Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Marcus Baritello

Pages: [1]
1
Les terres sauvages / Piège en haute terre [PV: Sakuya Enjou]
« le: mercredi 24 juin 2015, 19:11:32 »
Marcus aime voyager et arpenter le monde de Terra. Comme beaucoup le savent, la raison première de cet enjouement n'est pas l'augmentation de ses connaissances géographiques mais plutôt simplement pour éviter, le plus souvent possible, de se trouver au manoir Baritello, au grand désespoir de son père qui ne sait plus comment convaincre son fils d'embrasser le commerce d'esclaves sexuelles haut de gamme, la profession familiale depuis de nombreuses générations. Cartographe et aventurier, le jeune héritier préfère découvrir de nouvelle civilisation ou explorer de mystérieuses ruines.

Armé d'une « carte au trésor » achetée au marché noir de Nexus à un mystérieux personnage, Marcus monte immédiatement une énième expédition. Celle ci va le mener dans un dangereux territoire des terres sauvages,  où le chaos est encore le seul maître des lieux. Mais seulement, cette fois, son père lui a coupé  les vivres et lui a interdit l'emploi de ses serviteurs pourtant nécessaires à cette mission dangereuse. Qu'à cela ne tienne, Marcus n'a pas baissé les bras et a puisé dans ses fonts propres pour se payer l'une des meilleures escrimeuses et chasseuses de monstre de la cité. Celle ci lui avait été recommandée par une sorte de moine/guerrier rencontré dans la bibliothèque pendant ses recherches pour la préparation de son voyage. Son nom est Sakuya Enjou. C'est une jeune femme au physique irrésistible. Celle ci accepta positivement la mission principalement parce que leur destination était un territoire propice pour aller combattre le chaos là où il se terre.

Préalablement à leurs départ et pour tester leurs compétences mutuelles, les deux jeunes gens se défièrent en duel à l'escrime dans la cours intérieure de la demeure Baritello. La belle aux cheveux rose n'eut pas de mal à résister aux attaques du jeune homme. Elle réussit même à le désarmer plusieurs fois et à esquiver les bottes secrètes du jeune bourgeois. Rassuré par ses compétences techniques et physiques, Marcus engagea Sakuya sur l'heure comme garde du corps personnel pendant la durée de cette expédition.

Les deux voyageurs ne rencontrèrent aucune difficulté à quitter le royaume. Les problèmes commencèrent une fois dans les terres sauvages. Ils durent faire face notamment à une tribus de cannibales affamés, à des gluants monstres des marais et à des plantes géantes carnivores et tentaculaires. Ou, plus loin encore, fuir devant un géant des montagnes en rut. Lorsqu'ils arrivèrent enfin à destination devant la sinistre entrée du donjon enterré renseigné par la mystérieuse carte au trésor...

A peine les premiers pas posés sur le dallage poussiéreux du souterrain qu'une herse se rabat lourdement derrière eux pour leurs barrer toute possibilité de retraite. Pris au piège, ils durent bien se résoudre à continuer leur exploration. Des torches allumées en mains, ils pénétrèrent dans les sombres profondeurs du sinistre édifice. Une lourde et lugubre ambiance intérieure leur impose un silence. A voix basse, Marcus fait état de son intuition à sa compagne de voyage.

- Je ne sais pas pour toi mais je crois que nous étions attendu ?

L'épée à la main droite et sa torche à la main gauche, le jeune homme ouvre la marche. Tous les passages sont condamnés, seul un chemin libre semble être l'unique voie à suivre dans les ténèbres. Celle-ci s'enfonce dans les profondeurs rocheuses d'une montagne. Il fait humide et une légère brise les informe qu'une sortie les attends probablement au bout de ce chemin.

Sur les parois de nombreux bas reliefs représentent des personnages diaboliques qui martyrise dans d'obscènes postures des jeunes et jolies femmes. Un étrange et incessant murmure vient rythmer leur progression. Ils ne sont pas seuls. Instinctivement Marcus se rapproche de Sakuya pour se rassurer. Il murmure à nouveau.

- Où penses tu que l'on soit arrivé ? Tous ceci ne me dit rien qui vaille.

2
Ville-Etat de Nexus / Pas folle la vache ? [pv Marguerite]
« le: samedi 14 février 2015, 10:46:23 »
Dans sa grande chambre, Marcus et Rachel, sa préceptrice, rient à gorge déployée. Il est vrai que la situation justifiait une telle hilarité. Marcus, comme à son accoutumé, racontait des blagues salaces à sa meilleure spectatrice, sa nounou adorée.

Attend, hi hi hi. Et celle là ! Tu la connais ?
Pourquoi les vaches font-elles une drôle de gueule?


En bon public, Rachel toujours aussi amoureuse de son jeune maître, joue le jeu.

Heu, je ne sais pas moi? Parce qu'elles n'ont pas la chance de t'avoir comme amant ?

Marcus sourit et prend avec plaisir le compliment.

Non ce n'est pas ça. Mais merci quand même.

Avec légèreté, il lui délivre la chute de sa blague.

Je voudrais bien t'y voir, toi, si on te tirait sur les seins quatre fois par jour...
...et que l'on te baisait qu'une fois par an !


