Undisclosed Desires | PV Mach

Encore de la pluie aujourd’hui ?

Malette de cuire en main… Et tenu au dessus de la tête, la psychologue courait vers la porte d’entrée du commissariat, ne voulant pas être plus trempée qu’elle ne l’était déjà.  Tout de suite en entrant, l’odeur quelque peu cramoisie du café planait dans l’air, se mêlant aux produits ménager, mais l’ambiance stressante y était également… Dylan agita sa mallette, l’égouttant un peu avant d’arranger ses cheveux, partiellement humecté. Habillée d’une jupe tailleur noir qui moulait ses hanches, d’une veste en cuir couvrant son chemisier blanc, assez ample, elle était restée assez sec de ce côté. Ses lunettes avaient quelque goûte qui perlait sur les verres, mais après un rapide coup de chiffon, ils étaient maintenant secs et laissa la jeune femme voir mieux ce qui l’entourait. La réception se trouvait juste en face d’elle, mais avant qu’elle ne puisse s’annoncer, un homme vêtu d’un uniforme vint à sa rencontre. Ce n’était pas la première fois qu’elle le voyait, ayant souvent eut affaire avec lui pour rencontrer des cas, soit des soldats ou policiers et parmi toutes ces consultations, ce fut rarement la joie…

Après avoir salué l’homme en uniforme, il l’invita vers la pièce où elle aura sa rencontre. Ce n’était jamais sûr, mais la jeune femme tenait quand même à rencontrer ses patients seul à seul. Les personnes travaillant dans ce service la trouvaient courageuse, étant donner des cas parfois violent, mais la jeune femme ne précisait simplement pas que cela l’inquiétait énormément, sauf du fait qu’elle suivait son travail à la lettre. D’une démarche calme et ferme, elle suivit l’officier jusque dans un bureau où une table et deux tabourets s’y trouvait. Après avoir enlever son manteau, elle feuilleta son dossier jusqu’à ce que son patient se présente…

Mach n’avait pas eu de chances quelques jours plus tôt. En effet, après de long mois tranquille, ou des flics particulièrement idiots, le mercenaire en cavale avait été arête dans un bar, un soir où il comptait se reposer tranquillement. D’ailleurs, il n’avait pas vu le coup venir, ou s’était trop relâché, habitué à ce que les simples agents passent à côté de lui en l’ignorant. En tout cas, le jeune homme n’avait pas fui, et n’eut que peu de temps pour se débattre et donc tenter de s’échapper. Mais, une fois au commissariat, il s’était montré assez calme. Puisqu’après tout, qu’avaient ils contre lui ? Sans doute pas grand chose à part la désertion militaire.  Ainsi, il devait sans doute attendre le transfert de la police militaire pour voir véritablement une sanction tombée.

Mais, pendant ce temps, même si on ne le dépouilla pas de ses vêtements, tout le reste lui fut retiré. Naturellement ses armes furent trouvées, et Mach avait simplement répondu qu’il avait un permis d’armes. Droit que les policiers trouvèrent bien vite dans le portefeuille de l’homme. Ainsi, ils venaient de louper une mise en accusation bien pratique. Et donc, arme, papiers, cigarettes, etc…. ne tardèrent pas à rejoindre les consignes et le jeune homme mit en cellules Combien de temps passa exactement, il ne le sut pas, même s’il put estimer au moins quelques jours.

Puis, un matin, alors qu’il somnolait tranquillement dans sa cellule, allongé sur sa couchette, un agent vint faire tinter les barreaux, laissant Mach tourner l tête pour le regarder et annoncer qu’il avait de la visite. Ce qui sembla surprendre le jeune homme qui n’avait pas de famille. Ainsi, il se demandait ce que cela pouvait être. Mais, l’agent lui expliqua dans les couloirs, après lui avoir menotté les mains, sans que l’homme ne se débâte. Il allait donc rencontrer une psychologue, et il se demandait bien pourquoi ? Quel intérêt les policiers avaient-ils à lui faire passer ce genre d’examen ? Cependant, il ne demanda rien à l’agent, et resta silencieux.

On le fit entrer dans une salle d’interrogatoire, comme il en avait déjà visité à son arrivée, et le psychologue était déjà là. D’ailleurs, il s’agissait d’une jeune femme, et plutôt jolie d’ailleurs pensa Mach, alors qu’il s’installait, hochant la tête pour dire bonjour silencieusement. Il posa alors ses mains sur la table, sans montrer de signes de tensions, n’y cherchant à insister sur le fait qu’on lui lève les menottes. Choses qu’on lui refuserait sans doute surement. Il posa alors de nouveau le regard sur la jeune femme, se disant que elle devait vouloir faire ses preuves, et à la sortie de l’école, les cas policiers étaient un parfais sujet pour obtenir une réputation, et au moins se faire la main. Même si dans le fond, il n’en avait que faire, et attendait simplement de voir ce que la demoiselle lui voulait.

Pendant qu’elle fouillait dans le dossier de l’homme, rien ne montrait de signe d'inquiétude, pas d'antécédent de maladie mentale...

