++ Au manoir des Aelias, recrutement, sang et nostalgie ++

[HJ : Désolé, c'est pas vraiment terrible je trouves pour un début...]
         
   
      Le manoir du clan vampire des Aelias n’était qu’une des nombreuses possessions de ce regroupement de vampire. Une association d’être de la nuit dirigée d’une main de maitre par le duc Seffer Aelias dans le but de rassembler tous les autres clans et d’en former plus qu’un. Si possible, sous la direction de Seffer. Les Aelias étaient particulièrement bien implantés sur Terra et surtout dans la cité état de Nexus. Cette dernière avec sa population importante constituait un terrain de chasse idéal…mais aussi un terrain de recrutement idéal. En effet, le clan pouvait recruter des vampires déjà existant ou bien transformer des humains occupant des bonnes places dans l'élite de la population locale. Bien implanté, le clan disposait d’un grand nombre de vampires, d’un gros capital financier et de plusieurs domaines dans tout Terra…Ce manoir était en quelque sorte une résidence secondaire…la résidence secondaire préférée de Seffer Aelias…une sorte de pavillon de chasse…Un peu comme l’ancien Versailles de Louis XIII, un pavillon de chasse à l’origine, proche de la forêt et du gibier…et ensuite seulement le Versailles de Louis XIV. C'était identique pour ce manoir là, c'était avant tout un pavillon de chasse, un endroit proche du gibier humain...un endroit idéal aussi pour le stocker. D'ailleurs, les caves du manoir regorgeaient de jeunes femmes et hommes enlevés et stockés avant d'être consommé par les vampires. La plus belle pièce étant conservée pour le duc bien entendu. Cette bâtisse se situait donc dans les bas fonds, plus exactement au cœur des bas fonds, c'était pas vraiment le genre de batiment qu'on s'attendait à voir dans ces quartiers pauvres...Elle détonnait avec le reste des bâtiments.

C'était un manoir d'inspiration victorienne. Quand Seffer était venu pour la première fois dans ce batiment, il n'était alors que le sujet de la vampiresse et duchesse Lahmia Aelias...Ce n'était encore qu'un petit manoir, une petite bicoque même. Après sa prise de pouvoir, le noble l'avait refait entièrement. C'était maintenant un vrai manoir victorien...Après tout, Seffer lui même était natif de l'Angleterre victorienne...Il s'était contenté de réaménager le batiment selon un manoir victorien qu'il connaissait déjà. La façade était en brique. Il était grand, on pouvait voir, de l'extérieur, qu'il devait avoir au moins trois ailes. Il y avait une grande cour devant et un grand jardin avec une grande fontaine à l'arrière. Le tout était entouré par une barrière ornée de piques. Devant le grand portail et devant l'entrée principal, deux statues représentant des chauves souris trônaient en maitre...Le lion était certes un emblème royal...mais la chauve souris était l’emblème du vampire ! Bien entendu, le batiment avait pris un coup de vieux et il avait quand même besoin d'un ravalement de face. Beaucoup de temps, d'années et de siècles s'étaient écoulés depuis la prise du pouvoir de Seffer. On voyait clairement que la façade était un peu décrépi, que quelques vitres étaient cassées et que certains arbres du jardin et de la cour pavée étaient morts depuis au moins un siècle...Étrangement, il n'y avait pas de gardes devant la grille du portail, cette dernière était même ouverte. En fait, pour entrer, c'était simple, il suffisait d'appuyer sur la sonnette...

Pourquoi si peu de mesures de sécurité ? Tout simplement parce que les vampires pouvaient sentir l'arrivée des intrus bien avant qu'il n'approche de la porte...de plus, il serait risqué d'entrer par effraction dans le manoir. Une ou deux calèches étaient dans la cour...Seffer Aelias, troisième duc des Aelias recevraient ils du monde ce soir ? Maintenant que nous avons fait la description externe du manoir, détaillons un peu l'intérieur. L'intérieur du manoir des Aelias n'est que faste, luxe et richesse...avec une petite touche de morbide et de perversité quand même, marque du maitre de maison. Il y a trois étages, sans compter la cave. La cave sert donc de frigo pour proies fraiches et abritent aussi la cuisine (les vampires ne mangeant pas...la cuisine est une pièce servant à rien) et d'autres pièces comme la chaufferie, la buanderie. Le premier étage contient toutes les salles de réceptions et un grand hall. Le grand hall est une vaste pièce, ressemblant à une ancienne salle de bal, avec des murs aux papiers peints raffinés couleur or, un parquet et un grand lustre. Le premier étage comporte aussi de multiples salons, salles à manger et le bureau du duc. Le deuxième abrite les chambres des vampires. Le dernier est réservé entièrement au duc...Oui, les cercueils des vampires ne sont pas à la cave. En fait, ils sont dans les chambres, à la place des lits et les fenêtres sont bouchées...Les suceurs de sang sont quand même des êtres raffinés.

Au premier étage, on peut trouver le petit salon de Persephone. Une petite pièce charmante, cosy, au mur en bois et avec un parquet ciré, un grand tapis persan, quelques fauteuils datant de l'époque victorienne, une large cheminée en marbre, un peu de mobilier supplémentaire, quelques tableaux dont un assez grand représentant Persephone mangeant la grenade offerte par Hadès...ce qui la condamna a passer une partie de sa vie en tant que reine des enfers. Sur un des canapés, le duc Seffer Aelias est assis...Il lit un ancien livre, ou plutôt un grimoire, remplis de symboles étranges...un verre de sang à la main. Quelques gardes sont pas loin. Les gardes dans le manoir sont habillés en costards et portent souvent un masque représentant un animal...une excentricité du duc. Seffer était habillé d'une tenue dès plus raffiné, montrant clairement son rang. Il jeta un coup d’œil à sa montre gousset. Minuit. Parfait ! Son invitée n'allait pas tarder à arriver, à sonner à la porte d'entrée.

Un petit brin de nostalgie s'empara alors de l'aristocrate ! Il fallait dire qu'il avait un passé commun avec son invitée, son futur hôte et peut être une future alliée...et qui sait...un peu plus...cela remontait maintenant à plusieurs années et ce qui était, auparavant, une des premières proies du vampire dans les bas fonds, étaient maintenant elle même une suceuse de sang...Il lui avait envoyée une invitation, histoire de lui proposer de rejoindre son clan ou de venir tout simplement discuter du bon vieux temps...Il savait qu'elle allait venir, elle n'allait pas manquer une telle occasion, il le savait. En attendant son arrivée, le duc discutait avec un de ses conseillers, Hadil, un des plus anciens vampires de son clan. Un grand homme noir avec l'apparence d'un trentenaire.

- Le clan Meejara continue de nous chercher des noises...Dit Hadil.

- Certes, mais ils ont perdus un grand nombre de troupes...Il ne s'en relèverons pas. répondit le duc. J'espère que tout est prêt pour notre invitée...et qu'en est il de ma surprise ?

- Tout est prêt monseigneur.

C'est alors que la sonnette d'entrée sonna, l'invitée du duc était enfin arrivé. Hadil s’éclipsa, histoire d'aller chercher l’hôte de son seigneur.

