Le sport c'est la santé [La troupe de Luxuria]

Un bruit se fit entendre dans le gymnase, ce n'était rien d'autre que la sonorité de la paume de ma main touchant avec une certaine puissance le cheval d'arçon, travailler ce corps n'est pas sans poser certains problème, car en plus de réguler sa consommation pour manger sainement et apporter le moins de gras possible au corps, il faut pratiquer un sport, le plus souvent il s'agit de la natation, mais aujourd'hui il y avait trop de monde.

D'où mon choix pour profiter un peu du complexe construit pour les élèves, j'aurais put out aussi bien faire mes exercices à l'extérieur, mais je n'aime pas être dérangé quand je fais mon sport et puis l'intérieur offrait la certitude qu'en cas de pluie je ne serais pas trempé.

Je fis une chandelle, pouvant voir que l'ongle de mon auriculaire aurait certainement besoin d'une petite séance de manucure pour égaliser avec les autres de la main.

Après le cheval d'arçon je me mis à entamer les barres parallèles, c'est l’outil le plus amusant dans ce complexe, car on peut faire de splendide figure, ce qui est encore plus marrant quand la personne le plus froide l’exécute.

Les exercices s'enchainèrent pendant environ trois heures, je dis environ trois heures, car la pendule du gymnase avait vraiment un soucis de pile. Avec un pas rapide, je me dirige vers les douches, il n'y a rien de mieux qu'une bonne douche chaude après un effort physique intense.

Vint l'habillage, bien sur je porte toujours une serviette enroulé autour de la tête, pour sécher mes cheveux et me permettre de m'habiller, j'enfile une culotte noire, un corset noir avec quelques ligne rouge, ce qui affinera un peu ma taille, bien que je ne sois pas obligé d'en porter vu mes proportions tout à fait acceptable pour une femme. Après vient des la robe, ayant un style de duchesse allant du noir au jaune avec quelques dégradés, cela grossit un peu mes formes, mais est tout à fait idéale pour dissimuler la hauteur de mon bassin.

Vint les escarpins noire Une vraie torture à mettre et supporter, par chance j'avais prit l'habitude, même si marcher avec des talons ce n'est pas aisé. Puis autour du cou un collier et des boucles d'oreilles avec une pierre turquoise, autant dire que tout ce set m'avais couté assez cher. Je mis sur le côté gauche une barrette avec deux roses jaunes.

Un petit coups de far à paupière, un peu de rouge à lèvre et autres produit de maquillage, sauf le mascara, je ne supporte pas ce truc et me voilà vint près pour aller au rendez-vous qu'une jeune lycéenne m'avait fixé.

J’aurais put tout aussi bien la poser un lapin, mais pourquoi refuser d'y aller et de rater l'expression de son visage larmoyant sous le refus de sa demande et la voir partir à toute jambes, pour le lendemains m'éviter ou faire comme si rien ne c'était passé.

Le rendez-vous était à proximité du gymnase, je ne connaissais pas bien ce lieux, je me mis à emprunter une petite rue assez étroite et mal éclairé. Bon sang, elle n'aurait pas put choisir un autre endroit, comme le parc par exemple, il y a nombre de fille qui sont coincée dans leurs idées de romances, celle-si visiblement cherchait un coin tranquille , sans doute une cruche timide qui pensait pouvoir arriver à me confesser son "amour" pour moi dans une endroit aussi glauque.

Le bruit de mes escarpins résonnaient de manière inquiétant, vous savez dans ce genre de film où un violeur sort de nulle part et agresse le jeune fille, aucune chance que cela m'arrive, je suis bien trop intelligent pour me faire avoir.

Je vis enfin l'endroit où était prévue le rendez-vous, il s'agissait d'une rue un peu plus éclairé où était un distributeur de boisson, une petite fontaine d'eau pour ceux qui ne supportent pas le soda ou les boisson énergisante et une cabine téléphonique, ce dernier élément m'aidera à appeler un taxi si cette lycéenne ne venait pas.

Je devais avoir dix minutes d'avance. J'en profite pour relire la lettre :

* Un cachet en forme de coeur *

Pourrais-tu m'attendre près de la cabine téléphonique se situant dans la rue des Primevère à 22 H. J'ai quelques choses d'important à te dire.

