Emmerner Emma prendre l'air ! Quelle merveilleuse idée ! Voilà quelque chose qui était au goût de Charlene, elle avait donc emmitouflé Emma dans son landeau, il avait beau faire beau, il ne faisait pas aussi chau qu'il y paraissait, et le vent était au rendez vous qui plus est, elle s'habilla en conséquence elle aussi ôur être parée pour sortir : des baskets classiques, un jean noir délavé à certains endroits de manière volontaire, un chemisier de la même couleur, et une bonne veste beige, le genre à vous descendre jusqu'en vas des cuisses et que l'on ferme. Elle prit ses lunettes de soleil qu'elle utilisa comme serre-tête afin d'éviter que des mèches lui tilbet devant les yeux et direction le parc !
Elle mit une bonne demi-geure pour atteundre le parc où elle se laissa aller à s'asseoir sur un banc,tenant toujours le landeau d'une main alors qu'elle sortait le journal de l'espace de rangement de celui-ci et commençait à le lire, laissant très largement aller à rêvasser plus qu'à le lire en fait, mais que voulez vous, en profitant peinement des rayons du soleil sur sa peau, un vrai délice ! Mais pour les épargener au bébé, elle avait placé le landeau contre le solei de sorte que la petite restait à l'ombre. Aussi bien installée, elle ne vt pas le temps passer. Peut-être dix minutes, ou peut être une hure, peut être deux, elle n'avait pris, ni montre, ni portable, tête de linotte, elle avait oublié tout cela chez elle...;quel dommage....ou pas ! Non en fait ce n'était pas plus malo, pas d'emmerdes avec le producteur, pas d'emmerdes sur l'heure de retour avec Vilma, la tranquilité absolue, quel bonheur ! Presque autant qu'une après midi sur une plage privée en bord de mer !
Mais tout rêve a une fin, tout plaisir a un terme, et le sien venait de s'arrêter à cet instant. Alors qu'elle avait posé son journal, yeux mi-clos levés vers le ciel, quelque chose vint assombrir sa vision, ou plutôt, quelqu'un en fait, qui vint se placer en face d'elle, stoique, matant ouvertement les appats visibles en suggérés seulement au travers du chemisier et de la veste ouverte.
« ça va, vous avez pas l'impression de me déranger. ? »
Pas hautaine, non, certainement pas, elle avait juste été quelque peu agressive, bien plus que de raison sans doute, et désagréable, ce mec ce permettait de la déshabiller du regard comme ça, croyant qu'elle n'avait pas compris la lueur lubrique dans son regard.
« Hého mam'zelle ! Nous, les potes et moi, on se demandait juste si tu savais un peu où tu étais ! C'est notre banc ! Il est à nous alors tu dégage le derrière ou nous on te fait dégager ! »
Non mais il se prenait pour qui ? Il était tout seul, avec son air guoguenard. Elle jeta un œil autour d'elle, les gens avaient remarqué la scène bien évidemment, mais apparemment tout le monde faisaient semblant de ne pas voir. Ça fonctionnait comme ça apparemment, cela voulait dire que c'était du un contre un...ou pas, deux autres mecs de sojn accabit approchèrent bien vite pour se tenir à ses côtés.
« Y a pas de nom dessus que je sache, alors retourner étudier, vous devez êrre encore un lycée ! »
Le chef serra les poings et s'approcha d'elle. Charklene fondit sur son sac pour prendre la bombonne lacrymogène, pas assez vite il l'eut avant elle...oui, elle avait de gros ennuis, et tout le monde s'en foutait apparemment ! Elle n'osa même pas crier pour ne pas réveiller le bébé qui dormait.
Chcun des acolytes vinrent lui saisir les bras et le chef ls'approcha devant elle, cette même lueur dans les yeux. Il puait tout court, et ce n'était rien avant qu'il n'ouvre la bouche pour parler :
« Et ben ça reste notre banc, et tu mérites une petite leçon pour ça je crois, pas vrais les gars ? »
Ils ricanèrent et il sortit on couteau à cran d'arrêt quand au même moment, la jambe de la jeune femme se détendit et vint percuter les valseuse ddu boss, le faisant lacher son coutau et se plier en deux sous la douleur. Charlène 1 emmerdeurs 0.
« Lâchez moi espèce de brutes ! »
Mais lentement le chef se relevait et elle comprenait qu'il n'allait pas lui faire du bien du tout....elle commença à paniquer...