Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Cindy Terreur

Pages: 1 [2] 3 4 ... 7
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 10 novembre 2014, 22:14:44 »
Tu m'as tuée Connor haha.

*aime ça <3*

22h14, et j'me refais touuuut les NCIS. Depuis l'début.

17
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 10 novembre 2014, 22:07:35 »
Haha. Nan, mais genre tout les uniformes <3

22h07, je suis pas une garce, d'abord D:
J'suis juste pas exclusive hé hé hé 8)

18
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 10 novembre 2014, 21:55:07 »
J'suis déjà en kiff sur les uniformes. Mais l'trailer à l'air hy-per classe <3

21h55

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Le Styx / Re : Démon sexy sur son dragon noir, à la rescousse. [Stephen Connor]
« le: dimanche 09 novembre 2014, 23:34:27 »
Leurs voix me faisait frissonner. J'étais toute survoltée, excitée, chamboulée. Je perdais mes repères, au profit d'un plaisir bien trop longtemps ignoré. Mes lèvres flattaient la virilité du Lion tandis que je tressaillais un peu lorsque Helel glissa un doigt dans mon antre encore vierge. Il était le premier homme, si on peut utiliser ce terme pour un mâle démoniaque dans toute sa splendeur, qui me faisait découvrir les joies de l'amour. Et je ne l'en remercierais jamais assez.

Tandis que je me redresse, frissonnante, haletante, je me rends compte que, l'espace d'un instant, j'ai oublié la présence de ces autres démons. Me rendre compte qu'on était observé, au lieu de me paralyser comme au départ, distilla un frisson de plaisir en plus en moi. Je soupirais contre les lèvres du Lion, ravie de sentir ses dents contre mes lèvres, contre ma langue, et je n'étais d'ailleurs pas en reste.

J'avais encore le souffle court quand Buer mit fin au baiser. Je me sentais sans défense entre les deux démons, mais ça ne faisait que renforcer mon excitation en fin de compte. Tremblante, je me laissais docilement guider par les deux mâles. Je me sentais fragile, mais forte paradoxalement. J'inspirais le désir, autant qu'ils m'en inspiraient. Ma jambe se glissa sur le Président, et je me retrouvais presque assise sur lui, ressentant toute la vigueur de son désir contre mon bas-ventre.

Mes seins vinrent s'écraser contre le torse du Lion, et peu après, je le sentis me pénétrer. J'arquais le bassin pour mieux l'accueillir, exhalant un soupir de désir dès lors qu'il avait commencé à me frôler. A cet instant, la voix d'Helel parut venir de très loin, mais je refis surface, m'exécutant docilement, avide de le sentir aussi en moi. Je ne me connaissais pas cette facette libertine. Je me découvrais, au même titre que je découvrais la sexualité. Je creusais le dos, doucement, prise d'une soudaine appréhension. Mais ce sentiment passa bien vite. Je restais aussi détendue que possible, savourant la présence de Buer déjà en moi, et je laissais Helel s'approprier mon corps.

Un soupir m'échappa quand je le sentis s'immiscer en moi, et je fermais les yeux pour savourer la sensation inédite qu'il m'offrait. J'avais lu, quelque part, que c'était moins agréable à cet endroit. Mais je ne ressentis que des frissons de plaisir qui m'électrisèrent. M'agrippant aux épaules du Lion, je lâchais un petit râle satisfait alors que le Grand Duc se fichait en moi aussi profondément qu'il le pouvait.

Je m'appuyais légèrement sur le triclinium, relevant le buste alors que le démon en-dessous de moi martyrisait délicieusement ma poitrine, et qu'ils adoptaient un rythme délicieux en moi. Je répondais aux baisers avec autant de sensualité que Buer, ayant du mal à croire que c'était vraiment moi, cette déesse dévergondée qui se laissait aller aux mains de deux puissants mâles démoniaques. Moi, qui soupirait, qui gémissait comme une petite salope lascive. Oh, mais c'était tellement... Plaisant !

Mes ongles s'enfonçaient par moment dans les bras musclés du Lion, alors que j'étais embrasée par le plaisir, la chaleur qui montait, qui me donnait envie de crier... Je ne pouvais pas bouger beaucoup. Mais ce n'était pas grave. Je prenais conscience du public qui nous observait. Si j'avais quelques appréhensions au départ, elles s'envolaient au même titre que ma capacité de raisonnement. Mon regard, quand je m'embrassais pas le Président, furetait un peu dans les thermes, découvrant une grande variété de démons.

