Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le psychologue face à un être du futur [Exodus.]

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Helmase Strange

Humain(e)

Le psychologue face à un être du futur [Exodus.]

lundi 10 octobre 2011, 16:58:26

Vous avez un quelconque diplôme ?

Diplôme par-ci Diplôme par-là, c'était à croire que dans l'ancienne Terre ce diplôme est quelques choses d'important, je n'en avais pas et prendre le risque d'en faire des faux serait une erreur que je ne voulais pas prendre. Aussi avec toute l'amabilité que j'avais, je répondis d'une petite voix, c'est plus facile de la féminiser que de déployer sa gorge et d'avoir une voix grave, ce qui aurait sans doute choqué ce mec … Voilà qu'il m'embête avec sa jambe, il veut me faire du pied ce porc. Il fallait en finir vite avant que je ne me lève et lui en mette une il est hors de question qu'un homme me tripote, même avec son pied. Je marque sur mon calepin.

Je ne les ait pas, j'ai emménagé depuis peu et mes bagages ne sont pas encore tous arrivés.

Hum … Vous avez de l'expérience dans quoi mademoiselle.

Putain mais il va arrêter de me regarder comme ça avec ses yeux de prédateur à deux balles ce que je peut détester ce frisson sur ma nuque  … Mais c'est qu'il caresse ma jambe maintenant le pourceau, je ne sais pas ce qui me retient de lui faire bouffer sa table. Bon on lui répond vite fait et on se casse. Je marque sur le bout de papier.

Comme vous l'aurez sans doute constaté je suis  … aveugle et muette donc mes capacités sont assez limitées, cela dit j'ai une bonne expérience dans les travaux manuels, je peux faire le ménage ou la couture  et …. Arrêter de frotter votre pied contre ma jambe, c'est du harcèlement.

Ma remarque semblait surprendre l'homme qui ne s'attendait visiblement pas à une réaction aussi agressive de la part d'une personne que l'on jugerait à tort de faible. Sans dire un mot je me lève et prend ma canne, oui  pour crédibiliser mes dire je devais agir comme si Rodofl ne m'aidait pas. Je partis donc de l'agence d'interim, me mordant la lèvre inférieure avec fureur, pourquoi c'était des hommes qui se chargeaient de ça et non des femmes, mieux valait une gentille demoiselle qu'une espèce de porc réincarné en homme.

Seulement voilà je me retrouvais une nouvelle fois dehors sans avoir trouvé un emploi c'est vraiment dure en fait de trouver un travail quand on vient d'un futur où rien n'est pareil.  Il ne me restait plus qu'à trouver un coin tranquille où reposer un peu ma cervelle qui bouillonnait tellement les idées malsaine vis-à-vis de l'homme embrouillaient le moindre raisonnement, il faut que je me calme sinon je vais encore me mettre à faire des actions inadaptées et cela fera perdre toute crédibilité à mon rôle.  Je me mis donc à marcher, faisant entendre le bruit de ma canne à chaque pas,  Rodolf profita du son de ma canne pour m'imprimer sur la rétine les échos, un peu comme les ultrasons des chauves-souris. Je pris mon temps pour arriver dans un endroit que j'apprécie par le fait que dans mon temps, les parcs n'existent plus, la nature ayant muté pour devenir hostile envers tout être vivants.

Je me pose délicatement sur un banc, je peux maintenant pleinement respirer cet air qui me semble très pure, même si beaucoup d'humains de ce temps ce pleine de la pollution, chose qui n'existe pas dans le nôtre, la seule odeur que l'on pouvait sentir de l'air c'est le sang des futurs cadavres.

*Encore à te rappeler ton passé, c'est mauvais pour ton moral et ça peut te rendre malade.*

Encore à me sortir des idioties, il ne sait pas ce qu'est que la mélancolie, j'oubliais, ce n'est qu'une machine.

* La machine en question t'aide bien en attendant. *

*Mais ferme là un peu et affiche moi ce que tu perçois du ciel.*

Pour lui faciliter la tâche, je penche ma tête en arrière fixant vers l'endroit où est censé être le ciel. Rodolf ne mit pas trop de temps à m'afficher une image colorée du ciel, me représentant les vents solaires frôlant la surface de la planète, cela ressemblant aux aurores boréales décrites dans les anciennes écritures. S'en était si beau que cela me fis mal au cœur de savoir que ce monde était aussi loin de celui auquel j'avais vécu, si seulement les scientifiques pouvaient voir cela, ils seraient sans doute tous en larme devant une telle splendeur.

Les étoiles brillaient telle de petite lucioles figées pour l'éternité.

Un frisson parcouru mon corps, il était vrais que je ne suis pas bien vêtu.

Un collier autour du cou, un soutien-gorge rose et dorée à l'allure des tenues guerrière de mon époque, des épaulettes vertes très souples, avec une attache dorée passant au-dessus de ma poitrine,  étant le commencement d'un tissu d'un vert identique avec du lin rose au niveau des coude et des poignets, les ongles ayant un vernis blanc, vient ensuite un bas en V descendant très bas, sans pour autant dévoiler mon sexe, ce short très sexy moule mes fesses, dans une fibre similaire au latex en gardant une texture similaire au lin, vert avec les bords dorée. Comme chaussure des espèces de botte en cuir brun clair, qui maintiennent bien la cheville en place, au détriment de ne pas pouvoir courir facilement avec et que cela me gêne dans mes mouvements, mais pour "une aveugle" c'est bien pratique.

