Perdue en terrain dangereux [PV Senji]

Rien n'allait aujourd'hui. En plus d'avoir eu une dure journée, je venais de me perdre dans un quartier inconnu, le tout sur les indications d'un homme à l'apparence louche. Ce coin de la ville ne m'inspirait aucune confiance. De partout, on me jettait des regards qui me mettait mal à l'aise. 'était des regards prédateurs, et moi j'étais leur proie potentielle.
Justement, un groupe composé de trois hommes m'interpela. Et à voir leurs allures, c'étaient de vrais brigands, pas des amateurs. Ils ricanaient en tenant des propos libidineux et en me fixant avec un air lubrique. Je ne voulus pas en savoir plus et tournais les talons. Ils se lancèrent alors à ma poursuite, mais je parvints tant bien que mal à les semer en courant au hasard des ruelles.
Je reprenais mon souffle, encore plus égarée, lorsque des bruits de pas se firent entendre. Je voulus repartir, mais mes jambes se dérobèrent sous moi. L'effort que j'avais du fournir avait sappé mes forces ! Tremblante de peur, je me retournais pour regarder qui allait me tomber dessus...

La vie pouvait parfois être amusante. Je venais tout juste de sortir d'un salon de thé où j'avais discuté vaguement avec quelques serveuses ma foi fort mignonnes, et voilà que l'avenir me proposait une nouvelle petite distraction. Du coin de l'œil, j'entraperçus vaguement une jeune femme qui marchait à vive allure dans les rues du quartier. J'avais cru entendre des rumeurs selon lesquelles le coin était mal famé. Un vieillard, en l'occurrence, m'en avait parlé, en des termes pas très élogieux : "Le quartier de la Toussaint, mon vieux, c'est un coupe-gorge ! Si tu veux pas te retrouver le bide ouvert, t'en approche surtout pas !" S'il avait su ce que recouvrait mon pansement... Je ricanai en y repensant. Quelle douce ironie.
Ma curiosité et ma soif insatiable de nouvelles découvertes m'avaient tout naturellement poussé à aller y jeter un œil. Si un endroit me correspondait, c'était celui-là. Les discussions salaces avec les charmantes serveuses de tantôt m'avaient considérablement chauffé. Eh oui, récupérer un corps d'humain, ça ouvre plein de perspectives.

Les mains dans les poches, mon allure de touriste étonnait tous les passants que je croisais. Un groupe de trois loubards, qui me rappela fortement ceux qui avaient tué mon précieux corps, me dépassa en gloussant comme des malades.

- Cette gamine sait pas qu'il fait pas bon de traîner ici toute seule ! saliva l'une des racailles.

Ses deux compagnons hochèrent la tête, visiblement ravis d'avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Ils fusèrent dans une direction que j'estimai rapidement. La femme que j'avais vue plus tôt était passée par là, elle aussi. Oui, décidément, la vie était pleine de coïncidences qui vous faisait apprécier les promenades dans des endroits louches comme celui-ci. Ce n'est pas eux qui allaient s'amuser, mais bel et bien moi... Un sourire carnassier se dessina sur mon visage.
Je filais les trois types depuis seulement quelques minutes lorsque j'entendis leurs voix résonner dans la pénombre. Ils sifflaient et adressaient des invitations assez grossières à une personne féminine, de toute évidence. J'ignorais si, dans la nature, certains prédateurs se contentaient de suivre des traqueurs pour ensuite profiter honteusement de leur proie, mais j'appréciais déjà ce mode de fonctionnement.
Des pas précipités m'annoncèrent que la pauvre femme venait de rebrousser chemin en courant. *Courir ne te servira à rien... J'ai faim, et y a pas grand chose qui pourrait m'empêcher de satisfaire cet appétit !* pensai-je en passant une langue excitée sur ma lèvre supérieure.

- Elle se fait la malle ! remarqua stupidement un des hommes.
- J'ai vu, crétin. T'en fais pas, elle pourra jamais nous semer, assura celui que je devinai comme étant le leader du groupe.
- Excusez-moi, messieurs ! intervins-je en surgissant de nulle part. J'aimerais que...
- Dégage, connard ! Et file-nous ton fric, tant que t'y es ! me stoppa impoliment le chef en tendant une main avide devant lui.

Poussant un profond soupir, j’attrapai un petit caillou au sol et me l'enfonçai dans le bras. Une perle de sang jaillit de la minuscule plaie, tandis que les trois loubards me lançaient des regards interrogateurs. *Ça sera suffisant...* songeai-je en lançant un regard noir au trio. Mon sang se transforma alors en une épine toute petite, mais suffisante pour faire souffrir des humains de bas étage. Sans prévenir, j'envoyai le projectile carmin en plein dans l'œil d'un de mes "assaillants". Le résultat ne se fit pas attendre, et une gerbe de sang se répandit sur le sol. L'homme voulut pousser un cri, mais la douleur l'en empêcha. Les deux autres, éberlués, me regardèrent brièvement avant de fuir dans une direction aléatoire.
Je passai devant le blessé en le regardant d'un air satisfait. Mon sourire s'élargit quand je constatai la peur que j'occasionnais à ce type. La femme avait pris trop d'avance. Je n'avais jamais aimé la course, mais cette petite altercation m'avait fait perdre du temps. J'entamai ma course, et constatai avec stupeur et ravissement que ma proie était affalée au sol. Elle était magnifique. Mon sourire grandit davantage.

- J'ai cru comprendre que tu avais été embêtée par des mecs un peu étranges. Mais t'en fais pas, ils sont partis, annonçai-je, essayant de ne pas laisser transparaître mes intentions trop tôt. Je m'appelle Senji, et je suis honoré de faire ta connaissance... Tu m'as l'air sous le choc... Tu veux peut-être te reposer un peu chez moi avant de repartir ?

Je réfléchis quelques secondes avant de reprendre.

- En fait, j'ai peur de devoir me montrer un peu brusque en te forçant à venir chez moi, lançai-je en ne pouvant plus dissimuler mon rictus malsain. Tu comprends, des fois que tu retomberais sur des personnes... mal intentionnées.

J'agrippai la fille par le bras et la forçai à se relever d'un geste sec. Je n'avais aucune idée d'où j'allais l'emmener. Je suivais les rues et les ruelles au gré de mes envies. Je cherchais l'endroit idéal pour servir mes vils desseins. Et un petit parc pour enfants apparut. L'idée me plaisait énormément. J'adressai un regard plein de vice à ma compagne tout en la poussant en direction d'une balançoire. Ma main s'empara de ses cheveux, puis les tira légèrement en hauteur, pour la forcer à me regarder. Ma deuxième main s'approcha de cette jolie poitrine qu'il me tardait de découvrir.