Blanche-Neige s’attarda un moment devant le long miroir de sa chambre d’hôtel, l’invitation dans la main. Elle l’avait relue une bonne quinzaine de fois, sans jamais réellement comprendre. Enfin, elle savait où elle devait se rendre, oui, et qui elle y retrouverait. Ce qui faisait tourner son ventre, et son esprit embrumé. Elle angoissait, comme une pauvre actrice le soir de sa première. L’idée de le revoir, elle y avait pensé bien souvent, quand elle ressassait, faute de dormir. Mais le fait que ce soit lui qui l’invite … Elle inspira un grand coup, et se colla une gifle pour se réveiller.
Elle avait le teint pâle, ces temps-ci. Cette claque réveilla le rouge de ses joues, la rendant plus vivante. Elle se dirigea vers son armoire, sans vraiment être sûre de savoir quoi mettre. Depuis combien de temps ne l’avait-elle pas vu ? Elle ne comptait pas les jours, elle était loin d’être de ce genre, mais elle n’arrivait plus à se situer. Bon, habille-toi, qu’on en finisse, lui ordonna sa conscience.

L’armoire fut ouverte rapidement. Elle attrapa un corset noir, un jupon en coton surmonté d‘un autre en fine dentelle blanche, des petites chaussures à talons volées à une danseuse du Moulin Rouge, des collants en résille noir. Rapidement, elle repassa devant le miroir … Et retira tout ça. Ce n’était pas possible. Elle ressemblait à une dépravée, une danseuse de french-cancan reconvertie dans la prostitution. Un long soupir s’échappa d’entre ses lèvres, et elle fondit sur son armoire. Il était aristocrate, maintenant. Elle devait faire attention … Ou pas. D’un geste assuré, elle récupéra la première tenue, l’enfila et se posa devant le miroir. Elle était prête. Elle attacha ses cheveux en les coinçant avec des pinceaux, et sortit de la pièce, après avoir mis une veste cintrée. Elle trouverait le chemin toute seule … Elle savait où c’était. L’invitation dans une main, qu’elle serrait pour se déstresser, elle marcha.
Et arriva. Elle ne savait même pas combien de temps elle avait ainsi gambadée. Elle avait pensée, pendant tout le chemin. Elle avait imaginée ce que pouvait être, désormais, celui à qui elle devait son statut de vampire.
Et elle sonna. Le cœur trépignant dans sa cage thoracique.
Et elle entra. Un peu tremblante. Les lieux était gigantesques, fastueux. Elle en eut le souffle coupé.

- Suivez-moi.

Le trentenaire qui l’avait accueillit n’avait rien en commun avec les souvenirs qu’elle avait de Seffer. Ce n’était pas lui, elle le sentait. Elle avait oubliée qu’elle était dans la demeure d’un puissant chef de clan, il devait donc avoir des associés, des domestiques. Elle se sentit immédiatement sur la défensive. Elle pouvait se faire épier, attaquer … Calme-toi. Elle se contenta de le suivre, droite et fière, quoiqu’un peu à l’étroit dans son corset, et elle entra dans la pièce. Sans même s’en rendre compte. Elle réagit brusquement, se contentant d’une révérence maladroite mais pleine de bonnes intentions, avant de relever la tête vers Seffer Aelias.
Et de lui adresser un sourire. Gêné, mais dissimulant suffisamment de joie à son égard. Ses yeux bifurquaient à droite, à gauche, analysant les lieux, puis finir par se poser sur le vampire. Blanche-neige clignait très peu des yeux, ce qui faisait de son regard quelque chose de très intimidant. Même si elle savait qu'elle n'intimiderait pas cet homme ...

- C’est un plaisir, souffla-t-elle.

Elle reprit sa respiration.

- Je vois que tu as bien changé depuis notre dernière rencontre.

Un nouveau sourire appuya ses propos. Elle était d'ailleurs étonnée, si ce n'était admirative, devant ce qu'était désormais Seffer. Alors qu'elle restait une vampire de bas-étage. Elle chassa ces pensées de son esprit , ne se sentant pas l'envie de se dénigrer.

      Tandis que son conseiller était parti jouer le majordome et accueillir, comme il se doit, l’invitée de son seigneur et maitre, Seffer Aelias regardait d’un air songeur son verre de vin…de vin sanguin…délicieux nectar qu’il avala d’une traite et posa ensuite le verre vide sur une table de chevet. Combien de temps ? Combien d’années ? Cinq ? Dix…Il ne savait pas. Mais étrangement, même si son hôte n’avait été qu’une de ses nombreuses proies, elle conservait une certaine place dans l’esprit du duc. Seffer s’était bien amusée cette nuit là…Il se souvenait encore des détails…des gouts de la poitrine de Blanche Neige, de son intimité étroite, de cerceuil, oui, oui, Seffer Aelias se souvenait du moindre détails…et du fait qu’il l’avait lui-même transformée en suceuse de sang. A l’évocation de se souvenir, un grand sourire se dessina sur son visage…tandis qu’il sortait un mouchoir en soie de la poche gauche de son pantalon pour essuyer une goutte de sang perdu sur son visage…Décidément, il avait beau être un aristocrate, il ne savait toujours pas manger correctement. Il déposa le mouchoir aussi sur la table de chevet. Les portes s’ouvrirent. L’invitée entra…Décidément, elle n’avait pas vraiment changé…Toujours aussi blanche, toujours la reine des neiges et des glaces, vêtues d’habit de fille de joie…toujours aussi branlante…Un corset entravant une poitrine qui demandait qu’a sortir, une jupe, des bas résilles…le vampire ne s’attendait pas à mieux. Nul doute qu’une telle tenue avait surement dut choquer le conseiller, habitué a plus de distinction. Mais cela ne choquait guère le duc. Après tout, c’était lui le noble et le chef…Il n’y avait donc que lui qui pouvait s’habiller élégamment.

Elle fit une révérence, le conseiller s’éclipsa et ensuite les portes se refermèrent. Quand la femelle se releva, ce fut au tour de Seffer de se lever, de quitter le fauteuil moelleux où il s’était confortablement installé quelques minutes auparavant.

- Oublie ce genre de politesse avec moi…On ne connait que trop bien. Dit il directement.

Il s’approcha ensuite directement de la jeune femme, rapidement, très près d’elle, à quelques centimètres de son visage même. Le vampire ne changeait pas…Il agissait toujours vite et directement, il savait toujours ce qu’il voulait.  Une de ses mains alla sans hésiter caresser le visage de la jeune femme, la peau était toujours aussi froide et blafarde.

- Et je vois que tu n’as pas changé toi…toujours aussi…glacial. Dit-il ironiquement.

Les vampires n’étant pas des êtres au sang chaud.

- En effet, j’ai pris du galon. Duc…étonnant, non ? Un pervers comme moi…tu te souviens encore du cercueil, je présume…

Il l’indiqua d’un geste de la main. Le lit du duc, le même cercueil que blanche neige et lui avait partage était contre un mur dans le coin de la pièce. Le vampire s’était dit qu’il serait bien de parler un peu du bon vieux temps…

- Il faut dire que ma femme fut d’une très grande gentillesse avec moi…avant de me céder sa place à la tête du clan.

Le vampire s’écarta et s’approcha du feu de la cheminée. Il avait quand même changé…et aussi il agissait un peu différemment qu’avant…en même temps, la jeune femme était maintenant de la même nature que lui. Il ne pouvait traiter une vampiresse que comme son égal…tant qu’elle le respectait.

-   Mais bon trêve de politesse. Tu dois te demander pourquoi je t’ai invitée. Je suis parti un peu rapidement  par le passé, non ? Néanmoins, j’ai quand même conservé un œil sur toi. Les murs ont des oreilles et des yeux, ici sur Terra. J’ai des yeux partout…et je dois..avouer, très chère, que je fus un peu triste de te voir toute seule…avec ta nouvelle condition…donc je me suis dit…

Toujours aussi joueur que par le passé et toujours aussi guindé au niveau des bonnes manières, il s’interrompit.