Je rejetais soudain la tête en arrière, submergée par une vague d'extase, cambrant mon corps entre les deux mâles. Je soupirais le nom d'Helel, mais aussi celui du Lion, chavirée de plaisir entre les deux. Ma crinière s'enflamma alors de nouveau. Même si j'avais simulé, ce que je n'avais pas la possibilité de faire tant les deux amants étaient doués, ça n'aurait pas été aussi spectaculaire.

A travers mes paupières mi-closes, je voyais les amateurs de notre spectacles, et ça me fit plonger à nouveau dans le plaisir en criant, d'une voix rendue rauque à force.

« Oh.. Oui... Oui... Maîtres... Laissais-je échapper, sans vraiment me rendre compte de mes paroles. »

La déesse que j'étais étais plus que comblée par la présence du Grand Duc et de son acolyte. Je me sentais comme une disciple qui découvrait la magie de sa discipline, qui était guidée par ses maîtres jusqu'à atteindre l'apothéose de la chose, la maîtrise de la matière.

Le souffle court, je redressais encore un peu la tête, levant un bras derrière moi pour essayer d'attirer Helel un peu plus contre mon dos, cherchant ses lèvres. Appuyée, allongée presque complètement sur le Lion, j'étais échevelée, les joues rougies par l'effort et le plaisir. Mes lèvres gonflées à force de baisers étaient entrouvertes.

« Oh, c'est... Si bon... Helel... Mmm... Buer... »

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L'Enfer / Re : Un trésor bien gardé [Indiana Jones]
« le: mardi 04 novembre 2014, 14:17:59 »
Ayant entendu l’intrus, je m’étais tapie dans l’ombre, près de l’entrée. Impossible pour lui de me voir tant que je ne le voulais pas. L’avantage d’être la fille du dieu des Enfers, c’était que les ombres étaient pour moi des amies, et je me fondais parmi elle comme un caméléon. Anxieuse, néanmoins, je restais aux aguets, attendant la venue de l’étranger. Il n’y avait guère eu de visiteurs ici. Le seul, hormis mon père ou ses gardes, avait été un dieu, comme moi. Mais je ne sentais ici aucune présence divine. C’était un humain. Un mortel.

Comment réussissait-il à passer les pièges posés par mon père ? C’était une excellente question. Il devait être très intelligent, ou bien habitué à ce genre de traquenards. Un pilleur de tombe, sûrement. Je me méfiais. A tort ou à raison, je le saurais bientôt. J’entendis ses pas se rapprocher, et sa voix. C’était un homme. Il parlait à un autre. Papoulos. Ce nom me disait quelque chose. C’était un des autochtones habitant les villages près de l’Entrée des Enfers pour les Mortels, il me semble. Oui, c’était sûrement lui.

Je sursautais quand l’individu entra. Il avait une torche à la main, mais je ne distinguais pas clairement son visage. Par contre, sa veste oui. Dans un mouvement de panique, enfin, un mouvement précipité plutôt, j’enflammais la veste qui devait avoir l’air de partir en cendres, pour le mortel. En réalité, elle se retrouva un peu plus loin, bien pliée, sur mes draps en désordre.

« Il y'a quelqu'un ? Je ne vous veux aucun mal ? Je suis le docteur Jones de l'université de Seattle, et je ne suis nullement un pilleur de tombes... m'enfin...! »

Docteur Jones ? Ce nom ne me disait absolument rien. Mais rassurée par ses paroles (après tout, s’il dit ne pas être un pilleur de tombes, ça doit être vrai, non ?), je me dévoilais. Les ombres glissèrent sur moi, livrant ma présence à l’inconnu.

« Et bien, docteur Jones, il est rare de voir un humain qui ne soit pas un pilleur de tombes entrer dans un temple. »

Je fis quelques pas en sa direction, restant malgré tout sur mes gardes. Il paraissait inoffensif comme ça, mais les humains sont tous trompeurs, n’est-ce pas ? J’esquissais un sourire en voyant le trident de mon père fièrement exhibé.

« Elle est admirable, n’est-ce pas ? C’est une relique inestimable pour un mortel, je me trompe ? »

Je fis quelques pas de plus, avant de planter une main sur ma hanche, laissant l’autre bras ballant, mon regard azuré fixant le docteur Jones avec curiosité.

