Jessica Rabbit, ex-femme d’un lapin, Roger Rabbit, ayant terminé en sauce avec de la pomme purée. Se fait appeler Lovely dans le monde du cabaret. Âgée de 25 ans, elle est une Toon issue de l’esprit torturé d’un dessinateur magicien de Terra, à la sexualité plutôt dépravée, si ce n’est qu’elle est une nymphomane avec classe. Croqueuse d’hommes, de femmes et tout ce qui pourrait attirer sa curiosité et de diamant, elle ne se laisse pas prendre par n’importe qui, ne prend pas n’importe quoi. Une bonne amante si l’on tient compte des nombreuses expériences qu’elle aura eues par le passé. Et le fait, surtout, qu’elle aura été dessinée spécialement pour satisfaire au moindre fantasme.
-Vous savez, ce n'est pas facile d'être une femme avec mon physique.
-Vous savez, ce n'est pas facile d'être un homme qui regarde une femme...avec votre physique.
"Les années 1950, avec un nouveau mouvement remis à la mode car déchu dans les années 30'. Ce mouvement, encore aujourd'hui, on s'en souvient. Certaines femmes d'ailleurs ont su garder quelque chose de cette époque que beaucoup n'ont pourtant pas connue. A travers les âges, à travers le temps, la pinup est restée une icône, un modèle, pour certains hommes...un fantasme. Il y a cependant de moins en moins d'adepte autres que dans les films ou les spectacles classieux. Il n'y en a plus guère autre part que dans le burlesque, le monde du show-biz hollywoodien. Mais personne n'oubliera les femmes comme Marylin Monroe ou encore, Betty Boop. Peu de femmes de tous les jours parviennent à faire partie de cette classe très fermée de personnes, de pulpeuses créatures qui n'ont obtenues ce qu'elles désiraient qu'au prix de gros efforts. Pourtant, celle que voilà, une créature tout droit sorti, semble-t-il, des cartoons de l'époque, des publicités en noir et blanc, des photos jaunies, des photos sépias, a totalement réussie son entreprise de devenir une femme de ces années-là. Elle est pourtant née il y a tout juste 25 ans, en plein dans les années 80', bien loin alors de la pinup."
-Fermez les yeux et imaginez...
"Dans les rues crasseuses d’une ville mal famée, dans l'atmosphère lourde de pollution et de sexualité débauchée, un petit bar attire vos pas. Le néon jazzy aux couleurs criardes et rouge, entouré, semble-t-il d'un halo de fumée, vous attirant dans les entrailles de l'enfer. Un enfer de froufrou et de musique, d'alcool et de cigare. Car lorsque vous passez la porte, il y a, autour de vous, plus d'hommes que de femmes, les femmes étant, pour la plupart, des employées, des serveuses vêtues de manière légères, tout droit sorties d'un fantasme de bluesman des années quarante ou cinquante. Vous vous assoyez dans un coin, peut-être par peur, par timidité ou pour le côté légèrement voyeur de votre personne. Vous n'êtes jamais venu et il y a tellement de choses à voir ou à sentir. Des odeurs de tabac, de bon whisky, d’aftershave. Une odeur de mâle, de vrai mâle, gentleman le jour, véritable loup la nuit. Les pas feutrés des serveuses malgré leur talon, feutrés par l'épaisse moquette bordeaux qui rend votre démarche comme plus légère. Vous ne savez pas trop pourquoi tout le monde semble sur le qui-vive, pourquoi vous avez l'impression que l'excitation est à son comble. C'est alors que l'on vous apporte enfin votre boisson, que la réponse se dessine sur un fond sonore sensuel, semblant vous emporter alors dans un vieux film de gangster que vous avez vu, peut-être apprécié...
