Venez jouez maîtresse Isthar ++pv++

Doucement mon corps remue, je le sens sans vraiment faire attention, mon nez a sentit un odeur qu'il aime, qu'il apprécie.. Je sais ou je suis dans la cage qui est ma chambre, mes bras son attacher dans le dos, mon corps couvert par le latex, semble brillant sous la faible lumières.. J'aime quand je bouge la caresse du latex, se tissu si doux, si froid quand on le met, si chaud par la suite... Mes jambes aussi son attachée, je suis couchée au sol, obligée de bouger comme un vers, je ne sais ce qui m'attends mais je m'en fiche, je ne veux qu'une chose sentir les doigts de ma maitresse sur mon corps, la sentir me frapper, me donner du bien Je sens l'odeur de nourriture. Mais je sais que je ne pourrais manger, je porte la tenue complète, celle qui ne laisse qu'un trou pour respirer, ma bouche est fermée par un bout de latex élastique, qui permets de s'enfoncer un peu mais sans plus, un système ingénieux d’attache permets de détacher les endroits stratégique, mon anus, mon vagin, ma bouche, mes yeux si il le faut. Mais je n'ai pas envie de voir pour l'instant, je sais que ce n'est pas la maitresse... Un homme est venu me faire faire mes besoin un peu plus tôt, je n'ai pas faim.. Si j'ai faim mais pas de nourriture, la porte de ma prison s'ouvre... Un homme s'agenouille prés de moi.. Je le sens, son odeur si virile me rend fou, je ne peu m’empêcher de gémir.. un bruit de vêtements qui tombe et un membre qui caresse mon visage, des doigts qui réussisses a défaire les attache de ma bouche... Comme une affamée j'engouffre le sexe dans sa bouche, le corps toujours allonger au sol, j'aspire, suce pompe comme al putain que je suis, c'est si bon de pouvoir avoir un peu de plaisir, mes petit couinement de plaisir résonne dans la pièces, alors que l'homme semble silencieux.. Aspirer de plus en plus...  Le chibre de l'homme se raidit alors que je ne pompe que plus fort, aspirant encore plus, cherchant a tirer ma pitance.. Enfin.. enfin le foutre se répands dans ma bouche. J’avale gourmande que je suis, c'est la seul gâterie que j'aime bien que la mouille de ma maitresse soient encore meilleur, soudain je tourne mon visage vers l'une des porte en dehors de la cage, je connais ces pas, la maitresse arrive, j’espère pour l’homme qu'il avait la permission de m'utiliser... Mais d’après le bruit qu'il fait en se rhabillant , je dirais que non , je sais que la maitresse vas vouloir jouer, a l'aveuglette je rampe jusqu'au plat de nourriture plongeant en douceur mon visage dedans pour laper manger avec soin... Il faut que je soient en forme pour la maitresse... J'aurais eu plus facile si l’homme l'avait verser directement, mais il s' enfuyais , comme un lâche..

Ishtar entre enfin dans la cellule, ses pas résonnant dans la pièce alors qu'elle remarque que le gardien vient de se rhabiller à la hâte. La dragonne remarque tout de suite la braguette mal remise du pantalon en latex moulant du gardien. Elle l'observe un instant avant de lui attraper la gorge. Son regard se fait mauvais alors qu'elle lui sacre une baffe en plein sur la visage.

"Je ne permet pas qu'on utilise mes jouets, gardien ! Tu vas payer pour avoir voulu user de ma patience et de ma gentillesse..."

Après lui avoir envoyé le retour de sa main sur l'autre joue, Ishtar le fait soudainement coucher sur le ventre avant de s'asseoir sur le dos du jeune gardien, qui venait de se remettre à quatre pattes, efféminé à la ample chevelure argenté. Car oui, sur Inferis, les gens doivent cultiver leur féminité pour espérer monter dans la hiérarchie de la cité. Souriant de plus belle en utilisant le gardien comme siège, elle se met à caresser son esclave, passant ses mains sur le latex de sa combinaison. Elle lui attrape alors ses gros seins et les soulèves, jouant avec calmement en souriant perversement. Puis elle défit calmement les lanières qui retenaient ses bras et ses jambes en place.