« Est-ce pour cela que vous êtes ici, docteur Jones ? »

21
Le Styx / Re : Démon sexy sur son dragon noir, à la rescousse. [Stephen Connor]
« le: mercredi 17 septembre 2014, 18:44:25 »
« Il est assez fréquent que l’on propose ce genre de choses. Pour les démons qui ne peuvent quitter les Enfers, c’est le meilleur moyen de passer le temps. »

Je comprenais en effet que, pour quelqu'un de bloqué à un endroit, le sexe soit un exutoire de choix. C'est tellement... Délicieux, que je n'avais aucun mal à imaginer faire ça dès lors que je m'ennuierais. Enfin, encore faudrait-il que j'ai un partenaire à cet instant. Autre que les zombies de mon père.

Serrée contre Helel, je me plaisais à imaginer de nouveau ses mains courant sur mon corps, son torse puissant plaqué contre ma poitrine, ou contre mon dos, tandis que son membre rigide me propulserait vers les limbes du plaisir. L'excitation revenait, malgré l'appréhension. Et ces nouveaux fantasmes qui prenaient forme dans son esprit l'étourdissait. Elle pouvait détailler à loisir le dos de Buer qui était un peu plus loin, et son imagination fit le reste, l'imaginant la partager avec Helel, lui faire connaître mille et un délices qui existaient...

« Je ne serai pas le seul enseignant, tu sais ? »

Je retiens un sourire tandis que je hochais la tête. J'imagine que son ami, celui qui ressemblait à un lion, ne serait pas en reste. Mon sourire s'agrandit dès lors que le démon à mes côtés s'appropria de nouveau mon fessier. Cet instinct de possession me plaisait plus que je ne saurais l'imaginer.

Reportant mon regard sur Buer, il me surprit en tournant la tête. Les yeux plongés dans les siens, je restais un instant comme fascinée. Et quand il se retourna de nouveau, qu'il joua de ses muscles... Un frisson me parcourut. Je me serrais contre Helel en ne pouvant détacher mes yeux de ces muscles impressionnant qu'il faisait jouer. Mon imagination s'emballa. Elle ne fut refrénée que par la voix de mon amant, contre mon oreille.

« Je pense que tu auras un franc succès. Cela veut dire un grand nombre d’attentions. Et quand nous nous occuperons de toi, tu n’auras plus à avoir peur. Tu auras juste à bouger doucement contre nous, ma belle. »

L'idée d'être l'attraction de la journée n'était pas déplaisante. Un peu impressionnante, mais la présence d'Helel à mes côtés donnait à cette appréhension un soupçon de désir. De curiosité. Oui, j'avais envie d'essayer. Et il se montrait si prévenant... Je me mordillais les lèvres en souriant, plongeant mon regard dans le sien. Je me plierais à tout ce qu'il me demandera. Surtout s'il s'y prends toujours avec cette voix, cette attitude...

Je retins un petit soupir quand on s'arrêta, et mon attention se reporta devant moi. Mais plus sur Buer. Elle se focalisa sur ce que je pus voir dès qu'il ouvra les portes. Rien que le décor, c'était magique. Magnifique.

« Je vois que l’on ne m’a pas attendu pour commencer ! »

Mon esprit calcula alors que les personnes présentes ne se contentaient pas de se baigner. Non. Elles faisaient des activités autrement plus érotiques. Les corps entremêlés provoquèrent un énième frisson de ma part, et mes lèvres s'entrouvrirent. Je parcourais la pièce du regard, tombant à chaque fois sur une scène osée, torride... Excitante. L'atmosphère qui imprégnait les bains était presque aphrodisiaque. Ça respirait la luxure à plein nez.

Mon attention ne fut distraite que par le bruit des portes qu'Helel venait de refermer, et par Buer qui venait poser ses grandes mains sur mon corps nu. Voyant le pagne un peu plus loin, mon regard glissa brièvement, avec curiosité, sur ce qu'il cachait auparavant. Je ne le vis pas, comme la main du démon léonin me faisait relever la tête vers lui, mais je le sentis contre moi. Je m'abandonnais au baiser sans résister, mes mains se posant sur le torse nu avec un soupçon d'hésitation.

