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Une nuit... de folie ? ( Pv )

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Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 15 samedi 21 décembre 2013, 02:07:51

« Han oui, enculez moi fort, WOOF ! C'est si bon de sentir votre grosse queue ! Baisez-moi comme une chienne, Maitresse ! WOOF, WOOF, WOOF ! »

La Maîtresse ne put qu’émettre un léger sourire. Sa petite pute n’avait, sur ce point, guère à s’inquiéter : c’était bien là tout ce que Mélinda comptait lui faire subir. Les sodomies s’enchaînaient sur les fesses de Maëlys autant que les morsures sur son cou. Mélinda était aussi bien amatrice du sang de ses délicieux esclaves, que de leurs croupes. Or, celle de Maëlys avait pour elle d’être toujours aussi serrée que si ça avait été sa première sodomie. Un détail anatomique que Mélinda ressentait de plus en plus, et qui rendait ses fesses très attirantes. Sentir cette espèce de rigidité au bout de sa queue céder progressivement, s’enfoncer lentement, progressivement, dans le corps de son esclave, c’était une sensation divine, exquise. Mélinda en avait mal, elle aussi, car elle devait forcer le passage, en donnant de forts coups de reins, mais c’était tellement... Tellement bon qu’elle s’en accommodait fort aisément, se motivait en giflant les fesses de Maëlys. Ses claques résonnaient dans la pièce, et elle se délectait également des aboiements excités et frénétiques que Maëlys poussait en se dandinant devant Mélinda, à quatre pattes sur le sol.

Comme elle était loin, maintenant, cette époque où sa belle et jeune esclave tremblait quand Mélinda devait s’en prendre à ses fesses. À force de sodomiser de jeunes femmes effrayées, Mélinda avait fini par accueillir une certaine méthode, une certaine procédure. Elle entamait assez rarement une sodomie brutale et rapide, préférant généralement préparer le terrain, attiser le feu, réveiller les braises en soufflant dessus, jusqu’à ce que le terrain soit bien mûr pour déclencher un feu de cheminée. Avec Maëlys, c’était le schéma qu’elle avait fini par instaurer, qu’elle faisait initialement pour rassurer et exciter cette dernière, et qu’elle employait maintenant pour le plaisir de la frustrer un peu. Si le corps de Maëlys restait toujours aussi beau et laissait s’échapper une impression délicieuse d’innocence, l’esprit de sabelle esclave, lui, avait magnifiquement mûri, pour se tourner de plus en plus vers la débauche, la dépravation, et les plaisirs sexuels honnis par les prescriptions religieuses.

« Hummm... Ton cul est... Haaa... C’est si étroit, hmmm !! »

L’effort physique exigé dessinait des plaques rouges sur le corps de Mélinda, qui suait de plus en plus. Elle continuait à s’enfoncer, et donnait des coups de reins de plus en plus puissants, son sexe lui donnant l’impression d’être un atome de sang, entièrement rouge, à force de se frotter contre les parois de l’intéressée. À aucun moment, il ne sortit complètement de sa croupe. Mélinda le faisait tout simplement glisser à l’intérieur, déformant peu à peu le conduit anal de la jeune femme, douleur et plaisir se confondant sous la recette de la luxure dans un même ensemble jouissif. Les minutes se diluaient, fondant comme neige au soleil sous l’activité physique intense que cet exercice requérait.

« HAAAAN !! HAAAAAANN !! Salope, haaaaa !! HAAAAAAAAANN !! Petite pute !! »

Entre plusieurs soupirs, Mélinda insultait copieusement son esclave, rythmant également les ébats par quelques gifles supplémentaires généreusement distribuées sur sa croupe. Comme elle le lui avait dit, la vampire n’envisageait nullement d’être tendre avec elle, de l’épargner. Elle l’humiliait, la rabaissait au simple rang de jouet sexuel, et se donnait du courage en l’insultant, laissant les obscénités s’échapper de ses belles lèvres.

Peu à peu, défoncer le cul de Maëlys devenait de plus en plus agréable, comme si elle avait traversé une zone de turbulences, avant de finalement atteindre une situation plus paisible. Les parois se dilataient, s’écartaient, facilitant le glissement. Ce n’était pas rapide, et il fallut attendre de nombreuses minutes, persévérer pendant un certain temps, pour que Mélinda puisse alors respirer, et pleinement enfoncer son sexe dans le fondement de Maëlys, accentuant ses coups de reins. La vampire haletait, les mains moites, et continuait à gifler les fesses de Maëlys de temps en temps. Son sexe se perdait dans le corps de sa belle, et ses ongles pointus glissaient le long des fesses de la femme.

C’est dans ces conditions que Mélinda eut son premier orgasme en sodomisant la femme. Elle laissa s’échapper une série de profonds soupirs, fermant les yeux en sentant la vague venir des tréfonds de son corps, se concentrer à hauteur de son chibre, avant de s’expulser par jets successifs dans le corps de la femme. Le sperme acheva de dilater le cul de Maëlys, tandis que le reste des spermatozoïdes inféconds de Mélinda se faufilèrent dans le ventre de son esclave. Naturellement, son sexe restait toujours aussi tendu, l’avantage d’être une femme membrée disposant d’un sexe d’origine magique, et elle continua donc sa sodomie.

Elle n’allait pas s’arrêter en si bon chemin, après tout.

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Maëlys

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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 16 samedi 19 novembre 2016, 06:05:02

[HRP] Trois ans plus tard... :-[



C'était tout naturellement que j'offrais ma croupe à ma Maîtresse adorée, et très franchement je ne le regrettais absolument pas ! Il est vrai que son membre massif de futanari, enfoncée entre mes fesses, était assez douloureux, me poussant à souffler ou à serrer les dents par moment... mais mon cul avait été bien préparé, grâce aux longues minutes passées à le doigter et le lécher. Et puis ma Maîtresse prenait également soin de moi pendant l'acte, s'enfonçant lentement en moi pour que mon corps puisse s'habituer à la largeur de son sexe. Une délicate attention, qui rendait cette sodomie beaucoup plus agréable.

En un sens, c'est comme si Melinda me faisait tendrement l'amour. J'étais aux anges !

* Mmmmhh... han, j'adore sentir la belle queue de Maîtresse en moi... c'est si bon d'être votre petite chienne, WOOF ! ~♥

Malgré ses lentes pénétrations, mon orifice restait étroitement serré autour de son membre. Oh, il s'adaptait, bien sûr, mais légèrement, juste assez pour ne pas avoir à trop forcer le passage. Je crois que c'est ce qui lui plaît chez moi, hihi, peu importe le nombre de fois où elle m'a sodomisée, ou les journées entières passées avec un godemiché entre les fesses, mon anus restait toujours aussi étroit que celui d'une pucelle. Et, au fond, ce n'était pas si mal... Ça me pousse certes à faire plus d'effort pour l'accueillir en moi, mais sentir mes chairs s'écarter à chacune de ses pénétrations, et se resserrer autour du chibre tendue de ma Maitresse... hum, c'était si bon que j'en étais accro ! 

Pendant que Mélinda prenait son temps, moi je prenais mon pied, mais je savais que ça n'allait pas durer. Non, ce n'était qu'un avant-goût de ce qui allait arriver. Elle avait d'ailleurs déjà commencé a accélérer la cadence de ses coups de reins. Et mon corps était prêt à les recevoir. Je tournais la tête et regardais ma Maîtresse par dessus mon épaule, pendant que ses hanches claquaient contre mes fesses. Je la regardais droit dans les yeux, me mordillant la lèvre, gémissant à chaque pénétrations. Un regard plein de sous-entendu, qui pouvait tout aussi bien révéler ma gratitude -"Merci Maîtresse"-, mon plaisir -"C'est si bon, Maîtresse"-, ou ma supplication -"Encore, s'il vous plaît Maîtresse, encore plus fort"-.

