout, fuyant tout eye contact qui pourrait m’être fatal.

« Ah ! Eu- Eunyee… salut ! »

Regardant droit devant moi et tentant de rester le plus stoïque possible, je dois avoir l’air d’avoir un balai dans le cul, c’est sûr. Quand bien même ça ne m’intéresse pas plus que ça, je fais mine d’être emballé plus qu’il n’en faut par ce que nous raconte Madame Kim pour ne pas avoir à la regarder. Rien que sentir son parfum est un supplice… Mon dieu ce qu’elle sent bon…

Encore pire ! Encore et toujours pire… elle m’adresse la parole. Bien sûr, elle est gentille, Eunyee… mais ça n’était jamais arrivé très souvent. Ce serait même un jour à marquer d’une pierre blanche ! Mais… qu’est-ce que je fais, du coup ? Je lui réponds ? J-j’évite la question ? Nerveusement, mon poignet, comme mes jambes, se met à trembler. Elle me cherchait hier ?

Je me tourne un peu, mais sans la regarder.

« A-ah ? Oui, ça va… et toi ? Je veux dire, tu vas bien ? Comme euh… comme t’était pas là, j’ai cru que t’étais malade, ou… hum… un truc comme ça. »

Sauvé par le gong, je ne réponds pas de suite à sa véritable question, interrompu par l’annonce bienvenue de Madame Kim, haussant le ton pour faire taire les chahuts habituels. À propos d’Eunyee et de ce qu’elle pouvait bien faire avec Monsieur Yamato, pour la plupart, si l’on tend l’oreille. Tss.

J’ai quand même un petit mouvement de recul, surpris, me trouvant bien embêté par ce que je crois avoir entendu. Un… travail en groupe ? Avec Eunyee ? De mieux en mieux… Et ça, comment j’allais bien pouvoir y échapper, hein ? Peut-être que Madame Kim accepterait que je fasse ce travail seul ? Non, impossible. J’suis bien trop nul en anglais, et Eunyee, elle, est trop forte… à tous les coups, elle me dirait que c’est une occasion parfaite pour progresser. C’est même sûr, je sens le coup venir.

Ou bien… je fais semblant d’être malade ?
Raaah, c’est l’enfer ! Eunyee est vraiment gentille, en plus d’être intelligente et super canon. C’est pas comme si on avait tous les jours une occasion de passer un peu de temps avec elle. Elle m’avait rien fait en plus… au contraire, et c’est bien la seule. Ce serait pas cool de la planter comme ça. Elle devait se donner tellement de mal pour avoir des notes comme ça dans toutes les matières…

Pfioouuuuuu… Si j’étais un train à vapeur, je serais sûrement sur le point d’exploser, à force de faire fumer à fond toutes les turbines. C’est un calvaire.

Mais vite, le silence se fait et… j’ai pas trop d’autre choix. C’est pas comme si je pouvais faire semblant de ne pas l’avoir entendue, elle est… plus près de moi qu’elle ne l’a jamais été.

Madame Kim commence à donner les réponses des exercices de la veille et j’peux pas non plus faire semblant de trop m’y intéresser. J’écoute, mais ça doit bien se voir sur ma feuille que pas la moitié de mes réponses ne sont bonnes et que j’y comprends finalement pas grand-chose… J’aurais eu envie de pousser un grand soupir, là maintenant…

« Hum… tu me cherchais ? Hier ? »

L’air embêté, je fuyais encore son regard, qui posé sur moi, me semblait peser une tonne. Mes yeux virevoltaient sur l’exercice d’anglais, c’était la panique.

« J-j’ai rien fait… enfin, j’ai rien dit. De… de c’que tu penses, euh… enfin… de quoi on parle, déjà ? »

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Aaah… Eunyee.

Il est 15h20 et les cours vont bientôt se terminer. Tant mieux pour moi, ça fait déjà bien longtemps que j’ai la tête pleine et que je n’écoute plus rien à notre cours de japonais avancé. Dans un coin de la classe, l’air à moitié endormi, je finis presque par sombrer, avachi, le menton posé sur une main, à ne plus regarder qu’elle. Cette jolie brune, discrète, mais sur qui tous les regards sont braqués, jour après jour… C’est Eunyee.

Arrivée en cours d’année, il y a quelques mois de ça, elle n’est, comme moi, pas d’ici. Pour tout le monde, c’est encore une nouvelle, comme moi. Enfin, pas comme moi. On doit avoir le même âge, mais il paraît qu’elle a déjà tant vu. Originaire de Corée, elle est ici pour un échange scolaire, censé durer jusqu’à la fin de l’année, au moins.

J’aimerais bien qu’elle reste. Mais il paraît aussi qu’elle a fait ça souvent, et plusieurs fois. Les États-Unis, l’Europe… elle vient à peine de fêter ses 18 ans et elle a déjà fait le tour du monde. Ça semble incroyable. C’est peut-être ça qui la rend si… « mature ». J’sais pas.

