Une collaboration à venir [Pv Morgana]

Décidément, ce n'était pas sa journée. Il pouvait toujours pester contre lui même, ça n'arrangerait en rien ce qui se passait. De toute façon, Cyscek était plutôt du genre à prendre les problèmes à bras le corps et à tenter de les résoudre plutôt que de s'apitoyer sur son sort. En partant en chasse la veille, il avait brisé l'une de ses roues de charriot dans une ornière. Résultat, deux bonnes heures de perdues afin de changer la roue. La roulotte était en effet un élément capital du jeune esclavagiste, puisqu'elle lui permettrait s'il capturait une proie de l'y enfermer afin de la ramener en ville. Cette fois, il n'avait pas de cible précise ni de demandes, il allait donc voir ce qu'il pouvait ramener.

Cela aurait pu s'arrêter là, mais il avait eu d'autres déboires : l'installation de son camp provisoire n'avait pas été de tout repos, et il avait dû changer l'endroit choisi intialement car un félin d'une race indéterminée avait élu domicile dans un des arbres attenant. Il voulait bien vivre dangereusement, mais pas non plus inconsciemment, il avait donc déménagé sa roulotte, non loin d'un ruisseau. Après une nuit calme, sa malchance s'était un court moment transformé en chance : Alors qu'il prélevait de l'eau pour faire cuire son repas du matin, il avait entraperçu entre les fourrets une silhouette. En la suivant discrètement, il découvrit une jeune neko, en train de prélever des baies sur plusieurs arbustes. Elle semblait assez âgée pour être vendue, et ses formes le confirmait : l'hybride de femme et de chat possédait déjà une poitrine imposante et des courbes remarquables. Cyscek n'avait aucun doute, c'était bien une neko sauvage, car elle se déplaçait entièrement nue, sans visiblement s'en soucier.

Pendant de longues minutes, il l'avait observé. Il avait à portée de main tout ce qu'il lui fallait pour la capturer, et sceller son destin. Elle finirait probablement comme esclave de luxe dans l'un des nombreux palais de la capitale. Perdu dans ses pensées et dans son plan pour la capturer, il vit sa malchance de la veille revenir au galop : un lapin détala de sous l'arbuste où la jeune neko prenait ses baies. Le suivant des yeux, elle regarda dans la direction où il filait ... Pile dans l'axe de Cyscek. Jurant, il bondit de son emplacement, alors que dans un cri de surprise, sa proie lâchait ses baies et prenait ses jambes à son cou. De son côté, Cyscek avait abandonné sa casserole, et tentait de s'emparer des bolas qui pendaient à sa ceinture. Petit hic, dans ces contrées boisées, l'utilisation de cette arme allait être compliquée. Elle risquait de se coincer dans des branches ou un tronc d'arbre, et de voir sa proie filer irrémédiablement.

Il lui fallait attendre un terrain plus propice, mais il savait se montrer patient. La neko courrait vite, agile et souple dans les bois, mais il n'était pas en reste, et surtout pas du tout inquiet quand à l'issue de la traque. Elle finirait par se fatiguer ou à passer par un terrain à découvert, et là, il la capturerait. Durant une bonne dizaine de minutes, il coursa la neko, sans rien perdre de sa patience. Le sol changea légèrement, un peu plus rocailleux, quand il se mit à apercevoir un peu de vapeur et de plus gros rochers à travers les arbres. Vers quoi l'amenait-elle ? Il comprit un instant plus tard, lorsqu'il déboucha de l'orée du bois. Sur une étendue d'une are, peut-être un peu plus, il semblait que la main d'un géant avait découpé des trous dans le granit, pour y installer des mares peu profondes. Par endroit, des bulles jaillissaient, preuve de l'activité volcanique au dessous. Il y avait probablement un phénomène terrestre pour chauffer l'eau et créer ces nuages de vapeur.

Un peu plus loin, Cyscek devina une silhouette. La neko savait-elle qu'une ou des personnes se trouvaient ici ? Cherchait-elle quelqu'un pour la sauver ? Il allait devoir se montrer convaincant si jamais la personne face à lui était contre l'esclavage. En attendant la neko courrait à perdre haleine, ayant bifurquée vers la silhouette.

Aidez moi, s'il vous plait !

C'est le moment que choisit Cyscek pour lancer ses bolas. Les lanières de cuir partirent dans les airs, leur mouvement entrainé par les boules accrochées au bout, et elles s'enroulèrent autour des jambes de la neko pour la faire chuter, à quelques mètres à peine de son potentiel sauveur.

