Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un prof et un élève dans le rayon vêtement. [Yamagashi-sensei] -FINIT-

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Kyoku Iruka

Humain(e)

Iruka redevint un brin rouge au niveau des joues, cette couleurs envahissant petit à visage les contours du visage et l'intérieur. Cette rougeur ayant pour origine Yamagashi , surtout sa voix oscillant selon les gestes des doigts d'Iruka. Les paroles de la professeur furent tantôt naturelle, tantôt très aigu, ce qui ne laissa pas le jeune homme si indifférent que ça. En effet, ce dernier sentait encore son corps réagir face à cette stimulation auditive qui s'accompagne des léger mouvements des hanche de sa partenaire, ne voulant pas détourner le regard sous prétexte que cela pourrait vexer la professeur. La bosse se reformant sous sa jupe, à son grand désarroi et ne pouvant rien faire pour refouler cette nouvelle érection.

Iruka se mit à légèrement frémir quand la jeune femme se mit à abaisser son corps en douceur, laissant au jeune travestit l'opportunité d'avoir une vue plongeante sur la poitrine assez généreuse de Yamagasi, cette dernière se mit à approcher son  doux visage près du sien, sentant le souffle chaud et rapide frôler sa peau, laissant la sensation de chaleur s'imprégner sur son visage. Les regards se croisèrent, Iruka ne pouvait détourner les yeux, comme hypnotisé par la professeur qui en profita pour approcher ses lèvres et gouter au sienne, échangeant les fluides sexuels et les mélangeants avec un certain érotisme. Il ne pouvait rien faire hormis suivre le mouvement, laissant sa langue à la merci des envies de la professeur. Dire s'il aimait sentir son sperme et la cyprine de Yamagashi était difficile à répondre, les deux fluides semblaient bien se marier ensemble, il en vain à déglutir avalant se savoureux mélange non sans se mettre irrémédiablement à rougir, au final il semblait assez bien aimer, sans pour autant tomber dans l'adoration comme la professeur. Cette constatation le choque un peu, lui qui an tendance à être assez critique sur les saveur, ici il ne disait rien, à croire que l'on aurait puis lui mettre ce mélange dans un de ses repas, il n'aurait pas bronché.

Iruka sentit une main baladeuse chercher la source des convoitises de la professeur, cherchant le chibre en tâtonnant dessus, ou serait-ce pour le rendre encore plus dure et droit, en tout cas la professeur semblait quand même y trouver un certain plaisir à faire durer cette recherche, de telles caresses ne laissèrent pas le membre sans réagir qui se mit au garde à vous, prêt à être de nouveau utilisé par Yamagashi. Et Iruka dans cette situation ?  Il se laissait faire, son corps semblait se réchauffer, il ne luttait pas vraiment contre une pulsion qui est naturelle, celui du sexe, même si son ignorance servait à museler cette pulsion.

Iruka entendis la vois très séduisante de Yamagashi, cette dernière sachant visiblement comment s'y prendre pour savoir demander ce qu'elle désire, sans cacher ses envies, le jeune homme se dit que la professeur faisait son possible pour l'aider et que donc il devait lui aussi faire de son mieux. Il s'avança sur le visage de Yamagashi et se fit plus entreprenant, essayant de l'embrasser comme elle l'avait fait, ce conta ne dura pas plus de dix secondes, mais il faisait de son mieux. Le jeune homme ne savait pas si ce qu'il ressentait était de l'amour ou tout simplement de la gratitude envers cette femme qui au lieu de le ridiculiser, perdait son temps à lui inculquer quelque chose qu'il se devait de connaitre. Il dit d'une voix mignonne mais assuré.

- Dîtes moi comment faire senseï.

Iruka savait ce qu'une pénétration voulait dire, il n'allait plus être vierge, mais aussi il allait découvrir ce que c'est que le plaisir charnel, il n'avait pas vraiment peur, se donner à sa professeur était comme s'il payait une partie de sa dette envers elle. le jeune homme se doutait bien que Yamagashi, étant plus dans la posture de la dominante allait très certainement  prendre les choses en main.