- Mais j’oublie, a tu manger ? Ou plutôt, a tu bu du sang récemment ?

Le duc claqua des mains. Hadil revint avec une jeune femme, très jeune, la vingtaine. Une serveuse dans une taverne des bas fonds de Terra…superbe rousse aux yeux verts, peau de lait, pure beauté irlandaise…pur produit de Terra surtout. Habillée d’une belle robe, chancelante, fragile, apeurée, terrifiée, les mains attachées. Hadil partit et le duc prit la jeune femme par sa longue tignasse rouge feu…l’amena prêt de la jeune femme…arracha la robe et la fit tomber sur le sol…il indiqua la gorge de la rouquine à sa partenaire.

- Va y, mords, régale toi…tu me sembles affamée. Tu n'as pas belle mine.

Dit il, un grand sourire pervers sur les lèvres, le genre de sourire que blanche neige avait connue dans le passé. Surtout quand il avait chassé ensemble…

Elle l'écouta parler, hochant la tête pour laisser entendre qu'elle portait une grande attention à ses propos. Le regard voilé par les souvenirs, elle le laissa lui toucher le visage; avec même un fin sourire. Même les yeux fermés, elle aurait pû reconnaître sa peau. C'était gravé en elle. Cet être avait fait d'elle une tueuse, une suceuse de sang sans aucune limite ... Elle lui devait bien cela. Des souvenirs. Mais la vampire accueillit les derniers propos de Seffer avec quelques froncement de sourcils. Sous-entendait-il qu'il la surveillait ? Devait-elle se sentir en danger, ou au contraire en totale sécurité ? Devait-elle même en être ravie ? Elle s'apprêta à répondre, mais fut interrompue par les mots de l'homme.

A manger ? Son coeur tressailli dans sa poitrine. Depuis 4 ans, elle ne faisait que déguster, sans jamais être entièrement rassasiée. Elle se nourrissait que quelques personnes, passant ici et là. Jamais délicieux, jamais dégueulasse, une neutralité qui a dégoutait parfois de son statut. Elle inspira un grand coup, le fixant, tandis qu'un sourire, petit à petit, naissait sur ses lèvres, dévoilant ses canines délicates et dangereuses. Elle sentit une chaleur envahir son coeur ; l'attaque, le sang, tout cela nourrissait son statut de tueuse. Elle se sentait, ainsi, presque mieux. Elle analysa ensuite la jeune femme, terrifiée, qui ne cherchait qu'à s'en sortir, à survivre.

- Tu as toujours sû me faire plaisir, lança t'elle, amusée et presque cynique.

Elle caressa du revers la joue de la jeune femme. Belle. Très belle. Elle devait être délicieuse. Alors, d'un bond, elle attrapa la rousse par la taille, la serrant contre elle, les crocs plantés dans sa peau. Dieu, que c'était bon ... Elle sentit tout son corps se ranimer. Elle redevenait un animal, une créature bestiale et incontrôlable, dirigée par la faim et l'envie. Ses yeux s'illuminèrent, son coeur se remit à battre, elle se sentait, à nouveau vivante. La rousse devenait un poids, dans les bras, mourant à petit feu. Blanche-neige avait toujours aimée ce statut de voleuse de vie. Quand le coeur ne fut plus qu'une enveloppe lourde, elle la posa avec douceur sur le sol, admirant les traits de celle qui avait été son repas.
Puis elle fixa à nouveau le vampire. Pour sûr, elle avait changée ... Pommettes rouges, yeux brillants, lèvres tachées de sang, regard animé de fougue et de force ... Elle redevenait celle qu'elle avait été, auparavant.

- Elle n'a pas meilleur goût que toi, dit-elle, joueuse, mais elle fut délicieuse ...

Elle inspira violemment.

- Alors, que me vaut cette invitation ... Duc ?

Curieuse, elle souhaitait savoir ce qu'il attendait d'elle, ce qu'il lui offrirait. Un sourire, à nouveau, apparut sur ses traits, dévoilant ses canines.

Un Duc ...  Elle s'en sentait d'autant mieux, maintenant. Cela lui offrait beaucoup de possibilités, pour changer radicalement.

     Quel spectacle attendrissant que de voir sa création se nourrir avec une telle hargne !! On aurait dit une gamine affamée, sautant sur une grosse sucette et la dévorant sans aucune pitié. C'était si...chou !? Elle avait saisit la rouquine par la taille, elle l’avait directement mordu sans aucun préliminaire, elle avait planté violemment ses crocs dans la gorge de cette pauvre mortelle…Ouch ca avait dut être douloureux pour l'humaine. Pauvre petite serveuse ! Elle avait été capturée seulement quelques heures avant la rencontre entre le duc et son ancienne amante...Elle n'avait même pas eut le temps de faire le tour du propriétaire. Et surtout, elle était fraiche...Une proie digne de ce nom pour une vampiresse. Nul doute, elle n’avait pas eut de vrai repas depuis un certain temps…surement quelques proies de temps à autre. Seffer Aelias, comme tous vampires, connaissait bien ce genre de phénomène…mais maintenant qu’il était membre d’un clan et même son dirigeant, il ne connaissait plus cela…Il avait toujours les meilleures proies à portée. Une chose que la jeune vampiresse pourrait surement avoir elle aussi, si elle rejoignait le clan de son ancien amant. En tout cas, elle buvait ce sang avec une telle fougue…Et cela lui faisait du bien...C'était clairement évident. Elle reprenait des couleurs, de la force, de la beauté...Elle était maintenant si belle et vraiment au même niveau que l'aristocrate. Elle ne pouvait que sentir la force qui parcourait maintenant son corps…C’était un peu le grand problème du vampire, il perdait de sa force et de sa vitalité quand il ne buvait pas régulièrement une dose complète de nectar sanguin…Il devenait un cadavre…une loque sans sang…puis après avoir bu, il renaissait comme le phénix en quelque sorte…Le seul spectacle de Blanche neige mordant sa proie excitait le chef de clan des Aelias, une petite bosse se forma au niveau de son entrejambe sur le coup...

Comment rester de marbre devant un tel spectacle ? Seffer Aelias regarda le corps inerte de la femelle reposant sur le sol du petit salon. C’était une vue particulièrement agréable…Néanmoins, il ne pouvait pas laisser un cadavre dans son beau salon…en plus, du sang pourrait couler sur le beau tapis persan de la pièce. Il ne fallait pas abimer une telle pièce, si rare, si couteuse. Oui, le duc était un peu devenu précieux par rapport au vampire des rues et des ruelles des bas fonds de la cité état qu’il était auparavant. Il claqua encore une fois des mains, Hadil rentra, secoua la tête et s’empara du corps. Il le prit a bout de bras, sans aucune peine, et l’amena dehors. Les portes se refermèrent, la discussion pouvait maintenant continuer, l’aristocrate pouvait répondre aux questions de son hôte et lui faire des propositions.

- Bien, maintenant que tu t'es régalé, je peut continuer notre conversation précédente. Donc je disais que j’avais remarqué que tu étais toute seule maintenant…

Il marqua une pause. Regarda l’horloge sur la cheminée puis reprit tranquillement.

- En partant, en te laissant seule, je ne me suis pas comporté comme un gentleman.

Seffer Aelias s’approcha de nouveau de sa partenaire. Elle avait encore du sang autour de la bouche…C’était si chou ! Au moins, il n’était pas le seul à manger comme un sagouin ! 

- Et je désire corriger cette bavure. Te donner une nouvelle famille en quelque sorte…commença t’il.