Un gémissement m'échappa, s'étouffant contre les lèvres de Buer, quand Helel s'approcha à son tour. Je me sentais si petite, si fragile entre ses deux êtres dont la puissance n'était pas à prouver... Se sentir aussi démunie, physiquement, m'excita. Et je me cambrais, répondant avec une passion aussi fraîche qu'innocente au baiser du lion, savourant le contact du Grand-Duc Infernal contre mon dos, contre mes fesses.

« Joue avec moi. »

Me mordillant la lèvre après qu'il eut rompu le baiser, je ne résistais pas quand il amena ma main contre la rigidité que je sentais depuis tout à l'heure contre mon intimité. J'enroulais mes doigts autour, ma main droite explorant les muscles des épaules de Buer, coulant sur ses pectoraux et ses abdominaux pendant ce temps.

Je me demandais un instant ce qu'il voulait demander, par sa phrase, mais mon instinct prit le dessus, repoussant ma capacité de raisonnement dans ses retranchements. Je repoussais doucement le démon fauve d'une main, juste assez pour que je puisse me pencher en avant. Mon fessier se frotta ainsi contre la virilité d'Helel, tandis que mes lèvres s'approchaient de ce nouveau membre. Mes mains jouèrent un peu contre la raideur masculine, mais bien vite, c'est mes lèvres qui se l'appropria. Mes doigts venaient jouer avec les bourses qu'ils découvrirent en poussant l'exploration, les massant et les palpant avec fermeté.

Suçotant d'abord l'extrémité violacée, je m'enhardis par la suite et j'aspirais une grande partie du chibre bouillant entre mes lèvres. Ma langue se fit un plaisir de découvrir la surface qui se glissaient ainsi dans ma bouche, s'enroulant autant qu'elle pouvait autour de cet organe palpitant. Je pris bien garde à ne pas laisser mes petites dents pointues râper sur la chair. Je ne désirais pas faire de mal. Je ne voulais que provoquer du plaisir. Comme pour Helel tout à l'heure, je voulais qu'il soit fier de moi, qu'il prenne son pied tandis que je le suçais.

De temps à autres, je ressortais l'engin d'entre mes lèvres, venant déposer des baisers contre la longueur, cherchant à aspirer un peu les testicules dont s'occupaient mes doigts de la main droite, avant de revenir sur cette hampe tendue qui déformait mes joues à chaque fois que je la faisais pénétrer plus loin contre ma langue, dans ma gorge.

Je relevais finalement la tête, sans cesser d'onduler de mes hanches pour frotter contre le Grand-Duc, et mes lèvres tracèrent un sillon humide en remontant contre son torse tandis qu'une de mes mains s'agrippaient à lui pour le rapprocher au fur et à mesure. Mon autre main était revenue s'enrouler autour de la masse de chair rigide, et je déposais une myriade de baisers contre la peau de Buer, remontant sur ses clavicules et dans son cou en me haussant sur la pointe des pieds.

Se faisant, en contractant mes muscles, je serrais doucement la virilité de mon précédent amant entre mes fesses, entre mes cuisses.

« Montrez moi... Le plaisir des orgies... S'il vous plaît... Soufflais-je doucement, relâchant mes muscles pour venir me reposer doucement contre le torse du Grand-Duc. »

Le flamboiement de mes cheveux s'était calmé, et ils avaient repris leur couleur d'un bleu nuit très sombre. Mais nul doute que quand l'intensité du plaisir repointera le bout de son nez, ils vont redevenir un brasier vivant inoffensifs. Déjà, l'excitation faisait son chemin en moi, me rendant plus que moite de désir.

22
« Tu sais qu’on nous observe. Je suis sûr que l’idée te plait, pas vrai ? »

Un soupire approuva les dires du démon. Moi qui ne connaissait que la théorie, et encore, j'était incroyablement excitée par la lance d'Helel qui me faisais chavirer comme jamais. Et savoir qu'en plus, on était observés... Je ne pensais pas pouvoir être émoustillée à cette idée, mais c'était étonnamment le cas.

J'appréciais également le fait que mon amant me prenne de façon à laisser le voyeur découvrir toutes les courbes alléchantes de mon corps. Agrippée à lui, je ne retenais pas mes cris, et je lâchais même la bride à ce pouvoir étrange que j'avais d'illuminer ma crinière d'ébène.

