Une mission bien rémunérée [PV Adriana]

La vie sur Terre était si différente, et si ... Etrange pour lui. Il y avait des avantages, et des inconvénients, mais pour rien au monde il n'aimerait vivre ici à plein temps. Il est bien trop attaché à Terra et à sa vie de marchand là bas pour ne serait-ce que songer à venir s'établir ici. Il a de toute façon besoin de l'aide de mages puissants pour venir chasser ici, et il ne voudrait pas se retrouver bloquer ou essayer de passer par ses propres moyens.

Ce nouveau voyage avait le même but que les précédents : trouver des jeunes filles correspondants aux goûts de ses clients, afin de les capturer et de les ramener sur Terra. Une fois là bas, elles seraient bien obligées de se plier à leur nouvelle vie. Pour cela, on lui a conseillé de chercher dans les écoles, mais il n'avait pas pu rentrer, ni trouver d'adresses d'élèves pour les capturer aisément. Du coup, il a cherché, et on lui a conseillé de passer par les services d'une hackeuse reconnue, du pseudonyme de GLaDOS. Avec un peu d'aide, il a pu rédiger un mail, et l'envoyer à la jeune femme, afin de demander ses services et d'espérer une réponse. Il ne fallait pas que la demande paraisse trop saugrenue, et il ne pouvait pas dévoiler son statut de marchand d'esclave, sous peine d'être surement recalé. Il pencha donc pour quelque chose de plus sobre, en espérant que cela passerait.

"Offre de hacking N°12

Bonjour,
J'ai entendu parler de vos services par un client satisfait. Je vous contacte donc pour vous poser mon défi :

J'aimerai récupérer la liste des élèves du lycée principal de Seikusu, avec donc leur nom, leur adresse et leur âge.
Il me faudrait ces informations dans la semaine à venir, si possible de manière écrite pour que je puisse le transporter aisément. Je suis également au courant du paiement exigé en retour, et cela ne me pose pas de problème. Vous trouverez une preuve de ma bonne foi à la fin de ce mail.

Je vous laisse me recontacter pour la finalisation de l'offre si jamais vous l'acceptez.

Cyscek

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Une pièce jointe est associée au mail : une photo de l'homme, torse nu et en caleçon, laissant deviner une probable érection vu la raideur du tissu et permettant à la jeune femme de jauger le corps de l'homme.

Adriana était dans son bureau des services secrets de Seikusu, complétement amorphe. Autant le dire tout de suite, elle s'ennuyait à en mourir. Trois semaines. Trois semaines qu'on ne lui avait pas confiée de mission, que ce soit son patron ou des clients. Pour faire savoir son mécontentement à son supérieur hiérarchique, elle avait hacker son poste en y laissant une petite vidéo qui s'activait chaque fois qu'il tentait d'allumer son ordinateur, montrant une marmotte réclamant du travail, avant de se pendre. Le message était clair et elle avait jurée de la retirer lorsqu'on lui confirait une mission. La seule raison pour laquelle on ne l'avait pas virée, c'était parce qu'elle était la meilleure.

La jeune femme allait donc se résigner à rentrer, lorsqu'un message d'alerte bien spécifique retentit sur son écran. Enfin... Enfin un client après ce vide de trois semaines. C'était à croire que plus personne n'osait lui lancer de défi. Fébrille, elle ouvrit précipitamment le mail et fut... quelque peu déçue...

-- Offre de hacking N°12 --

Bonjour,
J'ai entendu parler de vos services par un client satisfait. Je vous contacte donc pour vous poser mon défi :

J'aimerai récupérer la liste des élèves du lycée principal de Seikusu, avec donc leur nom, leur adresse et leur âge.
Il me faudrait ces informations dans la semaine à venir, si possible de manière écrite pour que je puisse le transporter aisément. Je suis également au courant du paiement exigé en retour, et cela ne me pose pas de problème. Vous trouverez une preuve de ma bonne foi à la fin de ce mail.

