Suite (et certainement fin) des aventures de Mitsuko !
Comme d'habitude, n'hésitez pas à me faire part de vos retours, etoo etoo. ♥
Bonne lecture ! :3
Les aventures de Mitsuko
Chapitre IV
Je marchais dans les couloirs du lycée, tout à fait normalement, sans me préoccuper de rien. Je savais ce qui allait bientôt arriver, et ça me rendait un tantinet heureuse. Bon, beaucoup plus que seulement un tantinet, pour être honnête. La masse grouillante d'élèves autour de moi se dirigeait à droite ou à gauche, pour rejoindre leurs cours. En me concentrant sur le visage des garçons qui passaient, je pouvais en reconnaitre facilement une bonne moitié. Et j'étais sûre que je devais être très reconnaissable, moi aussi. Pourquoi ? Et bien... Cela faisait maintenant près de trois mois, depuis cet incident avec Inoe. Et en trois mois, il s'en était passé, des choses. Tellement de choses...
*DING*, *DONG*La sonnerie du lycée. Oh, non, j'étais en retard ! Vite, je me mis à courir vers ma destination. Pendant que les derniers retardataires entraient dans leur salle, je me dirigeai vers les toilettes. En vérité, je ne comptais pas aller en cours pour l'instant, j'avais quelque chose de plus urgent. Un rendez-vous très spécial m'y attendait. Enfin, vu leur fréquences, je ne savais pas si l'on pouvait les qualifier de spéciaux, mais moi en tout cas, je les prenais très à cœur. Ho oui ! J'en étais même terriblement accro, en fait... J'entrais donc dans les cabines des garçons, où un lycéen m'attendait. Il était plutôt beau gosse, soigné, mais aussi visiblement très contrarié par mon arrivée tardive. Évidemment, j'étais fautive, et m’empressai donc de lui présenter mes excuses.
« Oups, je suis vraiment désolée, j'ai été... »« Oh ferme-là, sale pute, je veux pas de tes excuses. Viens par là ! »« Hiii ! »Ohlala, qu'est-ce qu'il était impatient ! Je n'étais pas vexée par la violence de ses mots, au contraire même je dirais, ça m'excitait un peu de l'entendre m'insulter et prendre un ton colérique. Je me sentais comme une vilaine fille... ce que j'étais, assurément. Il ne me ménagea pas, et m'attrapa par la chemise pour me tirer vers lui, m'arrachant un cri de surprise. Il était violent même dans ses gestes, le bougre. Lui aussi, était un vilain garçon, et j'aimais ça. Il me plaqua sans aucune douceur, face contre le mur, une main contre mes épaules. Je me laissais faire, en couinant un peu, et commençais à mouiller à petites gouttes. Il ne m'avait rien fait encore, pourtant, mais je savais que ça ne saurait tarder. Je sentais le carrelage froid contre ma joue, ma poitrine légèrement écrasée contre le mur, et ma jupe se lever d'un coup, avant qu'un violent geste de sa main ne vienne m'arracher la culotte. Elle dégringola jusque mes chevilles, en même temps que mon excitation grimpait. Instinctivement, je tendis ma croupe nue en arrière, vers lui. Je la lui offrais, en position de levrette, et soupirais faiblement...
« Oh oui, baise-moi, s'il te plait... »J'étais là pour ça, c'était la seule raison de ma venue ici. J'étais là pour qu'il me baise, fougueusement, et j'en mourrais d'envie...