J’saurais pas mettre de mot là-dessus. C’est sûrement la plus belle fille du lycée, peut-être même du monde, mais à la différence de toutes les autres pestes d’ici, jamais elle n’en fait cas. Discrète je disais, elle l’est. Jamais un mot plus haut que l’autre, jamais elle ne se moque, comme le font les autres. Au contraire, même, il lui est même arrivé de me sourire en me saluant… je crois. Enfin j’suis pas sûr qu’elle s’adressait à moi. Mais elle a un beau sourire. Et… elle a l’air gentille. Elle est incroyable. Et très intelligente, aussi. Elle ne joue pas les madame je-sais-tout, mais tout le monde sait qu’elle a les meilleures notes presque partout, tout le temps. En langue, surtout. C’est fou, tous nos cours, sauf l’anglais bien sûr, sont dispensés en japonais… dans une langue qui n’est pas la sienne, et pourtant, elle cartonne quand même.

Pour toutes ces raisons, Eunyee est incroyable.
Et forcément, ça attise la jalousie. Aussi populaire soit-elle, c’est pas compliqué de remarquer comme la plupart des filles la regardent, quand bien même elle ne leur dit rien, ou ne leur a rien fait. Si elle le voulait, elle pourrait avoir tous les garçons à ses pieds et ça, elles le savent bien. C’est sans doute pour ça qu’elles lui en veulent. Et c’est peut-être pour ça qu’on raconte toute ces choses sur elle.

C’est pas facile d’être l’outsider. Et encore, elle, elle n’est jamais seule.

J’saurais pas dire quand ça avait commencé, de toute façon, on n’me dit jamais rien, à moi… mais si j’avais fini par en entendre parler, c’est sans doute que ça faisait un moment que le bruit courait.

Moi, je l’avais appris par Minoru, du club d’informatique, quand il était venu nous voir, très fier de lui. J’ignore comment la rumeur s’était propagée jusqu’à ce petit bonhomme grassouillet que j’avais dû tirer des griffes des loubards du bahut à de trop nombreuses reprises, mais c’était arrivé, et il nous avait tout raconté.

Celui-là même qui, un peu comme moi, désespérait de ne jamais perdre sa virginité, était venu à nous tout sourire, essoufflé et tout rouge, en sueur, pour nous raconter que, contre quelques billets, Eunyee avait fait sauter les boutons de son pantalon taille XXL pour lui tailler une pipe. Les garçons avaient fini par lui faire avouer que cela n’avait pas duré aussi longtemps qu’il avait voulu nous le faire croire, mais quand bien même les jours, puis les semaines passaient, il continuait de maintenir que c’était arrivé, qu’elle avait refusé qu’il enfile une capote et, qu’une fois fini, elle avait tout avalé.

Pour tout vous dire, j’avais vu rouge. J’avais vu rouge et je crois bien que j’avais failli lui sauter au cou. À lui, comme aux autres, qui s’étaient vite laissés convaincre et qui se demandaient déjà comment réunir les 20 000 yens qu’elle réclamait soi-disant en échange. Mais je ne l’avais pas fait.

Je ne l’avais pas fait et, évidemment, il y a trois jours, Sato et Maru étaient venus m’asticoter, tout aussi contents l’un que l’autre, pour m’annoncer que tout ça était vrai, qu’ils avaient beau être de véritables losers, obèses et mal-aimés de tous, ça ne les avait pas empêchés d’aller faire la queue comme les autres après les cours, dans la remise du gymnase. J’étais encore une fois en colère, furieux de les entendre dire des trucs pareils, alors qu’ils semblaient prendre un malin plaisir à me dire qu’elle avait pris une quinzaine de garçons dans sa bouche, tour à tour jusqu’à 18h environ, qu’ils avaient attendu en file indienne, mais que ça avait valu le coup, rien que pour voir l’état dans lequel elle était quand le dernier s’était pointé, dans ce qui ressemblait plus à un bukkake qu’autre chose…

Mais le problème, c’est qu’ils n’étaient pas les seuls à en parler. Peut-être que j’y prêtais plus attention depuis que j’étais au courant, mais ces derniers temps, j’avais l’impression que tous les garçons ne parlaient que de ça. Les mecs se cotisaient, parlaient d’emprunter de l’argent à leurs parents… d’aller la voir -enfin, je supposais que c’est d’elle qu’ils parlaient- tous les jours pendant une semaine après leur anniversaire…

J’étais furieux. En classe, rien ne semblait avoir changé. Peut-être Eunyee n’était-elle pas au courant de toutes ces rumeurs à son propos… ou peut-être qu’elle le savait, et le cachait. Si c’était le cas… Je ne pouvais imaginer comme ça devait être dur pour elle. J’étais en colère. Et pourtant… pourtant, il y avait aussi cette autre part de moi, le « moi » seul et encore novice, aux abonnés absents des plaisirs de la chair.

Tapant tout seul du pied, nerveusement dans mon coin, je ne pouvais la quitter des yeux, à ne savoir que faire. Cette fille était géniale, belle et gentille, juste incroyable. Ç’aurait été mentir que de dire qu’elle ne me plaisait pas… et que je n’avais pas envie d’elle, d’essayer. Mais rien de tout ça n’était vraiment moral. Pire encore, si tout ça n’était que d’immondes mensonges de racontars et de gens jaloux de cette fille si solaire, ce serait horrible pour elle. Et je m’en voudrais de faire ce que je m’apprêtais à faire.

