[Revan] Pitié, libérez moi ! :'(

La nuit était plutôt froide, ce jour là. Lydia marchait dans les rues de Terra, seule, emmitouflée dans son châle violet. Fatiguée, elle voulait simplement rentrer chez elle, prendre un peu de repos, après avoir eu une journée suffisamment mouvementée. Seulement voilà, le destin en décida autrement, ce jour là... Un groupe de trois hommes, sans doute attirés par les déhanchements lascifs de la succube, l’abordèrent de manière plutôt directe, lui demandant de les suivre pour une partie de jambe en l'air collectif. Ils essuyèrent un refus cinglant, elle prétexta que la fatigue l’empêchait de faire quoi que ce soit, et ... cela leurs déplut fortement. Deux des hommes l’attrapèrent, l'attirant dans la ruelle qui débutait juste à coté d'eux, tandis que le troisième pinça ses joues et l'obligea à avaler une pilule, sans doute une espèce de drogue. Peu de temps après, la succube s'effondra dans les bras de l'homme, inconsciente, tandis qu'un sourire étirait chacun de leur visage.

Un peu plus tard, elle se retrouva attachée dans une tout autre ruelle, à un système peu banal. Elle était immobilisée dans un petit pilori, un bandeau sombre et diaphane entourait sa tête et masquait ses yeux, l’empêchant de voir ce qui l'entourait. Le dispositif la forçait à se tenir debout, le corps penché en avant formant presque un angle droit avec ses jambes. Lydia commençait à doucement d'agiter, elle bougeait légèrement. Peu à peu, elle ouvrait les yeux...


Je parvenais tant bien que mal à ouvrir mes yeux, mais je me rendis vite compte que quelque chose me brouillait la vue, un morceau de tissus, ou quelque chose du genre. Mes mouvements aussi étaient restreints, mes poignets et mon cou étaient bloquées. C'est quoi ces conneries, qu'est ce qu'il se passe !?!? Je commençais à me débattre, tenter de me sortir de là, mais sans succès. J'étais tout simplement prise au piège. Et j'aimais pas ça, du tout... La panique commençait à prendre le contrôle de mes pensées, de mes actes, je tentais de sortir mes mains de là de manière plus frénétique, mais ce truc semblait être solidement conçu, et était indifférent à toute mes tentatives. Étais-je seule ? Quelqu'un me regardait-il ? A vrai dire, je n'en savais rien, et ne pouvais pas le savoir. Je ne savais même pas s'il faisait jour ou pas ! Il y avait bien un peu de lumière, enfin il me semble, mais cela pouvait très bien provenir d'une source artificielle. Enfin bref, j'étais perdue, je ne sais où, abandonnée, impuissante, apeurée ...

"Hého, y'a quelqu'un !?"

Un bruit métallique, celui d'une poubelle qui se renverse en déballant ses crasseuses entrailles dans la ruelle sombre où je suis... Mais que ce que je fais là encore ? Peu importe c'est vrai mais mes petits troubles de la mémoire sont un peu trop fréquents pour que je les ignores. Mais voilà qu'une flaque d'eau croupie me permets de voir le reflet de mon masque de fer fendu par je ne sais plus trop quoi : un duel ? Un Accident ? Pas moyen de m'en souvenir mais ce n'est pas grave car je trouve que ce masque fissuré me donne un air encore plus sombre surtout si on le combine avec ma cape sombre et mon armure légère noire comme la nuit ! Mais ce reflet immobile où aucune expression ne se reflète me lasse bien vite et donc je reprends ma marche fluide et silencieuse en ne manquant pas de plonger ma botte dans la flaque de liquide putride qui éclabousse un gros matou en train de se reposer sur une fenêtre au ras de la rue : le chat feule de mécontentement en étant arrosé par quelques gouttes d'eau sale et décampe dans l'ombre où je vois ses yeux dorés me regarder avec hostilité.


Mais je m'aperçus soudain de la présence de plusieurs autres personnes à proximité : trois sont des gens qu'il est normal de trouver dans un quartier si défavorisé et en porte avec une espèce de stupide fierté les stigmates tels qu'une hygiène assez déplorable et des manières de rustres envers l'autre créature de la petite troupe ! N'étant nullement intéressé, je faillis passer mon chemin quand un cri bref et très vite étouffé qui proviens de la jeune femme que je détaille subitement : elle n'est pas humaine à première vue car il est rare de trouver une telle pigmentation capillaire ou de tels vêtements sur une simple mortel... Qu'est donc cette si belle créature ?


Soudain bien plus intéressé, je me glisse à la suite du quatuor dont le seul membre féminin se fait rapidement drogué et emmené quelques rues plus loin dans une autre ruelle un tantinet plus large dans laquelle est aussi installé un étrange système probablement fait pour abuser de femme en toute impunité ! Le spectacle promettant d'être intéressant, j'attends avec une impatience grandissante que les trois lourdaud finissent d'installer leur captive pour intervenir en les tuant avec une rapidité effrayante : l'un a la nuque brisée tandis que l'autre finit avec la gorge tranchée par mon sabre écarlate. Le dernier meurt grâce à mon pouvoir et je peux enfin admirer plus avant la jolie jeune femme qui est sans aucun doute une succube. Je ne me fais pas trop prier pour faire ce que les trois cadavres encore chaud rêvaient de faire : profiter du corps de la prisonnière !