* Ah ah ah ! Woof ! Woof !

Ses insultes résonnaient comme des mots doux, et ses fessées comme des caresses, auxquelles je répondais joyeusement par des aboiements, comme la bonne chienne que j'étais. Ses coups de reins devenaient de plus en plus fort, à mesure que mon orifice s'ouvrait à elle. Ils étaient si violents que je ne parvenais plus à maintenir ce contact visuel avec ma Maîtresse. Ses pénétrations étaient vives, profondes, et faisait trembler mon corps à une cadence effrénée. J'essayais tant bien que mal de maintenir mes appuis sur le tapis de fourrure, mais rester concentrée était difficile tant cette sodomie me rendait folle de plaisir. Si bien qu'à un moment, ma main glissa, et le coup de bassin suivant me propulsa par terre, la joue contre le sol. Mélinda ne ralentissait pas, et continuait à me pilonner le cul avec ardeurs. Ho et puis au diable la concentration ! Je me laissais aller, m'offrant complètement à la sodomie. Mes aboiements étaient devenues des cris de plaisirs, purs et involontaires, rythmés par ses délicieux va-et-vient entre mes fesses.

* Maitreeeeeesse !!

Et c'est ainsi que ma Maîtresse venait de me donner mon premier orgasme. Intense ! Cependant, elle ne s'arrêtait pas. Elle n'avait pas encore eu le sien après tout. Des giclées de cyprine avaient éclaboussé ses cuisses et les miennes, coulant chaudement le long de nos jambes, ajoutant des sons humides aux claquements de nos corps. Mes jambes flageolaient, j'étais haletante, et avais du mal à résister aux assauts de Mélinda, mais j'essayais tant bien que mal de tenir bon. Heureusement, il n'y avait que mon cul qui prenait cher. La situation aurait été différente s'il s'agissait de mon vagin, qui serait devenu trop sensible après l'orgasme pour pouvoir continuer... L'un des avantages de la sodomie.

Mélinda continuait donc sa sodomie, pour son plus grand plaisir, et le mien. J'avais l'esprit encore embrumé par cet orgasme, et de sentir les pénétrations vigoureuses de ma Maîtresse me défoncer les fesses... mmmhh ! A peine eus-je le temps de redescendre sur Terre qu'un deuxième orgasme, fulgurant, vint m'emporter au septième ciel.

* AAAAAHHH !

Cette fois je ne parvenais plus à me tenir sur les genoux. Toute frémissante, encore plus haletante, je me laissais tomber par terre, allongée sur le ventre, le chibre de ma Maîtresse toujours chaudement enfoncée entre mes fesses. Ces deux orgasmes si rapprochés m'avaient rincées ! Et elle n'allait pas tarder à jouir elle aussi. Elle continua à me sodomiser encore un moment, jusqu'à ce que de puissantes giclées ne viennent inonder mon cul de sa semence chaude. Han, c'était tellement bon ! Tellement, que je fût happée par un troisième orgasme, qui finit par m'achever. J'étais à bout de souffle, le corps crispé, du sperme qui parvenait presque miraculeusement à couler de mon orifice, malgré le large membre autour duquel il était encore étroitement serré.

La soirée venait à peine de commencer, et cette première sodomie m'avait déjà complètement épuisée... mais passer une folle nuit d'amour avec ma Maîtresse était trop beau pour que je laisse filer une telle occasion ! Je n'avais pas dit mon dernier mot, et comptait bien en profiter du début à la fin, jusqu'à la dernière minute. Reprenant mes forces, je parvins à me relever lentement, et à me tourner vers elle, chuchotant doucement.

* Oh, maitresse...

Alors que je me relevais davantage, rapprochant mon visage du sien... la porte de la chambre s'ouvrit, et l'une des femmes du harem entra timidement.

* Euh... m-maitresse Mélinda ?

Non mais vraiment ? Ça ne lui est pas venu à l'esprit qu'elle dérangeait un moment important là !? Très contrariée, je répondis brusquement, avant que Melinda ne puisse le faire.

* Au cas où ça ne se voit pas, Maîtresse est occupée là, alors tu serais gentille de repasser demain.

J'ajoutais, en balayant l'air avec ma main.

* Allez !
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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 17 lundi 21 novembre 2016, 23:04:29

Mélinda, en réalité, aimait énormément sa petite Maëlys. Elle était, outre très belle et très soumise, également très perverse. La vampire savait combien de temps elle passait à se préparer, à muscler ses petites fesses pour pouvoir recevoir le vit de sa Maîtresse. Mélinda était donc là, sur le lit, à la sodomiser brutalement, sans pouvoir se calmer, ni se retenir. Elle accéléra progressivement le rythme, en sentant, comme à chaque fois, la raideur de ce beau cul. Les fesses de Maëlys avaient du mal à se dilater, ce qui faisait que chaque sodomie était un sport brutal avec elle. Il fallait se donner à fond, et c’était bien là tout ce que Mélinda allait faire. Sa verge heurta donc son cul étroit, ce fin trou, et elle dut se reculer, crispant ses mains sur ses hanches, puis retourna en avant, tapant encore contre ses fesses. Elle sentit le petit trou se dilater progressivement, et grogna encore, soupirant et gémissant profondément, tout en commençant à sentir ses joues s’empourprer sous l’effort.

Le cul de Maëlys se détendit progressivement, et Mélinda fonça donc en elle, la pénétrant rudement. C’était là toute la force de la vampire, car, maintenant qu’elle avait enfin réussi à se dégager un agréable passage, dans lequel sa queue allait et venait, s’enfonçant jusqu’à la garde, elle ne jouit pas. Elle aurait pu, mais retint son orgasme, et fit durer le plaisir, se délectant des hurlements et des gémissements de Maëlys. Cette femme était vraiment particulière. Outre son corps, la vampire adorait aussi boire son délicieux sang, très savoureux, et qui lui avait fait comprendre que la femme n’était pas une humaine. Elle avait un sang trop bon, trop pur, pour être une simple humaine, même si Mélinda n’avait pas encore déterminé qui elle était vraiment.

Et, en l’état, ça ne l’empêchait nullement de lui prendre le cul, et de la bourrer joyeusement.

« Hmmm... Hmmmmmmm... !! »

Elle sentit Maëlys avoir son premier orgasme, ce qui la stimula davantage. Les orgasmes anaux avaient souvent quelque chose de magnifique, et ce n’était pas pour rien que Mélinda adorait la sodomie. Là, dans ce cul étroit, elle avait dû batailler pour pouvoir placer sa verge, à coups de trique, de gifles, d’ongles griffant sa douce chair moelleuse. Et, maintenant, Mélinda savourait, avec cette énergie insatiable qui la caractérisait si bien. En ce moment, elle ne cherchait pas à battre un record, c’était tout simplement une sodomie « normale « avec Mélinda, soit quelque chose de particulièrement long et d’intense. Peu à peu, Maëlys n’avait plus la force d’aboyer, et se contentait de hurler, puis, ensuite, de gémir et de soupirer. Les minutes filaient à toute allure, sans que rien ne semble la calmer.

Mélinda soupirait longuement, encore et encore, poursuivant ses efforts. Ses reins tapaient contre le corps de la belle Maëlys, qui finit par partir vers l’avant, courbant son corps, soulevant son délicieux cul. Mélinda sourit. Elle sentait de la sueur commencer à couler le long de ses joues, et résista à la tentation d’agripper les cheveux de Maëlys pour la relever, et pouvoir continuer à la baiser avec force et envie.

*Ton sang bouillonne toujours aussi fort, Maëlys...*

La nuit ne faisait que commencer, de plus... Il était donc dans l’intérêt de Maëlys de reprendre du poil de la bête, car la belle vampire était encore loin, bien loin, d’en avoir fini avec elle.

