Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Chloé Reynard

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"Je ne sais pas si c'est possible sur instagram. Mais te voir essayer des sous-vêtements serait pas mal du tout en fait !"

C'était précisément le genre de choses qu'elle voulait entendre dire. Chloé aurait été déçue que Clad lui sorte une banalité affligeante ou un compliment trop lourd. Au lieu de ça, il suivait l'idée que la jeune femme s'en faisait et elle lui sourit alors qu'il terminait par un rire.

"Oh? Tu me trouves jolie? En fait ... comme je n'en porte pas souvent, je serais un peu maladroite pour enfiler tout ça ..."

Ils jouaient sur le même terrain de jeu et ça devenait délicieusement sympathique. Dans la petite clairière, elle se retourna pour lui faire face et prit sa poitrine à pleine mains.

"Et puis comme ils sont "un peu" gros, ça pourrait paraitre vraiment vulgaire non?"

Elle afficha une mine contrite avant d'éclater de rire elle aussi.  Clad bandait depuis quelques minutes, rien de plus normal pour Chloé, et elle savait déjà comment allait finir cette escapade. Autant profiter de l'endroit pour s'envoyer en l'air, après tout, c'est ce qu'elle faisait toujours. A chaque semaine un nouveau partenaire et elle ne ferait pas exception cette fois ci.

L'instant d'après, ils étaient collés l'un à l'autre et Chloé n'eut aucune difficulté à venir poser sa jambe sur l'épaule de Clad. Elle était flexible et acceptait toujours toutes les positions ....

"Surtout n'hésite pas à me dire si je te fais mal."

"T'inquiète pas, il arrive souvent que j'aime qu'on me fasse mal ... dans certaines conditions hein!"

Son sourire était un appel à la luxure. Chloé vivait en partie pour les plaisirs du sexe et tout naturellement, en exsudait l'envie par tous les pores de sa peau. Clad louchait sur son petit haut et la jeune femme passa en mode salope. Elle pressa ses seins sous le nez du beau gosse  et le zip de son sweat glissa de force de quelques centimètres vers le bas.

"Oups ... on dirait qu'ils veulent se faire la malle ...héhé"


Clad passa d'une jambe à l'autre et Chloé prouva qu'elle avait la souplesse d'une gymnaste. Le garçon jouait son rôle patiemment et prit l'initiative de faire asseoir Chloé pour un autre exercice. Ca devenait très sexuel et la tension entre eux prenait forme. Il  l'aida jusqu'à ce qu'elle brise le silence et attaque d'une voix suave.

"Tu bandes Clad?"


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Clad. Ok pour Clad! Un prénom original dont elle ne situait pas la provenance mais en tout cas, Chloé lui attribua un point de plus dès qu'il l'accompagna au rythme qui l'arrangeait elle. Elle l'écouta se présenter, assimilant les éléments comme une bonne opportuniste. Au moins, il disait être d'un niveau social intéressant. Bon, toujours étudiant mais en tout cas, il n'avait rien des boutonneux pompeux qui parfois s'accrochait à elle jusqu'à ce qu'elle les envoie bouler. Exposé sa condition et le fait qu'il est de l'argent ne le gênait pas. Tant mieux, elle était pareille. Et puis il était physiquement bien foutu, ce qui faisait de cette petite escapade un moment qui pouvait devenir "vraiment" sympa.

Il ne cacha même pas son attirance pour les filles, grand bien lui fasse, Chloé honnissait les timides! Avec elle, il fallait être franc quitte à prendre un râteau. Mais les heureux élus savouraient ensuite des bains de volupté.

Il la matait, elle savait bien que les hommes lorgnaient constamment sur sa poitrine et elle prenait un malin plaisir à toujours la mettre en valeur. Son petit haut du jour allait en ce sens et alors qu'elle haletait, le vêtement semblait prêt à éclater à chaque inspiration. Quand Clad glissait un peu derrière elle, ce n'était pas de fatigue mais pour observer ses fesses, c'était évident. Elle ne s'en offusquait pas. Elle aussi aimait les beaux corps.

Elle lui répondit alors qu'il la questionnait sur sa vie sur le web.

"Influenceuse? Non pas vraiment ... C'est vrai que j'ai beaucoup de followers mais ils sont plus attirés par mes décolletés que par ce que je dis. Curieux non?" ajoute t'elle un sourire enjôleur aux lèvres.

"Je ne cherche à influencer personne et je n'ai pas de sponsors publicitaires, ni de marques attitrées. Je pourrai si je le voulais. Peut être faudrait-il que j'y pense. Et puis je suis à l'aise financièrement donc ... à voir."

Elle ne précisa pas que c'était la fortune de son père qui assumait son train de vie mais ça, Clad n'avait pas à le savoir.

"Si tu suis mes comptes, qu'est-ce que tu aimerais me voir faire?"

C'était la question mortelle, et elle était posée en "presque" toute innocence.

"Attend, on s'arrête un peu, j'ai mal dans les mollets, tu m'aides à m'étirer?"

Ils cessèrent de courir alors qu'ils entraient dans un sous-bois touffu. Un petit chemin déviait du leur et ils trouvèrent une adorable petite clairière cachée derrière des buissons épais.

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"Han!"

Aussitôt demandé, aussitôt fait!

Chloé n'a pas à attendre bien longtemps avant de sentir la queue de son compagnon d'un soir la fourrer bien profondément.  Il n'y était pas allé de main-morte mais cela étant, elle ne l'avait pas invité non plus à faire preuve de tendresse. Il tapait loin. Elle le sentait bouger tout au fond de ses entrailles tandis qu'il prenait possession de son corps.

Sorti de la réserve qui l'avait caractérisé toute la soirée, il s'adonnait à ce coït sauvage sans retenue, naturellement, comme s'il était habitué à ce genre d'étreintes passagères. Il n'allait pas vite et prenait son temps mais ses mouvements étaient sûrs, rectilignes et puissants. A chaque coup de reins, Chloé basculait vers l'avant et rapidement, elle se retrouva appuyée sur ses coudes, sur le réservoir de la chasse d'eau. Le front posé sur ses avant-bras, elle encaissait sagement en prenant le maximum de plaisir qu'elle pouvait en tirer.

Comble du bonheur, la grosse queue qui fouraillait en elle semblait grossir et emplir son vagin de la meilleure des façons qui soit. Chloé aimait le sexe dur quand se faire malmener était aussi une source de plaisir. Et plus l'homme s'enfonçait en elle, plus sa petite chatte s'étirait, dilatée par la grosseur inattendue de son partenaire.

D'elle-même, la jeune femme commença à projeter son corps vers l'arrière et ses gémissements prirent de l'ampleur, échappant de la cabine exigüe. Si quelqu'un entrait à ce moment-là, le doute ne serait pas permit sur ce qu'il s'y passait. Elle voulait plus et incitait physiquement son partenaire à la marteler comme elle le voulait. Elle ne l'avait pas attiré ici pour autre chose que se faire baiser.

Derrière elle, elle sentit un changement soudain mais dans sa position, elle ne pouvait que difficilement se retourner pour voir ce qui arrivait. Du coin de l'œil, elle vit toujours l'homme qui la besognait sans s'arrêter et sans comprendre tout de suite pourquoi, le trouva différent. Noyée dans son plaisir, elle râla quand il pesa sur son dos de tout son poids pour lui malaxer les seins. D'un geste, elle dégrafa la boucle la plus haute de sa robe pour laisser sa lourde poitrine s'échapper et s'offrir mieux ainsi à son compagnon. Tandis qu'il la pelotait, elle glissa une main entre ses cuisses et para la queue de l'homme de deux doigts qui l'enserrèrent. En effet, il était vraiment bien membré et n'aurait pas eu à rougir devant les partenaires habituels de Chloé. Il s'exprima libérant son ressenti.

"Bordel ouais, t'as intérêt à être endurant!"