Je lui effleure d'abord le corps avec lenteur en lui fessant bien sentir le contact froid de mes gants de cuir sur sa peau douce comme de la soie avant de lui flanquer une claque retentissante sur les fesses  en lui laissant une belle marque rouge sur la fesse droite... Je sens que j'allais bien m'amuser ce soir !

Personne ... Personne ne daigna répondre à mon appel. Peut être mon ravisseur etait-il en train de se marrer dans son coin, m'observant pendant que je paniquais... Ou peut être était-il tout simplement parti, me laissant seule ici... ? Punaise ! J'étais quand même bien mal barrée ... Soudainement, des voix d'hommes brisèrent le silence, je ne savais pas combien ils étaient, mais plusieurs c'était certains. Oh, non ... C'était pas bon du tout, ça ! Les voix s'enflamèrent, devinrent plus virulentes. Des bruits se firent entendre, annonçant clairement qu'ils se battaient. Des bruits de ferraille, de corps qui s'effondre, de voix agonisante ... Puis, plus rien. Le silence...

Je n'osais plus bouger, j'étais terrifiée. Et si cette violence s'abattait sur moi ? Et si .. je mourrais ? J'attendis de longue minute, attendant dans la peur et le silence pesant que le destin ne m'apprenne la suite des événements. Soudain, je sentis le contact froid du cuir sur ma peau, qui me fit frissoner .. et hurler de peur, aussi. Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ai encore quelqu'un ! Une forte claque vint ensuite s'abattre sur mes fesses, qui s'agitèrent  sous le choc, ce qui m'arracha un vif cri de surprise .. et d'indignation ! La voix encore un peu tremblante, je tentais de prendre un ton ferme et assurée.

"Qu-qui êtes vous !? Qu'est ce que vous me voulez !? "

quel bruit amusant ! J'ai tout d'un coup une envie de recommencer à marquer sa chair tendre à maintes reprises pour observer ses réactions, ses cris, ses tremblements... Pour une raison que j'ignore, une barrière s'est brisée dans mon esprit et je ne peux m’empêcher de lever ma main emprisonnée dans le cuir pour gifler le fessier ferme de la captive qui me défie pourtant presque aussi ferme et assurée que si elle aurait été libre :

"Qu-qui êtes vous !? Qu'est ce que vous me voulez !? "

Un sourire déforme mes traits dissimulés par mon mon masque, mon havre de paix, et sans rien dire je lui assène une nouvelle claque  sur son délicieux derrière ! Mais seulement porter des petites ''caresses'' sur le corps de la sublime créature ne me satisfais que trop peu alors je la laisse un instant se reposer pour enlever la ceinture de cuir d'un des morts... Un fouet assez rudimentaire mais somme toute efficace. M'étant déjà bien entraîné par le passé sur mon esclave personnelle, je sais comment fouetter sans laisser de  blessure trop sérieuse tout en infligeant une cuisante douleur : la ceinture se déroule jusqu'à la longueur voulue puis, d'une brusque torsion de poignet, je fis claquer l’accessoire de cuir de façon menaçante avant d’abattre une seconde fois mon fouet improvisé... Sur les cuisses de la malheureuse captive ! Elle ne peut sans doute pas étouffer un cri mais l'excitation qui me gagne étouffe tout les bruits environnant donc je n'y prête guère d'attention pour me plonger dans le bruit des coups qui claquent tout à tour sur ses cuisses, ses hanches, son dos ou ses fesses : le bruit m'excite plus que tout et je dois faire un effort de volonté pour ne pas continuer et ainsi risquer de briser ma prisonnière sous la douleur. Cela aurait été bien mais je veux que ma proie sombre dans une spirale infernale mêlant douleur et plaisir : même si ça ne va pas se faire en une minute ou une heure, je la ferait vite supplier que je m'arrête... Mais il se peut aussi que cette créature aime être maltraitée qui sait ?


Mais je lâche un instant de la torturer pour m’intéresser plus avant à son corps voluptueux : malgré les marques rouges qui tardent à s’effacer sur certains endroit, elle est belle et bien trop belle d'ailleurs pour être une fille ordinaire mais le nom de ces créatures prédatrices m'échappent encore... Ah oui ! Je me souviens du nom de ces femmes si spéciales : des succubes ! J'ai mis la main sur un bien beau lot il me semble. Mais je trouve que la petite lingerie que porte la pauvre chose torturée est encore de trop alors je l’enlève avec une lenteur calculée pour faire comprendre à la créature que j'allais m'amuser avec elle et ce très longtemps : mes doigts effleurent les petits bouts de tissus qui font monter ma libido d'une manière anormale pour une raison qui m'est encore inconnue... Un enchantement sur ses vêtements peut-être ? Mais je lui demanderai cela plus tard car pour l'instant je suis bien plus intéressé par la vue de ses parties intimes qui me sont entièrement révélée à moi et à mes regards impatient. Sa petite chatte que je ne tarderais pas à ravager semble palpiter (de peur ou de plaisir... A moins que ce soit de colère vu la façon très brusque dont je l'ai traitée !) Cela ne m’empêche pas de  la caresser avec douceur une ou deux fois avant d'enfoncer deux de mes doigts dans son intimité dans le but de l'entendre gémir

* j'ai hâte de t'entendre ma jolie, ta voix doit être aussi merveilleuse que le reste quand tu gémis de plaisir !*

Mon geôlier ne me répondait toujours pas, laissant le silence de plus en plus pesant affoler mon esprit, et mon imagination. Je m'inventais toute sorte de scénario aussi glauque et effrayant les uns que les autres, qui présageaient mon futur.. Ou pas ! Non, je ne devais pas laisser la panique prendre le dessus ! Pas facile ... je ne pouvais absolument rien faire, et un psychopathe rodait autour de moi, me caressant comme bon lui semblait. Hé, j'étais pas son jouet ! Soudain, une nouvelle fessée vint faire vibrer mon postérieur rougissant, une douloureuse fessée... auxquelles vinrent s'ajouter une nouvelle, sans aucune retenue, qui commençaient à méchamment m'échauffer les fesses ! Je retenais pour moi les protestations et les gémissements qui ne demandaient qu'à s'exprimer. Je savais que ça ferait trop plaisir à ce vicelard...

