Undisclosed Desires | PV Mach

La situation pourrait avoir quelque chose de comique, puisqu’actuellement, s’était le prisonnier qui tenait dans ses bras une prisonnière, et lui ôtait toutes options de fuite. En effet, Mach enlaçait Dylan de ses mains menottées, en plus de la plaquer au mur. Mais, ce n’était en aucun moment pour la menacer, puisque le duo était en train de se donner du plaisir mutuellement, leurs mains jouant sur des zones sensibles de leurs corps, alors que leurs lèvres et leurs langues ne cessaient de s’unir dans de multiples baisers. Et chacun s’en donnaient à cœur joie, puisque la psy avait déjà sorti le membre en érection de son patient, et elle le stimulait d’une main. Mach faisait de même en jouant sur ses fesses,  Mais, la question de ses mains liées revint sur le tapis, et le jeune homme répondit avec un peu d’effronterie que cela serait aux envies de sa compagne, qui donna aussi de la voix pour lui dire de faire preuve d’imaginations.

- Justement, s’est pour cela que cela dépend de ce que vous auriez envie surtout !

Renvoya t il de façon amusée à Dylan, avant d reprendre ses lèvres dans un baiser plus fougueux. Ou du moins, jusqu’au moment, où la demoiselle s’interrompit dans tout ce qu’elle faisait, et sembla se débattre un peu. Mais, cela ne fut que pour se retourner et plaquer son dos contre le torse de Mach, qui baissa le regard sur ses fesses, qui vinrent frotter contre son pénis. Esquissant un sourire, il pressa un peu plus pour l faire passer dans la raie elle même, enfonçant avec lui la culotte n dentelle noire de son amante. Celle ci avait prit ses mains pour venir les placer sur l’avant de celle-ci donnant ainsi une instruction très claire à Mach sur ce qu’elle souhaitait qu’il fasse avec.

Mach sourit n commençant à faire bouger ses doigts sur le tissu, au niveau de la vulve, déjà bien humide de sa compagne, qui se retrouvait désormais totalement soumise, appuyé poitrine contre le mur de la salle, aux désirs de Mach. Elle lâcha un commentaire, entre deux gémissements alors que le jeune homme était venu déposer des baisers dans son cou. Son sexe était au chaud, mais pour le moment immobile d’ailleurs

- En, effet….

Se contenta t il de répondre, commençant de légers coups de bassin, pour faire glisser son sexe entre les fesses de Dylan, qui vit ainsi sont anus et stimuler. Mais, alors que ses mains remontaient dans une caresse sur le bas ventre de la jeune femme, celle-ci se cambra, et tourna la tête pour venir quémander un baiser, que son compagnon laissa un pu traîner avant de s’emparer des lèvres de celles-ci, au moment où ses mains passèrent la barrière de la dentelle, et se glissèrent donc sous la culotte pour venir caresser son intimité pleine de mouille directement.

Ainsi, alors qu’ils échangeaient un baiser des plus passionnés, montrant bien l’excitation et l’envie de la doctoresse pour son patient, sans doute aussi à cause du sexe dur et de bonne taille qu’elle avait entre le fesses, frottant sur son anus. Ce dernier jouait des doigts sur son clitoris, en le faisant tourner, le pinçant, sans force, mais délaissant pour le moment les lèvres de son antre chaude, qui ne devait attendre que cela.

- Alors doctoresse, quels sont vos désirs actuellement ? Un patient doit suivre les prescriptions de son docteur non ?

Murmura t il à l’oreille de Dylan, quand une fois l baiser finit, elle avait remit son visage fac au mur. Mach enchaina alors par un pincement du lob de l’oreille entre ses lèvres, avant de descendre sa bouche sur son cou, et sa nuque, descendant ou remontant lentement en les parsèment de baisers et coups de langues.

Les doigts contre sa vulve soutira un long soupire à la jeune psychologue, appréciant de plus en plus la présence de Mach contre elle. Son pénis qui frottait vigoureusement entre ses fesses, titillant son petit trou réussit à exciter d'avantage la demoiselle qui n'avait pas l'habitude d'une tel stimulation. Par ailleurs, côté sexe, elle n'avait jamais essayé ce qu'on pourrait qualifier de trucs tordus, n'ayant jamais eut la chance d'essayer avec ces partenaires. Mais cette fois, elle avait dépassé ses limites, prête à jouer à la ''coquine psychologue'' avec Mach, persuadée qu'elle en tirera un plaisir inavouable. 