Ils baisaient comme des animaux, guidés par des instincts primaires. Qiuand il lui roula une pelle, elle lui mordit à les lèvres avant d'enfoncer sa langue à la recherche de la sienne, très curieuse. Elle eut l'impression de lécher un tapis.

"Que? ... T'as quoi lààAAAAAAAAA?"

Un coup de rein plus brutal que les autres la fit fondre.

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Les alentours de la ville / Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé
« le: samedi 18 septembre 2021, 11:38:20 »
Johnny était joueur, c'était un bon point. Mais quand il s'agissait de mettre Chloé en état de faiblesse et de soumission, il était hors de question que ....

"HHaaann put...woiinnn!"

Il recommençait. Il glissait à nouveau ses doigts en elle, et pas seulement pour la titiller. Il voulait lui faire du bien, il avait compris qu'elle était assez sensible à ces manières là et il mit les bouchées doubles pour offrir à la belle un nouvel orgasme grandiose. Elle tenta bien de résister, #ChuiTropForte, mais en plus de la doigter, il la maitrisait, l'empêchant de parler de sa grosse main. Gentleman mais pas que, il lui administrait son plaisir selon son bon vouloir à lui et ... elle adorait ça. En général, elle intimidait les hommes et prenait la main sur leurs ébats. Ce coup ci, elle était ravie que l'inverse arrive. La machine sexuelle qu'était Johnny était la meilleure surprise de cette année.

Son corps s'était tendu à tout rompre et elle lui avait fait mal, peut être mordu, emportée dans un tourbillon d'émotions positives. Et il avait continué tranquillement son œuvre jusqu'à ce qu'elle explose une nouvelle fois, terrassée par l'épanouissement de sa libido déjantée. Ces longues minutes avaient été d'une rare intensité mais réservées à elle seule. Il la libéra ensuite, la laissant haletante sur sa table de marbre.

"Oh bordel Johnny!"

Ca résumait son état sans détailler l'humidité qui coulait entre ses cuisses.

Chloé se redressa sur ses coudes et fit passer ses mèches roses derrière ses oreilles pour contempler son Apollon. Quel homme ce Johnny! Elle saliva devant ce torse puissant et ses abdominaux surdéveloppés. Ses bras étaient impressionnants et sa gueule d'amour narquoise, adorable. Et i bandait comme un taureau!

"Ouf ..."

Elle se cala pour fixer cette queue énorme qui ne demandait qu'à jaillir du peignoir tendu. La poitrine de la jeune femme se soulevait harmonieusement maintenant qu'elle avait récupéré de son orgasme dévastateur, appel sexy à se faire peloter sans ménagement.

"Verdict? T'as envie de me sodomiser Johnny?"

Chloé se retourna pour se mettre à quatre pattes et tira son paréo sur ses hanches. Bien cambrée, elle se donna une petite tape sur les fesses en signe d'invitation.

"Tu résisterais à ça vraiment? D'y glisser ton gros chibre, ça te dirait pas?"



Les trois opérateurs vidéos crièrent leurs réponses en même temps, se faisant sursauter. Ils transpiraient, collés à leurs écrans. Leur tour de veille allait finir et leur relève n'allait pas tarder à pointer. L'un d'eux appela le responsable de l'équipe montante et le supplia de les laisser en poste encore un peu. L'autre refusa tout net et annonça qu'ils seraient là dans dix minutes, plongeant les trois hommes dans le désarroi. Ils prièrent pour que Johnny ne s'embarrasse plus de sentiments trop honnêtes et baise enfin cette salope patente.



Au onsen, la chaleur avait augmenté de quelques degrés supplémentaires. Chloé se balançait sur ses coudes et genoux, creusant ses reins et agissant comme la reine des chiennes, occupée à exciter ce pauvre Johnny qui curieusement avait paru vouloir attendre un peu. Peut être voulait-il profiter des services et du bain relaxant de l'onsen ... pour de vrai? Pour de vrai? Trop nulle l'expression! Voilà, il voulait se détendre et passer un moment sympathique avec elle. Maintenant, refuser une sodomie à mademoiselle Reynard, ça ne s'était jamais vu. Qu'on ai envie ou pas, la vue de cet arrière train offert de laissait pas indifférent. Et puis, proposé avec cette attitude de salope ... Chloé fit sa mine contrite qui pouvait même dérider un moine shaolin.

"Et si je te le demandais gentiment, ça marcherait? Tu veux bien me sodomiser Johnny ... s'il te plait?"

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On l'arracha au trésor qui emplissait son ventre. Une force égoïste l'éloignait de Damien, de ses bras réconfortant et de son sexe brûlant. Chloé protesta mollement contre la perte de cet être cher qui représentait sa nouvelle passion. Elle pouvait presque le toucher, dardant sur sa queue un regard de convoitise. Elle avait besoin de le sentir en elle, plus que jamais, comme si la nécessité de se faire baiser par ce bel homme attirant représentait le rôle de sa vie. De longs appendices la maintenait en l'air, écartant ses membres, tirant sur les muscles de ses cuisses pour laisser libre l'accès à ses orifices. De même, ses bras étaient immobilisés, écartelés à l'extrême. Les tentacules qui s'étaient lovés autour de ses membres se nouaient autour de ses poignets et chevilles, assurant ainsi une prise totale sur leur victime. La grosse poitrine de Chloé, rappelée par la gravité, pendait libre, masse de chair lourde d'où gouttait encore la jouissance du démon qui s'était purgé dans sa gorge.

La jeune femme découvrait un monde de luxure bien plus sophistiqué que le sien. Chloé Reynard était une nymphomane déguisée en élégante qui gérait sa vie sexuelle de la manière qu'elle entendait. Elle ne s'attachait que rarement à ses partenaires préférant l'excitation de la découverte d'expériences nouvelles plutôt que l'enlisement dans une relation à long terme qui amènerait forcement son lot de déconvenues. Elle avait déjà à peu près tout essayé, du gangbang sordide à l'orgie lesbienne, des pratiques sales aux idylles aussi passionnées qu'éphémères. Plus rien ne devait l'étonner et rechercher des plaisirs inconnus lui paraissait inutile tellement elle croyait s'être essayé à tout ce que l'humanité pouvait produire de vices. Ah non ... pas les animaux, tout du moins ... euh ... non non non! L'expérience qu'elle vivait en ce moment même lui vrillait l'esprit, mêlant occulte, mysticisme et réalité. Les spores de luxure dégagés par les créatures infâmes qui l'entouraient se fondait dans sa chair, corrompant son sang et imprégnant les connections de son cerveau. Sa réalité à elle acceptait inconsciemment  ce qui lui arrivait et étape après étape, libérait son esprit de l'emprise ténébreuse initiale. Elle comprenait donc qu'elle se faisait baiser par autre chose que des humains mais s'en rappellerait-elle après? Rien n'était moins sûr.

A nouveau, un corps massif se profila devant elle et Chloé ouvrit la bouche en grand en tirant la langue. L'énorme queue qui l'investit le fit sans douceur et immédiatement, le démon bourrina comme une Bête dans son gosier. Quand elle sentit une présence entre ses cuisses, elle se cambra et offrit ses fesses pour la curée. Elle ne fut pas surprise de se faire prendre le cul en même temps que la chatte. Encore toute suintante, elle accueillit les barres brûlantes avec entrain et fougue. Tous étaient trop gros pour elle mais la violence de leurs pénétrations ne satisfaisaient plus Chloé. Elle voulait avoir mal, souffrir à saigner et implorer qu'ils s'arrêtent. Implorer qu'ils la libère en lui offrant une mort atroce, digne fin de ce scénario lubrique. La corruption de son état altérait son jugement et mourir de plaisir lui paraissait être l'achèvement logique de ce coït brutal.