- Tout travail mérite salaire, comme on dit... me justifiai-je sur un ton faux et pervers.

La personne qui se tenait là était un homme d'une vingtaine d'années, les cheveux bruns en pétard dressés sur sa tête. Il portait une chemise ouverte sur son torse musclé. Il aurait presque pu être séduisant sans le regard froid qu'il me lançait de ses yeux gris métalisé.

- J'ai cru comprendre que tu avais été embêtée par des mecs un peu étranges. Mais t'en fais pas, ils sont partis, Je m'appelle Senji, et je suis honoré de faire ta connaissance... Tu m'as l'air sous le choc... Tu veux peut-être te reposer un peu chez moi avant de repartir ?
" Honorée, M. Senji. Non, je vous assure, je vais bien... En revanche, si vous pouviez m'indiquer la sortie de ce lieu, je vous en serais reconnaissante. "

Soudain, l'expression sur son visage changea du tout au tout. Son sourire amical laissa la place à un rictus malsain, carnassier. Un rictus de prédateur. Tout mes espoirs s'envolèrent. Je ne pouvais pas m'enfuir, et je n'avais aucun moyen de me défendre. J'étais complétement à sa merci, pour le meilleur et pour le pire. Et je craignais fort que ce soit surtout pour le pire... Chose qu'il confirma.

- En fait, j'ai peur de devoir me montrer un peu brusque en te forçant à venir chez moi. Tu comprends, des fois que tu retomberais sur des personnes... mal intentionnées.

Des personnes mal intentionnées ? Un rictus de peur me traversa le visage. J'en avais une juste en face de moi, de personne mal intentionnée... Senji m'attapa parle bras, et me força a me relever. Je tenta bien de me débattre, mais je dus rapidement me rendre à l'évidence. Je ne faisais pas le poids face à lui. J'étais comme une enfant face à un adulte : impuissante. Senji m'entraina à sa suite, vers une destination que lui seul connaissait. Pour ma part, je me laissais faire. J'étais certes révoltée contre cet homme qui voulait abuser de ma faiblesse, mais que pouvais-je y faire ?
Finalement, Senji m'emmena dans un parc de jeux pour enfants. Il me poussa en direction des balançoires, tout en m'adressant un air vicieux. Il attrapa alors ma chevelure, qu'il tira en arrière pour que je regarde.

- Tout travail mérite salaire, comme on dit...
" De quel travail parl... Oh ! "

Je crois que je commençais à comprendre. Il avait du se battre contre les trois malfrats de tout à l'heure. D'un coup, il remonta un peu dans mon estime... Avant que sa main ne saisisse ma poitrine. Ses intentions étaient claires, il voulait se faire payer ses services en nature... Je tentais quand même le tout pour le tout : s'il voulait une récompense, il y avait d'autres choses qu'elle pouvait offrir que son corps...

" Je vous remercie pour votre aide, M. Senji. Que diriez-vous de m'accompagner à mon domicile, que je vous offre une compensation financière à la hauteur de votre courage ? "

[HRP] Tu pourrais me dire si tu vois mes textes correctement colorés, stp ? C'est à dire rouge au niveau de mes pensées + mes paroles ! Parce que je crois avoir des problèmes avec les balises >< Merci ![/HRP]

- De quel travail parl... Oh !

Un petit rire nerveux sortit de ma bouche. Quelle naïve !

- Je vous remercie pour votre aide, M. Senji. Que diriez-vous de m'accompagner à mon domicile, que je vous offre une compensation financière à la hauteur de votre courage ?
- De l'argent ? Loin de moi l'idée de passer pour un détraqué, mais j'en ai rien à faire, de ton argent. À vrai dire, j'aurais plutôt tendance à te payer toi pour ce que tu vas faire, ricanai-je.

Je n'avais pas enlevé ma main de sa jolie petite poitrine. J'entrepris alors de malaxer cette dune de chair avec passion. La meilleure sensation sur terre, à n'en pas douter. D'abord lent et consciencieux, uniquement focalisé sur le sein entier, mon mouvement se fit plus ferme, plus fort et je pinçai par à-coups son téton qui, conformément aux lois du corps humain, ne tarda pas à durcir. L'envie prenant le dessus, je dégrafai aussitôt le haut de son habit. Elle était encore plus belle une fois dénudée. Seul son soutien-gorge m'opposait encore une résistance. Soit. Je déchirai littéralement le tissu, me forçant à m'arrêter dans mon entreprise de "pétrissage". Ses deux atouts semblaient deux yeux qui transpiraient le sexe. Je poussai un nouveau ricanement et me remit à les masser, toujours plus fort.

Au bout de quelques secondes, j'approchai ma langue de l'un de ses tétons, que je parcourus lentement, toujours animé par cette passion et cette fascination du corps féminin. *Pourquoi on n'a pas ça dans les files d'attentes de l'Enfer ?* me demandai-je alors que je commençais à mordiller la partie érogène qui ne cessait de durcir.
L'une de mes mains se mit à caresser les courbes inférieures de la jeune femme. Elle était bien faite ici aussi. Ma main, passant sous sa jupe, entra en contact direct avec la peau de ce magnifique petit fessier que j'avais envie plus que jamais de découvrir. Mais cette partie viendrait bien assez vite.
Mes doigts parcoururent chaque centimètre carré du cul de ma victime, parfois avec insistance, parfois simplement avec le bout, voire même les ongles. Il fallait diversifier les plaisirs, même pour elle ! Mon index se hasarda près de son anus, tournant lentement autour, comme pour annoncer une entrée imminente. Et au moment où un gémissement, ou une simple réaction physique, m'annonçait qu'elle était prête, je retirai vivement mon doigt, le laissant de nouveau gambader sur l'étendue érotique de son corps.
Ma langue toujours active, une main sur un sein et l'autre se promenant joyeusement sur le fessier de la jeune femme dont j'ignorais toujours le nom, ce qui devait se produire... se produisit. Je sentis mon boxer qui devenait déjà trop petit. Comme si ma fierté me poussait à faire avouer à ma proie qu'elle était excitée avant que moi-même je ne le fasse, je glissai sans prévenir la totalité de mon majeur dans la fente habituellement réservée à l'amour de sa vie. Le doigt une fois installé dans la cavité chaude et humide, je m'amusai à le faire gigoter dans tous les sens, y mettant une certaine force. Je n'allais quand même pas lui donner tout ce que je pouvais si facilement... Il fallait savoir faire durer le plaisir et monter l'excitation... Je voulais qu'elle m'implore. Peut-être pas tout de suite, mais après, pourquoi pas ?
Et puis, toujours sans crier gare, je m'arrêtai, ôtant mon doigt de sa chatte et laissant toutes les autres activités en plan. Je me redressai et la regardai d'un air mauvais.