Mais cette fois on n'entends que le rire unique du jeune homme. "Oups. Ça, c'est fait!", pense t'il. Il avait mît le doigt là où cela fait mal. Il savait pourtant combien, Rachel souffrait de ne pouvoir lui faire l'amour parce que Marcus s'interdisait ce plaisir soit disant par respect pour elle et ses prédécesseurs. Du moins, tant qu'elle serait esclave. Mais la libérer reviendrait à la laisser partir et aucun des deux ne veux se séparer.

Je suis désolé ma chérie, je ne voulait pas...

Ne cherchant pas à dramatiser inutilement, la cowgirl, d'âge plus mûre que son jeune maître, tempère en lui caressant tendrement la nuque.

Ce n'est pas grave, mon chou. Je sais que tu ne l'as pas fait exprès.

Alors que les deux amis allaient s'offrir un chaste baiser de réconciliation, quelqu'un frappe vigoureusement a sa porte. C'est, Octave, le majordome qui, planté derrière la porte, n'attend pas qu'on vienne lui ouvrir pour crier son message à travers la menuiserie.

Monsieur le jeune Maitre, je vous prie de bien vouloir m'excuser mais votre père vous fait appeler à l'entrée séance tenante!

Les lèvres des deux amis s'immobilisėrent juste avant de se toucher. Marcus est le premier à grommeler tout en s'exécutant. Marcus fait, peu être trop vite, le lien avec ses dernières discussions familiales.
Zut ! Je suis sûr que c'est encore pour me persuader d'épouser cette vieille peau plate comme une planche à pain de Joséphine de Beaucarmet. Je ne sais pas dans quelle langue je dois lui dire pour qu'il le calligraphe une bonne fois pour toute dans sa caboche. Je ne l'épouserais pas !

Il abandonne à regret sa chambre et son amie pour suivre le domestique jusqu'au hall d'entrée persuadé d'y trouver son père en compagnie de la vieille prétendante. Le jeune héritier est à peine arrivé sur place que son père, Irialo Baritello lui présente une tout autre invitée. Décidé à tuer le mal dans l'œuf, Marcus s'apprête à vivement protester lorsque sa bouche reste bée de surprise et qu'aucun son n'en sort. Son père en profita pour commencer les présentations.

Tiens, je t'offre ce présent. Comme elle ressemble un peu à ta préceptrice, j'ai pensé qu'elle pourrait te plaire aussi. Sur les papiers, elle s'appelle Marguerite !

Devant Marcus, se tient une jeune terranide vache qui lui affiche un large sourire  tout en lui faisant un coucou innocent de la main. Sans attendre la réaction de son fils qui de toute façon semble comme paralysé, Irialo se tourne vers la belle cowgirl et dit tout aussi froidement.

Marguerite, je te présente ton nouveau maître, mon fils. Marcus Baritello.

Habillée de façon très sexy de vêtements blancs à pois noirs, cette Marguerite est une jeune, grande, mince et belle cowgirl. De la même race que Rachel, elle possède également deux petites cornes sur la tête, une longue queue blanche en bas de son dos et, il fallait s'y attendre pour cette race très recherchée pour cela, une plus que généreuse poitrine. Ses grands yeux bruns et sa longue chevelure finissent d'agrémenter le charme naturel qui se dégage de ce cadeau inattendu.

Sur ce le père s'éclipsa vers ses préoccupations coutumières, laissant les deux jeunes gens ensemble dans le silence de l'immense hall luxueux de la résidence. Il fallut un bon moment au fils pour reprendre le contrôle de son corps et arriver à prendre une décision. Tout d'abord il ne pût articuler qu'un simple.

Salut ?

Qui avait plus l'air de résumer une question du genre " Qu'est ce que tu viens faire là et que vais je faire de toi, maintenant ?" Bien qu'il choisi d' ignorer la réponse que ses vigoureuses hormones mâles lui murmurent à l'oreille, il ne peut détacher son regard des énormes attributs que Marguerite porte naturellement. Il fallait pourtant bien faire quelque chose.

Heu,.. je suis en...chanté de faire ta connaissance, Marguerite. Tu... Tu es... Très jolie.

A croire qu'en présence d'une femme qui l'attire, il fallait qu'il perde l'usage de sa cervelle. Pourtant celle ci n'était pas en reste. De nombreuses questions s'imposaient à son esprit. Merde, où vais je la loger ? Quel fonction vais je lui attribuer? Pourquoi son père lui fait il une telle faveur ? Et Rachel que va t'elle penser de tout cela ? Préoccupé par les conséquences potentielles de cet événement inattendu, Marcus trouve la force d'inviter la jeune femme à monter les escaliers.

Mais je t'en prie, suis moi, je vais te montrer mes quartiers.

Après un moment d'hésitation, Marguerite fait un pas et fait tinter une petite clochette accrochée à son raz de fou. Surpris, il l'interroge tout en la conduisant à ses appartements, amusé par cette singularité.

C'est mignon. Mais à la longue cela ne te dérange pas ?

Arrivé devant sa porte, il ouvre le battant et invite poliment Marguerite à le précéder.
 

3
Ville-Etat de Nexus / Rusée comme une Kyuubitsune. [Canillia Mc’Winth]
« le: vendredi 09 janvier 2015, 02:15:23 »
Il est midi et le dîner est servis dans la splendide demeure des Baritellos, le plus riches vendeur d'esclave de Nexus. Les servantes sont aux garde à vous aux portes de la grande salle à manger. Trois précieuses chaises cernent une magnifique table ronde. L'une de celle-ci est désespérément vide. Le père Irialo Baritello et la mère ne sont pas surpris. Comme souvent, leur unique fils brille par son absence. Marcus s'est encore soustrait aux obligations familiales. Ce qui n'est pas pour améliorer sa relation avec son père. Mais où est il bien passé ? Pas auprès de Rachel, sa gouvernante. Car celle-ci le recherche d'un pas nerveux parcourant escalier et couloirs de cette trop grande maison.