La scène, que vous aviez remarquée en entrant, avec ses gros rideaux rouges, ses spots bleutés, s'anime. La musique s'élève, sortant de derrière le tissu couleur de passion et une jambe passe à travers l'ouverture. Une longue jambe, finement galbée, mise en valeur par des escarpins vertigineux. Les rideaux alors s'écartent, lentement, une lenteur qui semble faite pour exciter plus encore les hormones mâles et les quelques hormones femelles sensibles à ce qui va se produire sur cette scène.
Un corps alors apparaît, corps d'une femme au visage boudeur, de part sa bouche rouge écarlate en forme de cœur, des lèvres pulpeuses qui laissent filtrer une voix douce et sensuelle...Un enchantement pour vos oreilles. Vos yeux également, qui se glissent furtivement sur cette bouche que l'on aimerait embrasser, que l'on aimerait dans des endroits quelque peu...enfin. Vous voilà dans le même état d'excitation que les autres clients, qui se sont même arrêtés de fumer et boire pour admirer le spectacle de ce corps, cette grande femme et sa démarche de chatte, montée sur ses longues jambes musclées aux hanches larges. Des hanches d'ailleurs que l'on trouverait trop voluptueuses, si on ne faisait pas attention, chose peu probable, à la cambrure de son dos musclé par les heures de danse. Mais est-ce qu'on se douterait que le corps que l'on voit est le fruit d’une imagination débridée? Non. On ne voit que l'emballage, cintré dans une robe à paillettes, une poitrine plus que généreuse qui rebondit lentement à chaque mouvement sensuel des hanches de la demoiselle à la taille de guêpe d'une minceur quasi affolante.
Elle continue de chanter, elle continue de se mouvoir sur cette scène, se glissant parfois en ondulant entre les tables, ses longs doigts aux ongles manucurés touchant et une tête, et une épaule, faisant vibrer les hommes de sa voix douce, de ses yeux de félin. Car ce n'est que maintenant qu'elle est devant vous, maintenant qu'elle s'est arrêtée devant votre table, posant sa croupe rebondie sur son bord, que vous vous rendez compte qu'elle possède des yeux de chat, des yeux langoureux d'un bleu azur merveilleux. Un bleu qui vous transperce avec la même force que l'odeur entêtante qui émane de sa chevelure de feu, aussi rouge que vos joues. Cette créature semble sortie d'un cartoon, et c’est probablement parce que c’est le cas. A croire qu'elle est faite de plastique tant elle semble étudiée pour le désir, le plaisir et surtout, le fantasme. Cette créature que vous ne verrez peut-être jamais en dehors de cette salle, cette créature que vous pensez avoir déjà vu quelque part, cette créature que vous ne prendrez pas la peine de connaitre en dehors, est tout le temps ainsi. De jour comme de nuit, sous le feu des projecteurs ou non, elle se vêt et vit comme les femmes des années 50, des tenues qui accentuent sa taille, ses formes. Ses jambes sans fin également, car du haut de son mètre septante-huit, elle n'est pas de celles qui passent inaperçues, outre son maquillage criard et ses sourcils épilés en forme d'arc de cercle. Oui, cette femme est un pur fantasme, oui, vous pouvez la toucher et pourtant…elle est née sur papier. »
-Avez-vous, lecteur, pu apprécier les formes de la demoiselle ? Allez-vous l'aimer elle si on vous dit qui elle est ? A voir...
« I’m not bad…I’m just drawn that way »
Dessinée ainsi. Ce n’est pas sa faute. Ce caractère de peste, de garce, croqueuse d’homme et de diamant. Elle aime les belles robes, se parer des plus belles chaussures, mettre en valeur ce corps qu’un pinceau pervers aura su rendre réel. Un fantasme vivant, trop bien dessiné pour être une véritable femme, avec de réels sentiments. Infatigable, elle ne dort que très peu, s’essouffle difficilement. Combien d’hommes auront dût crier pitié pour qu’elle ne cessât de leur en demander ? Combien d’homme auront failli à la tâche de lui offrir les monts et merveilles qu’ils avaient promis au départ ? Trop, beaucoup trop. Le crayon sadique de son créateur lui aura offert ce handicap, cette insatiabilité sexuelle, animale. Plantureuse, sensuelle, suave et câline, certes. Mais attention. Une mante religieuse sans le côté cannibale, car elle aime autant donner qu’elle aimera recevoir et parfois, vous ne sortirez pas entier de ces ébats. A savoir, elle possède des ongles, des dents, aime jouer avec le feu, pousser dans les retranchements. La douleur du plaisir, le plaisir dans la douleur. Son créateur n’est pas fou…du moins, pas totalement. C’est un homme avant tout et il connaît donc les envies, les désirs, de chaque homme. Et sa petite Jessica, il la créera pour ça.