« C'est vrai ce qu'on dit alors, haha, t'es vraiment une salope ! T'inquiète pas va, je vais bien... te... baiser ! »« Mmmh-haa ! »Il n'y alla vraiment pas par quatre chemin. Dégainant son sexe, il le dirigea vers mon antre chaud et humide, et me pénétra d'un coup sec qui me plaqua contre le mur en m'arrachant un doux cri d'excitation. Ho, oui ! Je l'avais rencontré depuis même pas une minute, et il me besognait déjà furieusement. Son barreau de chair s'enfonçait entre mes cuisses, reculait ensuite pour mieux revenir à l'assaut de mon vagin humide de cyprine. Ses hanches claquait contre mes fesses à chacun de ses coups de reins, de délicieux coups durant lesquels son sexe glissait et se frottait contre mes parois intimes. J'étais écrasée sous le poids de son corps, me trémoussais contre lui, couinais mon plaisir. Que c'était bon ! Il n'y avait aucune douceur, ni tendresse, ce n'était pas de l'amour, juste du sexe, purement et simplement du sexe. Je m'y étais habituée, avec le temps... enfin, non, pas juste habituée, j'adorais ça. Peut-être que j'avais toujours adorée ça, au fond, sans l'avouer complètement. Toujours était-il que je m'offrais à lui, et qu'il prenait son pied. Son souffle chaud me caressait la nuque, haletant au rythme de ses furieux coups de queue, si vifs et si puissants qu'il semblait vouloir me casser le bassin. Je peinais à le soutenir, le mur contre lequel il me plaquait le faisait pour moi, je subissais ses assauts vigoureux en gémissant de plaisir, entrecoupé de sursaut à chacune de ses pénétrations. Mon intimité lui offrait un écrin chaud et humide, dans lequel il se plongeait de tout son saoul. Et c'était follement excitant. Je plongeais en même temps que lui dans les affres du plaisir, sans un mot, sans un regard, simplement son corps contre le mien, et la mélodie sexuelle de nos ébats. Je respirais avec peine, pendant qu'il me bourrait violemment, faisant éclabousser ma mouille sur mes cuisses. Oh, oui, que c'était bon !
Je pensais qu'il avait atteint ses limites, mais il parvint malgré tout à me surprendre, en accélérant de plus en plus ses va-et-vient. Ses gémissements devenaient de plus en plus rauque, aussi. Quant à moi, je ne tenais plus en place, prise en tenaille entre le mur et ce garçon qui me pilonnait. Bientôt, il finit par céder au plaisir, et dans un ultime et puissant coup de rein, qui me propulsa sur la pointe des pieds, il atteint l'orgasme et se mit à jouir en moi. Il relâcha de nombreuses giclées de sperme, se déversa abondamment dans ma chatte, en râlant de plaisir. Je couinais faiblement, en extase, pendant qu'il me remplissait de sa semence chaude, et savourait la longue minute durant laquelle il se vida en moi. Lorsqu'il se retira enfin, une partie de nos fluides sexuelles se mirent à couler sur l'intérieur de mes cuisses déjà mouillées. J'étais éssouflée, et m'affaissa doucement pour arriver sur le sol. Je restais toujours face vers le mur, des mèches de cheveux désorganisées collées contre mon front, et un sourire aux lèvres.
« Ha putain ! Je regrette pas, t'es vraiment trop bonne. »« Merci... »Son compliment eu l'effet de me faire légèrement rosir. Je ne regrettais pas non plus, au contraire, j'en aurais volontiers redemandé ! D'ailleurs, en entendant le son de la boucle de sa ceinture, une pensée me vint à l'esprit, et je me retournai rapidement.
« Oh, non, attends, viens je vais te nettoyer la queue avant. »« Wooh, t'es sérieuse ? ... Bah ouais, vas-y, fais-toi plaisir, haha. »J'y comptais bien. J'adorais me faire baiser, mais j'aimais aussi sucer. Je me rapprochais donc de lui, toujours à genoux, et vint lécher son sexe luisant, lapant doucement le mélange de sperme et de cyprine qui la recouvrait.
« Ouais... lèche-moi bien... bonne petite salope... »Voilà que je rougissais de plus belle, maintenant. Je m'appliquais soigneusement, promenant ma langue de la base jusqu'au gland, et recommençant autant de fois que nécessaire, en m'assurant de ne rien manquer. Je continuais ainsi jusqu'à ce qu'elle soit toute propre, en produisant involontairement des bruits humides avec ma bouche, et avalant ce délicieux mélange de fluides. Enfin, lorsqu'il n'y avait plus rien à lécher, je me mis à doucement sucer son gland, pour avaler ses dernières gouttes de sperme, avant de finalement le relâcher.