Toujours sur Terra, la démone n'avait toujours pas accomplie sa mission pour ses supérieurs. Si elle attend trop longtemps pour le faire, ils risquent de la punir ou de se fâcher. Dans tous les cas, elle serait dans la merde. Elle n'avait toujours pas trouvée une cible à abattre. La nuit allait bientôt tombée et elle n'avait encore rien mangé. En plus avec sa tenue , elle risque de ne pas supporter le froid bien longtemps. Elle porte la même robe qu'à la soirée à la forteresse . Une robe rouge courte avec des motifs de léopard noir et blanc dessus. Heureusement pour notre démone, un petit lapin sautillait proche d'elle. Grâce à son agilité et sa rapidité, elle attrapa le lapin avec ses mains et lui brisa le cou. Une fois l'animal mort, elle regarda pour une source de chaleur. En marchant aux alentours, elle remarqua des roches, dont de la vapeur chaude sortaient entre les craquelures, on aurait dit une source volcanique. Cela était sûrement assez chaud pour faire chauffer le petit lapin qu'elle avait dans la main. Notre démone utilisa la pointe de l'une de ses cornes pour arracher la peau de la bête. Le sang coulait tout le long du corps de Morgana, ses vêtements de cuir noir étaient à présent tâchés, mais, elle pouvait manger. Elle jeta la peau du lapin plus loin et mit le restant dans le bête dans les vapeurs. Cela n'était pas assez chaud pour brûler notre démone, mais, cela était assez pour faire griller le lapin. Elle mangea le lapin et s'endormi auprès de la chaleur qui lui rappelait l'enfer.

Le lendemain, un voyageur passait par là. Quand elle vit la démone coucher au sol, il pensait qu'elle s'était évanouie ou encore qu'elle était blessée. il se rapprocha d'elle et donna des petits coups de bâton sur elle. Ceci réveilla évidemment Morgana qui étrangement avait eu une bonne nuit. Elle ouvrit rapidement les yeux et vit un homme accoutré comme un paysan. Un humain sûrement. Un humain qui n'aurait pas du être là. Cet homme lui demanda si elle avait besoin d'aide ou si elle était blessée. Elle avait besoin d’aide, mais, pas pour les raisons que le jeune homme s'attendait. Elle lui demanda de ''l'aider à trouver un objet qu'elle aurait échapper quelque part par ici'' en indiquant bien sûr le gigantesque trou qui menait aux profondeur des sources chaudes. Bien sûr ne voyait rien, il prit le temps de se pencher même avant de confirmer à la belle qu'il n'y avait rien. C'est à ce moment là qu'elle fit accroire qu'elle l'avait vue. L'homme tomba dans la piège et se pencha encore plus vers le trou quand soudain, Morgana décida de donner un coup pied qui mena à la perte de cet homme de grand chemin. En faisant cela, elle avait accomplie sa première mission. Le sourire aux lèvres, elle quitta les lieux en laissant que les cris de douleur de sa victime qui finira tôt ou tard par mourir fondu par la chaleur.

Un peu plus loin de l'accident, elle remarqua au loin deux silhouettes, la première arrivait très rapidement vers elle alors que le second semblait la poursuivre. Morgana ne savait pas trop ce qui se passait, mais, cela semblait amusant. La première silhouette, est une neko, une neko nue... cela était la première fois qu'elle voyait cela en vrai et non sur des images prit sur le net. Le second était trop loin pour qu'elle puisse vraiment avoir des informations pertinentes, mais, cela semblait à un homme. La neko avait de la difficulté à respirer, cela doit faire un bon bout de temps qu'elle court. Ce qui était encore plus mignon c'est qu'elle demanda de l'aide à la démone qui se trouvait devant elle avant de tomber au sol avec des bolas aux jambes. L'homme semblait fortement intéressé à avoir la neko et cela fit sourire notre démone qui leva et qui la garda dans ses bras et la plaça comme si elle voulait l'étrangler. Après tout, Morgana n'était pas intéressée par elle et cela était un simple jouet utiliser contre l'homme qui se trouve devant elle. La neko tenta de se débattre et cria de toutes ses forces.

S'il vous plaît, laissez-moi partir, vous me faites mal !

Comme réponse, Morgana ne fit que rire.