Yamagashi Hitomi

Créature

Enfin il se montre un peu entreprenant. Son baiser est encore timide mais c'est bien suffisant pour me rendre heureuse. Je lui donne envie de participer, de prendre au moins un peu de risques pour me plaire. Il veut vraiment être à la hauteur, ça se voit dans ses yeux. Je l'entend dans sa petite voix.

" Dîtes moi comment faire senseï. "

Il est vraiment trop craquant. De la main que j'ai posée sur son épaule j'ai l'impression de lire en braille ce qu'il ressent. je me souviens du jour où j'ai moi-même éprouvé toutes ces émotions, le mélange de peur et d'espoir, la sensations que tout va basculer dans le malaise ou le plaisir. Tous les "si" qui fusaient dans ma tête. Et s'il me trouvait trop maladroite ? Et si je me montrais trop hésitante, ou au contraire trop entreprenante ? Et si quelqu'un arrivait ? Et s'il mon corps refusait de suivre, ou le sien ? Si l'angoisse l'emportait ? Toutes ces pensées qui transforment une fraction de seconde en une éternité de doutes.

Je ne sais pas si Iruka pense à tout ça, je ne veux pas le laisser y penser. Son sexe dans ma main palpite, et grandit encore un peu. Le désir a le dessus, mais si je fait ce qu'il demande, si j'essaie de lui expliquer, il risque de se mettre à réfléchir. Du bout des doigts je garde son membre bien dressé en abaissant mon bassin. Je capture son regard avec un sourire tendre.

" Tu n'as qu'à te laisser aller, Iruka-kun. Ça viendra tout seul. "

Bientôt son gland vient presser contre mes lèvres intimes. Je descend lentement pour arriver à genoux, accueillant son sexe dans l'antre rendue chaude et douillette par sa langue. Je laisse un soupir m'échapper tant j'aime cette sensation. Mais avant d'attaquer vraiment les choses sérieuses je me débarrasse de mon t-shirt, découvrant ma poitrine généreuse juste à hauteur de son visage. Le simple fait de baisser les yeux sur lui est aussi excitant que de le sentir en moi. Iruka est aussi rouge et mignon que les filles qu'il cherche à imité, et bien plus adorable. Il est vierge après tout. Même si je le guide il faut du courage pour seulement répondre aux désirs d'une femme expérimentée. Sa propre professeur, qui plus est, et qui a mis la doigt sur son secret le plus honteux. Le tout dans un lieux public pour faire bon poids.

Je commence à jouer des cuisses pour m'élever et redescendre le long de son membre tendu. Tout en douceur, pour commencer.

" Touche-moi, Iruka-kun. Profite de mon corps autant que tu veux. Pour aujourd'hui je suis à toi. "

Et je le pense. Chaque mouvement de son sexe en moi diffuse ses ondes de plaisir qui m'électrisent. Je pourrais lui passer tous ses caprices, et j'espère qu'il en aura beaucoup. C'est moi qui suis sa première, et j'espère rester une des meilleures pour longtemps.

Kyoku Iruka

Humain(e)

Kyoku allait évidement se poser des questions sur beaucoup de point, comme par exemple satisfaire Yamagashi, alors qu'il débutait dans l'art du sexe, il sentit la main empoigner son membre se mouvoir très légèrement, il pouvait le sentir. Le jeune homme put voir le bassin de sa partenaire se mettre à commencer sa descente de façon légère et qui ne se veut pas trop dominatrice, sans donner une impression d'hésitation pour autant. Le sourire de la professeur se mit à attirer son attention, il n'avait que trop rarement vu un sourire aussi réconfortant, ce qui chassa rapidement ses pensées comme une feuille prise dans une bourrasque.

La phrase de Yamagashi se mit à s'imprégner dans sa tête. "Se laisser aller", pour beaucoup c'était facile, mais pour lui ce genre de chose était une autre paire de manche, son enfance avait toujours été paradoxale, ayant un potentiel, mais ne pouvant l'utiliser à cause d'autrui. Se laisser aller voulait dire ne plus tenir compte du regard des autres et d'agir par soi-même, risquant de faire plus de mal que de bien, mais Iruka voulut à cet instant essayer, essayer d'agir de son propre chef, de ne pas se plier aux contraintes que l'on c'est permit de lui apposer sans son avis.