« Mmh, miam... voilà qui est mieux... »« C'est clair ouais... Bon, c'est pas le tout mais je dois filer moi. Ciao ! »« On se revoit quand tu veux, mon beau... »L'intimité encore ruisselante de son sperme, je me mis à me doigter légèrement, en recueillant un peu pour le porter à mes lèvres, suçant mes doigts avec une gourmandise perverse pendant que je le regardais se rhabiller, et s'en aller. Mon dieu que j'avais passé un moment fabuleux !
« Mmmh... »Oh, j'oubliais ! Pour en revenir à ce que je disais avant ce savoureux interlude, trois mois s'était passés depuis qu'Inoe avait réussi à mettre le grappin sur moi. A l'époque, j'étais furieuse contre elle, clairement, et j'étais prête à tout pour me sortir de son emprise et me venger au centuple de ce qu'elle m'infligeait. Sauf que, malgré toutes mes tentatives, elle avait toujours une longueur d'avance sur moi, et continuait de laisser planer la menace de révéler ma vidéo à tous le monde. J'étais donc obligée de me plier à ses idées les plus perverses... J'ai enchainé tellement de gangbangs, au lycée et ailleurs, et senti passer tellement de verges par mes orifices, le plus souvent plusieurs en même temps, que je serais incapable de les compter, ou même de l'estimer. C'était vraiment des expériences sexuelles très intenses, que j'avais accepté avec répulsion, au début, mais au fil du temps, je m'étais rendue rendue compte que ce n'était pas si terrible, au fond. J'en éprouvais même un certain plaisir. Mon esprit refusait de l'admettre, mais mon corps le confirmait, jour après jour, partenaires après partenaires, éjaculations après éjaculations. Jusqu'à ce que je finisse par réaliser la vérité : j'adorais ça, en réalité.
Inoe m'avait ouvert les yeux finalement, sur ma perversité. Et, sous sa tutelle, j'avais obtenu divers sobriquet qui semblaient convenir à tout le monde. J'étais devenue la chienne suceuse de bite, le vide-couille du lycée, le sac à foutre que n'importe qui pouvait venir baiser. Et, lorsqu'elle me disait d'aller quelque part, de voir quelqu'un, que ce soit pour ouvrir la bouche ou écarter les cuisses, que ce soit pour servir de cible à leur éjaculation ou les recevoir directement en moi, je m’exécutais sans broncher. Non pas sous la menace, ni la moindre contrainte, mais parce que ça me plaisait, tout simplement. J'aimais ma nouvelle vie, parfois épuisante mais si excitante !
D'ailleurs, il était temps pour moi de retourner en cours. Je m'essuyais rapidement, et me rhabillait, avant de brièvement ajuster ma coiffure et de filer à mon tour. Bien évidemment, après mes galipettes, j'étais très en retard. Je finis par entrer dans la salle, en plein milieu de la leçon.
« Je suis désolée d'être en retard, monsieur, j'étais... indisposée. »L'excuse passe-partout, que je réutilisais souvent. En général, on ne me posait pas de question, surtout s'il s'agissait d'un homme. Je pouvais quand même voir un sourire sur le visage de certains camarades. Ils n'étaient pas dupes, et se doutaient surement de la véritable raison de mon retard. Je rougissais, un peu gênée, en arborant un petit sourire complice moi aussi. C'était notre petit secret collectif.
Je m’apprêtais à prendre une petite sieste au fond de la salle, après toutes ces émotions, mais un mystérieux message fit vibrer mon téléphone. C'était Inoe, elle voulait me voir, que je passe chez elle après les cours. Apparemment, elle aurait quelque chose de spécial pour moi. Je me demandais ce que ça pouvait être... D'habitude elle était toujours claire dans ses messages, c'était la première fois qu'elle était aussi mystérieuse. Ce qui souleva pas mal de question, auquel il n'y avait aucune réponse. Elle refusait de m'en dire davantage non plus, malgré mes demandes. Je ne le découvrirais que sur place, alors...