Je vous laisse me recontacter pour la finalisation de l'offre si jamais vous l'acceptez.

Cyscek

En soi, ce n'était pas un défi bien grand. Les établissements scolaires n'avait qu'une faible sécurité, basique, et il ne lui faudrait que quelques minutes – à peine une en fait – pour pénétrer le système. Avec tout les élèves présents, le travail sera bouclé en dix minutes à peine. Elle allait refuser, lorsqu'elle vit la photo d'un bel homme finement musclé, les cheveux noirs avec des mèches rouges coiffés en épis et une assez belle érection dans son caleçon. Adriana se mordilla la lèvre d'envie, constatant par la même occasion que cela faisait un certain temps qu'elle n'avait pas couchée avec un homme. Rien que pour cela, elle se motiva pour débuter le piratage de Mishima.

Comme prévu, l'affaire avait été bien vite bouclée. Seul imprévu, l'étrange mot de passe de la directrice. Quelle idée de mettre le nom d'une divinité grec ? Celle de l'amour qui plus est ? Bon, elle avait entendu dire que la femme en question prônait l'apprentissage du Panthéon grec, mais tout de même...

Elle regarda l'adresse du mail qu'elle avait reçue, avant d'envoyer sa réponse.

-- Résultat de hacking N°378 –

Bonjour,
Je vous informe que la liste des élèves a été téléchargée avec succès. Comme demandé, le tout a été imprimé et classé en dossier.

Je vous le remettrait demain soir en main propre, après paiement, au 103-4875 Seikusu-to, Ōruseintsu-ku, Shūi-Azabu 6-23-16. Vous me demanderez à la réception à 22h15.

Au plaisir de vous rencontrer en personne.

GLaDOS

Oui, elle n'avait eu que douze demandes depuis son arrivée au Japon, mais cela ne l'avait pas empêchée de traiter  près de 380 demandes depuis qu'elle était GLaDOS. Quand à l'adresse en question, il s'agissait de celle d'un Love Hôtel à l'entré du quartier de la Toussaint. Elle avait ses habitudes dans cet établissement et la réception ne connaissait que son pseudo... et son "travail". Et une hackeuse comme elle, qui rapporte des entrées d'argents, ce serrait idiot de la dénoncer.
En règle général, elle était dans la suite n°689, au 7e étage (le RDC étant en fait le 1e étage au Japon) une chambre confortable avec de nombreux accessoires sexuels, qui avait la particularité de contenir un compartiment secret, parfait pour son travail.


Le lendemain soir, lorsque la porte s'ouvrit, elle était sensuellement allongée sur le lit, tournée vers la porte. Elle portait une fine lingerie blanche avec des porte-jarretelles, légèrement transparents, et le tiroir à "jouet" était ouvert, laissant voir tout son contenu. Avec un sourire aguicheur et un doigt sur les lèvres, elle se présenta à lui.

- Vous devez être Cyscek je présume ? Je suis GLaDOS. Avant votre paiement, si nous passions aux choses sérieuses ? Comment me voulez vous ? Dominante ou soumise ? Préférez vous la tendresse ou la sauvagerie ?

Elle pouvait passer pour une prostituée, mais elle était surtout en manque, après trois semaines sans sexe...

Le mail envoyé, il restait à Cyscek à attendre à présent. Il avait laissé un peu de temps, pour le cas ou ce serait difficile, ou s'il y avait un imprévu. En tout cas, il ne pouvait pas décemment revenir sur Terra sans avoir rien ramener de son passage ici. L'étonnement fut total quand il reçut une réponse à peine dix minutes après. D'abord, il pensa à une confirmation ou à un refus de l'offre, mais le mail était très clair : l'offre était déjà réalisée, et GLaDOS parlait déjà du règlement et de se retrouver afin qu'il récupère le colis. Finalement, il avait bien fait de passer par elle, vu qu'elle lui avait trouvé les informations plus vite qu'il n'aurait pu l'espérer. Dès demain ou le surlendemain, il pourra se mettre en chasse, et rentrer assez vite.

