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Dans les ténèbres, la bête se repait ! [Privé : Cirillia]

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Rage

Rage était accroupi, son visage recouvert de sang. De fine gouttelette s’écoulait jusqu’au pointe de son heaume… Ses bras sanguinolent s’enfonçaient sauvagement dans le corps éventré du bovin. Il en arrachait de gros morceau de viande qu’il ramenait goulûment jusqu’à ses lèvres. Rage fourrait la viande entre les fentes de son casque pour l’arracher de ses dents. La mastiquant ensuite en grognant et en soufflant lourdement. La vache était imposante, aussi lui avait il fallut beaucoup de temps et d’effort pour hisser son corps jusque dans la tanière où il s’séjournait.  Il ne s’y engouffra que très peu, restant presque à l’entré. Juste assez pour être protéger du vent glacé de cette nuit d’hiver…  Son souffle formait de petit nuage de fumé. Tout comme les entrailles ouvertes de la bête, rependant une odeur de sang et de mort dans cet espace clôt.

La piste qu’il avait laissé pour aller jusque dans sa tanière était pathétique… n’importe quel abruti aurait été capable de le traquer. Aussi, ne fut-il pas étonnant de voir les lueurs des torches s’approcher de son repaire.
Rage releva son regard pour le plonger dans la lumière brulante des hommes… Seul les hommes en colère annonçaient leur arrivé avec temps de fougue et de vacarme. Sous son casque il ne souriait pas, une grimace sauvage et hargneuse fit grincer ses dents. Ses yeux étaient collé sur ces lueurs alors que du bout des doigts, il tâtonnait la pénombre pour se saisir de sa hache.

Cinq paysans arrivèrent devant l’entrée de la grotte. Les traces y menaient très clairement, à croire que cette bête avait l’insolence de tuer sans vergogne et de provoquer ses traqueurs en leur indiquant le chemin. Les paysans armés de hache et de fourche avait vu le carnage à la ferme d’Olaf et ils avaient été animé d’un instinct cruel et vengeur. Inspiré par la colère et galvanisé par les cris remplis de haine et de chagrin des filles d’Olaf leur décrivant la scène.
On leur avait décrit un homme, grognant comme un ours en colère… assez brutal pour couper Olaf en deux de la tête au pied et assez fort pour trainé une vache dans sa fuite. 
Ils avaient donc couru à sa suite, avec à peine quelque heure de retard, sans réfléchir au danger.

Un crie rauque et violent brisa le silence de la nuit, frappant d’effroi les paysans qui se mirent en garde, reculant d’un pas. Leur fourche était pointée fermement vers l’avant et leur hache s’élevaient haut dans le ciel.
Jaillissant de la nuit, une masse de muscle et de rage se rua sur le groupe de paysan. Rage entra dans le cercle de lumière de ceux-ci rapidement, ne leur laissant pas le temps de réfléchir. Son corps se heurta contre leur fourche, se plantant dans son torse puissant mais ne semblant pas l’ennuyer le moins du monde. Sa large hache frappa de taille, tranchant chair et os. Le sang explosa, recouvrant leur regard et embrumant leur esprit… La hache de la bête se redressa, avant de se rabattre sauvagement sur ces hommes venus se venger. Les os se brisèrent, la chair s’entailla, si bien qu’il ne resta rapidement que des corps mutilé et sanguinolent… Rage se dressa devant l’entrée de sa grotte, son souffle était lourd et son corps meurtri. Il posa un dernière regard plein de haine et de colère vers l’amas de char qu’il avait créé.

- Je ne suis que Rage et souffrance… Partez !

Il s’adressait à des morts… plus que ça, il s’adressait au monde des Hommes !

Cirillia

Humain(e)

Re : Dans les ténèbres, la bête se repait ! [Privé : Cirillia]

Réponse 1 mercredi 21 novembre 2012, 16:35:38

« M’envoyer traquer un sauvage... Père me déteste, c’est un fait...
 -  D’après les villageois, le feu du Diable brûle dans ses yeux !
 -  Tes villageois sont des chieurs doublés de crevards de merde. Ils ne seraient pas foutus de différencier le cul d’une nonne de celle d’une vieille mère fripée si on leur foutait sous le nez ! »

