- M.Senji... Aah... J-Je crois que... Humm... Je vais jou... Ahh... jouir... HmmmAAAAAAAAAAAAAAAHH !! s'exclama-t-elle.
Et aussitôt après, du plaisir à l'état liquide me recouvrait le membre entier. Esquissant un sourire de satisfaction, je laissai le temps à ma petite princesse de respirer, de retrouver son souffle. On parlait d'un viol - visiblement pas tant que ça, elle avait l'air de bien aimer aussi - et pas d'une discussion sage entre adultes matures. De mon point de vue, j'étais loin d'être mature, en tout cas.
Jetant un regard amusé à mon propre engin, je me retournai vers la jeune demoiselle, qui haletait encore un peu.
- Déjà fatiguée ? Je t'avais prévenue, que ça ne faisait que commencer ! jubilai-je en saisissant de nouveau l'arrière du crâne de ma prisonnière.
En la tirant par les cheveux, je la forçai à se relever, à se tenir debout. Accompagnée d'une claque aux fesses, qui résonna assez fort, je lui ordonnai de se retourner. Une fois dans la nouvelle position, je la forçai d'une pression entre ses omoplates à se baisser. Mon doigt doté de petites langues revint se fourrer dans son anus, reprenant aussitôt son office. Cette fois, je n'allais pas me retenir, je n'allais pas jouer avec elle. C'était à mon tour de l'honorer de ma semence.
Et j'enfonçai d'un coup d'un seul mon pénis dans son vagin. Tout du long. Vingt-deux centimètres secs. Sans même prendre le temps de détailler sa réaction, j'entamai le processus terriblement plaisant d'un va-et-vient constant, contorsionnant mes hanches pour prodiguer encore plus de plaisir tant à moi qu'à elle. Je me préoccupais très peu de ce qu'elle ressentait, de ce qu'elle pensait, de ce qu'elle disait ou gémissait. Seul mon plaisir m'intéressait.
Le plaisir anal que je lui octroyais s'amplifia lorsque j'introduisis un deuxième doigt dans l'orifice. J'exerçai une pression sur la paroi du bas, pour resserrer les couloirs vaginaux de ma partenaire. Elle était un peu étroite, mais on pouvait faire mieux, dans le domaine-là. Et appuyer sur la paroi inférieure de son cul y contribuait grandement.
Les boutades que je lui assénai gagnaient en intensité, en force et surtout en auto-satisfaction. Je pilonnai au maximum de mes capacités son sexe, remuant avec autant de fougue les doigts enfoncés dans son second trou. Un troisième doigt vint les rejoindre. Mon autre main était appuyée sur son dos, afin d'empêcher la balancelle de trop se mouvoir. Des fois que le mouvement ait pu épargner quelques supplices à la princesse... mieux valait écarter cette possibilité le plus vite possible.
Mon poignet, celui qui s'occupait de son cul, se mit à bouger en même temps que mes reins. S'accordant aux mouvements de mon bassin, mes doigts pénétraient de plus en plus profondément dans son corps. Les langues de sang continuaient de stimuler chaque partie du corps qu'elles pouvaient atteindre. Puis un quatrième doigt se joignit à la fête. Il ne restait que mon pouce, qui n'allait d'ailleurs pas tarder à lui aussi s'incruster. Mais pas pour l'heure.
Mon sexe, englouti par le vagin de la jeune femme, se sentait comme chez lui. C'était un environnement doux, humide et chaud, comme un manteau construit sur mesure. Conçu dans le seul but de satisfaire au moindre de ses besoins, au moindre de ses caprices, au moindre de ses souhaits. Au moment même où j'avais cette pensée en tête, je retirai net le membre du trou, pour l'y enfoncer de nouveau d'une traite. J'avais atteint le bout du tunnel, comme on dit. Mais la lumière n'était pas encore au rendez-vous.
Une autre idée, plus saugrenue, me vint en tête. Mes doigts flanqués dans son postérieur en sortirent, et les mouvements de mon bassin se faisaient plus lents, plus sages... Le calme avant la tempête.
- Accroche-toi, belle inconnue, avertis-je en agrippant les deux cordes qui reliaient la nacelle au reste de la balançoire. On va voir ce qui se passe quand c'est pas moi qui décide de ce qui se passe là-dedans, lançai-je tout en enfonçant deux doigts dans son vagin sans prévenir.
Puis j'enfonçai de nouveau mon sexe dans le sien, avec force et détermination, dopé par l'excitation grimpante. J'y était allé suffisamment fort pour que l'élan la pousse en avant. Le claquement qui résulta du choc entre mon corps et le sien fut jouissif. Au moment même où la nacelle se soumettait à la force que j'avais appliquée dans le mouvement, je relâchai les deux cordes et regardai la balançoire s'élever dans les airs. Pas très haut, mais quand même. Puis la fente de la jeune demoiselle se rapprocha de moi. Elle s'empala sur mon membre.
Je répétai plusieurs fois l'action, savourant chaque entrée et chaque sortie de son intimité.