Restait à payer, comme elle le demandait, et à trouver le lieu de rendez vous. Pour ce point, ce n'était pas trop difficile en demandant à quelqu'un dans la rue. Le premier point l'inquiétait un peu : il ne connait rien de cette femme, et qui sait si elle n'a pas des idées tordues, qui le feront regretter d'avoir accepter un règlement en nature ? Ca ne servait à rien de se tourmenter pour ça, il sera fixer quand il ira au rendez vous.

Le lendemain fut une longue journée d'attente, pour voir enfin la soirée. Il en avait profité pour acheter des habits neufs : il avait déjà quelques affaires pour les rares fois où il avait eu à venir ici, pour passer incognito. Il avait choisi un t-shirt près du corps, à la manière des maillots de corps qu'il met d'habitude, surmonté d'une veste, et un jean pour le bas, que la vendeuse lui avait conseillé, bien qu'il n'ait pas compris pourquoi.

Peu confiant dans les moyens de transport d'ici, il vint jusqu'au lieu de rendez vous à pied, à l'aide d'une carte routière. S'il n'était pas forcément à l'aise dans une ville telle que celle là, il savait s'orienter bien mieux que personne, surtout dans un endroit plein de repères.

Arrivé devant l'adresse indiquée, il passa en revue l'immeuble, sans savoir ce que c'était réellement : il n'est pas dans son monde, et ce genre de chose n'existe pas, du moins pas sous ce nom. C'est le pas tranquille, quoiqu'un peu angoissé, qu'il se présente à l'entrée pour demander GLaDOS à la réception. On lui indique alors l'étage et la chambre, et il obtempère sans broncher afin de rejoindre les étages. Parvenu à l'étage, il frappe deux fois à la porte, puis tourne la poignée afin de rentrer.

Première constatation : il ne s'attendait pas à une demoiselle aussi bien faite. Deuxième constatation : elle sait se mettre en valeur. Le jeune homme bloque quelques secondes à l'entrée, le regard parcourant le corps alangui de la jeune femme. Elle se met à parler, et lui reste muet d'abord, perplexe quand à la situation. Il sort enfin de sa torpeur et avance d'un pas, remettant en ordre ses idées et les questions que lui a posé GLaDOS. Une fois la porte fermée derrière lui, il lui refait face avec le sourire pour lui répondre.

Vous avez vu juste, enchanté. Comme c'est votre récompense si je puis dire, je pensais que vous décideriez de tout ça.

On est bien loin de l'idée qu'il s'était faite au départ, qu'elle pourrait lui imposer certaines choses. Au contraire, elle s'offre à lui sans retenue, et cela l'excite en un sens. D'ailleurs, une érection commence à poindre dans son jean, et elle le verra forcément vu la taille de la verge et comment elle se dessine nettement sous le tissu. On comprend mieux pourquoi la vendeuse lui a conseillé celui là.
Il laisse planner quelques secondes de flottement, avant de se rapprocher un peu plus du lit. C'est idiot de sa part, il n'a aucune raison d'être timide, alors il s'enjoint lui même d'être plus détendu. Il tend une main quand il est à portée de la jeune femme, et dessine du bout du doigt une des lanières du porte jarretelles. Il ne faut pas lui en vouloir, il n'en a jamais vu des comme ça.

Mais si vous me laissez le choix ... J'aime les femmes entreprenantes et joueuses, peut-être un peu soumises. Et surtout très ouverte d'esprit.

En tant que trafiquant d'esclaves, il aime les femmes soumises, mais pas que. Et il ne veut pas risquer qu'elle découvre son métier. Surtout qu'elle semble suffisamment coquine pour ne pas donner envie de la brider, et au contraire la laisser exprimer son appétit sexuel.

Le jeune homme qui lui faisait face était resté scotché sur le pas de la porte en la voyant, aussi attirante et coquine. C'est vrai que la jeune norvégienne était d'humeur joueuse après une telle absence de sexualité. Finalement, il fini par refermer la porte avant de lui faire de nouveau face, un sourire appréciateur accroché aux lèvres.