Nouvel période de répit. Je n'entendais ni ne sentais plus rien, autour de moi. Était-il parti ? Il m'avait laissée seule !? Hélas, non, et j'en m'en rendis douloureusement compte lorsqu'un fouet claqua sur mes cuisses.. c'était effroyablement douloureux ! J'en ai sursauté, poussant un puissant cri de douleur et de détresse, qui fut interrompu par un deuxième coup sur la chair tendre de mes fesses. Un psychopathe, je ne m'étais pas trompée, c'était un psychopathe ! Je serrais fort les dents, refusant de gémir à nouveau, tandis que mon bourreau poursuivait mon supplice, me fouettant à tour de bras différente parcelle de mon corps. Je pleurais chaudement, de vive douleur embrasait ma peau, ma chair était endolori de partout .. c'était atroce, insupportable ! Je pleurais, oui ... mais je conservais assez de force pour ne pas sangloter, ne pas gémir .. enfin, j'essayais en tout cas, il m'arrivait d'hoqueter lorsque la douleur devenait trop déchirante. Bon sang, mais sur quoi j'étais tombée !?

Sur un sacré pervers (et je m'y connaissais pas mal, dans ce rayon ♥), ça c'est sur. Ses doigts se posèrent sur ma culotte, effleurant mon intimité. Sur le coup mes cuisses frissonnèrent, de manière incontrôlable, et encore un peu plus lorsque ses mains descendirent le long de celles-ci, emportant mon doux sous-vêtement au passage. Ma féminité était ainsi exposée à la vue du pervers, qui pouvait en profiter pour l'observer sous toute les coutures. Mais je doutais qu'il veuille se contenter de ça, et la suite des événements me donna raison .. Il y enfonça brutalement deux de ses doigts, odieux et investigateur (non, ce ne sont pas les noms de chacun de ses doigts, enfin j'crois pas ), qu'il fit s'agiter en moi. Je ne put réprimer un profond gémissement, qui paraissait clairement comme un signe de plaisir. Zut ! Je me mordais la lèvre, honteuse de m’être laissée un peu aller. Je n'allais pas lui laisser le plaisir de m'entendre gémir, ça ne se reproduira plus !

Agir sans un mot, sans qu'un seul son sorte de ma bouche, c'était presque naturel pour moi et agissait aussi sur ma prisonnière du jour en fessant grimper sa peur d'un cran ou deux... Et dire que je n'en suis encore qu'a mon petit échauffement bien sympathique car n'allez pas croire que j’atteins déjà l'excitation suprême juste en fouettant la peau pale de mon infortunée captive  mais cela suffit à me mettre d'une sacré bonne humeur car ce n'est pas tous les jours qu'une si belle opportunité nous tombes tout cuit dans le bec avouez le ! Mais, contre toute attente, un cri incontrôlé sort de la bouche de la succube m'arrachant par la même occasion un ricanement macabre... Alors comme ça on ne trouve pas totalement déplaisant le fait que je te touche ? Eh bien pourquoi arrêter dans ce cas ? Je reprends donc mes caresses sur ses fesses meurtries en ressentant presque une pointe de pitié pour la créature qui allait sans doute avoir très mal au derrière encore quelques jours ! Mais je constate avec déplaisir que ma captive s'est ressaisie et qu'à présent ses lèvres sont closes comme les portes d'un tombeau. Cela ne m’empêche pas de continuer à la caresser et à trifouiller son intimité rose et douce : je pourrais y passer des heures tellement le contact de cette chair si rare me passionne mais je n'ai pas envie de laisser mon esclave forcée se reposer et prendre un peu son pied.


Je retire donc mes doigts déjà dégoulinant de fluide appartenant à la succube et je maudis mon masque qui m’empêche de respirer l'arôme sucré du jus de la jeune femme qui tremble un peu en croyant être tombé sur un grand malade qu’elle croit capable de tueur une pauvre chose sans décence comme elle juste pour s'amuser... Je ne peux pas dire qu'elle aie vraiment tord tout de même ! Alors, pour renforcer la peur de la créature habituellement lubrique, je décide d'enlever le bandeau de la prisonnière pour qu'elle puisse contempler les trois corps baignant dans leur sang au beau milieu de la ruelle sombre où personne ne l'entendrait crier. Je reste cependant toujours derrière elle pour qu'elle ne puisse pas se faire une idée ou encore utiliser un quelconque charme sur moi : je reprends mon exploration de son intimité tremblante avec deux de mes doigts tout en titillant son clitoris dressé par la peur et la réaction toute naturelle de son corps face à mes caresses puis lui glisse à l'oreille d'un ton si sombre que les alentours semblent s'assombrir eux aussi pour nous plonger dans une nappe de ténèbres inquiétants...


- Si tu ne veux pas finir comme ces trois cadavres qui feront bientôt partie de ma horde de morts-vivants, tu vas devoir bien te comporter... Alors ta réponse ?