Plus loin, dans les sombres sous-sols baignés de silence, le jeune héritier resserre ses mains sur les barreaux du cachot. Il n'en croit pas ses yeux. Son visage témoigne un profond sentiment d'admiration. De l'autre côté de la frontière du monde libre, derriere les froides grilles d'acier est allongée une jeune femme endormie. C'est une terranide renarde au cheveux et poils bleu. Mais ce qui émerveille plus précisément Marcus sont les appendices postérieurs de la prisonnière.

Aaaah ben te voilà, toi !  Poussin ! Cela fait une heure que je te cherche. Que fais tu ici dans les geoles, où sont les gardiens ? Tu vas encore avoir des ennuis !

Dit Rachel d'un ton agacé arrivant par derriere lui et claquant des talons, à travers le hall d'éducation ou de torture, suivant le point de vue. Marcus ne se retourne même pas et semble ne pas avoir entendu sa nounou entrer. Le jeune homme reste serein à observer la jeune femme allongée. Plus agacée encore par le déni de son pupille, la terranide bovine se plante juste dans son dos et cherche à comprendre son mystérieux centre d'intérêt. Comme s'il prenait enfin conscience de l'émotion négative grandissante chez son amie, le jeune homme répond d'une voix faible comme s'il fallait éviter de déranger la précieuse prisonnière.

Tu as vu ? C'est une Kyuubitsune. Elle a neuf queue. C'est la première fois que j'en vois une. Tu te rend compte ? Du fait de sa rareté, sa côte est encore plus élevée que la tienne sur les marchés.

Cette dernière phrase n'était pas pour plaire à la belle laitière. Vexée elle se croise les bras sous sa volumineuse poitrine la soulevant au passage. Elle relève fièrement le menton et rétorque.

Ppfff si tu me laissait te le prouver, tu comprendrais vite qu'aucune canidé ne m'arrivera jamais à la cheville.

Sa gouvernante vient de faire allusion aux nombreuses nuits passées avec son maître lors desquelles il s'était toujours refusé à elle. Oh bien sur ils ont déjà passé ensemble des heures d'infinie tendresse allant jusqu'aux attouchements sexuels tel que doigté, fellation, cunilingus, éjaculation, etc... mais, au grand damne de la délicieuse vachette, jamais de pénétration. Quel gâchis et quel comble s'était elle dit un nombre incalculable de fois car Marcus est bel et bien monté comme un taureau.

Tu sais bien pourquoi, Rachel. Et puis nous n'avons pas besoin de cela pour nous aimer.

Marcus venait à l'instant de désarmer son amie et de souffler sa mauvaise humeur. Elle se rapproche contre lui, écrasant ses seins contre le dos masculin. Elle lui passe ses bras autour de la taille. Leurs attentions étaient toujours captivées par la nouvelle "invitée". Rachel l'observe à son tour un peu mieux. Soudain, elle semble avoir compris l'attirance de son jeune maître. Elle lui murmure.

Elle lui ressemble beaucoup, c'est vrai. Elle te manque toujours n'est ce pas ? Mais Kõya est très heureuse là où elle est. Tu dois tourner la page.

Soudain, la belle endormie remue et gémi légèrement, elle semble se réveiller.

4
Royaume Terranide / Le bain de vérité [Asceltis]
« le: samedi 03 janvier 2015, 23:12:08 »
L'été est une si belle saison dans les territoires afrikaans dans les royaumes terranides. Tout particulièrement, l'immense jungle de Barad'dour après la saison des pluies. Elle y est tentaculaire. La vie y foisonne à profusion. Les fleurs y rivalisent de beauté et se concurrence à coup d'exotique parfums. Une faune mystérieuse y est omniprésente. De puissants rayons de soleil y dardent de multitudes traits lumineux perçant vaillamment la sombre frondaison des arbres. Ils offrent en spectacle aux aventuriers qui s'y risquent, des images de luxuriantes cathédrales de végétations soutenues par de magiques et éphémères piliers de lumière. Enfin, les nombreux chants d'oiseaux émis composent un chant unique en perpétuel renouvellement et aux innombrables refrains mélangés.

PICK ! Par contre, les insectes font vraiment chier ! CLACK ! Marcus vient de se gifler le menton pour à nouveau y chasser un énième invisible et douloureux indésirable. La petite expédition géographique dont ce dernier a pris la tête il y a un peu moins d'un mois progresse lentement à travers cet "enfer" vert. Celle ci, outre son jeune et richissime chef, n'est composée que de 3 autres membres. Il y a Kodiak; grand terranide homme tigre et guide expérimenté, il ouvre la marche au rythme de puissant coup de machette, ensuite, Gedeon Abediani; humain, la cinquantaine, vétéran, arbalétrier, maître d’arme et garde du corps de la famille Baritello depuis près de deux décennies, il veille à la bonne santé physique de son jeune maître. Et enfin Rachel, une terranide vache, la trentaine, esclave de maison, gouvernante et cuisinières de l'expédition scientifique, elle veille à la santé alimentaire et accessoirement morale du maître. Cette dernière journée de marche a été éprouvante mais sans aucun incident notable. Malgré la fatigue, l'équipée est de bonne humeur. En effet, depuis quelques jour, Ils sont enfin arrivés dans la zone de recherche. Mais surtout, confirmé par de nombreux indices, l'objectif semble à portée de main.

