Simple douche [PV : Marcus]

« B..Bien… »

Bien que la détente avait prit possession de son corps, Heilayne n’en était pas rassurée complètement, de ce qui allait arriver. Elle avait beau ce convaincre qu’elle faisait confiance en son partenaire, qu’elle n’aurait sans doute pas mal de par ses mains et sa langue experte, il y avait toujours un ‘’mais’’. Son corps commença à trembler et ses bras vinrent se resserrer autour de ses épaules, la nervosité était revenue, pour ce moment qui allait paraître interminable… Pressant la peau qu’elle avait sous les doigts, ses dents commencèrent à se serrer fortement ensemble, la pénétration commençait. Malgré la préparation des plus parfaites, la douleur restait le point de mire, surtout que la noble ne pouvait penser à autre chose qu’à ça, qu’à ce mal qui allait la ronger, et qui commençait à la ronger présentement. Pinçant ses lèvres ensemble pour retenir ses gémissements de douleurs, Heilayne pressa fortement ses mains dans le haut du dos de Marcus, échappant quelques plaintes au fur et à mesure qu’il entrait en elle. Le sang commença à colorer l’eau sous les deux corps des amants, preuve que, bientôt, la douleur s’estompera.

« Non… n..non.. ne tant fait pas… »

Bien blottie dans les bras de Marcus, les yeux rougis par les larmes qui, pendant la pénétration, avaient quittés leurs nids pour voguer sur ses joues, Daelys vint refermer un peu ses cuisses contre les siennes, enlaçant ses jambes aux siennes aussi. Chaque va et vient était une torture, bien que l’hymen avait céder, encore fallait-il que le membre de son partenaire se fraye un chemin entre ses parois si serrées. C’était douloureux, très douloureux, mais la simple pensée que dans les bras d’un autre homme, ça aurait pu être encore plus douloureux redonna confiance en la comtesse, faisant cesser les tremblements de son corps qui, peu à peu, s’extasiait des mouvements de ses hanches. L’une de ses mains relâcha le dos que, sans le vouloir, elle avait un peu grafigné et vint se glisser contre son torse, resserrant un peu ses doigts contre tout en resserrant ses jambes enlacés aux siennes, donnant, sans le vouloir, de la profondeur aux doux vas et vient. Qui aurait pu croire que la luxure était si bonne…? Peu à peu, Heilayne commençait à le constater. La douleur partait, ou plutôt, était partie, ne laissant que les vibrations incessantes qui lui soulevaient le bassin au fur et à mesure que le membre de l’homme la pénétrait.

C’était si bon… Lent, tendre, doux, comme première fois, c’était parfait. L’endroit par contre pouvait laisser à désirer, mais ce n’était tout de même pas la mer à boire.

[j'écris vraiment de moins en moins, pardon >.<...]

Le corps de la jeune femme sembla se raidir quand il entra lentement en elle, mais c'était exactement ce qu'elle ne devait pas faire, si elle se redissait son muscle serait tres receptif a ce pic de douleur et elle aurait encore plus mal. Quel idiot, si Marcus ne l'avait pas prevenu que de perdre sa virginité ferait une pointe de douleur, elle n'aurait pas eut peur du mal et ne l'aurait pas emplifié involontairement. Les yeux clos, il vit des larmes en sortir, c'était presque humiliant de voir une si belle femme pleurer a cause de lui. Le coeur serré, Marcus continua, apres tout, la douleur ne devait etre que ponctuelle, mais les gémissements douloureux de la jeune femme se faisait de plus en plus sonnore. Au point qu'il faillit tout arreter en pensant qu'il agissait mal et qu'elle souffrait pour rien, qu'elle souffrirait toujours. Mais c'est Heilayne elle meme qui le fit continuer, elle enroula tendrement ses jambes contre les siennes pour lui montrer qu'elle n'avait pas peur, qu'elle souffrirait plus tres longtemps. Les parois de la jeune femme étaient encore vierges et la faisait legerement souffrir, mais plus le temps passait et plus leur sensibilité lui donnait plaisir. Elle commenca a apprecier les coups de reins de son amant, laissant une des mains qui avait meurtri sa chair sous la douleur descendre sur son torse pour le caresser avec tendresse. Les parois serré étaient une loge des plus apréciables pour lui comme pour elle, lui sentait son membre comprimé par ces puissants muscles l'encérrant, elle avait l'impression d'avoir un membre bien plus gros en elle et commencait a sentir des vibrations de plaisirs qui la faisait soupirer et changer le ton de ses gemissements.

Désolé, ca faisait plus mal que je ne le pensais.

Tout en s'excusant, le jeune homme descendit sur son visage et l'embrassa avec douceur, voulant lui faire oublier la douleur de sa premiere fois avant de lecher les perles salé de sa premiere fois. Le sang maculait leurs bassins, c'est peut etre le seul probleme d'une premiere fois avec un loup garou. Il se retenait, c'était difficile, l'appel du sang était fort, mais il ne voulait pas rompre ce moment intime, foutu eau qui ne coule plus, si elle tombait encore sur leur corps, elle aurait délivré Marcus de son fardeau, mais c'était impossible maintenant, il l'embrassa et la caressa avec douceur une derniere fois avant de se retirer et de se relever, la mine sombre, le regard triste et la voix tinté de honte.