Il allait pouvoir souffler. Ou pas. La neko ne risquait pas de fuir, car empêtrée dans les liens des bolas, elle ne pouvait que ramper. D'ailleurs, elle n'essayait même pas, elle tentait plutôt de défaire les noeuds. Mais pour ça, il lui faudrait bien deux à trois minutes, soit un laps de temps que ne lui laisserait pas Cyscek. Le seul hic, c'était l'autre femme. En approchant, juste après avoir lancer ses bolas, il avait pu mieux voir et observer l'inconnue qui avait assister à la scène. Si par malheur elle était contre l'esclavage, il allait se retrouver à deux contre un. Il pouvait toujours user de son poignard ou de sa matraque, mais la marchandise abîmée rapportait bien moins d'argent.

Sa tenue était ... Etonnante pour le lieu. En pleine nature, il ne s'attendait pas à tomber sur une femme bien habillée. Comment était-elle parvenue ici ? A mieux y regarder, la tenue était même provocante. Il aurait pu penser à une amazone, mais ces dernières ne mettaient pas de rouge, pour mieux se fondre dans les bois et les sous bois. C'est alors qu'il vit les cornes de l'inconnue. Comment avait-il fait pour ne pas les voir plus tôt ? Une succube ? Une démone ? En tout cas, un adversaire hautement dangereux. Bien que téméraire, Cyscek n'était pas non plus fou à lier. Si elle se décidait à aller à l'encontre de l'esclavagiste, ce dernier allait devoir se contraindre à laisser filer sa proie. Dommage, car ce petit bout de neko devait valoir son pesant d'or.

Comme il avançait en direction des deux femmes, à moins de cinq mètres maintenant, la démone aida la neko à se redresser. Mais ce qu'il avait pris pour un geste amical se transforma en prise d'otage : tenue contre la démone, la neko paniqua, n'arrivant pas à se défaire de la poigne de cette femme, qui semblait la tenir comme un bouclier humain. De sa position, Cyscek voyait clairement le visage de la démone, ainsi que l'entièreté du corps de la neko. Ses courbes toujours aussi rebondies attirèrent le regard de l'homme, qui se maudit de se laisser distraire de la sorte en pareil instant. D'abord régler l'urgence, il aura ensuite tout loisir d'explorer ce corps.

La neko criait, visiblement mal à l'aise avec le bras de la démone autour du cou. Cyscek s'était arrêté, à trois pas d'elles. Les mains vides, il tourna les paumes vers elles afin que la démone puisse voir qu'il n'était pas armé. Bien sûr, il avait des armes à la ceinture, mais il avait pris le parti de ne pas les saisir pour l'instant.

Cette proie est à moi. Je l'ai chassé et capturé, et je compte la revendre en un seul morceau, alors lachez la.

Sans être dur, le ton était ferme. Il avait mérité sa prise, après avoir pisté et poursuivi cette neko durant tout ce temps. Il attendait la réponse de la démone quand à sa demande. Si elle refusait, il ne pourrait rien faire. Il pourrait tenter de la capturer, mais il se doutait qu'une telle engeance devait avoir quelques pouvoirs magiques, et pouvait donc être mortel pour lui s'il se mettait en travers de sa route. Hésitant, une idée germa dans sa tête, et il se prit à la prononcer. Après tout, que risquait-il de plus ?

Et si elle vous plait, je peux même vous faire un prix.

Elle n'avait rien d'un enfant de coeur, alors peut-être que cela l'intéresserait. C'était une autre porte de sortie pour lui, et il espérait qu'elle ne se refermerait pas irrémédiablement.

La démone avait réussie sa première mission et elle se trouvait à présent avec une magnifique neko dans les bras. Les cris de celle-ci ne firent que rire Morgana, mais, elle remarqua également que le jeune homme était intéressé par elle. En tout cas, son regard fixait les seins de la créature sauvage et cela mit un petit sourire sur le visage de la démone. Voilà un atout qui pourrait jouer en sa faveur.

L’homme c’était rapproché des deux femmes et il montra ses paumes de mains. Pour le moment, il ne semblait avoir aucune arme sur lui, mais, il pouvait en avoir caché ailleurs sur lui. La démone se méfiait un peu de lui, mais, elle lui laissait le temps de parler. Il disait d’un ton ferme que la sauvage qu’elle tenait en otage était sa proie à lui, qu’il l’avait chassé et capturé. Bien sûr, il voulait la ramener vivante et demanda par la suite de la relâcher.