Les démons la laminait, réduisant son corps à un réceptacle à semence. Le martèlement de leur pénétrations, animés par les gargouillements sonores et humides  de Chloé, donnait à cet accouplement un aspect sale et flasque. Des trombes de salives et de fluides démoniaques se déversaient de la bouche , du cul et de la chatte de Chloé, répandant une mare visqueuse au sol, sous elle. Le démon qui lui baisait la gorge la saisit par la tête et assena de furieux coups de reins, crispant ses doigts sur le cuir chevelu de la belle abusée. Il la défonçait méchamment, s'épanchant dans le cou déformé de sa victime. Dans un dernier élan, il se ficha en elle, hurla et se vida massivement. Il se retira aussitôt et une autre créature pris sa place pour appliquer la même sauvagerie. Après avoir joui elle aussi, elle se fit remplacer par une monstruosité sans nom dont la taille de la verge dépassait l'entendement. La chose s'introduisit dans la bouche de Chloé, la distendant, et d'un cou bref, força le passage de la gorge. Les yeux de la jeune femme se révulsèrent, elle voulut se débattre, son instinct de survie prenant le pas sur ses égarements précédents mais elle ne put rien faire. L'autre l'investissait sans ménagement et le ramonage de sa gorge passa de dur à insupportable. Il était énorme et elle le sentait racler tout en elle à chaque instant. Heureusement, il vint vite et poussa un cri guttural quand il gicla dans son ventre. C'était trop, elle était pleine de foutre. La bête s'éclipsa, rétractant sa verge immonde, et Chloé vomit une quantité impressionnante de sperme nauséabond. Son visage était maculé de foutre, tout comme son cou et sa poitrine. Des langues de semence gouttaient de sa peau au sol. Ses cheveux collaient à son front souillé, à ses épaules martyrisées. Et de l'autre côté, l'endurance du démon qui remplissait ses orifices ne faiblissait pas. Elle ne sentait plus son rectum comme son vagin, trop démolis pour qu'elle en profite. A un moment, le membre qui la sodomisait rippa et s'enfonça aux côtés de son alter ego, loin dans la chatte de Chloé. La Bête ne s'arrêta pas pour autant et la ravagea de cette manière. le corps de la jeune femme basculait à chaque violation de son intimité. Écartelée de l'intérieur, elle endurait une agression inhumaine. Le plaisir était passé. Chloé leva des yeux vitreux vers Damien. A travers ses cils collés de sperme, elle le voyait se faire sucer par des créatures aux courbes attrayantes, et il y prenait manifestement un plaisir fou.

"Arr...êtez..."

Sa voix était usée. L'autre, derrière elle, rugit et mit fin au calvaire en la remplissant abondement. Le ventre de Chloé gonfla sous l'introduction massive de foutre dans son abdomen et les tentacules la lâchèrent quand le démon fit un pas en arrière, extirpant ses queues de sa chatte distendue. un flot de sperme s'en échappa, inondant ses cuisses. Chloé rampa vers Damien avant de se mettre à genoux. Elle glissait dans toutes ses humeurs mais n'avait d'yeux que pour son amant.

Derrière elle, le démon eut un rictus et fit apparaitre dans sa main une faux au fil luisant. La tête de cette offrande viendrait enrichir sa collection de trophées sexuels.

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Les alentours de la ville / Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé
« le: dimanche 05 septembre 2021, 16:37:04 »
Elle ne comptait pas résister, mais alors pas du tout! Johnny eut la délicatesse de ne pas la prendre à même le marbre et prit même le dessus sur son désir à elle. Bien sûr, elle ne lui avoua pas sa petite faiblesse mais pesta intérieurement contre la retenue soudaine de son nouvel ami. Mais pourquoi ne la baisait-il pas là? Sur cette question existentielle, Chloé se perdit en réponses nuancées et finit par perdre le cours du temps. Les grosses mains expertes de l'homme faisaient des miracles et s'en sans rendre compte, elle commença à onduler sous ses caresses. Imperceptiblement au début puis plus distinctement au fur et à mesure qu'il passait aux parties inférieures.

Il répondit longuement à sa demande et du tréfonds de son plaisir, elle l'écouta narrer son histoire, notant les passages éludés et retenant tout de la vie de cet homme qui avait souffert. Elle comprenait qu'il luttait pour émerger d'un milieu difficile à une vie plus agréable. Il avait eu le courage de quitter son pays pour chercher une autre existence. Il fut franc et parla à cœur ouvert, elle l'en remercia silencieusement . Elle sourit à l'évocation de passage plus gais, axés sur sa relation avec les femmes. Mais quand il glissa entre ses lèvres intimes, le gémissement sonore qu'elle lâcha effaça toutes les images qu'elle venait de se faire de lui.

"MMMwwwwââââââ !!!!!!"

Elle ouvrit les yeux, vitreux, noyés de désir et saisit le poignet du colosse des deux mains. Elle le pressa contre elle et trembla de l'orgasme qui faillit déborder.

"Mmmmmfffff"

Elle se mordait les lèvres à pleines dents pour ne pas hurler. ces longues minutes de caresses l'avait électrisée et sa jouissance flirtait à fleur de peau. Le contact des doigts de Johnny avait été le catalyseur dont elle avait eu besoin pour jouir sans retenue. Elle frémit un long moment, accrochée à cette main salvatrice, le souffle coupé, foudroyée par la violence de son plaisir. C'était divin ... et nouveau. Elle savait se maitriser d'habitude et venait généralement après un acte sexuel intense. Ce que Johnny venait d'accomplir était brillant. Elle s'aperçut que ses ongles étaient plantés dans la chair de son partenaire et elle le relâcha pour s'affaler en arrière. S'il bougeait ses doigts, elle risquait de perdre toute contenance...
Elle l'avertit d'une voix haletante.

"A ... Attend!! Bouge pas !!"

Elle se redressa sur ses coudes, cherchant une issue.

"De quoi? L'histoire du sauna? non ... oui ... Je sais plus ... C'était quoi?"

Elle cherchait à toute vitesse. le sauna. La voiturette. la question. La réponse. Anal. Hein, de quoi ?"

Ah ... oh! oui ... euh ... Ici? Maintenant?



Derrière les moniteurs, les trois opérateurs étaient en nage. L'un d'eux avait eu la présence d'esprit d'enregistrer la scène qui se déroulait sous leurs yeux. Le couple qui s'ébattait dans le onsen n°3 était sans gêne. Evidemment, il s'agissait d'occidentaux. Et si les courbes féminines  de la fille qui venait de se faire dévaster par un orgasme monstrueux les rendaient fous, l'un deux salivait quand même sur le corps sculptural de son compagnon. Ils se regardèrent, songeant soudainement à la même chose...

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Chloé sursauta. Occupée à noter physiquement  les beaux gosses musclés qui s'affairaient autour d'elle, elle n'avait pas fait attention à celui qui arrivait derrière elle et qui lui avait touché l'épaule.

"Salut! Tu crois qu'il pourra nous suivre avec ses petites jambes?"

Le scanner de Chloé s'activa immédiatement. Beau gosse, musclé mais pas excessivement, un look sympa, sûr de lui. Elle lui attribua une note honorable, ne connaissant pas les détails plus intimes. Elle ricana.

"Avec ses jambes arquées? On va lui en mettre plein la vue!"

Elle se retourna pour lui faire face et lui tendit la main dans un geste faussement officiel.

"Moi, c'est Chloé! Enchantée!"

Il était plus grand qu'elle et devait avoir une vue plongeante dans son décolleté qu'elle accentua en serrant ses bras de part et d'autre de sa poitrine. Elle afficha un sourire éclatant, heureuse. Elle venait de trouver son compagnon de course.

Au même moment, Kenichi fit l'appel et elle compta 6 coureurs de plus. le coach leur expliqua qu'il s'agissait d'un petit trail et qu'il fallait en profiter. Il n'irait pas vite et espérait qu'ils passeraient un bon moment. Ca, Chloé en était certaine. C'était parti!


Un kilomètre et demi plus loin ...

"Aïe j'ai un point de côté! T'as vu par où ils sont partis?"