Le chevalier et l’écuyer avançaient le long de la rue principale ce de pauvre village reculé. Une mégère était en train de passer son ligne dehors, et le ciel gris semblait annoncer la tempête. Ce matin, le suzerain local, le seigneur Gilbert de Grossenoir, avait reçu une plainte émanant d’un de ses vassaux, le responsable de ce village, Vertaley. L’homme avait expliqué qu’un sauvage armé d’une hache, et avec des yeux démoniaques, avait attaqué la ferme d’Olaf, et tué plusieurs bûcherons envoyés pour l’éliminer. O9n avait retrouvé leurs cadavres devant sa grotte, et l’homme avait exigé une intervention immédiate. Las, Gilbert avait envoyé l’un de ses fils, Ralph, le chasser. Ralph n’était toutefois pas un très bon chevalier, car il ne respectait pas vraiment les codes de la chevalerie.

Ralph était en effet persuadé que son père savait qu’il s’était farci, et à plusieurs reprises, les nonnes du couvent. Ce n’est pas de sa faute si les bonnes sœurs l’excitaient, ces foutues salopes qui baisaient entre elles en se faisant passer pour de jeunes femmes vertueuses... Comme si on envoyait une femme chaste dans un couvent. Le seul à être au courant était son écuyer, Phil, et il était persuadé que Phil l’avait trahi auprès de son père. Les nonnes ne pouvaient rien dire, et Gilbert était déjà au courant des penchants sexuels de son fils. A chaque campagne militaire, dès qu’il en avait l’occasion, il accomplissait des viols, et se révélait également assez brutal envers les femmes. Lui trouver un mariage risquait d’être difficile, car sa triste réputation n’incitait guère les nobles à le vouloir.

« Regarde-moi ce boudin avec son gros cul... Cette espèce de grosse vache toute fripée...
 -  Vous ne devriez pas parler ainsi des sujets de votre...
 -  Les sujets de mon père sont des abrutis ignares qui passent leur temps à boire. Je m’intéresse à la seule chose qui soit un tant soit peu intéressante chez eux. Et ne va pas te tromper. Ces putes font leur mijaurée, mais, dans le fond, elles adorant sentir la verge chaude et élancée d’un seigneur dans leurs cons. Ça les change de leurs maris faiblards. »

Phil n’ajouta rien, et Ralph arrêta son cheval près du seigneur du village, lui demandant où se trouve la grotte.

« Vous... Vous n’êtes que deux ? J’avais demandé toute une compagnie ! »

Ralph éclata de rire.

« Toute une compagnie ?! Contre un vulgaire sauvage ?
 -  Ce n’est pas un...
 -  La ferme, le drôle ! Où est cette grotte ? »

Tremblant, l’homme finit par indiquer la localisation, et les deux chevaliers s’élancèrent rapidement, traversant une petite forêt pour arriver près de la tanière. L’odeur de sang et de putréfaction les attira bientôt.

« Nous aurions du demander à cette femme de nous accompagner...
 -  Celle aux cheveux rouges ?
 -  Elle a terrassé les noyeurs dans les égouts royaux ! Votre père en a été dûment impressionné.
 -  Il n’y a pas grand miracle à terrasser de ridicules noyeurs. »

Cette femme était une chasseuse de monstres, qui était venue au château il y a plusieurs jours, afin de demander un emploi. Gilbert s’étonnait de voir une femme faire un travail d’homme, et elle avait défié l’un des chevaliers de Père, le mettant à terre. Impressionné, Gilbert lui avait demandé de nettoyer les égouts. Elle s’était enfoncée dans la pourriture,  et avait terrassé les bêtes. Gilbert lui avait demandé de rester au château, afin de chasser d’autres monstres. Les deux chevaliers s’arrêtèrent devant la grotte.

« Va à l’intérieur, et chasse-le.
 -  Euh... Vous êtes sûr que… ?
 -  Dépêche-toi ! »

Phil déglutit lentement, mais obtempéra. Il ne pouvait pas aller contre un ordre de son maître, et sauta à terre. L’homme attrapa son épée, et s’avança prudemment vers la tanière. Ralph, de son côté, avait un léger sourire. Il espérait que le pouilleux à l’intérieur affaiblirait au moins son écuyer, de manière à ce qu’il puisse ensuite l’achever. On ne pouvait pas faire confiance envers un écuyer qui avait été désigné pour vous espionner. C’était aussi simple que ça.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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