La fleur du mal ( PV Poison Ivy )

Le moment était passé. Place à un moment jouissif, le moment de la punition de ces humains insolents qui ont désirés faire du mal à mère nature. Je regardais alors ma maitresse qui parlait pour alors s'avancer vers le bûcheron désormais soumis par peur de mourir. Sot, voilà ce qu'il était, m'enfin bon... Soupirant d'aise, je laissais la dame faire son affaire, l'embrassant rependant en lui un aphrodisiaque pour l'exciter encore plus. Puis par la suite, elle fit pousser des tentacules pour le fouetter violemment. Une punition ? Non... Une épreuve. Soit il acceptait son sort et restait à la souffrance imposé par la nature, ou bien il ne supportait pas ça et finirait dans le bain de son camarade. D'ailleurs, celui-ci commençait à disparaitre, ses os eux même finissant consumés dans ce liquide corrosif à souhait.  Je souriais tandis que la chère plante s'approchait de nouveau de moi pour m'embrasser et de nouveau me faire pénétrer son intimité.
Soupirant d'aise, je lui répondit.

«  Tout va pour le mieux...Ma maitresse... »

Soupirant d'aise de plus belle, je vins commencer de nouveau vas et viens en elle agrippant son fessier charnu. Montrant à l'homme comment il faut s'y prendre avec la maitresse de la forêt.  Ma voix raisonnait, j'étais sien, et ceux, tout le temps que je resterais ici. Je soufflais mon odeur sur sa peau, sentant la chlorophylle qui était sa peau, elle était si douce... J'en raffolais. Mon membre s'enfonçait en elle, écartant ses parois intimes encore et encore, de manière divine. J'en devenais fou. Après une bonne vingtaine de minutes, après avoir enchainé plusieurs positions comme la levrette ou la position du lotus, je déversa ma sève en elle lui susurrant à l'oreille.

«  Vous êtes la plus délicieuse de cet univers.... »

Je me retira doucement pour regarder l'homme, m'approchant pour alors me retourner vers la maitresse des lieux.

«  Alors... Que lui offrons nous ? La chance de rejoindre vos créations florales ? Ou celle de finir dilué dans la nature elle même ? »

L'homme cru comprendre et continua de geindre. Il ne voulait pas mourir, etcetc, personellement, plus il demandait ma pitié, moins il en aurait pour ma part. Je regardais Ivy avec insistance, attendant sa réponse. Puis, doucement, les lianes accrochées à mon dos se déconnectaient, ma personne désirant un peu de calme et surtout, plus d'autonomie. Je souris à la belle attendant patiemment.

S’appuyant sur son fessier, Iruka s’enfonça rapidement en elle. L’intimité d’Ivy était déjà bien trempée, et elle se mit à hurler son plaisir, sentant l’infatigable membre du vampire se déverser en elle. Son corps brûlait d’une forte chaleur, et elle se laissa faire, le laissant la prendre. Elle jouit à plusieurs reprises, le sentant utiliser toute son expérience pour lui offrir le plus grand plaisir qui soit. Elle se laissa faire, laissant son fils la prendre comme il le voulait. Il plaqua sur le sol, se glissant par derrière, continuant à la prendre, la faisant hurler et gémir. Ils s’assirent ensuite l’un sur l’autre, et continuèrent ainsi. Pendant ce temps, le bûcheron continuait à se faire labourer le dos, poussant des cris et des soupirs. Les fouets s’abattaient en fonction du plaisir qu’Ivy ressentait, sa forêt étant inextricablement liée à elle, et à ce qu’elle ressentait. Iruka tint particulièrement bien, jusqu’à finir par avoir son orgasme. Il éjacula en elle, soupirant, et la complimenta à nouveau. Elle sourit, l’embrassant tendrement sur les lèvres, se collant contre lui, promenant son doigt sur les lèvres du vampire.

« Je ne suis pas ta mère pour rien… »

Iruka se détacha de Poison Ivy, qui s’allongea sur la fleur, regardant le bûcheron. Les fouets s’arrêtèrent, et Iruka lui demanda s’il n’était pas temps d’en finir avec lui. Elle le regarda silencieusement, et les tentacules amenèrent l’homme devant ses pieds. Son dos saignait, et il resta à quatre pattes, souffrant. Levant une jambe, Ivy caressa avec son pied la tête de l’homme.

