Dire que, à la base, Maëlys avait été une arrogante petite humaine qui avait refusé de voir la chance immense qu’elle avait eu quand Bran avait décidé de la capturer pour en faire son nouveau jouet. Oui, sa petite esclave avait bien changé depuis. Il n’y avait même pas eu besoin de la droguer pour ça, seulement de l’ouvrir au sexe. Maëlys était maintenant une esclave dévouée, qui, malgré ses quelques défauts, restait l’une des plus belles perles de Mélinda. Elle méritait bien que sa Maîtresse lui consacre entièrement l’une de ses nuits. Les deux femmes se faisaient l’amour, et c’était à la fois tendre et brutal. Tendre, car il s’agissait après tout de deux femmes belles, aux formes voluptueuses et désirables, mais brutal, car elle la prenait aussi fort qu’elle le pouvait. Sa constitution vampirique lui permettait de tenir Maëlys, ce qui n’était pas un mince exploit, car son esclave, comme beaucoup d’autres de ses esclaves, était plus grande qu’elle. Ses mains s’enfonçaient dans sa chair, à hauteur de ses jambes, remontant parfois pour s’appuyer sur ses fesses, se pressant dessus. La sodomie était la grande passion de Mélinda, et cette passion était contagieuse avec ses esclaves, comme Maëlys.
Son membre glissait en elle, s’enfonçait dans une cavité trempée et gluante. C’était toujours la même litanie, toujours les mêmes gestes, mais Mélinda n’arrivait pas à s’en lasser. En même temps, comment se lasser, quand on couchait avec des femmes aussi belles que sa Maëlys ? De plus, Maëlys avait pour elle de faire preuve de cette inventivité et de cette rapidité d’adaptation qui caractérisaient les humains. Ainsi, tout en se faisant pénétrer, elle continua à aiguiser le feu qui brûlait dans le corps de sa Maîtresse. Elle la gifla sur les fesses, ce qui fit frémir Mélinda, qui poussa un petit couinement, avant d’aller sucer l’un des gros seins de Maëlys. Étant plus petite qu’elle, sa tête était directement nichée dans ses seins, et elle eut donc juste à la déplacer pour s’attaquer voracement à son téton, pinçant le bout de son sein entre ses lèvres et ses dents, veillant à ne pas la mordre, tandis que sa langue allait jouer avec le téton, comme si c’était un bouton sur lequel il fallait appuyer. Elle le léchait, remontant sa langue sur cette surface ronde. Le doigt de Maëlys s’enfonça alors dans son fondement, et, avec son autre main, elle s’avança pour caresser les testicules du sexe masculin de Mélinda, faisant gémir cette dernière. Désormais, c’était elle seule qui supportait le poids de Maëlys, et elle devait également remuer son corps. En sentant les doigts jouer avec ses testicules, la verge de Mélinda sembla grossir encore plus. Comme elle n’était pas naturelle, il était possible d’accroître sa taille ou pas. Concrètement, Mélinda aurait pu la faire pousser sur un bon mètre, mais elle trouvait cela ridicule, et c’était également très épuisant pour le corps. Cependant, sa verge grossit encore un peu, continuant à perforer le corps de la petite Maëlys, cette humaine rebelle, soumise, mais qui avait plus tendance à considérer Mélinda comme une amante dominatrice que comme sa Maîtresse et supérieur naturelle.
Elle la laissait donc s’amuser, galvanisée par les cris, les soupirs, et les gémissements de sa petite pute. Sa main alla également gifler les fesses de Maëlys, mais, contrairement à l’humaine, Mélinda y alla plutôt franco. Malgré sa petite taille, elle avait une force importante, du fait de sa nature vampirique. Par conséquent, le coup se fit sentir, résonnant dans la pièce, faisant vibrer les doigts de Mélinda, qui pressa ensuite cette fesse, tout en allant lécher le creux entre ses seins. Sa langue remuait, avide, tandis qu’elle gémissait et soupirait. Son membre avait bien durci, et il devenait douloureux, même pour elle. Elle soupirait et grognait, serrant les dents, et ce fut à cet instant que Maëlys la poussa. Les deux femmes s’étalèrent sur le grand lit, au milieu des draps.