Un désastre, une véritable catastrophe. Le petit Kenichi aux jambes arquées avait démarré en trombe et une fois les sous-bois atteints les avait fait cavaler comme des fous en prenant les chemins forestiers les plus pentus. Habituée à courir sur du plat et le long de chemins bien praticables, Chloé avait explosé au bout d'un kilomètre. Elle avait trainé 50 puis 100 mètres derrière le groupe en grognant jusqu'à ce que le gars sympa se laisse descendre à son niveau.

"Ca me gonfle, c'est quoi ces conneries??" avait-elle lâché.

500 mètres plus loin, elle avait craqué et s'était arrêtée pour s'asseoir sur une souche. Autour d'eux, des arbres, rien que des arbres. le groupe de tête devait être loin. Kenichi avait précisé que le sentier était le seul et qu'on ne pouvait pas se perdre. Ils en avaient déjà croisé trois. Donc ... ils étaient perdus. Ce serait nul à raconter sur ses comptes. En plus ses chaussures neuves lui faisaient un mal de chien. Elle avait eu chaud et sa peau luisait.

"Mais on a pas idée de courir comme ça, il a un problème ou quoi ce type? Je croyais que ça devait être sympa."

Elle dévisagea son compagnon d'infortune et se dit que tout n'était pas perdu. Après tout, elle n'était pas seule et tout pouvait encore arriver. En bonne actrice, elle décida de fournir un petit effort supplémentaire.

"Tu veux bien courir à côté de moi?"

Elle repartit en trottinant, cette partie là était relativement plate aussi elle y arriva. Elle se tenait bien droite, sa queue de cheval battait ses épaules, sa poitrine tressautait à chaque pas. Voilà, ça c'était un vrai rythme de course.

"Et ... tu me racontes un peu qui tu es? Je cours rarement avec des inconnus, tout peut arriver."

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Les velléités de résistance de Chloé furent dissipés dans un ouragan de plaisir. Qu'importe qui ou quoi la baisait, l'essentiel était qu'elle prenne son pied. Damien était beau et quand elle posait son regard sur lui, son ventre s'enflammait d'un désir ardent impossible à éteindre. L'esprit de la jeune femme, dans ses conditions vaporeuses, acceptait tout ce qui  se passait, obturant le voile de la réalité derrière des ondes sexuelles d'une violente intensité. Chaque mouvement de ses partenaires déclenchaient en elle des vagues lubriques et quand derrière elle, celui qui la sodomisait décida qu'il était temps qu'elle subisse plus encore, elle ne put que couiner d'anticipation. Il l'écrasait contre Damien, lui écartelant les fesses sauvagement et s'y engouffrant sans douceur. Il devenait dur, énorme, palpitant, chaud et il s'ouvrait un passage en elle sans rencontrer de résistance. Chloé pouvait sentir la masse du gros membre lui perforer les entrailles et heurter celui de Damien, tout au fond d'elle. La sensation était grisante. Doublement pénétrée, rudement baisée, elle s'agrippait aux épaules du jeune homme tandis que son corps subissait les assauts du furieux. Elle tentait bien de résister pour ne pas basculer vers l'avant mais cela ne faisait que rendre plus durs les impacts de son agresseur contre ses fesses. Ça claquait fort, toujours plus fort et quand il prit appui pour la terminer, martelant sans relâche son rectum explosé, elle lâcha un hurlement qui ne passa jamais ses lèvres.

Tout devait y passer. Un membre long et souple força sa bouche et plongea d'une poussée dans sa gorge, écartant les muqueuses et les muscles de son cou. Elle eut un violent haut le cœur, s'étouffa dans un raz de marée de salive et se cabra sans rien pouvoir faire de plus que de subir. Le nouveau venu ancra ses doigts dans sa crinière et lui baisa le visage aussi dur que l'autre tapait derrière. Merde! Doucement! Son esprit originel, perdu, appelait à la retenue. Elle pouvait le sucer, il y aurait prit autant de plaisir, alors pourquoi s'acharnait-il comme ça? Sa réflexion éphémère fut interrompue quand son visage s'écrasa contre le bas ventre curieusement mou de l'excité. Il resta planté dans sa gorge un moment et après un moment où elle l'entendit scander dans un langage qu'elle ne connaissait pas, il sa vida en elle. Il se déversa en quantités inhumaines et les yeux écarquillés de surprise, elle ne put qu'avaler, en fait c'était déjà fait, ce liquide au goût acre. Il y en avait trop, beaucoup trop. Quand il se retira de sa bouche, le surplus suivit tandis qu'elle toussait en tentant de reprendre sa respiration. Le répit fut de courte durée qu'il revint lui martyriser la gorge en grognant comme un animal. Prise des deux côtés, ils maintenaient Chloé sous pression. Leur rythme était infernal. Mais que c'était bon, même si elle suffoquait fréquemment et qu'il lui fallait arrachait le pieu de sa gorge pour ne pas tomber en syncope.

Damien ... Damien ... Damien ... Son Damien ... Un sentiment égoïste la saisit. il était à elle, bien évidemment. Elle s'assura de sa présence délicieuse en caressant son visage, passa ses mains entre ses cuisses pour le sentir bouger en elle, l'enserrait de ses doigts pour le sentir pulser. Il était à elle, elle était à lui. Merde! Que cela ne s'arrête jamais.

Autour d'eux, d'autres  volutes prenaient formes, augurant comme elle le voulait, beaucoup plus.

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Chloé était loin, très loin. Initialement elle avait prévu un petit jeu, juste histoire d'allumer Johnny. L'endroit s'y prêtait et la nymphomane qu'elle était réclamait déjà l'acte 2. Mais alors qu'elle imaginait dans son esprit lubrique un plan destiné à asservir son musculeux compagnon, elle s'était endormie tout simplement sur son banc, prise dans la douce torpeur de l'onsen. Ce ne furent que quelques courtes minutes mais qui lui furent bénéfiques et quand l'injonction tonique de Johnny l'éveilla, elle sourit tout en gardant les yeux fermés. Le contact de sa grosse main sur son ventre lui ordonnait de se transformer en une intrépide salope mais elle résista tant bien que mal à ne pas tomber à genoux pour le sucer séance tenante.

"MMMMmmmmh oui" minauda t'elle "et je me suis endormie. Je rêvais de ta grosse queue dans mon ventre et c'était fantastique ..."

Elle s'étira, creusant son ventre et bombant sa poitrine. Son haut de bikini faillit rendre l'âme et la température monta de deux degrés d'un coup.

'Là, j'adorerai que tu me défonces de toutes tes forces et que tu fasses de moi une vraie chienne mais ..."

Chloé ouvrit les yeux et darda son regard rose et pétillant sur l'entrejambe de Johnny.

"... mais il faut en garder un peu pour la suite. Je n'aimerai pas que tu ais une défaillance cette nuit ..."

Elle roula sur le côté, soutenant sa tête, le coude en appui sur la pierre. Elle ramena une jambe, vers elle, de manière à ce que son genou frôle le gros membre du colosse à travers le tissu de son peignoir. La main de Johnny couvrait à présent sa hanche et elle aimait ce contact.

"Tu nous commandes un truc à boire? J'ai envie d'un cocktail frais et alcoolisé! Une Caipirinha? Ca te dirait? Comme ça, quand tu mettras ta queue dans ma bouche, après, ça me dépaysera pas de l'Amérique du sud hein?"

Sur le ton de la conversation, elle enchaina les vulgarités déguisées, attendant que Johnny craque ou pas. Il vibrait, elle le voyait bien. L'argentin était comme elle, sexuellement hyperactif et quand elle était excitée, il fallait qu'elle baise. Par convenance, ou par jeu ou masochisme, il tint bon et prit sur lui pour passer la commande. Il revint presque aussitôt et Chloé avait défait son haut qui pendait sur les lobes de sa poitrine, ouvert par le milieu.