Haya Minase

C'était une lettre banale, certaine avait fait beaucoup mieux pour tenter de me séduire, comme toute els autres, elle allait devoir apprendre la souffrance  d'un refus et ce pour mon propre plaisir.

La troupe Luxuria s'ennuyait ferme, à force de violer, leurs exigences ont augmentés alors qu'ils s'en rendaient même pas compte. Les supérieurs se réunirent car les troupes risquaient de se rebeller si on les laissait trop longtemps sans amusement. Les supérieurs devait vite trouver quelque chose ne serait-ce que pour calmer les légionnaires pour quelques temps mais le fait que pas mal d'entre eux avait une mauvaise réputation ne les aidaient pas vraiment et seul Nikusuke avait encore son travail de prof de sport.

Celui-çi chercha mais il était connu pour être peu prêteurs et lorsqu'il s'accaparait quelqu'un il avait du mal à partager avec la troupe. Mais alors qu'il donnait son cours habituellement, il posa les yeux sur une ravissante jeune fille mais après quelques renseignement, il apprit que c'était un garçon, cela lui trotta quelques jours dans la tête mais c'était peut-être ça ce dont ils avaient besoin, un peu de nouveau.

Nikusuke en parla avec les autres supérieurs. Alors Donny Bogan décida de confier le plan à Nikusuke qui écrivit une lettre d'amour et la glissa dans le casier de Fela en lui donnant rendez-vous. Le soir de la rencontre, Donny Bogan se cacha dans un coin de rue avec une seringue remplie de tranquillisant qu'il n'eut aucun mal à préparer étant un ancien médecin de l'armée. Nikusuke arriva face à Felagund lorsqu'elle arriva pour la distraire et Donny se dépécha alors de l'endormir. Ils l'emmenèrent dans une maison abandonné avant de l'attacher sur une croix de st-Jean entièrement nu mais gardant ses escarpins. Toute la légion se mit autour de lui avant de se déshabiller en attendant son réveil.

Je me mis à attendre, encore et encore, quand enfin un mouvement arriva en face de moi, je ne vous dis pas ma surprise en voyant un professeur de sport que je ne connaissais que de réputation un véritable tirant quand il s'agit de faire des tours de terrains ou des pompes, sans parler de certaines rumeurs le désignant comme un véritable pervers sans foi ni loi, qui matait les lycéennes dans leurs douches.

- Nikusuke-senseï, que faites vous ici si ...

Je n’eus pas le temps de comprendre, une sensation de piqure se fit sentir sur ma nuque ma faisant pousser un petit cris de surprise. Aussitôt, je fis volte-face, tenant de ma main droite l'endroit où on m'avait piqué, mais très vite j'eus une horrible sensation de vertige et de faiblesse. Je me mis à courir pour éviter à ses malades de me faire quoi que ses soit, seulement le paysages tanguait tellement que très vite je fis un faux pas, me faisant tomber, petit à petit mes paupières furent lourde, je ne put entendre ce que disait ses deux personnes, cela ressemblait à des grésillements, j'avais lu quelques part ce genre d'effet, mais n'eus pas le temps de trouver le nom du produit que déjà j'étaie dans un sommeil artificiel.

Mon réveil se fit violent, ma vue était trop floue pour discerner efficacement mon environnement, il y avait des bougies ou était-ce des lumières, je ne sais pas, je tente de me déplacer et me rend compte qu'une résistance est présente au niveau de mes poignets et de mes chevilles.

Si ma vue n'était pas formidable pour l'instant, je sentais des odeurs qui ne me plaisaient guère, une odeur de crasse, mais aussi de linge sale, sans parler d'autre chose que je ne pouvais encore identifier.

Très vite ma vue devint clair et je compris rapidement ce qui m’était arrivé, j'avais été piégé comme un abruti, je ne vis ni le professeur, ni l'autre gars qui m'avais injecté un tranquillisant. Tout était clair pour moi, ils avaient planifié tout cela, en temps normal j'aurais ris à leurs nez, mais dans cette situation je n'avais pas le loisir de rire.