« Veux-tu toujours vivre ? demanda-t-elle simplement.
 -  O-Oui… confirma ce dernier.
 -  Alors, viens me prendre… Allez, allez ! »

Silencieusement, le bûcheron se redressa, et s’avança le long des jambes de Poison Ivy, jusqu’à atteindre sa bouche. Son membre était tendu, dur et impuissant. Visiblement, les coups de fouet avaient été loin de réfréner ses ardeurs, et, quant à Ivy, elle était toujours aussi assoiffée. L’homme alla se faufiler en elle, enfonçant son membre dans son intimité, et Poison Ivy poussa un hurlement de plaisir. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, et l’homme commença à remuer son sexe en elle, la pénétrant.

« Oh oui, hum… Continue, petit humain, et tu auras ta récompense… »

L’homme remua en elle de plus en plus rapidement, pleurant et gémissant à la fois, tant son dos le faisait souffrir. Les fouets s’étaient abattus avec rage quand Ivy jouissait, et il ne savait plus vraiment s’il voulait vivre ou mourir. Tout semblait tellement surréaliste, alors il se contenta de remuer rapidement et frénétiquement son sexe en elle, tandis qu’elle le serrait contre lui. L’homme grogna en elle, s’enfonçant, soupirant,  La douleur le faisait remuer, et il finit par se laisser aller, s’effondrant sur elle. Plusieurs longues secondes s’écoulèrent entre leurs corps enchevêtrés, jusqu’à ce qu’Ivy ne le repousse par le biais des tentacules.

« Il est temps de te récompenser comme il se doit… Et de récompenser mon cher fils, si désireux de faire plaisir à sa mère », ajouta-elle en regardant Iruka.

Ivy remarqua alors que le vampire s’était finalement déconnecté du lien psychique l’unissant aux arbres. Sans doute avait-il eu sa dose, ce que Poison Ivy pouvait comprendre. La nature était insatiable, et elle vit le bûcheron disparaître sous les racines d’un arbre, anesthésié. Poison Ivy se releva alors, soupirant, et regarda son fils, avant de s’approcher de lui, caressant avec ses doigts son menton.

« Je vais essayer d’enfanter… C’est une expérience difficile, Iruka, alors je vais devoir m’isoler… En attendant, ma forêt s’occupera de toi comme il convient… »

Des tentacules soulevèrent Ivy, tandis que d’autres allèrent s’occuper d’Iruka, dont un qui retourna s’enrouler sur son membre. Ivy se colla contre un arbre, celui où se trouvait le bûcheron, et se mit à travailler activement, se mélangeant aussi profondément que possible à l’arbre, ce dernier enfonçant un tentacule dans son intimité, dans sa bouche, se faufilant dans son corps pour prélever la sève d’Ivy, tout en modifiant le corps du bûcheron. Pour lui, la douleur devait être inimaginable, mais, dans l’arbre, ses cris ne pouvaient pas s’entendre, et l’arbre s’enfonçait douloureusement dans son corps, plantant des racines sans spécialement viser ses parties génitales, veillant toutefois à ne pas le tuer, le transformant intégralement. Ivy utilisa ses maigres connaissances récupérées sur Terra, en compagnie de Weldenela, auprès de la forêt vivante, pour regrouper ses forces, et modifier en profondeur la structure génétique de l’homme. Elle savait que ce serait temporaire, mais pas dans la mesure où l’homme allait retrouver sa vraie forme, mais dans le sens où le corps pourrirait, vu les modifications génétiques que Poison Ivy faisait. Elle l’écorchait, remodelant tout son corps, son poids, sa taille, ses formes, la pigmentation de son épiderme, ses cheveux, et même son sexe. Une intense chirurgie esthétique naturelle, où même le liquide anesthésiant dans lequel l’homme baignait ne fut pas suffisant pour réfréner sa douleur.

Une bonne heure dut au moins s’écouler, quand l’arbre relâcha Ivy. Cette dernière s’écrasa mollement sur le sol, subitement épuisée, la sueur coulant de tout son corps.

« C’était… C’était épuisant… Mais elle est prête. »

S’appuyant sur l’arbre, Poison Ivy tenta de se relever, tandis qu’une forme gracieuse sortait entre les buissons. C’était jadis un petit bûcheron sans intérêt. C’était une belle dryade, qui s’approchait de sa génitrice. Ivy regarda alors Iruka en lui souriant.