La sonnerie retentit et je sortis comme d’un coup de ma torpeur, me levant brusquement, déjà sur le départ, mes affaires ramassées et déjà dans mon sac depuis quelques minutes. Dans une petite enveloppe que je serrais fortement de mes mains, tenaient non pas 20 000, mais 50 000 yens, que j’avais déduits de ma bourse pour le sport, sans rien dire à personne. C’était idiot, débile, nul… mais j’avais mis plus d’argent qu’il n’en fallait. Moi-même effrayé par mes… mensurations, j’avais toujours eu peur que… ça ne rentre nulle part, ou que, lorsqu’enfin j’aurais l’occasion de sauter le pas, une telle chose ferait aussitôt fuir l’élue du moment. C’était bête, mais je m’étais dit que… enfin, si c’était vrai, doubler la somme serait sans doute justifié.

Si tout cela était vrai, d’après les autres, les règles étaient simples : Eunyee nous touche, mais on ne la touche pas, elle ne fait pas de ristourne, ni de branlette pour moins cher. Elle suce, et c’est tout. 20 000 yens, elle pompe, avale et se prend en photo à côté du sexe vidé, pour ajouter le cliché à sa collection. Elle ne partage pas ses photos et il est interdit d’en prendre. Il faut lui remettre son téléphone avant.

Rien de bien compliqué, si ?
Debout devant mon bureau, j’inspire fort, tentant de trouver du courage, là où je ne savais même pas qu’il m’en manquait.

Nerveux, mais d’un pas rapide pour rester le plus discret possible, je m’empresse de contourner les tables, les unes après les autres, pour vite arriver jusqu’au bureau d’Eunyee. Je ne m’arrête qu’un instant à peine, tout hésitant, tandis qu’elle s’affaire à ranger son sac.

« Euuuh… »

Vivement, je dépose l’enveloppe sur son bureau. Sa tête remonte à peine que j’ai déjà peur de croiser son regard. Je me dérobe, fuyant, hésitant une autre seconde à peine… puis je tourne les talons.
Il est 15h30. Les cours sont finis. Je prends la fuite à toute allure, accélérant le pas dans les couloirs.

Merde ! Bon… et… et si tout cela était faux ?
Si tout cela était faux, alors tant pis. 50 000 yens, c’est pas grand-chose, à côté d’ô combien les gens d’ici auraient ruiné sa réputation. Je devrais même donner plus… ou… ou faire autre chose. Mais quoi ?

Ce soir-là, rentré chez moi bien plus rapidement que d’habitude, je ne pense plus qu’à ça, à elle, et à l’air con que j’aurais lorsqu’elle me demandera pourquoi je lui avait donné une telle somme. Étrangement, je bande. Beaucoup, et ça fait mal. Mais j’en fais rien, je suis bien trop préoccupé.

Je peine à m’endormir… et le lendemain, le réveil n’est pas plus simple.

Une bonne partie de la matinée, j’avance à tâtons, me fais discret, tout petit, si tant est que ce soit possible pour quelqu’un de ma taille. Je remercie les cieux, ou je ne sais quoi d’autre, pour ne pas avoir eu de cours en commun avec elle ce matin, toutefois, je sais déjà qu’il n’en sera pas de même toute la journée.

La boule au ventre, j’ai encore la tête ailleurs toute la journée durant, appréhendant la fin d’après-midi, et les nouveaux cours de langue.

14h, en salle d’anglais, je me presse encore pour passer entre tout le monde, croisant les doigts pour trouver un endroit où personne ne me remarquera.

Je m’assois dans le fond de la classe, sur une table pour deux restée libre. Je pose quand même mes affaires sur la seconde chaise, pour faire comprendre à quiconque que je souhaite rester seul. Le professeur entre.

Le cours va démarrer et… je souffle, soulagé de voir que je suis seul, dans mon coin de la classe. Dans le doute, je me dresse un peu pour regarder parmi toutes ces têtes qui dépassent… Je ne sais pas où est Eunyee.

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Les alentours de la ville / Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)
« le: dimanche 19 février 2023, 01:56:36 »
Malgré toute la chaleur dégagée par l’eau de la douche et toute la condensation qui a pu gagner la toute petite salle de bain annexe de la maison, rien ne peut m’empêcher de tout voir du spectacle que m’offre Mariko. Rien… si ce n’est cette intense gêne dont je n’arrive pas à me débarrasser.

J’entends tous ces bruits que font ses petits doigts qui ne cessent d’aller et venir en elle. Ça m’excite… mais je n’arrive pas à la regarder. La belle blonde est en train de se faire du bien juste devant moi, à quelques centimètres à peine, mais sentir son regard peser de la sorte sur moi… ça m’impressionne. Je le sens et je le vois, du coin de l’œil, comme ses yeux grands ouverts semblent presque ne pas quitter un seul instant ma lance dressée face à elle. Elle s’agite un peu. Dans mon angle mort, je la vois chercher à se faire une place plus assise et confortable. Je vois sa jambe se lever, m’inviter. Ses gémissements se font soudain plus forts, plus intenses.