- Vous avez vu juste, enchanté. Comme c'est votre récompense si je puis dire, je pensais que vous décideriez de tout ça.

C'est en effet ce qu'elle faisait lorsqu'elle jouait le rôle de la dominante, se laissant aller comme elle l'entendait. Mais le corps de son client était suffisamment attirant pour lui accorder cette fleur. Il était vêtu de façon élégante et son jean serré moulait parfaitement la partie la plus intéressante de son corps. Une chose était sûre, elle allait passer une agréable soirée. Après quelques secondes, il fini par se rapprocher, dessinant du bout du doigts son porte-jarretelles, avant de parler de nouveau.

- Mais si vous me laissez le choix ... J'aime les femmes entreprenantes et joueuses, peut-être un peu soumises. Et surtout très ouverte d'esprit.

Concernant notre petite hackeuse, elle était bien évidement très ouverte d'esprit, ne serrai-ce ça façon d'être payée ou les propositions qu'elle lui avait faite. Et cela tombait bien, elle était d'humeur joueuse. C'est donc uniquement par jeu qu'elle descendit du lit à quatre pattes, de manière très féline, avant de faire glisser ses mains sous le t-shirt, directement sur son torse pour caresser sa peau, tout en prenant la braguette de jean en bouche. Comme il aimait les femmes un peu soumises, comme la grande majorité des hommes, elle lui dit alors en ouvrant sa braguette avec les dents.

- Détendez vous jeune maitre et laissez vous allez au plaisir...

Elle tira ensuite sur le caleçon, toujours avec les dents, découvrant alors une impressionnante verge, tendue et gonflé de désir, une agréable odeur allumant le feu de son bas ventre. Se laissant allez à cet enivrante odeur, Adriana commença à déposer de doux baisés sur le barreau de chair, alors qu'elle caressait toujours très sensuellement le torse de son amant. Puis, elle sortit sa petite langue mutine et la fit glisser sur la longueur de la tige, ainsi que sur les bourses, durant de longues minutes. Elle continua ainsi jusqu'à ce qu'il jouisse sur elle. Alors seulement elle le prendra en bouche...

En très peu de temps, la jeune hackeuse le mit à l'aise. Déjà par son attitude décontractée, et le fait que l'échange semblait être gagnant de tout les points de vue pour lui. Il n'allait surement pas regretter d'avoir eu recours à elle, ça c'est sûr. Comme elle se déplace à quatre pattes, le regard du jeune homme la suit des yeux, se permettant de matter chaque forme, et chaque centimètre de peau dévoilée. Elle joue de son corps, et elle le fait bien, c'est l'avis qu'il en a.

Les lèvres légèrement pincées, il la regardait venir prendre position devant lui. La pose est explicite et annonce déjà la couleur de ce qui va se passer. Il ne s'attendait pas à cette façon de faire tout de même, sentant la bouche venir ouvrir le pantalon en prenant son temps, puis tirant le caleçon pour mettre le membre à vif. A chaque fois il s'attendait à sentir les mains de GLaDOS toucher son corps, mais non, elle s'y refusait et usait seulement de ses dents et de sa bouche. Les paroles prononcées ne firent qu'augmenter le désir de Cyscek, dont la queue durcie se tendait par à coup face au visage de la jeune femme.

Je vois qu'on t'a bien dressé ...

Instinctivement, il prend le rôle de maître, en la tutoyant là où elle le vouvoyait quelques secondes auparavant. Il l'observa un instant, puis fermait les yeux pour se concentrer sur ses autres sens. Il sentait la bouche éparpiller des baisers le long de sa verge, avec une douceur et une technique incomparable. Au dessus, les mains lui faisaient frissonner le torse et le rendait d'autant plus sensible. Elle savait l'effet qu'elle faisait, et elle en jouait pour l'amener à jouir. La langue rajoutait un peu plus de plaisir à tout cela, et il sentait le plaisir monter petit à petit en lui, la façon de faire le faisant durer avant l'orgasme.