Cependant, elle s'inquiétait encore, songeant qu'une personne grossier ou encore violent allait se présentait devant elle. Tellement elle était nerveuse, qu'elle sursauta lorsqu'on ouvrit porte dans un grincement... Après un long soupire, elle regarda l'agent emmener un détenu. Donc, c'était ça ? Un détenu ? C'est vrai qu'elle en rencontrait aussi et elle devait avouer que c'était loin d'être ses préférés. D'abords un air neutre traversa le visage de la jeune femme et répondit au signe de tête que son patient venait de lui faire. Bon, annonce prometteur, mais la jeune psy resta méfiante. Une fois assis, elle considéra un peu mieux le visage du prisonnier, à première vue assez beau gosse, peut-être assez pour s'intéresser à lui... Dans d'autre circonstance...

Dylan se fit plus chaleureux, du moins elle tentait. Sauf que contrairement à elle, son patient était très calme, se contentant de garder les mains menottées devant lui en attendant la suite. Elle, jouait avec son crayon démontrant là un léger signe de tensions, mais elle s'arrêta net quand l'agent sortit de la pièce, les laissant seuls pour un bon moment...

« Bonjour... Vous allez bien ? »

Les mots sortaient par elle-même et Dylan sentait que cette question était tout à fait stupide pour un moment pareil. Elle hésita à se rattraper, mais elle risquerait de paraître plus idiote après ça.. Enfin bon... C'était trop tard.

« On m'a demander de vous évaluer en faite...» Fit-elle en sortant quelques feuilles pour prendre des notes. « Parlez moi de votre travail... Qu'est-ce qui vous a motivé à faire ce boulot ? »

Et bang ! Question directe, mais la jeune femme avait besoin de se dégourdir pour ne pas se mettre à trembler nerveusement. Elle devait se reprendre et rapidement.

Mach s’était donc laissé emmener tranquillement dans la cellule d’interrogatoire, sans savoir réellement ce qui l’attendait. Enfin, quand il vit la jeune femme, qui n’était clairement pas un agent de police, il en eut tout de même une vague idée. En effet, cela devait être un test psychologique qu’ls devaient faire passer à tout le monde. Le prisonnier ne put s’empêcher d’esquisser un sourire amusé lorsque la demoiselle sursauta alors qu’il enterait dans la pièce. Avait elle peur de lui ou était ce simplement la surprise soudaine de la porte qui s’ouvre ? Quoi qu’il en fut, il la salua d’un geste de tête, qu’elle lui rendit alors  qu’on l’installait sur son tabouret.

En tout cas, la jeune femme était plutôt jolie, et il ne la quittait pas des yeux, sans montrer aucuns signes de stress. Lors que cela ne semblait pas être parfaitement le cas pour la jeune femme remarqua t il alors qu’il baissa le regard un instant sur ses mains pour la voir jouer avec son crayon. Sinon, l’agent ne sembla pas soucieux de lui lever les menottes, et vu l’attitude de la demoiselle, elle ne lui demanderait sans doute pas. Si bien qu’il les avait toujours aux poignets quand le gardien les laissa seuls. La psychologue avait d’ailleurs attendu, surement volontairement, que cela fusse le cas pour prendre la parole avec une question banale.

- Moi très bien. Par contre, vous vous semblez mal à l’aise !

Dit-il en levant les mains, jointes par les menottes pour indiquer ses gestes avec le crayon avant qu’il ne les repose sagement sur la table. Ce qui provoqua un léger bruit métallique entre ses entraves, et ce sur quoi il s’appuyait. Mais, cela ne sembla pas rassurer davantage la jeune femme qui commença à lui poser des questions bien directes, mais avec une voix suffisamment hésitante, pour montrer son malaise. Mach se demanda d’ailleurs s’il devait répondre franchement ou non et sourit affectueusement  voir un côté un peu charmeur.

- Je doute qu’une si jolie femme ait envie d’entendre ce qu’un criminel, si on peut me considérer ainsi, a à dire sur ses activités…..

Dit-il calmement, avant de détourner son regard de la demoiselle un léger instant pour le poser sur une vitre miroir. Il se doutait que cette dernière était surement sans teint, et qu’au moins un inspecteur devait se trouver derrière à les écouter. Ce dernier aurait sans doute comprit que Mach le savait, et donc que ce dernier tiendrait sans doute sa langue.

- D’ailleurs, je doute que cela soit vraiment quelque chose d’intéressant à entendre…

Poursuivit-il alors qu’il se doutait bien que la profession qu’exerçait Mach était déjà connue des services de polices.  Surtout que pur porter une arme, il n’y avait pas énormément de possibilités réalistes, surtout quand on l’associe au physique du jeune homme, et à sa faon de faire les choses.