Le soir même...« Oh, tu es là Mitsuko chérie ! Entre, entre donc. »Elle m'accueillit chez elle avec une gentillesse presque déstabilisante, en tenue de nuit. Elle portait un joli déshabillé mauve, avec de la dentelle, et assez transparent pour voir ses sous-vêtements noir en dessous. Quant à moi, j'avais encore mon uniforme du lycée. Je franchis le pas de la porte, et réalisa qu'apparemment nous étions seules toutes les deux, ses parents n'étaient pas là.
« Je te dirais bien de faire comme chez toi, mais, j'ai plutôt envie que tu viennes avec moi ! »A peine avait-elle refermé la porte derrière moi qu'elle s'empressa de me prendre par la main et de m'emmener ailleurs. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien avoir derrière la tête ? En tout cas, elle était drôlement enthousiaste, ça devait être important pour elle. Je la suivais donc docilement, jusqu'à sa chambre, qui ne présentait rien d'étonnant pour celle d'une lycéenne. Elle était spacieuse, avec un grand lit, ainsi que divers décorations aux couleurs vives, posters de célébrités, et quelques peluches sur les meubles. L'ambiance y était très douce et féminine, en tout cas. Un sérieux contraste avec ce qu'elle avait prévu pour moi...
Je posais mon sac par terre, et encore tenue par la main, je me laissa guider jusqu'au lit, sur lequel je m'installai à genoux. Le regard tourné vers Inoe, je tentai de découvrir la raison de ma venue.
« Alors, tu avais quelque chose à me dire ? Ou... »« Allons, Mitsuko ! Mets-toi un peu à l'aise, d'abord, non ? »Sur ces mots, elle n'attendit pas ma réaction, et vint d'elle même déboutonner ma chemise, pour me la retirer. Je pouvais sentir son impatience dans ses gestes, c'était très intriguant, qu'est-ce qui pouvait bien la mettre dans cet état ? Je me laissais naturellement faire, et elle ne tarda pas à parcourir mon corps pour me déshabiller de la tête aux pieds : ma jupe, qu'elle fit glisser le long de mes jambes, suivi de ma culotte, qui suivi le même chemin, ainsi que mon soutien-gorge, qu'elle vint dégrafer dans mon dos. Il ne me restait plus que mes bas, qu'elle jugea inutile de me retirer. J'étais ainsi nue devant elle, ce dont je n'en ressentais aucune gêne, elle m'avait déjà vu dans des situations infiniment plus embarrassante. Je restais silencieuse, et curieuse, en la regardant. Elle se mordilla la lèvre, toute excitée visiblement, ce qui suscita en moi un frisson. Quelque soit ce qu'elle avait en tête, je la suivrai sans hésitation. J'avais hâte de savoir !
« Ça va être, PAR-FAIT, huhu... on va jouer tooooouuuuute la nuit, moi et toi. »Elle commença par sortir une longue corde brune, douce mais solide, et avec un sourire un peu sadique, elle s'en servit pour m'attacher. Inoe ne se contenta pas de nouer mes poignets derrière mon dos, elle fit également passer la corde autour de mes coudes, et de mon buste, suffisamment serré pour m'empêcher de bouger d'un moindre centimètre, mais sans que ça ne soit douloureux. Avec l'autre extrémité de la corde, elle vint m'attacher les jambes aussi, en venant l'enrouler autour de mes cuisses, de mes genoux, de mes chevilles, les resserrer entre eux. Pendant ce temps, j'étais très sage, et la laissais faire, l'aidant même en me déplaçant. J'étais un peu anxieuse à l'idée de perdre toute mobilité, mais j'avais suffisamment confiance en Inoe, et j'étais prête à m'abandonner à ses jeux. Mes mouvements étaient maintenant complètement entravés, je ne pouvais rien faire d'autre que de me tortiller. Allongée sur le dos, je n'étais plus simplement attachée, j'étais carrément saucissonnée à vrai dire.