« Ha ! » s’exclama Mélinda.
Son sexe glissa hors du corps de Maëlys, et elle se rua sur elle. Sous le corps de Maëlys, Mélinda répondit fiévreusement à son baiser, remuant lentement ses jambes sur les draps, tout en levant sa main, afin de la gifler fermement, sur le bas du dos, puis sur les fesses. Son autre main, elle, saisit la nuque de son esclave, et elles s’embrassèrent ainsi, leurs langues jouant ensemble, leurs seins se pressant l’un et l’autre. Les fines couvertures collaient, les entourant, renforçant cette chaleur qui s’installait entre eux. Ah, Maëlys... ! C’était un comble de le dire pour une vampire, mais Mélinda était bel et bien aux anges, sous les charmes de sa petite pute adorée. Énergique, Maëlys était très heureuse ici, et c’était la plus belle des choses à voir pour Mélinda : une esclave qui acceptait pleinement son statut, qui acceptait avec joie d’être son inférieure... Enivrée à cette idée, Mélinda préférait se dire que Maëlys était enjouée à l’idée de coucher avec sa Maîtresse, plutôt que par celle de coucher avec son amante.
Maëlys se redressa donc, et s’empala sur le sexe de Mélinda, glissant rapidement. Son vagin étant déjà bien lubrifié, elle put ainsi l’enfoncer dans son corps, et Mélinda se tortilla, poussant un long cri de plaisir.
« Haaaaaaaaaaaaaaaa.... !! Huuuummm !! »
Le lit, solide, ne craquait pas, et Mélinda posa ses mains griffues sur les hanches de Maëlys, la regardant avec un sourire ravi sur ses belles lèvres. Maëlys se laissait aller, en proie à une espèce de danse électrique, tout son corps dansant au-dessus du sien. Elle était épuisée, de la sueur s’échappait de ses cheveux, et ses belles joues rouges semblaient inviter Mélinda à la mordre encore. Elle avait déjà bu de son sang, et elle ne pouvait donc pas se permettre de recommencer... Mais c’était tentant ! Seulement, si elle le faisait, Maëlys serait bonne pour dormir, et elle ne pourrait plus profiter de son corps...
*Pourquoi la Nature est-elle aussi cruelle pour me soumettre à de tels choix ?*
Maëlys dansa pendant plusieurs minutes, une danse si magnifique que Mélinda ne pouvait que l’observer. Sa verge était mise à rude épreuve, et, alors que le mouvement décroissait, elle finit par jouir. Ses mains se serrèrent un peu plus, ses dents se crispèrent en une sorte de rictus, et elle se laissa aller, sentant son sperme jaillir, explosant dans le corps de la femme. Elle se mit à soupirer de plaisir devant cette scène, yeux clos, son corps tressautant à chaque giclée de sperme. Elle jouit ainsi pendant trente secondes, avant de rouvrir les yeux. Son érection n’avait quasiment pas diminué, un autre avantage d’être un vampire, et de disposer d’une constitution surnaturelle, ainsi que d’un contrôle des flux sanguins.
« Parfait... Si j’avais la capacité d’enfanter, Maëlys, tu... Hum... Je crois que tu porterais notre fille dans ton ventre... »
Elle savait que cette idée ne pourrait que lui faire plaisir. Et, à dire vrai, si Mélinda avait trouvé un moyen de lutter contre sa stérilité, elle aurait probablement fait à Maëlys l’honneur d’être sa porteuse.
« Est-ce que tu es déjà épuisée, ma belle ? » demanda alors la vampire en se redressant.
Elle alla lécher l’un de ses seins, avant de frotter le téton avec son nez, glissant ce dernier sous le sein, soulevant ainsi cette belle bosse.
« La nuit ne fait pourtant que commencer, Maëlys... Tu as voulu être ma petite pute pour toute la nuit, et c’est ce que tu vas faire... Je vais te baiser pendant des heures, jusqu’à ce que le jour se lève...Tu baigneras dans mon sperme, et je vais tellement te latter le cul que tu ne pourras même plus mettre une culotte dessus. »
Autant lui annoncer le programme, c’était toujours plus excitant... Non ?