- Si vous me détachez, je vous donnerais plus d'or que vous ne pouvez imaginer. J'ai largement de quoi racheter toute une ville.

Tout être un brin avare ou cherchant la richesse allait certainement trouver mon offre intéressante, restait à savoir si ses hommes étaient des être cupides ou non.

Parler me permettait d'oublier un vent frais caresser mon corps dénudé, ce qui était désagréable.

Les violeurs observait leur hote se réveiller lentement tandis que certains se masturbait déjà en attendant que le vrai spectacle commence. Le jeune élève semblait un peu paniquer, ce qui est tout à fait normal lorsque l'on se réveille attaché et nu face à une foule de malades crasseux et nauséabond. Le garçon essaya d'acheter la troupe mais ceux-ci se mirent à rire.

"J'ai une meilleure idée, on va te violer jusqu'au bord de la mort et lorsque l'on en aura fini avec toi, on te torturera jusqu'à ce que tu nous paye pour t'achever, qu'en dis-tu?"

Un homme arriva face à la croix avec deux de ses compères fortement musclés et ils détachèrent les jambes de Fela en les tenant fortement avant de les lever offrant ainsi l'anus du jeune homme au vieux pervers qui carressa le rectum du bout de son gland avant de l'enfoncer d'un coup sec, il fit de lourds va-et-viens et après quelques minutes il se vida  car ils n'était pas vraiment connu pour leurs endurance mais récupérait très vite et alors qu'un autre allait prendre sa place, Shizaku intervint.

"Allons messieurs, calmons-nous messieurs, vous êtes si pressés, un peu de romantisme ,ne fais de mal à personne. Que faites-vous des préliminaires?"

Tout les pervers rirent à s'en décrocher la mâchoire avant de regarder leur victime d'un air sadique, ils réattachèrent ses pieds avant de mettre la croix à terre puis il lui mirent un tuyau et un entonnoir normalement déstinés à la bière dans les fêtes d'adolescents dans la bouche tout en collant du scotch sur la bouche de Fela pour empécher tout ce qui rentrait de sortir et finalement, les porcs pissèrent à tour de rôle dans l'entonnoir.

"Bois la bonne pisse de tes maîtres chiennes."

L'homme qui répliqua ceci écrasa en même temps de son pied les testicules du garçon.   

"J'ai une meilleure idée, on va te violer jusqu'au bord de la mort et lorsque l'on en aura fini avec toi, on te torturera jusqu’à ce que tu nous paye pour t'achever, qu'en dis-tu?"

Manque de chance pour eux, cette situation me rappelait un peu une autre dans mon enfance, un kidnapping que la personne qui m'a sous tutelle n'avait visiblement pas du tout prévue, une chance que les servantes sont venue rapidement, mais la il était clair qu'elles allaient tarder. J'allais tout faire pour ne pas que cette situation ne recommence pas, même si dans la situation actuelle j’étaie dans la panade.

Je fis une tentative pour mettre un coups d'escarpin dans la tronche d'un de ses types, mais ils ont une sacre poigne ses lourdeaux, s'en était assez surprenant, les lycéens sont si faibles que ça ? Quoi qu'il en soit je vis le vieux jouer avec mon cul, approchant son membre pour visiblement me sodomiser.

- Ose faire çà et je te  ... mfff.

La menace ne fit pas l'effet désirée, c'est a croire qu'ils s'en fiche que je puisse avec mon argent payer une armée de mercenaire pour les abattre un par un, même si par pur sadisme je leurs ferrais payer ça de mes propres mains, c'est toujours plus amusant de préparer sa vengeance. Le vieux laboura mes entrailles sans ménagement, étant extrêmement douloureux car sans un quelconque lubrifiant, ne pouvant qu'attendre qu'il finisse son travail, non sans opposer de la résistance en ralentissant au maximum ses tentatives. Il finit par se décharger en moi, mon visage devint rouge de honte, je pouvais sentir le liquide chaud se promener dans mes tripes. S'il avait continue encore cinq minutes j'aurais sans doute lâche aussi.

Un autre allait prendre la releve quand une voix inconnue se fit entendre.