« Ça va Mitsuko, ce n'est pas trop serrée au moins ? »« Non, non ça va... »« Très bien. On peut passer à la suite, alors, huhu. »Évidemment, cette petite séance de bondage n'était qu'une entrée en la matière, la suite serait autrement plus jouissive. En effet, ayant retrouvé son sourire sadique, elle me montra un sextoy que je ne connaissais que trop bien, un Magic Wand, qu'elle vint gentiment frotter contre mon bourgeon de plaisir, en se rapprochant et s'allongea contre moi.
« Ma Mitsuko chérie, j'ai très envie de te voir jouir ! Tu veux bien me faire cette faveur ? Je vais l'allumer, et je veux que tu te laisses aller, sans retenue, d'accord ? Et je serais à tes cotés. Hihi ! Allez, trois, deux, un, TOP ! »« Hein ? AttaaAAHH ! »Elle ne me laissait pas le temps de répondre. C'était à peine si j'avais assimilé ce qu'elle venait de me dire ! Après son rapide décompte, elle activa le sextoy et vint le blottir contre mon clitoris. Ma seule réaction fût un soubresaut, accompagné d'un involontaire couinement de stupeur et d'extase. Oh, oui ! Les vibrations étaient intenses, et si soudaines, il me fallut un petit moment pour m'y adapter.
Au début, tout était incroyablement calme. Inoe me regardait, souriante, et tenait le sextoy bien en place, s'assurant de le presser contre mes parties intimes. Quant à moi, je respirais de plus en plus fort, et soupirait, mais restait également silencieuse. On n'entendait que le buzz continu du petit moteur qui vibrait sur mes cuisses. Elle me caressait doucement les cheveux, et semblait attendre patiemment le moment où je craquerais.
Un laps de temps incertain s'écoula. Je commençai à ressentir des vagues de chaleur à travers mon corps, se propageant à partir des stimulations du Magic Wand, de manière de plus en plus perceptible. Je devenais de plus en plus sensible à ces sensations, mes soupirs devenaient de faibles gémissements, je ne parvenais plus à rester immobile et me mis à me trémousser doucement sur le lit, toute saucissonnée. Oh, je sentais que ça allait être difficile de tenir, ça oui. Je commençais à être sérieusement excitée, et Inoe le savait. Elle ne m'accordait pas de répit, et entreprit même de m'exciter davantage, en me caressant le sein. Elle était allongée contre moi, et passa son autre main derrière ma nuque, puis sur mon épaule, pour venir s'occuper de mon téton.
« Alors, comment tu te sens ma chérie ? »« Ç-ça va... »« Bien, bien... Tu n'as pas besoin de te retenir, tu peux te laisser aller, d'accord ? Tu sais comme j'aime entendre tes gémissements de plaisir. »Me laisser aller... Oh, ça, oui c'était sûr. Je ne tenais déjà plus en place, en fait. Elle continuait à stimuler la zone la plus sensible et érogène de mon corps, tout en me caressant simultanément. Je devenais rouge, j'avais de plus en plus chaud, et mes gémissements devenait des halètements sonores et salaces. Elle prenait un malin plaisir à me voir perdre le contrôle, et vint m'encourager en me chuchotant au creux de l'oreille.
« C'est ça ma belle, allez, joui pour moi... »« Aaahh... Aaahh... Mmmhh ! ... »Elle me lécha ensuite la joue, pendant que je couinais et me tortillais de plaisir. Les stimulations devenaient de plus en plus insoutenables... mais c'était justement ce qui était si bon ! Les sensations que je ressentais étaient si fortes, si intenses, j'étais submergée au point de ne plus être totalement connectée avec la réalité.
« Mmh-aaah ! ... Inoe, je... aah ! »« Oui, tu ? »J'essayais de lui dire que j'allais jouir. Que je pensais que j'allais jouir. Mais alors que le plaisir grimpait inexorablement, elle cessa de me caresser et éloigna brusquement le sextoy de mon clitoris. Mais... pourquoi !? La respiration encore haletante, je lui lançais un regard profondément implorant, auquel elle répondit d'un simple sourire sadique.