P our faire peur aux chasseur, Morgana serra un peu le cou comme si elle voulait vraiment étrangler la belle qui était encore paniquée. Elle arrêta son action quand il lui proposa que si la sauvage lui plaisait, qu’il allait lui faire un prix. La démone voyait la situation d’une tout autre façon. Certes la sauvage était sa proie, mais, c’est elle qui la tenait. C’est elle qui avait l’avantage sur lui. Il allait devoir faire ce qu’elle voulait alors il allait devoir dire adieu à sa sauvage ou s’en trouver une autre.

•Écoute moi bien mon beau, tu es mal placé pour me dire quoi faire. Mais, c’est vrai que tout a un prix. Voici ce que je te propose. Tu veux la ramener en vie, car, elle doit rapporter beaucoup plus en n’aillant aucune égratignure pas vrai.

La démone profita de la situation pour masser les seins de la sauvage tout en continuant de parler avec l’homme.

•Donc, tu me conduis jusqu’au marché d’esclave le plus proche, tu négocies le prix pour ta sauvage et je reçois la moitié de la récompense. Cela est à prendre ou à laisser. Et fais vite ton choix bel homme, je n’ai pas que cela à faire.

La sauvage se sentait mal, car, elle était prise dans les bras d’une démone et en plus elle commençait à aimer les caresses que la démone lui faisait. Morgana n’était pas intéressée par elle, mais, elle était en train de s’assumer avec les émotions et les pulsions de l’homme. En touchant la sauvage tout le long de son corps et en lui lichant dans le cou, cela allait sans doute perdre tous les moyens de l’homme et de cette façon, notre démone allait avoir peut-être même plus que de l’argent au bout du compte.

Tout autour, des volutes de vapeur continuaient à s'élever, enveloppant par moment les trois protagonistes et amenant de la chaleur. D'ailleurs, cela se voyait sur le front de l'homme, où une fine pellicule de vapeur s'était déposée, ainsi que sur ses vêtements. Son maillot de corps collait un peu plus à sa peau à mesure qu'il s'humidifiait. L'homme tenait sa distance, mais réfléchissait également à toute allure. Pouvait-il tenter de la rouler, voir de lui subtiliser la neko sans abîmer cette dernière ? Rien n'était moins sûr. Alors qu'il tentait encore de trouver un moyen, il fronça les sourcils en voyant que la démone se mettait à ... Malaxer, oui, c'était le mot, les seins de la neko. Il en résulta un trouble chez l'homme, car à l'évidence le sourire joueur de la démone lui était adressé. Elle cherchait à le déstabiliser, et pour le moment cela marchait assez bien. Son regard descendit sur la poitrine imposante, remarquant les têtons durs dépassant entre les doigts qui les pressaient. Il se força à respirer profondément, il devait faire abstraction de tout ça.

Il hésitait à faire ou dire quelque chose, mais elle lui coupa l'herbe sous le pied en lui faisant une proposition. Tout ouïe, il l'écouta, jaugeant la teneur de ces propos. S'il tentait de capturer la neko en passant outre la démone, il risquait de tout perdre : la neko allait morfler, et lui pouvait manquer de se faire tuer. Il était clair que vis à vis de la situation, il n'obtiendrait pas grand chose de plus que ce que cette inconnue lui proposait. Du coup il ... Avança. Sans avoir répondu, il fit plusieurs pas, se rapprochant des deux femmes. Il voyait bien les mains de la démone se serrer un peu plus. Elle risquait à tout moment de balafrer la neko, du coup il s'arrêta à moins d'un mètre.

Normalement je les forme avant de les revendre moi même à des clients, mais je dois pouvoir faire une exception pour cette fois.

Il fit le dernier pas lui permettant de combler l'écart qui le séparait des deux femmes. Il se retrouva collé à la neko, sentant la poitrine de cette dernière ainsi que les mains de la démone contre son torse. Son membre déjà dur pressait contre le pubis et le ventre de la neko, et il leva à peine une main, pour montrer à la démone une paire de menottes qui avait aterri dans sa main comme par magie.

Je vais tout de même l'attacher, ça vaut mieux.