- Répète mon nom, pour voir ? Tu ferais mieux de t'en souvenir, tu pourras raconter à tes copines comment était ta meilleure partie de jambes en l'air. Tu vois, ce doigt tout mouillé ? C'est une réaction normale, chez les humaines, expliquai-je en lui mettant mon doigt trempé sous le nez. Je vais quand même te laisser le choix : tu préfères ça ici, ou dans un endroit plus calme ?

Sans attendre sa réponse, je l'embrassai aussi soudainement que délicatement, jouant avec sa langue, mais en prenant garde de ne pas la retoucher. Je n'avais pas envie de lui faire éprouver de plaisir sans avoir joué un peu avec elle.
Je me redressai et attendis sa réponse. Cette nuit allait être... amusante.

- HRP -
Les balise fonctionnent bien, aucun soucis
- HRP -


- De l'argent ? Loin de moi l'idée de passer pour un détraqué, mais j'en ai rien à faire, de ton argent. À vrai dire, j'aurais plutôt tendance à te payer toi pour ce que tu vas faire.

S'il me restait le moindre espoir, il était désormais envolé. Ce Senji avait clairement l'intention d'abuser de mon corps. D'ailleurs, il s'y attaque sans tarder, malaxant mon sein avec envie. Réservés au départ, ses mouvements se firent de plus en plus insistants. Parfois, ses doigts venaient pincer mon téton, lequel ne tarda pas à durcir sous la stimulation. J'avais honte de moi, que mon corps réagisse de la sorte. Mais mon corps avait ses réflexes, et quand quelqu'un jouait avec, il réagissait, indépendamment de ma volonté. Senji me débarrassa de mon haut, un corset ajusté, avant de déchirer mon soutien-gorge. Puis il replongea dans sa fascination malsaine pour mes seins, en caressant un d'une main pendant qu'il venait lécher l'autre à l'aide de sa langue.
Je sentis son autre main descendre le long de mon corps, vers ma taille. Elle passa sous ma jupe, pour venir attraper mes fesses au travers de ma culotte. Puis elle commença à les malaxer, les pétrir, ses doigts parcourant mon fessier. Je les sentis écarter le tissu pour venir entrer au contact de ma peau. Je sentis même un doigt venir titiller mon petit trou, et un gémissement s'échappa de mes lèvres. Il commençait tout doucement à faire monter mon désir, l'excitation me gagnait...

" Hyaaah !! "

Soudainement, sans que je puisse m'y attendre, Senji écarta ma culotte pour glisser son doigt dans mon intimité. Heureusement, sous le plaisir mon antre était déjà humidifiée, sinon l'insertion aurait été douloureuse. A la place, je ressentis une douce chaleur m'envahir. Puis il se mit à bouger son doigt dans tout les sens, vers le haut, le bas, la droite, la gauche... Je gémissais sans réussir à me contrôler. Le plaisir montait de plus en plus, je sentais que je n'allais pas tarder à jouir sous l'action combinée de ses mains et sa langue... Quand il cessa tout mouvement. Je sentis son doigt quitter mon intimité. Il me le montra, couvert de mon nectar.

- Répète mon nom, pour voir ? Tu ferais mieux de t'en souvenir, tu pourras raconter à tes copines comment était ta meilleure partie de jambes en l'air. Tu vois, ce doigt tout mouillé ? C'est une réaction normale, chez les humaines. Je vais quand même te laisser le choix : tu préfères ça ici, ou dans un endroit plus calme ?

Il m'embrassa avant que je puisse dire quoi que ce soit, puis se recula, attendant ma réponse. Je gardais le silence. J'avais le cerveau en feu, mon corps était un brasier, je chancelais légèrement. Mon coté perverse se réveillait, je le sentais. J'étais honteuse de moi, être tentée de la sorte par un violeur... Mais mon corps avait aimé, et en redemandait.

" M. Senji... Nietzche disait, "l'esprit n'est qu'un jouet pour le corps"... Soyez doux, s'il-vous-plaît... "

- M. Senji... Nietzche disait, "l'esprit n'est qu'un jouet pour le corps"... Soyez doux, s'il-vous-plaît... "

Tiens ? Elle se mettait à philosopher. Cette petite était décidément très surprenante. Elle tentait de me soudoyer, pour ensuite en appeler à de grands penseurs ! Intérieurement, je ne pus m'empêcher de respecter ce petit bout de femme. Dans une situation pareille, j'aurais très certainement tout fait pour fuir, je me serais débattu... J'aurais même crié. D'accord, je lui accordais le fait que le quartier était désert, et que personne ne l'entendrait - ou que personne ne viendrait, tout du moins.

- Nietzsche ? C'est une de tes connaissances ? feignis-je d'ignorer. L'heure n'était pas aux discussions de ce genre, mieux valait tuer le débat dans l'œuf. Bah, c'est sans importance. Rends-toi simplement compte qu'ici, il n'est question ni d'esprit, ni de douceur, mais juste de ton corps qui sera mon jouet... Et sache que je suis bien au-delà de la douceur ou de la brutalité. Je joue dans ma propre catégorie. Tu pourras raconter cette anecdote à tes amis, si tu veux, ajoutai-je en la poussant sur une balançoire.

Je défis mon pantalon et laissa mon membre s'exprimer au grand jour. Il n'était pas encore totalement dressé, mais cette charmante demoiselle allait s'atteler à la tâche sans tarder. Je la forçai à avaler le bout de mon sexe, en lui intimant férocement de le lécher.

- Si tu te débrouilles bien, je te ferai connaître des choses que tu n'aurais jamais soupçonné, promis-je en palpant de nouveau son corps délicat avec mes mains.

Ma main droite se posa sur le sommet de son crâne et, jouant avec la pression que j'y exerçais, j'indiquais à ma partenaire forcée le rythme qu'il fallait suivre. De l'autre main, je partis de nouveau à la conquête de ce postérieur si aguicheur, qui devait en faire saliver plus d'un.

- Joue avec ta langue, princesse, la dirigeai-je sur un ton ferme.