« Helel. Je ne suis pas étonné. Tu ramènes toujours les plus jolies diablesses des enfers. »

Je ne savais que ressentir à cet instant. D'un côté, j'étais bouleversée par le plaisir qui dévastait toute trace de raison en moi. Entendre la voix résonner non loin me donnait encore plus envie d'explorer ce domaine que je ne connaissais que mal. Mais en même temps, une légère pointe d'appréhension venait troubler ce raz-de-marée de sensations. Et si elle n'aimait pas ?

Cela dit, la pointe d'appréhension s'évanouit au coup de rein suivant d'Helel. C'était un maître du plaisir, il savait ce qu'il faisait. Et elle n'avait pas de raison de douter. Elle lui faisait confiance.

« Je suis assez déçu à l'idée que tu gardes cette sublime créature pour toi. Je me rendais justement à la salle des bains, bien attristé d’être seul. Il n’est pas bien vu de se présenter non-accompagné, pour participer à une orgie. »

Le rythme de ses coups de boutoirs ralentit alors, et le plaisir brumeux qui envahissait mon esprit se dissipa légèrement. Juste assez pour me laisser reposer les pieds sur la terre ferme sans trop flancher. Un sourire un peu timide ornait mes lèvres tandis que je me collais contre Helel.

« Pas besoin de m’en dire plus, Buer. Moi et ma charmante compagne t’accompagnerons à ta petite fête. Je ne voudrais pas que tu passes pour un pingre. Je pense que mon invitée sera ravi de découvrir comment les nobles du Palais se divertissent. »

La déesse que j'étais frémit lorsque le séduisant démon agaça la pointe de l'un de mes seins. Je me décrispais assez vite en tournant la tête vers le démon que connaissait bien Helel, apparemment. J'avais peur de tomber sur un stéréotype démoniaque. Certes, je n'avais aucun préjugé, mais quelques heures encore avant, j'étais vierge, et l'idée d'être malmenée par un démon avec une peau en cuir rouge, des cornes pointues et une langue fourchue, ça ne m'attirais guère sur le moment.

Mes mains vinrent chercher le réconfort du corps du démon brun à côté de moi alors que mon esprit enfiévré imaginaient milles et un scénarios. Ils parlaient d'orgie. Le regard que je posais sur l'espèce de lion humain était partagé entre la crainte et l'excitation. Je ne parvenais pas à me défaire de ce besoin charnel que je venais de découvrir. Même si j'avais un peu peur de l'inconnu, de ce qui allait se passer, je ne pouvais m'empêcher de souhaiter le découvrir, de sauter à pieds joints dans un tourbillon de félicité comme Helel m'en avait montré un large aperçu.

« La salle des bains est un choix excellent, qui plus est, vous êtes en sueur. A tout de suite, dans ce cas. »

Je ne montrais aucune réaction malvenue quand l'homme qui m'était inconnu palpa ma poitrine sans prendre de gants. Étrangement, un frisson d'excitation me parcourut, faisant se dresser à nouveau la pointe de mes seins. Il s'éloigna finalement, donnant rendez-vous au couple un peu plus tard.

« Je te rassure, tu ne seras pas la seule femme là bas. Ne prends pas tes vêtements, les esclaves de Buer nous ramèneront de quoi nous habiller après l’orgie et le bain. »

Un sourire éclaira mon visage, et je ne pus m'empêcher de demander en emboîtant le pas de du Grand Duc :

« Est-ce... Une coutume courante ? »

Pas que ça me déplaisais. La présence d'Helel à elle seule me rassurais. Et puis, j'étais quand même une déesse. Si quelque chose me gênais, je n'avais qu'un claquement de doigt à faire. Je ne craignais pas pour ma vie, ou pour mes sentiments. J'étais certaine que tout ce que j'y découvrirais me plairais. Mais j'étais curieuse.

« J'ai l'impression que je n'ai encore rien vu de la diversité de ton monde, Helel... »

Mon sourire se fit mutin, avant que je ne me penche vers lui pour susurrer :

« Mais je suis certaine que tu vas te faire un plaisir de m'enseigner tout ce que je dois savoir, n'est-ce pas ? »

Un petit rire suivit ma question, et je continuais de marcher, ondulant lascivement des hanches contre mon amant, vers une destination qui me semblait être une porte ouverte sur un plaisir encore plus grand.

