[HIBARI] Inspiration

La jeune femme passa sa main dans ses cheveux et applique une nouvelle couche d'encre de chine. Elle fixa son travail, fit la grimace et jeta la fiche. Que pouvait-elle dessiner ? Elle ne savait pas...depuis peu, elle traînait dans le jardin, elle traînait sa peur et ses angoisses, son esprit,ses idées, ses souvenirs et ... elle posa ses mains sur son front. Pas de mauvais souvenirs... elle fit de nouveau voler ses longs cheveux.

Encore une fois, elle était vêtue de beaux bijoux, de magnifiques parures, de délicates étoffes, la rendant presque sublime. " Je suis trop vaniteuse " Elle eut un rougissement violent et songea à autre chose. Il lui fallait une idée de dessin.

- Iiinnnssspiratiion...viiiens à moiii !!

Elle eut un sourire en prononçant cette phrase comme une priére. Elle voulair de l'inspiration, juste ça...

En passant prés du couloir des dortoirs, le jeune Kyoya ne savait pas trop où aller, puisque son lieu de logement se trouvait sur le toit. Celui ci n'aimait pas être en groupe et encore moin être entourer d'un monde dont il ne connaissait rien. Son oiseau, du nom d'Hi-bird, était sur son épaule en train de chanter une chanson plutôt magnifique. Une chanson mariant l'air des cerisiers avec ceux de la prairie. Le couloir était plutôt vide et Hibari se promenait comme ça, veste sur ses épaules, mais, aucun de ses bras dans les manches et étant attaché que d'un point. Celui ci passa devant une porte et crut entendre du bruit. S'arrétant devant celle ci, il remarqua que la porte était plus lisse que les autres et que la fenêtre, se trouvant au dessus de la porte, était entre-ouverte. Il entendit qu'une une sorte de priéres.

- Iiinnnssspiratiion...viiiens à moiii !!

Mais, ne voulant pas trop s'en méler, il repartit jusqu'au moment où il s'aperçut que Hi-Bird n'était plus sur son épaule. Se retournat avec un air indifférent, il la vit volé jusqu'à la fenêtre, entra et disparut, ne laissant que son chant. Soupirant, le jeune kyoya alla à la porte, toqua et entra en s'excusant:

"Gomen, As-tu vu un oiseau rentrer?"

Celui ci s'arréta et vit Hi-Bird sur la table juste devant une fille plutôt bien habillée et plutôt mignone. Malgré qu'il n'était pas insensible à leurs charmes, mais, il arrivait parfaitement à le masquer, à ce moment là, il rougissa tellement violement qu'il resorta en claquant la porte. Celui ci se mit contre la porte et atendit que son oiseau resort

- Mais, que veux-tu petit oiseau ?

Sibylle ouvrit de grands yeux devant l'oiseau devant elle, posé sur son chevalet. Il voleta autour du chevalet et dans toute la pièce, puis resta devant la porte, en piaillant. Qui était-il ? Que voulait-il ? Elle n'avait pas vu la personne qui était entrée, et n'avait pas vu la personne qui avait refermée avec violence la porte.

Elle ouvrit cette porte, et l'oiseau s'engouffra dans le couloir. Elle eut un sourire et tendit son cou à travers la porte et vit, assit par terre, Hibari. Et l'oiseau prés de lui.

- Oh ... c'est votre oiseau, monsieur ?

Elle eut un sourire attendri.

- Pourquoi n'êtes vous pas entré ? Je vous fais peur ?

Elle eut un sourire cette fois amusé.

Atendant Hi-Bird dehors, Hibari regarda à l'extérieur, rougissant toujours jusqu'au moment où la porte cogna sur sa tête. La jeune fille l'avait ouvert et Hi-bird était à côté de lui. Ensuite, il entendit le mot "Monsieur" et il pensa à voix haute :

"Monsieur ...à 16 ans....?"

Ensuite, il entendit ce que la jeune fille avait dit et, se sentant gener, il ne la regarda pas, mais, il se leva et entra dans la piéce. Car, elle ne lui faisait pas peur, juste qu'il était, pour une fois, gener. Celui ci regarda tout sauf la jeune fille et remarqua qu'elle était une déssinatrice. S'approchant de son chevalet, il remarqua Hi-bird alla sur l'armoire. Soupirant et la regardant, il lui dit:

"Tu peux venir ici, je te signale que c'est pas chez nous, Hi-Bird (nom féminin)"

Hi-Bird ne l'écouta pas et resta là où elle se trouvait. S'ennervant, celui ci détourna sa tête brusquement, regardant les dessins de la jeune fille mignone et pensa à voix haute sans s'en rendre compte

"Tout de même...elle est douée pour le dessin..."