Pour la petite histoire, Il y a deux mois, Marcus s'était mis en tête de compléter les archives historique, géographique et culturelle de la grande bibliothèque de Nexus. Pourtant, le jeune héritier n'est pas précisément réputé pour exceller dans ces domaines de compétence. Il est plutôt fort à parier que les raisons pour ce subit regain d'intérêt sont biens autres que scientifique. En effet, le jeune aristocrate y a plutôt vu la double occasion de s'échapper le plus loin et longtemps possible de l'emprise de son tyrannique père Irialo Baritello et par la même, d'impressionner, si pas celui-ci, les courtisans à la cours de la reine.

Le voici donc au beau milieu des terres sauvages pour probablement, il l'espère, le dernier montage du campement. Pour cette nuit, ils ont choisis de dresser les tentes à l'abri du soleil dans le côté ombré d'une petite clairière à proximité d'un modeste cour d'eau au pieds du mont Joba. Gedeon termine l'installation des équipements de survie. Kodiak est parti chasser et Rachel prépare les couches tout en veillant au feu. Libre et enthousiasmé par les potentielles découvertes à venir Marcus décide d'aller repérer les nouveaux alentours. Il abandonne son sac à dos et en informe son maître d'armes.

Gedeon, je vais jeter un œil aux derniers vestiges croisés en chemin, je reviens !

Habitué aux escapades solitaires de son jeune maître, le garde du corps acquiesce facilement.

Bien monsieur, ne vous éloignez quand même pas trop !

Marcus ne répond pas et est déjà hors de vue de ses équipiers. Il n'est pas ce que l'on pourrait appeler un guerrier dans l'âme mais la curiosité et l'aventure sont des sirènes dont il ne peut résister aux appels. Flânant entre plantes fantastiques et pieds d'arbres gigantesques, il prend le temps de dé-végétaliser les nombreuses pierres camouflées par le temps qu'il dépasse. Ils sont manifestement entré dans l'enceinte d'une antique ville. En effet, les vestiges de celle ci sont éparpillés sur des kilomètres carrés. Ça et là, en signe d'avertissement, des faciès de héros ou de dieux oubliés grimacent à travers des rideaux de lianes et de lierres. C'est alors qu'au hasard de son errance, il tombe sur une sorte de tunnel végétal. Celui ci prend forme comme un sentier secret qui l'invite à monter le flan du géant minéral, Joba. Il hésite. Simplement équipé de bottes de marche, de braies en cuir, d'une chemise de lin de ton naturel, d'un gilet en cuir brun et pour toute arme sa fidèle rapière, il pourrait regretter les risques pris en cas de dangereuse rencontre inattendue. Mais une fois encore la curiosité l'emporte. Il s'engage sous cet étrange couvert feuillus. Nerveusement, le jeune pose la main sur le pommeau de sa rapière. Au bout, le tunnel débouche sur une petite esplanade minérale et moussue. Sans en douter, c'est une ancienne place pavée d'où démarre le pied d'un escalier monumental maintenant recouvert d'un tapis de mousse. Évidement, le curieux s'y engage. L'excitation grimpe chez Marcus. Il rêve de découvertes extraordinaires et de trésors mirobolant abandonnés par les autochtones. Les livres disaient vrai, l'ancienne cité sacrée d' Aphrodia existe bien et il est en train de la parcourrire. Deux à deux, il franchi les marches glissantes. L'escalier l'amène sur une sorte de parvis de bâtiment. Ce dernier fut manifestement d'importance. C'est une œuvre d'architecture exceptionnelle. Sans attendre, Marcus en franchi l'entrée, ou ce qu'il en reste. La taille de l'édifice est gigantesque. A l'intérieur, Les décorations sont fastueuses. Des statues cassées et des bas reliefs usés de femmes en couvrent les murs de marbres. Le jeune homme a l'intuition d'être tombé sur un temple d'une divinité très importante, probablement celui d'Anahit, déesse de l'amour, de la fécondité, de la beauté et de l'eau. Il est émerveillé de la richesse des détails. Ce splendide lieu sacré est hélas fort ruiné. Des pans de murs entier et des morceaux important de voûte son par terre. La nature reprend petit a petit ses droit.

Que s'est-il passé, ici ? Un tremblement de terre ?

Pense-t-il à voix haute. Quelques demis-niveaux plus loin, le ruisseau à côté duquel le campement a été installé en bas prend manifestement maintenant sa source au cœur même de l'édifice, à travers des sortes de thermes. Celles-ci faisaient partie intégrante du complexe divin. Les pieds dans l'eau, le jeune homme est ébahi par la magnificences cet établissement de bains. Dans ces bassins, l'eau est étrangement tiède. Il n'en faut pas plus pour lui donner l'envie d'en profiter. Après s'être débarrassé négligemment de tous ses vêtements, heureux du luxe extrême de pouvoir prendre un bain entièrement nu seul dans un lieu légendaire, Marcus plonge a l'eau...

5
Les alentours de la ville / Un long dimanche de fiançailles [Madison Broow]
« le: mercredi 25 juin 2014, 06:32:33 »
Chapitre un: La fille du sorcier...

