L’homme, nu, était entièrement soumis à Ivy... La scientifique n’avait jamais vraiment été une dominatrice, plutôt une séductrice, qui séduisait les hommes pour obtenir ce qu’elle voulait, avant de les oublier. Avec Squall, elle avait un mode de pensée assez différent. Même de la part d’un humain, soit un être moins intéressant que des plantes, se faire appeler « Maîtresse » était toujours délicieux à entendre. Nu, l’homme se rapprocha de Seika, et vint la pénétrer. Il glissa son sexe en elle, et les yeux de Seika s’écarquillèrent brièvement, de plaisir. C’était bon, et elle poussa un gémissement étouffé, tandis que les tentacules de l’arbre, formant comme des espèces de bras, se refermèrent sur le corps de l’homme.
Ils étaient froids et tendres, un peu gluants, et le serrèrent forts, le maintenant contre le corps de Seika. Les gémissements de cette femme s’accentuèrent, les tentacules se pressant un peu plus contre le corps de Squall. Pamela avait les bras croisés, ne disant rien, un sourire sur les lèvres. Seika était reliée avec l’arbre, et pouvait donc contrôler partiellement les tentacules. Pamela, en ultime recours, pouvait également les contrôler, mais elle préférait laisser Seika agir. Les tentacules s’enroulaient autour du corps nu de Squall, se glissant sur ses jambes, s’enroulant sur eux, les pressant solidement.
« Quel beau spectacle... » commenta Ivy.
Elle avait un léger sourire sur les lèvres, et se rapprocha. Les tentacules piégeaient Squall, l’enfermant dans un cocon de chaleur. La chaleur corporelle des deux amants se mélangeait, emprisonnée dans les longs et solides tentacules verdâtres. Ils glissaient sur leurs corps, et, à voir le visage rougi de Seika, Pamela comprit qu’elle était sortie de sa transe sexuelle, cette queue tendue la réveillant. Ses longs cheveux glissaient entre son corps et l’arbre. Elle n’était pas à proprement parler collée contre l’écorce, mais contre une espèce de bave gluante fine qui la maintenait contre l’écorce de l’arbre. Les tentacules se glissaient sur eux, et Seika continuait à gémir, tandis que la tête de Squall se retrouvait près des seins de Seika. Un tentacule se faufila le long de ses lèvres, et l’un des tentacules pompant les seins de Seika s’écarta alors, comme pour inviter l’homme à y déposer ses lèvres.
Plusieurs tentacules s’enroulaient autour des fesses de l’homme, afin de plaquer son bassin contre celui de la femme. Il était maintenant fermement contre elle. Seika gémissait, mordillant les tentacules, et se mit à remuer ses bras, caressant les joues de Squall. Ses mains étaient douces, chaudes, et moites. Elle caressa le corps de Squall, pinçant ses joues, retrouvant la douceur de la peau d’un homme. Après avoir caressé pendant des heures des tentacules, ce contact était des plus délicieux.
« Hum-hummm... » gémissait-elle lentement.
Elle mouillait abondamment, et ne tarda pas à avoir un orgasme, tandis que Squall se retrouvait plaqué contre elle, les tentacules servant à faire remuer leurs corps l’un contre l’autre. On pouvait entendre les bruits de mastication et de claquement des deux chairs.
« Comme vous êtes beaux à voir... Jouis, mon petit Squall, jouis, et fais honneur à Seika... Ma petite chienne adore sentir la queue de mon esclave en elle. »