Il saisit les cheveux de la jeune femme avec fermeté.

- Tu ne serais plus seule, tu pourrais enfin avoir de quoi manger tous les jours…Tu serais toujours aussi belle qu’actuellement…

La main du vampire glissa le long du corps de la blanche neige, passa rapidement entre ses jambes et alla se loger directement au niveau de ses bas. Il écarta le doux tissus de sa culotte et sa main glacial entra en contact avec la chatte de la reine des neiges...Intimité qu'il avait bien connu bien des années auparavant et qu'il désirait connaitre de nouveau. Il caressa doucement l'intimité de cette dernière, écarta les lèvres et tandis qu'un de ses doigt glacé entrait dans la chatte de sa partenaire, il ajouta :

- Je pourrais t'amener avec moi au plus profond des ténèbres, de viol, du plaisir non consentant, de la torture et tous ce genres de choses démoniaques...

Il vint alors voler un baiser à la vampire. Un baiser fugace et rapide, juste un petit avant gout de ce que pouvait être la suite.

- ....Duchesse. Conclua t'il.

La vampire n’osa pas contredire les propos de Seffer. Certes, il l’avait laissée seule, ce qu’elle aurait pû lui reprocher maintes fois. Ses premières journées de sa condition de vampire lui avait égratigné le cœur ; devoir se débrouiller, seule, sans avoir de réel refuge … Ici-bas, le monde des vampires rimait avec celui de l’anarchie. Le plus fort, le plus rusé, avait le droit de survivre. Elle avait dû faire énormément de concessions et de progrès pour rester en vie.

Mais là, il lui offrait de vivre, à nouveau. Et à ses côtés, qui plus est. Un pâle sourire naquit sur ses lèvres, avant qu’il ne la saisisse par les cheveux. Par réflexe, elle sortit les crocs, de crainte qu’il n’ai envie de la mordre ou de lui faire du mal. Ce geste fit tomber sa chevelure maintenue avec peine par deux pinceaux, qui roulèrent sur le sol, dévoilant ses longs cheveux d’encre. Elle l’écouta, le cœur battant, sentant sa main glisser contre sa peau, ravivant quelques souvenirs. Elle sursauta en sentant la-dite main se loger entre ses jambes, et laissa un soupir échapper de sa bouche. Elle ressentie une profonde envie envahir son corps et son esprit, hésitant à répondre.
Il l’enchantait.

Elle sentit son doigt entrer en elle, et eut un bref gémissement, étouffé dans un sourire, savourant ce baiser. Sa main glissa le long de la joue, du torse du vampire, reconnaissant sa peau, la caressant du bout des doigts.

- Duchesse … Cela m’irais fort bien, tu ne trouves pas ?

Elle sentait sa respiration devenir, à nouveau, brûlante, et sa main remonta pour griffer la nuque de Seffer, signant un nouvel accord.

- Je te suivrais dans les ténèbres, Duc … souffla-t-elle. Emméne-moi là-bas ...

     Un soupire s’échappa des lèvres de Blanche Neige tandis que le grand méchant loup faisait entrer un appendice dans l’intimité de-la-pas-si-innocente que cela princesse…Cela ravivait bien des souvenirs chez le duc et chef de clan vampire des Aelias, Seffer, troisième du nom. Et de ce simple baiser, de ces simples doigts, la chaleur montait dans le corps de l’aristocrate…Une chaleur ancienne comme surgie d’un passé lointain et presque oubliée. Une bosse de plus en plus visible commençait d’ailleurs à se former au niveau de son entre jambe. Comment rester de marbre ? Pourquoi donc le duc voulait il prendre femme ? Pour bien des raisons…Pourquoi elle ? Car en quelque sorte, elle le hantait depuis leur première rencontre, depuis qu’il avait abusé d’elle et depuis qu’il l’avait transformé. Car elle était belle…elle était une reine des neiges, une princesse endormie, une pomme empoisonnée…et le duc ne voulait qu’elle comme duchesse et épouse. Un doigt puis un deuxième, tout aussi glacée, entra dans la chatte de sa future épouse et amante…commençant quelques vas et viens, commençant à établir un rythme…tandis que les mains de la jeune femme parcourait le corps de Seffer. Elle le gifla même…preuve de son acceptation…Il fallait avouer que c’était une bien drôle de demande…en mariage…en quelque sorte…

Le duc écarta les longs cheveux bruns de sa partenaire, chevelure maintenant libre sans les pinceaux qui les retenaient. Une de ses mains s’occupaient toujours du minou de la jeune femme, histoire de la rendre un peu humide…le programme de la soirée était dès plus chargé. Le duc avait bien l’intention de lui montrer les ténèbres dès ce soir…Il allait surement lui donner un peu de plaisir avant, histoire de recommencer avec le bon vieux temps…et aussi essayer de voir si elle était une épouse bien docile…ou si elle lui donnerait du fil à retorde. Il irait surement aussi s’amuser avec quelques proies fraiches à la cave, partir en chasse éventuellement et se prêter à quelques rites de magies noires et sataniques avant le lever du soleil. En attendant tous ces petits événements, la main libre du comte défit les fils du corset, laissant tomber ce morceau de tissu, laissant libre la magnifique poitrine de blanche neige. Immédiatement, cette même main libre agrippa avec force un des nichons de la jeune femme…le caressant, le soupesant, le maltraitant surtout…avant de s’attarder sur un tétons, de le prendre entre les doigts, de le pincer, de tirer dessus…assez fortement d’ailleurs…ce genre de traitement que lui imposait le duc devait surement être délicieux et douloureux en même temps. Elle se faisait donc triturer les seins et doigtait d’un autre coté…tandis que le duc glissa son visage dans son cou, ouvrit la bouche et sortit les canines…effleurant la peau de sa partenaire avec ces dernières.

- Duchesse Aelias…Oui cela t’irait à ravir. Ma tendre épouse…

Sur un des fauteuils du petit salon, la jeune femme pouvait, si elle regardait, voir une belle robe noire sombre, bien décolleté par la même occasion…Une belle robe que le vampire lui avait mise de coté pour plus tard. Le coté sombre de cette dernière ferait surement ressortir la paleur de sa peau. Le duc planta alors ses canines dans la gorge de la jeune femme…ce fut douloureux…et plaisant pour le duc, surement aussi pour blanche neige. La coutume de partager son propre sang chez les vampires étaient plutôt rare en soit…les vampires étaient des morts…leur sang étaient morts…cela était bon mais cela ne nourrissait surement pas. C’était plus une pratique rituelle…une sorte de baiser des amoureux à la sauce suceur de sang. Il la mordit, ressortit ses canines et les replanta encore une fois…la blessure allait de toute façon cicatrisait vite…Il les ressortit, embrassa la gorge, remonta et lui mordilla un peu l’oreille. Ses mains continuaient leurs basses œuvres. Le vampire lui indiqua sa gorge d’un geste…

- Scellons donc cet union alors...Mords moi ma belle…rends moi la pareille…prends un peu de mon sang. Fait moi mal si tu peux...te gènes pas. La destruction, c'est ca l'amour charnel véritable. Mords-moi pendant que je m’occupe de ton corps. Dit-il.

En soit, il lui faisait un grand cadeau et par cette acte, il faisait comme si il officialisait le fait que Blanche Neige devenait duchesse…sa duchesse…c’était un peu comme un passage rapide devant l’autel.

- Je t’emmènerais au plus profond des ténèbres. Au bord du Styx. Perséphone. Je t’emmènerais dans l’obscurité la plus complète…et si tu est sage, en fin de soirée, je te réserverais une belle messe noire…et sanguine.