Mais sans attendre de réponse, je sors mes longs doigts gantés de sa chatte pour les plonger par surprise dans son Anus bien chaud... Un peu de piment en plus ne fait pas de mal non ?

Le silence ne semblait nullement gêner mon tortionnaire, qui poursuivais ses sinistres expériences sur moi. J'avais l'impression de devenir son jouet, le cobaye de ses désirs malsains ... Et c'était vraiment troublant.L'intérieur de mon intimité devenait de plus en plus humide à mesure que ses doigts s'agitaient en moi, palpant la chair tendre et sensible de mes parois vaginales. Je ne pouvais pas le nier, c'était un vrai délice, que de me sentir excitée comme ça... Mais non ! Il ne faut pas ! C'était vraiment pas une situation où je pouvais me laisser envahir par mes envies ! D=

C'était incroyable .. ! J'avais un peu de mal à le concevoir, mais c'était sûrement le scénario sexuelle le plus excitant qu'il m'ai été donné de vivre. Enfin, si l'on exceptait le fait que j'étais par moment tiraillée par cette peur de mourir qui me prenait aux tripes, me faisait paniquer. Un malaise qui decupla brutalement lorsque ses mains vinrent s'affairer autour de ma tête, otant ce qui m'empêchait de voir. Je n'aurais pas du regarder, à ce moment là. Vraiment pas. Trois hommes. Un terrifiant bain de sang. C'est tout ce que mon cerveau imprima en mémoire avant que je ne ferme les yeux, mais c'était déjà trop. J'étais horrifiée .. et je n'avais même pas pu voir le directeur de mon calvaire !

Une fois mon bandeau enlevé, ses doigts revinrent à la charge, m'excitant encore davantage. Je soupirais à chacun de ses mouvements, j'étais trop réceptive à ses caresses pour qu'elles me laissent de marbre, malheureusement .. Mais je restais relativement silencieuse quand même, ce qui semblait le contrarier. Pour la première fois, je put entendre le son de sa voix .. et ça me donna des frissons.

- Si tu ne veux pas finir comme ces trois cadavres qui feront bientôt partie de ma horde de morts-vivants, tu vas devoir bien te comporter... Alors ta réponse ?

Les cadavres ? Je m'efforçais de ne plus y penser, à cette vision cauchemardesque... Quand à avoir une réponse.. Avant que je ne puisse rétorquer, ses doigts quittèrent mon intimité pour venir forcer le passage de mon orifice encore plus intime. Un cri perça finalement mes lèvres, clair et sonore, un cri où se mêlait douleur et désir. Ma propre cyprine avait lubrifié ses doigts, qui me violaient et me sodomisaient. Bon sang ! J'adorais ça ... ! Je tentais de bouger mes hanches, pour extraire mon anus de l'emprise de ses doigts, mais je ne parvenais qu'à amplifier davantage les sensations, m'obligeant à faire un effort surhumain pour ne pas gémir intensément de plaisir. C'était si bon ... Mais il en faudrait bien plus s'il voulait me soumettre, que je l'appelle "maître". J'étais pas une succube pour rien !

"Et si je ... refuse ? "

Que de caractère mes seigneurs, que de caractère ! Enfin, ce n'est pas ça qui me trouble ou m’énerve au contraire : sa résistance dérisoire ne fait que renforcer mon amusement et mon excitation en vue de ce que je vais lui faire subir dans quelques instant. Cependant, je ne lui laisse pas la moindre seconde de répit et continue de lui fouiller les entrailles de mes deux doigts vite rejoint par un petit troisième : je me demande combien pourraient s'infiltrer dans son autre trou et jusqu'où ses parois pourraient s'étendre... Encore une expérience des plus intéressante il me semble ! Mais vu la réponse que la succube me donne d'une manière insolente à la question posée plus tôt, je pense devoir réviser la manière dont je m'amuse avec la sublime créature : voyons voir si les cadavres n'ont rien de bien à m'apporter !


Je m'écarte donc de la jeune femme et retourne le cadavre le plus proche pour lui faire les poches : il possède une petite bourse qui contient des étranges pilules roses et blues... Les roses sont sans doute des Aphrodisiaques mais les blues ? Enfin peu importe car j'ai enfin entre mes mains quelque chose qui rendra la succube un peu plus vulnérable au plaisir qu'elle ressent déjà ! Mais je remarque que le brigand me cachais aussi autre choses : un espèce de long bout de bois sculpté comme un pénis humain et muni d'une petite manivelle qui le fait tourner à grande vitesses... Devinez qui va y goûter ? Je lui effleure donc un instant son anus avant d'y enfoncer le jouet pervers pour ensuite activer la manivelle qui fait vibrer l'instrument dans le colon de la captive qui pousse un autre gémissement étouffé : résiste tant que tu le peux mais c'est futile ! Avec un petit ricanement, je lui laisse l'objet qui semble pouvoir tourner quelques tours supplémentaires sans mon aide et me place devant le visage de la femme pour tenter de lui faire avaler une des pilules mystères. Bien entendu, elle se débat et serre les dents alors j’utilise mon pouvoir maléfique pour écraser sa trachée artère d'une force invisible et implacable jusqu'à ce que la jeune femme manque de tourner de l'oeil : sa tête dodeline un instant et ses yeux paillonne frénétiquement ce qui pour moi est le signal me signifiant de relâcher un peu mon étreinte sur la pauvre créature qui ouvre désespérément la bouche en quête d'air. Je profite de sa faiblesse momentanée pour lui enfoncer non pas une seul gélule rose mais une plaine poignée avant de lui mettre ma main sur la bouche pour l’empêcher de recracher  mon ''cadeau'' et de les avaler : à peine une petite minute plus tard, je la vois rougir et trembler encore plus qu'auparavant... Il s'agissait donc vraiment d'un aphrodisiaque !