Sibylle eut un petit rire.

- Non, je ne suis pas douée. Je ne suis qu'une prêtresse qui ne fait que prier et implorer les dieux, voilà tout.

Elle rangea tranquillement son matériel et sortit "le nectar", la seule et unique boisson des prêtresses, une boisson censée " purifier et calmer ", avec un gout étrange et indescriptible. Elle sortit deux verres, les remplit calmement et doucement, et en tendit un à Hibari.

- Tu as des animaux merveilleux, dis moi. Trop mignon.

Elle lui fit un sourire et avala une gorgée.

Celui ci regarda la jeune fille rire et n'aimait pas tellement. Mais, il ne pouvait s'empecher de rougir violement. Ensuite, il la vit ranger avant de servir du "Nectar". Ne refusant pas à cause de sa beauté, il prit le verre qu'il peut. Ce n'était pas mauvais, mais, c'est pas ce qu'il aimait. Cependant, il eut quelques compliments sur son animal "Hi-bird". Regardant le volatile qui était tranquillement sur la penderie, celui ci soupira et lui dit

"Malgré qu'elle sait chanté, elle est têtue comme une mule."

Déposant son verre sur un des meubles, celui ci activa sa bague et une boite apparut de nul part s'ouvrit après avoir insérer le modif de la bague dans la fente prévue. Ensuite, celui ci pointa sa boîte qui, en s'ouvrant, laissa passé une lumière qui fonça sur la jeune fille. Mais, avant qu'elle ne se fasse touché, la lumière s'arréta et un renard des neiges (le plus mignon des renards, c'est le renard des neiges, un renard blanc) tomba dans ses bras et commençait à lécher la joue de celle-ci. Il lécha la joue juste à côté de ses lévres, touchant un peu ceux ci. Le jeune Kyoya, lui, disait son nom ainsi que d'autres choses

"Il s'appelle Hi-fox, c'est un renard des neiges...Enfin, c'est plus un renard blanc. Il est plutôt gentil tant qu'on ne lui fait pas de mal. Sinon, tu fais quoi ici et comment ça se fait que tu vis seule, dans un dortoir, tu peux vivre avec un garçon ou une fille que tu aimes et, avec ta beauté, ça m'éttonnerait que tu n'en aies pas"

Le jeune Kyoya s'installa sur le lit, couché comme à son habitude et les bras derriére la tête, regardant vers le plafond. Celui ci avait aucune idée perverse, mais, n'aimait pas trop être debut si ce n'est que du bavardage

Sibylle eut une mine grave. Il ne connaissait pas son quotidien douloureux... elle le fixa, reposant son verre.

- Je suis une prêtresse, HIbari. Je n'ai pas le droit -normalement- d'avoir de relations amoureuses ou de fréquenter des hommes. Je fais partie des prêtresses de la Pythie, cette entité qui dialoguait avec les dieux. Nous continuons son travail, mais loin, trés loin des hommes.

Elle se resservit un verre.

- Notre quotidien est douloureux, on va dire. Nous ne nous nourissons que de nectar, fruits et légumes et pain. Nous prions tout le temps...

Elle eut un sourire ravi

- Mais merci pour ton compliment !

Le jeune Kyoya, après avoir entendu la ravisante jeune fille lui dire son quotidien douloureux en le fixant, souria. Il ne souria pas dans le style que la jeune fille était idiote, mais, il souria dans le respect qu'elle a. Mais, il n'aimait guére ce genre de coutume. Bien sur, les prêtresses peuvent croire  en la présence des Dieux, fondateur de ce monde, mais, delà à les couper de la civilisation et de la famille que certaines d'entre eux peuvent avoir, ça lui allait loin. Hibari n'a jamais aimé la religien et il était plus poussé pour le combat. Hélàs, voir l'exemple parfaite de Sibylle vis à vis de ces dieux pécheurs lui donnait encore plus de dégout pour ceux-ci. Ne disant point un seul mot, celui-ci leva la main vers le plafond et s'imagina le ciel de sa beauté suprême. Le jeune Kyoya était dans ses pensées quand, subitement, il dit à voix haute à celle qui, jusqu'ici, était d'une beauté parfaite:

"Les Dieux, quel aubaine. J'ai jamais été trés religieux, car, pour moi...Ce sont des Dieux menteurs."