Conclua t’il tandis qu’il sortait par la même occasion sa verge de son pantalon, elle était bien dure, luisante, elle n’avait pas changé depuis le temps. Il défit quelques boutons de son haut, laissant entrevoir son torse couleur marbre ou plutôt ivoire.

Une étrange chaleur s’empara du corps de la vampire. Elle sentait des multitudes de frissons parcourir son corps entier, à chaque traitement qu’il lui imposait. Sentir les doigts de son amant, ainsi, entamer un vas-et-vient, la faisait expirer avec plaisir. Ses soupirs étaient délicats, presque prudes. Elle sentait son corps réclamer, encore, avec envie, désireuse de retourner entre les bras et les draps de son amant. Elle le laissa ôter son corset, et accueillit ses caresses violentes avec un long soupir, si ce n’est un gémissement. Que c’était bon … Tiraillée entre plaisir et douleur, elle agrippait le haut du vêtement du vampire, comme seule attache, menaçant de le déchirer à tout instant. Une de ses mains s’était réfugiée déjà sous le tissu, étreignant son torse et son dos, continuant de le griffer légèrement, tandis qu’elle sentait monter en elle un plaisir indicible.

- Cela m’avait manqué … souffla-t-elle.

Elle sentit ses canines sa planter dans sa peau, brusquement, et un cri s’échappa d’entre ses lèvres, à nouveau. Cette union serait célébrée, il le jurait déjà … Elle rapprocha sa bouche du cou brûlant du vampire, y posant ses lèvres, puis plantant ses crocs avec passion. Le sang afflua dans son cerveau, et son corps reçut un frisson immense tandis qu’elle y goutait … Que c’était bon.
Elle savourait autant qu’elle pouvait ce cadeau, puis retira sa bouche, les lèvres rougeoyantes du sang de son amant, une goutte glissant hors de ses lèvres pour venir glisse le long de son cou, puis entre ses seins. Son souffle était chaud, rapide, autant que son corps, tandis que le plaisir venait, en rafale agiter son cœur.

- Mon époux … susurra-t-elle à son oreille.

Une main était collée dans le dos du vampire, et l’autre glissait déjà vers sa verge, tendue, la caressant du bout des doigts.

- Nous verrons bien si je serais sage … murmura-t-elle alors, amusée.

Tout cela n’annonçait qu’une suite qui serait … délicieuse. Elle le retrouvait, enfin. Sa bouche glissa vers son cou, revenant goûter à son sang, par petites gorgées.

     
       Étrangement, cela lui avait manqué aussi…Ses mains parcouraient le corps de cette belle plante et nouvelle épouse, jouaient avec les deux gros seins de sa partenaire, une titillait et pinçait les tétons tandis que l’autre main entamait une entrée et une sortie rapide et fracassante dans la chatte de la nouvelle duchesse des Aelias. Plus bas, la verge du duc était sorti du pantalon. Fièrement dressé, cette hampe se voyait maintenant gratifier de caresse par les mains da la femelle vampire…Ce qui bien sur ne faisait qu’augmenter encore l’excitation de Seffer Aelias, son mandrin devenait encore plus dur, encore plus robuste, prête à être enfourner dans tous les orifices de sa femelle, prête à assumer son devoir conjugal. La chaleur, l'envie, le désir montait dans le corps de Seffer. Bon sang, il n’avait qu’une envie la prendre là maintenant…sur le fauteuil en levrette…ou dans le canapé en missionnaire…sur la table…sur le tapis ou tout simplement et pour faire référence à leur passé commun…dans le cercueil posé contre le mur, celui qui avait été leurs premières couches communes. Il désirait la prendre, se la faire, dans tous les recoins du petit salon et si possible, dans toutes les positions...Seigneur, ca allait prendre toute la nuit ! Elle l’avait mordue, elle avait bu de son sang et elle continuait, encore et encore…Quelle sensation délicieuse ! Le vampire sentait un grand plaisir l’envahir tandis qu’il perdait un tout petit peu de sa vitalité…Il l’avait mordue aussi, il continuait d’ailleurs. Il continuait de planter ses crocs dans la gorge offerte de Blanche et ils échangeaient même des baisers…sanguinolents.

- Je te rendrais sage…dit il, joueur.

Oui sur, il allait la rendre sage, la prendre avec force dans tous les coins possibles de la pièce. En fait, c’était un peu comme deux amants séparés depuis très longtemps. Deux amants chacun à un bout du monde qui se revoyait ensuite après bien des années écoulées…A la différence, que le lord et la duchesse étaient des amants immortels. Elle lui griffait le torse…Seffer se défit alors de son vêtement, l’arrachant même, histoire qu’elle puisse s’amuser complètement avec son torse. Il la faisait souffrir et prendre du plaisir en même temps…en lui martyrisant les seins…elle lui rendait la pareille. Une union complémentaire…Elle était à lui. Elle lui revenait.

Le vampire glissa de nouveau ses canines dans la gorge de la Blanche neige, avala une gorgée de son délicieux sang. Quand il ressortit ces crocs de la plaie, de la gorge de sa partenaire, il fit glisser volontairement un peu de sang sur cette dernière, sur son cou, une longue trainée rouge qui descendit jusqu'à sa poitrine. Il se dégagea un peu de son étreinte, descendit la tête au niveau du cou de sa princesse et lécha la coulée de son sang…Ce serait un gâchis de laisser tout ce sang si délicieux… tout en ponctuant cette peau de quelques baisers et morsures. Il descendit au niveau de la poitrine de sa tendre épouse, léchant le sang qu’il y avait déposé d’abord puis se dirigea vers le téton du sein gauche de sa partenaire, le prit en bouche, le suçota, le titilla du bout de la langue…et le mordit…ouch.

Néanmoins, Seffer n’était pas du genre patient ni du genre doux d’ailleurs. Leur union était scellée maintenant…le duc voulait donc la suite…la suite logique des choses…la nuit de noces. Même si cela allait surement être un peu douloureux pour la jeune femme…et surement pour lui aussi un peu. Il arrêta son œuvre, ses mains cessèrent de jouer avec le corps de sa partenaire. Il se dégagea et d’un coup sec, il arracha les derniers vêtements de la duchesse, la laissant quasiment nue...Les collants étaient encore présents. La jupe, la culotte volèrent en éclat, le corset demeurait sur le sol du petit salon. Après tout, elle était une duchesse maintenant...Elle n'avait plus besoin de ces morceaux de chiffon...Elle allait avoir des superbes tenues, robes, fines, en textiles rares et précieux, couteuses et ses sous vêtements en dentelle, etc. Alors l'aristocrate saisit son épouse par les cheveux et l'entraina contre lui, l'embrassa une dernière fois...et la jeta au sol violemment. Un comportement normal pour un vampire comme Seffer...moins pour un mari. La jeune femme demeurait nue sur le parquet ciré du petit salon. Il s'approcha, saisit encore une fois Blanche Neige par les cheveux et la mit à genou...Avant cela, le duc s'était débarrassé de son pantalon. La vampiresse se retrouvait nez à nez avec la belle verge du duc, un beau pieu dressé devant son charmant minois.

- Montre moi ta fidélité. dit il.

La suite des choses étaient assez évidente. De plus, le vampire avait quand même une certaine conception de l'épouse : fidèle et obéissante.