Iruka appréhendait un peu ce dépucelage, il sentit le bout de son gland toucher les lèvres intimes et s'enfoncer petit à petit dans l'antre de la professeur, il pouvait sentir la chaleur et aussi la pression exercé sur son membre, comme si un serpent c'était enroulé autour et jouait un peu à serrer et desserrer son étreinte. Iruka était surpris qu'une simple pénétration lui fasse autant d'effet, essayant de cacher les quelques décharge partant de son membre et remontant le long de son dos. C'est alors que Yamagashi se mit à retirer son haut, laissant au lycéen l'opportunité de voir la poitrine de cette dernière. Il était un peu choqué ou serait-ce plutôt qu'il ne pouvait avouer à voix haute que la poitrine de Yamagashi étant séduisante, de bien jolie forme que Iruka ne pouvait nier, sans parler que ceux-ci étaient juste sous son nez. Iruka pouvait à présent comprendre la frustration de certaines lycéennes.

Il se mit à légèrement trembler de plaisir en sentant les parois intimes de Yamagashi taquiner son membre, il eut alors l'autorisation de sa partenaire à profiter de cette dernière, il ne se mit pas à réfléchir, préférant laisser sa première impression dicter ses gestes. Bon, il ne savait pas si cela allait marcher, généralement cela lui amenait plus d'ennui qu'autre chose, il se dit que s'il ne tente pas maintenant il pourrait ne plus voir cette occasion réapparaitre. Aussi il fit glisser ses mains sur les hanches de la professeur et remonta la peau jusqu'à la poitrine, essayant d'imiter le mouvement combinant la caresse et le déplacement que Yamagashi avait fait avant. Il se mit à prendre les seins en mains, même s'il manquait encore d'expérience pour y arriver, ce qui découla par des prises manquant de précision, tantôt étant un peu trop fort d'autre fois tellement douce qu'elles en était presque imperceptible. De temps à autre il effleurait un des tétons qui durcissaient sous le plaisir de la pénétration et l'action maladroite d'Iruka.

Iruka, par son manque d'expérience, est restreint à ce qu'il a vu dans les film porno, autant dire pas grand chose. Le jeune homme espérait que Yamagashi lui en enseigne un peu plus, mais pour l'heure il essayait de cacher le plaisir qui ne faisait que monter davantage au fur et à mesure des mouvements de bassin de sa partenaire. Il voulait avant tout que Yamagashi soit la première satisfaite.

Yamagashi Hitomi

Créature

Comme je m'en doutais Iruka se met à jouer avec ma poitrine. Ça me fait sourire. Les garçons sont décidément tous les mêmes. Enfin, celui-ci sort du lot. Inutile de dire que j'ai un faible pour lui vu la situation dans laquelle nous nous trouvons. Il n'en fini pas de me faire craquer. Bien sûr il n'a rien d'un étalon, et c'est ça qui me plaît chez lui. Il est maladroit, mais il envie de me plaire au moins autant que de profiter. Et je sens qu'il se retient de montrer le plaisir qu'il prend à me pénétrer et jouer avec mes seins. Ce n'est plus le moment d'être pudique, pourtant il l'est. J'imagine que c'est plus fort que lui. Il ne peut pas s'empêcher, comme je n'ai pas pu m'empêcher d'en arriver là avec lui.

Je ne vais pas le laisser s'en tirer si facilement. Je sens bien qu'il aime ce que je lui fais. Je sens son jeune sexe palpiter en moi, son corps frémir chaque fois que mes hanches montent et descendent. Ses mains tremblent par à-coups en palpant maladroitement mes seins. De ma main posée sur son T-shirt je sens sa poitrine se gonfler d'air, son souffle de plus en plus profond vient caresser ma peau au fil de mes mouvements. Une fois sur ma gorge, la suivante en plein sur ma poitrine. Mais il se retient. Je sais trop ce que ça cache : il veut être parfait pour sa première fois, parfait pour moi. Il ne lâche pas prise.

