Revan commençait à sentir que les choses allaient enfin dans son sens : ça avait été juste parfait, la résistance de sa proie avait été juste ce qu'il fallait pour qu'il se mette en appétit... En appétit d'elle. Maintenant, après avoir balayé ses décences et trouvé que malgré son air farouche, la Kitsuné était faible et sensible, il avait envie d'elle. En plus, la jeune femme n'avait pas à rougir des autres : elle était jolie, bien formée et attirante, comme si elle possédait un certain magnétisme. Le jeune homme se surprit à se demander si elle était expérimentée : avec son joli corps et son joli visage, il ne serait pas étonnant que cette jeune créature aie déjà un beau tableau de conquête masculine (et féminine qui sait ?) Derrière elle. Se passant une langue gourmande sur les lèvres, il se demanda à quelles expériences perchées cette jeune femme avait déjà participé, ce qu'elle avait déjà expérimentée. En tous cas, ce soir, près de son feu de camp, il allait se servir d'elle pour étancher sa ''soif'' et malheureusement pour elle ce ne serait pas sans son contentement. Revan avait aussi remarqué sa réaction lorsque son pouvoir dESPER était entré en action et l'avait privé d'air : il pouvait tenter de recommencer l’expérience de diverses façons pour voir où était le point de rupture de la jeune créature. Découvrir son point de rupture : là où elle supplierait pour sa vie ou pour qu'il continue s’il parvenait à lui briser l'esprit serait un défi fort intéressant qu'il avait hâte de débuter. Pour cela malgré tout encore fallait-il qu'il s'occupe du corps de la jeune Terranide puis qu'il la ramène à sa tour délabrée et presque vide qu'il considérait comme sa ''maison''. Poussant un soupir en pensant au travail qu'il allait bientôt avoir, il faillit se laisser décourager mais un seul regard à la croupe de la jeune femme lui ôta toutes ces pensées négatives. Toujours avec un unique doigt en elle, véritable pied-de-nez à son libre arbitre et à son intimité, Revan commença à le remuer, voulant l'humilier en se servant de son corps comme bon lui semblait. Faisant remuer son index en elle par petits coups expert, il voulait l'entendre gémir, douter d'elle, de sa capacité à résister à son viol. D’ailleurs le jeune homme au masque de fer voulait y aller lentement : faire tomber l'une après l'autre ses défenses, lui donner un plaisir auquel elle ne pourrait que difficilement résister. Cette technique prendrait du temps mais il s'en fichait pas mal : le temps, il l'avait. Remuant son doigt d'abord de bas au haut puis d'avant en arrière, l'ESPER se pencha à l’oreille de la Kitsune de manière à ce qu'elle ne puisse pas voir son visage puis enleva son masque. Il lui lécha d'abord son oreille animale d'un doux mouvement. L'empêchant de se retourner, il retira un mouchoir de soie de sa propre ceinture et le noua autour des yeux de la Kitsuné.
Cette action avait pour but de l'aveugler pour qu'elle ne voie pas son visage tout d'abord mais aussi pour augmenter un peu les sensations qu'elle allait recevoir. Enfin, cette technique ne fonctionnait pas avec toute mais parfois certaines femmes ressentaient plus intensément le plaisir si elle ne voyait plus rien. En tous cas, il continua à lui lécher l’oreille, allant même jusqu'à suçoter le bout de son oreille soyeuse. D'un même mouvement, il continuait à la titiller plus bas sans dire un mot, attendant les réactions de sa captive : comment allait-elle trouver cette ''torture'' ?