« Oh... tu as cru que tu allais jouir ? Non non non, ma petite Mitsuko. J'ai dis que je voulais te voir jouir... mais nous ne sommes pas pressées, si ? »Si ! Je brulais d'envie de lui hurler que si, j'étais au bord de l'implosion et voulais tellement jouir ! Elle n'était cependant pas du même avis, et puis, c'était elle qui décidait.
« Haan... non, s'il te plait Inoe... mmh... je veux... fais-moi jouir... »Elle regardait en l'air, l'index posé sur son menton, faisant mine de réfléchir pendant une dizaine de seconde.
« Mmh, voyons voir... je crois pas, non, hihi ! »Avant d'ajouter, rapidement, tandis que je la regardais avec désarroi.
« Mais tu peux essayer de jouir toute seule, hein, si tu veux. Tiens... voilà. A toi de jouer, hihi ! »Elle ralluma le Magic Wand, et le posa sur le lit. Rien que d'entendre ses vibrations me donnaient furieusement envie de le presser contre moi ! Mais j'étais toute ficelée... Je regardais Inoe, penaude, qui m'observait en silence. Elle semblait très sérieuse, en dépit de son sourire.
« B-bien, d'accord... »Il semblerait que je n'avais pas le choix. Je me mis à me tortiller sur le lit, de manière assez ridicule, pour me retourner et venir me placer comme il fallait. J'avais été tellement obnubilée par l'excitation que je n'avais pas remarqué toute la mouille qui s'était écoulée de mon intimité, sur mes cuisses et sur les draps. Je remuais comme une petite chenille, sur le ventre, jusqu'à ce que le sextoy ne soit au niveau de mon intimité. Et, sans attendre, je creusais le bassin pour pouvoir appuyer, du mieux que je pouvais, mon bourgeon de plaisir contre le Magic Wand. C'était très compliqué, et je parvenais tout juste à l'effleurer. Je pouvais ressentir les vibrations, si agréable et si excitante... mais aussi si diffuse, que ça n'était clairement pas suffisant. Je bouillonnais de frustration ! Qu'à cela ne tenait, je remuais frénétiquement du bassin, sautillant sur place, pour mieux me frotter à ce petit objet vibrant, à la clé de ma délivrance... mais ma jouissance restait encore hors de portée. Je n'en pouvais plus, je devenais folle ! Je remuais de plus belle, mais ça ne changeait pas grand chose. C'était plus excitant, oui, mais toujours pas suffisant. Il me restait un dernier espoir... et, à bien y réfléchir, ce devait certainement être ce sur quoi comptait Inoe, depuis le début. Elle savait que ça ne mènerait à rien. Au point où j'en étais, je m'en fichais totalement, je ne pensais à rien, et j'étais prête à tout.
« Inoe, je... s'il te plait... aide-moi... fais-moi jouir... »« Hmm, c'est tout ? Tu m'as habituée à être suppliée mieux que ça quand même... »« Je... mmh... Je t'en supplie Inoe, fais moi jouir, je n'en peux plus... »« Huhu, c'est déjà mieux... » Je l'entendis s'approcher derrière moi, et soudainement une grosse fessée vint s'abattre contre mon postérieur, me faisant couiner.
« Je vais m'occuper de toi, ma belle petite salope. Lève-moi bien ton cul, j'arrive tout de suite. »Oh, oui, enfin ! Je m’exécutais avec une grande impatience, et me mis à genoux, face contre le lit, le dos incliné et la croupe relevée, c'était le mieux que je pouvais faire vu ma situation. La fente de mon intimité était visible entre mes cuisses, et indécemment mise en évidence par la mouille, qui la rendait luisante. Je ne savais pas trop ce qu'elle me préparait, mais j'en trépignais d'anticipation. Tant qu'elle pouvait soulager ma frustration...
Elle revint assez rapidement, et je la senti grimper le lit derrière moi. Je restais immobile, silencieuse, patiente, et Inoe ne tarda pas à me faire savoir ce qu'elle avait apporté. Un volumineux godemichet, qu'elle me présenta en le frottant contre mon cul, mes cuisses, en évitant soigneusement mon sexe qui pourtant le désirait ardemment. Elle se contenta de me demander.