J'avais l'impression d'être une enfant qui découvrait le monde. J'étais aussi emballée par la nouveauté qu'émoustillée par le désir, et les sensations enivrantes qui me prenaient quand le Grand Duc me touchais, m'embrassais, me prenais... J'enroulais un bras autour de la taille du brun, mes doigts venant caresser distraitement la hanche nue tandis que nous approchions des bains. Devant nous, le démon félin exerçait une attraction irrépressible. Je ne pouvais m'empêcher de détailler sa musculature, la force qui émanait de lui, sa démarche suave et prédatrice... Il était différent d'Helel, mais tout aussi attirant. Tout aussi viril et puissant.

« Je suis curieuse de voir, de ressentir, de connaître une orgie. Mais..., commençais-je à mi-voix. Mais je ne peux pas m'empêcher de... D'avoir peur. C'est irrationnel, n'est-ce pas ? Terminais-je en riant doucement. »

23
L'Enfer / Un trésor bien gardé [Indiana Jones]
« le: mardi 09 septembre 2014, 16:34:58 »
Trônant dans une vitrine, illuminée par des lampes qui brûlaient jour et nuit, la fourche à deux branches d'Hadès étincelait dans ma chambre. Moi, Cindy Terreur, demi-déesse et fille d'Hadès. Il me l'a offerte quelques jours auparavant, pour me féliciter d'avoir été sage ces derniers temps. S'il savait. Mes escapades se sont révélées exaltantes. Un tour aux Enfers avec un démon tellement sexy que ce devrait être interdit, qui m'a appris des tas de choses du le sexe (j'en frémis encore, rien que d'y penser), et un petit tour sur l'Olympe, avec un de mes nombreux cousins, Oneiros. Non, vraiment, c'était de superbes sorties que je n'oublierais pas de sitôt.

Allongée sur mon lit, j'observais d'un air songeur l'arme favorite de mon père. Toute en or, elle était le joyaux de la décoration de ma chambre. ... Bon, la seule décoration, en fait, si on omet les diverses cheminées où brûlent les flammes de l'Enfer. Mais ça me convient très bien.

Habillée de mon habituelle robe-toge grises faites de voiles semi-transparents, je savoure pour une fois l'inaction. Je n'ai pas envie de désobéir à mon père cette fois-ci. Il a été tellement gentils de m'offrir son arme favorite... On raconte qu'elle peut faire mille et un miracles. C'est une arme redoutable, entre les mains d'un dieu, à n'en pas douter.

Me prélassant sur mon lit, je m'endormais à moitié, en rêvant de diriger maintes et maintes batailles, armée de ce trident un peu particulier comme il n'a que deux dents, et habillée d'une armure d'or, scintillante dans le soleil couchant. Quand soudain, un bruit me perturba.

Silencieuse, je me glissais jusqu'à l'entrée de ma chambre. On voyait nettement, en entrant dans la pièce, le trident qui brillait, comme pour attirer l'oeil. Si quelqu'un entrait, il ne me verrait pas. Je me tiens prête, saisissant un gros chandelier dont la bougie n'était pas allumée, pour me protéger.

24
C'était tellement bon de le sentir en moi... Je l'accueillais tout au fond de mon être. Si loin, que j'en ressentis une pointe de douleur. Mais, mêlée au plaisir, ça ne faisait que m'émoustiller un peu plus, si c'était possible. Je me mordais la lèvre en gémissant. Empalée sur son sexe tendu, frissonnante, je fermais à demi les yeux, en le sentant bouger en moi. Explorer mon intimité avec force, et précision, semblait plaire au démon autant qu'à moi.

« Tu étais aussi impatiente que moi, petite pute. Ma queue te plait-elle donc à ce point ? »

Je gémis en réponse, m'accrochant plus vigoureusement à lui tandis qu'il m'embrassait. Je lui offrais ensuite mon cou, mon corps, sans restriction, m'arc-boutant contre lui, resserrant instinctivement mes muscles pour le serrer entre mes parois vaginales.

Je respirais à plein poumon son odeur, penchant la tête vers son cou à lui, venant l'embrasser à mon tour, taquinant son dos de mes doigts agiles. Je murmurais mon plaisir, susurrant son nom, mes dents venant mordiller délicatement le lobe de son oreille avec malice.

« Je te veux toute entière… Je veux chaque parcelle de ton corps. »

Redressant la tête à ses paroles, ouvrant les yeux, je lui souris. Tendrement, affectueusement. Le regard embrumé par le plaisir, je me mordillais la lèvre avant de tendre doucement la tête et de darder la pointe de ma langue entre mes lèvres, venant caresser les siennes.

