Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Theorem était en sursit de perdre son double pénis (ça me fait d'ailleurs bizarre de le jouer alors qu'il a encore son double membre) mais il allait faire de son mieux pour montrer que sa langue était bien plus efficace encore que ces machins qui pendouillaient entre ses cuisses. Voyons que la belle humaine lui laissait une deuxième chance, il s'empressa de caresser ses cuisses et son corps en douceur avant de calmement couvrir son ventre de baiser. Quelques secondes d'érotisme pour chauffer à nouveau Alma et enfin il baissa son visage contre son sexe. Sa langue darda le petit bout de chair avant de sucer doucement son petit bouton de plaisir. Le stimulant avec ses douces lèvres, il passa ensuite à sa fente délicieuse. Son muscle rose se glissa entre ses lèvres intimes, visitées quelques minutes plus tôt par son pénis du haut.

"Hmmm... Laichez vous fai' ... Che chera délichieux..."

Et son cunni reprit et ... wow... Il s'appliqua deux fois plus à lécher le sexe de cette humaine, stimulant avec talent son point G et son cervix. Sa langue tournait sur elle et exécutait des pressions périodiques dans son antre rose. Aucun pénis, absolument aucun, ne pouvait faire ça ! C'était juste délicieux, bon et agréable... Theorem continua d'agiter sa langue transformée par l'absorption de sang de succube en gémissant de plaisir. Les essences démoniaques ayant altéré jusqu'à la structure de la muqueuse buccale de Theorem et sa langue faisait que sa bouche était intégralement érogène et le plaisir qu'il tirait à faire du bien le rendit tout aussi heureux de servir... Un cercle vicieux pour lui, mais une cascade d'émotion délicieuses pour la cliente qui reçut les tendres mains de Theo sur ses cuisses, la caressant doucement tout en la stimulant comme jamais... Si Alma avait encore eut des doutes, la soudaine accélération de la pute prochainement émasculée la fit rêver et décoller... Oh oui, le septième ciel s'ouvrit pour elle et elle put subir l'orgasme le plus fort qu'elle ait connu, stimulée juste comme il fallait... Theorem continuait, docilement, n'ayant pas reçus le signal de s'arrêter...

Après que je me sois allongé, il parcourut mon ventre de petits baisers et de caresser mon petit corps. Ses petits touches étaient agréables, mais j'étais toujours bouillante. Je caressai donc la tête du garçon, pressant sur sa tête pour l'amener à faire son devoir. Aussitôt que sa langue glissa sur mon clitoris, je frissonnai en me crispant. C'était vrai qu'il y avait là une sensation qu'aucun membre masculin aurait pus me procurer. Finalement, tout comme un pénis mou et mouvant, il pénétra entre mes petites lèvres et glissa au sein de mon corps.

Je ne l'entends plus vraiment. Je n'arrivai qu'à sentir la laisse au creux de ma main que je m'apprêtai à lâcher. Je tentai de le tenir fermement, aussi fort que possible, mais le petit chien s'appliquai avec tant de ferveur que je n'étais qu'à quelques instants de l'orgasme. Quelques minutes... non, même pas : quelques secondes après le début de ce traitement, j'atteignai une nouvelle fois l'orgasme, mon corps se parcourant à nouveau de spasme comme si j'avais reçu un coup de tonnerre. Vainement, mes mains serraient la laisse, jusqu'à ce que finalement, je relâche l'emprise pour aggripper le lit. C'était divin.

Pour autant, je me refusai de lui dire de s'arrêter : l'orgasme perdura, prenant parfois en ampleur, perdant à d'autre moment cette intensité. Mon vagin se contractait régulièrement sur la langue lorsqu'il touchait une zone sensible, et mes mains tenaient fermement le lit sans que je sois capable de relâcher cette étreinte. Après quelques minutes, il accéléra, ce qui me força à me redresser pour attraper sa tête, sans chercher à le repousser. Je tenais fortement ses cheveux, les yeux presque révulsés sous l'orgasme violent. Au bout d'un moment, durant lequel je ne captais plus ce qu'il se passait, Je gémissai dans une voix presque suppliante :

« S... stop... c'en est trop... Je... Je n'en peux plus... »

Je lui disai de cessai, mais au fond, j'aurai aimé que cela ne cesse jamais. Je n'avais vraiment jamais vécu une telle chose auparavant. Mes jambes enlaçaient le petit corps du inu, ce qui devait être gênant pour partir. Cependant, je ne contrôlai plus rien, pas même mes pensées contradictoires.