« Hrrrmpfff... Allez, haaaa... Allez, ma petite pute, on se réveille ! »

Mélinda continuait sans interruption. Elle n’allait pas s’arrêter pour si peu ! Au moins, comme ça, le cul de son amante s’était redressé contre son mât, qui continuait à la labourer. Encore, encore, encore ! Mélinda finit néanmoins par diminuer un peu sa vitesse, au profit de puissants coups de matraque, retirant sa queue presque totalement, avant de s’enfoncer dans un coup sec, provoquant de délicieux claquements de chair quand sa peau heurtait la sienne.

« O-Oui, haaaa... Hmmmm, Maëlys, haaaaaa... »

Sous ce traitement puissant, son esclave la gratifia d’un troisième orgasme, recouvrant les draps du lit de mouille, tandis que Mélinda finit enfin par atteindre le point de rupture. Tout son corps sembla se figer, et elle retint un soupir, sa tête basculant vers l’arrière, son dos voûté se redressant, pour lui permettre d’expulser tout ce foutre... Et là, tandis qu’elle jouissait, sa main agrippa les cheveux roses de son esclave, et les tira vers l’arrière, soulevant son lourd corps, tandis que, avec son autre main, elle donna de grosses gifles sur le beau postérieur de la jeune femme, se répandant en elle.

Un orgasme magnifique, qui fut à l’image de cette sodomie : long, et intense. Pendant une bonne minute, sa queue se mit à tressauter dans le doux cul de Maëlys, la remplissant de son nectar.

« HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM... !!! »

Lèvres closes, Mélinda soupirait, et les ouvrit ensuite, les figeant dans un silencieux cri de plaisir, fermant les yeux en sentant les vagues revenir en elle. Dieu, c’en était si bon qu’elle en avait même mal ! Elle expulsa encore du foutre, ayant l’impression que sa queue était en train de grossir démesurément à chaque fois, pour finalement se décharger totalement. Sa main relâcha les cheveux de Maëlys, et sa servante s’effondra ensuite sur le lit, Mélinda se retirant à son tour, finissant assise sur les fesses, en sueur, et la respiration haletante.

« Haaaa... Haaaaa... Pfffffiouhhh... !! »

Il s’écoula un petit moment. Mélinda oscillait entre son sexe, recouvert d’un liquide blanc, poisseux, qui semblait s’être collée à sa verge, et le cul de Maëlys, ouvert comme un boulevard, avec son foutre qui en sortait... Puis son esclave remua un peu, et se retourna. Elle se mit à quatre pattes, toujours aussi magnifique à voir... Et même encore plus maintenant, avec ses cheveux légèrement dséfaits, son corps en sueur, ses lourds seins remuant de gauche à droite, et ce regard de désir profond brûlant dans ses tendres yeux. Elle s’approcha d’elle comme pour l’embrasser, et Mélinda commençait déjà à entrouvrir ses lèvres...

...Quand la porte s’ouvrit brusquement sur une servante.

Presque immédiatement, le désir, dans les yeux de Maëlys, se mua en une pointe d’agacement, et d’un geste de la main, elle congédia l’inopportune. Mélinda fronça alors les sourcils, et se racla la gorge, tandis que l’esclave, troublée, ne savait plus quoi faire.

« Non, entre ! »

La jeune femme hocha la tête, et s’approcha. Ses talons claquèrent sur le sol, et elle tenait, dans une main, un plateau comprenant plusieurs verres abritant un liquide carmin, très vif et très sombre. La jeune femme s’appelait Azura, et portait deux oreilles de lapine, d’élégants collants, une minijupe noire très courte, un débardeur blanc du même acabit, et portait un vibromasseur dans les fesses, terminé par un pompon blanc.

« Voici votre rafraîchissement, Maîtresse ! »

Elle se rapprocha donc, et posa le plateau sur la table de chevet, puis se redressa. L’odeur de sexe était très perceptible, et son regard oscilla entre la queue de sa Maîtresse, recouverte de foutre, et le beau cul de Maëlys, qui laissait du sperme suinter. Ses joues s’empourprèrent alors, et Mélinda sourit.

« Bien... Azura, assieds-toi sur le lit, à droite de moi... »

Maëlys était à sa gauche, et Azura obtempéra, puis la main de Mélinda caressa le visage de la jeune Azura. Les deux étaient maintenant à hauteur de ses jambes, et elle caressa le visage de Maëlys avec son autre main.

« Maëlys... Je t’aime énormément, tu sais ? Tu es une esclave incroyablement talentueuse, à la peau très douce, très servante, et terriblement perverse. Tu as de nombreuses qualités, ma chérie, mais... Car tu te doutes qu’il y a un ‘‘mais’’... Tu as beau m’appeler ‘‘Maîtresse’’, ma puce, et faire l’objet de mes sévices sexuels, tu n’as toujours pas compris cette notion, et ce qu’elle signifie vraiment. »

Comme pour l’empêcher de donner sa réponse, Mélinda posa son pouce sur les lèvres de la jeune femme, et l’enfonça dedans.

« Être ta Maîtresse signifie que je te suis supérieure, car tu es mon esclave. À ce titre, tu m’es donc inférieure, c’est-à-dire que je peux faire tout ce que je veux sur toi. Et toi, tu aimes ça. Je le sais, ma chérie, car tu es amoureuse de moi, tout comme l’est Azura... Mais, chez toi, cet amour s’accompagne d’une forme de jalousie qui signifie que, si tu aimes être mon inférieure, quelque part en toi, tu te vois comme mon égale. Et ça, ma puce, je ne peux pas l’accepter. Mais je refuse de me séparer de toi, car je t’aime tout simplement trop... À la manière dont une Maîtresse aime son esclave. Alors, si j’ai convié Azura, c’est pour te perfectionner, et pour que tu acceptes pleinement d’être vraiment une esclave. Tu comprends, ma chérie ? Notre nuit d’amour, c’est aussi ça... À la fin, je veux que tu sois une bonne esclave. Autrement... Autrement, tu te heurteras à ma communauté. Chaque fois que je couche avec quelqu’un d’autre, et que tu es là, je sais que tu es jalouse. Oh, j’aime ça, et c’est même normal, en un sens, car une esclave veut toujours les faveurs de sa Maîtresse, mais... Tu l’es juste un peu trop. Alors, on va lutter contre ça, mon bébé, et, quand nous en aurons terminé, tu participeras avec joie à mes orgies, et je pourrais enfin faire de toi une courtisane de luxe ! »

Mélinda retira son pouce, non sans l’avoir remué dans la bouche de la femme, à la recherche de sa langue, puis lui sourit.

« Maintenant, commençons par un test... Azura ! Viens me sucer la queue ! Et toi, Maëlys, je veux que tu regardes cette fellation, et que tu me dises ce que tu ressens ! Ne t’avise pas de me mentir, je le saurais ! »

Azura, sans attendre plus longtemps, se rapprocha du sexe de sa Maîtresse, le caressant avec sa main, puis le prit en bouche, et commença à le pomper...
« Modifié: mardi 22 novembre 2016, 18:04:52 par Mélinda Warren »

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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 18 mardi 22 novembre 2016, 17:33:36

* Non, entre !

Quoi ? Mais, mais non ! Pourquoi Melinda l'invitait à rentrer, nous étions si bien rien que toutes les deux ! Je la suivais des yeux, les sourcils froncés. En soi je n'avais rien contre Azura, c'était une femme adorable. Seulement, là, j'étais en pleine nuit d'amour avec ma Maîtresse, et elle débarquait comme un cheveu sur la soupe. Alors, forcément, ça me mettait de mauvais poil.