Les minutes défilaient, et aucun des deux ne parlaient, la pièce emplie seulement par les bruits de la bouche de la jeune femme contre la verge, ainsi que de légers gémissements qu'échappaient par moment Cyscek. Mais à force de le titiller de la sorte, elle le sentira se raidir, le corps un peu plus tremblant qu'au départ. Il rouvrait les yeux pour la regarder, et dans un gémissement rauque, il se mit à jouir. Un premier jet épais venait zébrer de bas en haut le visage de la jeune femme, suivi par plusieurs autres. La peau satinée se retrouva bien vite maculée de sperme, d'autant que le jeune homme était assez abondant. Plusieurs jet souillaient également la chevelure de GLaDOS, avant que les dernières gouttes ne coulent le long de la verge et en s'écrasent sur la poitrine généreuse, collant le tissus du sous vêtement contre la peau et constellant le sillon de ses seins.

Il sentait les jets s'arrêter, puis une seconde de faiblesse quand le plaisir prenait fin. Un pas en arrière, et il s'asseyait sur le bord du lit, presque essoufflé alors qu'il n'avait rien fait hormis jouir. Le regard toujours sur elle, il la contemplait, couverte de sa semence, et lui parla d'une voix chaude.

Très douée ... Je sens que cette soirée va me plaire.

Et le sourire le confirme. Les jambes écartées, il laissait la place à la jeune femme de se rapprocher, alors que d'un geste de la tête, il lui désignait la queue qui n'avait perdu aucune vigueur.

Adriana se délectait des gémissement de son client et l'exprima par de petits soupirs de plaisir, directement sur son membre. Lors qu'enfin arriva sa délivrance, elle se recula pour recevoir la longue et abondante giclée de l'homme, qui ne se contenta pas que de son visage, mais d'une grande partie de son corps. Si bien qu'elle fut recouverte de sperme gland et chaud de la tête au pied. Elle en récolta un peu sur sa poitrine du bout du doigt, avant de l'amener à sa bouche, goutant le précieux liquide.

- Hummm... Salé comme j'aime...

Le jeune homme s'assit sur le lit, comme essoufflé alors que son sexe était toujours aussi raide et dur. Souriant, il s'adressa de nouveau à elle.

- Très douée ... Je sens que cette soirée va me plaire.

Il lui indiqua son membre d'un mouvement de tête, comme pour lui ordonner de continuer ses petites attentions dessus. Sensuellement, elle s'avança vers sa troisième jambe et utilisa enfin une main. Pas pour le branler avec impatience, non, mais pour le prendre tendrement et effectuer de lents vas et viens, avec douceur et amour.

- J'espère que vous avez encore de grandes réserves de sperme pour vôtre petite soumise... Maître...

Sans attendre la réponse, qui ne tarderait pas à venir de toute manière, Adriana sortit de nouveau sa langue pour le lécher de la base des bourses jusqu'au gland, faisant plusieurs petits tours autour, avant de prendre enfin la verge dans son gosier. Avec une tendre gourmandise, elle fit plusieurs vas et viens, enroulant sa langue autour du barreau de chair pour le comprimer légèrement et aspirant l'air pour le pomper. La petite hackeuse finit par retirer son soutient gorge et plaça un sein de chaque coté du phallus, avant d'entamer une branlette espagnole et une fellation simultanées, les tétons dressés vers le visages de l'homme. Celui-ci pourrait donc venir les pincer si l'envie lui en prenait.

Enfin, elle acheva son petit manège en le prenant, au bout de plusieurs minutes, en gorge profonde, déglutissant sur le gland pour le masser avec son œsophage. Durant tout ce temps, elle n'avait pas arrêter de gémir avec envie, la semence blanche maculant toujours son corps bouillant de désirs...