Caractère assez fort pour tenir tête à certaine, ceux aimant qu’il y ait un peu de résistance, joueuse, pour ceux qui veulent qu’on excite leur côté prédateur, douce et sensuelle pour ceux préférant la délicatesse féminine dans ses bras chauds, coquine et vilaine pour ceux qui aiment dresser, se sentir au-dessus, se sentir plus fort, car obéit. C’est à se demander si elle à une personnalité propre, quelque chose qui lui appartient à elle. Bien à elle. Pour tout vous, dire, au risque de vous choquer, non. Elle n’a pas réellement de personnalité. Du moins, elle ne laisse rien paraître de ce qu’elle serait réellement. Ce qui fait d’elle une personne à part entière. Aux yeux du monde, elle doit continuer d’être un Toon et s’en contenter. Pourtant…
Pourtant, au-delà de toute cette cartoonerie, comme on pourrait dire, il y a un début d’être vivant comme vous et moi. Un début de vraie femme. Car au fil des ans, la Jessica sans personnalité, aucune, devenait de jour en jour, une toute autre femme. Elle continue de le cacher, mais aujourd’hui, elle est presque humaine. Son petit caractère, des sentiments naissant, qu’elle essaie d’apprivoiser. Bien que pouvant passer pour froide, elle souffre des remarques que l’on pourrait lui faire. Très ou trop peu rancunière, la délicate créature n’en reste pas moins une femme généreuse et sociale, souriante, pleine d’humour et d’esprit. Elle apprend très vite et c’est probablement ce qui la sauvera, sachant qu’elle ne connait encore rien à la vie réelle. Sa soif d’apprentissage fait d’elle une élève particulière pour tout un chacun. Les nouvelles expériences, les nouvelles rencontres. Ouverte à tous, car c’est ainsi qu’elle a été créée. Cependant, pour son créateur, elle a parfois des élans de dégoûts, cet homme qui pense qu’elle apprécie ce qu’il lui demande. Mais c’est uniquement parce qu’elle est de lui. Ne serait-il pas jaloux parfois ? La brusquant un peu, car elle s’émancipe la petite. Cherche une sorte de liberté, une vie bien à elle. Son but étant de trouver un homme qui s’occupera d’elle, la laissant libre, mais restant présent dans ses besoins…pour le moment, elle se contente cependant de ce cher James, ce dessinateur créateur magicien.
Il était une fois un homme. Il a tout du type lambda, du quadragénaire moyen, un homme avec son pénis, ses désirs, ses fantasmes, son petit caractère. Vivant sur Terra, il est tout sauf normal en réalité. Un dessinateur de talent, certes, mais avec quelque chose en plus qui résulte de la magie. Avez-vous déjà entendu parler de ces êtres capables de faire vivre leurs créations ? Il y a eu le golem pour exemple, Pinocchio, et d’autres probablement. Mais cette fois, c’est bien différent. Car si la plupart des hommes ont créé des êtres capable de les rendre plus fort, pour gouverner le monde, pour avoir un fils, enfant qu’ils n’ont jamais eu, ou encore, une simple compagnie. Mais pour James, notre dessinateur, c’est très différent. Car lui, lui, ce qu’il veut, désire par-dessus tout, c’est une compagne de jeux. Vous imaginez bien, qu’à l’âge de quarante-quatre ans, on ne joue plus à des jeux d’enfants. Vous imaginez bien, qu’un homme de quarante ans, ne se contentera pas d’une poupée Barbie ou d’une simple amie. Non. Et vous comprendrez le fait que ne seront pas ici divulgués ses fantasmes, bien trop tordus et étranges pour être exposés. Enfin. Donc, notre homme, a ce don lui permettant de faire vivre une création. Il a souvent tenté le coup, s’en est amusé, mais encore jamais n’a été satisfait d’une œuvre. Et celle qui suit alors, sera celle dont il est le plus fier ! Assez fier pour ne pas en créer d’autres, du moins, pas tant que celle-ci saura le satisfaire. Celle-ci. Jessica. Comment lui est donc venue une telle idée ? Une telle créature ? Il faut revenir quelques peu en arrière, l’enfance et l’adolescence de James.