Elle fait tellement de bruit !
L’œil méfiant, troublé, je me tourne finalement alors qu’elle m’appelle en criant son plaisir, m’intimant d’admirer la vue.
Sans la moindre once de gêne, Mariko, nue, chatouille de ses doigts si fins son petit sexe si trempé. Elle s’agite, frotte… entre et sort sans plus jamais s’arrêter tout en soupirant chaque seconde un peu plus fort. Mes yeux s’écarquillent. Je dois être rouge comme une tomate à la regarder comme ça…

J’ai l’impression d’avoir les lèvres sèches. J’en ai du mal à avaler ma salive. Où que je pose mes yeux, j’ai comme l’impression de devenir fou, tiraillé par l’envie. Mon sexe en est d’autant plus raide, si gros… pulsant encore et encore, entre mes doigts qui ne le malaxent que trop timidement. Mon regard ne parvient plus à se défaire de son opulente poitrine dès lorsqu’elle se met à la masser longuement… Je la vois tracer de tout petits cercles autour de son mamelon, venir pincer la petite pointe rose toute dressée de son sein… J’ai la furieuse envie de la toucher, de la goûter…

Mais j’ai un soudain mouvement de recul lorsque son corps vient à se tordre dans un sens, puis dans l’autre. Ses gémissements deviennent intenses… elle ne retient rien, écartant bien grand ses cuisses pour m’offrir une vue imprenable sur sa petite chatte. Mariko se cambre, comme emportée par les vagues de plaisir qui la submergent… Est-ce qu’elle vient de… jouir ?

À cet instant, voilà que j’ai arrêté tout mouvement, me délectant seulement du simple fait d’avoir pu la voir ainsi, dans un tel état. La queue tendue fièrement dans sa direction, je ne fais même pas attention tandis que je la lui tend en vérité, mon gland pointant, à quelques maigres centimètres seulement de sa petite antre…

Je me recule de nouveau lorsqu’elle vient se repositionner, fuyant son regard, ses courbes, intimidé. Mais, aussi plaqué à la porte que je suis, je ne peux m’empêcher d’en décoller mes fesses pour me tendre à elle, le bassin en avant, quand ses petites mains brûlantes viennent se poser sur moi, m’extirpant un long soupir. De surprise… et de bien.

« O-oh… Mariko ! At-attends ! C’est… c’est ma… »

Se fermant en anneau, ses longs et fins doigts viennent ceinturer mon sexe, sans parvenir à en faire pleinement le tour, même à deux mains. D’abord tétanisé sous l’effet de la surprise, je finis toutefois par lâcher prise. Mes mains retombent vite le long de mon corps et je serre les fesses, poussant encore plus mon bassin vers l’avant, lui servant mon sexe dur et chaud comme sur un plateau.

« Hmm hm. »

Je me contente seulement d’acquiescer, les lèvres serrées. La sensation d’une main autre que la mienne sur mon corps me ravit… mais m’impressionne encore. Surtout qu’il s’agit de la sienne…

Il me faut encore un temps avant que mes yeux ne fassent de nouveau l’effort de la regarder, de laisser mon regard épouser les formes parfaites de son corps. Et… plus de temps encore pour que je ne vienne la regarder faire, lorsqu’elle se met à me branler.

« Mmh… haaa… Ma-mariko… si tu fais ça je vais… aah… je risque de t’en mettre partout… aah… haaaaan… »

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Les alentours de la ville / Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)
« le: jeudi 02 février 2023, 23:39:50 »
Les jambes arquées, adossé de tout mon poids à la paroi du minuscule ascenseur, je me laissais complètement aller devant ce spectacle des plus torrides, m’effondrant à moitié, emporté par ce premier orgasme purement et simplement dévastateur.

Mes mains avaient lâché prise mais tout ne se terminait pas pour autant. Les bras presque le long du corps, je la regardais lécher, sucer, boire et avaler encore chaque goutte de mon foutre qu’elle pouvait bien récupérer de sa petite bouche pulpeuse. Quand bien même ses joues se gonflaient, déjà bien trop pleines, la plantureuse Lumna ne faiblissait jamais, me semblant si avide d’aspirer toute la sauce que je pouvais bien balancer. C’était foutrement bandant.

Elle lapait encore mon gland si sensible et me tirait de nouveaux cris que je ne pouvais contenir, totalement électrisé que j’étais, léchouillait mon nectar copieusement pour s’en délecter comme une affamée venant de traire une bête… C’était… électrique et tout ça me rappelait pourquoi c’est elle qui avait occupé mes pensées toutes ces nuits durant. La voir bouffer ma bite comme une gigantesque saucisse, trémousser son cul si large et pourtant si ferme, qu’elle avait couvert d’à peine un peu de tissu, comme si elle n’attendait qu’une occasion pour le montrer et faire tourner toutes les têtes…

« Oh… ooh. haaaaaaaaaaaaaaaa… Madame… madame… »

Toute la partie supérieure de son buste s’était recouverte de mon sperme. Il venait encore à couler partout, dans un autre de ces endroits si fréquentés de l’hôtel… et pourtant je n’en éprouvais aucune honte. De la satisfaction uniquement. J’étais si… fier de faire tout ça avec elle.