Les échanges buccaux devenaient intenses, leur procurant du plaisir à chacun, même si le prisonnier paraissait vouloir le cacher, finissant toujours par donner ce que désirait sa psychologue. D'ailleurs, elle était maintenant la soumise dans cette position, car Mach pouvait la plaquer sans difficulté contre le mur et la prendre comme il le voulait, dans ce cas ci, par son petit trou qui n'avait jamais été exploré avant. Sauf qu'il se montrait tendre d'une certaine manière, laissant le choix à Dylan de ce qui allait suivre. Ce Mach adorait la faire languir, c'était certain... Il caressait son clitoris, allant également tremper ses doigts vers ses lèvres vaginales inondé de cyprine, révélant qu'elle était autant attisée qu'au début. Par la suite, son prisonnier lui demanda ce qu'elle attendait de lui maintenant, jouant au patient qui attend les recommandations de son médecin. Le souffle de la jeune femme se rependait sur le mur, ainsi que ses gémissements qui devinrent plus aiguë. La verge entre ses fesses n'avait pas arrêté d'aller et venir entre ses galbes de chairs qui se tendirent un peu plus sous le plaisir qui en découlait. Ce jeu plaisait bien à la psychologue qui gémit tendrement sous le contact de la langue chaude contre sa lobe d'oreille, une région des plus érogène chez elle, surtout lorsqu'on la pinçait entre les lèvres...

« En effet... »

Ses mains qui avaient délaissé son membre pour le mur, glissèrent vers ses hanches et glissa sa culotte le long de ses cuisses jusqu'à sentir son membre brûlant à même la peau. La dentelle tomba sur ses pieds et pour plus d'aise, le retira d'un mouvement de pied. Sa hampe avait reprit du volume et Dylan l'attira vers sa vulve. Ce qu'elle voulait était évident...

« C'est maintenant que je le veux... »

Fit-elle d'une voix plaintive, révélant dans son murmure qu'elle était impatiente de se faire prendre contre le mur.

Plaquant Dylan contre l’un des murs, Mach lui donnait visiblement beaucoup de plaisir au vu de la fougue avec laquelle elle était venue quérir ses lèvres et le baiser qu’ils échangeaient. Pendant ce temps, son membre enfin à l’air libre faisait du va et vient entre les fesses de la jeune femme, sans la pénétrer tout de même, alors que ses mains, toujours liées, caressaient la vulve et le clitoris de Madame. Les contractions de ses fesses sur son sexe, et l’humidité de son vagin montraient clairement l’état d’excitation de sa partenaire. Peut être même que l’intensité du plaisir ressentit était plus intense avec le risque de se faire surprendre à tout moment par les policiers.

- On dirait que tu aimes le risque ! Après tout, tu es excitée et te donne à un endroit, où un agent pourrait entrer à tout moment !

Dit-il dans un murmure, entre deux jeux de langues sur le lob de l’oreille de son amante. D’autant plus, que la position prise actuellement était loin d’être des plus romantique, bien au contraire. Cependant, il fallait avouer que s’était sans doute la plus pratique, même si le jeune homme ne se priverait surement de rien dans l’état où chacun était. Car lui aussi était excité et il n’avait nullement besoin de le prouver pour que Dylan le sente.

Ainsi, il finit par faire pénétrer ses doigts dans son intimité ruisselante, commençant de lents vas et viens, en lui demandant ce qu’elle souhaitait. Réponse qu’il n’aurait cependant pas tout de suite, puisque la jeune femme descendit ses mains, qu’elle avait appuyées contre le mur sur ses hanches. Il en fallait peu pour que l’appui sur le mur soit la tête elle-même, si Mach en voyant cela, veillait à ne pas forcer sur ses mouvements pour éviter de la pousser en avant. Il sentit alors son membre repousser des fesses de Dylan quand cette dernière fit glisser sa culotte, avant qu’il ne se replace, et reprenne son petit jeu. Ou du moins jusqu’à ce que l’une des mains de sa partenaire vienne s’en emparer pour le guider entre ses cuisses, qui étaient très chaude, mais dont la peau était aussi douce

Mach sourit alors, tandis que son gland frôlait désormais, dans ses allers-retours, la vulve de son amante. Celle-ci ne tarda d’ailleurs pas à lui demander de la pénétrer, et en plongeant son regard dans celui de sa partenaire, il ne manqua pas de voir à quel point elle attendait cela. Si bien qu’il  arrêta ses vas et viens avant de faire entrer légèrement le gland de son membre en érection entre les lèvres vaginales.

