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Messages - B.B. Corps

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
Centre-ville de Seikusu / Re : Power Armor [Susan Avery]
« le: lundi 05 mars 2018, 00:46:47 »
Les balles du pistolet rebondirent contre l’armature métallique de Crying Wolf. Ce n’était pas une armure ordinaire, mais une construction technologico-magique, générée par la magie de l’homme qui veillait sur les quatre Beauties. Les balles de ce simple pistolet ne pouvaient donc rien faire contre l’armure, qui mitrailla encore Susan, les puissantes balles de la mitraillette dégommant des voitures, crevant des pneus. Toutefois, la proie de Crying Wolf s’avéra étonnamment rapide, et fila par une ruelle, échappant provisoirement à l’attention de Crying Wolf. L’armure bondit en effet sur la dernière voiture derrière laquelle Susan s’était abritée, pour constater que la cible avait disparu.

À l’intérieur de l’armure, Crying Beauty ne put que manifester son étonnement.

*Où est-elle passée ?*

La Beauty avait conscience qu’elle devait agir vite, avant que les forces de défense locales n’interviennent. Les riverains avaient nécessairement dû entendre les coups de feu, et, outre la police, elle redoutait surtout l’intervention des Avengers. Avec son museau, la femme renversa la voiture, et constata que sa proie ne se cachait pas dessous. Fort heureusement, Crying Wolf était une traqueuse, et enclencha un sonar de surveillance situé sur le sommet de son corps.

Elle repéra ainsi sa proie, à proximité, et s’élança alors vers elle, rejoignant le muret. Son arme déclencha alors un puissant tir Gauss, qui fit exploser le muret, confirmant ainsi le fait que Crying Wolf disposait d’un terrible arsenal à disposition, et qu’elle était prête à l’utiliser. Le mur explosa donc, laissant place à un nuage de poussière, tandis que l’armure de combat s’approchait lentement, prudente...

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Power Armor [Susan Avery]
« le: lundi 19 février 2018, 00:48:50 »
La jeune proie s’avéra bien plus redoutable que ce à quoi le commando s’attendait... Ce qui ne surprit néanmoins pas tout le monde. Ces agents n’étaient en réalité qu’un subterfuge, un moyen définitif de s’assurer qu’ils s’en prenaient à la bonne personne, et pas juste à une simple lycéenne. Ils en eurent la démonstration claire en voyant la femme abattre toute l’équipe. Des mouvements rapides, des réflexes trahissant une formation militaire, un sang-froid impeccable... Qui l’amena à mettre en joue la tête du dernier larron, laissant autour d’elle plusieurs cadavres, et des détonations qui n’allaient pas manquer d’attirer les curieux.

Loin d’être terrorisé, le dernier commando écarquilla les yeux, un air de fanatique sur le regard, et hurla tout simplement :

« HAIL HYDRA !! »

Sa main se saisit d’un couteau situé contre sa ceinture, et il bondit brusquement... Pour qu’une ultime détonation ne retentisse. Aucune hésitation, aucun remords, le doute n’était plus permis. Le corps de l’homme s’étala sur le sol, tandis que des gerbes de sang éclatèrent sur le visage de la femme, ainsi que sur ses vêtements. Le corps gisait à terre, et, tandis que Susan devait réfléchir à la suite, un bruissement se fit entendre... Bruissement qui se transforma en un hurlement mécanique venant d’un toit adjacent.

Levant la tête, la femme dut alors apercevoir, en-hauteur, une étonnante silhouette noirâtre, dont le corps réfléchissait les rayons du soleil. Puis la silhouette se déplaça lentement, et commença à descendre le mur, plantant d’énormes pattes métalliques sur le mur, faisant tomber un peu de gravier. La silhouette continua à descendre, et Susan put apercevoir une sorte d’énorme chien noir chromé, ressemblant à une armure de combat mobile, qui bondit depuis les hauteurs, et atterrit sur une voiture, défonçant le toit, faisant exploser plusieurs vitres, et déclenchant l’alarme.

Puis la créature observa alors la femme, et une tourelle qui tournait au-dessus de sa tête s’immobilisa soudain, en la fixant, un pointeur optique rouge filant vers elle.

Une mitrailleuse lourde qui s’apprêtait à lui tirer dessus... Crying Wolf venait de débarquer !

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Power Armor [Susan Avery]
« le: lundi 12 février 2018, 00:52:40 »
Prudents, ils se déplaçaient efficacement. Mine de rien, et malgré le petit incident de tout à l’heure, ils étaient tout de même des agents entraînés. La jeune femme se déplaçait, flânant sans se rendre dans une seule boutique, ce qui conduisait ses poursuivants à redoubler de vigilance. Pour avoir réussi à passer des années sous les radars, et à échapper au S.H.I.E.L.D., cette femme devait être douée. De ça, ils en avaient conscience, et ils en tenaient naturellement compte, ce qui expliquait leur précaution.

« Merde... Mais qu’est-ce qu’elle fout ?
 -  Elle ne s’arrête à aucune boutique ?
 -  Maintenez la filature, attendez une ouverture. »

Le plan ne se passait pas comme prévu. Ils auraient espéré qu’elle se rende dans une boutique, ce qui leur aurait laissé le temps de mieux se positionner, de baliser le terrain, d’envoyer les commandos à des emplacements stratégiques. Là, à défaut, ils étaient contraints de se déployer rapidement, sans concertation. Puis, à leur surprise, la cible retourna vers chez elle, empruntant finalement une zone isolée.