* On a de la visite. *

Cette remarque me fait sortir de ma pensée, tournant la tête vers l'origine du bruit, en attendant que cette personne se présente. Je pouvais toujours communiquer avec mon calepin, mais il me fallait apprendre d'autres langages car toujours écrire restreignait toute chance de m'insérer dans ce monde.
« Modifié: lundi 10 octobre 2011, 17:04:58 par Helmase Strange »
" Ce détenu est recherché par la société Temporal Compagny : Institut de recherche militaire d'équipement temporel de classe Alchimie naturelle. 

Toute personne le croisant doit savoir qu'il est armé et dangereux, tout contact avec cette personne est à éviter au vue de ses antécédent de meurtrier, trafiquant, violeur, ect ..."

Ceci était un communiqué de la Temporal compagnie le 8 octobre 5012.

Exodus - Juge celeste

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Re : Le psychologue face à un être du futur [Exodus.]

Réponse 1 lundi 10 octobre 2011, 20:55:06

Depuis son arrivée au lycée dirigé par Aprodite, le Juge Céleste avait pris un rôle de simple psychologue qui lui allait comme un gant. Après avoir passé des millénaires à écouter les horreurs des âmes en peine, s'occuper d'adolescents prépubères ne conaîssant pas la signification du mot douleur et l'employant à tord et à travers, était un jeu d'enfant. En fait, il n'osait pas l'avouer franchement, mais il s'ennuyait. Il n'avait eu aucun cas intéressant depuis des années, et cela lui manquait.

Il se promena, à l'heure de la sortie du lycée, dans le parc à proximité. Cet endroit était le seul refuge d'Exodus dans cette ville car, ayant une certaine emprise sur l'élément air, il était rapidement mis au courant de tous les évènements importants aux alentours. Ce fut d'ailleurs en écoutant le vent qu'il apprit la connaîssance qu'une personne était en détresse à l'autre bout du parc. Sa décision fut prise rapidement de s'interesser à elle. S'orientant grâce au vent, il pris le chemin le plus court pour pouvoir constater la situation de lui-même. Il ne savait pas le moins du monde à quoi s'attendre, mais il sentait un frisson d'exitation sortant de son dos : il y allait enfin avoir un peu d'action dans ce monde de monotonie !

Dès qu'il arriva devant la personne en question, il la détailla du regard. Elle avait une trentaine d'années et se balladait a moitié à poil dans une citée où le nombre de voyous et principalement de violeurs pullulaient ! De plus, il ne faisait pas une température extrêmement chaude. Elle s'était contentée d'un léger T-Shirt (si on peut appeler ça un T-Shirt, puisque on pouvait voir une partie de son soutien-gorge, et s'étendant très bas) et d'un shirt moulant. La première chose qu'il remarqua chez elle, exepté son accoutrement "de nudiste" fut un bloc-notes avec un stylo accroché. De plus, son regard ne m'atteignait pas, comme si elle m'ignorait... Où alors, plus probable, qu'elle ne sache pas où il est ! Son calepin pris alors une toute autre forme dans la tête de l'ancien apôtre : cette femme était sourde-muette ! Heureusement pour elle, il avait déjà eu à traîter ce genre de cas auparavant, et il savait quoi faire pour lui remonter le moral. Il commença ce qu'il considéra comme une première thérapie individuelle dans le jargon psychologique :

-Bonjour Madame. Si je puis me permettre...

Il s'assit à coté d'elle sans lui laisser le temps de répondre. Lorsqu'elle fit le geste d'écrire, il lui subtilisa le stylo de sa main et lui dit :

-Vous n'en aurez pas besoin avec moi... Voyez-vous, je suis le psychologue du lycée ayant la plus mavaise réputation de la ville en terme de réussite scolaire, et je puis vous assurer que je comprends très bien toute forme de malaise. Même si vous pensez que vous êtes la seule à pouvoir ressentir ce genre de sentiments, vous faîtes fausse route. Moi-même, si je vous narrait toute mon histoire, vous ne me croriiez pas. Donc n'essayez pas de vous retenir et laissez-vous aller. Le mal qui en ressortira vous torturera certainement pendant quelques jours, mais ensuite tout sera compensé.

Il lui remis alors son stylo dans le creux de l'oreille et attendit une réponse. Cependant, en même temps qu'elle écrivait, il rajouta :

-La plupart des gens pensent que l'oubli est le seul moyen de faire passer un malaise. Cependant, il revient toujours. Le mieux qu'on puisse faire, c'est de vivre avec et de l'accepter. Plus vite, madame, vous accepterez ce que vous êtes, plus vite vous serez dans de meilleures dispositions pour commencer toute forme d'action nouvelle.
Il attendit patiemment qu'elle lui présente sa feille, qui était son seul moyen de communication avec lui. Du moins, pensait-elle...
Notifié 100% fromager par Tartare2240

PS : C'est ma signature que tu lis là ! C'est pas ma réponse !


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