Sorcier ? Non, sans blague ? Allons donc ! Lui ? Sorcier ? Pourquoi le terme de de sorcier, toujours, un illusionniste un enchanteur, un conjurateur, un magicien, un arcaniste, un élémentaliste, , mais pourquoi toujours sorcier, terme qui était si réducteur, si limité, et si péjoratif, un sorcier était par impression dans l'esprit populaire, un sorcier, c'était maléfique, mais un bon magiien, un sage des arcanes, non, c'était un type bien, mais à quoi bon s'épancher sur la sémantique, de toute manière, cela ne changerait rien, il ne dit rien, se contentant d'avancer, écoutant ses propos, ses suppliques, ne perdant rien du spectacle, oui, le collier était lourd, oui, il pourrait l'enlever, mais il n'avait aucune raison de le faire, il n'avait aucune envie de le faire non plus !
Et le meilleur dans tout cela, c'était sa réaction, elle estimait que le regard des autres aurait été humiliant, mais au fond, c'était plus ou moins ce qu'il cherchait, non, même pas au fond, c'était ainsi, point. Doucement, il allégea un peu le poids du collier, mais de quoi juste la soulager un peu, pas de quoi lui premettre de garder la tête haute ! Non, qu'elle garde la tête basse, elle avait déjà de la chance d'avoir quelqu'un comme lui pour s'occuper d'elle ! Souriant, il caressa la joue de la jeune femme avant de lui dire :
« Tu as de la chance, jeune dame, tu peux montrer ô combien tu es belle à tout le monde.... »
Il sourit et tira sur la laisse pour l'approcher de lui jusqu'à ce qu'elle soit collée à lui et lui tapota les fesses, pas avec violence, mais pas avec douceur non plus ! Puis, avec douceur, il caressa les reins, remontant lentement jusqu'au collier sur lequel il tira d'un coup sec, comme pour l'étrangler.
« Écoute moi bien, le mage que je suis peut très bien te rotir sur place d'un simple regard, crois-tu donc vraiment être en mesure de m'apprendre quoique ce soit ? Je ais que c'est humiliant, mais tu n'est que ma chose, si je te dis que tu dois être fière d'être portée aux nues, d'être touchée par des inconnus, des passants, alors tu l'es, il n'y a aucune humiliation à être une masse de désir, un sac à foutre potentiel qui marche dans la rue ! »
Et alors qu'il finissait la phrase, il glissa un doigt entre les fesses de la jeune femme tâtant de sa rosette.
« Mais si tu tiens à ne plus être nue, tu as une solution, venir sous ma tunique et y rester, mais je te préviens, je suis nu dessous ! Alors c'est à toi de voir.... »
Souriant, il eut juste à penser, et la tunique devint plus ou moins élastique, elle y entrerait non sans mal, certes, mais il entrererait.
« Pour le collier, je l'allègerai si tu es sage, sinon, je l'alouridrai, et quan tu seras forcée de ramper au sol pour me suivre ou obéir, et bien je te trainerai derrière moi comme de la viande froide ! »