La nervosité monta d’un cran lorsqu’il lui fit remarquer qu’elle paraissait mal à l’aise. Elle hocha négativement de la tête en murmurant un « non, non… » qui laissait croire qu’elle-même n’était pas convaincue de cette réponse. Le bruit métallique de ses poignets imitant son geste nerveux de tout à l’heure, fit naître une sensation se rapprochant à une baisse d’estime envers sa propre personne. Il va falloir qu’elle se rattrape et vite… Cependant, son regard ne quitta pas celui du jeune homme devant elle, assez attrayant, il fallait qu’elle avoue, mais elle n’aimait pas l’espèce d’air charmeur que prenait son patient du moment car ses joues se mirent à rougir…

Devant le refus de parler de son travail, Dylan essaya de rester calme contre tout-attende et analysa l’une de ses phrases. Il ne se considérait pas comme un criminel ? Elle resta silencieuse, se reprenant doucement de sa rougeur et de ses tics nerveux et observa le comportement de son patient. Il avait remarqué le miroir, donc très certainement, il y avait des gens qui le surveillaient derrière… Ça risquerait d’empêcher la jeune femme d’avoir à faire avec un Mach plus sérieux...

« Je suis certaine que oui… Allez-y ! Je suis là pour ça…   

Si elle n’avait pas ce qu’il lui faut, elle devra sans doute prendre les grands moyens… Mais lesquelles ? Décidément, cet homme lui donnait du fil à retordre avec ces airs de séducteur.

« Tout à l’heure, je cru comprendre que vous ne vous considériez pas comme un criminel… »

La jeune femme voulu nier son malaise, mais, sa réponse gestuelle et orle était loin d’être convaincante, et laissèrent le sourire amusé de Mach sur ses lèvres, alors qu’il répondait sans répondre à la demoiselle. En effet, il n’était pas assez idiot pour déballer comme çà ses petits secrets, en sachant que les inspecteurs ne devaient pas en louper une mettre.  En tout cas, la psy semblait rougir du compliment qu’il lui fit, mais tenta de l’ignorer en reprenant son questionnement.

- Faut pas rougir comme cela pour un compliment, aussi vrai soit il ! Mais, d’un côté cela vous rends encore plus attirante….

Dit-il  en finissant sa prise de parole par un nouveau sourire.  Nul doute que cela risquait de gêner la demoiselle, mais d’un certains côté, s’était le but, puisque plus elle serait déstabilisé, plus, il serait tranquille sur les questions personnelles à son égards.

- Mais, pour en revenir à votre remarque… Ma vie n’a rien de plus palpitant qu’une autre. J’ai simplement fait mes choix comme vous les votre….

Répondit-il calmement, souriant toujours, alors que les policiers dissimulaient devaient bien s’impatienter dans leur petite pièce obscure  pour ne pas se montrer. Il s’en amusait en quelque sorte, mais ne montrait aucun signe d’agressivité, puisque ses mains posées sur la table, jointent l’une à l’autre, étaient toujours entravées par les menottes.

- D’ailleurs, on vous demande à vous pourquoi avoir choisi la psychologie, et venir s’occuper des prisonnier alors que beaucoup de gens sont dehors et en ont peut être plus besoin ?

Poursuivit-il alors en posant une nouvelle question à la doctoresse. Si bien que d’une certaine façon, on pourrait même penser que s’était lui qui menait le bal dans la pièce, alors que cela aurait du être la jeune femme.

Elle hoqueta alors qu’il la heurtait encore avec ses remarques, encore plus gênante que les compliments.... Ses joues malgré elle, rougissaient à vu d’œil. Désappointée de sa personne, elle tapa doucement la page toujours vierge de son cahier contre son front en soupirant. Mach continuait de parler, sans pour autant répondre à sa question. En dépit de ça, elle regarda à nouveau son patient, reposant son carnet sur table. Pour le moment, elle était déstabilisée et elle essayait de se calmer avant de pouvoir faire quoique ce soit, mais ce sera difficile de se reprendre, surtout après son attitude dépouillée d’assurance. Il avait réussit à lui faire comprendre d’un simple sourire qu’elle avait perdu le contrôle depuis le début… Cela la mit en colère…

Il lui retourna la question, ce qui énerva un peu plus la jeune femme, bloqué avec un air neutre, regardant Mach sans brocher. La rougeur de ses joues s’évapore doucement, maintenant qu’elle était vexée. Elle se rendit bien vite compte qu’elle n’avait pas dit un seul mot depuis plusieurs minutes et elle décida de répondre à sa question d’une voix calme et posé.

« Non, on ne me l’a jamais fait… Excusez-moi. » Fit-elle en se levant et s’en alla vers la sortie. La porte se ferma dans un éclat de bois, laissant voir la frustration grandissante de la jeune femme. Mach aurait pu croire qu’elle était partit pour de bon, mais ses effets étaient encore dans la pièce, à moins qu’elle ne soit complètement sotte pour les avoir oublié…

Néanmoins, cinq minutes plus tard, elle revint, fermant la porte derrière elle et s’appuya dessus quelques secondes… Son visage était un peu plus serein, même qu’un mince sourire se courba à ses lèvres. Après avoir échangé un long regard énigmatique avec Mach, elle s’approcha de la table et au lieu de s’assoir sur sa chaise, elle avança encore, tel une féline face à sa proie. Elle était déterminée à reprendre la situation en main de toute les manières que ce soit…

« Maintenant que nous sommes réellement seuls, il serait temps de passé aux choses sérieuses… » Durant ces cinq minutes d’absence, elle était partit voir les messieurs assis derrière le fameux miroir qui avaient gentiment acceptés de les laisser tranquille pour le reste du temps. C’était eux qui dérangeaient plus particulièrement son travail et au risque de passé pour une trop jeune psychologue pour ce boulot, elle était prête à prendre des moyens radicaux pour réussir au lieu d’abandonner.