Celui-ci se releva, assit sur le lit, sa jambe gauche sur le sol et la droite, relevé, sur le lit. Il avait son bras droit sur celle-ci et, en la fixant droit dans les yeux, serra ses deux poings avant de lever la gauche. La droite, avec sa bague, s'approcha de la serrure. Puis, sur le modif de la bague, une flamme apparut. Insérant celle-ci dans la boite, il visa le sol et, d'un son plutôt horrible, la boite s'ouvrit. Une lumière apparut, une lumière d'une intensité plutôt faible et un serpent apparut. Ce serpent ne porte encore aucun nom, mais, contrairement aux autres, il a un pouvoir spécial. Comme dans les contes, ce serpent permet de créer des illusions réelles. Une lumière blanche apparut, puis, un monde tout à fait divin apparut. Un ruiseau qui passait tout prés d'eux, des oiseaux qui volérent et qui se dépossérent soit à côté d'eux, soit sur eux et des animaux peuplant les environs. La scéne était absolument irréaliste, mais, elle était merveilleuse. Le jeune Kyoya, avant de se lever, était sur un rocher d'une couleur blanche. Il se leva, puis, continuant à fixer la jeune fille, celui ci mit sa main droite derriere sa tête en s'excusant :

"J'ai peut être été un peur fort en les traitant de Dieu-menteur. Mais, à mes yeux, ils me font pensés à ça..."

Ensuite, son air redevint normal. Enfin, normal, le jeune kyoya était plutôt énnervé. Ses bras étaient tendus, vers le bas et il y avait un grand espace entre ceux-ci et ses hanches. Sans le vouloir, ce dernier éleva la voix:

"...Mais, est-ce là tout ce que ces dieux-menteurs te donnent? Tu as peut etre le bonheur d'avoir l'amour de ceux-ci, mais, en échange, tu manques plusieurs choses qui font l'être-humain. Pour toi, c'est ça, être heureuse? Ou bien, tu penses que si, en faisant ce genre de sornette, tu vivrais étèrnellement? Mais, tu te trompes ! Tu gaspilles justement ta jeunesse à trop être docile façe à ses dieux-menteurs. Quand ils voyent un de leurs disciples se donner corps et âme, ils en profitent. Est-ce que tu es mieux ainsi que...que..."

Sa colére s'était, petit à petit, dissipée. Le jeune Kyoya était plutôt idiot en ce qui concerne les sentiments des autres, mais, ça ne lui interdisait pas du tout d'arréter de vivre ou bien tout simplement de continuer vers l'avant. Malgré qu'il parle froidement envers des personnes qu'il détestait vis à vis de leur connaissance, quand il vit sibylle, son air avait changé. En plus de tout, il ne l'avait jamais vu sortir. Ca l'ennervait plus que tout, car, elle gaspillait vraiment inutilement sa vie pour ces dieux-menteurs qui, en fin de compte, ne s'occupent que de leur profit. Celui-ci avait, pour une fois, les bras serrés le long de son corps. Sa tête était vers le sol, cachant ses yeux d'une ombre épaise. Tout ce qu'on pouvait distingué de son air était de la tristesse à cause des coulées de larmes qui coulérent pour, ensuite, tomber sur le sol. Mais, malgré ça, il continua:

"Est-ce que tu es mieux en priant ses Dieux...menteurs que de te sentir apprécier...de sentir constamment une attention d'un homme vis à vis de toi...de connaitre le bonheur d'être avec et de former une famille pour, ensuite, mourir à ses côtés...Est-ce là ton seul plaisir...vivre séparement d'un homme et, donc..."

Celui-ci releva brutalement sa tête. On pouvait distingué un regard triste, ce qui était rare chez lui. Il leva son bras droit, ouvrit sa main et, d'un coups, fit comme si il tranchait une plante avec une dague pour s'entrainer. Il continua toujours sur sa lancée :

"...et, donc, de te priver tout le bonheur que tu pourrais avoir juste pour une malheureuse bénédiction qui ne s'executera jamais ! Les Dieux ne se sont jamais occupés de leurs disciples, même quand ceux-ci sont sur le point de mourrir, ils les regardent, riant de leur doux foyer divin! JE TROUVE CA COMPLETEMENT STUPIDE QU'UNE FILLE FASSE CE GENRE DE CHOSE ET, PAR LA MÊME OCCASION, PERD, PETIT A PETIT, SA JEUNESSE!"