Peinant à reprendre mon souffle, je faisais toutefois de mon mieux pour esquisser un sourire et acquiescer à ses mots. J’avais commencé à ramollir un peu mais, comme elle, j’en voulais encore. J’avais envie de la prendre sans ménagement, comme l’autre fois, de la retourner juste ici, dans l’ascenseur pour faire gigoter ses grosses fesses tout contre moi. Mais… c’était encore dur. Enfin…

Le sexe en main, je revenais le secouer un peu sur ses jolies lèvres charnues avant de me plier un peu plus. Plus bas, je trempais mon gland dans ces grosses nappes chaudes et blanches qui avaient recouvertes ses mamelles, les tapotant de ma grosse bite toute entière pour l’enduire comme s’il s’agissait d’une glace que je venais lui recoller sous le museau. J’avais aimé comme elle m’avait pompé et ne demandait qu’à ce qu’elle le refasse encore, rien qu’un peu…

« J’en ai très envie aussi… »

Jetant un œil à la porte grande ouverte, je n’arrêtais en rien mon petit manège, m’attardant bien de longues secondes à enduire sa bouche de mon sexe tout collant.

« On n’a qu’à le faire là ? Tournez-vous. »

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Les alentours de la ville / Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)
« le: samedi 28 janvier 2023, 23:49:14 »
La salive presque au bord des lèvres, je ne m’en remets toujours pas tant c’est bon. Jamais n’aurais-je pu ne serait-ce qu’imaginer que se faire tailler une pipe soit aussi bon.

Mais, la vérité, c’est que c’est sans doute elle qui me fait ça.
Elle fait ça si bien. L’entendre et la voir faire, l’entendre me dire et me faire comprendre comme elle aime le goût de ma queue… c’est tellement bandant. Je suis comme un animal en rut à souffler si fort pendant qu’elle m’astique, à renfort de ses lèvres et de ses coups de langue gourmands.

Même lorsque nous nous arrêtons subitement, je peux sentir mon plaisir continuer à grimper. Ses doigts enserrent vivement ma grosse queue pour la pétrir comme une furie, m’obligeant à lutter pour garder les yeux ouverts. Elle est si bonne quand elle se lève, lorsqu’elle glisse ses doigts sur sa chatte pour ensuite les faire tremper sur ma bouche qui s’entrouvre… Je les lèchent, les suçotent. Avant qu’elle ne reparte à l’assaut, la robe montée bien au-dessus des fesses.

Son gros cul rebondi. Qu’il est beau de là où j’suis. Qu’il est énorme dans son petit string… Qu’elle est belle.
À la voir comme ça, je me jure déjà de la prendre par derrière cette fois-ci, histoire de le regarder rebondir et claquer, histoire de l’embrasser, de le lécher, de lui faire subir tous les sévices…

Mais toutes ces pensées disparaissent comme elles sont venues dès lors que mon gland vient de nouveau frotter sa gorge, d’un grand coup. Tout s’accélère sans me laisser le temps de penser. Elle suce si fort… un aspirateur, une véritable machine à pomper. Elle bave partout, m’aspirant si loin, si fort. Les jambes fléchies, je tremble de partout. Elle ne me laisse d’autre choix que de me rattraper comme je peux… et je choisis ses cheveux, que je reprends en queue de cheval entre mes deux mains. Elle pompe, elle pompe, pompe et pompe encore, bruyamment. Elle me branle comme une folle avide, malmenant ma bite, mes couilles. Elle s’active énergiquement sans jamais me recracher… J’ai l’impression d’être sur le point d’crever tant mon coeur s’emballe.

Je la suis, la guide parfois, tirant légèrement sur sa tête pour venir baiser sa bouche parfois. Je la martèle de coups de butoirs que je me retiens de faire violents, glissant sur sa langue si douce.

« HAAA HAAAA… HMMM »

Je n’résiste aucunement aux vagues de plaisirs qui viennent violemment gagner mon corps tout entier. Je ne retiens plus rien, me décrispe même, la laissant m’avaler comme il faut, bien satisfait de savoir que ma bite est pour elle comme un met de choix dont elle peut se bâfrer à volonté. Si seulement c’était possible, je lui aurais même demandé de me sucer toute la journée.

« OH M-OUI… »

Avant que les portes ne se referment, j’appuie d’un coup sur le bouton fait pour les garder ouvertes.
Ma seule main empoigne bien ses cheveux, la guidant plus fermement pour bourrer sa bouche comme s’il s’agissait de son cul. Mes cuisses s’ouvrent encore, se contractent. Tous ces spasmes sont bien trop forts pour moi. Je couvre seulement ma bouche de mon bras, masquant ces hurlements que j’aurais pu pousser.