Elle sentait que Mach pourrait avoir du mal à la croire, c’est alors qu’elle dépose lascivement ses fesses sur la table de manière machinale, avant de prendre place juste devant lui. Son regard changea derrière sa monture de geek, presque aguichante, mais aussi amusé. Cette approche, assez intime ou intimidante, elle essayait de le déstabiliser à son tour. Tant pis si elle n’y arrivait pas, car un certain désir de jouer avec lui était en train de se réaliser…

Dans un doux tintement, elle lui montra les clés des menottes qui pendaient entre ses doigts. Un sourire narquois aux lèvres, elle lui dit d’une voix mi-sérieuse, mi-tendre :

« Si tu acceptes de jouer le jeu, je te libères. » Dans une ultime attention, elle attendit sa réponse ou réaction…

La jeune psy semblait toujours troubler par les réponses de Mach, qui d’une certaine façon s’en amusait. Mais, on pouvait tout de même déceler que l’homme ne se montrait pas méchant, juste qu’il avait trouvé le bon filon pour éviter de répondre aux questions de la demoiselle. Et le pire, était sans doute qu’il ne mentait pas sur la beauté de celle-ci, qui rougissait d’autant plus, même s’il se demandait si s’était de la gêne face aux compliments du patient, ou de la colère de ne pas avoir réussi à prendre la main sur ce dernier.

Elle sembla même déboussoler lorsque le jeune homme lui retourna la question sur le choix de sa profession, et la réponse fut longue à arriver. D’ailleurs, elle sembla même hésitante à la sortir. S’est alors, que pour une raison quelconque, la demoiselle se leva et quitta la pièce. L’avait-il mit en colère et poussé à bout ? Visiblement cela fut le cas, car il l’avait suivit du regard jusqu’à ce qu’elle ferme la porte avant de le ramener sur ses mains. Le silence se fit donc pendant de longues minutes durant lesquelles le mercenaire s’attendait à voir débouler les agents de police pour le ramener en cellule.

Cependant, cela ne serait pas le cas, puisque la doctoresse revint dans la salle, plus ou moins calmée. Mach tourna la tête dans s direction, pour voir qu’elle semblait encore songeuse, puisqu’elle s’appuyait contre la porte qu’elle venait de refermer. Il se demanda d’ailleurs ce qu’elle attendait d’ailleurs à ce moment là. Puis, la jeune femme se rapprocha de lui, et non allant vers l’autre tabouret, ce qui le surprit, car la démarche qu’elle adopta était différente. Peut être plus sure d’elle ? Voir avec une idée en tête ! Pensa t il, alors qu’il l’entendit qu’il était temps de passer aux choses sérieuses maintenant qu’ils étaient seuls.

- Ah bon, et quels genre de choses ?

Demanda t il avec un sourire malicieux, alors qu’il ne la quittait pas du regard, alors qu’elle venait s’assoir sur le rebord de la table, juste devant lui. Oh bien sur, sa phrase avait un sous entendu, laissant tout de même penser qu’il avait comprit que les agents n’étaient plus derrière le miroir sans teint. Enfin, à moins qu’elle ne lui mente sur ce point, ce qui était tout à fait possible. En tout cas, il ne se montra pas plus perturber par ce changement d’attitude qu’auparavant, au contraire, il semblait s’muser un peu plus.

- Et quel genre de jeu ?

Demanda t il en souriant de nouveau, plongeant son regard dans celui de la demoiselle, devant donc lever un peu les yeux pour se faire. Il n’avait fait que regarder brièvement le trousseau de clefs que lui avait montré la psy. Signe que d’une certaine fon, cela ne l’intéressait que peu.  Mais, il se demandait plus ce que la demoiselle prévoyait de faire avec ce changement de comportement.

Dylan paraissait précipiter les choses entre elle et Mach, mais ce n'était pas son but premier, même si le regard qu'il lui lança lui plut énormément. Tandis qu'il lui demandait encore quelle genre de jeu elle l'initiait, elle en profita pour enfouir la clé dans son chemiser, juste entre ses deux bonnets... Ceci venait ajouter du piquant et peut-être encourager son patient d'être plus réceptif quand à ses questions. Ses cuisses lui étaient offertes, venant aussi tenter de le déstabiliser, même si pour le moment, il n'en était rien, elle garderait ceci pour plus tard...

«  Voyons... C'est très simple pourtant. Vous répondez à mes questions et je vais être gentille avec vous. »

C'est alors qu'elle glisse doucement un doigt contre la bouche de son ''prisonnier'' venant chercher son menton et elle pencha même son visage vers le sien. Ceci pouvait paraître comme de la prostitution, amadouer au delà de cajolerie pour de simple réponse, mais la jeune psy appréciait et profitait quand même du moment et elle espérait ne pas être la seule...

Toujours assise devant lui, elle le regardait de haut, lui redonnant l'espoir de dominer la situation. Elle lui sourit, plongeant son regard dans le sien et prit une mine sérieuse.

« Et si on reprenait depuis le début... Cela vous dit ?»