« Je t'ai apporté une surprise, Mitsuko ! Tu la veux ? »Ho oui ! Et pas qu'un peu ! Je n'avais vraiment plus le temps pour ses jeux ou pour la supplier, je voulais qu'elle passe à l'action, et me faire baiser ! Je pris donc les devant, et remua mon postérieur pour essayer de trouver l’extrémité de sa verge, et de satisfaire mon envie urgente de m'empaler dessus.
« Quelle chienne en chaleur, cette Mitsuko ! Mais c'est comme ça que je l'adore.Tiens, tu as bien mérité ta récompense... » Elle m'aida dans ma tâche, dirigeant son gode vers ma chatte chaude et toute trempée, et à l'unisson, nous rapprochâmes fougueusement nos corps l'une de l'autre, résultant en une vive et intense pénétration qui me fit trembler de tout mon être.
« Haann, oui, que c'est bbbon ! »Chienne en chaleur était une expression lourde de sens, et pourtant, c'était un euphémisme pour me décrire. J'étais devenue endiablée, remuant mon bassin de haut en bas aussi vigoureusement que je le pouvais, pour m'empaler sur sa grosse queue. Qu'elle soit en silicone plutôt qu'en chair, je m'en fichais royalement, elle me remplissait tout autant, et glissait très facilement dans mon intimité lubrifiée par la mouille. Je ne cachais pas mon plaisir, gémissant de concert avec les pénétrations, couinant à quel point je prenais mon pieds.
« Aah ! Oh Inoe, baise moi ! Aah ! Baise moi fort ! »Elle ne me ménageait pas non plus, et nos ébats redoublaient d'intensité tandis qu'elle-même me donnait de rapide et vigoureux coup de reins. Elle me comblait de plaisir, me pénétrait furieusement, faisait éclabousser ma mouille au rythme du claquement de nos bassins. Mon dieu, que c'était bon ! J'étais au bord de l'explosion, et il n'en fallut pas beaucoup plus pour me faire atteindre un orgasme des plus intenses.
« Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiii ! »Ah, enfin... Après toute cette frustration et cette excitation, j'étais sur un petit nuage, en pleine extase. J'avais la chair de poule, et mon corps tressautait sous l'effet de la jouissance. Que c'était bon ! Je me sentais si bien, si détendue... Inoe avait arrêté ses pénétrations, et était restée plantée en moi, en me caressant les fesses avec tendresse.
« Tu es tellement sexy quand tu jouis, ma Mitsuko... tu es heureuse ? »J'étais encore un peu trop à coté de la plaque pour parler, mais je répondis quand même en grommelant et en hochant affirmativement la tête.
« Hmm, hmm... »« Tant mieux, tant mieux... profite bien de ta pause alors, parce que je n'en ai pas fini avec toi... rappelle-toi, nous allons jouer toute la nuit, hihi... »Vraiment ? J'étais complètement épuisée, à la fois physiquement, à force de me trémousser en étant attachée, et psychologiquement, après ce que j'avais enduré. D'un autre coté, elle avait raison, la nuit ne faisait que commencer... et même si j'étais comblée, j'avais encore très envie de jouer !
« Je-je suis prête Inoe... »« Tu m'en diras tant. »Elle retira son sextoy de mon vagin ruisselant, et n'étant plus retenue à rien, je m'écroulais machinalement sur le lit. En me retournant, je pu voir Inoe enlever le harnais autour de son bassin, et venir me grimper dessus, me chevaucher à califourchon sur mon ventre.
« Tu trouves ça normal, d'avoir joui avant moi ? »« Euh... pardon ? »Elle ne repeta pas la question, et vint plutôt me pincer le téton, avec suffisamment d'intensité pour me faire crier.