Je me tenais à genoux, près d'Azura et face à Mélinda. Pendant qu'elle m'expliquait les raisons de sa présence ici, je sentais mon anus béant frétiller, et du sperme encore chaud couler sur mes chevilles, puis sur les draps. Je souriais, et mon regard s'illuminait, non pas à cause de l'état dans lequel elle avait ravagé mon cul, mais avec tout les jolis compliments qu'elle m'adressait. J'étais très heureuse de savoir qu'elle m'aimait tant... enfin, je le savais un peu, mais de l'entendre comme ça de la bouche de ma Maîtresse, ça me touchait beaucoup !

Malgré tout, je comprenais bien qu'au fond, elle me grondait. Et elle avait ses raisons. Mais moi aussi ! Alors que je m'apprêtais à lui expliquer que j'avais conscience de ces défauts, et que si je n'étais pas aussi parfaite, c'est justement parce que je l'aimais tellement... elle me fit taire, et poursuivit. Je ne bronchais pas, et l'écoutais religieusement, tout en lui léchant tendrement le pouce qu'elle avait glissé dans ma bouche.

Elle mentionna alors un test, pour jauger mes réactions. La première pensée qui me traversa l'esprit, c'était ô combien la belle verge de Maîtresse était appétissante ! Belle, grosse, et bien tendue droit devant, encore chaude de notre sodomie, et couverte d'une luisante couche de sperme. J'aurais adoré la lécher, et la sucer ! Mais bon, c'était Azura qui s'en chargeait...

* Ça... ça ne me pose aucun problème, Maitresse...

Ce qui était vrai. Un peu. Au fond, cette envie de fellation, c'était surtout un caprice de gourmande. Et, en l'occurrence, quelqu'un d'autre profitait de la friandise. Un peu frustrant, certes, mais rien d'insurmontable. En tout cas, j'y croyais...

Au début, ça ne me dérangeait pas trop de la regarder faire.  Mais, au fur et à mesure que le temps passait, Azura la suçait avec une ferveur croissante, et Mélinda semblait y prendre de plus en plus de plaisir. Et ça commençait à me mettre de plus en plus mal à l'aise. Je dirais même à carrément m'irriter ! Mais je restais calme, enfin plus ou moins. Pour ça je dû détourner le regard de cette scène, me mettant à fixer le mur avec un soudain intérêt, tout en croisant les bras, soulevant mon opulente poitrine. Ce faisant, mes sourcils se froncèrent et mes joues gonflèrent légèrement, réflexe involontaire typique lorsque je boudais.

* Je...

Je savais que Maîtresse attendait une réponse, et évidemment honnête, mais il me fallu un petit moment avant d'y parvenir. L'entendre prendre du plaisir, juste à côté de moi, mais sans moi, c'était...

* C'est pas juste ! Nous étions supposées passer une folle nuit d'amour, rien que Maitresse et moi, et je ne veux pas partager Maitresse avec Azura ! Et puis, et puis je suis tout à fait capable de prendre soin de Maitresse, et de lui procurer tout le plaisir qu'elle réclame, toute seule, Maitresse n'a pas besoin d'elle ! Je vous aime, Maitresse, et je veux pouvoir satisfaire à tous vos désirs ! Et je ne comprends pas pourquoi vous voulez qu'elle vous suce la queue alors que je pourrais certainement la sucer bien mieux !

Voilà. J'avais débité ça très rapidement, comme si je tenais une patate brûlante dont je voulais me débarrasser au plus vite. Mais au moins, c'était dit. Je voulais Maitresse rien qu'à moi. Je me rendis alors compte que je n'étais pas toute seule. Même si Azura avait la bouche pleine, elle pouvait quand même m'entendre... Je m'empressais alors d'ajouter.

* Mais, hum, ne le prends pas mal Azura, hein.
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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 19 mardi 22 novembre 2016, 18:53:44

Mélinda pouvait lire dans Maëlys comme dans un livre ouvert. Au début, sa belle esclave réussit à se maîtriser. Azura, malheureusement pour elle, n’était pas une esclave inexpérimentée. Comme un bon nombre d’esclaves, Azura avait pour mère une esclave de Mélinda, et était donc née au harem. Elle avait été offerte à Mélinda, et était donc née esclave. Elle avait donc eu des années pour s’expérimenter, et était, par conséquent, redoutable. Le pluganal qui remuait dans son fondement ne la dérangeait nullement, et elle suçait sa queue avec appétit, gémissant, soupirant, la recouvrant de sa salive, filant d’avant en arrière dessus. Douée, elle prenait tout son temps, et Mélinda se mit peu à peu à soupirer, crispant sa main sur le visage d’Azura, enfonçant ses doigts dans ses cheveux, son autre main se crispant sur la joue de Maëlys.

« Haaa... Haaaannnn... Hnnnnn... »

On pouvait entendre les onctueux gémissements et soupirs de la Maîtresse, qui décomposèrent peu à peu Maëlys. Azura se retirait, permettant ainsi de voir, le long de ses lèvres, la hampe de chair de la vampire grossir et enfler. Un spectacle difficile à soutenir, et Maëlys, les joues rouges, croisa alors les bras, tournant la tête. Mélinda retira alors sa main, et l’observa, un sourire amusé perlant sur ses lèvres.

*Même quand elle boude, elle est irrésistible !*

Cinq minutes s’étaient écoulées depuis qu’Azura avait commencé à s’attaquer à son membre, et Maëlys n’en pouvait plus. Son sang tambourinait furieusement dans son corps, et elle finit par observer à nouveau sa Maîtresse, puis exprima enfin toute sa jalousie. Azura en sursauta légèrement, mais il en fallut plus pour la stopper. Elle continua donc à sucer le chibre de sa Maîtresse, longuement, creusant ses joues en aspirant l’air entre ses lèvres, puis continuait à s’enfoncer dessus, jusqu’à sentir ce vit taper contre sa gorge.

Maëlys parla donc, puis s’excusa ensuite auprès d’Azura. Mélinda se racla alors la gorge, et tira sur les oreilles de lapine d’Azura, qui se redressa, libérant la verge de Mélinda. Une belle queue, bien droite, maintenant, et recouverte de salive. Une magnifique glace, très appétissante à voir. Azura haletait profondément, tout en clignant des yeux, les joues rouges, son cœur semblant sur le point d’hurler dans sa poitrine.

« Ai-je bien entendu ce que tu as dit, Maëlys ? Laisse-moi te citer... ‘‘Je ne veux pas partager Maîtresse avec Azura’’... ‘‘Pas. Partager’’. »

La vampire soupira alors, en regardant Maëlys.

« Depuis quand suis-je quelque chose que TU partages avec d’autres, hm ? »

Mélinda bondit alors sur Maëlys, et la coucha sur le lit. Elle avait beau être plus petite qu’elle, Mélinda était très forte, car disposant de sa nature vampirique. Sa main pinça alors douloureusement l’un des tétons de Maëlys, pendant qu’Azura s’était relevée, et allait chercher divers outils.

« Je suis TA Maîtresse, Maëlys ! C’est MOI qui TE partages avec d’autres, sale chienne, pas l’inverse ! Voilà pourquoi la jalousie est une graine dont il faut se méfier, car, quand elle se développe, elle inverse les choses. La jalousie est le fruit de l’amour, mais elle le corrompt progressivement, comme un cancer nocif. Tu dis que je suis ta Maîtresse, mais tu agis comme si j’étais ton jouet, que tu devais partager avec d’autres ! »

Elle se redressa ensuite, se mettant à califourchon, et pinça l’autre sein de Maëlys, avec sa seconde main.

