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« le: samedi 26 novembre 2016, 19:45:18 »
La succube vint à me dire que je ne devrais pas utiliser mon premier prénom, ce qui était assez logique, un démon nommé « Ange » ça ne le ferait pas trop, elle vint aussi à me dire de ne plus utiliser mon nom de famille, de l’oublier. Ce qui promettait d’être un peu difficile au début. Je m’attendais à ce que la succube se présente, mais visiblement elle comptait le faire plus tard, je me vis me faire aspirer en elle et je n’eus pas tellement le temps de cogiter sur ce qui se passait, que je me voyais dans une citrouille. Comme incubateur je me serait attendu à quelques chose de plus répugnant ou de spacieux, mais je n’avais pas le droit de me plaindre, mieux valait ne pas l’énerver. Elle prit la peine de m’expliquer la suite, cette citrouille permettait visiblement de corrompre els âmes. Je vins un peu à tiquer au terme vicié, ne sachant pas si cela allait me changer radicalement ou non. J’étais déjà bien heureuse de pouvoir avoir une seconde vie, même si c’était avec une laisse autour du cou. Heureusement que je n’avais pas de corps, sinon mes joues se seraient sans doute empourprée en entendant le mot « orgie ». Elle va m’indiquer que le spectacle allait me donner de plus en plus envie, ce qui aiderait à la transformation.
Je vins à me faire trimballer observant ce que je pouvais voir à travers les trous de la citrouille. Je ne pouvais sortir de la citrouille, étant la seule chose qui semblait avoir un effet sur mon corps fantomatique. Je fus surprise de voir d’autre démon, constatant la similitude avec la succube qui m’avait sauvé, ils avaient la peau rouge, était-ce un rang spécial chez le démons ? Je vins à jeter de petits coups d’œil vers l’extérieur, quand les « yeux » de la citrouille étaient vers cette direction. C’était comme si j’étais une petite fée dans une citrouille. La succube se mit à me placer de telle manière à avoir la possibilité de tout voir par les « yeux » de la citrouille. Je vis les autres esclaves se mettre à rendre la salle propre avec leurs langues. Je ne pouvais cacher le fait que ce spectacle me surprenait.
Ma bienfaitrice, si on pouvait la considérer comme ça, vint à me laisser. Entendant les esclaves laper les moindres traces de semence en poussant de petit soupir de plaisir. Je n’eus pas à attendre un peu plus pour que des démons entrent. Je pus constater encore des créatures avec la peau rouge, avec d’autres qui n’avaient pas cette particularité. Les esclaves vinrent près des démons, les caressants et venant procurer du plaisir. Encore une fois j’aurais eu le visage rouge en observant cela. Je pus constater une chose négative avec ce corps, je ne pouvais me boucher les oreilles, subissant les cris de plaisir, les gémissements, tous les bruits obscènes. La première orgie fut très riche en sensations, l’air dans mon espace semblait être chaud, comme si j’étais excitée, je pus souffler en voyant le groupe partir, après de longues heures. Mais, mon état ne s’apaisait pas pour autant.
Les orgies se mirent à se succéder. Le fait de ne pas avoir à manger, ni de dormir me fit rapidement perdre la notion de temps, pensant que les orgies s’enchainaient les unes après les autres, les esclaves faisant un fabuleux travail avec uniquement leurs langues, semblant ne jamais combler leurs estomacs de cette substance gluante et odorante. Quelques fois, de la semence venait à s’étaler sur la citrouille où j’étais, ayant une vue imprenable sur le visage, la bouche et la langue des esclaves qui montaient pour venir nettoyer, ce qui m’excitais toujours et encore.
Si les deux premières semaines j’offrais de la résistance à l’envie de la luxure, les semaines qui suivirent vinrent à grignoter mon « innocence ». Après la fin du deuxième mois, mon corps vint à gagner en substance, me permettant, enfin de pouvoir me masturber, alors que je voyais les autres s’amuser sans moi. Je désirais pouvoir y être, appuyant à l’intérieur de la citrouille et venant à gémir pour que l’on me sorte d’ici. Le son ne semblait pas pouvoir sortir. Ma bouche s’ouvrait quand j’observais une succube ou une esclave prendre un membre en bouche, m’imaginant être à sa place. L’apparition de ma queue de succube me permit d’ajouter une source de plaisir, mais comparé aux orgies qui étaient devant moi, ce n’était pas suffisant, je n’avais pas assez de main pour pouvoir tout ressentir.
Au cours de ses trois mois je pus voir ma maîtresse de temps à autres, essayant de la faire signe que je voulais sortir, que je voulais participer, mais soi elle en m’entendait pas, soit elle jouait à ne pas m’entendre. Je crus quelques fois, peut-être était-ce mon imagination, quelle me regardais avec un grand sourire, alors qu’elle s’amusait dans l’orgie. Les trois mois de voyeurismes permirent d’acquérir des connaissances, étant cependant condamnée à jouer avec c que mon corps m’offrait, essayant de simuler une fellation avec ma queue de démon, même si ce n’était pas assez épais et que cela ne jouissait pas. Mon corps vint à mûrir et je n’en pouvais plus, il me fallait du sexe avec d’autres personnes, mon simple corps ne suffisait pas.
En trois mois j’avais presque oublié tout de ma vie d’humaine, il ne restait que quelques brides, comme mon prénom, le fait qu’être esclave de la succube était un choix et que je devais obéir fidèlement à cette dernière. Le sexe et les orgies étaient mes sources d’intérêts, désirant ardemment y être au lieu d’être emprisonnée au simple statu d’observatrice.