« C’est l’occasion !
 -  Mais on est pas prêts !
 -  Mais foncez, putain ! »

Les commandos obéirent alors, et s’approchèrent de la jeune femme, isolée dans la ruelle. Deux débarquèrent devant, et un autre derrière. Ils s’approchèrent rapidement, avec une posture qui n’incitait clairement pas à leur faire confiance, et celui dans le dos de Susan sortit de sa poche, lentement, un pistolet tranquillisant, pendant que les autres exhibèrent des matraques télescopiques. Pas un mot ne s’échappa de leurs lèvres, tant ils étaient concentrés sur leur tâche : la neutraliser rapidement.

Avant qu’il n’y ait du grabuge.

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Power Armor [Susan Avery]
« le: lundi 05 février 2018, 21:44:55 »
Il avait été difficile de la trouver, car leur cible n’avait pas de papier légal. Elle vivait discrètement sur ce monde, ce qui expliquait aussi pourquoi elle avait pu passer tant d’années à vivre sous le radar. Mais HYDRA avait fini par détecter en elle une technologie très évoluée, suffisamment évoluée pour que l’organisation mène une enquête approfondie. Les ressources de l’organisation terroriste étaient bien plus impressionnantes que ce qu’on pouvait croire de prime abord. HYDRA s’était donc renseignée, et avait obtenu suffisamment d’informations pour lancer l’offensive. Le van se rapprochait donc lorsque l’appariel bipa énergiquement.

« Elle est là !
 -  On a une photo, non ? »

Le copilote regarda les piétons, et hocha la tête, les observant avec des jumelles.

« Je la vois. Trottoir sur la droite. J’approche... »

Le van ralentit lentement, et les commandos se tinrent prêts à l’intervention. L’essentiel était d’agir vite, et l’un des commandos sortit un pistolet tranquillisant. Il suffisait de la saisir, et de rapidement planter la seringue au bout du pistolet. Ensuite, la cible serait transférée au laboratoire, et les choses se passeraient bien. L’essentiel, c’était de ne pas alerter le S.H.I.E.L.D. Concentrés, les agents se rapprochèrent donc, mais, brusquement, une voiture jaillit depuis une rue privée à droite, grillant la priorité en s’engageant. Pestant sur place, le chauffeur klaxonna rageusement, attirant les regards des gens, amenant le chauffeur devdenat à klaxonner à son tour tout en leur faisant un doigt d’honneur.

« Merde ! Pourquoi tu as fait ça ? Elle a vu le van !
 -  Et alors ? Elle se doute de rien !
 -  Non, non, on fait le tour, c’est trop risqué ! Trop de gens...
 -  Putain... »

Le van longea leur proie, et partit alors. L’escouade le gara ensuite le long du trottoir, et les agents d’HYDRA, déguisés en civils, sortirent séparément du van, les uns après les autres, venant se fondre dans la foule.

« Je m’approche...
 -  Elle se dirige vers une rue piétonne... »

Il y avait énormément de gens dehors, flânant le long des boutiques, des restaurants, ce genre de choses... Un agent d’HYDRA la suivait, portant une casquette sur le visage.

« Je la lâche pas, j’attends une ouverture...
 -  Pas de panique, les gars, on se détend, et on la piste. Tant qu’on la perd pas de vue, on craint rien... »

Tout ce qu’ils avaient à faire, c’était de se rapprocher d’elle...

5
Centre-ville de Seikusu / Power Armor [Susan Avery]
« le: lundi 05 février 2018, 00:48:51 »
« Cible identifiée...
 -  En approche... »

Journée estivale à Seikusu. Le soleil trônait dans les airs, un léger vent frais venant de la mer, permettant de ne pas trop étouffer. Quelques nuages blancs tâchaient le bleu profond du ciel, donnant surtout envie d’aller se baigner. Les lycéens finissant leur journée affluaient d’ailleurs vers la plage, écourtant ainsi les activités extrascolaires, qui étaient monnaie courante au Japon. Personne ne se souciait du van banalisé dont la devanture affichait officiellement qu’il vendait des sushis... Et, effectivement, si quelqu’un se donnait la peine de composer le numéro qui s’affiche, il tomberait sur un véritable vendeur de sushis. Mais, si ladite personne parviendrait à creuser plus loin, elle découvrirait que cette devanture n’était qu’une façade, et que, derrière la vente de sushis, cette société n’était qu’une société-écran. Un grand classique des opérations d’infiltration.

Le van remontait la rue, commandé à distance par les opérateurs tactiques, qui, grâce à un satellite-espion, pistaient la proie. Celle-ci était identifiée grâce à la technologie futuriste qu’elle portait, et les hommes prenaient cette mission très au sérieux. L’essentiel était d’agir très vite, d’appréhender la cible avant qu’il n’y ait des complications, que les autorités locales n’interviennent, ou pire encore... Le S.H.I.E.L.D. ! Cette hypothèse n’était clairement pas envisageable, et le van se rapprochait donc. Ils avaient certes un signal, mais la localisation n’était pas fiable en totalité. Il fallait donc se déplacer, et, à l’aide d’une balise, voir s’ils se rapprochaient ou s’ils s’éloignaient.

C’était un véritable repérage, minutieux, et savamment organisé. HYDRA ne laissait rien au hasard, et surtout la perspective de se doter d’une technologie très avancée. Le combat savait qu’ils disposaient de soutiens passifs, mais comptaient bien régler par eux-mêmes cette situation. C’était leur mission, après tout. Le van avançait donc calmement, tandis que le signal bipait de plus en plus.

« Elle est proche...
 -  On agit vite et bien, comme il faut ! »

Ils étaient motivés, et bien déterminés à agir efficacement, tout en se rapprochant de la fameuse Susan Avery...