(HJ : Désolé, pas terrible)

( HJ : Pas terrible ? Tu rigoles ! Je trouve ça bien, moi (: )



Elle était à lui, elle lui revenait ... Sans doute acceptait-elle cette conception. Pour le moment, elle lui suffisait. Vouloir jouir d'une liberté insécurisante l'avait rendue à l'état de loque. Aux côtés de son époux, elle pourrait retrouver toute sa personnalité. Battante, forte ... Mais soumise, juste pour lui. Et encore ... Joueuse, elle n'accepterais pas toujours. Cette idée la réconforta, un peu.
La présence, le corps, les baisers de son amant lui rendait la vie, et elle sentait déjà son corps qui réclamait le sien. Même si sa pudeur humaine était restée, bien présente, dans ses chairs, elle savait que face à lui, elle ne ferait pas le poids. Autant tout abandonner, et se donner entiérement. Avec joie ... songea t'elle en souriant. Et même si la douleur était au rendez-vous, elle apprécierait ainsi d'autant plus leurs ébats.

- Tu me connais, n'est ce pas ? répondit-elle, toujours avec cette voix sensuelle.

Quand il retira ses vêtements avec violence, elle étouffa tout de même un cri de résistance, presque de tristesse. Elle allait rester nue, offerte ... Cette idée lui fit presque peur, un moment, mais elle chassa ce sentiment de ses pensées, quand il l'attira vers elle, l'embrassant. Une vive douleur balaya sa nuque, et elle retomba sur le sol, dans un gémissement de douleur. Sa cuisse était rougie par le choc, et la surprise la fit hoqueter. Elle avait presque oubliée cette violence dans ses actes ... Elle se positionna à genoux, forcée par cette prise dans sa chevelure désormais décoiffée, et reçut son ordre comme un défi. Sa fidélité ? Ses dernières années, son absence l'avait poussée dans bien des draps ... Face à lui, elle se devait de réparer cela.
Alors, avec des gestes attentifs, elle commença doucement à le masturber avec sa main, préparant la suite. Quelques secondes après, elle se mit à sucer le bout de son sexe, avec une certaine timidité, enroulant son gland avec sa langue, le titillant ... Puis elle l'enfourna entièrement dans sa bouche, entre ses lèvres, commençant un vas-et-vient d'abord lents, tendres, puis presque infernal. Le sexe entrait et sortait de sa bouche, tapait contre son palais. Sa langue, habile, caressait son sexe, joueuse.
Des années à s'exercer ...

Cependant, son esprit de jeune femme indécemment rebelle reprenait le dessus ... Ne serait-ce que pour taquiner son époux. Alors, d'un mouvement de mâchoire, elle se permit une chose qui le mettrait peut-être en rogne, mais qui pimenterait toute la suite de cette journée : elle planta ses crocs dans sa verge, d'un geste franc et quelque peu violent.
Restait à voir comme il réagirait ...

        Dans le petit salon de Persephone du manoir du clan Aelias, le maitre de maison et dirigeant de cette association de suceurs de sang, Seffer, profitait de sa position de mâle dominant et mari pour se faire faire une gâterie…Et diantre que sa partenaire savait s’y prendre avec ce genre d’engin. Seffer se demanda alors si Blanche Neige était déjà aussi talentueuse dans ce genre de domaine à l’époque de leur première rencontre. Bon, on ne pouvait pas vraiment comparer…A l’époque, il avait abusé d’elle, l’avait forcée à prendre son membre en bouche…l’avait forcée totalement d’ailleurs. Néanmoins, il était évident que la jeune femme avait beaucoup progressé depuis la dernière fois. Elle était surement passé dans bien d’autres couches que le cercueil du duc, passée dans bien d’autres bras que son nouveau mari, elle avait donc surement pratiqué ce genre de gourmandise adorée des hommes un certain nombre de fois…Elle avait progressé…Nul doute…cela se voyait certes…mais cela se sentait aussi. En effet, elle procurait un plaisir incroyable à son partenaire et nouvel époux. Une chaleur incroyable montait dans le corps de Seffer Aelias. La suite des choses allaient être épiques et torrides.

Progressivement, elle avait pris le bon gros pieu de l’aristocrate en bouche. Elle lui faisait faire des vas et viens, le titillait du bout de la langue, l’astiquait avec sa main…La langue habile de cette ancienne amante passait sur un engin qu’elle connaissait bien…mais qu’elle n’avait pas eut l’occasion de manipuler depuis un certain bout de temps…elle regagnait le temps perdu en quelque sorte. Seffer se doutait bien que les choses n’allaient pas être aussi faciles. Il n’avait pas choisi Blanche Neige comme épouse pour rien. Elle était une de ses premières victimes, un de ses premiers coup de cœur aussi certes…mais elle était aussi pleine d’énergie, de vie, de destruction…de destruction surtout…surtout quand on voit ce qu’elle fit à la verge du duc. Oui, Seffer, s’attendait à tout, à mener un âpre combat pour baiser sa partenaire…mais de là à le mordre ! a mordre son sexe ! C’était quand même une atteinte grave à son anatomie royale ! Oui, elle l’avait mordue…Et bien fort en plus ! Et pour la première fois, Seffer découvrit que les vampires ressentaient vraiment de la douleur à ce genre d’endroit…Elle l’avait mordue ! Elle avait planté ses crocs dans la verge de son époux !! Bon sang, cela mettait en rogne le vampire…tout en lui donnant une leçon…sa nouvelle épouse n’était pas une breluche…Bien sur, au moment de la morsure, un cri de douleur s’était échappé de la bouche de Seffer qui se reprit ensuite…Il ne fallait pas non plus ameuter tout le manoir et faire débouler les gardes…Il allait la corriger lui-même. Il retira violemment son membre de la bouche…un air de surprise sur le visage. Faut dire qu’il ne s’y attendait pas à celle là.

- Comment ? Commença-t-il.

Oh ! Et puis trêves de bavardages ! Quitte à la punir, autant le faire pour de bon, autant ne pas tergiverser et agir. Il saisit la tête de Blanche Neige par les cheveux et enfonça son mandrin au plus profond de sa gorge offerte…Il entama alors une série de vas et viens rapides, si rapides, si forts, le tout sans sortir le membre, sans laisser le temps à la jeune femme de la respirer…en abusant sa bouche, il établissait un rythme de vas et viens étouffants. Il continua cela pendant plusieurs minutes au moins…Il la laissa respirer pendant un instant puis reprit sa basse besogne, faisant entrer de nouveau son membre jusqu’au plus profond de la bouche de sa partenaire. Étrangement, certes elle l’avait un peu vexé en le blessant…mais surtout elle l’avait excité encore plus.

- Me mordre quand même…

Il continuait de lui défoncer la bouche.

- A cet endroit. continua t'il.

Après quelques minutes, il ressortit encore son membre. Et là, il constata que la morsure n’avait pas été sans conséquence. Une petite plaie se trouvait sur le manche de sa verge…Quelques gouttes de sang s’y trouvait. Il l’indiqua à la jeune femme d’un geste de la main…

- Regardes ce que tu as fait. Bon, nettoie moi cela. Dit il, sourire aux lèvres.

Décidément, la soirée s’anoncait…pimentée.

[ HJ : Et bien, ravi qu'il t'est plu. Je trouve celui la meilleure par contre comme post ^^ ]

Elle se doutait que cela le mettrait en rogne .. C’était bien là la seule chose qu’elle aimait … La colère influait sur la passion. Passion destructrice, dangereuse, surtout concernant Seffer Aelias. Passion dont elle payait les frais, avec plaisir. Elle le connaissait assez pour savoir ce qu’elle risquait en jouant à ce genre de jeux avec lui … Et c’était pile ce qu’elle cherchait. Quelque chose qui fasse qu’il ne puisse l’oublier … Et qu'ils passent ensemble de trés bons moments.