Issue d’une famille de la noblesse, James, enfant unique, aura toujours été le genre de gosse de riche par excellence. Arrogant, égocentrique, il voulait tout, tout de suite. Impatient et turbulent. Mais les bêtises qu’il faisait étaient là pour attirer l’attention d’un père absent, d’une mère froide. James passait ses journée seul, avec une nourrice qu’il martyrisait, une pauvre femme pourtant si douce. Mais elle l’était probablement trop, ou alors la soif de pouvoir, l’ascendant qu’il pouvait avoir sur elle était trop délicieux pour qu’il ne la laisse en paix. Donc oui, en somme, ce jeune garçon était tout sauf charmant et agréable. Un vrai petit tyran qui ne trouvait son plaisir que dans la douleur des autres, dans le fait d’être obéit. On ne comptera plus le nombre de créatures qui auront souffert de sa tyrannie tout au long de leur vie. Enfin. Donc James était ce petit tyran qui avait pourtant un don, quelque chose qui faisait que parfois, il laissait sa nourrice en paix. Le dessin. Très tôt, James avait eu connaissance de ses capacités à faire vivre les personnages qu’il traçait du bout de sa plume. Très tôt, il l’avait su, voyant des elfes, des fées emplir sa chambre. Au départ, le vicieux s’amusait à les créer pour les détruire, les tuer, les voir souffrir sous ses coups de ciseaux. Mais au fur et à mesure qu’il grandissait, il commençait à comprendre que ce don était quelque chose de bien plus intéressant que pour la simple torture. La sexualité entrait alors dans sa vie.
Nous avons tous été ados. Les premiers pornos viennent en général dans ces instants. Les magazines, les bandes dessinées. C’est ainsi que la plantureuse Jessica naquit, du moins, dans son esprit. Il en fit plusieurs. Mais à chaque fois, il sentait que ce n’était pas la bonne. Il la faisait vivre à travers des histoires, des aventures étranges, l’ayant mariée à un lapin idiot et maladroit, lui faisant connaître plein d’aventures avec des hommes si différents les uns des autres. Son pouvoir, pour le moment, il ne désirait pas l’utiliser, sa Jessica n’étant pas assez bonne pour lui. Lorsqu’il eût vingt et un ans, il débuta ses études de droit et laissa au rebut Jessica, ses aventures et son époux le lapin blanc. Pendant dix ans, il la laissa là, dans la poussière de ses cartons, devenant au fil des ans un bon avocat, se trouvant une petite femme, ayant même deux merveilleux enfants. C’est lors d’un déménagement, tandis que ses fils lui demandaient quel était cette boîte que James avait laissé ainsi, prendre la poussière, les toiles d’araignées, ne l’ayant jamais touchée, jamais rouverte et sur laquelle était écrit : Jessica Rabbit. James la saisit vivement, une lueur dans les yeux. Il était partit en bafouillant deux trois excuses à sa femme, ses enfants, s’enfermant dans son cabinet. En rouvrant, tous les souvenirs de cette merveilleuse Jessica lui vinrent en mémoire. C’était vrai, il l’avait laissée tombé. Il s’était sentit si excité à la perspective d’une nouvelle vie. Et ensuite, une femme, des enfantes…tout c’était enchainé si vite. Dans le silence de son bureau, il s’excusa, caressant les prémices de celle qui allait devenir une maîtresse. Tout le reste de la nuit, ignorant les appels de sa femme, il se mit au travail. Traçant des courbes, des vêtements, des sous-vêtements. Il suait à grosses gouttes, il fallait que ce soit parfait. Elle ne devait pas avoir de défaut. Malgré le temps, les années n’avaient pas effacé son talent pour le dessin et heureux, fatigué, il s’endormit sur une rousse plantureuse, parfaite.