Sentant un moment plus propice venir, je déboucle enfin mon pantalon et laisse sortir mon phallus qui cogne contre la joue de la prisonnière : je souris sans qu’elle puisse le voir et murmure d'un ton doux où perce néanmoins une pointe de colère

- Pourquoi continuer à résister alors qu'on pourrait apprécier cette situation assez particulière ? Allez, fais ce que tu as à faire !

Ma réponses devait avoir eu l'effet d'une bonne douche froide. Il pensait que j'allais coopérer ? Pff.. Ses doigts sortirent furieusement de mon anus, et je l'entendis marcher près de moi. Il s'approcha des cadavres qui se trouvaient devant moi, et là je vis enfin à qui j'avais affaire. Un homme grand, et lugubre. Vêtu d'une sorte d'armure et d'une cape. Le visage dissimulé sous un masque. Il était ... terriblement effrayant ! Il fouilla l'un d'eux, et en sortit des espèces de bonbons colorés. Qu'est-ce que c'était .. ? J’espérais ne pas avoir à le découvrir...

Il trouva également une verge en bois, sur eux. Une verge en bois ? Sérieux !? Qu'est ce qu'il faisait avec ça dans sa poche, lui O.o !? Enfin, ce n'était pas une question de la plus haute importance, je l'oubliais d'ailleurs bien vite lorsque ce membre artificielle me pénétra avec vigueur, entre mes fesses, tandis qu'un système le faisait aller et venir en moi à un rythme incroyable ! Mon trou béant accueillait douloureusement ces assauts frénétiques, et meme avec toute la bonne volonté du monde je ne pouvais pas m’empêcher de gémir sous l'effet de la douleur, et aussi de l'excitation que cela me procurait, je devais bien l'avouer. Enfin, non, je ne comptais pas laisser ce pervers en profiter ! Ma seule arme, dans l'état ou j'étais, restait ma fierté .. tu parles d'une arme U_U. Je m’efforçais donc de rester stoïque pendant qu'il se jouait de moi comme il l'entendait. J'étais loin de me douter de ce qu'il allait me faire...

Je sentis une main invisible me prendre à la gorge, me la broyant presque. Je voulut crier, mais aucun son ne sortait de ma bouche, pas plus que je ne parvenais à respirer convenablement. Peu à peu, le manque d'air se fit cruellement sentir, et c'est lorsque je faillit perdre connaissance que la pression se relâcha. J'inspirais de grande goulée d'air frais, et c'est ce moment là que choisit mon bourreau pour me faire avaler ces fameuses pilules trouvées plus tot. Savait-il ce que c'était ? J'en doutais beaucoup, il devait l'avoir trouvé par surprise. Je priais intérieurement pour que ce ne soit pas un poison, ou quelque chose du genre .. Une douce chaleur commençait à m'envahir, se répandant dans tout mon etre, une chaleur enivrante, que je cernais sans problème comme étant un effet aphrodisiaque. Bon sang ! Il voulait me rendre dingue !? Bercée entre la douleur et le plaisir, je perdrais bien vite la raison si cela continuait... Non, je refusais de me laisser aller, pas maintenant, je ferais tout mon possible pour ne pas céder. Ma chatte mouillait encore plus abondamment, laissant couler des perles de cyprine le long de mes cuisses, m'indiquant par la meme occasion que ce sera dur de résister longtemps .. c'était si bon, j'en voulais encore, je voulais qu'il revienne me pilonner les fesses, avec encore plus d’énergie ! Non, je ne devais pas céder >_< ! Je regardais sa verge qu'il me tendait avec un regard plein d’appétit et de dédain, j'étais tiraillé entre la folie et la raison, et la tentation se faisait de plus en plus forte... Je parvenais tant bien que mal à serrer les lèvres, refusant de lui offrir ce qu'il désirait. Mais je savais que tot ou tard les effets de l'aphrodisiaque deviendrait trop forts pour que ma fierté ne valent grand chose...

bon certes j'ai dis que j'aimais les femmes ayant du caractère mais celle ci commence à me faire perdre un peu patience quand même ! Tout les artifices que j'avaient utilisés n'avaient eu qu'une efficacité médiocre qui avaient à peine arrachés des petits gémissement à ma captive alors qu'ils auraient dû la rendre folle de désir. Mais que tout me tombe tout cuit dans le bec n'aurait pas été drôle après tout donc je pense que je vais encore m'amuser un peu avec ses nerfs et son esprit déjà bien fragilisé : elle à beau refuser obstinément de prendre mon sexe en bouche, je me sert dudit sexe comme une matraque d'assez belle taille pour gifler l'impertinente succube d'abord sur une joue puis sur l'autre avant de le déposer sur son nez pour qu'elle imprime bien son odeur jusque dans sa cervelle embrumée par la drogue pour l'exciter encore d'avantage !