Comme si elle sentait qu'en fin de compte, ça ne risquerait pas de fonctionner, elle décida de lui offrir un avant-goût. Elle plia le bas de sa jupe tailleur, dévoilant un peu mieux ses cuisses graciles et fermes. Dans une action invitante, sa jambe se glissa sous l'une des mains emprisonnées de son patient et l'encouragea à le remonter vers elle. Cependant, une question la heurta et devait très vite la lui posé.

« À moins que vous soyez gay... »

Fit-elle, entièrement sérieuse. Cette question lui était venue en songeant qu'elle ne devait pas lui faire effet finalement...   

La jeune femme venue pour faire son profil psychologique venait de changer de méthode pour tenter de convaincre Mach de parler de lui. En effet, la demoiselle était venue s’assoir sur la table, juste devant le mercenaire, et tentait désormais, de jouer sur la séduction pour le convaincre de se confier. Mais, l’homme fit mine de ne pas comprendre ce qu’elle avait voulu insinué, et la regarda avec le sourire mettre la clé des menottes dans son soutien gorges. Cela l’amusa plus qu’autre chose, puisque d’une certaine façon, l’envie de se libérer n’était pas forcément présente.

Peut être même que d’une certaine façon, l’amusement de la situation, ne lui faisait même pas penser à cela pour le moment. Si bien qu’il laissa la jeune femme répondre, et jouer un peu, se laissant toucher, plongeant son regard dans le sien, quand elle fit en sorte que se soit le cas.

- J’ai plutôt le sentiment que vous avez d’autres envies que de m’entendre parler de moi désormais !

Lança t il calmement, bien que cela soit une provocation. D’autant plus que Dylan jouait la dessus aussi, et les propos qu’elle ne manqua pas de tenir sur le fait de se montrer gentille le montrait aussi. S’était presque à croire que désormais, la demoiselle ne pensait plus à son patient comme tel, mais comme celui avec qui elle comptait s’amuser, charnellement, pendant un moment. D’autant plus qu’elle fit rapidement en sorte que Mach puisse voir, puis toucher davantage ses cuisses. Or, même s’il apprécia le contact de sa main sur la peau de la demoiselle, il ne la bougea pas pour autant.

En tout cas, jusqu’au moment, où avec une attitude des plus sérieuse, la psy lui demanda s’il était gay. Une expression de surprise s’afficha alors sur le visage de l’homme, avant qu’il ne réduise l’écart entre les deux corps pour venir placer son visage juste devant celui de la doctoresse. Evidemment, la main posée sur la cuisse remonta sur celle ci, passant même sous la jupe, mais sans atteindre l’intimité de la jeune femme. Le mouvement n’avait pas été volontaire, juste suivit l déplacement du corps de Mach vers l’avant.

- Ms propos vous aurez t il laisser penser cela ?

Demanda le mercenaire en plongeant son regard dans celui de Dylan sans l’en décoller. Il était loin d’être gay, et le fait qu’il trouve la psy à son gout, et qu’il l’ait complimenté jusque là, le prouvait bien. Car, même si ses propos avaient été dit pour détourner la conversation de lui-même et déstabilisé la doctoresse, ils n’étaient pas pour autant un mensonge.

- Mais, vous n’avez qu’à vérifié par vous même, si vous ne me croyez pas ?

Provoqua de nouveau Mach, n s’asseyant de nouveau correctement sur la chaise, redescendant la main baladeuse plus bas sur la cuisse de Dylan. Son regard ne la quittait toujours pas, et l’expression de son visage, laissait supposer qu’il attendait de voir si la doctoresse comptait chercher à répondre à cela ou non ?

D’une certaine manière, c’était vrai qu’elle avait d’autre envie que simplement écouté ce qu’il avait à dire sur sa vie. Au point où ils en étaient, où ELLE a emmené les choses, c’était certain qu’un petit plus serait la bienvenue. On a qu’une vie, pensait la jeune femme et cela pouvait emmener une certaine atmosphère détendue et plus amusante… La main immobile sur sa cuisse, il ne semblait pas apprécier ce contact et la jeune femme commençait à croire que ses suppositions sur son orientation étaient exactes. Sauf que son patient se leva pour rapprocher son visage du sien, remontant avec lui sa main qui se faufila sous sa jupe. Le corps de Dylan se vit traverser de frisson, son cœur battant à la chamade rien qu’en sentant le souffle de Mach contre elle. Mais elle garda un visage sérieux, du moins elle essayait. Au moins, elle réussit à ne pas détourner son regard. Il lui demanda si c’était ses propos du début qui lui faisait soupçonner qu’il était gay. Cette question l’a semblerait-il provoquer… Sauf que ses compliments du début ne cherchaient en faite qu’à la déstabilisée et ça, elle l’avait compris.

Mach se rassit, sans la quitter des yeux et lui lançant une nouvelle provocation. Sa main qui avait redescendu sur le long de sa cuisse lui soutira un nouveau frisson.