« Je suppose qu’on peut la considérer comme ta sœur », glissa-t-elle.

ivy s’approcha d’elle, et lui caressa le visage. Les yeux de la dryade la fixèrent, et elle caressa les belles lèvres verdâtres de la femme verte.

« Me reconnais-tu ? demanda Ivy.
 -  Vous… Vous êtes ma mère… parvint à faiblement articuler cette dernière.
 -  Le résultat est excellent… »

Poison Ivy l’embrassa tendrement, et la poussa vers Iruka, avant de s’appuyer contre l’arbre. Ce que ça avait été usant ! Elle soupira légèrement, reprenant ses forces, avant de regarder à nouveau le jeune vampire.

« Je suppose que tu dois la trouver bien plus intéressante sous cette forme, non ? »

La demoiselle et moi commencions ou plutôt, recommencions à faire l'amour. Notre désir n'ayant aucune limite. Nous faisions l'amour comme bon nous plaisait, ses jambes claquant doucement contre les miennes dans un bruit envoutant. Je soupirais d'aise adorant cette sensation de bien être. Puis vint le moment ultime, le moment de la jouissance. Là; l'apogée du plaisir était là. Je ne disais rien, la voyant se relever puis alors dire qu'elle allait enfanter. Je me demandais bien de quoi elle parlait, mais bon. J'allais bien voir ce qu'elle entendait par là.
Je restais patiemment là, assis, attendant de voir, l'homme s'enfonçant dans un tas de racine, sûrement broyé ou autre... Je ferma les yeux puis repensa au passé...

Je revoyais ce soir... Un soir qui restera gravé dans ma mémoire. Ce soir là, la pluie tombait, déversant des larmes fines et infinies. Le sol glissait et pourtant, je courrais à travers la ville, cherchant cet être. Une personne magnifique, au coeur de feu, mais au tempérament si glacial. Je courrais après elle pour lui dire, pour enfin la faire devenir mienne, cependant, elle avait eu peur, peur de moi, peur de ce que j'étais. À ses yeux; un monstre, aux miens, elle était un ange. Or un ange et un démon peuvent bien s'entendre non ? Visiblement... Non...
Mais je continuais à espérer. Courant inlassablement, jusqu'à la voir. La demoiselle me regardant avec ses yeux émeraude, elle criait mon nom ajouté avec monstre... Je n'en pouvais plus. Mais alors que j'allais faire mon affaire, la transformer puis enfin lui dire, elle sortis une arme blanche et se poignarda. Autant dire une chose simple et efficace... Elle se suicida sous mes yeux. Me disant quelques mots.

«  Je suis navré.. Mais... Un monstre comme toi ne pourra pas m'avoir... »
« M.... Tu aurais pu vivre... Finit ta maladie.. J... Je voulais te guérir... »
«  … Soit tu ment ou alors... »
« ... »
« G...Gomene ... »

Suite à cela, elle mourru. Voilà une mort débile, mais qui m'avais frictionné le coeur. Je ne m'en étais jamais remis...Soupirant, je revins alors à moi quand la demoiselle revins devant moi. L'air pensif, j'admirais la nouvelle créature.

«  Ma fois... Il n'y a pas photo...  Elle, enfin il, est plus proche de la nature désormais... »

Je la regardais sous toute ses coutures adorant voir cet homme devenu plus naturel. Je reregarda ma maitresse lui disant.

«  Restera-t-il sous cette forme à jamais ? Ou bien mourra-t-il en fanant ? »

Une telle transformation avait été éprouvante pour Poison Ivy. Fatiguée, elle se remettait lentement de cet exercice. Sa dryade était parfaite. Elle ne semblait pas étonnée d’être là, alors qu’elle était, techniquement parlant, un nouveau-né. Qui oserait dire qu’Ivy avait créé un monstre, tant elle était belle ? La jeune dryade restait près de sa mère, tout en regardant Iruka, qui hésitait sur son sexe. Elle en sourit légèrement, sentant sa sueur couler de son front. Voilà quelque chose qui était encore plus épuisant qu’une folle nuit d’amour. Ivy n’avait pas créé la vie, mais l’avait modifié, amélioré, embelli.

