Le bûcheron avait l’air heureux sous elle, la prenant avec un plaisir certain. Sous ce spectacle, Iruka, son enfant, ne put plus rester calme, et alla les rejoindre. Il était encore relié à l’arbre par quelques tentacules discrets plantés à hauteur de sa colonne vertébrale. Sans ces derniers, le lien psychique avec l’arbre, et se briserait si rapidement et si brutalement que ce pouvait en être dangereux pour la santé d’Iruka. Il s’approcha du beau petit cul de sa mère, et alla le lécher avec sa langue. Elle en frémit, caressant le torse du bûcheron, poussant de longs soupirs.
« Hum… Oh, mes braves hommes, comme j’aime vous sentir contre moi ! »
Elle sentit alors le membre de son enfant retourner dans ses fesses, et elle en poussa un cri de plaisir, frémissant. Sous ce membre solide, des tentacules jaillirent de ses doigts, sans qu’elle ne puisse les retenir, et elle les rappela mentalement, frémissant, son corps remuant sous l’impulsion des sexes des deux hommes. Même pour elle, sentir deux grosses queues dans son corps lui procurait un bonheur intense. Des ondes de plaisir explosaient dans tout son corps, et elle se mit à hurler, à rugir son plaisir, à le clamer follement.Que c’était bon ! Oh, que c’était bon, bordel ! Elle ne s’en lassait pas. Yeux mi-clos, elle posa ses mains sur les joues de l’homme, les caressant tendrement, se sentant bercée entre ces deux êtres, et elle ne tarda pas à avoir un autre orgasme, inondant de sa mouille parfumée le corps du bûcheron, qui, en réponse, éjacula à son tour.
N’étant qu’un simple homme, l’effort l’avait épuisé. Elle se retira du corps du bûcheron, caressée par son enfant, tandis que l’homme, se rappelant le sort arrivé à son collègue, se racheta misérablement à sa vie. Elle sentait son enfant embrasser son oreille, caresser son intimité, et elle le laissa faire, sa mouille glissant le long de ses jambes.
« Sans vouloir influencer votre choix... Je vous conseille de lui montrer à quelle point une rose est belle mais aussi à quel point... Elle peut piquer quand on la prend mal... »
Elle tourna sa tête, caressant la joue de son fils, et l’embrassa.
« Une mère doit toujours tenir compte de l’avis de son enfant. Et je suis sûre que ce brave homme a compris que la nature, aussi belle soit-elle, peut aussi se montrer particulièrement cruelle.
- Oh oui, oui, oui, oui. Épargnez-moi, pitié, pitié, pitié ! »
Il la supplia, se mettant à genoux, pleurant, et, dans un sursaut, lécha ses pieds.
« Je serais votre esclave, je lècherai vos pieds, je ferais tout ce qu’il faut, mais ne me tuez pas, pitié ! »
Joignant le geste à la parole, il prit l’un des pieds d’Ivy, le léchant vigoureusement, s’appliquant, agissant de manière frénétique, tandis qu’Ivy continuait à embrasser son fils. Un doigt se transforma en tentacule, et s’enroula autour du coude l’homme, qui frémit. Ivy le releva, le soulevant lentement, et d’autres tentacules jaillirent pour s’enrouler autour de ses membres, le redressant.
« Tu m’as fait jouir, petit humain… Je vais donc te laisser vivre pour le moment… »
Elle lui caressa une joue délicatement, et l’embrassa lentement. Le jeune homme se détendit, baissant les yeux, et elle prolongea son baiser, glissant une main pour caresser son dos… Et les tentacules le soulevèrent.
« Mais ce n’est pas suffisant… Il est temps pour toi de goûter à l’autre face de la nature, sa face sombre et cruelle… Cette face qui a enfanté l’humanité… Je t’ai embrassé, répandant suffisamment d’aphrodisiaque en toi pour que tu éprouves à nouveau le plaisir… Mais ce plaisir-là devra résulter de la douleur, si tu veux survivre… »
Les tentacules qui l’empoignaient se serrèrent sur les membres, les tirant, tandis que d’autres tentacules jaillirent dans son dos, et se mirent à le fouetter en cadence. Elle se retourna vers son fils, et alla l’embrasser, tendant une main pour caresser son membre, et le faufiler dans son intimité.
« Ah… Voilà, hum… Te sens-tu bien, mon enfant ? Moi, c’est… Parfait ! »