La Délégation commerciale de la famille Baritello arrive au manoir du prince sorcier de la marche d'argent. Reçu avec raffinement, le père et le fils continue la visite de la somptueuse propriété en tête à tête avec l'archimage Graganiat. Le vieux prince vêtu d'une robe d'or rougeoyante les invite dans son salon privé. Une odeur âpre d'encens divers vient leurs titiller les narines. Les nombreux objets exotiques qui décorent cette grande salle obnubile l'attention de Marcus.
Soudain c'est au beau milieu d'une conversation entre son père et son hôte que, dans une brève explosion nuageuse, apparaît une inattendue « créature ».
Une fois les volutes de fumées complètement évaporées, les invités peuvent voir une sublime femme à la peau grise, aux cheveux blancs de glace et long, à l'opulente poitrine et presque entièrepment nue. Uniquement vêtue d'un string en chaînettes d'or et de diamant, la jeune beauté cornue se présente avec grâce aux visiteurs. Elle est plutôt sportive et très grande. En effet, malgré le gabarit élancé de Marcus même pour un homme, cette créature lui tient facilement tête. Ses gênes démoniaques sont à peine voilé; deux belles cornes lui jaillissent du crâne, deux ailes noires sont modestement repliées derrière ses épaules et enfin une longue queue ondule gracieusement derrière elle.

Bonjour messeigneurs, je suis Aréala.

Ah ! Je ne vous avais pas encore présenté ma fille. Ma grande et belle fierté. Elle héritera de tous mes biens après ma mort.

Explique le prince en caressant fièrement la joue de sa progéniture. Ce n'est pas difficile d'imaginer avec qui ce vieux pervers à pu procréer une telle créature. Il est de notoriété que pour se divertir quelque peu les magiciens et autres sorciers invoquent couramment des succubes. Son père, répond non sans un grand intérêt.

C'est avec ravissement que nous faisons enfin votre connaissance, demoiselle Areala.

Marcus flaire l'entourloupe convenue entre ces deux vieux magouilleurs - lui faire rencontrer une riche et belle héritière -. Seulement elle n'est pas assez "naturelle" pour lui. En toute réponse, il fait un simple signe de tête.

Va ma fille, fais visiter le reste de la propriété à notre jeune invite.

Le regard avide et le sourire presque carnassier que jeta la demi-démone sur le jeune héritier lui fit frissonner l'échine. Joignant le geste à la parole, elle le prend délicatement par la main...

Viens !

"Elle me tutoie déjà. Mauvais signe ça". Pense t- il. A peine ont-ils quitte la pièce sous le regard bienveillant des paternels que Areala lui dévoile ses véritables intentions.

Évitons la barbante énumérations des nombreuses pièces de ce manoir, je vais d'abord te faire visiter ma chambre. Viens c'est par là !

Elle l'emporte. Excitée de découvrir un nouveau jouet, la sublime beauté le tire par le poignet. Il n'arrive pas a s'y opposer. Quelque chose l'hypnotise en elle. Sa voix ? Son incroyable silhouette musclée ? Ou encore sa poitrine au volume surnaturelle ?

MMm t'es vraiment mignon. J'ai crains que tu ne sois un vil petit bourgeois grassouillet. Tu es à mon goût. Il ne me reste plus qu'à le vérifier dans mon lit avant notre mariage.

Ce mot le sorti immédiatement de sa contemplation. Mariage = Au secours. Sans prévenir et avec énergie, il se défait de son emprise. Dans la foulée il s'enfoui dans un des obscures couloirs de l'énorme bâtiment. Il courre. Elle le suit et l'appelle.

Marcussounet, n'ai pas peur, je veux seulement te baiser à mort.

Sa voix changea lorsqu'elle prononça les quatre derniers mots. Une voix lourde et grave. Comme sortie des profondeurs de l'enfer. Marcus jette un regard effrayé derrière lui et se met à courir plus vite,... le plus vite qu'il puisse. Il a vu, ou cru voir, une ombre entre ses cuisses. Comme un énorme pénis [contenu explicite] poindre d'envie... Il l'entend rire. Une course poursuite s'engage à travers chambres, couloirs, et... Arrivé dans le grenier du manoir, il trouve enfin une cachette salutaire. C'est une sorte de grand panneau de bois précieux richement décoré, aussi grand qu'une porte.

Mon petit lapiiiiin...

Sa poursuivante passe son chemin. Marcus n'ose plus bouger. Il se tait. Attend d'être sûr d'être seul. Après un long moment, il se redresse. Autour de lui, le grenier est une sorte de fourbi merveilleux ou s'entasse d'innombrables objet plus mystérieux les uns que les autres. C'est alors qu'il s'intéresse à l'objet responsable de son salut. C'est un grand miroir. Celui-ci est partiellement masqué par un voile sombre. Comme si l'on avait cherché à dissimuler son existence précipitamment. Curieux, il le dépose sous un nuage de poussière. Contre toute attente, son reflet, et uniquement son reflet, est absent de la surface métallique. Interloqué, le jeune homme touche la surface froide du métal. A ce moment, un tourbillon de lumière l'aveugle dans un assourdissant sifflement magique. L'instant d'après, aveuglé, il tente de retrouver ses repères les bras tendus...