« HmmmmmmmMMmmMMMMMMMMM HmmmmMMmMMmMM HMMMMM »

D’un coup je recule sa tête pour la laisser respirer. Je renfourne dans la seconde ma grosse bite entre ses lèvres si ouvertes, pose mon gland juste sur la pointe de sa langue. Je le ressors, devant sa bouche grande ouverte, caressant cette belle pointe rose.
Mon urètre s’est ouvert, palpite. Et la sauce monte si vite.

Un épais jet s’en échappe pour barbouiller sa langue de ma chaude crème blanche. Puis un second, visant directement sa gorge déployée, qui tartine tout l’intérieur de ses joues. Je me retiens d’hurler et ma semence ne cesse de se répandre.

Ma seconde main revient chercher ses cheveux. Et je la tire.
D’un nouveau coup, je comble sa bouche de ma verge. J’entre si loin dans sa gorge… Et sur ses cheveux je tire encore, faisant coulisser ma queue toute tremblante, électrisée par les spasmes de l’orgasme. J’attire son nez jusque sur mon aine, continuant de jouir en visant directement son intérieur. Mes bourses tremblent, palpitent fort sous l’effet de l’épaisse quantité de foutre à lâcher.

Et d’un coup, à bout de souffle, je me retire.

« Haa… HA. HA ! »

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Les alentours de la ville / Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)
« le: jeudi 26 janvier 2023, 23:08:35 »
Oh, quel régal.
Cette fois, la mise en bouche était totale et ainsi je découvrais les plaisirs enivrants d’une vraie fellation. J’ignorais encore si la belle Lumna simulait pour m’exciter ou bien si elle exprimait vraiment son contentement en ces petits râles contenus, mais j’en étais dingue. Je la touchais à peine qu’elle paraissait prendre un pied monstrueux à déformer ses joues ainsi, se régalant en dévorant ma bite comme s’il s’agissait là d’une accro au sucre avalant la plus grande sucette du monde.

Je me faisais aspirer, ni plus ni moins. Elle s’était déjà enfilée une bonne vingtaine de centimètres de queue qu’elle semblait en vouloir encore plus, pompant toujours plus intensément d’avant en arrière comme pour habituer sa gorge que je commençais déjà à racler.

« H-h-haa. Haaaa… ha… p-plus vite, plus vite… »

Sa bouche experte travaillait sa relâche pour me pomper plus intensément encore à chaque à-coups, mais comme si cela ne suffisait pas, sa main ne cessait non plus de s’activer, comme pour s’assurer que toute ma bite y ait droit. Elle montait, descendait et tournait en de petites rotations techniquement parfaites avant de s’écraser contre mes boules qui palpitaient sous l’effet de ce délicieux traitement.

Je m’appuyais, m’accrochais désespérément comme je le pouvais dans sa merveilleuse crinière, en continuant à glisser doucement contre la paroi de l’ascenseur, me laissant fondre, les yeux presque révulsés, la main ancrée dans sa douce crinière.

Elle extirpait du tissu son énorme nibard qui vint pendre dans le vide, retenu par ma grosse main avide. Me perdant à son contact si doux, si chaud, je finissais même par lâcher ses cheveux, les laissant retomber tout partout. Ma main glissait vite sur l’autre bretelle de sa robe pour la faire glisser en toute hâte. Libérant à peine la naissance de son second sein, je m’en emparais pour le faire sortir lui aussi, le laissant retomber et balancer, entrechoquant son parfait jumeau en les regardant tous deux, presque admiratif avant de reposer mes mains au mur…

« C’est ça… régalez-vous. Ooooh, bouffez-la moi… »

Mon appui bien solide, je reposais enfin mes mains sur ses cheveux, les caressant longuement en accompagnant tous ses mouvements. Comme une bête, je me mettais à feuler, ne tiltant même pas que j’avais arrêté d’appuyer sur le bouton censé nous retenir, et ce depuis un moment.

Heureusement que personne n’attendait derrière.
Les portes se rouvrirent sur ce somptueux tableau que nous peignions de nos corps, ma bite à moitié enfoncée dans la gorge de cette blonde sulfureuse et à moitié nue, dont les énormes seins gigotaient au rythme des intenses soupirs et bruits de succion qu’elle faisait.

De mes doigts, je venais vite serrer la large base de ma queue, la pressant fermement, tournant tout autour tel un forcené. Mes souffles se faisaient un peu plus courts. Tout cela était si… chaud.
J’extirpais ma bite pleine de bave et de traces de rouge à lèvres de son exquis fourreau en la regardant d’un air envieux et lubrique, joueur, venant vite la tapoter au bord de sa bouche délicieuse.

« Haa… si vous continuez comme ça… j’vais vous en remettre plein la bouche. Elle est si bonne que ça ? »

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Les alentours de la ville / Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)
« le: mardi 24 janvier 2023, 20:09:48 »
Elle jouait. Le regard brillant, lubrique, Lumna avait tout l’air de s’amuser. Je soupirais bien fort pour ces petites cloisons pas bien épaisses, mais ne pouvais m’en empêcher tandis qu’elle gobait dans sa bouche chaque parcelle de ma queue qui pouvait bien passer par là. Tel un chat devant son jouet, elle s’agitait, sautillait sur ses genoux pour m’attraper… elle agitait sa langue sur tout le pourtour de mon gland qui palpitait déjà et parvenait bien vite à me faire tourner la tête.