Mes doigts frottèrent de nouveau la zone sensible autour de son anus. Je n'avais encore jamais emprunté cette voie avec une humaine... Les nouvelles expériences sont toujours profitables, comme on dit. Mon index vint se planter sans sommation dans son trou. C'était beaucoup plus serré que la fente "conventionnelle". Ça ne m'étonna pas outre-mesure. Je repris ce que j'avais commencé plus tôt dans son autre orifice sexuel, mais en prenant garde de ne pas trop abîmer ce trou-là. Après tout, inutile de le blesser, avant que les choses sérieuses ne commencent. Mes doigts s'agitaient avec douceur. Les gémissements de la jeune femme reprirent de plus belle. Mon excitation montait en moi aussi. Les mouvements de ma main posée sur sa tête se firent plus insistants.
Elle savait y faire. Mais j'en voulais plus. Toujours plus.

- Gorge profonde, tu fais ? demandai-je, sans trop savoir pourquoi. Attends, pourquoi je demande, moi ? C'est pas comme si t'avais le choix...

Et je lui enfonçai mon membre au plus profond de son orifice buccal. Il durcit instantanément. Je serais bientôt à bloc. Un soupir accompagna ses mouvements de langue si divins... Ça ne faisait que commencer.

- Nietzsche ? C'est une de tes connaissances ? Bah, c'est sans importance. Rends-toi simplement compte qu'ici, il n'est question ni d'esprit, ni de douceur, mais juste de ton corps qui sera mon jouet... Et sache que je suis bien au-delà de la douceur ou de la brutalité. Je joue dans ma propre catégorie. Tu pourras raconter cette anecdote à tes amis, si tu veux.

Je fut poussée sur une balançoire. Dans le même temps, Senji déboutonna son pantalon pour exhiber sa verge, laquelle avait déjà atteint une belle taille. Il l'apporcha de mon visage. e savais déjà à quoi il pensait : il voulait que je lui fasse une fellation. Son gland entra en contact avec mes lèvres. Je refusais dans un premier temps de le laisser passer, mas le ton qu'il prit pour m'ordonner de le prendre dans ma bouche me fit dire qu'il vallait mieux obtempérer. Je ne voulais pas savoir ce qu'il ferait s'il s'énervait contre moi.

- Si tu te débrouilles bien, je te ferai connaître des choses que tu n'aurais jamais soupçonné.

Je ne savais que trop bien de quelles "choses" il parlait, mais cela ne me m'enchantait guère d'avantage. Sa main vint se poser sur le sommet de ma tête, et y excerça une pression. Je comprennais ses intentions. Il voulait m'imposer son rythme. Impuisante, je me laissais guider, faisant coulisser son penis entre mes lèvres. Le viol avait bel et bien commencé, et par ma bouche. Dans le même temps, je sentais sa main descendre vers mes fesses, à nouveau.

- Joue avec ta langue, princesse.

Ma langue ? comment voulait-il que j'utilise ma langue avec son penis qui me remplissait la bouche ? Puis je me souvins que le gland était une zone sensible de l'organe masculin. Il ne me restait plus qu'à trouver une occasion de mettre ce savoir en pratique... La réponse vint naturellement : lorsque Senji faisait reculer son pénis, j'en profitais pour faire tourner ma langue autour de son gland, puis la laissait glisser sous sa verge quand elle repassait à l'assaut.

Dans le même temps, je sentis son doigt venir titiller à nouveau mon petit trou. Faisait-il ue fixation dessus ? J'eu une sorte de réponse quand son doigt s'enfonça dans mon orifice. Je gémis sous la sensation, pas douloureuse, mais pas franchement agréable non plus. Instinctivement, mes parois intestinales se contrctèrent. Senji ne s'en préoccupa guère, et commença à bouger son doigt dans mon anus. Le ressenti était étrange. Je le sentais chauffer, bruler sous l'action du doigt de mon violeur. Incapable de me retenir, je me mis à gémir, les larmes me montant aux yeux.

- Gorge profonde, tu fais ? Attends, pourquoi je demande, moi ? C'est pas comme si t'avais le choix...

Gorge profonde ? Il ne pensait tout de même pas...

" Gurh... Humpff... "

J'avais tord. Appuyant avec sa main tout en poussant du bassin, Senji enfonça son pénis profondément dans ma bouche. Je le sentais glisser sur ma langue, entrer au contact de ma glotte, pénétrer ma gorge. J'étouffais, mes poumons me faisaient tousser par reflexe pour évacuer cet intrus. C'en était trop. Des larmes coulèrent de mes yeux.
Senji recommença l'opération à plusieurs reprises, et à chaque passage, j'avais des hoquets de rejet. J'avais à peine le temps de respirer, je suffoquais. Finalement, après une insertion particulièrement violente et longue dans ma gorge, son pénis cracha sa semence dans un râle d'extase. Une bonne partie de son sperme aterrit sur mon visage et dans ma bouche, toujours ouverte. Haletante, prise de vertiges, je tentais de reprendre ma respiration, indifférente au liquide épais qui coulait sur ma poitrine, souillant mon corps...

La première décharge était partie... Quel soulagement. Un sentiment libérateur. Un petit soin du visage bien obscène pour la charmante demoiselle, un ! Son expression d'impuissance me faisait gonfler encore plus. La verge palpitante, j'arrachai le reste de sa tenue.

- Ooooh ouais, c'est comme ça que je veux que ça se passe !

J'agrippai la jeune demoiselle et, à l'aide de ma force de démon, je nous fis exécuter un 69 à l'horizontale, elle la tête en bas. Ma langue passa le long de son sexe, se glissant par à-coups dans la fente, savourant le doux nectar qui s'en écoulait. Elle avait l'air d'apprécier. La suite allait la ravir encore plus. D'un geste du bassin, je forçai ma partenaire à avaler de nouveau mon engin. L'excitation me gagna de nouveau et, avec une bestialité peu commune, j'entrepris de lécher encore avec plus d'ardeur et d'insistance la jeune femme, qui semblait sur le point de s'étouffer. Cette fois, mon membre était à son paroxysme. Et je comptais bien m'en servir pour accomplir mes desseins.

Après une petite dizaine de minutes de ce manège, je remis la jeune femme d'aplomb. Elle avait l'air excitée, comme en témoignait son teint rougissant, mais aussi gênée, voire choquée. Les ébats publics l'intimidaient-ils tant ? Je pressai ses tétons une dernière fois avant de la pousser sur la balançoire et d'un geste autoritaire, je l'obligeai à écarter les jambes. Coincée sur la nacelle qui bougeait lentement, elle m'offrait toute son intimité. Enfin, JE m'offrais son intimité. Je me mordis brutalement le doigt, laissant un nouveau filet de sang s'écouler hors de mon organisme. J'introduisis mon doigt recouvert du liquide rouge dans l'anus de la demoiselle, avant de le transformer en une multitude de petites langues qui se mirent immédiatement à stimuler l'intérieur de ma "princesse".
J'approchai ensuite ma verge de son autre fente, et en fit pénétrer à peine le bout. Je laissai ressortir mon sexe avant de le réintroduire tout aussi doucement pour ensuite le ressortir, très lentement, observant les réactions de ma captive. Ma main encore libre stabilisa le balancement de la balançoire, en pelotant la poitrine décidément toujours aussi appétissante de cette petite merveille.
Je décidai de me concentrer pour que son cul ressente encore plus de sensation que le reste de son corps. Je faisais gigoter mes minuscules tentacules sanguins dans sa cavité anale. Chaque fois qu'elle tressautait ou qu'elle poussait un gémissement, je pressai mon sexe contre le sien, pour la stopper dans son élan, pour que deux sources de plaisir éclosent en même temps.