Cependant, la prisonnière ne semblait pas vouloir devenir consentante sur l'instant et voir son regard partagé entre un désir irrésistible et une farouche résistance me donna envie de la voiler jusqu'à ce que toute trace de conscience s’efface de son visage : je lui broya une nouvelle fois la gorge pour qu'elle ouvre la bouche puis enfonça mon sexe dans ses lèvres ouvertes pour brutalement couper l'air salvateur qui arrivais dans sa bouche. La réaction de la jeune femme piégée fut un gémissement étouffé et un regard qui s'ouvrit en grand sous le coup de la douleur et du manque d'oxygène : elle me jette un regard un peu suppliant mais je continue à lui défoncer l'oesophage avec mon membre dur comme de la pierre sans lui laisser le moindre répit. Je continuai mon brutal va et viens en ignorant les larmes et les soubresauts de ma victime jusqu'à ce que la belle créature perde un instant connaissance sous le coup de ma violence et des mauvais traitements que je lui inflige : une rapide claque sur son postérieur suivi de plusieurs tours de manivelle pour que le jouet malsain se remette en route et je reprends mes va et viens avec juste un peu plus de douceur qu'il y a un instant. Je ressors ensuite brutalement mon sexe de la gorge de ma victime à moitié inconsciente pour le frotter contre ses joues en y étalant de la salive provenant de sa propre bouche puis en le collant une nouvelle fois sous on nez pour qu'elle respire l'odeur masculine de mon sexe.


- Tu en veux encore ? Alors viens le chercher ou supplie moi de te le donner !

Et sur ces mots, je plaçai mon sexe juste hors de portée de la succube de manière à ce qu'elle ne puisse que le lécher si elle en avait envie... Et il me semble qu'à présent c'est le cas !

Mes lèvres toujours aussi close, je refusais de lui offrir ce qu'il attendait de moi. Luxure ou pas, j'étais pas une traînée que l'on pouvait kidnapper, ni abuser de moi à loisir ! Mais une petite voix dans ma tête m'assurait du contraire, tentait de me convaincre de me laisser aller, de me donner envie en faisant naître un brûlant désir en moi ... Ces pilules avaient une efficacité impressionante ! Je meprisais mon ravisseur, et sa verge tendue face à moi, qui réclamait quelques gateries. Et qui me giflait la joue, dominatrice et impatiente ...

Subitement, je sentis ma gorge à nouveau oppressée par une poigne invisible, ce qui me fit suffoquer. Profitant de ce moment de faiblesse, son sexe s'engouffra avec fougue entre mes lèvres, forçant le passage jusque l'embouchure de ma gorge, que son gland frappait en rythme. Et il semblait enragé ! Ses aller et venu frénétiques couplé au manque d'oxygène me firent bien vite tourner de l'oeil, à tel point que je perdis connaissance quelques instants...

Lorsque je rouvris les yeux, non sans difficultés, et repris conscience de ce qu'il se passait, je vis à nouveau cette verge pointer dans ma direction, qu'un fin filet de salive liait encore à mes lèvres. Ma gorge était encore endolorie de ses pénétrations furieuses, mais mes pensées se perdaient dans l'illogisme le plus total. Le plaisir avait repris le dessus, embrumant mon esprits et intensifiant mes sensations. Et bon sang qu'est ce que c'était bon ! Je ne me rendis même pas compte qu'une voix dans ma tête m'intimait de me ressaisir, de ne pas faire ce qu'une brûlante envie me poussait à faire...

- Tu en veux encore ? Alors viens le chercher ou supplie moi de te le donner !

Voir sa verge se balader ainsi, à peine hors de porté de ma bouche, sans pouvoir y goûter, était un supplice .. Je tendais la langue, haletante, tentant de l'effleurer avec la pointe .. Je voulais sentir ce membre dressé coulisser entre mes lèvres, y goûter avec ma langue experte .. Je voulais le sucer, qu'il m'inonde de sa semence orgasmiques .. Un tas d'idée tout à la fois folle et perverses me montaient à la tête, et ça m'excitait terriblement !

" Laisse moi ... Laisse moi y goûter ... "

la succube cédait enfin, son expression se modifia pour ressembler à celle de mon esclave lorsqu’elle était en manque de sexe et se jetait à mes pieds pour que je la viole de toutes mes forces : ce regard vide et fiévreux où on ne pouvait plus lire que du désir, un désir incontrôlable de sexe qui dominait l’âme de la victime tout entière  et l’empêchait de penser à autre chose qu'une grosse bitte. Le regard de la captive plus si involontaire que cela reflétait à présent ce genre d'état et un sourire encore plus pervers qu'avant naquis sur mon visage quand je vis sa langue darder hors de sa bouche en quête de viande fraîche à goûter : elle était quasiment en mon pouvoir à présent, encore quelques coups et son esprit serait soumis au plaisir qui l'inonde à l'instant.

- Laisse moi ... Laisse moi y goûter ... {hrp : faudra que tu me dises quelle couleur tu utilise je la trouve pas dans la barre  }

Je la gifla une nouvelle fois avec mon bâton de chair avant de lui souffler avec colère :

- c'est tout ? Et où est passée ta politesse ?