6
Maria se plaça rapidement à côté de Sese, afin de ne pas déranger cette dernière pendant son électrique fellation. Tandis qu’elle suçait ce gode artificiel, Sese sentait aussi, le long de sa bouche, des frissons électriques la traverser. Rien de bien douloureux, bien sûr, c’était juste une manière de goûter à encore plus de plaisir. Souriant victorieusement, Natalia se félicitait pour sa victoire sur cette petite femme rebelle. Maria, de son côté, commençait à s’attaquer à ses fesses, les massant tendrement, avant de se lécher ses doigts, les humectant, pour ensuite en enfoncer un dans le corps de la femme.

« Son petit cul est si étroit, Natalia... Tu sais que j’aime les belles vierges comme elle ? Son corps est fort, et, pourtant, elle n’avait aucun appétit sexuel... Il y avait tant de refoulement en elle, tant de frustration...
 -  Hummm... Oh que oui, ma sœur. Même nous avons bien le droit de nous détendre un peu ! »

Les deux Beauties passaient l’essentiel de leur temps à s’entraîner, à agir en tant que Beasts pour travailler pour leur Père. Chacune avait du sang sur les mains, et, si elles apparaissaient parfois comme étant plus des machines que des femmes, elles avaient aussi encore une part d’humanité. Une part qui s’exprimait en ce moment même avec leur invitée. Natalia remuait en elle, son sexe artificiel tapant dans les profondeurs de la gorge de la jeune femme, remuant longuement. La belle n’en menait pas large, se contentant de subir ses assauts, ainsi que ceux de Maria, qui remuait son doigt en elle, en profitant pour embrasser le creux du dos de la femme, ainsi que ses épaules.

Son index remuait d’avant en arrière, ressortant pour rentrer à nouveau, le temps pour Maria de lubrifier à nouveau ses doigts. Les deux femmes se faisaient réellement plaisir en ce moment, et le bassin de Natalia remuait de plus en plus, ses mains s’agrippant aux cheveux de la femme, filant d’avant en arrière. Elle la baisait de plus en plus fort, remuant lourdement en elle, sans relâche, haletant et gémissant, serrant les lèvres, continuant à la prendre, encore et encore. Ah, elle savait y faire, et elle ne ménageait pas la belle petite, jusqu’à jouir une nouvelle fois dans sa bouche, son gode futuriste balançant sa mouille dans la gorge de la femme.

« Hooo !! Haaaaannn !! »

Elle soupira lentement, fermant les yeux, et caressa les cheveux de la femme, tendrement, presque comme elle câlinerait une chienne.

« Bois bien tout, Sese... Une fois que ce serait fait, Maria et moi te pénétrerons mutuellement, et tu pourras enfin te considérer comme étant une femme, pleine et entière. »

7
On aurait pu croire que Sese allait s’épuiser, qu’elle allait s’endormir pour de bon, et qu’elle se réveillerait sur un banc du parc, l’esprit hagard, et qu’elle oublierait peut-être cet improbable dénouement... Mais, au lieu de ça, elle se rapprocha de la jambe de Natalia, et s’y frotta, n’arrivant pas à parler, se contentant de se blottir contre elle, agissant presque comme une sorte de parfaite chienne. Natalia, en souriant légèrement, lui caressa les cheveux.

« Tu vois bien... Comment résister à un aussi joli minois ? »

Maria haussa les épaules, sans rien dire sur le coup.

« Tu aimes ça, hein ? Les lycéennes, les adolescentes...
 -  On a rarement le temps de s’amuser... Et puis, c’est elle qui m’a harcelé. Je n’ai fait que me défendre, rien de plus. »

Maria sourit lentement en hochant la tête. Le tatami avait encore un peu d’électricité statique, qui continuait à exciter Sese. Natalia ne dit rien, observant la belle petite lycéenne. Sese en voulait encore ? Et bien, Natalia n’allait pas la laisser ainsi ! Elle avait beau être une tueuse, une psychopathe qui n’hésitait pas à semer le chaos et la désolation, elle avait aussi le droit de prendre son pied. Le courage de cette Sese l’avait surpris, et, sans son armure, Natalia semblait plus humaine... Une sorte de curieuse alchimie. Les armures n’étaient censées être que des objets, mais, quand Natalia devenait Laughing Octopus, elle se sentait... Différente. Comme si une puissance supérieure était en train de l’habiter, de la posséder, de la renforcer... Et de la changer, la rendant plus bestiale, plus sauvage, plus cruelle. Pour autant, même sans l’armure, Natalia avait tué. Elle avait serré entre ses cuisses des cous, brisé des nuques, planté des couteaux dans la chair de victimes... De fait, Natalia avait déjà commis bien des crimes et des meurtres abominables, simplement parce que Père l’avait ordonné. Elle avait donc bien le droit de se détendre un peu avec cette petite perle.

Ses mains caressaient les cheveux de Sese, et elle se redressa.

« Fais la belle, ma petite chienne, et viens sucer la queue de ta Maîtresse... Tu n’as pas à parler, ma chérie, simplement à obéir. »

Il ne lui manquait presque plus qu’un collier autour du cou et une laisse. Maria, elle, s’assit dans le dos de la femme, et commença à malaxer les fesses de Sese, bien décidée à s’attaquer à la dernière partie de son anatomie qui était encore vierge : son délicieux fondement.

Les Beauties allaient lui offrir la totale.

8
Sese était résolument prête à se faire défoncer. Une telle soumission, un tel désir devant le sexe... Natalia en était presque surprise, et de plus en plus convaincue que Maria avait du mettre son grain de sel là-dessous. À quatre pattes entre les deux Beauties, Sese allait passer de la petite vierge teigneuse à une véritable perverse conquise. Elle ne pourrait plus jamais vivre comme auparavant, car, toujours, cette scène lui reviendrait en mémoire... Ce plaisir infini et exquis, qui se renouvelait à chaque fois. La petite lycéenne avait passé la vitesse supérieure pour devenir une femme adulte et mâture. Maria la pénétra rapidement, et bourra rapidement son corps. Sese eut rapidement un autre orgasme, que Maria sentit, la faisant longuement soupirer de plaisir. La télépathe crispa ses mains sur les hanches de la femme, puis remua son corps d’avant en arrière, plus violemment, faisant bondir la tête de Sese.