Mais Iruka n'est pas encore dépucelé, pas tout à fait. S'il croit pouvoir résister c'est simplement parce qu'il ne sait pas à quoi il s'attaque. S'il ne veut pas penser à son plaisir avant le mien, je ne vais pas lui laisser le choix. L'esprit a du pouvoir sur la corps, mais la chair n'est pas sans défense. Et un jeune homme aussi inexpérimenté, je n'aurais aucun mal à noyer sa volonté dans la chaleur humide et douillette de mes talents d'amantes. Je commence en fermant les yeux, soupirant assez fort pour l'exciter encore plus.

" C'est si bon Iruka-kun... Hmmmmmm... Ta queue est tellement chaude... "


Puis j'accélère lentement le rythme. Son corps réagit de plus en plus clairement, je sens que les barrière tombent. Je suis en train de l'emporter ailleurs, là où il n'est encore jamais allé. Loin du lycée où il n'est qu'un élève effacé, loin de cette cabine d'essayage inconfortable, de cette idiote de vendeuse qui risque de nous surprendre à tout moment. Et surtout loin de ces pestes qui lui ont pourri la vie au point d'écraser sa confiance en lui-même. Il est déjà tout à moi, je veux qu'il s'occupe un peu plus de lui-même. Après tout s'est sa première fois, pas la mienne. Et même pour moi, ce déjà plus un coup parmi tant d'autres.

" Est-ce que tu vas... bientôt jouir, Iruka-kun ?... Dit-moi ce que tu préfères... Tu veux jouir sur mon corps... Ou sur mon visage... Dans ma bouche, si tu préfères... Ou tu peux aussi jouir en moi... Dit-moi ce que tu veux... "

Rien qu'à m'entendre dire ça, je suis sûr que la moutarde lui monte au nez. Ou est-ce simplement l'ardeur que je met à m'empaler sur son membre ? En tous cas j'arrête de l'asticoter avec mes remarques salaces. Je commence à avoir du mal à me contenir. Je ne mentais pas en disant que c'est bon. Le sexe d'Iruka est met le feu entre mes cuisses à chaque fois qu'il glisse hors de moi pour replonger. Je ne peux pas me retenir de remuer le bassin de droite et de gauche. C'est peut-être trop pour un amant encore vierge ? Mais c'est plus fort que moi. Je frémis de chaque fibre de mon corps. Il pourra bientôt se vanter de m'avoir faite jouir.

Kyoku Iruka

Humain(e)

Iruka devint légèrement rouge en voyant que la professeur prenait son pied, le souffle du jeune homme se mit à accélérer légèrement, mais en voulant se contrôler il ne pouvait permettre à son corps d'être bien oxygéné, ce qui se traduit par une très légère sensation de suffocation, cela pour inciter à respirer plus rapidement. Son visage repartie dans les couleur chaude en entendant Yamagashi faire un commentaire qui était clairement pour le décoincer un peu, le pousser à ne plus réfléchir, d'ailleurs l'espace d'un instant il ne réfléchissait pas, par la suite il n'eus pas le temps de se poser des question, la jeune femme le prenait de court.

Les coups de bassins se firent de plus en plus rapide, même si c'était lentement, la sensibilité d'Iruka percevait plus facilement cela. Un a un tout ce qu'Iruka voulait contrôler se mettait à prendre le dessus, vint tout d'abords son souffle et son rythme cardiaque qui se fit sentir, ensuite vint des gémissement qu'il ne prenait même plus la peine de cacher, laissant sa magnifique voix se faire entendre, ses mains se crispèrent un peu sur la poitrine de sa partenaire. Il était proche du point de non-retour, ses yeux étant à présent à demi-clos, ne cachant pas le plaisir que lui procurait la professeur.