« Aaahh ! N-non, enfin je sais pas, quoi, c'est toi qui... Aaahh ! »Ma réponse ne lui paraissait pas convaincante, et elle me pinça à nouveau, plus fort. Mais qu'est-ce qui lui prenait !? Elle me toisait de son regard sévère, et semblait exiger une vraie réponse.
« Je... oui, c'est vrai, j'étais tellement concentrée sur mon plaisir, que j'ai oublié le tiens... »« Et... ? »Cette fois, elle ne me pinça pas, mais me gifla bruyamment les seins, m'arrachant un couinement plaintif. C'était douloureux, mais ça m'excitait beaucoup qu'elle me domine de la sorte. Je répondis simplement, toute penaude.
« Et... euh... pardon ? »Une nouvelle gifle tomba, imprimant une trace rouge sur mes seins.
« Hiii ! Je veux dire, je suis vraiment désolée, et te demande pardon. »« Tu veux vraiment te faire pardonner ? »« Ou-oui ! »« Tu sais ce qu'il te reste à faire, donc... »Elle fit volte-face, et vint s'installer à califourchon contre mon visage. Elle avait retiré sa culotte plus tôt, et je me retrouvais nez à nez avec l'intimité d'Inoe, humide et irradiant d'une douce chaleur, qui attendait manifestement mon attention.
« Alors ? »Elle se remit à me pincer les tétons, ce qui m'arracha un nouveau cri de douleur, qu'elle s'empressa d'étouffer en écrasant son bassin contre mon visage
« Aammhff ! »Elle était devenue subitement beaucoup plus autoritaire que lors de nos ébats, maltraitait continuellement ma poitrine, et je trouvais le tout étrangement excitant. Douloureux et excitant. N'ayant pas d'autre choix, et tout de même désireuse de la satisfaire, je me mis à la lécher. Je voulais lui offrir un cunnilingus digne de ce nom. Ma langue glissa le long de sa fente, et vint chatouiller l’intérieur de sa vulve. Pendant ce temps, malgré mon obéissance, Inoe continuait ses violences mammaires, en alternant entre de vifs pincements et de tendres caresses.
« Mmh ! »Que c'était bon... Je ne m'étais toujours pas remise de mes précédentes émotions, et je commençais déjà à redevenir folle de plaisir. Ma langue remuait fougueusement contre son sexe, que je léchais avec avidité, goutant à son intimité et au délicieux nectar qui s'en écoulait. Je frémissais d'excitation, que j'essayais de canaliser pour me concentrer pendant que je lui broutais le minou, ce qui n'était pas une mince affaire. Ma poitrine était devenue si sensible, à vif, elle torturait mes tétons érigés et durcis, et les soulageait, entre cruauté et tendresse. Je n'avais même pas le loisir de pouvoir extérioriser mes sensations, et crier, ni même gémir, elle pressait son bassin contre mon visage, m'étouffant à moitié et ne me laissant d'autre choix que de lui offrir les caresses de ma langue.
Ce petit jeu continua de longues minutes encore, peut-être une bonne dizaine, en tout cas bien plus que ce que je pensais pouvoir supporter. Je mouillais tellement qu'une nouvelle tache humide s'était formé sur les draps, et Inoe aussi, qui finit même par jouir sur mon visage tout trempée. Nos jeux sexuels s'enchainaient, et nos orgasmes aussi. Au point que ça devenait difficile de me rappeler de tous ce que nous avions fait, toutes les deux. Elle s'était amusée à me faire faire une fellation sur son gode, et à le forcer jusque dans ma gorge, furieusement, pendant qu'elle essayait de me faire jouir grâce à un vibromasseur entre mes cuisses. Nous avions aussi essayer un godemichet à deux extrémités, et quand je dis essayer, Inoe et moi avions baisée dans de multiples positions, et jouis de nombreuses fois toutes les deux. Tout n'était pas toujours aussi pervers et fougueux non plus, nous nous sommes régulièrement câlinées, caressées, embrassées. Inoe avait toujours refusé de me libérer, j'étais sa petite poupée et elle en profitait bien, et moi aussi au fond. Autant dire que le reste de la nuit fut longue. Oh oui, délicieusement longue...