Ses lèvres frôlèrent le sexe de Natalia, et elle agrippa ses cheveux, la guidant pour que sa bouche gobe son membre, qui s’enfonça rapidement en elle. La lycéenne n’était plus à même de se diriger toute seule, de pouvoir agir, ce que les Beauties sentaient. Tremblant de plaisir, Natalia commença alors à lui baiser sévèrement la bouche, empoignant ses cheveux, remuant d’avant en arrière, de plus en plus vite. Le corps musclé de Sese allait lui servir, car les deux femmes la prenaient lourdement, jouissant à plusieurs reprises. Natalia eut également droit à un second orgasme, se déversant dans la bouche de son invitée. Maria en fit de même, inondant encore son con, faisant progressivement disparaître toute trace de son innocence.

« Hum... Hunnn !! haletait Natalia, en baisant la bouche de la jeune femme. Haaa, ce que t’es bonne, Sese !! »

Elles la prenaient sans relâche, avec une passion et une brutalité qui remettaient fortement en cause tout ce qu’on disait sur la douceur féminine. Les deux femmes agissaient alors comme les Beasts qu’elles étaient. Chacune des quatre femmes du Beast & Beauty Corps était presque schizophrène, leur comportement oscillant entre une sorte de facette douce, la Beauty, et une facette violente, la Beast. Le côté masculin et le côté féminin, en d’autres termes. Et il n’était pas difficile de savoir quel était le côté qui s’exprimait en ce moment. Les deux femmes la prenaient joyeusement, Natalia serrant ses cheveux, remuant de plus en plus rapidement, enfonçant cette verge artificielle dans les tréfonds de sa bouche.

Maria jouit à son tour. Sous l’effet du sexe, de ce plaisir qui explosait en elle, elle peinait à retenir ses capacités télépathiques, qui filaient, et qui avaient pour conséquence de lui faire partager le plaisir des autres femmes présentes. Elle jouit donc à son tour, s’abandonnant dans le corps de la belle Sese. Les deux femmes la prirent donc pendant un certain temps dans cette position, avant de la relâcher. Sese, sans l’appui des deux femmes, s’affala sur le tatami, et ses deux tortionnaires s’embrassèrent entre elles, se câlinant et se blottissant l’une contre l’autre.

« Humm... Ta petite amie est délicieuse, Natalia… »

Leurs verges artificielles se frottèrent entre elles, provoquant des frissons électriques entre leurs corps respectifs.

« Tu crois qu’elle en a assez... Ou pas ? »

Maria lui sourit en s’écartant de Natalia, et caressa le dos de la femme, remontant sur ses cheveux.

« Encore un peu, et nous pourrons presque faire d’elle notre petite chienne sexuelle... Elle serait parfaite dans ce rôle, elle est tellement endurante...
 -  Je ne suis pas sûre que Père l’apprécierait...
 -  Nous avons bien le droit de nous amuser un peu. »

Natalia sourit alors, et haussa les épaules, adhérant aux arguments judicieux de sa sœur.

9
La brave lycéenne était conquise, vaincue aux charmes de la Beauty. Natalia la sentait désormais contre elle, écrasée, heureuse, prête à jouir, ne demandant que ça. Natalia s’y abandonnait, à tel point qu’elle fut « déconnectée » de la réalité, absorbée dans son plaisir, les yeux révulsés, la langue pendante. Encore un peu, et Natalia aurait presque pu croire qu’elle avait fait un arrêt cardiaque. Pour autant, tout le corps de Natalia se crispait contre elle. Elle en demandait plus, elle en voulait plus. Elle voulait du sexe, du sexe, et encore du sexe. C’était comme si tout son esprit ne pensait plus qu’à ça. Natalia l’embrassa à nouveau. Elle avait vu juste. Le mur d’hostilité de Sese n’était qu’un faux-semblant, un mirage qui s’était totalement brisé.

« Ma petite puce, hummm... C’est si bon de te faire l’amour, si bon... Et tu en veux encore, petite cochonne, hein ? »

Elle frotta son nez contre le sien, et l’embrassa à nouveau, tendrement. Natalia y allait lentement, avec délicatesse, et elle se releva. Elle n’en avait pas encore fini avec elle, non... Clairement pas. S’humectant les lèvres, la Beauty se retira du corps de la femme. Son gode était recouvert de la mouille de la femme, et elle attrapa délicatement la main de la femme, la relevant, puis ouvrit son placard, attrapant d’autres godes similaires à celui qu’elle portait. Tandis qu’elle embrassait la femme, Natalia avait senti un appel... Un appel psychique, et elle savait que quelqu’un était en train d’écouter aux portes.

La porte donnait sur un élégant couloir, avec un parquet lustré et agréable. C’était une maison japonaise typique, et Natalia tirait Sese. La pauvre lycéenne était patraque, son corps demandant encore plus de sexe, encore plus de plaisir, encore plus... Et la Beauty comptait tout à fait la satisfaire. Elles marchèrent, jusqu’à arriver dans un confortable salon... Où se trouvait une autre Beauty.

« Sese... Je te présente Maria. »

Natalia lui envoya l’un de ses « jouets », et Maria l’enfila. Screaming Mantis était une télépathe, la plus âgée des Beauties, une femme qui aimait se faire plaisir avec Natalia, ainsi qu’avec les femmes qu’elle ramenait. Natalia poussa Sese vers Maria, et la jeune femme trébucha, trop faible pour se maintenir. Elle ne tomba toutefois pas, car Maria usa de ses pouvoirs psychiques, la retenant, et la remit sur pied, avant de se relever elle-même.