Mes doigts ayant enfin trouvés les boutons de l’ascenseur, je n’eus d’autre réflexe que d’appuyer par automatisme, dès lorsqu’elle voulut bien m’annoncer quel étage serait notre arrêt.

Mais ses mains tiraient bien trop fort sur mon jean qui ne tarda pas à tomber sur mes chevilles. M’appuyant là où je le pouvais, je me laissais presque tomber, m’adossant pour ne lui tendre que mon bassin, les genoux à moitié pliés.

« Haaaaaa… »

Sa main vint soupeser l’une de mes couilles, la malaxer doucement pour ensuite la faire rencontrer sa jumelle… Elle me palpait longuement, m’offrant des caresses délicieuses, qui ne tardèrent pas à me faire bander toujours un peu plus.

« D-d’accord… alors… faisons ça… »

Mes yeux, fermés qu’un bref instant, reviennent s’entrouvrir doucement pour la regarder à l’œuvre. Doucement. Tout doucement, je la vois ouvrir grand… placer mon gland, si gros, contre sa langue si fine. Je frémis… me mords les lèvres… puis disparais, fonds.
Tout en douceur, le bout de ma pine se fait une place dans sa bouche étroite, gonfle ses joues, les raclent en se frottant à sa langue.

« MMMH !!! »

Puis elle me branle.
Sa petite main enserre à peine une demi-largeur de ce gros chibre qu’elle agite entre ses doigts et pourtant elle le fait si bien. Mon gland entre et sort lentement, dans des bruits de succion déjà sonores et savoureux. Je trépigne, tape du pied, les cuisses trop contractées…

Je ne tarde pas à durcir dans sa petite main, mes veines se mettant à gonfler, ma queue à enfler vivement. Ma peau si fine se tire d’elle-même…

J’appuie d’un geste sur le bouton servant à maintenir les portes fermées, et le tiens enfoncé.

« Ouiiii… haan oui. Restons là. Un peu… rien qu’un peu, le temps de… »

Constatant le mal qu’elle se donne à repousser ces mèches qui n’ont de cesse de tomber sur ma bite, je me penche, un peu. Passant la main derrière son crâne, je réunis ses jolis cheveux de blés entre mes doigts pour désormais les tenir en queue de cheval. Biens sûr, j’en profite, poussant un peu son crâne vers moi. Mais à peine.

« Oui, c’est bon. C’que c’est boooon… Haan, sucez-moi la bite Madame Lumna. Autant que vous voulez… tout l’temps… comme ça… »

Sans vraiment y prêter attention, mes hanches se remettent à onduler, allant frotter mon gland contre l’intérieur d’une joue, puis de l’autre, me donnant l’occasion de me délecter de cette formidable antre chaude que je rêvais d’explorer en profondeur.

Louchant parfois sur son corps de rêve, je ne pouvais m’empêcher de remarquer ses seins qui ballottaient sous sa robe. Je n’en étais pas bien sûr, mais je ne demandais qu’à voir : ne portait-elle rien là-dessous ? Avec des seins pareils ? Si tel était le cas…

M’affaissant un peu contre la paroi sur laquelle j’avais pris appui, je fléchissais les genoux pour me rapprocher d’elle au possible. Lâchant le bouton de l’ascenseur, je glissais un doigt sous le tissus de sa robe. J’attrapais à pleine l’un de ses gros seins ballottant, tirant dessus, prêt à découvrir s’il était nu… ou pas. Allez savoir quelle idée m’avait traversée l’esprit, je mourrais d’envie de les dévorer.

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Les alentours de la ville / Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)
« le: lundi 23 janvier 2023, 23:34:12 »
Ô comme elle m’avait manqué…
Elle me donne si chaud, me donne tant envie d’elle. À peine s’est-elle pressée contre moi que je n’aspire désormais plus qu’à arracher ses vêtements pour la bouffer toute crue.

J’aime sa façon de se coller à moi, de me caresser. Et j’aime encore plus celle qu’elle a de prendre ma queue dans sa main, qui semble si petite en comparaison… Coquine et joueuse. Je me régale de lire dans ses yeux la même gourmandise que la fois dernière, alors qu’elle louche sur mon sexe lorsqu’elle se met à me branler. Ses yeux s’illuminent comme je soupire déjà d’aisance lorsqu’elle couvre et découvre mon gland que ses doigts fins triturent avec amusement.