« Je t’aime énormément, Maëlys, au risque de me répéter, mais je ne peux pas tolérer ce genre de comportements. Il n’y a pas que ton amour que je veux, mais aussi ta soumission. Si c’est mon plaisir de coucher avec toi et avec d’autres personnes, de quel droit oses-tu remettre cela en considération, petite catin ? Il est temps que je te rappelle que, avant toute autre chose, tu n’es rien d’autre que mon esclave, ma petite PUTE ! »

C’était une punition, mais elle ne faisait que commencer. Mélinda se redressa alors.

« Azura va t’attacher pendant que je me prépare pour te punir, Maëlys. Et, quand j’aurais fini de te punir, tu seras une belle petite esclave obéissante, et non plus cette mégère jalouse et aigrie que tu commences à devenir. »

Des mots durs, assurément, mais, aussi aimante que soit Mélinda, Azura était bien placée, là aussi, pour savoir que sa Maîtresse ne plaisantait pas avec la discipline. Elle ne disait donc rien, mais fit signe à Maëlys de la suivre. De fait, elles n’allèrent pas bien loin, quittant juste le lit, puis Azura lui manda de se relever, et attacha ses poignets à des chaînes qui pendouillaient en hauteur, tout comme ses jambes. Maëlys se retrouva ainsi accrochée par les poignets et par les chevilles, jambes légèrement écartées, pendant que Mélinda s’habillait, enfilant une tenue plus appropriée pour la punition qui allait venir. Un ensemble noir en latex, comprenant un corset, de longs gants noirs, des jarretelles, et une culotte. Elle attrapa ensuite un fouet, et se rapprocha de Maëlys, en étant dans son dos.

« Je vais te fouetter dix fois, Maëlys. Et, à chaque coup, tu me diras que tu es une traînée, et que tu es désolée d’être jalouse, et que tu me supplies de bien vouloir te pardonner. Tâche d’être convaincante, ou je te punirai vraiment, en sodomisant Azura sous ton nez ! »

Mélinda crispa sa main sur la manche du fouet, puis arma ce dernier, amenant son bras vers l’arrière...  Et partit vers l’avant, emmenant le fouet avec elle. Le long projectile décrivit un sifflement, puis le bout du fouet franchit le mur du son, provoquant un fort claquement sonore en atteignant le cul de Maëlys, mordant sa fesse droite.

*TCHAAAACC !!*

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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 20 mercredi 23 novembre 2016, 14:24:00

Je ne me rendis pas tout de suite compte de la boulette que je venais de dire, mais Mélinda ne tarda pas à me le faire remarquer.

* Ai-je bien entendu ce que tu as dit, Maëlys ? Laisse-moi te citer... ‘‘Je ne veux pas partager Maîtresse avec Azura’’... ‘‘Pas. Partager’’. Depuis quand suis-je quelque chose que TU partages avec d’autres, hm ?

* Euh, bah, je...

Eh bah je bafouillais, c'est tout. Je me sentais un peu honteuse, et assez gênée. Elle avait raison, c'est vrai que ça n'était pas très correct de dire ça à propos de Maitresse. Il était bien présomptueux de penser que je n'avais ne serait-ce qu'un moindre mot à dire sur ce que Maitresse aimait faire. En y réfléchissant, c'était une attitude qui était davantage digne de la petite amie jalouse que de l'esclave obéissante. Ne sachant trop quoi lui répondre, je me contentais de baisser les yeux, comme une fautive s'étant faite prendre la main dans le sac et n'ayant pas d'excuses, et d'avouer simplement.

* Oui, vous avez raison Maitresse...

Mélinda me sauta dessus, assez forte pour me maitriser sans difficulté -non pas que j'oserais lui résister-, et s'assit sur moi. J'eu alors droit à un long sermon, sur mon attitude, et mon insubordination, pendant qu'elle me pinçait fortement les tétons, pour s'assurer que je comprenne bien qu'elle ne plaisantait pas. Impuissante, les coudes près du corps et les mains au niveau de mes épaules, je poussais un long cri et me tortillais de douleur, soulevant le corps de la vampire avec mon bassin. Le supplice était terrible, je gémissais à chacune de mes expirations, tout en regardant ma Maitresse, une lueur de soumission et de regret dans les yeux. J'écoutais ses paroles, et la perspective de recevoir une punition me glaça le sang, bien plus que d'avoir les tétons pincés. Je me souviens encore de ma première fois avec Mélinda, avant que je ne devienne son esclave, et de son sarcophage aux pointes acérées qu'elle appelait la Vierge de Fer. Bon, je n'y ai jamais eu droit, et je ne pense pas qu'aujourd'hui cela changera, mais rien que d'y penser était une menace suffisante en soi. Mélinda ne plaisantait pas avec ce genre de chose...

J'acquiesçais, et souffla de soulagement lorsqu'elle relâcha enfin la pression de mes tétons, que je massais pour atténuer la douleur. Je déglutissais faiblement, n'ayant aucune idée du châtiment qui m'était réservée, et m'attendant au pire. Je suivis tout de même Azura, à quelques pas de là, et la laissa m'attacher comme Maitresse l'avait demandé. Je n'essayais même pas de l'amadouer, ayant trop peur qu'elle ne s'énerve et rende la punition pire encore. C'est alors qu'elle me l'annonça.

* Je vais te fouetter dix fois, Maëlys. Et, à chaque coup, tu me diras que tu es une traînée, et que tu es désolée d’être jalouse, et que tu me supplies de bien vouloir te pardonner. Tâche d’être convaincante, ou je te punirai vraiment, en sodomisant Azura sous ton nez !

Dix coups de fouets... Bon je ne me faisais pas d'illusions, j'allais passer l'un des pire quart d'heure de ma vie, mais en soi ça allait, non ? Enfin, c'est ce que je pensais, naïvement.

* Ou-oui, maitresse...

Je serrais les dents, prête à recevoir la punition de ma Maitresse. Mais même en étant prête, je n'étais pas très douée pour supporter la douleur. Et lorsque le coup de fouet cingla sur mes fesses...

* AAAAAHHH !!

... il m'arracha un hurlement de douleur ! Mon corps entier se crispa, cambré, pour m'éloigner le plus possible du fouet. C'était une réaction somme toute assez inutile, étant attachée et à la merci dudit fouet, mais cela tenait davantage du réflexe qu'autre chose. Je criais, me tortillais. Et, aussi, bizarrement, je mouillais.

Je ne savais pas si j'avais toujours eu ça en moi, ou si ça venait de l'éducation que j'ai reçu de Mélinda... mais les coups de fouets avait cet étrange effet sur moi. C'était un peu comme une sensation en trois phases. Au début, il provoquait une douleur insupportable, et très vive. Puis, cela s'estompait un peu, pour laisser place à une sensation plus agréable. La douleur était toujours là, irradiante, mais atténuée, plus supportable, et étrangement excitante. Enfin, celle-ci s'estompait aussi, pour ne plus laisser qu'une cicatrice cuisante, que l'on a envie de masser avec de la pommade, comme un dur retour à la réalité.

Ainsi, aussi douloureux soit-il, le fouet de Mélinda parvenait à éveiller mon excitation. Même si j'étais trop occupée à gémir et à la supplier pour en profiter.

* Han, han, je suis désolée maitresse, je suis vraiment désolée, je ne suis qu'une PUTE et je n'aurais jamais dû vous parler comme ça ! HHAAAAA !!

Un deuxième coup claqua, me faisant bondir et m'arrachant un nouveau hurlement. Le pire n'était pas la douleur du claquement de fouet en lui-même, le pire était que cette douleur venait s'ajouter à celle encore toute fraiche de la précédente. C'était terrible ! Cependant je ne pouvais pas m'empêcher d'en éprouver une petite dose de plaisir... petite, mais suffisante pour me faire mouiller de plus belle.