« Je dois dire que tes invitées sont de plus en plus réussies... Dans quel état m’as-tu donc mise celle-ci ? »

Laughing Octopus ne répondit rien. Elle se demandait si ce n’était pas Maria qui agissait pour faire ainsi planer Sese. Certes, elle était vierge, et Natalia l’avait fait souffrir, mais... Il y avait autre chose, quelque chose de plus profond, de plus diffus. Peut-être qu’inconsciemment, Sese avait été poussée par Maria... Natalia chassa cependant cette idée. Elle se rapprocha de Sese, et la guida, n tardant pas à la mettre à quatre pattes.

« J’ai déjà goûté à son intimité... Le mieux est que tu le fasses. »

Maria hocha lentement la tête, et pénétra Sese par là, tandis que Natalia, de son côté, se guidait vers sa tête. Elle lui caressa les cheveux, un sourire sur les lèvres. Oh oui, ça allait être sacrément fun ! Elle sentit sa verge interne remuer à nouveau, vibrant dans les profondeurs de son corps... Et elle enfonça ce sexe artificiel dans la bouche de la femme, se crispant à ses cheveux.

« Oh oui, ma chérie !! Prends ÇA, petite pute !! »

10
Sese n’était maintenant plus du tout la même. Elle était comme... Transformée. Le pouvoir magique du sexe, qui s’exprimait à travers le chibre artificiel de Natalia, influait sur l’esprit de Sese, la corrompant. Elle ne se révoltait maintenant plus du tout, au contraire. La Beauty venait de prendre sa virginité, et donnait des coups de reins de plus en plus fort, maltraitant le lit, faisant grincer ce dernier. Sa partenaire et amante se pressait contre elle, se lovant contre son corps, quémandant plus, toujours plus... C’était ce à quoi se résumait le sexe, dans le fond. Plus. Et, sur ce point, Natalia comptait bien lui faire plaisir, en lui donnant très précisément ce qu’elle réclamait. Son corps ondulait contre le sien, en harmonie, et Natalia l’embrassait fiévreusement, écoutant ensuite la femme gémir, mouillant contre elle. Natalia mouillait aussi, mais ce gode artificiel absorbait la majeure partie de sa mouille, la stockant dans des réservoirs, avant de l’expulser, lors de l’orgasme, dans le corps de la femme. Ce n’était pas encore le cas, et Natalia continuait à la prendre, usant de son expérience sexuelle en la matière pour prendre cette petite lycéenne bien comme il le fallait.

Elle avait une main sur sa nuque, et une autre qui caressait le long de ses jambes, pétrissant ses fesses. La Beauty l’embrassa à nouveau, lui roulant un long gadin, fourrant sa langue dans sa bouche, puis releva ensuite Sese. La lycéenne était costaude, musclée, mais Natalia l’était aussi, et réussit donc à la soulever. Elle se cramponna à ses cheveux, et plaqua le corps de Sese contre un mur, en la relevant.

« Hum... Hum !! Se... Seeeeseee, hannnn !! »

Natalia se laissait aller, sans restriction. C’était bien pour ça qu’elle adorait le sexe : c’était tellement libérateur ! Elle défonçait le corps de cette femme sans vergogne, remuant violemment en elle, d’avant en arrière, faisant claquer son dos contre le mur, ses deux mains finissant par s’appuyer sur les extrémités des fesses de la femme. Dire que cette lycéenne lui avait tellement résisté tantôt... Cette lourde résistance avait engendré une forte frustration qui se libérait maintenant, dans les coups de reins intenses que Natalia donnait. L’agréable corps de Sese, en sueur, rebondissait entre la femme et le mur, sa sueur caressant son uniforme.

La propre sueur de Natalia était absorbée par la combinaison, qui était prévue pour s’adapter à presque n’importe quoi. Elle haletait et gémissait, en sueur, et ses lèvres se déplaçaient entre le cou de Sese et ses seins, les mordillant à hauteur du téton, les suçant, continuant à la prendre. Elle y allait franco, car, tout en pénétrant Sese, elle se pénétrait elle-même, par le biais de la verge qui s’enfonçait dans son intimité, la prenant aussi vigoureusement que Sese était prise. De cette manière, on ne pouvait que féliciter de l’ingéniosité perverse de la technologie tekhane.

« Hummmm... Sese, ma... Ma petite chééérie, haaannn !! »

Le plaisir définitif finit par exploser en elle, et Natalia eut droit à son orgasme, se déversant dans le corps de Sese. Elle attrapa chacun de ses poignets en jouissant, s’écrasant ainsi contre son corps, se déversant au plus profond de son sexe.

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Elle baissait les armes. La patience de Natalia avait finalement réussi à triompher de l’agressivité et de la combativité de cette femme. Maintenant, entre ses mains, Sese était apaisée. Elle n’était plus qu’une simple femme désirant avoir du plaisir, désirant jouir contre elle, et perdre sa virginité... La Beauty était follement excitée. La seule différence entre les deux, c’est qu’elle avait un rôle actif, mais, à n’en pas douter, elle aussi était en train de souffrir de cette situation. Or, il n’y avait personne pour l’aider à lécher son propre minou. Natalia allait devoir s’occuper de ça.

Son long baiser se termina sans aucune autre forme de résistance de la part de Sese, qu’une envie phénoménale de sexe. Cette fois, ce petit tigre était amadoué. Natalia ne put s’empêcher de sourire, puis se redressa légèrement.