« Très bien… »

Décidée à aller jusqu’au bout de ce « jeu », elle n’allait pas abandonner comme ça. Et puis, s’il lui demandait de vérifier par elle-même, n’était-ce pas là une preuve qu’elle lui plaisait ? Sauf qu’elle déviait de la voie qu’elle convoitait, celui d’en savoir plus sur lui. Là, ils jouaient plutôt à : Tu me plais, mais prouves-le toi-même… Ce n’était plus la peine d’y penser, car la jeune femme se lança. D’abords, en penchant son visage vers le sien, sans le quitter des yeux. Le sourire aux lèvres, Mach semblait apprécier contrôler la situation. C’était ça aussi, les deux se culbutait le rôle du dominant de l’histoire. La psy allait voir combien de temps ça allait durer… Elle débuta par une approche très tendre, collant leurs lèvres ensemble. Dans un mouvement loin d’être fougueux, elle lui offrit un doux baiser, caressant ses lippes chaudes contre siennes, emprisonnant parfois l’inférieur entre elles, suivit de l’autre, le tout en les suçotant délicatement. Puis doucement, elle introduit sa langue qui vient laper l’entrée. Elle rejoignit sa consœur, intensifiant le moment soudainement, comme si ce contact électrifiait tous ses sens. Malgré elle, son cœur se remit à battre très vite, sa respiration devint plus forte alors qu’elle passa ses mains vers la nuque de Mach. En tout, le baiser avait duré plusieurs secondes. En le rompant, elle resta penchée vers lui, le scrutant longuement, le désir pouvait se lire dans son visage.

« Bon, un baiser ça ne prouve rien… »

Avec un sourire narquois, elle vint s’assoir sur lui, remontant également le tissu de sa jupe. Cette fois, ses cuisses étaient entièrement dénudées. Leur bouche à nouveau scellé s’appropriant l’un l’autre goulument, sa poitrine se plaque contre le torse du prisonnier. Bien entendu, elle avait fait en sorte que les mains menottés passent au dessus d’elle et aillent se perdre dans son dos. Un bon côté, il ne pouvait atteindre les clés de cette façon, à moins qu’il utilise son imagination pour les prendre… Elle l’enlace, pendant que son bassin bouge tranquillement, faisant frotter son sous-vêtement contre le pantalon de Mach…

« Je te jure que si ça te fait aucun effet, je fiche le camp… »

Fit-elle, sans pour autant s’arrêter et s’empara du cou de son prisonnier.

Mach jouait à voir combina de temps la patience de la psy allait tenir face à ses provocations, et ses sous entendus divers. De l’autre côté, la doctoresse avait visiblement décidé de jour de ses charmes pour arriver à ses fins. Mais, le mercenaire n’y succomba pas, ou du moins ne montra rien, hormis un sourire, quand la caresse involontaire de sa main sur la cuisse de Dylan, lui extirpa un frisson. Elle semblait aimer çà, et arriver à l’échange charnel paraissait être ce qu’elle souhaitait. D’ailleurs, elle releva la dernière remarque de son patient récalcitrant, et s’approcha encore davantage de lui.

- Alors quoi ?

Dit-il simplement avant qu’en simple réponse, il put sentir les lèvres de la jeune femme sur ses lèvres à lui. Avait-elle décidé de se laisser aller et répondre à ses propres envies ? Mach l’ignorait, et se contentait de se laisser faire, même si participer ne l’aurait pas dérangé. Mais réagir au baiser, même quand la langue pénétra sa bouche pour venir jouer avec la sienne, n’aurait pas été si amusant. Alors que là, il frustrait peut être davantage la doctoresse, puisqu’ elle ci n pourrait sentir aucun désir particulier dans le baiser de Mach.

- En effet…Mais, je suppose que vous avez d’autres idées…..

Répondit-il quand sa bouche fut libérée, mais pour pu de temps. En effet, la doctoresse semblait assez joueuse, voir excitée, puisqu’elle releva sa jupe entièrement, sans que Mach ne regarde cette zone. Et pour cause, la jeune femme s’était suffisamment approchée pour s’assoir directement sur lui, passant ses bras au dessus de sa têt, pour finir par simuler une embrassade, bien qu’étant les mains liées, s’était plutôt difficile. Cependant, il n’aurait aucun commentaire à faire dessus, puisque leurs lèvres furent de nouveau scellées, dans un baiser bien plus fougueux, et donc auquel le jeune homme participa plus activement.

Il se disait n effet, que pour se montrer ainsi, s’était que la doctoresse devait vraiment en avoir envie, alors pourquoi ne pas y répondre hein ! Sans compter qu’elle se mit à osciller du bassin de façon telle que les deux sexes, tout de même encore couvert, aurait de quoi s’exciter mutuellement. Et par conséquent, une bosse naissait sous son pantalon à lui. Si bien que la remarque que lui fit Dylan ensuite le fit bien sourire.

- Il faudrait être aveugle ou insensible pour que vous ne fassiez aucun effet !

Dit-il de façon générale, parlant donc de l’effet, et la beauté de Dylan sur tous les hommes, t non lui en particulier.  Mais, en tout cas, il la sentait prête à jour sur ce point, laissant les questions personnelles de côtés. Ainsi, alors qu’elle jouait de sa bouche dans son cou, lui, positionna ses mains tant bien que mal, pour venir malaxer ses fesses, assez tendrement d’ailleurs.