- Et ce n'est que le début... Ça te plait ? ricanai-je en insérant un deuxième doigt dans son anus.

Avant que je ne puisse totalement récupérer, Senji me débarrassa du reste de mes vêtements encore sur mon corps. Je le laissa faire, incapable de me défendre, et ma jupe et ma culotte allèrent rejoindre le sol poussiéreux du parc. Désormais, j'étais complétement nue.

- Ooooh ouais, c'est comme ça que je veux que ça se passe !

Senji m'attrapa à bras-le-corps, et me retourna. J'avais peine à croire ce qui se passait. Nos visages étaient chacun à hauteur du bassin de l'autre, mais Senji se tenait debout ! En conséquence, j'étais la tête en bas, face à son pénis. Senji commença alors à lécher mon intimité. Je sentais sa langue frotter contre les lèvres, pénétrant parfois ma fente. Je me forçais pour ne pas gémir.
Il agita son bassin, comme pour faire entrer sa verge dans ma bouche, une nouvelle fois. Dans la situation présente, je n'avais guère le choix... Son pénis pénétra une nouvelle fois mes lèvres. Pendant ce temps, sa langue continuait de frotter mon intimité, avec de plus en plus d'insistance. Je pensais que cette situation durerait un instant, mais je sous-estimais la force physique de Senji. Au bout de cinq minutes, enfin, ce que j'estimais être 5 minutes, je n'en pouvais plus. Le pénis de Senji m'étouffait, et le sang me montait à la tête, ce qui me donnait des vertiges.

Finalement, au bout de ce qui me sembla être une éternité, je fut reposée au sol. Senji me poussa alors vers la balançoire, où je m'y laissa tomber. Sans ménagement, il écarta mes jambes, exposant mon intimité. Mes lèvres gonflées de plaisir, ma fente ruisselante de mon nectar... Tout cela était offert à l'appétit sexuel de cet homme. Le pire étant surement le fait que j'y éprouvai un certain plaisir... Comme en témoignait mon corps.
Senji fit quelque-chose qui me surprit énormément : il se mordit le doigt au sang. Puis il glissa ce doigt vers mon petit trou,à nouveau.

" Humm... YAAAAAHH !! "

Qu'est ce que ... ?! Au moment où son doigt avait franchi mon anus, je sentis plusieurs choses se frotter à mes parois intestinales, comme des filaments, mais vivants ! Sous cette stimulation, à laquelle je ne comprenais rien, de gigantesques vagues de frissons me traversèrent le corps. C'était une sensation complétement inédite, mais sa nature inconnue m'inquiétait...
Pendant ce temps, Senji inséra son gland dans ma fente. Je me força à me détendre, par anticipation de ce qui allait suivre, mais contrairement à ce que je croyais, il n'enfonça pas son pénis dans mon vagin. À la place, il se contenta de lents va-et-viens de son gland dans ma fente. Sous cette double stimulation, je sentais mes défenses flancher, j'étais parcourue de frissons. Ma respiration se faisait plus rapide, j'haletait franchement, quand je ne poussais pas un gémissement révélateur de mon plaisir.

- Et ce n'est que le début... Ça te plait ?

Si ça me plaisait ? J'avais honte d'être abusée de la sorte par un inconnu, au milieu d'un parc pour enfants, en plein air. Mais mon corps, lui, appréciait les traitements qui lui étaient prodigués. Je le sentais d'ailleurs atteindre sa limite.

" M.Senji... Aah... J-Je crois que... Humm... Je vais jou... Ahh... jouir... HmmmAAAAAAAAAAAAAAAHH !! "

J'ai atteints l'orgasme. Ma vue se brouilla, mon corps fut parcouru de spasmes. Mon vagin se contracta, et un jet de cyprine partit se répandre sur le pénis de Senji. Finalement, je tombais contre lui, épuisée et haletante.

- M.Senji... Aah... J-Je crois que... Humm... Je vais jou... Ahh... jouir... HmmmAAAAAAAAAAAAAAAHH !! s'exclama-t-elle.

Et aussitôt après, du plaisir à l'état liquide me recouvrait le membre entier. Esquissant un sourire de satisfaction, je laissai le temps à ma petite princesse de respirer, de retrouver son souffle. On parlait d'un viol - visiblement pas tant que ça, elle avait l'air de bien aimer aussi - et pas d'une discussion sage entre adultes matures. De mon point de vue, j'étais loin d'être mature, en tout cas.

Jetant un regard amusé à mon propre engin, je me retournai vers la jeune demoiselle, qui haletait encore un peu.

- Déjà fatiguée ? Je t'avais prévenue, que ça ne faisait que commencer ! jubilai-je en saisissant de nouveau l'arrière du crâne de ma prisonnière.

En la tirant par les cheveux, je la forçai à se relever, à se tenir debout. Accompagnée d'une claque aux fesses, qui résonna assez fort, je lui ordonnai de se retourner. Une fois dans la nouvelle position, je la forçai d'une pression entre ses omoplates à se baisser. Mon doigt doté de petites langues revint se fourrer dans son anus, reprenant aussitôt son office. Cette fois, je n'allais pas me retenir, je n'allais pas jouer avec elle. C'était à mon tour de l'honorer de ma semence.

Et j'enfonçai d'un coup d'un seul mon pénis dans son vagin. Tout du long. Vingt-deux centimètres secs. Sans même prendre le temps de détailler sa réaction, j'entamai le processus terriblement plaisant d'un va-et-vient constant, contorsionnant mes hanches pour prodiguer encore plus de plaisir tant à moi qu'à elle. Je me préoccupais très peu de ce qu'elle ressentait, de ce qu'elle pensait, de ce qu'elle disait ou gémissait. Seul mon plaisir m'intéressait.
Le plaisir anal que je lui octroyais s'amplifia lorsque j'introduisis un deuxième doigt dans l'orifice. J'exerçai une pression sur la paroi du bas, pour resserrer les couloirs vaginaux de ma partenaire. Elle était un peu étroite, mais on pouvait faire mieux, dans le domaine-là. Et appuyer sur la paroi inférieure de son cul y contribuait grandement.