« Cette dryade est une femme, Iruka… Inutile de l’appeler ‘‘il’’. »

D’un point de vue technique, une dryade était asexuée, car il n’y avait que des femmes. Mais on les concevait bien sous une forme féminine, et cette dryade n’avait rien à voir avec un homme. L’ancien bûcheron était mort. Son corps, sa structure osseuse, ses molécules, avaient servi de base à modifier, non seulement son sexe, mais aussi son espèce, par le pouvoir transcendant des gènes.

« Je suis née pour servir ma Déesse, et je mourrais en la servant, expliqua la dryade.
 -  Ta Déesse ? demanda Ivy.
 -  Vous êtes ma génitrice, mais celle que je sers est la Nature… »

Ivy entreprit de se redresser, s’approchant de la belle dryade, et l’embrassa tendrement.

« Malheureusement, je n’ai pour l’heure jamais réussi à maintenir efficacement mes transformations… Mais je n’ai jamais réussi à aller aussi loin que jusqu’à présent. »

Ivy recommença à l’embrasser, caressant le corps de sa dryade, éprouvant ses zones érogènes. Elle caressa les belles fesses de la dryade, qui en gémit. Elle avait une belle bouche, des lèvres tendres et généreuses, et les doigts d’Ivy se transformèrent en tentacules qui commencèrent à caresser son corps. Poison Ivy finit par retirer ses lèvres de sa fille, et lui adressa& un sourire, comprenant ce que cette dernière pensait.

« Eurydice… Eurydice est ton nom. »

Dans la mythologie grecque, Eurydice était la femme d’Orphée, mais aussi considérée comme une dryade. Et Ivy ne connaissait pas suffisamment Terra pour savoir les noms usuels des dryades. Elle embrassa langoureusement Eurydice, transformant sa langue en un long tentacule verdâtre qui se faufila en elle, faisant gémir la dryade, alors que la langue se glissait dans son cou, s’enfonçant dans les profondeurs de sa gorge. Ivy arrêta son baiser, récupérant sa langue en souriant, puis un tentacule s’enroula autour du cou d’Iruka, l’amenant vers Eurydice.

« Ne sois pas si timide, Iruka, profite… Eurydice est une jeune fleur, et je ne l’ai pas conçu pour être une dryade guerrière. J’ignore dans combien de temps elle finira par se faner… Plusieurs jours, ou plusieurs semaines… Mais cela n’a pas d’importance… »

Poison Ivy fit jaillir ses tentacules, les glissant autour des bassins de ses deux enfants, afin qu’ils se collent l’un à l’autre, et s’embrassent tendrement.

La belle avait réussis un chef d'oeuvre de la nature. Transformer un homme en femme naturellement naturelle. Mais je pouvais voir sa fatigue. C'était presque touchant. Une oeuvre méritait récompense. Je m'approchais, toujours aussi nu avant de doucement admirer le spectacle.  La maitresse de ses lieux embrassait sa fille dans un baiser fortement excitant.  Elle me répéta que cette chose ne vivra pas bien longtemps. Chose dommage mais bon, elle avait réussit à faire une chose fantastique... Doucement, je la vis commencer des ébats fort intéressant, mais le meilleur était à venir. Le fait que sa langue devienne une tentacule rendait la chose spéciale. Doucement, en parlant de tentacule... Une d'entre elle vint attraper mon cou pour me diriger vers la demoiselle nouvelle né. Je souris pour entendre mon amante parler doucement.
Je me retournais pour lui parler tendrement.

«  J'ai quelques projets après cela... Mais pour l'heure... »

Doucement, mon bras se transforma en liane pour enlacer la maitresse de cet endroit puis je l'embrassais, avant de commencer à câliner la dryade. J'allais lui réserver le même sort que sa mère, à savoir, un ébat intense puis une séance forte en émotion. Doucement, une liane s'infiltra dans Ivy, commençant des vas et viens, histoire d l'occuper. La liane déversant un quantité minime de sperme provenant de ma personne, mais de manière continu pour que son plaisir soit constant. Quant à la dryade, je vins doucement la pénétrer sans attendre, commençant des vas et viens destructeurs, voulant la mettre au parfum.