"Oups ..... et ... tu parlais de massage? Je suis curieuse de découvrir tes talents"

Elle s'allongea à nouveau sur le dos.

"Je suis toute à toi ... Si je m'endors, tu pourrais me faire n'importe quoi, j'ai un sommeil de pierre quand je le veux."

Ca incluait la branlette forcée, la fellation abusée, remplir ses orifices, lui gicler dessus, bref à peu près tous les travers de l'industrie pornographique.

"Tu me parles un peu de toi pendant que tu me baises .... pardon, que tu me masses?"

La suite fut une des parties les plus plaisantes qu'elle ai jamais vécue. Il était doué et elle lui accorda tout. Elle l'écouta, obéit quand il le fallait et enregistra toutes les petites lubies de son compagnon.



Au japon, les onsen sont des lieux dédiés au repos et à la relaxation. On s'y rencontre, se délasse dans les eaux fumantes et des experts en massage donnent à votre corps les traitements dont il a besoin pour se revigorer. Bien entendu, en aucun cas, il ne serait question d'y copuler, par respect pour les suivants, par pudeur, et parce qu'au japon, ça ne se fait pas. Il n'en reste pas moins que l'opérateur de service aux caméras de sécurité avait appelé deux compères pour visionner ce qui se passait dans le onsen n°3. Il n'était pas question d'intervenir tant le spectacle était digne de n'importe quel film érotico-porno nippon.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: mercredi 04 août 2021, 18:53:53 »
Souta douille, et de l'entendre demander d'y aller mollo est ce qu'attendait Chloé depuis un moment. Depuis qu'ils se sont rencontrés, le garçon a toujours fait preuve d'une maitrise de son corps et de ses émotions, laissant assez peu transparaitre ce qu'il ressentait en réalité. Chloé en était arrivée à se demander s'il n'était pas un robot ou un truc comme ça. Mais là, ses dents faisaient effet et le sexe qu'elle avalait portait les stigmates de la souffrance. Volontairement, elle donna un ultime coup de dents mal placé jusqu'à ce qu'il décide de reprendre les choses en main. L'un comme l'autre avaient vraiment donné sur cette session et la fin était proche. Autant terminer sans bourriner.

Et c'est aussi l'avis de Souta. Il s'assure une prise sur sa tête et lentement pénètre à nouveau sa bouche mais en douceur cette fois-ci. Chloé se cale bien à genoux et pose sagement ses mains sur ses cuisses. Elle tire la langue dès qu'il le demande et le jeune homme prend le temps d'y glisser pour se lustrer. L'experte en fellations peut enfin refermer ses lèvres sur ce chibre martyrisé et entame une pipe d'anthologie qui pourrait même paraitre élégante. Sans utiliser ses mains, elle le suce divinement et toujours en allant très loin, jusqu'à la base du sexe, elle produit des succions destinées à extirper tout ce qu'elle pourra de lui. Un petit coup d'œil à Noriko qui mange ses pâtes en boudant et elle reprend en attendant le grand final.

Le membre de Souta grossit à nouveau sous ses efforts et Chloé va émettre un commentaire sympa quand le garçon s'affale en arrière sur le sofa.

"Nooonn mmmmmfffflll !!!"


Chloé suit le mouvement et s'empale la queue dans la gorge, décidée à ne pas l'abandonner. Elle fourre son visage entre les cuisses de son partenaire et reste comme ça, sans bouger. Ses mains ancrées aux genoux de Souta, elle reste agenouiller entre ses jambes, sa bouche hermétiquement fermée autour du sexe tendu. Rien au monde ne pourrait la faire bouger de là dorénavant. Si Souta tentait de s'extraire, il perdrait ses attributs dans coup de dents. La jeune femme pouvait aisément respirer par le nez aussi joua t'elle a contracté les muscles de sa gorge autour de la queue virile. C'était exécuté de manière professionnelle et bien que rien ne fut visible, c'est un rouleau compresseur qui molestait Souta. Il ne put tenir longtemps et dans une crispation que Chloé ne vit pas, il se déversa en elle du mieux qu'il le put. En terme de quantité, ce ne fut pas exceptionnel, par contre il vibra si fort que c'est elle qui faillit jouir à son tour. Elle le laissa faire sans bouger, il se vidait dans son œsophage et bien après, elle se retira enfin pour le regarder dans les yeux tandis qu'elle s'essuyait les lèvres du dos de la main.

Terminant son plat, Noriko eut cette analyse philosophique.

"Bordel, t'as failli jouir rien qu'en avalant!"
Rien ne lui échappait.

"J'espère qu'elle valait le coup ta pièce à changer là."

Après tout, ils faisaient tout ça pour un putain de téléphone.

L'écran des spectateurs s'alluma. Une foule d'émojis minables tapant des mains apparut, résumant l'état d'esprit des gros dégueus qui avaient dû se branler tout au long de la partie. Ensuite une icône représentant une enveloppe apparut avec "Souta" marquée dessus. L'écran était tactile, le message était dédié au jeune homme, peut être des directives ou de nouvelles consignes?

Chloé et Noriko s'éclipsèrent dans la salle de bain laissant Souta gérer le reste. Elles prirent leur douche à deux.

"Je m'amuserais pas à ça tous les jours."


"Non c'est clair, putain, quelle bande de connards!"

"T'as morflé, ca va toi?"

"J'ai trop mal au cul, j'ai cru qu'il allait me casser en deux. A un moment, j'ai failli partir ..."

"Ouais j'ai vu, ensuite, tu l'as chauffé aussi ..."

Elles parlèrent quelques minutes et se savonnèrent en douceur. Leur peau était couverte de plaques de sperme séchées et elles galérèrent à se nettoyer les cheveux. Quand elles sortirent de la salle de bain, propre, sans maquillage et les cheveux humides reliés  en queue de cheval, Souta les attendait et l'écran était éteint.

"Alors? On fait quoi maintenant? J'ai envie d'une pizza."

"Ah non alors, sûrement pas ! Moi je rentre chez moi! J'ai assez bouffé ce soir!"

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Noriko répondit du tac au tac.

"Non, moi je ferai pas autre chose que te branler ici. C'est Chloé que t'as envie de t'faire."

Après les trucs qu'il leur avait fait boire, l'asiatique avait la bouche pâteuse. Le mélange de tous ces alcools ne lui réussissait pas non plus et l'euphorie commençait à passer. Noriko se leva d'un coup, arrachant les doigts du blondinet de son vagin d'où s'échappa un filet de plaisir suintant qui se colla à l'intérieur de ses cuisses.

"J'vais m'chercher un coca."


Elle fendit la foule d'une démarche mal assurée, se fit bousculer par des danseurs, les engueula et disparut dans la masse compacte de la foule.

"Bon ... il semblerait qu'on soit seuls. Tu vas me doigter toute la nuit ou tu comptes aussi me violer sur la table devant tout le monde?"

Chloé aussi n'était plus trop en forme. Le mélange des alcools ne lui réussissait pas non plus et la musique assourdissante lu tapait dans la tête. Elle était affalée sur le sofa et au fur et à mesure que l'homme enfonçait ses doigts en elle, elle s'écrasait dans les coussins. Elle voulait à présent que la soirée s'arrête mais partir maintenant lui laisserait un goût d'inachevé, elle le savait. Elle branlait un inconnu dans une discothèque, c'était seulement un début.

"Moi aussi, je t'offre un essai à durée limitée, viens!"


Elle se redressa elle aussi et attrapa le type par la main. Elle le tira derrière elle, le sexe érigé hors de son pantalon, et lui fit traverser difficilement les hordes de déchainés. Des excités les heurtaient sans faire attention et Chloé dû jouer des coudes pour arriver jusqu'au couloir des toilettes. Derrière elle, le blondinet semblait être passé dans une essoreuse. Ouais, il devait vraiment avoir un problème avec la foule.

Un vigile lui lança un regard désapprobateur quand elle entraina son partenaire dans les toilettes des femmes.