Les boutades que je lui assénai gagnaient en intensité, en force et surtout en auto-satisfaction. Je pilonnai au maximum de mes capacités son sexe, remuant avec autant de fougue les doigts enfoncés dans son second trou. Un troisième doigt vint les rejoindre. Mon autre main était appuyée sur son dos, afin d'empêcher la balancelle de trop se mouvoir. Des fois que le mouvement ait pu épargner quelques supplices à la princesse... mieux valait écarter cette possibilité le plus vite possible.
Mon poignet, celui qui s'occupait de son cul, se mit à bouger en même temps que mes reins. S'accordant aux mouvements de mon bassin, mes doigts pénétraient de plus en plus profondément dans son corps. Les langues de sang continuaient de stimuler chaque partie du corps qu'elles pouvaient atteindre. Puis un quatrième doigt se joignit à la fête. Il ne restait que mon pouce, qui n'allait d'ailleurs pas tarder à lui aussi s'incruster. Mais pas pour l'heure.

Mon sexe, englouti par le vagin de la jeune femme, se sentait comme chez lui. C'était un environnement doux, humide et chaud, comme un manteau construit sur mesure. Conçu dans le seul but de satisfaire au moindre de ses besoins, au moindre de ses caprices, au moindre de ses souhaits. Au moment même où j'avais cette pensée en tête, je retirai net le membre du trou, pour l'y enfoncer de nouveau d'une traite. J'avais atteint le bout du tunnel, comme on dit. Mais la lumière n'était pas encore au rendez-vous.
Une autre idée, plus saugrenue, me vint en tête. Mes doigts flanqués dans son postérieur en sortirent, et les mouvements de mon bassin se faisaient plus lents, plus sages... Le calme avant la tempête.

- Accroche-toi, belle inconnue, avertis-je en agrippant les deux cordes qui reliaient la nacelle au reste de la balançoire. On va voir ce qui se passe quand c'est pas moi qui décide de ce qui se passe là-dedans, lançai-je tout en enfonçant deux doigts dans son vagin sans prévenir.

Puis j'enfonçai de nouveau mon sexe dans le sien, avec force et détermination, dopé par l'excitation grimpante. J'y était allé suffisamment fort pour que l'élan la pousse en avant. Le claquement qui résulta du choc entre mon corps et le sien fut jouissif. Au moment même où la nacelle se soumettait à la force que j'avais appliquée dans le mouvement, je relâchai les deux cordes et regardai la balançoire s'élever dans les airs. Pas très haut, mais quand même. Puis la fente de la jeune demoiselle se rapprocha de moi. Elle s'empala sur mon membre.

Je répétai plusieurs fois l'action, savourant chaque entrée et chaque sortie de son intimité.

- Déjà fatiguée ? Je t'avais prévenue, que ça ne faisait que commencer !

Je craignais qu'il ne me sorte quelque-chose du genre. Senji m’attrapa par les cheveux, me forçant à me lever, pour me retourner et m'infliger une cinglante claque sur mes fesses. Dès que je lui tournais le dos, il me fit pencher en avant, avant de recommencer derechef son étrange manège dans mon puit secret. Je poussais un gémissement, qui se transforma en un long cri quand je sentis son pénis me pénétrer tout du long. Un claquement retentit quand il arriva en bout de course, et que la chair de son bas-ventre entra en contact avec mon fessier.
Indifférent à ce que je pourrais en penser, Senji commença son labeur, donnant de puissants coups de rein. Je sentais sa verge aller et venir en moi, frotter contre les parois de mon vagin, son gland me pénétrer en profondeur. Dans le même temps, le traitement qu'il infligeait à mon anus, même si j'en ignorais toujours la nature, me stimulait au plus haut point.

" Aah... Non... Stop, s'il-yaah... s'il-vous-plait... Humm... "

Mais en vérité, les faits sur mon état me rendaient bien plus honteuse que d'être simplement violée comme ça, dans un lieu public. Mon corps appréciait ça, mais, et c'était pire, mon esprit aussi. J'aimais être prise sauvagement par cet homme dont j'ignorais tout. Sans nul doute, j'étais bel et bien une perverse...
Les pénétrations de Senji gagnèrent en intensité, tout comme mes gémissements. En fait, il serait plus juste de dire que je criais presque, tant je ne contrôlais plus ma voix. Mais à ce stade, je ne contrôlais plus grand-chose de toute façon... Puis je sentis que le nombre d'occupants das mon anus augmentait. De un doigt, il était passé à deux, puis trois. Une telle intrusion me faisait mal, mais quelque-part, elle me procurait aussi du bien. Puis ses doigts commencèrent à s'agiter dans ma cavité, faisant des vas-et-viens.

" Non ! Arr... Aanh... Arrêtez ! "

Seulement, voulais-je vraiment qu'il s'arrête ? Cette pensée me fit frémir. Plus le temps passait, plus j'appréciais la situation. J'appréciais sentir ce membre chaud dans mon orifice, ses doigts, maintenant au nombre de quatre, dans mon puit secret, et ces mystérieux filaments qui me stimulaient. Même ma honte commençait à refluer sous le plaisir qui me parcourait.
Senji interrompit soudainement toutes ses actions, pour me pénétrer en douceur, lentement. Je faillis lui dire de recommencer, mais je me retins à temps. Je ne voulais surtout pas que ma perversité sot étalée au grand jour !

- Accroche-toi, belle inconnue, on va voir ce qui se passe quand c'est pas moi qui décide de ce qui se passe là-dedans.

Je ne comprenais pas de quoi il parlais, et je n'eus pas le temps de comprendre. Senji me pénétra violemment, de toutes ses forces. Le claquement de nos chairs résonna dans l'air, et je perdis mon souffle. Puis je sentis autre chose : sous l'impulsion, la balançoire sur laquelle je me tenait prit de la hauteur, avant de redescendre. Et cette descente m'amena à m'empaler sur le membre de Senji. Qui recommença son manège.
À chaque pénétration, que ce soit la balançoire où les coups de enji, je criais franchement, accompagnée du bruit de nos chairs qui claquaient. Je ne souhaitais qu'une chose : qu'il jouisse, et moi avec.