Sibylle recula violemment, heurtant son chevalet, clignant des yeux étonnées par le comportement d'Hibari. Il s'était énervé comme un fou, comme ceux qui se faisaient pendre devant les temples pour avoir osé contredire les Dieux. Elle passa sa main dans ses cheveux, l'ecoutant, choquée. Choquée de toute cette agitation, choquée de ce qu'il disait. Elle n'en revenait pas. C'était immoral !Beaucoup de gens disaient ça, mais ... Quand il se tut, elle se sentit en partie émue, mais tout autant en colére devant ces paroles.

- Respectes ne serait-ce qu'un peu mes croyances, Hibari ! Je n'en reviens pas ! Tu es certes contre la religion, et moi, je respectes que tu ne crois pas en ces choses, je ne te dis rien, et toi tu te permet de me juger ainsi. Mais ne m'insultent pas ! Tu ne me connais pas, tu ne connais pas les dieux que je prie, ni les dons qu'ils m'offrent ! Je ne te permets pas de me juger ainsi !

Elle serra les poings, toujours e le fixant.

- J'ai des dons de voyance grâce à eux. J'ai une vie qui m'offrent mon pain quotidien et de l'argent. Et je suis heureuse de tout ça. Jer ne contredirais jamais les dieux. Dés ma naissance, j'ai était choisie pour prier et vivre dans un Temple. TU ne sais pas ce que J'AI vécu il y a peu! Tu ne connais pas ma vie, tu ne connais pas ce demon qui a osé me ...

Elle se tut, les larmes aux yeux. Ce souvenir douloureux , ce viol ... elle se laissa tomber sur le sol en pleurant.

Ecoutant ce que la jolie jeune fille, le jeune kyoya mit sa main derriére sa tête. C'est vrai qu'il n'avait pas le droit de se comporter comme ça et, même si il avait un peu de respect pour les croyances, celui-ci ne changea guere son opinion. Mais, quand il entendit "Tu ne connais pas ma vie", celui-ci eut une tristesse, mais, il l'écouta toujours, spécialement la partie du "démon". Voyant qu'elle pleure, celui-ci regarda le serpent qu'il avait invoqué et, faisant apparaître sa boite, le visa pour qu'il disparut. Celui-ci regarda, ensuite, la jeune fille d'une beauté incomparable. Soupirant, celui-ci qui, d'ordinaire, n'oserait même pas touché une femme, la releva, la prit dans ses bras, posa sa main sur l'arriére de la tête de la jeune fille et l'autre dans son dos, passant par sa taille. Atendant quelques minutes pour qu'elle se calme, celui-ci se retira avant de la regarder, se crattant une joue en regardant par la fenêtre et dit :

- Pardon de m'être ennerver, mais, les dons de voyances, ce n'est pas dieu, c'est juste une partie de ton cerveau qui est reveillé. Ensuite, c'est pas lui qui te donne ton pain, ni même de l'argent et j'avoue que, niveau temple, je ne sais pas. Je dirais même plus que je suis totalement stupide en ce qui concerne ta vie. Mais, si tu penses que tu es la seule. Tu as été bénie par le dieu menteur, moi, j'ai été banni. Je suis obligé d'errer dans un monde noirs, si tu veux tout savoir. J'avoue que c'est à cause du bannissement que je n'ai plus confiance à ce dieu, mais...si tu penses que ta vie est vraiment la plus désastreuse...regarde celle des autres. Aucun ami sauf mes animaux. Je ne suis qu'un simple humain et, pourtant, je posséde des objets magiques qui, au fur et à mesure de leur emploie, diminue ma vie. L'energie de ma bague est généré par mon sang et mon energie vital. Bien sur, je sais le rattrapé en une nuit, mais, sais tu la douleur que ça procure? Et puis, toi, tu as des personnes. Moi, je ne suis qu'un simple solidaire, repus de tous et aimant la baguarre, signe que je me bats contre ces dieux menteurs qui, jadis, m'ont trahis. Et puis, tu sais, si tu comptais énormément pour cet espéce d'hypocrite, il te serait venu en aide façe à ce démon qui t'a, vu ton regard, violer.