"Si c'est pas là, ce sera en salle!"

L'homme détourna la tête.

Les sanitaires étaient inoccupés. La jeune femme poussa la porte d'une cabine et s'y engouffra avec lui. Elle verrouilla le loquet, remonta sa robe sur ses hanches, baissa sa culotte et prit appui sur la chasse d'eau. Elle présenta son fessier parfait au garçon et lui jeta un regard de braise.

"J'ai pas besoin de compliments ok? J'veux juste que tu me fourres!"

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"Ta... gueule !"

Un nouvel aspect de la personnalité de Damien qui ravit l'imaginaire de Chloé au plus haut point. La voix de Thorn vibrait de plaisir, ce qui rendit l'insulte d'autant plus plaisante. L'instinct sauvage qui s'était accaparé leur union bestiale réduisait la perception de la jeune femme a une seule perspective : se faire sauter jusqu'à ce qu'elle en crève d'euphorie. C'était bien parti pour !

Sa réponse fut étouffée par la main de son partenaire qui lui couvrit subitement la bouche. Merde ! Qu'il était désirable dans cet état, sorti de son rôle de jeune premier. Sous l'emprise de cette transe sexuelle, Chloé ne vivait que les sensations exquises émanant de son corps en chaleur, sans se soucier de l'environnement sombre et des autres occupants de la pièce. Elle sentait bien que quelque chose d'inconnu était à l'œuvre mais ... elle se sentait si bien que cela ne pouvait être que bénéfique. Et puis, Damien gérait après tout. Il la baisait sans pitié et s'acharnait à la pénétrer le plus loin possible. De son côté, Chloé lui offrait toute latitude de s'exécuter en ramenant ses jambes vers elle, définitivement conquise.

Bordel! T'arrête pas! Elle en veut plus, il pourrait la plier qu'elle en demanderait encore. L'instant d'après, elle se retrouve au dessus de lui sans comprendre vraiment comment. Elle lui adresse un sourire carnassier, bien différent que le premier qu'elle lui a offert. Elle respire le stupre, dégouline de luxure, exhale mille et une façons d'atteindre les degrés de l'ultime dépravation. Elle ne dirait non à rien tant qu'elle en tirerait sa jouissance. Elle le chevauche à présent, l'écrasant sous les battements de ses hanches. Elle ressent le besoin de lui faire mal pour le lécher ensuite. Ses ongles se plantent dans les épaules du jeune homme et elle les y laisse profondément ancrés. A la chose qui se glisse derrière elle, elle adresse un ricanement provocateur. Si ce n'est que ça ....

Chloé n'est pas une novice en sodomie. Elle s'est déjà essayé outre les hommes, à tout un tas de jouets, dédiés au sexe anal ou non d'ailleurs. Sa copine Noriko a un penchant pour le champagne, enfin, les bouteilles de champagne. C'est un peu hard, mais bien bourrée, ça peut être marrant. En tout cas, la chose dans son dos a la même idée qu'elle et Chloé se cambre pour accueillir son nouveau visiteur. Curieusement, pas de douleur, pas de résistance non plus. Ce qui envahit ses fesses est dense et massif, mais écarte ses parois rectales sans difficultés pour aller se loger au fond de son rectum et buter jusqu'à ne plus pouvoir aller plus loin.

"Va falloir ... faire mieux."

Puis elle s'effondre sur Damien pour l'embrasser à pleine bouche en soufflant.

"Pas toi hein ... toi t'es parfait là où t'es."


La queue du garçon, bien en elle , lui fait l'effet d'un aphrodisiaque puissance dix. Elle la violente dans son vagin brulant, la moleste, se resserre autour d'elle pour l'aspirer en une succion interne affolante.

"HAAAaannn putain c'est trop bon."

Et dès qu'il veut répondre, elle lui mord une lèvre.

"Ta... gueule !"

Elle se love contre lui, se penche en avant pour lui écraser le visage entre ses seins tandis que l'autre derrière continue de prendre possession de ses reins. Chloé rue, il attend quoi lui?

Elle incite la chose à faire son office comme il se doit, l'insulte salement, la provoque. La queue dans son cul semble palpiter à chaque attaque verbale. Chloé se régale de se faire baiser de cette manière, prise entre deux hommes, non, entre deux ... deux quoi ...? L'espace d'un instant, elle tente de rationaliser ce qui lui arrive, résiste, hurle silencieusement, se débat dans une toile d'érotisme tendue au paroxysme, mais en vain. L'autre Chloé, la salope qui sommeille habituellement en elle prend le relais. OK, ils veulent du cul, elle va les vider. Ils veulent se la faire, elle va les renvoyer à leur état de morts-la-faim misérables.

"Putain, baisez-moi bordel!"

Les mains en appui sur le torse de Damien, elle donne des hanches et cogne dur en arrière. Les sexes  de ses partenaires plient en elle. Elle veut les sentir loin dans son ventre, elle veut les sentir remplir son ventre.

Le trio sur l'autel rend une image d'une incroyable vulgarité. La jeune femme donne autant qu'elle prend. Les corps claquent, marquent, s'épuisent. Le vagin et le cul en feu, Chloé rit de la passion qu'elle vit et provoque.

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A l'énoncé du onsen, Chloé serra les cuisses alors qu'un picotement familier s'emparait de son intimité. Son dernier passage aux fameuses sources chaudes japonaises s'était soldé par un trio coquin où elle avait épuisé deux athlètes rencontrés lors d'un meeting sportif. Elle en était ressortie comblée, dans tous les sens du terme. Elle opina du chef.

"Le onsen, ce sera parfait! On s'y retrouve d'ici une heure?"

La voiturette les déposa devant le hall principal du complexe et Chloé prit le temps de flâner dans les boutiques de luxe de l'établissement. Elle sélectionna des cosmétiques locales aux noms évocateurs de plaisirs, dépensa une petite fortune en babioles pas forcement utiles, fit de l'œil aux employés dignes d'être catalogués dans la catégorie "pas mal" puis revint à sa chambre pour prendre une douche pendant que Johnny vaquait à ses occupations. La séance de conduite l'avait fatigué plus que ce qu'elle aurait pensé et alors qu'elle terminait de passer un paréo coloré, elle bailla à s'en décrocher les mâchoires. Hum hum non ... pas bon ça! Un petit coup d'œil dans le miroir pour s'assurer que sa silhouette n'a évidemment pas doublé de volume, elle lisse le pagne fin noué autour de ses hanches, ajuste son haut de bikini bien trop petit, arrange sa chevelure en une crinière rebelle, prépare son petit sac fourre-tout et enfile ses sandales. Fin prête, la jeune femme quitte sa suite, bien décidée à mettre à profit le temps qu'il lui reste pour mettre à jour ses comptes pour le plus grand plaisir de ses fans.

De retour dans le hall de l'hôtel, elle échange à nouveau avec l'hôtesse d'accueil un regard venimeux. Décidémment, elle ne l'aime pas! Chloé se trouve un petit coin cosy où elle s'installe dans un fauteuil confortable et profond. Un serveur vient prendre sa commande. Champagne! Mais juste une flûte hein? En immersion dans son univers semi-virtuel, elle alimente ses réseaux, poste photos et commentaires, s'affiche avec Johnny entrainant immédiatement des relations ultra violentes des habituels haters ... ban! Elle prend le temps de rédiger un message sympa concernant le grand gaillard, détaillant sans complexe les qualités physiques de son nouveau compagnon avec une dose de sous-entendus à peine voilée. Les likes affluent, sa sœur Kelly répond même du tac au tac pour une demande de meet avec l'éphèbe argentin #OnEstPasSoeursPourRien. Elle n'oublie pas d'insérer les liens des différents comptes de Johnny et invite toutes les dévergondées dignes de ce nom d'aller y faire un tour. Pour finir, un petit message de salope à Noriko, sa meilleure copine toute aussi salope. Tiens ... ce serait bien qu'elle les rejoigne un soir ... A planifier!