Les cris de la petite ingénue me rendaient fou. La défoncer de la sorte, la pénétrer, l'entendre hurler... Tout était si parfait. Ses cris finirent par attirer du monde. D'abord des lumières s'allumèrent aux fenêtres des habitations bordant le parc, des silhouettes se détachèrent au cœur des carrés lumineux pour finir par observer la scène en nous pointant du doigt. Ils n'avaient pas l'air scandalisés, ni même outrés. Certains riaient, d'autres m'encourageaient à continuer. Je reçus des sifflets racoleurs provenant de femmes, des hommes proposèrent de venir m'aider ou éventuellement de changer de place. Un type était même descendu sur le palier de sa porte et commençait à se tripoter.
Amusé par la situation, je me forçai à stopper le mouvement de balancier pour soulever de nouveau la jeune femme. Son dos appuyé contre mon torse, je la portais par dessous les genoux, écartant ses jambes. Puis je me tournai dans la direction où le plus de monde regardait. Puis ma queue pénétra de nouveau dans son orifice. Je la faisais descendre et monter lentement, l'écoutant respirer avec force et gémir.
Je commençais également à lui mordiller l'oreille, le cou, l'épaule. Je passai ma langue de temps à autre sur sa joue puis sur sa nuque, cherchant à l'exciter encore plus. Puis le cri d'un spectateur retentit.

- Par le cul ! Par le cul ! scandait-il, depuis son poste d'observation.

J'étais bien obligé de donner au peuple ce qu'il voulait. Mon membre changea de trou. D'un coup sec, sans prévenir. La même position, les mêmes mouvements, mais des sensations différentes. Le trou avait beau avoir été élargi par mes doigts, il n'en restait pas moins plus étroit. Mes coups de boutoirs reprirent de plus belle, me délectant de chaque pénétration avec un sentiment nouveau.
Un homme siffla. Forcément, la vue était plus dégagée. Un groupe de trois adolescentes, un peu ivres, passèrent derrière moi, me déposant chacune une claque sur les fesses ou dans le dos. Elles se mirent à observer la scène depuis derrière, me caressant les épaules palpant chaque partie de mon corps qui leur plaisait.

- J'habite pas trop loin et j'ai des beaux jouets, si vous voulez... souffla l'une des jeunes, l'haleine effectivement chargée de relents de whisky.

Je fis mine de réfléchir, tout en ralentissant légèrement mon rythme de pénétration.

- Ça te plairait, que des inconnus viennent se joindre à nous ? ricanai-je en enfonçant plus profondément ma queue dans son cul, occasionnant des exclamations ravies et excitées chez les trois ado.




[HRP]Je te laisse choisir ou non l'arrivée de ces PNJ, et gérer les jouets si t'en veux ;P[/HRP]

Senji continuait son office, me pénétrant violemment, puis soudain, je perçu un changement. Il s'était calmé, et je le sentais s'activer. Il m'empoigna soudain par le creux des genoux, si bien que je me retrouvais le dos appuyé contre son torse, les cuisses écartées. Puis il se retourna, et je compris enfin. Partout où mon regard allait, je voyais des gens en train de nous observer, Senji et moi. Ils profitaient du spectacle de mon intimité pénétrée par le pénis de Senji. Horriblement gênée, je me cachais le visage, mais les coups de sexe de celui qui me pénétrait me faisaient gémir sans que je puisse me retenir.

À la demande d'un spectateur, Senji changea son membre d'orifice. Il avait opté pour une sodomie. Son sexe força le passage, s'enfonçant d'un coup tout du long. Je hurla sous la sensation, sans commune mesure avec ce que j'avais pu ressentir auparavant. C'était bien plus intense que le travail de ses doigts. Mon anus me brulait, j'avais l'impression que j'allais m'évanouir. Mes cris résonnaient dans l'air, pour le plus grand bonheur des spectateurs.

Soudain, j'entendis des voix bien plus proches. Tournant la tête, je remarqua que trois jeunes filles tournaient autour de nous, l'air un peu ivres. Elles semblaient ravies par le spectacle offert, et palpaient Senji sous tout les angles. L'une d'elles prit la parole.

- J'habite pas trop loin et j'ai des beaux jouets, si vous voulez...
- Ça te plairait, que des inconnus viennent se joindre à nous ?

Visiblement, la proposition plaisait à Senji, qui accompagna sa question d'un puissant coup de sexe. Je cria, pour le plus grand bonheur des trois filles. Une autre vint insérer ses doigts dans mon vagin, toute gloussante. Je réfléchis à ma réponse. Si je refusais, non seulement cela signifiait rester ici sous le regard des gens, mais aussi il y avait la possibilité que l'un d'entre eux vienne prendre son tour sans permission. Cette possibilité me fit frissonner, aussi je répondis.

Lai... Laissez-moi me... Me rhabiller... avant.

Senji accepta, et me fit descendre. J'en profitais pour renfiler rapidement mon bustier et ma jupe, sous les hués des spectateurs. Puis la file qui avait proposé qu'on aille chez elle nous montra le chemin. Elle habitait vraiment à coté, à cinq minutes de marche. La main de Senji ne quitta pas mon fessier durant le voyage. La fille nous emmena au troisième étage d'un immeuble, avant de nous faire tous entrer dans son studio.
Il s'agissait d'un studio relativement simple. Un vestibule desservait une salle de bain sur la droite, la cuisine au fond, et sur la gauche, une porte ouvrait sur une grande chambre faisant également office de bureau. J n'eus pas le temps de détailler d'avantage car sitôt entrés, l'une des filles me plaqua contre un mur avant de m'embrasser. Je sentis également sa main remonter le long de ma cuisse pour venir caresser mon intimité. J'augurais une longue, très longue nuit...

Les trois filles ivres s'étaient peut-être attardées à jouer avec mon corps en le caressant mais elles n'étaient pas non plus indifférentes aux charmes de ma princesse. Une des membres du trio vint glisser ses doigts dans sa chatte. Ma partenaire semblait réfléchir puis préféra visiblement accepter la proposition. J'accordai une petite pensée navrée à tous les pervers amassés aux fenêtres et aux portes qui seraient déçus.
Les huées ne tardèrent pas à fuser de part et d'autres lorsqu'elle se rhabilla. Les adolescentes nous désignèrent le chemin et, tout en avançant, je gardai ma main sur ce charmant postérieur qui avait été mien, et qui le serait probablement encore avant la fin de la nuit. Le studio dans lequel nous débarquâmes était vraiment l'intérieur d'un appart' étudiant. Les salles étaient petites, mais suffisaient amplement à la vie solitaire. Salle de bain, chambre/bureau, cuisine/salle à manger. Alors que je distinguais à peine les détails des pièces visibles, deux des trois filles me poussèrent en direction de la chambre. La troisième se rua sur la jeune "victime" qui m'accompagnait depuis longtemps maintenant, la plaquant contre le mur et entreprit de la doigter, d'emblée.