Il était rare de voir une femme prendre autant de plaisir et visiblement d'excitation à lui faire plaisir. Il faut dire que généralement, il s'occupait avec ses esclaves, et que la plupart n'était pas forcément consentante ou très démonstrative. Cela changeait, et en bien, car l'attitude de la belle blonde était un catalyseur à désir pour Cyscek. Il lui abandonnait une nouvelle fois le membre pour qu'elle vienne le caresser doucement, la verge ne perdant rien de sa vigueur malgré l'orgasme passé. Chaque parole de la jeune femme le fait sourire, elle prend son rôle vraiment à coeur.

Tant que tu pourras le faire sortir, tu en auras beaucoup.

D'abord la bouche, puis les seins, il la laissait s'occuper du membre, restant passif pour sa part. C'était agréable de se faire choyer de la sorte, mais il savait qu'il n'allait pas rester ainsi éternellement, car l'envie de s'agiter lui même allait venir. Finalement, une main venait caresser un sein, pinçant le téton, alors qu'il glissait une jambe entre celles de la jeune femme pour frotter le haut de son pied contre l'entrejambe.

La bouche avançait petit à petit, et il sentit son gland un peu plus serré quand elle l'aspirait dans sa gorge, la bouche parvenant presque à la base du membre. Cela eut pour effet de le faire gémir, la queue forçant pour tenter de se remettre droite alors que la gorge le forçait à aller vers le bas.

Tu es pleine de ressources... C'est rare qu'on me suce aussi loin ...

Une main se posait alors sur la tête de la demoiselle. Lui si passif jusqu'ici, il tirait subitement la tête vers l'avant, obligeant la petite soumise à avaler les derniers centimètres de queue pour l'avoir en entier dans la bouche et la gorge, le nez collé contre son pubis. Il la maintint ainsi quelques secondes, le souffle coupé, avant de la relâcher lentement.

Je suis le maître, et toi tu es quoi ? Une salope ? Une cochonne ? Un sac à foutre ?

Il l'interroge sans vraiment la laisser répondre, puisque le membre est laissé dans sa bouche. Cette fois il porte sa seconde main, et les deux mains se saisissent des cheveux de la belle pour lui faire bouger la tête à son envie. Il se met à limer la bouche et la gorge vivement, baisant ses lèvres sans aucune retenue. Il ne la laissait même pas se sortir quand la jouissance revenait, le sperme giclant à nouveau dans la bouche et la gorge de la jeune femme. Toujours aussi abondant, il la remplissait sans gêne, avant de relâcher ses mains de sa tête et de sortir petit à petit le membre d'entre les lèvres brillantes de sperme.

- Tu es pleine de ressources... C'est rare qu'on me suce aussi loin ...

La jeune fille le prit comme un compliment. Ce qui d'ailleurs en était un. Lorsqu'elle sentit cette main se poser sur sa tête, elle se dit que le client jouait enfin le rôle de maître. Et elle ne fut pas déçue. Contrairement aux autres personnes qui avait souhaiter l'avoir en soumise, celui-ci la traitait véritablement comme une esclave sexuelle, jouant pleinement le jeu. Il avait sans doute dû jouer dans un film porno, pour avoir cette aisance pratiquement naturelle. En attendant, cela la changeait des mollassons qu'elle avait habituellement.

- Je suis le maître, et toi tu es quoi ? Une salope ? Une cochonne ? Un sac à foutre ?

Se faisant insultée comme une pute, elle se retrouva avec les couilles juste au niveau des lèvres, profitant d'être en gorge profonde pour sortir sa langue et les léchouiller. Ce manège dura un certain temps, jusqu'à ce qu'elle sente la chaude semence couler dans sa bouche et sa gorge, la rassasiant pleinement. Une fois le membre de nouveau sortit, elle s'exprima sans cacher son plaisir.

- Il est rare de voir un homme jouer aussi bien le maître. Ça me change des guimauves habituelles... Pour répondre à la question, je suis une simple fille en manque de sexe depuis trois longues semaines...