A son réveil, elle était là, s’émerveillant devant chaque objet se trouvant dans le bureau. Jessica Rabbit avait pris vie et était encore plus parfaite que ce qu’il n’avait pu s’imaginer. S’ensuivit alors plusieurs mois de frayeurs, tandis qu’il cachait la toon à sa famille, ses amis, l’enfermant dans un appartement qu’il avait loué à son nom. Elle n’avait le droit de sortir que s’il le décidait, devait s’habiller comme LUI, l’entendait. En somme, elle ne devait jurer que par lui et personne d’autre. Malgré ses supplications, il ne la laissa s’émanciper seulement quelques années après sa création. Mais c’est en cachette que la jeune femme devait se faire des amis, apprendre de nouvelles choses, sans parler de ses amants.
Ce n’est qu’aujourd’hui, 25 ans après sa création que miss Rabbit à droit de vivre presque pleinement. S’étant trouvé un travail, en accord avec James qui lui prend plus de 5o% de sa paie, dans un cabaret en tant que chanteuse et danseuse, personne ne sait ce qu’elle est vraiment, tant elle cache bien son jeu. Pourtant, elle ne le niera pas si on lui pose des questions. Alors quelle est sa situation ? Travailleuse, vivant dans un beau petit appartement en ville. Jessica voit James malgré elle en somme. Il se sert d’elle et vient la voire de temps à autre, la forçant à lui faire un compte rendu de ses journées, lui prendre le 60% de sa paie du mois et exiger d’elle qu’elle soit une bonne amante. N’allez pas croire qu’elle fait l’amour avec ce quinquagénaire par plaisir. Elle n’a pas le choix. Il est celui qui peut décider du jour au lendemain de la faire disparaître…
-Jessica est sous l’emprise de James, son créateur. Cependant, elle est expérimentée et ouverte à de nouvelles expériences. Lorsqu’elle a des amants, elle doit prendre garde à ce que James ne l’apprenne pas, il serait tenté de la faire disparaître. James étant marié, elle est sa maîtresse cachée (contre son gré).
-Jessica est une toon. A savoir, les toons sont des créatures étranges, qui ne peuvent être créées par n’importe qui. En fait, elles sont issues de l’esprit de tordus qui ont ce don de pouvoir faire vivre leur création. Ils sont d’ailleurs peu à l’heure actuelle, éparpillés aux quatre coins de la galaxie. Alors qu’est-ce qu’a de particulier un toon ? Son créateur est la seule personne capable de la tuer. Bien évidemment, ils ressentent la douleur, ont des sentiments, le plaisir, un peu comme un être humain en somme. La différence est qu’ils ne savent pas tout ce que sait une personne normal et possèdent des attributs anormalement voluptueux. Une chose encore, les toons ne peuvent pas réellement s’attacher à une personne et dépendent d’une sorte de garant, un tuteur. Jessica à James. Le seul moyen de sauver un toon de sa condition d’esclave et l’emprise de son créateur sur sa vie et sa mort, serait de tuer le dit créateur.
-Je suis tombée sur ce forum alors que je parcourais google à la recherche qu’un forum hentai.
-Je pense en en parlant à mes contacts qui font également du rp, ou le mettre en pub sur des forums dont je suis membre, sachant que je fais partie d’un bon nombre de forums différents.