«  Vous avez réussis un exploit et je me porte garant pour vous aider n'importe quand, où vous le désirerez... Faite pousser une rose géante à l'endroit où vous vous trouver quand vous voudrez m'appeler, puis si je suis dans le coin... Alors je viendrais... Car je vous aime... »

Suite à cela, je continua toujours inlassablement mon acte pour embrasser la dryade à la langue bien pendu. Sa liane s'infiltrant dans ma bouche pour caresser chaque parcelle de peau. Souriant, je me retira pour carresser les cheveux de ma maitresse.

«  Cela vous plait-il ? Ce traitement ? »

Doucement, mon bras entoura son corps, lui procurant un massage tendre et discret, alors que la dryade elle n'avait pas de traitement de faveur, mais juste une découvert intensive de ce que le plaisir de la nature.

Eurydice était parfaite, oui... Ivy avait créé une véritable dryade. Une dryade qui ne la servait pas, elle, mais la Nature. Comme toute dryade digne de ce nom. Pour autant, Poison Ivy savait qu’il manquait à Eurydice les attributs des dryades. Pour commencer, elle ne serait pas éternelle, comme une dryade digne de ce nom, et mourrait même assez rapidement. C’était inévitable ; ses cellules étaient après tout à l’origine des cellules humaines, et non des cellules d’un arbre. Mais transformer un arbre ou une fleur en dryade, c’était sensiblement plus compliqué que le faire à partir d’un être humain. Eurydice était un prototype, mais d’autres Eurydice étaient un jour appelés à voir le jour. Pour l’heure, elle allait offrir à Eurydice, dans sa vie éphémère, des plaisirs intenses, Iruka apparaissant comme le meilleur amant possible. Sa nature vampirique le rendait relativement infatigable, a contrario des autres êtres humains.

Même Ivy était un peu épuisée. Elle respirait profondément, fermant les yeux, de la sueur coulant de son corps magnifique. Le sexe l’avait un peu fatigué, certes, mais c’était surtout la conception d’Eurydice qui avait été exténuante. Iruka alla vers elle, et ils s’allongèrent devant les pieds d’Ivy, commençant à faire l’amour. Veillant à elle, Iruka avait envoyé un tentacule qui, lentement et timidement, s’enfonçait dans son intimité. Elle le laissait faire, s’adossant contre un arbre, reprenant lentement ses esprits.

Eurydice ne tarda pas à dégager les exhalaisons des nymphes. Son corps laissa s’échapper des spores de plaisir, une odeur enivrante qui fit tourner la tête à Ivy. C’était bon... Ça sentait si bon qu’elle avait envie de continuer à faire l’amour, encore et encore...

*Une autre chose de positive à noter...*

La langue d’Eurydice s’allongea en une longue langue verdâtre, qui s’enfonça assez loin dans la bouche d’Iruka, tandis qu’elle se cramponnait à lui, accueillant son sexe dans son corps. Elle en poussait des gémissements, de petits cris étouffés par leur baiser, et Iruka tendit alors une main vers Ivy, comme pour la masser. Souriant, cette dernière se mit à genoux, et repoussa sa main.

« Occupe-toi d’elle, intima-t-elle. Fais-lui l’amour, et bois son sang... Je veux savoir si c’est bien le sang parfait d’une dryade... »

Le sang pouvait tout à fait être un mélange entre le sang d’un humain et celui d’une dryade. Or, le sang était un parfait indicateur pour savoir à qui on avait affaire. Vu qu’elle avait un vampire sous la main, elle comptait bien s’en servir. Elle repoussa donc sa main, tandis qu’Eurydice, allongée sur le sol, dos sur l’herbe, semblait en harmonie avec la nature. Alors que sa cyprine s’évadait, la forêt se mettait à trembler, les arbres à vibrer, les feuilles à s’envoler. L’esprit d’Eurydice rentrait en harmonie avec cette forêt, et Ivy sentit une pointe d’amertume dans son ventre.

*Serais-je jalouse à l’égard de ma propre création ? L’esprit humain est décidément bien fascinant...*

Poison Ivy se pencha vers Iruka, et l’embrassa sur le cou, descendant sur son dos. Pour un vampire, il était très beau, et son corps était très agréable. Elle lui caressa le dos, l’embrassant longuement, avant de remonter. Lorsque ses dents se plantèrent dans le cou d’Eurydice, Ivy regardait cette dernière, lui caressant une joue.