- Très bien Docteur !

Dit-il de façon amusé. Mais, ce qu’il fit ensuite fut bien moins amusant, puisqu’il rentra d’un trait son membre dans l’antre de sa partenaire. Mais, vu l’humidité des parois qu’il put sentir, et l’excitation de Dylan, nul doute qu’elle avait du ressentir plus de plaisir que de douleur dans cette pénétration brusque. Et même si s’était le cas, le jeune homme resta un peu immobile pour profiter de la chaleur du nid douiller dans lequel il venait de faire rentrer son engin de bonne taille

- Certains pourraient te considérer comme une chienne ou une salope dans cette situation, tu sais ?

Dit Mach sans froideur dans la voix, ni même de méchanceté, alors qu’il vint presser son buste contre le dos de Dylan, la collant un peu plus au mur de ce fait. Ce qui en plus devait lui faire sentir bien profondément le pénis qu’elle avait en elle, mais qui ne bougeait pas

- Mais, pour moi tu n’es qu’une femme qui accepte simplement d’assouvir son plaisir en assumant la situation…

Reprit-il dans un murmure avant de reprendre le lob de sa compagne entre ses lèvres, jouant de sa langue dessus quelques instants avant de le libérer. Sa bouche alla ensuite jouer sur le cou, alors qu’il se décida enfin à donner de léger et lent coups de bassin pour faire mouvoir son membre dans le vagin de sa compagne. Cela n’avait rien de bien rapide certes, mais chaque chose en son temps, et le plaisir était meilleur quand on le savourait que si on essayait de l’assouvir en quelques minutes.

Oui, elle aimait le risque, sans l'avoir su avant aujourd'hui. Un agent pourrait rentrer, même si elle avait été très clair : les laisser seuls et en aucun cas les dérangé... Mais ne sait-on jamais. Les policiers pouvant être trop curieux... Les doigts de Mach s’aventurèrent entre ses parois vaginales, assouvissant un tantinet le désir de la demoiselle qui ne put s'empêcher de gémir longuement. Il faisait allé et venir ses doigts lentement, les trempant également dans la cyprine qui s'écoulait à profusion. L'état d'excitation de la jeune femme avait atteint sa plénitude et il ne restait plus à son ''prisonnier'' de passer à l'étape suivante. Son gland titillait lentement sa vulve, sous la frustration grandissante de la demoiselle, mais accompagné du regard amusé du mercenaire... À peine quelque centimètre entrée en elle, Mach prit une pause et il pouvait sentir la jeune psy frémir de plus en plus, à quelle point l'attende devenait insupportable. Puis enfin, son membre la pénétra vivement en entier, repoussant ses parfois intime vers ses profondeurs, sous les gémissements de la jeune femme. Pendant l'instant où Mach satisfaisait enfin son désir du moment, la douleur s'était mêlée au plaisir. Heureusement que l'intimité de Dylan s’était bien préparer, sinon, comment aurait été le passage de ce membre imposant vers les confins de sa cavité intime ?

Alors que le membre de Mach restait immobile en elle, il lui fit part de ce que certain penserait d'elle en la voyant se laisser à un quasi-inconnu. Une chienne ? Une salope ? Est-ce ainsi qu'il la voyait lui ? Mais pas le temps de répliquer car son buste se plaqua d'avantage contre le mur et de ce fait, son membre changea de position en elle, démontrant qu'il était profondément ancré en elle. Mach se fit en quelque sorte plus doux dans ses dires et sincère, alors que dans le fond, il la voyait tel une femme qui ne faisait que rassasié un désir des plus naturels. Ceci était assez pour rassurer Dylan qui se mit à soupirer doucement de plaisir, pendant que le prisonnier caressait de sa langue son lobe, puis son cou, faisant grimper la sensation d'extase. Tranquillement, il entama des mouvements de bassin, bougeant enfin sa hampe dans son vagin sous une plainte de soulagement de la jeune femme. Ceci lui prodiguait tout le plaisir du monde, ayant prit leur temps pour faire grimper l'envie au maximum et consumer ce qui les réunissait. La paume de ses mains tenaient fermement le mur et ses fesses se cambra encore plus pour approfondir les allés et venues de Mach.