« Il est temps de s’occuper de toi comme il se doit... »

Son intimité était suffisamment humide pour que Natalia passe aux choses sérieuses. Elle retourna chercher dans son fatras, et ne tarda pas à en sortir un objet issu de Tekhos. Un objet qu’elle avait personnellement acheté lors de ses visites dans l’État terran. C’était une ceinture noire avec un gode... Mais pas un vulgaire gode en plastique comme ceux que les minettes de seize ans achetaient en douce sur eBay. C’était un vibromasseur tekhan, abritant une multitude de circuits imprimés. Sa taille pouvait évoluer, et il possédait des réservoirs de sperme intégrés. Un pur produit d’une technologie supérieure, la preuve qu’on pouvait toujours se fier à l’évolution pour produire des objets de plus en plus perfectionnés. Elle colla la ceinture contre son corps, et enclencha l’appareil.

Des capteurs filèrent vers l’arrière de l’appareil, heurtant sa combinaison, cherchant sa moule. Avant de l’enfiler, Natalia avait ouvert sa combinaison à cet emplacement, et elle sentit une verge s’enfoncer en elle. Un soupir de soulagement traversa ses lèvres. Le gode technologique pensait aussi bien à satisfaire la femme à pénétrer que celle qui voulait pénétrer. Natalia s’avança lentement, et retourna sur le corps de Natalia, sa verge artificielle frottant contre le corps de la femme. Elle disposait de capteurs et de diodes permettant de modifier sa structure et sa texture, afin de ressembler en tout point à celle d’un homme. Si on bandait à Sese les yeux, et qu’on lui faisait goûter cette verge, elle aurait été incapable, en utilisant juste ses doigts et sa bouche, de la dissocier d’une véritable verge. Face aux risques d’une opération visant à vous transformer en Futanari, ce genre de gadgets se vendaient très bien dans une société hyper-sexualisée, comme pouvait l’être Tekhos. Dans le domaine des sex toys, Tekhos était clairement en avance. Et Sese allait en profiter.

« Là, ma puce, lààà... Ne t’inquiète pas, tu vas adorer ça. »

Natalia l’embrassa à nouveau, posa une main sur ses cheveux... Et la pénétra. Son sexe commença par glisser le long de la douce peau chaude de sa partenaire, provoquant des frissons électriques destinés à l’exciter davantage. Sa verge rentra ensuite en elle, s’enfonçant sans problème, tant l’intimité de la jeune femme était lubrifiée. Son hymen fut perforé, et le sang se mit à jaillir. Natalia remua ensuite rapidement son corps, se débrouillant pour que la douleur de la femme soit rapidement effacée devant l’explosion de plaisir qu’elle allait ressentir.

Des capteurs sur la verge notaient, à partir de la concentration de cyprine, le taux de plaisir de la femme, adaptant en conséquence les vibrations. La Beauty remua rapidement son corps, et utilisa l’une de ses mains pour caresser son sein. Pour elle, c’était presque comme si cette verge était une propre expansion de son corps.

« Haaaa... Haaaaaann !! Tu... Haaaaannn !! Tu es si bonne, Sese, si booonne !! »

Elle en profita pour lui dénouer ses poignets, ayant désormais le sentiment que Sese n’était plus une ennemie.

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La patience était l’une des vertus que Père lui avait appris. Tout vient à point qui sait attendre. Il fallait se méfier de la précipitation, et ne jamais agir sous elle. L’esprit humain appelait à plus de rigueur, à plus de contrôle. Natalia avait compris ça en se vengeant de ceux qui avaient détruit sa famille. Sa vengeance pouvait mettre des années à s’abattre, mais, tôt ou tard, elle finissait par tomber. Avec Sese, c’était la même logique, si ce n’est que Natalia ne comptait pas la tuer, mais la délivrer. Elle allait lui offrir la passion que le corps de la jeune femme réclamait, le désir violent et vibrant, qui sommerait comme une libération. Sese, en effet, souffrait. Elle souffrait de sa frustration, qui engendrait de la colère et, plus simplement, du malheur. Elle avait besoin que quelqu’un l’aide à se détendre, et, dans ce domaine, Natalia ne lui ferait pas faux bond. Elle serait à la hauteur des lourdes attentes de cette humaine vierge, de cette lycéenne qui se débattait.

Il s’écoula environ une heure. Une heure à lécher son intimité, mains posées sur ses fesses, une heure à avaler sa mouille, à embrasser sa peau, à frotter son nez contre son corps, à dévorer du visage la féminité de cette femme, à explorer sans vergogne son intimité.. Sa langue était impitoyable, et Sese ne pouvait rien faire d’autre que subir, et s’abandonner lentement à l’expertise de Natalia. C’était la pire des tortures, car elle reposait, non pas sur la douleur et la peur, mais sur le plaisir et le désir. La pauvre petite vierge ne pouvait pas lutter, et la Beauty ne s’arrêtait pas. Elle continuait à la lécher, puis se redressa lentement, et l’embrassa sur le ventre, remontant encore, jusqu’à revenir voir son visage. Elle lui caressa les joues, sentant tout le désir dans les yeux de la femme.

« Tu es si bonne, ma chérie... »

C’était presque comme si elles se faisaient l’amour depuis des heures, ce qui, dans le fond, n’était pas faux. Natalia était entraînée et endurcie. Elle savait retenir son énergie, et l’utiliser au mieux, comme elle venait de le faire avec le corps de la lycéenne. Elle lui retira enfin son gag ball, et l’embrassa sur les lèvres, sans même lui laisser le temps de parler. La femme s’allongea sur elle, et enfonça un doigt dans le vagin de la femme, tout en plaquant ses lèvres contre les siennes. Sese était fébrile. En un sens, c’était presque comme si son corps était devenu moins rigide, plus souple, plus élastique sous l’effet du plaisir.