« Ne t’en fais pas, ma belle... l’encouragea-t-elle.
 -  Je... Je me sens si... Si... Si bien ! » lâcha une Eurydice assez heureuse.

Un sourire ravi éclaira les lèvres d’Ivy. Elle s’assit sur le bas du dos d’Iruka, afin que son sexe reste bien enfoncé dans Eurydice. Elle voulait rendre sa nymphe folle de joie. C’était le moins qu’elle pouvait faire. De plus, plus cette dernière serait excitée, et plus le sang qui battait dans ses veines s’animerait, prodiguant ainsi à Iruka plus de sensations. Il fallait veiller à ce que chacun y trouve son compte : elle, par le plaisir sexuel ; lui, par le plaisir sanguin ; Ivy, par le simple plaisir pervers qui consistait à observer ce couple.

Pouvoir satisfaire une création éphémére, voilà un rôle que j'appréciais. Souriant, je m'en donnais à coeur joie. Les cris de plaisir de la nymphe et les soupires d'aise d'Ivy étaient un véritable régale pour moi. Limite j'aurais voulu les prendres toutes les deux afin de me considérer comme LE mâle puissant de ce moment. Bien que je sois le seul et que donc je n'ai aucun rival, je comptais bien m'octroyer ce titre par mérite et non par pitié. Rendre la belle plante fidèle serait un sésame extrêmement plaisant. La langue de la dryade venait s'enfonçait dans ma bouche me donnant droit à un baiser au goût terriblement excitant. Bien que j'aurais voulu faire profiter la maîtesse des lieux, voilà qu'elle me repoussait m'intimant de m'occuper bien comme il faut de la belle. Soit, bien que ça soit dommage, j'allais donner sa meilleur fois à la belle dryade. Jouant de ma langue et mon corps, j'ondulais afin de produire les meilleurs vas et viens possible sur cette planète.

La forêt, le lieux tout entier en était secoué. La dryade semblait comblé et moi de même. Il ne me restait plus que le test sanguin à faire pour voir si elle était parfaite ou non. Tandis que je m'occupais bien de la belle, voilà que de douces caresses me furent données. Ivy semblait apprécier ma personne. Me caressant, elle me procurait un plaisir extrême. J'en jouissais presque tant le plaisir m'envahissait. J'allais vraiment craquer et m'occuper d'elle aussi si cela continuais. De simples baisers et toucher sur ma peau me donnaient tant de plaisir... Rhaaa, le plaisir féminin, quelle joie.

Plantant mes crocs donc, Ivy semblait chouchouter la dryade afin qu'elle se calme. Même si cela est plaisant, il y a toujours un fond de douleur dans une morsure. Entre vampire, on fait abstraction, mais la dryade n'étant pas une vampire... Souriant, je sentais ce nectar couler dans mes veines, elle était bonne, mais à mes yeux il manquait un petit truc. Une touche de sucre ou un élément qui rend addictif. Un sang semi parfait. Dommage, mais pour l'heure, je n'annonçais rien à la belle proche de moi. Après une longue minute à pomper son sang, je me retirais et continuant des vas et viens bombant le torse afin que mon bassin soit bien placé pour créer des vas et viens profonds.

" Le sang est délectable, bien qu'une touche ou une note sucrée de plus ne serait pas de trop..."

A portée de main, je vins enlacer la belle rousse pour la positionner contre moi, l'embrassant avec envie, j'envoyais ma langue et ses envies perverses jouer avec la sienne un bref instant. Après tout, elle se devait de jouer le rôle de la petite voyeuse prodiguant indirectement du plaisir en regardant notre acte. Qui sait, peut-être aura-t-elle du désire par la suite afin de réaliser le grand final. Sourire aux lèvres, rompant le baiser, je vins la lâcher lui faisant un clin d'oeil, puis j'en revins à la dryade qui semblait comblée comme personne. 
Donnant des coups vigoureux, j'allais bien au fond d'elle, frappant aux portes de son col de l"utérus, ou ce qui servait du moins. Des cris, du plaisir, voilà ce qu'elle exprimait. Moi, je me contentais de continuer sans relâche. Inlassablement possédé par le plaisir et la luxure verte de cette forêt aux plaisirs.

" Putain... J'arrive... hm..."

La jouissance était proche.