Puis je lâchais un cri de plaisir pur quand il commença à remettre plus d'ardeur dans nos ébats, et je me cambrais à nouveau entre les bras d'Helel. J'aperçus la première le voyeur, mais je ne m'y attardais pas. Je préférais me concentrer le le virile démon qui me possédait physiquement. Je brûlais de l'intérieur tant le désir était ravageur, dévastateur.

« Tu as vu ? Je savais bien qu’on allait finir par nous voir. Mais je dois bien avouer que je comprends cet homme. Tu es si belle, et tu es encore plus excitante quand je te baise. Alors autant lui donner un beau spectacle. »

Je lâchais un autre cri, sous le charme, adorant quand il me pénétrait ainsi, sauvagement, passionnément. Je m'agrippais de nouveau à lui, féline et sensuelle. A chaque coup de rein qu'il assénait, je répliquais en bougeant mes hanches contre les siennes. Je me frottais comme je pouvais contre lui, m'enhardissant à mesure que le temps passait.

« Crie. Crie que tu es à moi, que tu aimes mon chibre. »

Je m'exécutais sans tarder, alors que le plaisir m'envahissait de nouveau. La boule brûlante au creux de mes reins enflait de nouveau, faisant bouillir mon sang de désir, de passion.

« Aaah... Oui, aaaah ! J'aime ça ! Mmmm... Helel... Encore ! »

Je frémissais contre lui, et ma peau nue luisait de sueur à mesure que le temps passait, que la chaleur montait et que le désir liquéfiait mon esprit de raisonnement.

« J'aime quand tu plonge ton sexe au plus profond de moi... Oooh... Mmmm... »

Je crispais mes doigts contre ses épaules, oubliant presque l'inconnu voyeur, alors que mon corps ondulait contre celui du démon, alors que sa verge dressée m'empalais à chaque coups de reins.

« Helel... Ouiii..., criais-je finalement, quand à nouveau, la vague de l'orgasme me submergea. »

J'agrippais la nuque de mon amant avec force, venant sceller nos lèvres dans un baiser langoureux, que je rompis en soufflant d'une voix presque brisée par la jouissance :

« Je t'appartiens toute entière Helel... »

Je mordillais sa lèvre inférieure, gourmande, et avec affection. Je brûlais littéralement de plaisir, et ma chevelure s'enflamma soudain. Les flammes bleues léchaient ma tête sans me brûler, sans brûler Helel non plus. Inoffensive, elles étaient surtout impressionnantes, et jetaient une lueur bleuté sur la scène.

Le démon me faisait découvrir le plaisir suprême, et je ne l'en remercierais jamais assez pour ça. J'étais toute à lui, comme je le lui ait dit. Tant que j'étais dans ses bras, je ne lui refuserais rien.

25
Prélude / Re : 50 Fessées sur votre cul, Mesdemoiselles.
« le: dimanche 24 août 2014, 19:34:17 »
Haha, bienvenue Mr Grey :)

26
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 23 août 2014, 19:42:09 »
J'accepte le cookie :D

19h43

27
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 23 août 2014, 18:42:15 »
L'humain est généralement un coussin confortable pour les chats.

Non, non, je ne parle pas en connaissance de cause.

17h43

28
Je n'étais pas une pro, dans ce domaine, mais mon envie d'apprendre à faire plaisir à ce délicieux mâle rattrapait aisément les choses. Docile, presque affamée, je luttais pour réussir à le prendre entièrement en bouche.

« Hmf, plus profond ! Je veux sentir ta gorge autour de ma queue ! »

Je réprimais un toussotement, quand je le sentis à l'orée de ma gorge, et mes yeux s'humidifièrent légèrement. Mais le contact de ses grandes mains contre mes cheveux me poussa à me dépasser, et je gémis alors doucement. Ce n'était pas désagréable. Nouveau, mais... A en juger par les réactions de mon corps, j'aimais ça. La pointe de mes seins s'était tendue à nouveau, et entre mes cuisses, outre le sperme qui coulait doucement, je sentais une humidité nouvelle. J'avais de nouveau envie qu'il recommence à me prendre comme tout à l'heure.

Mais je me concentrais sur son plaisir. Mes lèvres aspiraient l'organe palpitant entre elles, et je parvenais, une fois de plus, à l'amener taper contre ma gorge. Je n'étais pas avare en sons. Des gémissements discrets, étouffés, mais qui trahissaient le plaisir qui revenait, le désir qui s'enflammait.