* Gnnnh ! Pardon maitresse, pardon pardon pardon ! La SALOPE que je suis n'est là que pour recevoir les coups de bite de sa Maitresse, pas remettre en question son autorité, j'ai bien compris la leçoooOOONN !

Les coups de fouets s'enchainaient, encore et encore, suivit de mes hurlements, tandis que je sautillais et me tordais de douleurs. Mes excuses étaient sincères, mais la punition suivait son cours. Six longues marques rouges vifs zébraient maintenant la peau blanche de mes fesses rondes, et des filets de cyprines gouttaient le long de mes cuisses. Allez, Maëlys, courage, plus que quatre à supporter...

* GYYYAAAAAAHH !!

Le septième coup claqua, et me fît craquer. Malgré la douleur intense qui me brulait presque littéralement le cul, mon corps avait atteint un tel niveau d'excitation que je venais de jouir sous les coups de fouets de ma Maitresse. J'avais encore du mal à saisir un tel paradoxe, entre mon esprit qui criait intérieurement sous la douleur, et mon corps qui parvenait à en tirer du plaisir. En tout cas, le fait est qu'une flaque de cyprine s'étendait entre mes jambes flageolante.

* Pitié, maitresse, je ne recommencerais plus... j'ai été trop possessive envers vous, et je le regrette... Je serais une bonne esclave, plus jamais je ne ferais de remarques déplacées...

C'était quand même une sacrée promesse que je faisais là. J'avais bien conscience que je ne pouvais pas changer mes sentiments pour ma maitresse du jour au lendemain, et que ça allait demander beaucoup de temps et de travail. Mais éviter les remarques et tenir ma langue, ça, c'était déjà un peu plus envisageable. Et puis c'était un bon début, non ?

* S'il vous plait, Maitresse... plus de coup de fouet... je ne recommencerais plus...

Après cet orgasme, mes jambes ne parvenait plus à me supporter, et je pendais aux chaines, me balançant doucement. Une pensée me traversa alors brièvement l'esprit. Ce devait être un sacré spectacle que je donnais à Azura. Mais j'étais trop occupée à gérer mes propres émotions et sensations pour m'intéresser à ce qu'elle pouvait penser de moi en ce moment. Tout ce que j'espérais, c'était que Mélinda écoute mes supplications, et pose ce fouet. J'avais déjà enduré beaucoup, et c'est vrai qu'il ne me restait plus que trois coup de fouets au compteur. Mais je n'en pouvais plus, et à ce stade, même pour seulement trois, ça demandait de gros effort...
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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 21 mercredi 23 novembre 2016, 18:52:15

C’était l’heure de la punition. Une correction nécessaire. Mélinda savait que sa petite Maëlys était une fine fleur fragile, et que sa délicate peau supportait mal des douleurs supérieures aux fessées, mais Mélinda avait plutôt bien musclé son cul. Elle la fessait régulièrement, tout en la sodomisant également. Autrement dit, le cul de son esclave s’était endurci à la douleur, ce qui devrait atténuer un peu sa souffrance... Et puis, dans le cas contraire, il fallait bien qu’une punition en reste une, après tout. Mélinda, en tout cas, ne ressentirait aucune gêne à l’idée de la punir ainsi. Certes, Maëlys avait longuement attendu cette nuit, mais il y avait une finalité derrière tout ce que la vampire faisait en ce moment. Les coups de fouet étaient là pour marquer le coup, et pour que la belle esclave aux cheveux roses comprenne que, cette fois-ci, elle avait dépassé les bornes.

Le fouet repartit donc, et, tandis que ce serpent de cuir repartait dans sa tanière, tout en s’apprêtant à siffler de nouveau, Mélinda sourit en percevant les oscillations sanguines de son esclave entre ses cuisses.

*Petite traînée... J’étais quasiment sûre que ça t’exciterait.*

Elle sourit donc, et abattit à nouveau le fouet, en poussant un petit cri d’accompagnement, et l’arme mordit l’autre fesse, faisant encore hurler Maëlys, son corps rebondissant d’avant en arrière, provoquant le cliquètement métallique des chaînes. Un concert délectable de bruits. Azura, elle, était aux premières loges pour assister à ça, car elle s’était mise devant Maëlys. Elle avait donc une vue impeccable, voyant le magnifique corps de la jeune femme, ses lourds seins, son ventre tendu, sa bouche s’ouvrant, ses lèvres s’arquant en un magnifique cri de souffrance, la sueur coulant de ses mèches, ses belles joues rouges, ce mélange de douleur et de plaisir se dessinant dans la prunelle de ses yeux... Oh oui, tout ça était magnifique ! Elle en souriait joyeusement, se mordillant les lèvres, sentant des frissons la parcourir.

Quand le fouet claqua encore, Azura se mordilla les lèvres, détournant les yeux, oscillant des jambes, approchant l’une de ses mains de sa minijupe, et se caressa donc, enfonçant ses doigts dans sa chatte, sa mouille glissant également. Comme Maëlys, Azura adorait ce genre de sévices corporels, même si, contrairement à elle, elle l’admettait sans ombrage. Maëlys, tout en se faisant punir, n’oubliait pas de satisfaire aux conditions de sa Maîtresse. Elle parlait d’une voix forte, laissant parler son imagination et son instinct. Il n’y avait pas de manipulation, pas de : « Je-dis-ça-pour-lui-faire-plaisir ». La douleur et l’excitation formaient un savoureux cocktail qui noyait ce genre de mensonges. Maëlys parlait tout simplement avec son cœur, et, en ce moment, Mélinda la croyait sincère, même si elle ignorait jusqu’à quand Maëlys aurait la philosophie de la bonne esclave.

En attendant, elle la fouettait, encore, sentant, peu à peu, au fur et à mesure que le fouet remontait et descendait, l’adrénaline monter en elle. Ses coups s’accentuèrent un peu, meurtrissant son beau petit cul, et elle soupirait, mouillant elle aussi. Elle adorait entendre Maëlys crier, de sa belle petite voix douce et fluette, l’entendre dire des insanités, elle qui avait l’air si « pure », et savoir qu’elle était en train de mouiller, c’était comme une pointe finale à son excitation.

*Je peux la pousser jusqu’à l’orgasme, il suffit juste de... Frapper un peu plus fort...*

Sa main se serra davantage sur la poigne de son fouet, et elle donna un nouveau coup, plus puissant encore, qui claqua durement dans la pièce, et fit hurler sa jeune et belle esclave. Cette fois, sa cyprine était visible, glissant le long de ses jambes, formant une petite flaque qui s’épaississait sur le sol, et que Mélinda regardait avec appétit, oscillant entre cette flaque et le cul de la jeune femme, bien rouge, zébré de lignes rouges. Le fouet repartit encore, la vampire acquérant la conviction que Maëlys allait jouir avant la dizaine de coups... Et frappa encore.

*TCHAAAAAACC !!*

Le fouet mordit à nouveau, tandis que Maëlys, cessant de s’excuser, promit de ne plus jamais être jalouse,  tout en jouissant. Son corps s’affaissa sur place, et, sans les chaînes pour la retenir, la jeune femme serait probablement tombée. Elle respirait lourdement, et frissonnait sur place, le fouet étant reparti en arrière. Mélinda, néanmoins, ne l’abattit pas, mais ne dit rien non plus, comme si elle réfléchissait, et les secondes s’étirèrent, se multiplièrent, rompues par les quelques sanglots étouffés que la douce beauté émettait.

Sept coups de fouet, donc...

*Pas mal, je l’ai bien formée, mine de rien...*

Maëlys était épuisée, et la vampire marcha alors, faisant claquer ses talons... Et relâcha son fouet, qui tomba doucement sur le sol. Elle se rapprocha alors, et posa ses mains sur les fesses de Maëlys, sentant cette dernière frémir.