« H-hum… ok. »

Je n’ai pas le temps d’être déçu à l’idée de ne pas la baiser là, sur place, tout de suite, qu’elle me tire jusqu’à l’ascenseur d’à côté, me plaquant là encore contre ses portes.
Ses doigts retournent se serrer plus fermement autour de ma verge pour l’astiquer, m’offrant une délicieuse branlette l’espace de longues secondes, pendant lesquelles nous observons tous deux avec appréhension la possible arrivée d’un invité inopportun. Mais personne ne vient. Ma queue gonfle doucement entre ses doigts, lourde mais bien molle encore. Aaah, c’était tellement mieux quand c’était elle qui s’en chargeait…

« Mmmh… oh, comme ça. Oui, juste là. Là. »

Ses lèvres effleurant la naissance de mes pectoraux ne me donnent que plus chaud. J’aime tellement ce qu’elle fait avec sa bouche…
Bien sagement je la laisse s’occuper de moi, restant bien plaqué contre les portes de métal jusqu’à leur ouverture soudaine. Je la laisse me pousser en arrière, prends appui contre ces nouvelles parois qui s’offrent à moi, avant de l’admirer, bouche bée, quand elle se laisse tomber devant moi. C’est exactement ce dont j’avais envie, là maintenant. La voir comme ça, juste au-dessous de ma bite, avoir une telle vue sur son décolleté si profond.

Je décalotte à peine mon gland qu’elle vient l’embrasser.
Je frémis.

« Oooh. Moi aussi Madame… j-j’ai pas arrêté. Toutes les nuits aussi. Surtout la nuit, dans mon lit. »

Sa langue vient laper mon gland d’un gros trait qui me fait bondir. Puis elle s’agite, tourne longuement autour. Mes mains se crispent contre les parois latéral du petit ascenseur, mes jambes s’arquent, se raidissent.

À la regarder comme ça, je me sens déjà chose, animal.
Attrapant la base de mon engin dressé à moitié, encore agile et flexible, je viens le lui secouer au nez, ma bouche entrouverte lâchant quelques petites souffles chauds.

« Est-ce que… ma bite vous a manqué ? »

Agitant mon gland, je le fais rebondir contre sa petite langue pendue, tout en cherchant de mon autre main les boutons de l’ascenseur. Je tâtonne, incapable de détourner mes yeux de pareil spectacle.
Je frotte ma queue sur la langue, l’agite de gauche à droite pour effleurer ses joues.

« Quel étage ? »

Fléchissant doucement les jambes, j’entame quelques petits va-et-vient à l’aide de mon bassin pour lui faire comprendre, faisant avancer et reculer sans cesse l’épaisse pointe de ma verge sur sa belle langue baveuse.

« J-je… je peux bloquer les portes ici un peu si… si hum… »

Regardant ailleurs, un peu hésitant, je mets quelques secondes avant de revenir à son regard insistant.

« Est-ce que vous voulez la sucer ? »

Levant ma verge pour attirer son attention sur mes bourses pleines et enflées au possible, je reprends :

« Il y en a encore beaucoup pour vous… »

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Les alentours de la ville / Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)
« le: lundi 23 janvier 2023, 20:10:33 »
Avançant à pas légers, la tête encore dans la lune au beau milieu de couloir désert, ne menant qu’à des chambres bien loins de la mienne, je ne me laisse que trop surprendre par ce cri soudain.
Je reconnais aisément cette voix, mais n’ai même pas le temps de me retourner que déjà, me voilà plaqué au mur.

Heureusement d’ailleurs qu’elle s’était annoncée une seconde plus tôt, auquel cas mes réflexes auraient pu ne pas être les mêmes. Mon coeur fait un bond dans ma poitrine, mais pas le temps d’adresser le moindre sourire…

C’est elle !
Je l’aperçois à peine que Lumna se jette sur moi à corps perdu. Ses deux gigantesques seins comprimés dans sa robe débordent presque alors qu’elle se presse tout contre moi. Sa bouche happe la mienne avec ardeur et, déjà, ses mains parcourent mon torse, glissent sur mon t-shirt, descendent sur mes hanches.

« Mmh ! »

Mon cerveau a à peine le temps d’imprimer qu’il me faut réagir. Son corps contre le mien me renvoie instinctivement à ces images d’elle nue, gravées dans ma mémoire. Mes mains se posent sur son visage que je dépasse d’une bonne tête au moins. Mes lèvres se scellent aux siennes en réponse de ses baisers… ma langue vient chercher la sienne, joue longuement avec, s’enroulant, se déroulant…

« Madame… L-Lumna… »

À l’image des ses mains baladeuses, les miennes n’en sont vite pas en reste non plus. Glissant longuement dans son dos, elles viennent bien rapidement, en hâte, pétrir son cul énorme. Mes doigts s’enfoncent à travers le tissu de sa robe, malaxent vigoureusement. Mes yeux s’entrouvrent et je m’assure que nous sommes seuls.

Ses mains sur mes hanches me font déjà frémir et, certain maintenant que nous ne sommes que deux, je fonds vite à leur rencontre. Hâtivement je déboucle ma ceinture, me saisis de ma braguette que je tire vers le bas. Une main sous mon jean passe vite à la recherche de ce que je veux tant lui offrir… et je m’en saisis.

D’un coup d’un seul, au beau milieu de ce couloir, j’extrais de mon pantalon ce colosse encore mou pour l’agiter devant elle.

« Haaa… moi non plus… »

Cela fait, je me raccroche à ses courbes vertigineuses, la tirant à moi. Je retourne masser ses fesses, dévorer sa bouche…
Cinq de mes doigts viennent enserrer les siens, tirant sa main vers le bas, plus bas. J’ai tellement envie de la sentir. Qu’elle m’empoigne.


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