L'établissement attire du monde, surtout de jeunes adultes friqués à la recherche de sensations fortes et avec un  besoin vital d'exhiber leur petite personne. Chloé fronce le nez. Elle s'estime au-dessus de cette frange de la société. Son aisance naturelle en public, son physique spectaculaire et une extraordinaire faculté d'adaptation ont donné à la jeune femme un authentique attrait qui l'exempt de tout type d'exhibition superflue. Elle assume qui elle est et sa manière de vivre, et affiche un dédain monstrueux pour les "m'a tu vu" insupportables. Elle est select et aime les extrêmes. Ses cibles sont, où normalement inaccessibles, où comme avec Johnny, des surprises de taille. Et son véritable plaisir est qu'elle n'ai pas à faire le premier pas pour se les approprier. Un sourire rêveur aux lèvres, elle ne remarque que trop tard le type dégingandé qui vient s'asseoir en face d'elle, une horde d'admirateur(trices) collée aux basques.

"Excuse moi de t'avoir fait attendre poupée, on boit quoi déjà?"

C'est quoi ce truc? Le visage de l'intrus lui dit bien quelque chose, une célébrité de l'audiovisuel peut être? Elle le hait instantanément et regrette que Johnny ne soit pas là pour lui expliquer le reste. Les débiles agglutinés derrière lui ont l'air d'une bande de dégénérés en transe. Ouais il doit être connu ...

Chloé, se lève, lisse à nouveau son paréo, creuse le ventre et vide le reste de sa flûte sur l'entrejambe de l'importun.

"Loser ..."

C'est beaucoup dire, un mot de cinq lettres pour qualifier ce type, c'est déjà trop d'effort. Elle s'éloigne ensuite, ignorant superbement le connard qui hurle, l'insulte et la menace. Kelly aurait été là, elle lui aurait péter le nez. Où était Johnny? Elle l'avait vu à un moment dans le hall et lui avait fait un petit signe sans le rejoindre. Elle avait parfois besoin de prendre un petit moment pour elle et de rester au calme, il en était peut être de même avec lui.
Chloé sortit du bâtiment principal par les jardins et suivit un adorable petit chemin dallé japonais traditionnel pour rejoindre le onsen. Les fleurs embaumaient, les massifs taillés étaient superbes et de petits points d'eau parsemaient le chemin. Les jardiniers étaient des pros, elle laisserait un commentaire à leurs sujets.

Pour accéder au onsen, il lui fallut s'affranchir d'une somme conséquente et un charmant jeune homme l'accueillit pour la guider. Arrivée la première, Chloé choisit un espace privatif où personne ne viendrait les importuner. Une source chaude spacieuse laissait échapper des volutes de vapeur au cœur d'un écrin végétal des plus agréable. Deux tables de massage en marbre coloré invitaient à un moment de détente... MMmmmm les mains de Johnny glissant sur son corps ..... L'idée l'emballa. Le garçon lui rappela qu'il était à son service, que des masseurs et masseuses étaient disponibles et surtout qu'elle puisse passer un moment merveilleux. Elle y comptait bien ...

Seule, elle s'allongea sur le dos, reposant sur une des tables de pierre. Les yeux clos, elle attendait son compagnon. Qu'avait-il dit d'ailleurs, tout à l'heure, à propos du spa?

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Dans une situation normale, c'est à dire qu'elle aurait préparer sa proie à ce qu'elle voulait, comme elle le voulait, Chloé l'aurait gratifier d'un regard signifiant qu'elle contrôlait tout et qu'elle lui permettait d'entrer en elle. Sur cet autel, nue et offerte à Damien, ne conservant que ses  cuissardes, elle n'exprimait qu'une bestialité sauvage dont il allait devoir s'accommoder. L'aboutissement de ces longues minutes de flirt, muées en provocations indécentes, était sur le point de finaliser ce que les deux jeunes gens voulaient depuis qu'ils s'étaient touchés. Le corps de Chloé brulait d'une ardeur difficilement gérable et dans les méandres de son esprit occulté, elle lui fut gré de commencer de cette manière et pas par des préliminaires plus classiques, qui pourraient venir après bien sûr. Damien l'avait tirée sur ses cuisses et s'offrait le luxe de la pénétrer sans aucun compliment préalable. En vérité, elle s'en foutait un peu, écoutant cette envie récurrente de le sentir en elle. Le jeune homme n'eut  aucune difficulté à la posséder, elle était déjà trempée de désir et les doigts de Thorn avaient fait le reste. Il s'enfonça si facilement qu'elle émit un petit cri quand il se ficha tout au fond d'elle, envahissant son intimité de sa présence si ... chaude ? Un détail interloqua la jeune femme, la ramenant de son évasion psychique.

"Mais ... t'es super gros?"

Elle avait pu palper entre ses doigts la mesure du sexe de son partenaire qui lui paraissait normale, à son échelle à elle. Mais alors qu'elle l'avait maintenant bien caler dans son ventre, il lui paraissait vraiment hors-norme. Cette pensée s'effaça au premier coup de reins et elle fondit sous l'étreinte du prodige. Elle lança son bassin à sa rencontre et d'un début qui aurait pu être attentionné, le coït passa de doux à furieux en l'espace d'une seconde. Elle ne voulait pas de douceur, tout dans cette pièce était dédié à la fornication frénétique. Elle croisa ses jambes derrière lui pour appuyer sur son dos et accentuer l'intensité de la pénétration. Elle aimait ça et son corps criait son approbation. Thorn s'écrasait sur elle, malmenant son vagin de la meilleure des manières. Elle décroisa ses jambes une fois le rythme imprimé et afficha sa souplesse en agrippant ses chevilles et étirant ses longs fuseaux en un V parfait. Il pouvait la pilonner sans aucune résistance et elle en riait autant qu'elle gémissait de bonheur. Loin en elle, il la rendait folle. Encore une fois, étrangement, et bien trop tôt comparé à ses habitudes sexuelles, un torrent de plaisir l'emporta avant qu'elle ne puisse se retenir. Elle se tendit sous lui et une fois retombée, lui colla une gifle magistrale, sortie de nulle part, en guise de remerciement. Un geste inconsidéré, pas maitrisé, guidé par un instinct qui n'était pas le sien, ou en tout cas, pas des plus habituels mais la claque sèche,  l'impact de sa main contre la joue de Thorn, fit briller dans ses yeux un éclat mauvais imprégné de luxure malsaine.

Autour d'eux, une présence éthérée fléchit et connut la peur. Aller trop loin avec cette humaine, la pousser à l'irrespect envers le maitre était une erreur tragique. Des volutes protecteurs plus consistants saisirent la jeune femme par les poignets et la clouèrent à l'autel, les bras en croix.

"Bordel ....mmmmmffffff"

Un autre spectre long s'introduisit dans sa bouche, l'empêchant d'émettre un commentaire négatif à l'encontre de la situation. Folle, elle mordit dedans sans que cela ait un quelconque effet. Elle avait l'impression d'avoir un sexe dans la bouche mais sans en discerner la consistance ni les contours. Elle secoua la tête pour s'en débarrasser et râla quand Damien recommença à la marteler. Ses yeux roulèrent dans ses orbites, la sensation était exquise. L'idée d'être baisée ainsi pour l'éternité s'imposa à elle en une évidence qu'elle approuvait. Tandis que l'homme l'oppresait sous son poids, d'inquiétantes formes s'érigèrent autour d'eux. Des membres spectraux la caressèrent, saisirent sa poitrines, agrippèrent son cou, se lovèrent le long de ses courbes. Un curieux vint titiller son anus et elle sursauta en serrant les fesses. De brèves accalmies lui permettait de reprendre conscience mais le regard de Damien fiché dans le sien occultait tous les à-côtés étranges qu'elle aurait pu relever.

"J'ai ... chaud ..."