« C’est ça, régale toi bien, je veux t’entendre la sucer comme une petite gourmande. »

Il n'allait pas être déçu. Je pris bien soin d'emmener son sexe au plus profond que je pouvais, mes mains restant à cajoler ses testicules pleines. Je mettais toute mon âme dans cette fellation, cherchant à lui faire plaisir. A... Le rendre fier ? Possible. Je ne savais plus que penser. Je n'avais conscience que de sa chaleur. De sa puissance. Du désir qu'il m'inspirait.

« Tu es magnifique. »

Le regard plongé dans le sien, alors qu'il avait son sexe plongé entre mes lèvres, je réprimais un sourire. Mais mes yeux pétillaient, et je mis même plus d'ardeur à le sucer, aspirant et jouant de ma langue contre sa longueur. Essayant de faire le tour de cette épaisse lance fichée entre mes lèvres, sans grands succès cependant.

Je tentais, après l'avoir retiré d'entre mes lèvres, de venir le serrer entre mes seins. Je ne savais pas si je m'y prenais bien. Mais sentir cette large queue enserrée dans la vallée de ma poitrine me rendit toute chose, encore une fois. Je me cambrais légèrement, et le questionnait d'une voix malicieuse pour savoir si mon "nettoyage" lui plaisait. Apparemment, c'était le cas.

« C’est assez propre pour que je le plonge une nouvelle fois dans ta petite chatte. »

Je lâchais un petit rire, tandis que je relâchais ma poitrine pour venir m'agripper une nouvelle fois au Grand Duc. Je m'étais réchauffée, mais pas le mur. La fraîcheur qu'il avait toujours me poussa à lâcher un petit cri. Mais largement approbateur, ce cri.

« Lève ta jambe. »

Je ne rechignais pas à m'exécuter, et bientôt, ma jambe se releva pour s'agripper aux hanches du démon. J'étais souple, ça ne posait aucun problèmes. Je restais malgré tut à me maintenir à lui, mordillant ma lèvre inférieur pour réprimer un gémissement quand je sentis sa virilité nouvellement nettoyée, lubrifiée, heurter mon intimité.

Mon regard ne lâchait pas le Grand Duc. J'étais tellement impatiente de le sentir à nouveau me remplir que l'une de mes mains glissa le long de son épaule, de son torse, pour venir enserrer son vit brûlant et le guidant vers mes lèvres intimes au moins aussi bouillante. D'un coup de rein, revenant m'accrocher des deux mains à lui, je m'empalais sur cette verge tendue, et un long soupir satisfait coula de mes lèvres rougies.

« Helel... »

Ma voix était légèrement rauque. Je m'éclaircis la gorge avant de reprendre.

« Prends-moi.. Encore... Hm... Je t'en prie... »

Prends-moi fort, auraient pu être les paroles qui s'échappaient de mes lèvres. Je m'arquais contre lui, cherchant sa chaleur, sa puissance, mon dos reposant contre les briques froides du mur.

Un mouvement capta mon attention, du coin de l'oeil. Un passant, visiteur indésirable. Mais je n'avais cure d'être vue, et mon attention revint bien vite vers Helel. Mon très cher démon... Je suis peut-être une déesse, mais rien ne m'empêche de l'appeler maître dans l'intimité de nos ébats. Je lâchais d'ailleurs ce qualificatif, dans un souffle, alors que je m'appuyais contre lui pour le ressentir au plus profond de moi.

« Mon très cher maître... Hmm... Helel... »

Mes hanches bougeaient d'elle-même, engageant un rythme langoureux. Je ne faisais plus attention à la silhouette qui s'était arrêtée pour observer, ni à la fraîcheur du mur derrière moi. Je n'avais que le regard du Grand Duc en face de moi, et sa queue fichée en moi.

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Blabla / Re : Les personnages fictifs avec qui vous aimeriez RP
« le: jeudi 07 août 2014, 19:20:19 »
Aah, oui **

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Blabla / Re : Les personnages fictifs avec qui vous aimeriez RP
« le: jeudi 07 août 2014, 18:50:26 »
Ce serait sympa, un RP avec Gregory House, ou, dans un autre registre, Le roi scorpion incarné par Dwayne "the rock" Johnson :)

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