Je l’empêcha de toucher à mon sexe jusqu'à ce qu'un ''s'il vous plait'' à peine audible (on a encore sa fierté pour ne pas le dire tout haut hein ?) et une fois qu’elle eut dit le mot magique, je lui enfonça mon sexe dans la bouche avec une brutalité aussi grande qu'auparavant pour bien lui faire comprendre que c'est elle l'esclave et non une partenaire classique. Elle joue néanmoins avec sa langue sur toute la longueur de mon sexe durant tout le temps de son viol buccal et la sensation que me procure se léchage pervers à vite raison de ma résistance : je prends sa tête à deux mains et pousse mon sexe le plus profond possible pour balancer ma première giclée de sperme dans le fond de sa gorge. Après m'être assurée qu’elle avale tout (en lui pinçant le nez), je me retire d'elle en m'essuyant avec ses cheveux... Mais voilà qu'un visiteur inconnu se manifeste bruyamment ! Me retournant voilement, je constate qu'il ne s'agit que d'un chien de bonne taille avec une laisse qui pendouille à son cou... Il s'est probablement échappé d'un refuge pour animaux. Mais soudain, La jeune prisonnière gémit de manière sensuelle en remuant les fesses et je remarque que le chien est sensible à ce genre de signal au niveau sexuel...

- Oh mon dieu je viens d'avoir une idée, non deux, non trois ! J'ai une foule d'idée ! Oh que je suis fantastique, démoniaque ! ( Rire démoniaque d'un film très connu sur A&O )

Je m'approche donc du chien qui grogne jusqu'à ce que je lui enlève sa laisse avec douceur (ce qui me vaut un regard curieux du clébard) puis libère la succube pour lui mettre la dite laisse avant de la forcer à marcher à quatre pattes... Comme une chienne !

- Si tu es une chienne au point de prendre ton pied alors qu'on te voile, tu ne devrais avoir aucun mal à baiser avec un chien !

J'éclate de rire quand le molosse, après avoir reniflé la jeune femme, se jette sur elle pour la pénétrer sauvagement... Le meilleur ami de l'homme hein ? C'est on ne peu plus vrai à ce que je vois !

Note : Ma couleur de texte, c'est "orchid" ^^

Il persistait à ne pas me laisser goûter à sa virilité, me fouettant le visage avec, sans que je ne puisse rien faire. À chacune de mes tentatives pour la gober, elle se retrouvait hors de portée, me laissant un amer goût de frustration dans la bouche. Pourquoi ne me laissait-il pas ? Je voulais y goûter, j'en brûlais d'envie ! Je savais au fond de moi que le seul moyen de calmer mon incroyable excitation était de prendre en bouche son sexe. Ou était-ce l'aphrodisiaque qui me faisait perdre la raison ? Je n'en savais rien, et je m'en fichais complètement...

Je la veux ! Donne la moi, je t'en supplie !

Je l'avais presque crié, comme une supplication désespérée. Je crois que j'avais franchi la limite entre santé et folie. Mais qu'importe, il avait fini par glisser son membre entre mes lèvres gourmandes, enfin ... C'était fantastique ! Son énorme pieu allait et venait à une cadence folle dans ma bouche accueillante, tellement rapidement que j'avais du mal à le lécher suffisamment. Mais je faisais de mon mieux, l'enroulant parfois autour de son membre, avant qu'il ne s'échappe pour revenir encore plus furieusement en moi. Son gland butait contre ma gorge étroite, m'arrachant des haut-le-coeur, il était si imposant qu'il m'étouffait littéralement. Mais c'était si bon ... Ses mains agrippèrent fermement mes cheveux, et il repris de plus belle, beaucoup plus fort, beaucoup plus profond, empalant ma tete sur son monstrueux barreau de chair autour duquel je prenais un plaisir fou à jouer avec mes lèvres. Rien d'autre que le bruit humide de ce viol/fellation ne se faisait entendre, pendant encore quelques minutes, jusqu'à ce que sa semence ne se déverse par abondante giclée au fond de ma gorge. Il n'avait pas hésiter à jouir directement dans ma bouche .. Mais je n'allais pas m'en plaindre. Cette texture, cette saveur.. c'était délicieux !

J'entendis des aboiements, derriere moi. Un chien, ici ? Bon sang ! Mon sang ne fit qu'un tour, bouillonnant, ma chatte sécrétant toujours plus de cyprine. Ça me rendait follement excitée, rien que d'y penser. J'avais envie, encore et toujours envie ... et la ce que je voulais, c'était de sentir ses coups de boutoirs se déchainer au plus profond de moi... Il lui prit la laisse et me l'attacha au cou, et cela ne me choquait meme pas. Je n'étais qu'une chienne, perverse et insatiable, après tout... D'ailleurs, je fut bientôt forcée à me mettre à quatre pattes, par l'homme qui tenait ma laisse. Le chien s'approcha derriere moi, me renifla la croupe. C'était si excitant de sentir son museau frôler mon intimité comme ça ! Je lui caressais le haut de la tete, l'encourageant à suivre ce que son instant lui dictait. Et je n’eus pas à attendre longtemps avant de sentir sa longue verge se frayer un chemin entre mes lèvres intimes, m'arrachant un vif cri de plaisir. Bon sang ! J'étais en train de me faire violer par un chien devant cet inconnu qui ricanait, amusé par la situation, et je ne faisais rien pour résister. Le plaisir m'avait rendu folle...

- ah ah ah ! regardes toi : gémir de plaisir alors qu'un chien te ramones impitoyablement et tu te prétends succube ?! Laisse moi rire ! Tu n'es qu'une chienne en chaleur qui prends son pieds en toute situation ! Pas vrai médor ?