« Hmmm... Je suis dure, Maëlys, mais je suis juste. »

Elle l’embrassa alors dans le creux du cou.

« Malheureusement, ton petit cul n’est plus bon à rien pour la nuit... Et j’ai encore très envie de t’enculer bien fort, ma chérie. Alors... Je vais aller chercher un baume, qui soignera tes fesses, ma chérie. »

Néanmoins, avant de partir, Mélinda mordilla un peu le cou de la femme, et déplaça ses mains. Maëlys put alors sentir les mains gantées de sa Maîtresse pincer tendrement ses tétons, tandis que, contre ses fesses, le mât érigé de la virilité de Mélinda tapait dans sa croupe, heurtant son magnifique popotin. Oui, Mélinda n’allait pas pousser la punition ainsi. Maëlys ne méritait pas de souffrir inutilement, car la vampire ne lui avait pas menti. Elle adorait beaucoup sa belle esclave, et, même si elle savait qu’il faudrait plus que sept coups de fouet pour éteindre sa jalousie, elle espérait au moins avoir franchi un premier pas significatif.

Elle termina par un baiser sur la joue de la jeune femme, et quelques mots dans le creux de son oreille :

« Et la prochaine fois, tu jouiras en cinq coups, ma puce... »

Mélinda s’écarta alors, faisant encore claquer ses talons, et ouvrit une porte. La plupart des chambres du harem comprenaient une salle de bains privée, et elle se rendit dans la sienne, cherchant un baume curatif venant d’un guérisseur ashnardien. Azura, de son côté, décroisa les bras, et se rapprocha de Maëlys, puis lui sourit tendrement, en caressant sa joue d’une main, l’autre venant masser l’un de ses seins.

« Tu sais... Je t’envie, Maëlys. Et pas parce que tu as des seins énormes, et une peau très douce, mais... »

Azura se mordilla les lèvres, avant d’ajouter :

« Moi, je suis née esclave, je connais Maîtresse depuis bien plus d’années que toi, mais, quand elle dort avec ses esclaves, elle parle souvent de toi. Elle aimerait bien dormir avec toi normalement, mais elle avait peur que ta jalousie ne provoque des situations bloquantes. »

Des situations nerveuses, oui, car, quand Mélinda dormait, c’était toujours avec trois esclaves. L’une à gauche, l’autre à droite, et la plus chanceuse sous elle, son corps lui servant d’oreiller. Le rôle des trois esclaves était de la faire dormir, et de s’assurer, par moult câlins, baisers, et caresses, que leur Maîtresse dormirait paisiblement.

« Maîtresse t’aime vraiment beaucoup, Maëlys... Peut-être est-ce pour ça qu’il y a une partie de toi qui voudrait la conserver juste pour toi... Mais ce n’est pas comme que ça marche, ma belle. La première chose qu’il faut admettre quand on sert Mélinda, c’est qu’on lui est inférieure, parce qu’elle est notre Maîtresse. Je sais qu’elle t’a sodomisé avant que je ne vienne, et je sais que ça a dû te rincer... Mais elle, elle était prête à continuer pendant longtemps. Elle s’est retenue pour toi, Maëlys, pour que tu te reposes, et puisses repartir ensuite... Notre Maîtresse est comme ça, elle nous pousse jusqu’à nos limites, alors il faut bien être plusieurs pour pouvoir la contenter, non ? Et puis... »

Azura sourit alors, et se rapprocha davantage, venant déplacer sa main du sein de Maëlys jusqu’à son autre joue, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.

« Tu sais... Si tu veux de moi ce soir, je te révélerai comment faire plaisir Maîtresse quand elle se réveille, et qu’elle dort sur toi... Crois-moi, c’est une méthode infaillible ! »

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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 22 samedi 26 novembre 2016, 09:10:58

* Han... han...

Un silence pesant envahissait la pièce, que seul mes halètements rompaient. A force de crier et de me tortiller, j'avais fini par être à bout de souffle. Et l'orgasme que je venais d'avoir n'avait vraiment pas arrangé les choses. Je restais muette, donc, et attendais, l'estomac noué, la réaction de Maitresse...

C'est alors que je l'entendis s'avancer, ses talons claquant derrière moi. Allait-elle poursuivre ma punition ? J’espérais que non, mais je sentais que ces espoirs étaient vains. Mélinda était dure, et intransigeante, et si elle estimait que je méritais dix coups de fouets pour mon insolence, ce n'était pas des supplications qui allaient la faire changer d'avis. Quelle cruche j'étais, pourquoi est-ce que je l'avais supplié !

Maitresse posa alors délicatement ses mains sur mes fesses meurtries, provocant chez moi un vif sursaut, un peu de surprise mais surtout car la douleur était encore cuisante. Cependant, son baiser, le doux contact de ses gants, et la gentillesse de ses mots m'apaisèrent. Je ne m'étais pas encore remise de mes émotions, et ne répondis pas tout de suite, mais j'étais aux anges. Alors c'était fini ? Maitresse n'allait plus me fouetter !? J'acquiesçais silencieusement, heureuse. Ho oui, mes fesses avaient grand besoin d'un peu de soin. Surtout si je voulais continuer à servir Maitresse, car comme elle-même l'avait précisé, et comme son sexe en érection témoignait, la nuit était loin d'être terminée. Je comptais bien lui offrir encore mon cul, autant de fois qu'elle pourra y jouir, dedans ou dessus.

* Et la prochaine fois, tu jouiras en cinq coups, ma puce...

Sa remarque me fit rire, un rire nerveux qui dura le temps d'un soupir. Reprenant ma respiration, je parvins à me redresser lentement, les joues rouges et des mèches de cheveux collées ici et là par la sueur. Il faut bien avouer que jusque là, la nuit avait été plutôt intense ! Je lui adressais un regard plein de gratitude, et la suivit des yeux, pendant qu'elle se dirigeait vers la salle de bain.

Azura en profita pour me prendre à parti, elle qui n'avait pas manqué une miette du spectacle. J'écoutais ses propos, tout en appréciant ses caresses. Je doutais que la peau de mes fesses soit si douce maintenant, mais il était vrai que ma poitrine était généreuse, d'ailleurs mon sein ne tenait même pas dans sa main. Cela dit les siens étaient pas mal non plus, une poitrine volumineuse et harmonieuse. Arriverais-je à les prendre toute entière dans mes mains ? Cette pensée me fit sourire. Je jetais un bref coup d'oeil vers la porte, impatiente de retrouver ma Maitresse, avant de reporter mon attention sur ma consoeur. Et ce qu'elle confessa me laissa sans voix.

Mon sourire s'effaça un peu, pour prendre une expression penaude. Je n'y avais jamais songé sous cet angle, en fait...

Je savais qu'elle passait toujours ses nuits avec quelques femmes du harem, pour une tendre séance de caresses avant de s'endormir. Cependant, j'ai toujours cru que, si Maitresse ne m'y avait jamais convoquée, c'était parce qu'elle ne me jugeait pas digne, qu'elle préférait la compagnie d'autres esclaves. Je n'aurais jamais imaginé non plus que Maitresse puisse parler de moi aux autre femmes. Autant dire que cette révélation était bouleversante ! Et elle remettait en perspective beaucoup de choses... Il me fallu un certain moment pour appréhender la nouvelle, et réaliser que c'était ma jalousie qui en quelque sorte sabotait notre relation, entre Maitresse et moi.

Alors que j'étais plongée dans mes pensées, un tendre baiser d'Azura me ramena à la réalité, un baiser auquel je répondis affectueusement. Elle était adorable ! Je savourais ces instants de douceurs, en remuant doucement au bout de mes chaines.

* Je... je ne sais pas quoi dire... je ne savais pas. Hum, merci d'avoir partagé ça avec moi...