Aussi près, il ne regardait pas la neko, mais fixait le regard de la démone juste derrière. Ses mains allèrent chercher les poignets de la captive, et lentement, il les lui ramena dans le dos, entre elle et la démone. Cette dernière pourra sentir les mains de l'homme s'activer alors qu'il passait une menotte, puis l'autre, afin d'entraver les poignets de la neko. La manoeuvre était lente, trop peut-être ? Le faisait-il exprès ? En tout cas, chaque mouvement de l'homme faisait que ses mains frottaient contre le corps de la démone également.

La chaleur n'empêcha pas la démone de se concentrer sur tout ce qui se passait, mais, elle voyait bien que l'homme qui se trouvait devant elle avait de la misère à supporter la chaleur. Il allait devoir agir vite sinon il allait mourir sur place le pauvre. la démone souriait toujours, elle profitait du corps de la neko et elle voyait que le regard de l'homme était perdue dans les mouvements sensuelles de la démone sur sa proie. Heureusement, il n'était pas comme les autres, il allait falloir sans doute faire plus pour qu'il en perd tous ses moyens et cela amusa notre démone.

Il écouta attentivement la proposition que Morgana lui dit, mais, il ne dit aucun mot et ne fit qu'avancer. La démone n'étant pas complètement idiote, elle serra de nouveau la gorge de la sauvage qui commençait tranquillement à manquer d'air. L'homme s'arrêta à un mètre environ de Morgana et de la sauvage avant de parler encore. Normalement, il les formait avant de les revendre à ses clients, mais il allait faire exception pour cette fois. Il faisait sa formation... il lui montrait quoi ? Comment bien satisfaire son maître, tout le monde en est capable. Elle ria un peu de la phrase, mais, elle arrêta de sitôt quand elle vit les menottes dans les mains de l'homme qui c'était rapproché encore. Les yeux de la démone était rivés sur les menottes, elle se demandait si elle le laissait faire ou si elle devait le faire elle même, mais après mure réflexion, elle ne fit que regarder. Elle eut un léger frisson quand les mains de l'homme lui toucha le corps, mais elle tenta de le cacher.

• Bon ... à présent que c'est fait dit-elle tout en éloignant les mains de l'homme et de prendre le plein contrôle de la situation et de la sauvage par la même occasion. Nous pourrions aller tranquillement vers la ville la plus proche qu'en pensez-vous ?  La sauvage gémit doucement, car, elle commençait tranquillement à aimer le fait d'être emprisonnée et en possession de la démone en plus que celle-ci continua de lui toucher le corps en attendant que le garçon lui fasse une réponse. Quand vous dîtes que vous les formé, vous leur faites quoi ? Vous leur montrer comment bien satisfaire leur maître ? En embrassant dans le cou de la sauvage par la suite. 

 

Croyait-elle qu'il allait tenter de s'enfuir avec la neko, une fois cette dernière attachée ? Il n'avait aucune chance de réussir à la semer avec une captive récalcitrante. Non, il s'était résigné à remplir sa part du marché, et donc partager le prix que rapportera la neko. Il la laissait donc tenir l'esclave, mais restait sur ses gardes. En effet l'hybride pouvait toujours songer à se carapater, et il devait rester alerte pour ne pas avoir perdu une journée de travail.

Il y a près d'une heure de marche, suivez moi.

Il avait désigné brièvement une direction, et s'avança pour retenir d'une main une branche d'arbuste, le temps que la démone et la neko passe. Derrière, on devinait à peine un léger sentier qui serpentait au milieu des arbres et des arbustes. Il rejoignait un peu plus loin une route dallée, mais ils allaient d'abord devoir couper à travers bois pendant quelques minutes. Il revint à hauteur des deux femmes, afin de leur ouvrir la marche quand il fallait négocier un passage, et surtout s'assurer que la neko ne tentait pas de fuir.

Généralement les nouveaux captifs ne se montrent pas très coopératifs. Il faut leur faire comprendre qu'ils n'ont pas d'autres choix que d'obéir, pour ne pas qu'ils songent à se rebeller contre leur futur maître.

Il enjambait une branche, laissant quelques secondes dans son explication avant de reprendre.

En plus de leur inculquer la servitude, il faut aussi les former aux plaisirs. Certains cherchent des esclaves vierges pour les former eux même, mais beaucoup d'autres demandes des esclaves déjà expérimentés. Elle a beau être belle, elle ne doit pas savoir faire grand chose ...