Le molosse ne m'accorda évidemment pas la moindre attention en préférant plutôt transpercer la succube de sa verge rouge et gonflée qui semble déjà être prête à balancer sa semence dans le vagin de la petite chienne frémissante de plaisir. Quand même amusé par cette situation, je ne remarque pas tout de suite que plusieurs personnes se sont regroupés à l'entrée de l'allée sombre : l'un d'entre eux semble être plus excité que les autres car il s'approche de moi et dit d'une voix où pointe l'excitation :

- hey mon pote, elle est à toi la donzelle ? Putain elle est super chaude pour se laisser faire par un clébard ! On peut aussi en profiter moi et mes gars ? On te paiera promis : elle est bien plus jolie que les thons des tavernes du coin alors on aimerait bien se la taper tu comprends ?

Bien entendu que je comprends et j'apprécie même l'idée : combien d'homme ma petite esclave peut elle satisfaire avant de s'évanouir ? un défi intéressant !

- Bien mes amis, je vous fait le prix de une pièce d'argent par homme : temps illimité et vous pouvez prendre le trou que vous voulez mais prenez garde à ne pas la blesser ou sinon je vous tue... C'est plutôt honnête non ? Par contre faudra attendre que mon molosse termine son tour car il était là avant et c'est premier arrivé premier servi !

Les hommes éclatent en rire grivois et commencent à se masturber en attendant que le clébard finisse ce qui ne prends pas longtemps : les hommes le bouscule et il s'enfuit pour se poser à mes pieds comme si il me reconnaissait pour maître.

Les hommes se disputèrent le corps de la captive avant de se décider pour une double pénétration suivie d'une fellation forcée pour étouffer les gémissements et s'amuser avec elle... Pour longtemps...

- ah ah ah ! regardes toi : gémir de plaisir alors qu'un chien te ramones impitoyablement et tu te prétends succube ?! Laisse moi rire ! Tu n'es qu'une chienne en chaleur qui prends son pieds en toute situation ! Pas vrai médor ?

Il avait raison, j'en avais parfaitement conscience, j'avais perdu toute décence. Je n'étais qu'une chienne avide de plaisir ... mais bon sang, qu'est ce que c'était bon ! Cette verge canine me défonçait à un rythme hallucinant, étirant et stimulant les parois de mon intimité à chacun de ses coups frénétiques. La violence de nos ébats me fit perdre l'équilibre, et je me retrouvais sur les coudes, une joues à terre, la croupe relevée et offerte au bon soin du chien qui ne se privait pas pour me pénétrer avec une frénésie animale. Le bruit de nos peaux claquant vivement et de mes cris de jouissance résonnaient dans la ruelle et devenaient un concert de sons qui m'excitait davantage. J'avais l'impression que chacun de ses coups me faisait décoller du sol, que je m'envolais pour le septième ciel .. à moins que je n'y soit déjà ? J'avais perdue toute lucidité, devenue folle du plaisir que ce chien me donnait. Je ne remarquais même pas le groupe d'homme qui venait d'arriver, et me regardait me faire empaler par un chien et en hurler de plaisir.

Malheureusement, la séance fut de courte durée, et l'animal finit par inonder mon orifice de sa semence, qui jaillit avec force jusqu'au fin fond de mon intimité. Il retira sa verge de là et s'en alla, me laissant à quatre pattes sur le sol, frustrée et encore insatisfaite. C'est à ce moment là que je vis les trois hommes qui se tenaient maintenant autour de moi, leurs membres déjà dégainés entre leurs mains. Je fut ravi de constater que ce n'était pas encore fini et que j'allais pouvoir faire durer le plaisir encore bien longtemps. Ce sera sans doute long d'épuiser l'endurance de trois vigoureux mâles, mais ce n'était pas la motivation qui me manquait.

Contente de voir que la relève est arrivée !
Voyons, par qui est-ce que je vais bien commencer ...

Une question simple, en réalité, et la réponse était tout aussi simple : ce sera les trois en même temps ♥. Un sourire malicieux et pervers sur le visage, je m'avançais vers la première verge tendue que je voyais et posais doucement ma bouche dessus, sur son extrémité. Puis mes lèvres descendirent calmement tout le long de sa hampe, englobant entièrement son sexe dans ma bouche, avant de suivre le chemin en sens inverse, en en profitant pour le lécher avec soin. Je laissais ensuite l'un des hommes s'installer en dessous de moi, satisfaite de savoir que mon intimité bouillonnante n'allait plus tarder à être de nouveau comblé. Il me souleva sans difficulté et m'empala littéralement sur son épée de chair, avec une force qui m'arracha un puissant cri de plaisir, et il n'attendit pas avant de poursuivre, commençant tout de suite à me pénétrer férocement, fou d'impatience. C'était géniale !

Le troisième homme ne se contenta pas de rester inactif, et il introduisit sans ménagement son sexe entre mes fesses, presque simultanément avec le premier qui s'empara de ma tête pour la glisser sur son membre. Je venais de me faire prendre en étau par deux beaux membres viriles, j'en criais mais je ne pouvais pas. Mes gémissements étaient étouffés, des gémissements de pur plaisir, provoqués par les deux étalons qui pilonnaient mes deux orifices en même temps. Le plaisir était intense, et me rendait dingue ! Peut m'importait que ce soit des inconnus qui s'occupaient ainsi de moi, j'adorais ça ! Un sexe toujours en bouche, mes lèvres coulissaient tout seuls dessus, mon corps balloté par les coups de reins furieux des deux hommes. Ma langue aussi s'agitait, avide et gourmande, caressant fougueusement son gland, et la hampe de chair qui le supportait. Je m'efforçais de me concentrer dessus, mais la situation rendait cela difficile. Le plaisir me faisait bien vite tourner la tête, et j'en devenais folle, c'était une sensation tellement délicieuse !