- D’ailleurs, je pense que vous avez déjà une réponse à cela, n’est ce pas ?

Dit-il en faisant référence cette fois à l’état de son membre. Mais, pour se montrer plus convaincant, il empoigna plus fermement ses fesses avant de pousse r sur ses jambes pour se redresser. Il aurait bien pu poser Dylan sur la table, mais, il la laissa poser pieds à terre pour la faire tourner, t reculer jusqu’à un mur de la salle d’interrogatoire. Et si ses mains étaient un pu coincées désormais, cela n’empêcha pas Mach de venir poser sa bouche sur le cou de la demoiselle, descendant celle ci à la naissance d’une des épaules. Leur corps était toujours collé l’un à l’autre, t ses mains reprirent leur travail des fesses de la psy.

- Alors ma réponse sur l’attirance que j’ai pour vous, vous convient elle ?

Demanda t il avant de faire en sorte de capturer ses lèvres dans un baiser fougueux et langoureux. Et s’il paraissait un peu dur en parole, ses gestes avaient été assez tendres, ou du moins suffisamment pour ne pas faire mal à la doctoresse. D’ailleurs, le fait qu’il n’avait toujours pas cherché à récupérer les clefs des menottes allait aussi dans ce sens, bien qu’il savait comment les récupérer, tout de même

C’était certain que les mains du prisonnier qui saisissait tendrement ses fesses démontraient parfaitement qu’il en avait autant envie. Bien sûre, il y avait le baiser, mais la jeune psy dirait plutôt qu’il se serait laissé embrasser et non participer activement à y répondre de la même manière. Sa bouche continuait à titiller très lentement son cou où regorgeait cette odeur d’homme qui lui avait toujours plut et qui avait la maligne habitude de l’exciter encore plus. Sa langue s’y glissa, pendant que plus bas, son bassin vacillait sans arrêt et pouvait, sous la remarque de Mach, sentir la bosse de son membre qui avait durcit. Dylan en était ravie, savourant sa victoire par de nouveau baiser enflammée contre le creux de son cou. Mach avait les mains liés, dérangeant quelque peu ses caresses contre son fessier galbé, mais avec effarement, il l’agrippa plus fermement avant de se mettre debout. Alors qu’il laissait croire qu’il allait la prendre sur le bureau, au lieu de cela, il l’attira vers un mur d’où il reprit ses caresses avec plus de fougue, jouant de sa bouche contre son cou, ce qui avait pour conséquent d’attiser Dylan un peu plus. Sa respiration devint plus forte, alors qu’elle enlaçait son prisonnier qui lui demanda si son attirance pour elle lui plaisait.

« Hum… Je n’en suis pas encore entièrement convaincu. »

C’était un mensonge évidemment, voulant à son tour le provoqué. Sa main s’attardait sur l’ouverture de son pantalon, venant caresser un instant la forme de son membre ferme et bien gonflé pendant que Mach s’appropria de ses lèvres pour un long baiser langoureux. Dylan pouvait remarquer qu’il était si tendre dans ses gestes contrairement dans ses paroles, prenant la peine de la couvrir de douceur et de fougue. Elle lui remit la pareille, savourant avec délicatesse sa langue, ainsi que ses lèvres. Mais pendant un instant, elle revint à la réalité : qu’est-ce qu’elle était en train de faire ? Sans avoir diminué la passion de ses gestes, elle comprit qu’ils avaient atteins le point de non-retour. Et puis, elle l’avait cherché…

Sa main caressait toujours la bosse et avait l’envie d’un contact plus directe. Elle commença à défaire sa ceinture et sous la difficulté, son autre main se joignit à la besogne, ouvrant le pantalon puis découvrit enfin le membre du tissu. Elle le saisit entre ses doigts, découvrant doucement sa forme, sa grosseur et sa longueur, remontant pour s’emparer de son gland. Puis, elle fit un lent mouvement de va et vient contre sa hampe douce et chaude. Les baiser se sont multipliés pendant ce temps et les deux opposés se découvraient mutuellement.

« Ces menottes vous gênent ? »

Elle avait presque oublié les clés dans son buste, mais autant pour elle, c’était plus excitant dans son état et il arrivait tout de même à lui soutiré des soupires d’aise avec ses mains liés.

La séance avait drôlement tourné, et était loin des faits qui devaient être prévu à l’origine. Mais, avec une belle femme, qui qui plus est joue sur la provocation sexuelle, cela ne pouvait tourner que comme cela. Il fallait cependant reconnaître, que l coupable était quand même pour beaucoup Mach, qui pour éviter le questionnaire sur lui-même, n’avait cessé d la complimenter. Ce qui avait marché, puisque les ébats avaient commencé, et Mach avait finit par emmener sa « proie » contre l’un des murs de la salle d’interrogatoire. Ses mains massant les fesses de Dylan, alors que ses lèvres jouaient sur la bouche et la langue de celle-ci, ou dans l cou, selon les mouvements de cette dernière.

Et aussi étrange que cela puisse paraître, les liens qui entravaient ses mains, ne semblaient pas pouvoir le déranger dans ses caresses, n faisant que donner l’impression que les deux personnes s’enlacent, rendant tout de même plus difficile pour la jeune femme de sortir de cette position. Mais, au vu de son état d’excitation, il doutait fortement que la demoiselle veuille se séparer de lui. Mais, cela ne l’empêcha pas de lancer une nouvelle provocation qui fit sourire son compagnon.

