Le clan vampire des Aelias possédait plusieurs tanières dans cette métropole japonaise. Plusieurs cachettes et endroits de stockages pour proies humaines fraiches kidnappées pour une consommation plus tardive, des gardes manger en fait, ainsi que des cryptes et autres tombeaux pour pouvoir dormir le jour. En plus, avec une densité de population si énorme, cette ville constituait un terrain de chasse idéal, un vivier de nourriture fraiche et abondante. Ce n’était pas les belles humaines qui manquaient ici…En fait, elles étaient comme les cafards…vous donnez un coup de pied dans une poubelle, vous en avez une dizaine qui tombent. Là, c’était un peu identique, un vampire sortait la nuit et aller roder dans quelques endroits malfamés…et il était sur de trouver plusieurs femmes innocentes…La Terre était certes bien différente de Terra…sur tous les aspects…mais le duc du clan Aelias, Seffer, aimait bien chasser dans cette ville. Il chassait souvent dans le parc local ou dans les quartiers de la Toussaint, quartiers malfamés de cette métropole. Et en plusieurs siècles d’existence, il n’avait jamais été vraiment déçu. En général, les proies étaient jolies, bien dotées en formes, en poitrine, en galbe, en beauté et en litre de sang…Le seul ennui, c’est que Seffer devait toujours faire attention à ne pas se faire remarquer…l’existence des vampires devait demeurer secrète…donc ils essayaient de ne pas faire disparaitre trop d’humaine…et surtout, il était gourmand, très gourmand, il n’avait jamais assez de nectar sanguin. Il ne désirait toujours plus, encore et encore, il en consommait des doses encore plus grandes…Avec tous ses pouvoirs, il avait besoin de litres de sang pour les conserver. Et l’ennui, c’est qu’une humaine ne suffisait pas…Seffer Aelias, troisième duc du clan vampire des Aelias, devait donc chasser l’humaine en groupe…Ce qui incluait donc de se déplacer à plusieurs…Or le suceur de sang préférait la chasse solitaire. Il lui faudrait une proie qui ferait office de réservoir de sang, qui à elle seul pourrait servir de festin pour le seul Seffer. Impossible ! Une telle proie n'existait pas.
Il faisait donc nuit, il était même assez tard. La montre gousset en or du duc et aristocrate vampire indiquait au moins vingt trois heures et même bientôt minuit, heure des monstres. La pleine lune trônait dans le ciel étoilée. Une grande partie de la population de la ville avait regagné ses habitations…mais bien entendu, il y avait toujours quelques humaines errantes…proies faciles pour des vampires comme Seffer. En fait, c’était la proie classique, la proie type de tous les suceurs de sang…Une proie un peu naïve, voir complètement idiote, qui rentre chez elle tard le soir…après une soirée entre amis par exemple…et qui, à un moment ou à un autre, décide de dévier de son chemin habituel…voir de s’engager dans certains endroits pas franchement fréquentables…Par exemple, une belle japonaise brune, quittant une soirée, un pot entre collègues et qui prend un raccourci en passant par le parc…Le parc, endroit sans lumière, sans personne, sans aucun bruit…pas franchement l’endroit idéal pour une humaine la nuit. Surtout quand le vampire Seffer Aelias en avait fait son terrain de chasse de prédilection. Surtout que maintenant, le vampire n’était plus un débutant…donc la rencontre et la présentation avec sa proie tournait maintenant rapidement court…Il fondait rapidement sur sa victime et lui faisait passer un sale quart d’heure.
Il y avait aussi la touriste étrangère, la belle irlandaise rousse ou la blonde platine plantureuse qui avait quitté son hôtel…histoire de voire la ville de nuit…ou encore la petite étudiante en uniforme qui après une soirée bien arrosée remonte chez elle…le parc était l’endroit idéal pour chasser. D’ailleurs, ce soir, Seffer était particulièrement affamé. En fait, il ne prenait plus forcément le temps de se cacher, d’attendre sa proie, de jouer avec, il fondait directement sur elle, sans ménagement et sans précaution. Il n’attirait plus forcément ses proies dans un buisson ou dans un bosquet pour abuser d’elle…Il le faisait maintenant directement au centre du parc, près de la fontaine, voir à l’entrée…Ce soir, c’était au centre du parc, à coté de la fontaine…dont les jets d’eau étaient bien sur éteints à une heure aussi avancée de la nuit. D'ailleurs, si vous approchiez de la fontaine, si vous passiez dans le parc, vous ne pouviez qu'entendre des bruits étranges comme des cris de douleur...ou de jouissance...n'oubliez pas que Seffer mord et viole ses proies.
Ce soir, près de la fontaine, au centre du parc, le vampire avait réussi à piéger plusieurs humaines : une japonaise, une touriste irlandaise et une petite étudiante brune encore vêtu de son uniforme. La scène n'était pas des plus belles à voir. Seffer était quasiment nu, il conservait seulement son pantalon. Son torse nu montrait un torse musclée, athlétique, à la peau aussi blanche que du marbre ou de l'ivoire. Au sol, deux des trois proies du duc : allongé, nue, loin d'être mortes, leurs vêtements en lambeaux non loin de leurs corps inconscients, une marque de morsure au niveau de la gorge. La dernière, la petite étudiante était entre les mains de Seffer, ce dernier se permettait le luxe de la violer en plein milieu du parc...En effet, sa verge était sortie et enfoncée directement dans le minou offert de sa partenaire...La pauvre hurlait de douleur...tandis que son tortionnaire la prenait en levrette...là dans le parc...et qu'il la mordait en même temps. Trop occupé à s'amuser, le duc n'avait pas utilisé son odorat sur développé et n'avait donc pas remarqué la présence d'une autre humaine dans le parc...tout juste près de lui...tout juste derrière lui, surement attiré par le bruit, une humaine surement trop curieuse. Quand il se rendit compte qu'il était observé, le duc, content d'avoir une autre proie, sortit sa verge de la chatte de l'étudiante et la laissa s'écrouler sur le sol...exténuée, abusée, inconsciente. Il se retourna et remarquât alors l'intruse, non loin de lui, près du corps des deux autres humaines...Il vit que c'était une assez jolie femme...qu'il allait encore pouvoir s'amuser. D'une humeur joueuse, Seffer, torse nu, le sexe encore sorti du pantalon, se contenta de dire :
- Bouh !
Bien entendu, une humaine normale aurait pris les jambes à son cou devant une telle scène. Mais Seffer savait que les humaines normales, seines d'esprit, étaient dès plus rare dans cette ville.