Natalia l’embrassa assez longtemps, continuant à confirmer son talent, annihilant Sese sous le plaisir et sous son contrôle du sexe. Son doigt remuait en elle, titillant son clitoris, appuyant dessus. Son hymen serait bientôt à elle, et Natalia allait se faire un plaisir de la lui ôter. Elle la prenait avec la douceur, mais c’était bien avec la sauvagerie et la bestialité qu’elle comptait l’achever. Natalia gémissait dans ses lèvres, soupirant en poursuivant ce baiser. Elle retira son doigt, et caressa les hanches de la femme, retournant s’appuyer sur ses fesses, les serrant. Pendant toute cette heure, elle les avait généreusement malaxées et pressées, et lui sourit tendrement.

« Tu es vraiment une femme magnifique, Sese... Haaannn, ma petite chérie ! »

Elle frotta son nez contre le sien, restant allongée contre elle.

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La résistance exemplaire de cette femme était maintenant inutile, et artificielle. La petite teigne continuait à se débattre, continuant toujours à éprouver, en vain, ses sangles et ses nœuds. Elle n’avait pas spécialement tort quand elle pensait que Natalia avait déjà tué des personnes, et, si elle avait pu lui en parler, la Beauty lui aurait expliqué qu’elle avait déjà torturé à mort bien des individus peu recommandables. À leur manière, les Beauties défendaient une certaine forme de la justice. Leur père n’avait jamais prétendu vouloir faire le mal, et elles n’avaient jamais considéré ce qu’elles faisaient comme répréhensible. Certes, Natalia avait capturé cette femme, mais il fallait remettre les choses dans son contexte. C’était Sese qui avait cherché à l’attaquer dans la banque. Natalia n’avait fait que se défendre, et profitait maintenant de sa victoire. Et puis, ce n’était pas comme si elle torturait cette femme. La manière dont la lycéenne se débattait aurait pu laisser entendre qu’elle était forcée, mais Natalia réagissait comme n’importe quel violeur sûr de son coup : au fond d’elle-même, Sese était ravie. La manière dont son intimité s’humidifiait en était la preuve.

Elle ne pourrait pas se défaire de ses liens, mais elle continuait à insister, ce qui irritait Natalia... Parce qu’elle risquait de se faire mal, de s’irriter la peau. La Beauty se redressa alors, interrompant son cunnilingus, puis se pencha vers son visage, levant ses mains pour serrer celles de la femme. Malgré son corps frêle, Natalia avait une sacrée poigne, et elle serra les mains de Sese, tout en la regardant, s’allongeant généreusement sur elle.

« Tout ce que tu vas gagner à forcer sur tes liens, ma chérie, c’est t’irriter la peau. Ses sangles sont solides, elles ont été prévues pour immobiliser des personnes bien plus corpulentes que toi. Cesse de te débattre, mon amour, et profite de ce moment que je t’offre. »

Comme pour la rassurer, Natalia l’embrassa sur le front, tendrement, puis la libéra, et retourna ensuite entre ses cuisses. Évidemment, Sese n’avait pas vraiment le choix, et était forcée de subir ça. Natalia aurait pu se remettre en cause, et comprendre les raisons de la colère de la femme, mais elle ne raisonnait tout simplement pas comme elle. La Beauty avait grandi en se méfiant de la liberté, car elle avait souffert des excès de cette dernière. Toute sa famille avait été massacrée par des gens qui l’auraient également tué, si elle n’avait pas été secourue par celui qu’elle considérait comme son père. Son père, précisément, lui avait dit que la liberté était un mirage, et qu’il fallait forcer les gens, les contraindre à accepter ce qui est moralement juste. Toute proportion gardée, c’était ce que Natalia était en train de faire.

Elle embrassa le sexe de Sese, puis posa chacune de ses mains sur ses fesses, s’appuyant dessus, et fourra sa langue dans son intimité, recommençant son cunnilingus. La pauvre lycéenne n’avait eu aucune chance contre elle. Elle était sa délicieuse prisonnière, et Natalia comptait bien prendre soin d’elle. Sa langue s’enfouit en elle, léchant ses parois internes, remuant dans son corps, jusqu’à atteindre son clitoris, qu’elle se mit à presser avec sa langue. Natalia avait déjà fourré sa langue dans les intimités des autres Beauties, et elle savait comment y faire. Il fallait atteindre le clitoris, et appuyer sur le bouton. Elle soupirait silencieusement en s’appliquant, n’oubliant cependant pas d’utiliser ses mains, serrant les fesses de la femme, les écartant l’une de l’autre, ses doigts remuant dessus.

Sa langue s’enfonçait dans le corps de la femme, glissant dessus, remuant, remontant, puis redescendant à nouveau. Elle se faisait plaisir, et ne lâchait rien, s’acharnant sur le clitoris, y revenant toujours, respirant par le nez.

Elle attendait que Sese se mouille pour goûter à sa cyprine.

14
L’endurance exceptionnelle de cette femme incita Natalia à balancer la seringue sur le sol, et à sourire. Elle n’était pas aveugle au fou rire qui s’échappa du corps de Sese, un rire étranglé et retenu par le gag ball. Cette femme ne méritait pas qu’on lui facilite la vie. Natalia allait tout simplement continuer à lui faire l’amour, à lui caresser, jusqu’à ce qu’elle finisse par lâcher, par céder prise, et par s’abandonner. Natalia ne désespérait pas d’y arriver, étant aussi têtue que Sese. Allongée sous elle, la lycéenne continuait à se défendre, dans la mesure de ses moyens. Elle continuait à se battre contre Natalia, comme à la banque, sans réfléchir une seule seconde, se contentant simplement de se battre parce qu’il fallait le faire, parce qu’elle était une adolescente têtue. La Beauty était impressionnée, certes, mais pas au point de la laisser partir si facilement. Oh que non ! Natalia allait prendre tout son temps avec elle, voilà tout. Elle était patiente, et ce corps était suffisamment beau pour qu’elle puisse prendre le temps de le savourer.