Tendant la main vers celle-ci, le jeune garçon qui n'allait pas influencé plus que ça la croyance de la jeune femme la regarda dans les yeux. Celui-ci termina son dialogue par :

- Donne moi ta main et, après m'avoir dit ton nom, suis moi. Je serais un bien meilleur gardien que ton "dieu". Bien sur, il faut faire un des fameux pactes d'un livre de la bibliothéque, mais, si tu es d'accord, tu auras l'aide que tu as besoin.

Sibylle l'avait écoutée en reniflant, avec un air plutôt pitoyable. Certes, il avait raison, et elle le savait un peu au fond d'elle. Mais elle avait le cerveau detruit, et ne pensait plus, non , plus à rien. Elle se frotta les yeux à la fin de son discours et attrapa sa main. Evidemment, elle allait le suivre, comme toujours. Elle lui faisait confiance, et lui ferais toujours confiance. Toujours ... Mais auparavant, elle ouvrit son armoire, en sortant une bouteille, et lui deposant dans les mains.

- Une boisson guerison. POur mieux te regenerer, et moins souffrir. Bois en un peu chaque jour. je te fais confiance, à toi de me faire confiance.

Elle referma son armoire, jetant un "sort " de protection, et se signa bizarrement. Puis se retourna vers lui.

- Je te suis.

Prenant la bouteille, celui-ci la regardait. C'est pas qu'il n'a pas confiance, mais, il ne pense pas que cette "bouteille" ferait quoique ce soit à sa douleur. Mais, dés qu'elle se retourna vers lui, il la prit par la main et, sortant de la chambre, alla au fond du couloirs, ouvrant une chambre vide remplie de livres. Entrant avec elle, celui-ci alluma la lumière, puis, ferma la porte avant de prendre un livre et de le donner à Sibylle. C'était un des fameux pactes "humains" dont le passage se passait, le plus souvent, physiquement. Après avoir donné le livre, celui-ci alla s'assoir contre le mur et, atendant quelques minutes qu'elle le lise, lui demanda:

- Alors.....Tu veux faire quel pacte? Ce livre est un des fameux livres du pacte humain. C'est surtout le plus simpliste. Mais, j'avoue que les pratiques sont....comment dire....un peu jambe en l'air "^^. C'est pour ça que je te laisse choisir si tu tiens toujours à faire ce pacte et si c'est toujours oui, je te laisse le choix de voir quel pratique tu veux faire....J'ai confiance en toi, t'en fais pas.

( trop heureuse de me voir dans ta signature )

Sibylle bafouillait. Elle ne comprenait pas tout, lisant des choses nommées impies pour elle. Elle haussait les sourcils, rougissait, prenait des têtes étranges, grimçait, relisait ... Pour enfin souffler un grand coup. Elle inspira, eut un sourire quelque peu forcé.

- Je ne comprends pas tout, tu sais.

Elle feuilleta, relisant, regardant quelques illustrations qui lui semblaient amusantes, et finalement fixa le jeune homme.

- Hibari. Je ne sais pas quoi choisir? je prefere te faire confiance. Une bonne fois pour toute? je veux te faire confiance. Tu comprends ? A toi de choisir.

-hj- Normal, vu que tu rp avec moi -.- Toi et Muchuu, mais, comme muchuu, c'est avec Lavi et qu'elle n'a plus postée "^^

Hibari la regarda, mettant sa main derriére sa tête et n'eut plus aucune idée, celui-ci soupira, se plia en deux pour prendre le livre et, l'ouvrant pour regarder, il regarda denouveau les pages en lisant. Ca dura deux à trois minutes avant qu'il s'arréta sur une page et il s'agenouilla, mettant le livre par terre. Celui-ci dit, ensuite

-C'est surement la meilleure méthode pour une religieuse comme toi. Tout les autres pratiques sont...comment dire...un peu déshonorant pour une sainte femme, car, ils ne parlent que de contacts humains. Celui-ci est simple, ce qu'on doit faire est tout simplement un contact des lévres, puis, celui d'un marquage du même embléme sur une partie de notre corps à chaqu'un. C'est soit ça ou alors, c'est...enfin, comment dire, c'est soit cette pratique, soit celle un peu....erotique...

Celui-ci referma le livre avant de regarder la jeune fille et, d'un coups, lui demanda

-Tu voudrais faire quelle embléme? Je verrais bien une croix, vu que tu es une religieuse. Enfin, pour moi, ça serait dur. Enfin, je te laisse comme même choisir, soit c'est la pratique la moin sexuelle ou les autres qui sont...enfin, je te laisse deviner.