« Comment tu aimes ça ?...Mhhh... À ton tour de me dire quelque chose... »

Fit-elle entre plusieurs gémissements. Sa tête se leva et pour essayer de retenir ses gémissements, le dos de ses doigts glissa entre ses lèvres, comme pour occuper sa bouche, mais aussi pour diminuer le volume de ses gémissements.

Après avoir fait languir Dylan avec ses doigts, au point, où il sembla à Mach que celle-ci était sur le point de s’empaler elle-même sur le sexe en érection de son amant. Ce dernier frottait les deux accès de son entre jambe là. Mais, suite à la demande de sa partenaire, le jeune homme fit entrer de façon assez brusque, ou du moins d’un trait, son pénis dans la vulve de la psy. Il alla donc profondément en elle, et entendit un gémissement d soulagement de sa compagne, signe qu’elle attendait cela depuis longtemps déjà. Mais, il la fit sans doute encore un peu enrager quand il ne bougea pas, hormis son torse venant s’appuyer au dos de celle-ci pour que sa bouche se rapproche de l’oreille de son amante et prononce quelques mots avant de jouer sur cette zone.

S’est après les réponses qu’il commença à donner des coups de bassin pour que son sexe fasse de lents vas et viens en Dylan. Celle-ci ne cachait pas son plaisir, et ne semblait pas se soucier de se faire surprendre, puisque le risque était quand même bien présent. Pour lui Mach s’en fichait, puisque qu’est ce qu’il avait à risquer à ce qu’on le voit dans cette position ? Pas grand-chose, alors que Dylan avait éventuellement sa réputation. Quoi qu’il en fut, avec les mains liées, le mercenaire se contenta de jouer des doigts sur le clitoris de sa camarade, puisqu’il était tout de même assez limité pour les déplacer comme il voulait.

Dylan lui posa alors une question avant de se placer des doigts dans la bouche, comme si elle voulait réduire les gémissements, ou du moins leur bruit. Aurait-elle peur de faire trop de bruit et attirer l’attention des agents ? Mach sourit et sans accélérer le rythme, le modifia. En effet, ses coups de reins étaient plus brusques dans le sens ou son sexe rentrait souvent d’un mouvement rapide et profond dans l’antre ruisselante de sa partenaire. Il alla même jusqu’à rentrer un index dans celle-ci, qui bougeait aussi mais en étant bien moins avancée dans la vulve de sa partenaire, déjà bien remplit par son pénis.

-Hmmm…Pourquoi je n’aimerai pas ce qu’il se passe hein ? D’autant plus que tu es magnifique, et que je dois faire des envieux. Enfin si on nous voyait passer à l’acte….

Finit-il par répondre. Mais, s’était sans méchanceté, et il venait une nouvelle fois de remettre en avant la beauté de Dylan. Il sortit alors son doigt du vagin de sa partenaire pour lui permettre de remonter ses mains sur le ventre, les seins, qu’il caressa rapidement, sans que cela soit son objectif. En effet, son objectif se matérialisa bien vite, quand une main écarta les doigts de la bouche de la psy, alors que l’autre vint lui tourner la tête délicatement, et suffisamment pour que Mach puisse venir s’emparer de ses lèvres. Le baiser fut assez fougueux, alors qu’en plus de son rythme « brusque », Mach accélérait ses mouvements du bassin. Si bien que Dylan se retrouva la poitrine pressée contre le mur de la pièce à chaque fois que son membre était entièrement dans son antre chaud.

- Et si à chaque séance on en arrive là, vous revoir souvent ne me dérangerai pas !

Dit-il avec le sourire, quand le baiser fut finit. Juste avant de lui en redonner un second, alors que ses mains s’appuyaient désormais sur le mur, puisque dans une telle situation il ne savait guère où les mettre sans qu’il ne soit gêné. Bien sur, il ne savait pas s’il reverrait Dylan une fois la séance d’aujourd’hui terminée, même s’il ne lui avait pas réellement parlé de lui au final, ce qui pourrait être un prétexte suffisant pour la psy. Mais, en tant que prisonnier il avait des limites sur les visites auquel il avait droit, sans compter que pour les autorités, celle-ci était peut être prévu pour être unique, car quel aurait été l’intérêt de voir un psy si le bilan qu’elle donnait était correct !