"Ton corps est tellement agréable... Tu n'es pas la plus jolie, mais c'est sur toi que le latex est le plus beau..."

Ishtar localisa l'emplacement de anneaux aux tétons de sa soumise et ouvre légèrement la tenue pour laisser apparaître ses tétons percés. Puis, en silence, bien que lâchant par moment des petits rires pervers, elle ouvrit doucement la braguette de la combinaison pour voir le vagin affamé de sa soumise. Bougeant de son doigt l'anneau du clitoris, elle sort des petites chaînettes. La première rejoins l'anneau clitoridien à la cheville gauche de Rubber, la deuxième va de la cheville droite à l'anneau. Une troisième relit le poignet gauche de Rubber à son téton gauche et il en va de même pour une quatrième chaînette qui relie son poignet droit et son téton droit. Enfin, Ishtar mit la laisse de Rubber en place avant de claquer les fesses de son "siège".

"En route, petite salope."

Le soumis se met en marche, transportant Ishtar sur son dos. Rubber est alors bien obligée de la suivre mais à chacun de ses mouvements, la chaînette du membre en train de bouger tir obligatoirement sur l'endroit où il est rattaché. Ce spectacle fait rire Ishtar qui regarde Rubber Doll dans sa plainte.

Que j'aime entendre ces talons , le bruits ressemble pour moi a une musique si douce que j'ai envie de fermer les yeux et d'attendre que le paradis arrive, paradis que je sais toujours précéder de douleur... Mais qu'importe la douleur donner par la maitresse est une bénédictions.
La voix de la maitresse est aussi une musique des plus douce a mes oreilles, surtout que la colère de ma maitresse est diriger contre d'autre. Je ne peux la voir mais qu'elle plaisir que de l'entendre...

Je ne peux laisser échapper qu'un petit grondement de plaisir quand je sens les doigts de la maitresse sur ma combinaison en latex, dieu.. Que cela peu être comment dire frustrant que de sentir ces doigts sans qu'elle ne touche ma peau... Je suis libre de mes mouvements mais pour l'instant je me laisse caresser par la maitresse, dieu que j'aime cela, je suis a ma place a cet instant... Je ne veux rien d'autre...

Alors elle me trouve jolie dans ma tenue, dieu que je suis contente qu'elle me trouve jolie, je ne voudrais pas lui déplaire...  je sentit mes seins libéré, le froid les caressant, j'adore que ma maitresse joue comme cela avec mes piercings... et enfin mon vagin fut lui aussi libéré.. Je ne savait ce qu’elle attendais de moi...

Soupirant je la sentit attaché quelque chose a mes piercing, je savait que cela allait me faire mal quand j’allais bouger, le moindre petit mouvement tirais sur les anneau.. Dieu qu'elle douleur quand je vais marcher. En route, doucement je fit un pas a quatre pattes...
Je sentit les chaines tirer sur mon clito, j'avais raison cela faisait mal, je ne pouvait m’empêcher des petit cris de douleur a chacun de mes pas, mais j’avançais, pas après pas, a quatre pattes au sol comme une chienne..

Le plus douloureux était surement ce petit tiraillement sur mon clito, et pourtant.. Pourtant je sentais comme un plaisir monter dans mon corps, dieu que j'aimais quand cela me faisait mal... Un pas de plus avant que je ne trébuche, ce n'est pas facile d'avancer a l'aveuglette..

Pourtant doucement je me relève, couinant de douleur... Il faut suivre la maitresse a tout pris...

« Ma..maitresse. »

Ma voix était étouffée par le vynil qui la couvrais mais je n'avais put m’empêcher de le lâcher, et de me remettre en marche. Je voulait qu'encore la main de ma maitresse me caresse...  Je ne pouvais avais qu' a petit pas, tout petit pas, trop grand je m'arracherais les piercings.