Il prononça ces mots en désignant la neko. Il pensait ce qu'il disait, et tout ça lui semblait parfaitement normal. Entre les arbres, on devinait la route dallée, et il s'y engagea avec elles, prenant la direction du nord. La route était droite et monotone, mais en marchant d'un bon pas, ils auraient tôt fait de rejoindre la civilisation.

Elle écouta tout ce que le marchand d'esclave lui disait, donc si elle avait bien compris, toute les personnes qui sont capturées par des marchandes d'esclaves valent plus d'argent lorsque ceux-ci on eu leur entraînement. Est-ce qu'elle faisait une bêtise en se dirigeant tout de suite à la ville. Après tout si jamais elle avait son entraînement, elle donnerait plus d'argent à notre démone.

Morgana resta bien silencieuse, elle suivit le jeune homme dans l'allée qui se dirigeait vers la ville la plus proche se trouvant à heure d'ici environ. La sauvage avait mal au pied, elle avait de la misère à se déplacer. En sentant la faiblesse de la sauvage, notre démone tira sur les menottes et approche la sauvage contre elle.

• Notre sauvage semble être déjà épuisée de marcher la pauvre . Tout en faisant un sourire à l'homme. J'ai repensée à ce que tu as dis plutôt. Tu disais qu'il faut un entraînement pour vos esclaves, cela vous donne plus d'argent en faisant cela pas vrai ? Donc, vu que nous devons prendre une pause , bien je me disais que vous pourriez l'entraîner ici devant moi.

Quoi tant qu'à être ici pendant un temps indéterminé, autant s'amuser en regardant un homme entraîné la petite sauvage qui appartenait aux deux personnes. Elle voyait déjà des images et elle ne pouvait pas attendre plus longtemps et si jamais l'homme refusait, elle allait devoir le convaincre de le faire tout simplement.

Lorsque que les mots franchirent la bouche de la succube, Cyscek eut d'abord un sentiment d'incompréhension, et ses sourcils se froncèrent. Qu'attendait-elle de lui exactement ? Puis la solution lui vint, évidente et inévitable. Tentait-elle de se jouer de lui ? A la première réflexion, il pensait que non. Elle n'avait strictement aucun intérêt à lui demander ça, pour ensuite essayer de le rouler. Elle pouvait tout aussi bien tenter de vendre la neko par elle même, mais elle n'avait probablement pas l'expérience pour, et en ça l'esclavagiste lui servait.

Et donc, je te donnerai plus mécaniquement. Vous ne perdez pas le nord.

Normalement, éduquer une esclave prenait du temps, même pour les nekos particulièrement dociles. Mais des ébauches de connaissance pouvaient toujours servir les efforts de Cyscek et de la succube. Il s'était arrêté également, et jaugea un instant les deux femmes. L'idée de baiser cette neko sous le regard de sa "partenaire" de chasse n'était pas déplaisante, il devait le reconnaître.

L'éducation ne se réduit pas au sexe, mais cela peut lui donner de la valeur effectivement.

Il s'approcha des deux femmes, et tatta le corps de la neko. Elle était bien faite et appétissante. Sa main s'égara un instant entre les cuisses de la captive, ses doigts jouant contre la vulve de cette dernière avant de repartir d'elle même. Sa main désigna alors un carré d'herbe, sur le bord du chemin. Il comptait faire cela un jour ou l'autre, alors pourquoi pas maintenant ? Ce n'était pas une spectatrice qui allait l'empêcher d'y arriver.

Installez là ici.

Il jeta tout de même un regard derrière lui, puis devant lui. Personne à l'horizon. Le chemin était peu fréquenté, et ils ne risquaient pas grand chose, mais être découvert par un importun dans une situation fâcheuse pouvait se retourner contre eux, alors il ne voulait pas trop prendre de risque. S'avançant à son tour dans l'herbe, il ôta négligemment ses bottes pour les abandonner à l'herbe, puis fit descendre son pantalon en même temps que son caleçon. A moitié nu, il dévisageait la succube sans chercher à se cacher : son dard se dressait vers le ciel, emplit de sang et de désir. Il était bien membré, et cela se voyait d'autant plus maintenant qu'il était à vue.

Avez vous une préférence sur le début de l'apprentissage ?

Entrant dans le jeu de la succube, il la laissait choisir ce qu'elle souhaitait voir. Bien sûr, rien ne disait qu'il allait accepter, mais à voir la façon dont elle le reluquait, il se risquait même à penser qu'elle dirait ce que elle voudrait subir plutôt que la captive.