"Allons messieurs, calmons-nous messieurs, vous êtes si presses, un peu de romantisme ,ne fais de mal a personne. Que faites-vous des préliminaires?"

- Allez vous faire voir avec vos trucs, je vous ferrais payer cher cet affront que vous me faites.

Ce fus la dernière parole que je put formuler, car peu après ils m’enfoncèrent sans ménagement un tuyau, cela me rappelait les trucs que l'on vous mets dans la trachée pour respirer, vous savez l'appareil d'aide respiratoire dans les hôpitaux. S'ils ne pouvaient pas voir, je sentais a ce moment le liquide dans mes fesses ressortir petit a petit, je me faisais passer pour quelqu'un de calme, mais en vérité je commençais a sentir la peur s'insinuer dans mes veines. De mauvais souvenirs refirent leurs apparitions comme si j'en avais pas déjà assez a l'heure actuelle.

Ce que je vis me dégoute, bloquant immédiatement ma respiration et contractant ma gorge pour que rien ne puisse passer, ils voulaient me faire boire leurs ... ça. Je n'aurais jamais imaginez pire chose, il était sur que cela allait me faire gerber, aussi je fis mon possible pour lutter. Plus je luttais, plus l’entonnoir se remplissait, fournissant davantage de pression sur ma bouche, respirer devint un problème car l'odeur était déjà présent, sans parler de cet envie de déglutir, ce qui se serait solde par boire ce truc.

"Bois la bonne pisse de tes maitres chiennes."

Je ne pouvais pas répliquer et j'avais d'autre chats a fouetter pour l'instant, c'est alors que je sentis un pied appuyer sur  mes boules, ce qui me fis poussez un cris, seulement à se moment la concentration n'était plus là et une gorgée passa, ce fut un enfer, à chaque gorgées venait l'envie de rendre tout ce qui était dans mon estomac, mais le liquide était en trop grande quantité pour que je puisse le recracher, cela semblait les faire rire de me voir me débattre, quoi qu'il en soit je réussi à renverser l'entonnoir sur le côté, me permettant de tousser et recracher le peu qui restait dans ma bouche, c’était tellement dégueulasse.

Ils n'en avaient pas finit, j'en était sûr, mon corps tremblait, avais-je peur ? Oui, j'étaie même terrifié, cela me rappelait bien la période où je fus vendu dans un bordel et que des hommes comme eux faisaient la queue pour s'amuser avec moi, cette situation n'était pas différente, si ce n'est que ses gens semblaient encore plus tarés, je faisais de mon mieux pour en pas montrer ma peur, essayant de retenir des larmes.

Fela réussit à repousser l'entonnoir sur le côté, ceux qui attendaient leur tour pour uriner, lui pissèrent alors dessus  et plus précisément sur son visage avant qu'un des types ne le gifle fermement.

"Espèce de sale petite ordure regarde donc toute notre précieuse urine que tu as gaspillé!"

Puis il lui cracha au visage. Un autre type arriva et mit la tête de la victime en arrière avant de lui enfoncer son pénis dont le gland était couvert d'urine et de smegma dans la bouche jusqu'à la gorge puis il fit de violents mouvements de va-et-viens en lui serrant la gorge des ses deux mains pour le faire suffoquer.

"Ah, on a oublié le papier cul mais ta langue fera parfaitement l'affaire, tu as de la chance, ça fait un mois que je me suis pas lavé."

L'homme se mit à rire. Un autre type arriva et mit un doigt dans l'anus de Fela puis deux et enfin la main entière et il alla chercher la prostate du jeune homme avec laquelle il s'amusa puis il sortit de sa main gauche une fine métallique se trouvant dans son slip crasseux avant de faire des va-et-viens avec dans l'urètre du garçon tout en lui léchant les testicules. D'un coup on en entendit un bruit de coup, c'était quelques membres de la troupe qui s'amusait à taper Felagund à coup de pieds dans les côtes et d'autres légionnaires ne pouvant attendre commençait à se masturber avec les pieds du soumis tandis que deux autres l’obligeaient à fermer ses doigts sur leurs pénis en érection avant d'utiliser ses mains pour se branler.