Hum, il n’avait jamais vu de femme ou quoi ? Bon, rougir dans l’intimité, c’était compréhensible, certaine personne avec honte de leurs corps. Mais, de la a rougir pour quelques formes. C’était assez étrange. Bon, il faudrait penser à le déniaiser un peu a l’occasion, car se savoir fort physiquement est une chose, mais s’il se fait manipuler par la première venue, bha sa vie se résumerais a dix secondes. Oui, les femmes sont bien plus rusées sur ce genre de chose. Enfin, dans tous les cas, il était temps de se mètre en route.
A sa demeure enfin, elle avait mit du temps a rassemblait la somme nécessaire pour l’achat de cette demeure. Mais cela en valait effectivement la peine. C’était son repaire, son chez soi. Et elle en était très fière. Enfin, cela elle ne devait pas le dire. Mais, c’était quand même le seul lieu, ou elle se sentait bien. Bon, et bien maintenant, il y avait quand mêmes quelques petites choses à faire. La première, serait de prendre une douche. La seconde, de se faire un bon repas. Et la troisième bha, il laisserait la surprise à cette bestiole. Ce ne serait sans doute, pas une mauvaise surprise pour lui. Mais, passons.
Elle s’arrêta devant le portail, et se tourna devant le pauvre petit être.
-Alors, Cécile, qu’est ce que tu as appris qui te semble indispensable pour ta survie ? Est-ce que cet entrainement te fut profitable ? Ou est ce que tu préfère en finir maintenant ?
La question était sèche, mais finalement pas plus que d’habitude, mais le papillon devait finalement être habitué désormais non ? Elle ouvrit le portail, et se dirigea directement vers la demeure, souriante. Mais elle ne semblait pas moins dangereuse pour autant. Elle lui laissa cependant quelques recommandations.
-Bien, tu es chez moi. Va prendre une douche, et prend toi un encas si tu veux. Tu en aura besoin pour la suite. Moi, je vais aller me faire couler un bain.
Elle marcha rapidement vers son domaine. Avant de disparaitre dans une pièce. S’enfermant à clé. Elle se fit couler un long bain moussant, l’odeur de rose de ce bain l’apaisait. Elle retira sa tenue avant de se glisser dans cette couverture de mousse.
Elle aimait prendre soin de son look, normale non surtout que cette odeur de vase était juste, désagréable. Mais cela allait mieux.
Durant près d’une heure, elle resta dans ce bain. Laissant le temps au jeune hybride de faire ce qu’il avait à faire. Elle lui réservait une surprise qu’il n’était pas prêt d’oublier.
Elle se sécha rapidement, prenant plus de temps pour ses nombreuses queues. Elle avait beau les haïr dans certaines conditions, elle en prenait toujours soin. Et puis, elles étaient un atout dans la séduction. Les téranides font craquer les hommes, c’est bien connu. Elle se dirigea ensuite vers une des zones de sa salle de bain personnelle. Elle en profita pour au passage récupérer un peignoir en soie de couleur noir. Bien, elle était presque prête maintenant. Mais, il restait quelques détailles. Elle s’assit sur un des fauteuils mit a disposition ici, une brosse a la main, s’occupant de démêler les nombreux nœuds de ses queues, cheveux et oreilles. Un coup de venir de couleur sang, et de rouge a lèvres du même ton.
Si, tous a l’heure, elle semblait être un assassin, la elle était juste irrésistible. Et elle allait en jouer. Bien, il était temps, de passer à la leçon numéro deux. Il fallait d’abord retrouver le néko. Ce qui n’était sans doute pas le plus dur. Elle n’avait qu’a suivre son instinct. Bingo.
Elle s’avança vers lui, balançant ses queues, en même temps que ses hanches, véritable appelle a la sensualité. Elle se plaça, dans le dos du neko, ses queues entourant la jambe de celui-ci. Il sentait le propre, ce qui était le minimum. Le jeu allait commencer. Elle Lui glissant doucement à l’oreille.
-Aller, viens avec moi mon joli. Il est temps pour toi de devenir un homme. Un vrai… Car avoue que tu n’as jamais vu de femme hein ? Il est temps que cela change. Je t’attendrais dans mon lit.
Elle le dégagea de son étreinte. Le laissant seul, et totalement pantois. Elle prit cependant un chemin assez simple histoire de cet empoté ne se trompe pas de chemin. Laissant sa porte ouverte. Elle l’attendait désormais allongée sur les draps en satin de son lit.