Une petite pause, pour réfléchir, et un nouveau coup d'oeil vers la salle de bain, avant de reprendre.

* Et bien, pour être franche, oui, ça m’intéresserait beaucoup ! Comme tu le sais, je n'ai encore jamais dormi avec Maitresse, du coup je ne sais pas exactement comment ça passe. Quand on y pense ce serait un peu comme ma première fois, hihi. Si tu as des conseils à me donner, pour que ça se passe bien, et que Maitresse soit contente, ce serait vraiment super ! Tu pourras même me montrer cette fameuse technique aussi ! Je t'en serais vraiment reconnaissante.
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Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )

Réponse 23 dimanche 27 novembre 2016, 18:02:34

Azura lui sourit, et l’embrassa encore sur les lèvres, tout en continuant à masser sa généreuse poitrine. La belle femme avait posé chacune de ses mains sur les seins de Maëlys, et, effectivement, l’esclave disposait d’une poitrine opulente, solide et ferme. Tandis qu’elle les massait, et qu’elle pinçait les tétons, elle souriait, en songeant que, pour l’exercice auquel elle pensait, le corps de Maëlys serait parfait. Elle hocha donc la tête, et embrassa encore Maëlys.

« Je comprends pourquoi Maîtresse aime tant tes lèvres, Maëlys, elles sont si douces... Oh oui, crois-moi, tu vas adorer ce que je vais te proposer, c’est le meilleur réveil possible ! Et, avec tes seins, Maîtresse va pouvoir se servir... Nous ne somme spas des rivales, Maëlys, tu vois ? Seul compte le bonheur de Maîtresse. Si elle n’est pas heureuse, nous ne pouvons pas l’être non plus, tu n’es pas d’accord ? Alors, il faut tout faire pour qu’elle le soit ! »

Ce fut sur ces dernières paroles qu’Azura se tut, non sans une lueur malicieuse brûlant dans son regard, car Mélinda revint de la salle de bains. Elle tenait une fiole, une bouteille qu’elle avait acheté chez un guérisseur ashnardien, et se rapprocha, ses talons claquant encore sur le sol. Elle avait attrapé un chiffon, et l’imbiba avec le liquide, puis commença à masser les fesses de Maëlys.

« Ça va piquer un peu, au début... Aide-là à passer la douleur, Azura, joue avec ses seins... »

Il ne serait pas nécessaire de réitérer cet ordre. La belle esclave aux cheveux bleus se précipita sur les lourds obus de Maëlys, retournant les presser, et approcha sa bouche de l’un d’eux, venant le lécher, mordillant le téton, tirant dessus, faisant preuve de toute son expertise. Son corps permettait aussi de faire contrepoids, permettant à Mélinda de bien masser ses fesses. C’était un simple geste médical, mais la vampire lui donnait clairement une connotation sexuelle, et pouvait entendre les cordes tirer et craquer quand le corps de sa servante remuait lentement, d’avant en arrière. Elle était enivrée par ça, par ce contexte sonore, que ce soit le craquement des cordes, ou, encore plus excitant, les baisers d’Azura sur ses seins, les soupirs de Maëlys, tout ce plaisir qui était en train de monter entre elles.

Mélinda massait donc ses belles fesses, sans relâche, pendant de longues minutes, afin que, peu à peu, le plaisir n’éloigne la douleur. Azura, de son côté, suçait les seins de l’esclave aux cheveux roses, allant sur l’un, puis sur l’autre. Sa langue filait sur le téton, appuyant dessus, et elle se contentait parfois de juste déposer une série de baisers sur cette bosse moelleuse et tendre.

« Il est important d’entretenir les fesses de Maëlys, Maîtresse aime beaucoup ton petit cul... »

La vampire malaxait son fessier, tout en déposant une série de baisers dans le cou de la femme, et elle en profitait pour venir narguer son esclave, mordillant sa chair en caressant le bas de son dos avec sa queue. Son membre tapait sur le haut de ses fesses, avant de remonter le long de la chair de Maëlys, sa queue se coinçant entre le ventre de Mélinda et le dos de Maëlys, s’appuyant sur sa chair, avant que Mélinda ne reparte en arrière. La vampire jouait ainsi avec son corps, et, pour ne rien arranger, Azura alla finalement glisser l’une de ses mains entre les cuisses de sa partenaire. Ses doigts se posèrent sur sa fleur intime, et elle les enfonça doucement, nichant deux doigts, glissant d’avant en arrière, souriant en sentant le liquide de plaisir suinter le long de ses doigts, et mordilla un peu plus le sein dont elle était en train de s’occuper.

Ainsi prisonnière, Maëlys se tortillait d’avant en arrière, et ce traitement dura encore un certain nombre de minutes. Mélinda malaxait son beau petit cul, qui restait toujours un peu rougi, mais la souffrance devait avoir disparu. Elle avait d’ailleurs cessé d’utiliser des chiffons, optant pour ses mains. Ses gants glissaient sur les fesses de la femme, tandis qu’elle continuait à l’embrasser, léchant son cou.

« Je crois n’avoir encore jamais utilisé le latex sur toi... J’espère que tu aimes ça, Maëlys, car moi, c’est mon petit fantasme... Et il faut bien que je le partage avec toi... Mais, pour l’heure, maintenant que ton petit cul va mieux, je crois que, pour faire définitivement passer le souvenir des coups de fouet, il mérite bien de regoûter à ma queue, non ? »

Azura sourit en retour. Qui irait refuser une sodomie de Mélinda ? Elle ne demandait même pas à Maëlys son avis, lui posant une question purement rhétorique, et enfonça ensuite l’un de ses doigts dans le fondement de la jeune femme, le faisant tournoyer, y adjoignant rapidement un second, et sembla satisfaite, l’anus de Maëlys étant encore très dilaté. Cependant, tandis qu’elle faisait ça, Azura s’était écartée, délaissant enfin les seins de Maëlys, qui étaient maintenant bien tendus, et fourra ses doigts dans sa bouche, léchant ainsi le fin nectar qu’elle avait récupéré dans la fontaine de son amante. Tout en faisant ça, elle retira sa culotte, et on put alors observer, sans trop de surprise, que sa source s’était également abreuvée. Elle se caressa alors, venant se masturber énergiquement, posant son autre main sur son sein, le pinçant à travers son décolleté. Ses joues rougirent rapidement, sous l’effet dui plaisir, et elle se masturba encore, en gémissant.

« Haaaa... »

Voir la belle Azura se faire plaisir, c’était un spectacle magnifique. Avec ses lunettes qui glissaient le long de son nez, et ses oreilles de lapine qui remuaient, elle était très mignonne... Mais le cou du spectacle vint quand, à force de se masturber, elle fit sortir de son sexe une épaisse verge. Recouverte de mouille, sa virilité se dressait, et Azura respirait lourdement, en reprenant des forces.

« Hmmmm... Pffff... Haaaaaa...
 -  Allez, Azura, nous avons assez fait attendre Maëlys ! Elle a dit quelques bêtises, mais elle avait néanmoins raison... C’est SA nuit. Alors... Ne la faisons pas attendre plus que nécessaire, hein, ma chérie ?
 -  O-Oui, Maî... Maîtresse... »

Azura rejoignit donc Maëlys, avant de lui sourire, son membre en érection caressant sa peau.

« Offre-nous de beaux hurlements, Maëlys, ça fait des semaines que j’attends de pouvoir te pénétrer, ma chérie... »

Elle posa une main sur sa queue, et la guida en elle, puis déplaça ensuite ses deux mains, et les posa sur chacune des fesses de Maëlys. Mélinda, elle, posa les siennes sur les moelleux seins de Maëlys, et pinça les deux tétons...

...Puis, ensemble, harmonieusement, elles la prirent fort, et commencèrent à la baiser.

DC d’Alice Korvander.

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