C'était évident, sa peau ruisselait de fines gouttes de sueur et celles de Thorn s'écrasait en tombant sur sa peau. Tiens ... elle pouvait parler maintenant ... Où était le truc qu'elle avait senti dans sa bouche?


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Les alentours de la ville / Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé
« le: dimanche 11 juillet 2021, 11:11:14 »
Elle ne l'aurait jamais avoué devant quiconque mais Chloé était contente que Johnny commence leur activité au volant du bolide que leur avait présenté l'instructeur de conduite. Conduire n'était pas sa passion et une voiture lui servait d'aller d'un point A à un point B. Son père lui avait fourni une petite Yaris avec les options de la gamme la plus élevée et elle aimait bien sa petite voiture qui était pratique dans les avenues souvent encombrées de Seikusu. Le petit moteur japonais lui suffisait et elle n'avait pas à s'occuper de l'entretien puisque le véhicule était gracieusement prêté par Toyota à Mr Reynard (papa) qui siégeait au conseil. Alors oui, elle était déjà monté dans des monstres de puissance, accompagnant amis, amants, coups d'un soir, inconnus, voyous, personnalités mais n'avait jamais conduit. Bien entendu, elle s'était lascivement étirée sur des capots rouges italiens lors de shooting photos où ses poses faisaient oublier la sportive au logo si caractéristique. Et puis sa sœur, Kelly, très différente de sa cadette, au contraire, aimait les belles mécaniques bruyantes et ramenait parfois une machine particulièrement bruyante dans la cour de la maison.

"Non, non commence, c'est super, je vais filmer de derrière."

La jeune femme se glisse sur la banquette arrière et s'installe sur la place centrale. Ceinture! Ca sent bon le cuir neuf et elle laisse courir ses doigts sur les coutures de finition. C'est du beau travail. Daisuke donne ses instructions et présente l'habitacle. Chloé aurait cru qu'ils aient à porter un casque mais le japonais n'en parle pas. Tant mieux, elle aurait détesté confiner sa chevelure dans un cocon de carbone.

"Vas-y Johnny, je filme!!"


Et Johnny assure! Le beau gosse à l'air de maitriser le sujet et après une rapide prise en main, joue déjà de l'accélérateur. Le gros moteur de la Porsche hurle rageusement lorsqu'il rétrograde en mode manuel, négocie un virage sans sourciller et repart de plus belle sur une longue ligne droite. Chloé est ballotée à l'arrière mais tient fermement son smartphone et ne rate pas une occasion de lancer un commentaire professionnel à l'attention des futurs abonnés de l'argentin. Elle vante sa classe et ses mérites et assure qu'elle a une totale confiance en lui ... La classe Johnny! Elle sait y faire, les réseaux sociaux, elle connait. L'art de se mettre en avant mais surtout sans trop en faire. La connaissant, c'est contradictoire mais son naturel fait passer tous ses débordements. Néanmoins, là, c'est pour Johnny donc elle cadre des plans, ses mains sur le volant, son regard de braise dans le rétroviseur, son visage concentré au moment d'aborder  un virage un peu raide. Elle le questionne sur son ressenti, son avis sur la voiture, s'il a un conseil pour ses followers. Daisuke est mis à contribution également et arrive à ne pas pourrir la vidéo. Le commentaire d'un professionnel est toujours le bienvenue dans ce genre de présentation.

Passée la phase enregistrement, Chloé se laisse aller sur les derniers tours et s'éclate tout autant que le conducteur. Les "wouhou" et autres "plus vite!" fusent dans l'habitacle.

La demie heure de Johnny passe trop vite.

"Oh non déjà!! On peut pas .....?"

Non, on peut pas! Maitre Daisuke est catégorique. Au japon, contrairement à la France, une demie heure, c'est pile 30 minutes. Chloé n'insiste pas, c'est à son tour.

"J'aimerai bien que Johnny monte à côté de moi ... De toute manière il maitrise et je vais pas aller vite, c'est promis!"

Le sensei ès conduite accepte, peut être aussi parce que Johnny a déjà la main sur la poignée de la portière. Chloé termine de l'achever, la bouche pincée sur une mimique suppliante.

"Merci !!! Johnny, tu filmes!!!"

Elle cale sa casquette, bien vissée sur le chef, relève la visière à 45° et ajuste ses lunettes, très starlette ... et s'assoit pour se retrouver le nez sous le volant. Elle grommelle, le gabarit de Johnny, c'est quelque chose. Y'a des boutons partout sur le côté du fauteuil et elle galère à le régler, les rétros aussi.

"Hey? la demie heure a pas commencé hein?" Non non ....

Ceinture!

Et c'est parti, la voiture frémit quand elle la démarre. Chloé décide de n'utiliser que le mode automatique, comme sur sa Yaris. Elle ne se sent pas en confiance avec la boite manuelle. Au moins, elle n'aura qu'à tourner le volant. C'est parti! Le moteur hurle et la voiture fait un bond en avant, lui arrachant le même cri aigu qu'à Daisuke.

"Oups ... c'est sensible ..."

Deuxième essai, la pédale d'accélérateur est vraiment souple mais après quelques essais, elle en reconnait l'amplitude. C'est ... encore parti et la sportive se lance à la même vitesse qu'une petite citadine fatiguée. Chloé se concentre, elle ressent toute la puissance qu'elle a entre les mains et ne peut s'empêcher de rire, repensant au commentaire de Johnny.

"Ouais c'est vrai, c'est le deuxième truc monstrueux que j'ai entre les mains aujourd'hui. Je kiffe !"

Elle termine le premier tour en un temps effroyable mais est très fière de sa performance. Daisuke est partagé entre le fait heureux d'être toujours vivant et l'ennui mortel du type cantonné à la banquette arrière.

"Bah! Arrête de faire la gueule Dai!! C'était le tour de chauffe, maintenant ça commence!"

Confiante, elle écrase l'accélérateur et la Porsche s'élance sans un crissement de pneus pour avaler la longue ligne droite qui se perd devant eux.
Ils hurlent tous mais pas pour les mêmes raisons, le virage au bout arrive à une vitesse folle et Chloé rit aux éclats. Elle pile net à trente mètres et repart tranquillement pour l'amorcer en douceur. Les prochains sont négociés à une vitesse plus respectable et au final, elle conclut son parcours dans un temps très correct. Johnny a été très pro, la vidéo sera bonne, il faudra juste sélectionner les bons moments et effacer les autres. Un super plan aura été complètement gâché par les hurlements stridents de Daisuke, fais chier!

A leur retour à la zone de stationnement, un petit comité d'accueil les attend. Il s'agit principalement des autres instructeurs qui tiennent à découvrir qui sont les individus qui ont malmené et le circuit, et la voiture, et le pauvre accompagnateur. Chloé se glisse hors de l'habitacle tout en provocation, Johnny s'en extirpe tout en force.

Elle fait le tour du véhicule et saute dans les bras du colosse.

"T'étais génial Johnny!!!! On fait une photo! Daisuke, viens-là!"

Elle tend son smartphone a un des types et tire ses compagnons devant la Panamera, Daisuke entre eux deux, trop heureux de s'en être sortit.

"Ouistiti sexe!!!!"

Ben oui, elle est française ... Mais en japonais ça sonne bizarre : "Māmosettosekkusu"
L'effet est quand même bien là, l'hilarité pleine d'incompréhension des participants donne à la photo un air très réaliste.
Ils remercient leur instructeur qui a la courtoisie de ne pas leur dire ce qu'il pense et c'est un autre type qui les ramène à l'hôtel en voiturette. Ca ne fait qu'un peu plus d'une heure qu'ils sont partis mais cette première activité a, pour Chloé en tout cas, été crevante. Elle s'aperçoit qu'elle est encore toute tendue et ses avant-bras lui font mal d'avoir trop serré le volant.

"J'ai soif! Johnny, c'est toi le capitaine de l'après midi! Tu t'occupes de moi et ce soir, on baisera!"





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