Nathaniel avait à portée de lèvres un spectacle délicieux : une belle paire de seins qui n’attendait que sa bouche. Des seins bien fermes, tendres et attirants. Pour autant, elle semblait toujours aussi nerveuse. Dans un sens, Alice la comprenait. Nerveuse, elle l’avait aussi été, lors de ses premiers ébats sexuels, quand Cirillia l’avait à moitié violé... Par la suite, quand elle avait voulu coucher avec quelqu’un, elle avait été terriblement craintive, effrayée à l’idée de ne pas être à la hauteur, de ne procurer aucun plaisir à sa partenaire. Une époque qui lui semblait bien lointaine, à vrai dire. Maintenant, Alice ne ressentait plus aucune crainte à l’idée de faire l’amour avec quelqu’un, bien au contraire. Elle ne dit donc rien, ne faisant aucun encouragement supplémentaire envers Nathaniel, afin de ne pas la déconcentrer. Les lèvres de cette dernière se posèrent sur l’un de ses seins, et Alice sentit ces derniers poindre, alors qu’un frisson traversait son corps. L’une des mains de Nathaniel se posa sur le second sein, et la dernière frotta son dos, remontant le long de sa colonne vertébrale, caressant ses fesses pour remonter jusqu’à sa nuque.
« Haaa... Hmmm... »
Elle gémissait et soupirait lentement, son corps se balançant très légèrement, oscillant d’avant en arrière, au rythme des succions buccales de l’érudite. Sa main serrait les cheveux de Nathaniel, l’autre caressant sa nuque, glissant sur le haut de son dos, grattant avec ses ongles cette chaude peau. Le plaisir montait délicieusement dans le corps de la Princesse, qui, sans vraiment s’en rendre compte, serra un peu plus ses jambes autour de la taille de Nathaniel. Yeux clos, Alice bascula sa tête en arrière, savourant ce plaisir. C’était... C’était tout simplement bon, délicieux, très tendre. Nathaniel alternait entre les tétons d’Alice, éprouvant elle aussi du désir. La Princesse pouvait le sentir à la manière dont elle suçait à chaque fois un peu plus avidement ses tétons, avec toujours un peu plus d’assurance.
Nathaniel commençait aussi à ressentir le plaisir, et à en sentir les effets bénéfiques. Ses craintes diminuaient au fur et à mesure qu’elle se plaisait, et embrasser les seins d’une femme était la manière la plus parfaite de se détendre. Alice ne saurait dire exactement combien de minutes s’écoulèrent. Rouvrant de temps en temps les yeux, elle glissait ses mains pour caresser les joues de Nathaniel, remontant sur ses oreilles, avant de glisser le long de ses cheveux. Qu’est-ce qu’elle était belle ! Alice se sentait aussi heureuse qu’envieuse, sentant elle aussi les effets des baisers de Nathaniel. Elle en voulait plus, au fur et à mesure que l’érudite l’embrassait et la caressait. Nathaniel finit par se retirer, avec un franc sourire sur les lèvres, et ferma les yeux, laissant à Alice reprendre le contrôle des évènements.
« Merci… souffla Nathaniel, avant d’ajouter. Je suis prête maintenant…
- Moi aussi » répliqua Alice.
Retirant ses jambes, Alice pencha son visage vers celui de Nathaniel, et retourna baiser ses lèvres, plaçant une main sur sa nuque, et utilisa ses genoux pour se donner une inflexion en avant, chutant ainsi lentement, entraînant avec elle l’érudite. Cette dernière retourna ainsi s’allonger sur le dos, et la Princesse passa aux choses sérieuses. Elle ignorait si Nathaniel était vierge ou non, mais elle était en tout convaincue qu’après cette nuit, plus grand-chose de son corps ne le serait encore.
Après ses lèvres, Alice entreprit de descendre sur son corps. Elle commença par embrasser sa joue, puis glissa sur son menton, le mordillant très légèrement. Ceci fait, elle lécha son cou, promenant sa langue dessus pendant un certain nombre de secondes, et embrassa ensuite sa peau, au-dessus de ses seins, avant d’embrasser chacun de ces derniers, sans pour autant encore lui retirer son soutien-gorge. La Princesse s’attarda un peu plus longuement sur les seins de la superbe femme, plantant ses dents pour tirer sur ses bonnets, avant de les relâcher. Se fiant à son instinct et à ses désirs, la Princesse descendit ensuite sur le ventre de l’érudite, son estomac, et embrassa son nombril. Plusieurs séries de baisers, et elle descendit encore d’un cran, atteignant désormais son entre-jambes.
La Princesse se mordilla les lèvres, et commença par lécher la culotte de Nathaniel, à hauteur de son intimité, sentant sa langue s’enfoncer dans son corps, remontant le long du tissu. Elle glissa ensuite pour embrasser l’aine de la femme, caressant ses jambes avec ses mains, les utilisant aussi pour les écarter, et retourna ensuite lécher et embrasser la culotte de Nathaniel, déposant sa salive dessus. Elle continua ce petit manège pendant une bonne minute, avant de relever la tête, et de renifler avec son nez :
« Hum... Ça sent bon, par ici... »
Elle déposa un nouveau baiser sur sa culotte, en plein milieu, se mordillant les lèvres, réfléchissant à la suite du programme. Elle enfonça un doigt sur cette culotte, le caressant avec l’ongle, mais sans jamais aller l’enfoncer sous la culotte. Elle voulait titiller Nathaniel, la chauffer et l’impatienter.