La question n'eut pas de réponse immédiate, se mettant à avoir son corps qui montrait les dernier signes avant d'avoir une éjaculation, pour ne pas aider Yamagashi semblait s'amuser à lui procurer une déferlante de décharge remontant jusqu'à son cerveau, saturant un peu son action, heureusement il y eut un moment de répit.

- J'aimerais le faire ... en vous ...

Il se disait qu'à le faire autant que cela soit de A à Z, il ne savait pas ce que cela ferais, curiosité et plaisir se mélant, mais c'était aussi surtout à cause du fait qu'il ne pouvait pas bouger à cause de Yamagashi qui était dessus, mais aussi à cause du plaisir qui faisait tellement trembler son corps qu'il était certain qu'il ne pourrait tenir debout.

Yamagashi Hitomi

Créature

Il n'en peut plus, et moi non plus. Je sens monter des vagues de plaisirs irrépressible. Iruka n'arrive plus à se maîtriser, je le sens bien. Son corps n'obéit plus vraiment à sa volonté, il retrouve des instincts primaires. L'envie d'en avoir plus, le plus vite possible. La première fois que j'ai ressenti ça j'étais trop sonnée pour avoir peur, ce n'était qu'une note frissonnante de plus perdue dans la tourmente qui m'emportait. Je m'en souviens, j'en ressens les échos à travers lui.

En plus je suis vraiment contente d'être la première femme à lui faire connaître ça. C'est tout un aspect de la vie que je suis en train de lui révéler. Et je ne ménage pas mes efforts. Mon corps aussi fait un peu ce qui lui plaît.

- J'aimerais le faire ... en vous ...

Je dois dire que ça me rassure d'entendre ça. Il fallait que je demande, que je sache quel forme donner à sa première expérience. Mais il m'aurait fallu de la volonté pour arrêter. Mes cuisses et mon bassin sont en roue libre, ils font danser le jeune membre d'Iruka à un rythme de plus en plus endiablé. Ses caresses sur ma poitrine ne sont aussi appliquées qu'au début, il se laisse enfin emporter. Un jour il saura se contrôler, mais pas encore. Surtout pas encore.

C'est tellement bon comme ça, tellement rare. Le sexe est toujours un plaisir et l'expérience ne le rend que meilleure. J'en connais beaucoup qui jugent les puceaux trop maladroit pour valoir la peine. Mais je trouve ça touchant, et précieux. Il n'y a qu'à voir à quel point j'aime en profiter. Iruka ne retient plus ses gémissements, me mordre la lèvre ne me suffit plus pour réprimer les miens.

- Hiiiiin... Vas-y, Iruka-kun !

Je n'en peux plus. Je passe une main derrière la tête d'Iruka et me penche pour l'embrasser à nouveau. Un baiser mouvementé, nos lèvres se quittent par intermittence au rythme des va et vient.

- Ne te retient pas !... Ha !... Iruka-kun !... Je sens que... je vais...

Je n'ai pas assez de souffle pour finir, mais on a du m'entendre dans toute la boutique. La vendeuse peut bien arriver, je ne me lèverais pas avant d'avoir senti la semence d'Iruka se répandre en moi.

Kyoku Iruka

Humain(e)

Iruka se sentait vraiment bizarre, son corps le brulait de l'intérieur comme si un feu se mettait à le chauffer de l'intérieur. Ce feu en faisait que croitre au fur et à mesure des gestes de la professeur, son membre s'en trouvait malmené, mais il n'en éprouva pas de douleur, juste davantage de plaisir, les déhanchés de sa partenaire avaient quelques chose de séduisant. Les encouragement de la professeur ne fut pas sans effet sur le jeune homme qui ne put répondre tellement le plaisir avait prit possession de son corps, laissant juste des gémissements, ses dernier étant étouffé par les lèvres de Yamagashi, les langues se mirent à valser entre elles jouant, se trouvant s'enlaçant, Iruka n'avait pas tout comprit mais supposait que cela faisait aussi parti du sexe.