6
Dictature d'Ashnard / Est ce grave docteur ? [Prima Cadenza]
« le: dimanche 11 mai 2014, 23:18:36 »
           
Dans une misérable taverne d'un village nordique d'Ashnard, «l'hydromel glacée»...
Un homme jeune, svelte et élégamment habillé est assis au bar. Depuis son arrivée, le jeune homme qui n'est manifestement pas de la région, n'a adressé la parole à personne, ni même pour commander un verre. Le tenancier, un grand et gros barbu boutonneux le reluque depuis son bassin où il défoule sa nervosité, un chiffon en main, sur sa vaisselle propre. De temps en temps, il jette un œil SUSPICIEUX sur l'étranger. Il n'est, en effet, pas difficile de le constater. L'allochtone est beaucoup trop bronzé et ses vêtements son trop léger pour le climat montagnard de la région.
C'est alors que deux couples de villageois entre dans la taverne pour s'y restaurer. Pendant que les hommes vont s'assoir confortablement au fond de la salle à une table près de l'âtre, de leurs coté, les deux jeunes et jolies épouses s'approchent du bar juste à coté de l'étranger pour commander à manger et à boire.
"Putain, qu'elles sont bonnes les meufs ici. Regardes moi ces gros nichons !"
Garuck, sers nous quatre plats du soir et quatre cervoises blanches à notre table habituelle. Merci !
Nerveux, l'inconnu se déplace alors de deux tabourets sur le coté. Ce comportement étrange attire l'attention des deux belles femmes. Elles jettent un regard étonné... puis intéressé sur le bel homme.
"Hey puceau, réveilles toi! Regardes comme elles te matent les deux cochonnes."
Celui-ci semble tout faire pour les ignorer. Ce qui ne leurs est pas coutumier. Le tavernier qui sent venir les ennuis tente de briser l'ambiance... D'une voix forte et autoritaire.
Et pour le Monsieur? Que puis je lui servir ?
"Mmmm miam, Je détecte que la blonde est jeune maman. Ses mamelles surgonflées sont pleines de lait. Ssllurrp J'ai soif !"
Après un long silence, Marcus répond...
Un...heu.. lait de mamelles... heu...De chèvre... Vous serez aimable mon brave.
L'accent le trahi. L'une des femmes en profite pour l'accoster.
Vous êtes Nexusien, n'est ce pas ? Que faites vous, si loin de votre patrie ?
"Tais toi!". Ce que craignait Marcus depuis leurs entrée était en train de se dérouler.
"Imagines ce que nous allons pouvoir faire avec toute cette bonne chaire." Au prix d'un gros effort, il fit face à la belle blonde aux yeux bleus, habillée de noir et rouge comme la plupart des ashnardiens, obligés de porter fièrement les couleurs de leurs nations. "Jeeee ne t'ecouuuute pas. Trilili la laaaaaa". Courtoisement, il répond... Un bref instant ses yeux glissent sur son accueillant décolleté.
N'ayez crainte, mes demoiselles, je ne suis pas venu vous envahir. Je suis ici pour raison personnelle.
Les deux femmes profitèrent sans attendre de la brèche... Sa compagne brune ne voulu pas être en reste et d'un ton espiègle...
Sans vouloir vous effrayer, vous êtes bien courageux de vous promener seul en plain territoire ennemi ! Nous sommes tentées de vous faire capturer par la soldatesque du prince noir. Vous vous retrouveriez vite fait, le collier d'esclave au cou.
Le tavernier intervient pour calmer le jeu en servant l'eau à Marcus.
"Nan mais tu en bandes, je le sais. Hahaaaa. Allez on se les fait!"
Allons allons mesdames, je suis certain que monsieur n'est que de passage. Ne soyons pas inhospitalier avec un civil non armé. Allez vous assoir auprès du feu, je vous sers dans une minute.
Mais la blonde renchéri... dévisageant Marcus des pieds à la tête, le rendant manifestement mal à l'aise.
Aaah mais, je crois que mon amie parlait uniquement d'un certain type d'esclavage. Ce serait du gâchis de fouetter et de salir un si joli minoi. Mais dites moi quel sont ces affaires personnelles exactement ? Vous comprenez nous nous devons de déceler toute tentative d'espionnage. D'ailleurs, je me dévouerait bien pour exécuter l'interrogatoire.
Les deux amies éclatent de rire de mettre le jeune homme plus encore dans l'embarras.
Marcus vide son lait d'un trait et fait mine de s'en aller...
Excusez moi mesdames, je dois absolument y aller.
Le nexusien se lève mais hésites. "Et puis zut faut bien que je sache".
Juste une question avant de vous quitter. Savez vous où je peux trouver un ou une sorcière qui habiterait un château dans la région?
A peine étonnées du sujet de l'interrogatoire. La brune répond la première...
Il y a bien le château de comtesse Prima Crucius Madonna ... La demeure comtale des Crucius est juste ici à la sortie du village face à la vallée. Mais il n'est pas question de sorcellerie la bas!
Son amie blonde de préciser...
Quoi que, certains disent que sont éternelles jeunesse et beauté ne peut être le bénéfice de la nature. Mais pourquoi cherchez vous un sorcier messire l'étranger?
C'est alors que Marcus lâche prise, le satyre prend, une fois encore, le dessus sur sa volonté épuisée. Marcus le satyre répond alors d'une voix odieusement vulgaire...
Point besoin de sortilège mesdames pour vous culbuter à l'instant. Et...
Le menton levé, Il hume l'air d'une bonne inspiration nasale...
Mmmm Je sens que vous en mouiller d'envie depuis que vous avez posé vos regards sur moi. Vos deux petites chattes en pleurent. Dès lors, en chevalier servant que je suis, je vais vous satisfaire toutes les deux à la fois, ici et maintenant.
De sa force décuplée par le possédeur, Marcus déchire effrontément les bustiers de peau des deux belles nordiques en même temps.
SCRAAATCH
Surprises, les deux jeunes dénudées restent sans voix et paralysée de stupeur. Le regard maintenant bien lubrique trahis ses intentions. Marcus le satyre se saisi d'un sein de chacune pour se les porter ensemble à sa bouche grande ouverte.
Rhhoooo wouaiiii, j'en avait tellement envie depuis que vous êtes entrée.
Vous sucer jusqu'à plus soif. Mais pas d'inquiétude mes beautés, vous pourrez faire de même avec ma grosse queue juste après.