« Je vois..., finit-elle par dire. Tu n’as pas envie de jouer... Très bien, très bien. C’est un choix que je respecte, Sese... Mais ça ne m’empêchera pas d’aller jusqu’au bout. Je t’ai battu à la régulière, ma chérie, sans user de mon armure. C’est le tribut des vainqueurs... Et tu aimeras ça, de toute manière, même si tu as envie de te convaincre du contraire. »

Qu’elle fasse sa rebelle ou pas ne changerait rien. Natalia prendrait son pied, et, de fait, elle le prenait déjà. Elle craqua ses doigts, et se pencha à nouveau en avant, pour déshabiller pleinement sa jeune pensionnaire. Elle récupéra une paire de ciseaux, et la fit glisser le long du corps de Sese, un sourire sur le coin des lèvres. Le contact froid du métal glissa contre le menton de Sese, fila entre ses seins, titillant la chaîne qui pinçait ses tétons. Elle continua à descendre, joueuse, curieuse, caressant le ventre de la femme, filant le long de son nombril, pour finalement atteindre sa minijupe.

Un sourire joueur sur le coin des lèvres, Natalia entreprit alors de le couper, depuis le bas. Elle serra les plis du tissu, et coupa, tranchant, remuant les ciseaux, remontant du bas vers le haut. C’était une main experte qui tranchait. Quand elle ouvrait les ciseaux, le bout tranchant heurtait la peau chaude de Sese, mais, à aucun moment, Natalia ne la coupa. Elle découpa la minijupe, puis tira pour l’écarter, et la jeta au loin, avant de regarder cette intimité offerte.

« Hum... Petite coquine, tu prends soin de toi... »

Sese s’épilait, ce qui n’était pas anodin. Natalia sourit à nouveau, et se pencha vers le bassin de sa partenaire, avant de le renifler, et d’embrasser son sexe, posant ses lèvres sur ses lèvres intimes, mais sans la pénétrer. Elle la renifla ensuite, de manière exagérée, son nez glissant contre sa fente. L’idée était d’intimider sa partenaire, de lui rappeler qu’elle était là, qu’elle la contrôlait, et qu’elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin.

Natalia lécha alors son intimité, glissant le long de sa peau, mais évitant toujours de s’introduire dans cette délicate fente rose. Elle voulait encore jouer un peu avec Sese, accroître sa nervosité... Et peut-être aussi l’exciter un peu.

« Tu sens délicieusement bon, ma chérie ! » s’exclama alors Natalia, avec un sourire ravi sur le coin des lèvres.

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La résistance de cette femme était exceptionnelle. Elle surprenait sincèrement Natalia, mais dans le mauvais sens du terme. En effet, plus Sese se débattait, et plus Natalia avait envie de lui faire l’amour, de la provoquer, de la palper. Il fallait bien comprendre que Natalia ressentait en ce moment tous les frissons du pouvoir et de la domination. Elle dominait en effet totalement cette femme, se dressant au-dessus d’elle. Sese ne portait plus que sa jupe d’écolière, et elle la regardait fixement, essayant de ne rien dire, mais Natalia savait qu’elle était excitée. Natalia lui sourit à nouveau, et se pencha vers elle, s’allongeant à nouveau sur son corps, posant une main sur ses cheveux, et l’embrassa sur la joue, se serrant contre son corps.

« Hooo ma belle, si seulement tu étais un peu moins teigneuse... Tu comprendrais que je ne te veux... Absolument aucun mal ! »

Les propos de Natalia étaient entrecoupés par ses baisers sur les joues de Sese. Elle la caressait, continuait à l’embrasser, se pressant tendrement et sensuellement contre elle. Son autre main glissa le long des hanches de Sese, pour filer sous sa jupe, et caresser ses fesses. Les doigts gantés de la Beauty serrèrent cette masse de chair, s’appuyant dessus, la pressant, un sourire coquin sur les lèvres. Elle lui mordilla la peau en soupirant, gémissant ensuite dans le creux de son oreille, pour recommencer à l’embrasser. Sese se débattait de moins en moins, et Natalia le sentait. Elle ne cherchait plus à la taper, simplement à masquer le plaisir qu’elle était en train de ressentir. Tout ceci faisait réfléchir la Beauty. Que pouvait-elle faire ? Les idées fusaient en tout sens dans sa tête, et sa main continuait à jouer sur le postérieur de sa partenaire.

Natalia laissa planer un certain temps, jouant avec la femme, puis l’embrassa sur le front, et se releva ensuite.

« Je connais un bon moyen de te motiver, ma puce... »

Avoir comme père un magicien pouvait s’avérer assez utile, et Natalia revint avec une seringue translucide, abritant un liquide violet. Elle se remit à califourchon sur le corps de la femme, posant la seringue près de son cou, un sourire coquin sur les lèvres.

« Cette seringue comprend un aphrodisiaque... Généralement, je n’aime pas droguer mes partenaires, mais, comme j’ai le sentiment que tu as besoin d’un petit coup de pouce pour te lâcher vraiment face à moi... »

Son sourire transpirait de malice.

« Tu en dis quoi, ma chérie ? Tu te rappelles de mon petit jeu ? Cligne une fois pour ‘‘oui’’, deux fois pour ‘‘non’’. »

La partie continuait, et Natalia continuait à torturer la pauvre Sese... À sa manière.

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