Iruka voulu prévenir qu'il allait éjaculer, mais n'en eut pas suffisamment le temps, son corps se cabrant sous la libération, sur le coup son membre s'enfonça violemment en Yamagashi, cette dernière ayant dû avoir une bonne décharge de plaisir en retour. Le jeune homme se sentit se vider en elle, si une bonne partie passa le col, une autre resta dans le vagin, c'était assez déroutant de sentir la semence couler vers le bas et imprégner son membre ainsi que les parois intime de sa partenaire.

Le jeune homme finit par laisser retomber ses fesses sur le sol, le souffle rapide, les yeux totalement agars, étant encore sous l'effet du plaisir qui ne voulait pas partir rapidement. A l'extérieur il n'y avait aucun bruit suspect, visiblement la vendeuse n'avait pas entendu, ce qui était tout de même étonnant, mais la raison sera dévoiler plus tard.

Entre deux souffles le jeune homme reprit lentement, mais surement, pied et put demander.

- J'étaie ... comment ...

Ce que l'humain voulait savoir c'est s'il avait fait un bon partenaire ou non, on pouvait voir que cette expérience l'avait plus.

Yamagashi Hitomi

Créature

Soudain je sens Iruka lever le bassin pour s'enfoncer en moi de tout son long. Le coup de grâce. Je me fige, tremblante, retenant tant bien que mal un cri de plaisir. Avec toutes l'expérience que j'ai on pourrait croire que je vois venir les moments critiques. Mais comment prévoir ce qui peut arriver d'une seconde à l'autre tant lui que pour moi. Si mon jeune amant m'a pénétré d'un coup si fort, si audacieux comparé à tout ce qu'il a fait, c'est bien pour jouir. Nos gémissements se mélangent aussi délicieusement que nous corps. Tout mon corps se tend, foudroyé par un orgasme comme j'en ai rarement connu.

La dose de semence qu'il délivre en moi me surprend un peu, et me comble dans tous les sens du terme. À bout de souffle, je ne peux pas m'empêcher de soupirer alors qu'Iruka est toujours planté en moi jusqu'à la garde.

- Il y en a... tellement...

Je sens que je déborde. Je frissonne, mais cette fois plus de joie que de plaisir. La jouissance m'a laissée sans force un instant, mais j'ai l'habitude. mon esprit tourne au ralenti, s'abreuvant encore de sensation. Le corps encore vêtu, mais chaud et humide de transpiration d'Iruka. Son souffle lourd, son visage presque bouleversé. La semence dont il m'a remplie, la première qu'il est délivré à l'intérieur d'une femme.

Finalement il se laisse retomber au sol, brisé par l'effort et le plaisir, à bout de souffle. Son sexe enfin dépucelé glisse hors de moi, entraînant un peu de nos nectars mêlés. Avec un autre je me mettrai déjà bouger. J'irais récompenser son membre de quelques coups de langues pour le nettoyer après son dur labeur, mais je me laisse simplement tomber assise sur ses cuisses.

Au bout de quelques secondes, le jeune hommes retrouve assez d'esprit pour parler.

- J'étaie ... comment ...

Avec un sourire affectueux je le serre doucement dans mes bras. Je guide sa tête pour la reposer contre ma poitrine avec une tendresse presque maternelle. Je me sens tellement bien que je n'ai même pas à réfléchir.

- Tu as été parfait, Iruka-kun.

Nous restons ainsi un petit moment, à profiter de l'instant. Il faut bien qu'il apprenne cela aussi. Je remet à plus tard les problèmes qui commencent à pointer dans ma tête. La mini-jupe que je lui ai fait mettre doit être ruinée par le sperme et la cyprine. la moitié du centre commercial doit être courant de ce qui vient de se passer. Il va falloir sortir pour assumer tout ça, mais pas encore. Je baisse la tête pour déposer un petit baiser sur le front d'Iruka.

- Et moi ? Comment tu m'as trouvée ?

S'il sait aussi complimenter une femme, alors on pourra dire qu'il maîtrise les bases. Le reste viendra de lui-même.