Je n'eus pas le temps de répliquer, de dire que j'aurais bien profité un peu plus longtemps d'elle. Les deux filles qui étaient sur moi se dévêtirent instantanément et entreprirent de me contenter. Elles étaient deux sur mon membre. La sensation était différente, plus agréable dans un certain sens, mais moins jouissive malgré tout. Ceci dit, les deux-là ne manquaient manifestement pas d'expérience. Elles savaient utiliser le plein potentiel de leur muscle buccal. Elles alternaient avec plus ou moins de brio les sensations douces et câlines des lèvres, humides, précises et fortes de la langue et piquantes, excitantes et "inédites" des dents.
Depuis le lit, j'entendais des gémissements étouffés. Où étaient passés les cris de plaisir et de douleur mélangés ? Qu'était-il advenu de cette puissance qui avait caractérisée nos ébats de plus tôt ? Mes deux compagnonnes ne m'autorisèrent pas de focaliser mes pensées sur tout ça. Elles s'empressèrent de me sauter dessus, et de mener la danse. La première était installée sur mon sexe dressé tandis que l'autre laissait à ma bouche le soin de discuter avec sa bouche la plus basse, corporellement parlant. Bien évidemment, je laissai celle affairée avec mon membre s'occuper d'elle-même : des mouvements de bassin circulaires, des petits coups secs destinés à visiter de plus "amples horizons" et des va-et-vient pour le moins... brutaux. La chaleur de l'alcool avait rendue au moins cette fille-là terriblement excitée.
La deuxième était plus sage. Elle passait ses mains dans mes cheveux presque amoureusement. Elle se laissait porter par mes lapements de langue précis et profonds. Sournoisement, je décidai même de rendre la chose plus intéressante en me mordant la langue, laissant de nouveau du sang s'écouler hors de mon organisme. Le liquide, comme souvent dans ce genre de situation, servit à rendre l'adepte de cunnilingus plus folle que jamais. Très vite, une marée de cyprine me recouvrit le visage. Je pus ensuite m'occuper plus convenablement de la deuxième demoiselle.

Alors qu'elle s'apprêtait à donner un nouveau coup de reins, je stoppai son mouvement en enfonçant sec mon manche dans ses profondeurs. Un glapissement retentit, puis le silence. Le jeu reprit de plus belle juste après.
Un bruit m'indiqua que la deuxième demoiselle, celle qui venait de connaître l'orgasme "façon Senji" s'était emparé d'un vibromasseur. Un truc énorme, rose, doté de petites boules en son bout. Elle quitta la chambre et s'avança là où devaient être ma princesse et sa nouvelle amie. Comme déterminé à me rendre plus vite auprès d'elles, j'accélérai la cadence, pour satisfaire la coquine posée sur moi, mais celle-ci semblait se délecter comme une folle de mes coups profonds et parfois très violents. La langue pendue, les yeux levés au ciel, elle semblait prendre pleinement son pied.

Elle serait pas facile à dompter, celle-là. Même ses gémissements, qui prenaient de plus en plus des allures de cris, annonçaient qu'elle en voulait encore et encore.

Du coin de l'œil, j'eus à peine le temps de voir Senji se faire embarquer par les deux autres filles, que mon attention se reportait sur la troisième, qui m'embrassais avec fougue. Elle ne semblait pas en avoir assez, et plaquait ses lèvres contre les miennes, maintenant ma bouche ouverte. Sa langue s'activait elle aussi, valsant et tournant dans ma bouche, se frottant à ma langue. Dans le même temps, ses doigts s'activaient, stimulant chaque partie de mon intimité qu'ils pouvaient atteindre.

" Tu sais quoi ? J'adore les filles comme toi. On va bien s'amuser toutes les deux, hein chérie ? Je parie que tu as très bon goût... "   

J'en étais à me demander le sens de ses paroles quand elle s'accroupit pour m'ôter ma jupe. Mon intimité se retrouva exposée à sa vue, et sa sa luxure. La fille se mit à lécher ma fente avec ravissement, goutant par là même à mon nectar. Sa langue parcourait mes lèvres, parfois se glissait entre, pour venir titiller mon clitoris. Ses doigts continuaient d'aller et venir dans mon vagin, et parfois se recourbaient pour venir frotter mes parois internes. Ces frottements déclenchaient en moi des vagues de frissons. Je n'arrivais pas à me retenir, et gémissais pendant que d'avantage de mon nectar s'échappait de mon intimité.

Dans la chambre voisine, des gémissements commencèrent à se faire entendre, signe que Senji avait commencé son office. Il devait d'ailleurs y aller avec beaucoup de fougue, vu l'intensité de ceux-ci. Puis vint un long cri, signe que mon compagnon avait réussi dans son entreprise avec au moins l'une des deux. Un instant après, une des filles parties avec Senji passa le seuil de la chambre, tenant un impressionnant vibromasseur rose doté de petites excroissances sphériques à son extrémité.

" Eh, que dirais tu de donner du plaisir à la princesse avec ça ? "
" Ah ouais, bonne idée ! Vas-y, viens le lui mettre ! "

La première fille écarta les lèvres de ma fente, révélant la chair rosée qui se cachait en dessous. L'autre approcha l'objet, et l'appliqua avec expertise à l'entrée de mon vagin. Elle ne le fit pas pénétrer de suite, mais il fit décrire des mouvements circulaires, pour me stimuler d'avantage. Je devais dire que c'était efficace, et mes gémissements prirent de l'ampleur. Puis la fille exerça une pression, et lentement, le vibromasseur écarta la chair et pénétra mon vagin. Je ne pus retenir un léger cri.

" Alors, princesse, tu aimes ? T'en fais pas, ça va vite te plaire. "

Force était d'avouer que ce vibromasseur égalait en taille la verge de Senji. La fille commença à faire effectuer de long vas-et-viens à l'objet, avec délectation. L'autre dégrafa mon haut, et entreprit de lécher mes seins, passant d'un téton à l'autre. Mes gémissements emplissaient le vestibule, je sentais mes barrières s'effondrer les unes après les autres face aux vagues de plaisir. Finalement, je fus pincée simultanément aux deux tétons et au clitoris. Un éclair brut de sensations indéfinies me traversa de part en part, et mon cri resta coincé dans ma gorge. Je restais debout pendant une à deux secondes, tendue comme une corde de violon, pendant que mon vagin se contractait, expulsant le vibromasseur couvert de mon nectar. Puis mes jambes se dérobèrent sus moi, et je glissais au sol, rouge et haletante. C'est alors que Senji quitta la chambre.