Mais le choc fut quand même rude pour la jeune vampire. Quand il agrippa sa tête, elle devina très facilement ce qu’il comptait faire. Cela osa même lui procurer quelques sensations plaisantes, et même excitantes. Elle aimait jouer. Surtout avec lui. Elle sentit sa poigne sur sa chevelure, et il commença à faire aller sa tête comme bon lui semblait, tandis qu’elle essayait de suivre le rythme. Humph, il se vengeait admirablement bien. Elle manquait de s’étouffer, presque. L’adrénaline parcourut son corps tout entier, tandis qu’elle se laissait - presque - faire, essayant d’opposer résistance avec quelques « Mmh »  qui se voulait révoltés.

Quand il relâcha son visage, elle reprit sa respiration. Mais il ne lui laissa guère de répits. Elle se décida alors à lui accorder, au moins, ce genre de cadeaux. Elle rapprocha sa bouche de son sexe, et passa un coup de langue sur sa verge, goutant le sang, à nouveau. Elle reprit son sexe en bouche, le léchant généreusement, avant qu’une vague idée ne s’insinue dans son esprit.
La jeune femme se redressa alors un peu, lui murmura un :

- Compte là-dessus ...

… Et se remit au travail, mais d’une autre manière. Elle attrapa entre ses doigts le sexe de Seffer, et le cala au creux de sa poitrine. Une goutte de sang extraite du membre coula sur un de ses seins, tandis qu’elle commençait à les frotter, doucement, excitant son membre entre ses seins, commençant quelques vas-et-viens délicats, dans le seul but de le pousser à avoir en plus envie d’elle … Elle avait une folle envie qu’il la prenne, comme avant, sans prendre de gants.
Cette idée en tête, elle recommença à titiller son gland, du bout de la langue, tout en maintenant sa queue entre ses seins, de plus en plus vite, un sourire sur les lèvres.
Cette morsure était, au fond, un mal pour un bien …

( En espérant que ça plaise aussi (: )

     Cette petite partie de jambe en l’air, ce premier accouplement d’une longue série dans la nouvelle vie des deux amants immortels, était comme un retour en arrière…Seffer avait certes toujours été violent dans l’acte lui-même. La violence était surement une de ses marques de fabrique, une des choses aussi qui faisait de lui un bon amant. A ces yeux, le plaisir ne pouvait être obtenu que par des sensations extrême comme la violence, comme la douleur, faire souffrir et en obtenir un grand plaisir…comme tous les bourreaux le faisaient d’ailleurs. Un bourreau appréciait toujours son travail. Mais là, c’était revenir dans le passé…On n’était plus dans le petit salon de ce vaste manoir mais dans une cave, un soubassement d’un bâtiment abandonnée des bas fonds de Terra. Une pièce glauque, sombre avec un cercueil…et Blanche Neige n’était pas un vampire mais une pauvre humaine…nue…violée et abusée sans ménagement. Il avait l’impression de revenir en arrière, plusieurs années auparavant. Et maintenant, il avait bien l’intention de baiser sa partenaire sans ménagement, comme une vulgaire humaine, comme au bon vieux temps…

Sans broncher et avec un plaisir évident, la duchesse nettoya la verge de son époux. Obéissante et joueuse, elle nettoyait la blessure que sa morsure avait causée sur la hampe fièrement dressé de Seffer. Elle alla encore plus loin, en logeant cette queue entre ses gros nichons…frottant l’organe génital de l’aristocrate contre ses deux mamelons, faisant des vas et viens…la peau de son sexe chaud contre la peau de ces deux gros ballons…Quel plaisir ! On ne pouvait pas demander mieux…le duc bien sur jouait le dominateur et essayait de ne pas montrer le plaisir qu’elle lui donnait…mais bon sang, qu’est ce qu’elle lui donnait comme plaisir. Il leva rapidement et fugacement les yeux vers le plafond tandis que sa partenaire commençait maintenant à titiller le bout de son gland avec la langue…toujours en gardant son pieu entre les seins…Bigre ! Il se devait de la prendre…De la prendre violemment…Il désirait maltraiter cette épouse, cette chienne…Seigneur, voila qu’il commençait à penser plus vulgairement que d’habitude, elle le faisait sortir de ses gonds…pour son plus grand plaisir.

Après quelques minutes de cette branlette espagnole délicieuse, le duc retira son membre d’entre les deux seins de sa partenaire. Il saisit encore une fois la tête de la jeune femme et entra encore une fois sa verge dans la bouche offerte de sa partenaire…Seffer enfonça son mandrin au plus profond de la gorge de Blanche Neige. Il refit son vas et viens volants plusieurs fois, prenant un grand plaisir, laissant échapper quelques soupirs de plaisir d’entre ses lèvres de cadavre ressuscité. Son regard scruta la pièce, se fixa sur un point et air pervers et sadique apparut sur le visage de Seffer Aelias, troisième duc du clan des Aelias.

- Chienne…

Murmura t’il. Il saisit ensuite sa partenaire par les cheveux, la releva de force et l’envoya valdinguer en direction de son fauteuil. Heureusement, la duchesse était une vampire et elle possédait les mêmes dons que son partenaire…Car il l’avait envoyait valser nue à travers la pièce sans aucun ménagement…Une humaine ordinaire en aurait bien souffert…Voir même gravement. Le duc se saisit de son pantalon qui était posée sur le sol et en retira la ceinture, qu’il posa sur une table de chevet non loin du canapé, elle aurait une utilisation jouissive plus tard dans la soirée.

- Si c'est une correction que tu veux...

Il avança rapidement, plus vite qu’un humain ordinaire, et fondit sur la jeune femme…qu’il attrapa encore par les cheveux (il faisait une fixation sur ses cheveux ou quoi ?!) et la renvoya valdinguer au sol. Il la mit a quatre pattes de force…quoique…nul doute qu’elle devait apprécier ce genre de traitement…et mit une violente, très violente gifle sur les fesses de la reine des Neiges. Il griffa même les belles fesses rebondit de sa partenaire, glissa son membre entre les fesses de sa partenaire…et au lieu d’aller se loger dans la chatte de son épouse…Il décida de la faire souffrir vraiment…Seffer remonta sa verge vers une entrée secondaire plus serré…vers le joli cul de la jeune femme…et d’un coup de buttoir incroyablement violent…il perfora, pénétra fortement et avec fracas, l’anus de Blanche Neige. Sans prendre le temps de laisser la jeune femme s’habituer à cette pénétration douloureuse, il commenca une série de vas et viens rapides et douloureux, son membre entrant et sortant de cet antre étroit…tout en posant fermement ses mains glaciales sur les fesses de la vampire, histoire qu’elle ne s’enfuit pas. Il lui déposa une claque puis n’hésita pas à la saisir par les cheveux…une bonne levrette douloureuse comme au temps de leur rencontre…quelle preuve d’amour !

( HJ : Ton post me plait au plus haut point)

Une bien belle preuve d'amour, assurément. Étant vampire, la chute n'avait pas était bien douloureuse. Sa résistance lui permit de se maintenir en état, sans perdre conscience. Elle avait un peu mal aux cheveux, suite à tous ces traitements douloureux, mais si délicieux ... Elle savait que, quand il était comme ça, il était au meilleur de sa forme. Même s'il n'en laissait rien paraitre, elle le savait envieux. Autant qu'elle l'était de lui. Quand il sortait de ses gonds, c'était là même qu'il était le meilleur ... Le regard brillant, elle se releva, le fixant, avant qu'il ne la jette sur le sol. Dans un petit cri, elle retomba, à quatre pattes, sur le tapis, surprise. Que comptait-il faire ? Une vampire restait toujours sur la défensive, surtout face à des êtres tels que Seffer ...