Ses trois derniers mots avaient été exprimés avec un petit ton plaintif, montrant qu'elle avait besoin d'être sexuellement rassasiée pour calmer sa faim. Se mettant à quatre pattes devant lui, elle dandina ses fesses, lui présentant ses deux orifices dont l'un d'eux était humide de mouille. Elle entra deux doigts dans son antre des plaisirs, et utilisa sa liqueur sucrée pour humidifier son petit puits secret.

- Alors Maître... par quel trou allez vous prendre votre petite soumise ? Elle a hâte de sentir votre queue posséder son corps bouillant de plaisir...

Continuant de bouger sensuellement les hanches, elle doigtait doucement sa chate humide sous le nez du jeune homme, lâchant de temps en temps un petit soupir d'impatience...

L'orgasme avait été violent, et en ressortant, la queue avait libéré une partie du sperme et de la salive de la jeune femme le long de son cou et sur sa poitrine. Elle était déjà bien souillé, et cela n'était que le début. Il l'écoutait, reprenant ses esprits, et fut frappé par ce qu'elle disait. Trois semaines, et elle était dans cet état ? Et bien, c'était surprenant, il avait rarement croisé des femmes aussi en manque, en si peu de temps. Il en regretterait presque qu'elle ne vive pas sur Terra. Un instant, l'idée d'en faire une esclave lui traversa l'esprit. Mais en la laissant ici, il pourrait lui demander de nouveaux services, ce qui serait surement plus rentable. Il préféra donc écarter cette idée de son esprit.

Si tu me connaissais, tu saurais que je suis un maître dans tous les sens du terme.

Peut-être lui révèlera-t-il son métier, mais il a peur de choquer la jeune femme, qui ne doit pas se douter de la traite d'esclave de Terra, et peut-être même de ce monde là. Il l'observait pendant qu'elle lui tournait le dos afin de lui proposer ses orifices, toujours aussi joueuse. Il avançait alors pour se mettre à genoux et venir derrière elle mattant les doigts qui fouillaient l'orifice sans ménagement. Il pencha la tête, et elle sentira la langue du jeune homme courir sur ses orifices, s'immiscant légèrement dans l'anus et la chatte pour en goutter la cyprine. La langue frottait également un peu les doigts qui remuaient juste à côté, et il finit par redresser un peu la tête.

Je vais prendre ta chatte humide ... Et je giclerai sur ton petit cul pour préparer mon passage.

Il finissait de se redresser, à genoux derrière elle, et les mains prenaient possession du bassin d'Adriana pour l'aligner sur le sien. Elle sentira le gland frotter contre sa vulve offerte et ses doigts, alors qu'il lui parlait encore.

Interdiction de sortir tes doigts de là.

Le ton est simple mais direct, c'est un ordre, et il n'imagine pas une seule seconde qu'elle désobéira. Un mouvement sec de bassin, et le voilà qui se plantait profondément en elle, le bassin claquant contre les fesses de la jeune femme. La queue entièrement en elle, il étouffait un grognement de plaisir, les couilles contre la main bloquée d'Adriana. Il la tenait fermement, et entame des vas et vient forts, venant à chaque fois cogner contre elle. Dans la position, elle pouvait bien tenter de lui échapper, il la ramenait à chaque fois en arrière pour fouiller son puits de plaisir au plus profond qu'il pouvait.

La position aidait à la baiser aussi profondément, et bien vite il trouvait un rythme soutenu, se servant du corps de la jeune femme comme d'un pantin qu'on remue pour son propre amusement. Après quelques minutes de ce traitement, il sentait le plaisir revenir, et d'un geste fluide il sortait de sa fente humide afin de coller son gland contre l'oeillet chaud. D'une main il vint se masturber au moment ou il giclait, le sperme brûlant coulant le long de la raie de la jeune femme et dans son dos d'un côté, et le long de sa chatte de l'autre côté. Il semblait bien décidé à n'épargner aucune partie du corps de la hackeuse.