Kyoku Iruka

Humain(e)

Iruka se lit à répondre au sourire de Yamagashi par un sourire qui lui était propre, mêlant une certaine joie et en même temps une légère surprise, le jeune homme eut l'honneur de goûter à la douceur de la poitrine de la jeune femme qui était pour le moins reposante.  Cette douceur et cette tendresse ce mit à apaiser l'esprit du lycéen qui efface, par ce sentiment de sécurité, tout les doutes qui avait été présent dans son esprit.

- Tu as été parfait, Iruka-kun.

La phrase fit très plaisir à Iruka qui avait la confirmation que pour une première fois, il n'avait pas tout fait capoter par sa maladresse qui, bien que peu fréquente, lui amène toujours dans des situations pénibles.

- Et moi ? Comment tu m'as trouvée ?

Iruka se mit à légèrement rougir, Yamagashi avait fait de son mieux envers lui, il était certain que si elle demanderait plus tard une nouvelle rencontre de ce genre, il n'allait pas refuser, non sans avoir le visage à l'idée que ce genre de situation recommence.

- Parfaite ... Vous êtes belle, gentille, at... attentionnée. J'aimerais être un peu comme vous.

Yamagashi Hitomi

Créature

Parfaite, belle et gentille, attentionnée. C'est tellement mignon que je ne peux pas m'empêcher de l'embrasser à nouveau, tendrement. J'aimerais faire plus, mais la journée a déjà été riche en émotion pour Iruka. Et pour tout dire, une cabine d'essayage n'a rien de l'endroit idéal pour de tendres ébats. Ni pour une première fois en vérité. Mais la première fois ne peut pas être parfaite, elle ne le doit pas. Si elle n'aurait aucun intérêt. Il pourra au moins se vanter d'avoir connu le sexe avec sa gentille prof, et dans un lieu public. Habillé en fille également, mais je doute qu'il partage ce détail avec ses copains.

Après une dernière étreinte, le temps de reprendre notre souffle, je me relève.

- Allez, assez pour aujourd'hui. Il vaudrait mieux filer avant que quelqu'un ne nous surprenne vraiment.

Je me rhabille alors qu'il se change, couvrant de ma culotte encore humide mon intimité encore pleine du fruit de son orgasme. Son premier, j'en suis encore toute fière et excitée. Une fois présentable je l'aide à passer son uniforme, rajuster sa perruque.

- Et ne t'en fais pas pour la jupe et le débardeur, je m'en charge.

Je lui donne un ultime baiser, le plus passionné. La promesse d'une prochaine fois qui n'aura rien à envier à la première. Après un dernier regard, et un au revoir qui me coûte un petit pincement au cœur, je le presse de quitter la boutique. Je laisse passer quelques minutes, en profitant pour plier les vêtements qui ne sont plus tout à fait neufs. Le débardeur est humide de transpiration, et a bu de la cyprine qui a échappé à la bouche d'Iruka. Quand à la jupe elle est dans un état lamentable, couverte de sperme qui sèche déjà.

Il est bientôt temps de rentrer à la maison pour une longue douche, ou plutôt un bain. De ma courte carrière de prof je n'ai jamais été si heureuse d'apprendre quelque chose à un de mes élèves. J'espère lui donner encore ce genre de cours dans un endroit plus intime. En attendant je sors de la cabine et, sans me démonter, rejoint la caisse ou la vendeuse me fixe d'un regard noir. Je ne sais pas si elle nous en veux d'avoir fait l'amour dans sa boutique ou si elle est frustrée de n'avoir pas participé. En tous cas je lui tend les vêtements souillé par nos ébats avec un grand sourire. Elle ne les prend que du bout des doigts pour scanner les étiquettes puis les fourre dans un sac qu'elle me tend avec un grand sourire forcé.

- Bonne journée, mademoiselle.
- Je vous le fait pas dire.

Puis je m'en vais, toute contente de ma matinée. J'ai dépucelé un jeune homme, je l'ai fait jouir deux fois et il m'en a donné autant, dans un endroit où personne n'a pu nous rater. Et j'aurais même un petit cadeau pour lui la prochaine fois. Reste à voir si je peux rattraper ces tâches, mais ce n'est pas la première fois que je suis confrontée au problème...


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