La gifle retentit, et elle l'accueillit avec un cri de surprise. Elle savoura les griffures - son péché ... - et attendit la suite. La surprise, là encore, fut de taille ... Quand elle sentit le sexe de son époux entrer aussi brusquement dans son cul, elle poussa un long cri, mêlé entre plaisir et douleur ... Elle n'arrivait même plus à parler, bouleversée par ces traitements. Elle sentit ensuite une de ses mains glacée maintenir ses fesses, qui envoya une vague de frissons extrêmes le long de son épiderme, et grogna de plaisir en sentant la prise sur sa chevelure. Les joues rouges, le souffle corps, la jeune femme ne contrôlait même plus ses pensées ...

- Putain ... Que c'est bon ...

Lança t'elle dans un murmure, tandis qu'elle serrait entre ses doigts le tapis, accueillant plaisir et douleur. Son souffle était entre-coupés de gémissements qu'elle ne cachait plus, ne prenant même pas le peine de se vouloir pudique ... Son regard croisa la ceinture, et un souvenir vint poindre dans son esprit. Elle sentait son corps qui remuait à chaque coup de butoir, ses seins qui valsaient, libérés, et sa gorge qui brûlait. Son corps glacé devenait brûlant, et les mains gelées de son amant lui offraient une multitude de frissons.

Tout comme elle sentait le plaisir grimper en elle, de plus en plus vite, de plus en plus violemment, perforant chacune de ses limites. Il savait y faire ... Elle sentait qu'elle n’allait pas regrettait d'être venue ici.

- Tu vois ... ce que tu fais de moi ?

Lui murmura t'elle, entre deux gémissements, amusée. Il n'y avait qu'avec lui qu'elle était ainsi ... Et il n'y avait que lui qui l'asservissait avec autant de plaisir.


( Un peu court, désolé :/ )

     Ce qu’il avait fait d’elle ? Sa possession, son bien, son épouse, son amante, sa création, son esclave, son animal, sa chienne…le vampire afficha un large sourire tandis qu’il continuait de sodomisait, sans aucun ménagement, Blanche Neige. Docilement, elle se laissait asservir. Mais en quelque sorte, cette union était dés plus complémentaire...Il l'asservissait et lui donner un plaisir immense, un plaisir que nul autre que Seffer Aelias ne pouvait lui donner...tandis qu'elle...tandis que Blanche Neige...Diantre ! Elle avait la capacité de le faire sortir de ses gonds. Car bien que violent avec la grande partie de ses partenaires non consentants, il ne traitait pas ses congénères de la sorte…Sa princesse était un cas unique. Elle le poussait dans ses retranchements...et en quelque sorte, à quitter ses atours de duc, de noble vampire pour ceux du vampire des rues et des ruelles qu'il était plusieurs années auparavant. En tout cas, Seffer Aelias la traitait violemment, sans ménagement, comme elle le désirait, comme dans le passé…comme une humaine ordinaire. Il laissa échapper un râle de plaisir d'entre ses lèvres et administra une violente gifle sur la fesse gauche de sa partenaire tandis qu'il saisissait toujours les cheveux de cette femme d'une autre main, histoire de la dominer complétement...Il tenait cette touffe de cheveux comme on tenait une laisse...comme un cavalier tenait les rênes de sa monture. Elle aimait cela ! Cela se voyait clairement. Les cris de jouissance suffisaient à le montrer. En attendant, Seffer continuait de la sodomiser. Sa verge et entrait et sortait du cul serré de la jeune vampire. Il avait établi un rythme croissant, rapide, infernal...son bassin claquait contre le fessier rebondie de Blanche Neige. Il ne marquait que quelques pauses, histoire de reposer son engin...puis sa hampe entrait de nouveau dans le cul de sa partenaire, reprenant sa basse besogne.

Le vampire ressaisit sa poigne sur les cheveux de la duchesse, tirant dessus.  Il continuait de la sodomiser à même le sol du petit salon, il continuait aussi, de temps en temps, de gratifier ce fessier de plusieurs gifles et même de quelques griffures. Souffrance et plaisir en même temps…le credo de Seffer ce soir. Son regard détailla le corps de sa partenaire, tandis qu'il la prenait par derrière, une de ses mains alla se poser sur les deux gros ballons de Blanche Neige, les malaxant, les caressants, tirant sur les tétons comme un fermier l'aurait fait avec les pis d'une vache...tout en continuait de la prendre avec force. Il ne fallait pas oublier de satisfaire ces deux obus. Son regard s’arrêta ensuite sur la ceinture...Il avait faillit l'oublier celle là...il allait l'utiliser bientôt. Son regard s’arrêta ensuite sur son cercueil, présent dans un coin du salon, contre le mur. Cette couche aussi devait être aussi utiliser, histoire de rappeler le bon vieux temps et de partager sa couche avec sa nouvelle épouse...couche étroite qu'il faudrait surement agrandir d'ailleurs.

- N'est ce pas ce que tu as été toujours été...Une chienne...ma possession..

Dit il. Il marqua une pause. Cacha les seins de sa partenaire, gifla une de ses fesses tout en continuant de la pénétrer.

- Depuis notre première rencontre. Et cela ne changera jamais...pour toujours. Acheva t'il.

Pour une fois, il avait éviter les blagues douteuses. Après tout, il aurait bien put terminer sa phrase par un "jusqu’à la mort nous sépare"...phrase culte du mariage...mais même marié, ils demeuraient des morts vivants. Ils ne connaitraient jamais la mort à moins que...D'un coup, le duc se désengagit du corps de Blanche Neige...Retira sa verge de l'anus de sa partenaire. La passa rapidement sur son minou...le pénétra et reprit la levrette pendant quelques minutes...histoire de ne pas laisser un des orifices de la jeune femme non explorés. Il tenait à faire bien les choses. Il continua de la pénétrer avec force...même si la douleur avait dut s'être un peu réduite. Encore quelques minutes, une demi heure facile et le duc se désengagea complétement. Il sortit sa verge de la chatte de sa princesse et se leva. Il alla prendre la ceinture et avec l'autre main, il saisait sa partenaire par les cheveux. Seffer l'envoya, à nouveau, valdinguer à travers la pièce. D'un geste violent de la main, il balaya son bureau, virant toutes les babioles qui étaient posées dessus...le laissant libre pour une nouvelle prise par derrière. Il reprit alors la jeune femme par les cheveux, une énième fois, et l'amena vers le bureau...la plaqua contre...sans ménagement...avec une certaine violence...

Le duc noua alors la ceinture autour du cou de Blanche Neige...un collier...un collier comme on mettait aux animaux. Histoire de bien lui montrer ce qu'il faisait d'elle...son bien, sa possession. Un vulgaire objet. Au lieu de saisir les cheveux de la jeune femme, cette fois il la saisit par le collier. Seffer la reprit alors, enfonça de nouveau, avec un grand coup de rein, sa verge dans l'anus de la jeune femme...un orifice maintenant un peu plus ouvert. Il reprit alors le rythme infernal d'auparavant et même l’accéléra encore...Ce n'était qu'une étape entre le sol et le cercueil...Il passait du parqué au bureau et ensuite du bureau au cercueil...leur couche nuptial.

( Hj : Pas grave, la longueur n'a pas d'importance pour moi )