A l'intérieur Marcus n'en croyait pas ses oreilles. Cela recommençait. "Satyre, arrête ça tout de suite ! Tu vas finir par nous faire tuer !" Dans un bruit de précipitation, dans le fond de la grande salle deux chaises sont brusquement renversées...


Quelques instant plus tard....
Il y a des jours ou on souhaiterait ne pas s'être levé. D'autres jours encore ou on ne souhaiterait ne pas être né tout cour.
Jetant des regards nerveux derrière lui, Marcus qui a repris ses esprits tambourine sur le bois gelé de l'immense porte du château. Il crie.
Oh hé du château ! Ouvrez ! Ouvrez !
Il se retourne dos contre les planches de cette solide menuiserie ancestrale. Il a l'apparence d'un homme qui a du se battre pour survivre. Au loin, à l'orée de la forêt, sur la route, il voit un premier groupe de villageois à sa poursuite. Ce groupe est essentiellement compose d'hommes grimaçant de vengeance qui ont l'intention de laver dans le sang l'affront qui leur a été fait. Plus loin derrière, ce sont leurs épouses qui en furies elles aussi veulent castrer l'ignoble libertin pour sauvegarder leur honneur.
Paniqué, Le fugitif reprend de plus belle. Frappant de plus en plus fort. Il s'époumone.
BAM BAM !
Ouvrez. Je vous en prie, comtesse ouvrez moi!




7
Place publique / Dieu fit la liberté, l'homme a fait l'esclavage...
« le: mardi 08 avril 2014, 20:24:05 »
Il fait nuit, Marcus ne dort pas. Les yeux grands ouverts, dans le noir, il fixe silencieusement le plafond. Des ombres dessinent d'étranges formes sur les poutres sculptées de sa chambre. A côté de lui, nue, sa nourrisse, Rachel, est allongée dans les bras de Morphée. Comme à son accoutumé, Elle a un sommeil très serein.
A contrario, dans la tête du jeune héritier, les idées se bousculent. C'est la guerre de clan entre les "je veux tout quitter" et les "je veux tout changer".
En effet, demain est un grand jour, il va enfin la revoir. Le temps passe mais cette nuit lui semble interminable. S'il le pouvait, il irait trouver le soleil pour égoïstement lui demander de se lever exceptionnellement plus tôt. Marcus soupire.


Elle se souviendra de toi!

Le jeune homme sursaute. La cowgirl se redresse alors pour lentement appuyer sa joue sur l'épaule masculine. En ombre chinoise, il ne perçoit que les deux petites cornes qui percent au niveau de son crâne sa longue chevelure noire.

Excuse moi doudou, je t'ai réveillé.

Marcus s'installe un peu mieux sous les draps pour l'accueillir confortablement dans ses bras. Elle peut sentir maintenant son cœur battre à travers son pectoral.

Ce n'est pas grave mon grand romantique.

Marcus lui caresse tendrement la peau douce de sa chute de reins. Réchauffé et apaisé par le contact des généreuses formes féminines de sa nourrisse. Marcus fini par s'endormir.


L'escorte...
En début de matinée, depuis maintenant presque une heure, une charrette-cage attend son précieux chargement devant les entrepôts Baritello. Marcus est lui sur Dargan, son cheval à robe noire. Il joue nerveusement avec la lanière de ses rennes.
Il fait assez froid et venteux pour un mois de printemps. Chroniquement, il observe  l'entrée du sinistre bâtiment à travers les poils revêches du col en fourrure de sa cape.
L'imminence des retrouvailles lui tord les entrailles.
C'est alors que les lourdes portes blindées s'ouvrent enfin. Le cœur de Marcus bondit dans sa poitrine.
Un groupe de trois personnes en sort. Deux geôliers encadrent une troisième personne enchaînée. C'est plutôt rare pour un produit aussi cher et fragile. Régulièrement, les deux employés doivent pousser leurs prisonnière pour la faire avancer plus vite. Ce qui a le don d'énerver leur jeune employeur impuissant. Criant pour se faire entendre, d'un ton autoritaire...


De la délicatesse avec la marchandise, s'il vous plaît !

Elle lève la tête et l'aperçoit. Marcus dégage alors le col de son visage dans l'espoir de se faire reconnaître. Leurs deux regards se croisent un long moment. Elle n'a pas changé. Ses grands yeux rouges sont toujours aussi hypnotisant. Sans l'exprimer, pendant cet échange un délicieux frisson lui parcoure l’échine.
Soudain en une fraction de seconde tout s'écroule. Le jeune Neko brise leur échange sans témoigner d'autre humeur que l'indifférence. Elle ne l'a pas reconnu ou pire encore...

