Nom/Prenom/Surnom : Napier/Jack/Le Joker
Age : Incertain, probablement dans la trentaine ou la quarantaine.
Sexe : Homme
Race : Humain
Orientation sexuelle: Hétéro
Description physique : Le Joker a une peau blanche, des lèvres rouges vifs et des cheveux verts. Il porte habituellement un complet violet, agrémenté d'une fleur qui. Il n'est physiquement pas très bien bâti, il est plutôt grand et mince, mais il est très agile. C'est cette agilité qui lui offre un certain avantage dans bien des situations où la force physique ne suffit pas. Il a toujours un grand rictus collé au visage, un rictus qui, tout autant que son rire, est sa marque de commerce, pourrait-on dire. Sinon, que dire d'autre sur le physique de ce clownesque maniaque? Niveau intimité, disons que c'est bien là le seul muscle développé qu'il possède, étant un peu au-dessus de la moyenne même s'il ne risque pas de battre des records. Et puis, ce n'est pas comme si Harley allait s'en plaindre, de toute façon ...
Caractère : Le Joker est un cinglé, un vrai, échappé d'Arkham Asylum, comme il le fit d'innombrables fois. Il a un sens de l'humour tordu, ses tours causant souvent la mort de ses victimes, si Batman n'y mettait pas un frein. Il rit souvent, d'un rire de maniaque, ses idées sont toujours extrême, telles que paralyser la fille de Jim Gordon pour prouver qu'une sale journée suffit à rendre quelqu'un complètement cinglé. S'il y a une chose qui le rend encore plus redoutable, c'est son attitude imprévisible. En général il agit spontanément, sans prendre le temps de réfléchir ou bien il peut élaborer des plans assez tordus qui parfois, semblent ne faire que très peu de sens, hormis pour lui-même.
Histoire :
Les gens disaient bien des choses sur cet homme. Des choses étranges, même terrifiantes. Ils disaient qu'il ne se nourrissait que de sang frais. Ils disait qu'il ne pouvait être tué. Ils disaient qu'il amenait la mort avec un sourire....difficile de ne pas y croire envoyant ses victime raides mortes, le visage figé dans un éternel rictus machiavélique.
Son histoire est floue, très floue. Lui-même n'est pas sûr de son passé. Certains croient qu'il était un tueur de mafioso, d'autres qu'il était le fameux Red Hood. Ils étaient plus ou moins loin de la réalité. Cet homme, ce clown maniaque n'est en fait qu'un homme parmi tant d'autres, qui a passé une mauvaise journée. Une très mauvaise journée. Tellement mauvaise, en fait, qu'il en est resté éternellement affecté. Son esprit a cessé d'être une unité, il s'est divisé en millier de morceaux, fondus pour faire un miasme chaotique de souvenirs qui se contredisent. Comme il le dit lui-même: "Un jour je m'en rappelle d'une façon, le lendemain je m'en rappelle d'une autre façon!".
Cet homme, aujourd'hui un maniaque avec un sens de l'humour tordu, était autrefois un simple employé de laboratoire, un aspirant humoriste. Il croyait avoir du talent et croyait pouvoir supporter sa femme et son futur enfant en quittant son travail et en montant sur les planches, devant une foule avide de blagues. La nervosité lui torturait les nerfs, ses jambes étaient en coton. Il essaya tout de même de réchauffer son public. Un public difficile, exigeant.
Lorsque l'homme revint chez lui, il ne pu s'empêcher de déverser sa frustration sur sa douce, avant de partir en larmes. Il voulait tellement réussir et supporter sa femme et sa progéniture.
Mais il lui restait une autre solution. Cette solution? Cambrioler son ancien lieu de travail, sous le costume de Red Hood. Convaincu par quelques malfrats locaux, il décida de tenter le coup, sans être reconnu et sortir sa femme de l'appartement miteux où ils vivaient. Cependant, un détail changea tout.
Des policiers vinrent rencontrer l'individu pour lui annoncer une funeste nouvelle: sa femme, ainsi que son enfant furent tués dans un accident domestique, un problème d'électricité. Sous le choc, l'homme voulu se désister du coup, mais ses "compagnons" réussire à le convaincre de ne pas changer d'idée.
Ainsi, une nuit, le trio de bandits entrèrent dans les lieux. Mais l'endroit avait changé depuis que le futur cinglé avait quitté son emploi, il y avait des gardiens de nuit, cette fois, alors qu'avant, on y entrait comme dans un moulin. Les coups de feu retentirent. les balles transpercèrent les malfrats, sauf pour "Red Hood", qui s'échappa. Il fût supris, cependant, de voir autre chose qu'une volée de plomb le poursuivre. C'était en fait un homme musclé vêtu d'un costume noir étrange, un costume de chauve-souris. Batman.
-Laissez-moi! Sinon je saute!
Batman ne croyait pas que Red Hood allait réellement le faire. Bien des criminels usaient du sens de la justice des forces de l'ordre pour les faire chanter. Mais celui-là ne bluffait pas. Il avait sauté....et atterrit dans une cuve emplie de produit chimiques. Batman dû se résigner. Red Hood n'était plus.
Mais lorsqu'il fût partit, une main agrippa le rebord de la cuve. Et une autre. Un corps entier émergea du produit. L'homme retira le casque qui masquait son visage, le casque de Red Hood. Sa peau lui piquait, lui brûlait. Elle était devenue blanche, trop blanche. Ses cheveux? Ils n'avaient pas brûlés, non. Ils étaient maintenant verts. Et pour couronner le tout, ses lèvres étaient d'un rouge vif.
L'homme voulu pleurer, maudire son sort, maudire Batman. Mais tout ce que son cerveau chaotique pouvait lui dicter c'est de ricaner. Ricaner, lever les yeux au ciel et laisser ses lèvres s'étirer. Il ne pu qu'éclater de rire, devant sa situation désespérée. Son corps était maintenant marqué de cicatrices qui ne disparaîtraient jamais. Sa femme, l'amour de sa vie, était morte, emportant son enfant avec elle. Son coup avait échoué, il ne pouvait plus ravoir la vie qu'il avait. Mais il ne pouvait que rire, un rire tonitruant qui, aujourd'hui, glace le sang de quiconque l'entendait....
Mais bien que devenu fou, l'homme restait quand même intelligent. Ses plans étaient compris de lui-seul, trop chaotique pour que des détectives comme Batman puissent les comprendre. Il était temps de faire rire le monde...non, de faire mourir de rire le monde! Et ce sont des farces et attrapes mortellement drôles qu'il fabriqua et surtout, son fameux Joker Venom....
Situation de départ : Expérimenté, Harley Quinn devait bien servir pour autre chose que lui servir de complice dans la destruction d'un hôpital ou un vol de banque, après tout ...
Autres :
Aucun pouvoir, sinon que sa folie est une sorte de "super sanité mentale" qui le rend immunisé contre la plupart des effets psychiques, comme la peur. Un exemple est que Scarecrow a déjà tenté d'utiliser son gaz toxique pour effrayer le Joker mais il n'y a eu aucun autre effet que d'inciter le bouffon à lui briser une chaire sur la gueule ...
Comment avez vous connu le forum: Doublette
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels: Pas vraiment, non. :x