- Ah bon ?

Dit-il d’un sourire plus ou moins moqueur. Mais, cela ne l’empêcha pas de revenir se saisir des lèvres de sa partenaire, qui avait descendu l’une de ses mains sur la bosse du pantalon de Mach.

- Et bien, vous n’avez qu’à vérifier vous-même alors ? S’est bien le rôle d’un docteur non ?

Reprit-il calmement entre deux baisers, alors que son sexe prisonnier palpitait sous les caresses Lui, l’embrassait à présent dans l cou, en descendant vers le haut du buste, s’arrêtant tout de même sur la nuque où son visage écarta le chemisier gênant pour atteindre la peau. Ses mains caressèrent les fessent un pu plus fermement, descendant un moment pour pouvoir passer sous la jupe et remonter sans lâcher les cuisses.  Mais, il resta pour le moment sur la culotte, bien qu’il fasse passer un doigt entre la rai des fesses pour la stimuler un peu.

Mais, Dylan n’avait pas spécialement besoin qu’on l’excite davantage, puisque ses mains vinrent s’atteler à la tache de voir l’effet que celle-ci faisait sur Mach, en libérant son membre durcit de son carcan de tissu. Elle ne fit aucun commentaire dessus, bien que leurs bouches étaient de toute façon trop occupées pour cela. Mais, la réaction du sexe du jeune homme quand les premières caresses directes furent données seraient bien plus convaincantes, et Mach donna plus d’ardeur à ses propres gestes.

- Cela dépend de ce que tu veux que je fasse de mes mains !

Répondit-il à sa remarque, laissant penser que cela ne le déranger pas. De plus, la situation semblait drôlement exciter Dylan, puisque ses mains sur ses fesses, ne tardèrent pas à sentir que la culotte était devenue bien humide. Ainsi, tout dépendait donc d’elle, puisque de toutes les façons, les clefs étaient à sa dispositions, même si pour l moment, une fois acquises, pour se libérer, il devrait tout de même se séparer de la jeun femme, alors que si elle voulait le libérer, de son côté, elle pourrait aisément rester dans ses bras, même si elle devrait se tourner te faire passer donc les mains de Mach plus proche de sa vulve que de son fessier.

Dylan ne pouvait faire autrement que de continuer, car pendant un instant, elle avait songée à arrêter ça là, par crainte de se faire surprendre dans les bras du mercenaire. Sauf qu'elle n'avait pas envie qu'ils s'arrêtent, les caresses devenant plus intime, se hissant entre ses fesses galbés, procurant à la jeune psy une sensation inhabituelle, mais semblable à du plaisir. Et puis, elle était coincée, entre le mur et lui, entre ses bras dont les mains étaient toujours liées, ne lui donnant aucune issue pour s'échapper. Autant continuer... Sa langue venait une nouvelle fois prendre assaut de la sienne, le palpant langoureusement et refermant leur bouche ensemble, tandis que Mach ne faisait que la languir plus longuement, puisqu'il ne pouvait pas faire grand chose avec ses mains menottés. Elle, par contre, avait en main sa verge qui n'avait cessé de grossir entre ses doigts et il était évident qu'il appréciait. Alors qu'il lui demandait ce qu'elle voulait qu'il fasse de ses mains, elle émit un léger rire en faisant de lents va et vient sur la longueur de son membre.

« Allons, un peu d'imagination... »

C'est alors qu'une idée lui vint, sans doute la meilleure chose à faire pour continuer dans cette voie... Elle quitta ses lèvres pour tourner sur elle-même, plaquant son dos contre le torse de Mach, ses fesses arrivant légèrement en dessous de sa hampe de chair et frottant maintenant contre le bas de son dos. Sa jupe ne couvrait plus que sa taille et Mach pouvait voir sa culotte affriolante, noir et en dentelle. D'ailleurs, elle avait guidé ses mains vers celle-ci, frémissant de sentir ses doigts virile près de son intimité. Sa poitrine, plaquée fermement contre le mur, ses fesses quand à elle s'offrait à Mach, pour qu'il s'adonne à astiquer sa virilité dure et brûlant contre elle.

« C'est plus simple comme ça, hum... Mhhh, là... »

Les clés se devaient de rester dans son soutien-gorge, du moins pour le début, car le fait qu'il soit attaché rendait la chose beaucoup plus intéressante et plus excitante. Sa culotte était maintenant imbibée de mouille sur la fente qui couvrait l'entrée de son vagin. Cette zone se montrait sensibles au moindre touchée et visiblement, son prisonnier était doué pour la rendre folle de désir. Après une longue plainte, elle vient chercher d'une main sa verge où couvrait de l'écume sur l'extrémité, le pré-sperme avait donc commençait à jaillir, tout comme la cyprine que secrétait la jeune femme. Elle tourna la tête vers lui, essayant d'aller chercher de nouveau sa bouche de sa langue, traçant ses lèvres de salive d'abord, avant de nouveau échanger un autre baiser, plus vorace qu'avant.