8
Le coin du chalant / Dieu fit la liberté, l'homme a fait l'esclavage...
« le: vendredi 04 avril 2014, 20:37:45 »
Recherche de RPs : mise à jour du 09/06/2015

Toutes propositions indécentes m'intéressent...(peut-être) ?
Qualité de post=> Je posts en moyenne de 30-40 lignes et à peu prêt tous les quatres jours.
Partenaires potentielles: "Si tu es blonde à forte poitrine, tu m'intéresses..." Nan, Je rigoles ! Pas que les blondes... Dans la dynamique de l'impro tout pourra arriver... Je suis assez ouvert pour autant que la trame initiale soit respectée.

RPs en cours:
Le jeu du chat et de la souris. [Yuko Haryuna]
Affaire conclue ? [Eden/na]
Rusée comme une Kitsune. [Canillia Mc’Winth]

RPs mis en attente:
Est ce grave docteur ? [Prima Cadenza]
Une noble cause.[Sayana]

Terminé:
Le bain de vérité. [Asceltis]

RPs abandonnés:
Un long dimanche de fiançailles. [Madison Broow]
Au donjon du mont fendu. [Pv Marcus, Kaede et Grace]
Dieu fit la liberté, l'homme a fait l'esclavage... [Elena Ivory, Kõya Breathless]
Pas folle, la vache ? [Marguerite]

9
Prélude / Il ne faut pas se fier aux apparences... [validé]
« le: vendredi 04 avril 2014, 00:35:57 »
Nom/Prenom/Surnom : Baritello / Marcus / -identité secrète-

Age : 27 ans

Sexe : Mâle

Race : Humain

Orientation sexuelle: Hétérosexuel, enfin il l’espère (plus précisément, tout ce qui est féminin, humaine, futa, terranide, déesse, etc...).

Description physique : Marcus est un beau jeune homme, d'un physique svelte. Ce fils de bourgeois fortuné n'est pas très musclé. En effet depuis sa tendre enfance, de laquelle il tarde a sortir, son riche train de vie lui a épargné toute activité physique pénible. Il est habillé d'habits simples et peu voyants mais de très noble facture. Son apparence de grand dadet, lui va comme un gant... et il en use abondamment. De premier abord, excepté sa charmante fragilité, Marcus n’a rien de particulier mais, caché dans son pantalon, Mère nature l’a doté d’attributs des plus impressionnant. Seulement, cela lui fait une belle jambe (c’est le cas de le dire), le beau brun au regard timide est aujourd’hui toujours puceau...

Caractère : Grand timide maladroit, voilà ce qui le caractérise le mieux. Là est tous son malheur mais aussi tout son charme. Il se donne également un air naïf pour paraître ce qu’il n’est surtout pas, un peu idiot… Et donc inoffensif au yeux de ses adversaires, au grand désarroi de son père.
Marcus n'est pas à l'aise avec les femmes. Sa maman et ses sœurs qui le couvent comme un gros bébé..., son père qui traite la gente féminine comme un vulgaire produit,... dans cet univers surprotégé et emprunt de contradiction, il n'a pas encore su se forger une opinion et donc un comportement adapté. Mais les événements à venir sauront bientôt le projeter dans l'age adulte...

Histoire : Vous l'aurez compris, Marcus est l’unique l'héritier du plus riche marchand d'esclaves de Nexus. Irialo Baritello. Celui-ci est à l’heure de la retraite et désespère éveiller en son fils une vaillante fibre commerciale. Il fait tout pour que l’entreprise familiale ne tombe pas en faillite.
Marcus a deux soeurs plus jeunes de seulement quelques printemps. Entouré de sa maman, ils ont été élevés ensemble. Il est proche d’elles, très proche même,.. voire trop proche. Marcus a aussi une “nourrice”, Rachel. Oui, encore !? C’est sa cinquième depuis sa naissance. Il ne se résout pas à sortir de l’enfance. Ou du moins tend à le faire croire.  Rachel est sa confidente et surtout sa “poupée dodo” pour le détendre après une dure journée à ne rien faire... Il aime à s’endormir confortablement lové entre les deux énormes mamelles de cette plantureuse cowgirl.
Plus sérieusement, le jeune homme hait profondément les ignobles activités commerciales de son père. Il n’a qu’un rêve : obtenir de la reine l’abolition de l’esclavage. Il y travaille secrètement.
La concurrence est de plus en plus féroce au sein la classe aisée de marchand d’esclaves de la capitale. Actuellement, un consortium rassemblant des membres de toutes les familles historiques s’organise. Il sera présidé par son père et aura pour but de tenter de contrer la montée en puissance du fameux « Don ». Les plus folles rumeurs traînent au sujet de cet étrange personnage. Cet homme masqué fait de plus en plus peur et il est grand temps de lui reprendre la vedette.
Mais Marcus a un grand secret... Un trop célèbre masque est discrètement rangé dans le tiroir de sa commode.

Situation de départ : Quelques expériences, essentiellement avec sa "nounou". Mais ne demande qu'à voir d'autres horizons.

Autres :

Comment avez vous connu le forum : En faisant des recherches avec l’aide de saint Google.

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Oui en vous référençant sur le forum Hentaifr.net d’où je viens. Il y a quelques rôlistes qui gagneraient à vous connaître.

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