Je suis désolé, maintenant je ne pourrais plus te toucher, je ne veux pas te faire de mal mais c'est ton sang qui a fait ca, ce n'est pas ta faute mais la mienne de ne pas avoir prévu de retirer ce sang.

Alors qu'il finissait ses mots, sa voix devint encore plus grave et se chargea d'une honte sans nom alors que son corps commencait a grandir, a devenir plus massif et sa pilosité allait grandissante. Il se couvrit d'une fourrure bleue fournie, d'un long museau et de bras puissants avec en guise d'ongle de longues griffes effilé comme des poignards. Il mesuré pres de 2 metres cinquantes et avait une imposante stature, bien plus grande que sous forme humaine. Il recula d'un pas et s'excusa.

Voila pourquoi nous n'aurions jamais dut aller si loin, je suis un lycan, toi une comtesse, une humaine, un diament pur et moi un monstre. Pardonne moi, si tu veux toujours de cette monstruausité qui est rien de plus que ma vraie nature, je peux encore te faire l'amour, mais je ne dois pas te toucher, je ne peux pas te toucher sans te blesser

(et voila je te donne de quoi faire de plus en plus en mettant un peut de piment, pas besoin de merci c'est un plaisir)

« Hm…? Mais de quoi veux-tu par… »

Levant un peu un sourcil, son regard se faisait des plus interrogateur, ne comprenant ni pourquoi il c’était levé, ni pourquoi son ton de voix semblait changer au fur et à mesure que sa mine, elle aussi, changeait. Avait-elle été aussi nulle qu’il la rejetait de la sorte? La tête de la belle se pencha, resserrant ses doigts dans l’eau rougeâtre dans laquelle elle baignait. C’était dégoûtant… Mais pas aussi dégoûtant qu’elle-même, se disait-elle. Ce plaisir si particulier n’était peut être pas fait pour tout le monde, et bien entendue, elle faisait partie du « tout le monde », du moins, c’était ce qu’elle croyait. Les mèches de sa chevelure dont la couleur rivalisait avec celle de l’écorce ce glissait contre son visage, sans gêne puisque Heilayne ne les repoussaient pas. Doucement et avec une grande hésitation, la comtesse releva un peu les yeux, voyant à peine devant elle du aux mèches lui cachant les yeux, donc, très doucement, elle les tassa sur le côté et ouvrit grand les yeux. Son corps changeait… Assez rapidement… Était-ce ce dont il avait parlé du « pas humain »…? Gloussant fortement, Heilayne posa sa main contre sa bouche tandis que son expression faciale changeait de plus en plus, paraissant aussi dégoûtée que terrifié. Ses doigts commencèrent à se presser contre ses lèvres fortement, retenant tous les cris qui étaient coincés dans le fond de sa gorge; muette. La respiration de la comtesse commença subitement à ce faire haletante, venait-elle de faire l’amour avec un… un… Monstre?! Ses excuses commencèrent à s’enchaîner les unes après les autres, résonnant dans la tête confuse de la jeune femme. Elle aurait aimé se lever, partir au pas de course en pleurant toutes les larmes que son corps pouvait lui permettre, mais ne serait-elle pas moins qu’une égoïste? Sa respiration commença à ce calmer à cette simple pensée et sa tête s’arquer un peu sur le côté, le regard toujours rivé sur Marcus. Il n’était pas moins que l’homme de tout à l’heure… non? Son corps avait changé, sa voix aussi, sa manière de se tenir et tout le reste, mais au fin fond, il devait rester ce Marcus à qui elle avait donnée sa confiance aveuglement? Et qui pourtant… Ne le regrettait pas.

Doucement, la comtesse se releva, pressant un bref instant sa main contre son ventre avant de s’approcher d’un pas hésitant vers Marcus, se rapprochant encore un peu… Jusqu’à être devant lui, à moins d’un pas.
« Est-ce que… Ça fait mal… Te transformer? »

Bizarrement, son ton de voix n’était plus apeuré, mais plutôt compatissant. Passer d’homme à homme loup de la sorte, elle ne pouvait le comprendre, mais la douleur ne restait pas simplement lorsqu’on se transforme, ça doit faire tellement mal de ce faire délaisser ou autre, bon sang, elle qui ce croyait un tantinet forte, comment pouvait-elle avoir oublié qui se tenait devant elle…? Comment avait-elle pu oublier que sous cette forme, il restait… Marcus?

Comme il fallait s'y attendre, Marcus l'avait prévenue pourtant qu'elle était avec un non-humain, mais quand il se métamorphosa sous l'appel du sang, l'attitude de la comtesse changea, elle blessa profondément le jeune homme en écarquillant les yeux de terreur, en se recroquevillant sur elle tout en posant la main sur ses entrailles, comme si il l'avait souillé, que ce n'était qu'un monstre. Une profonde tristesse se lisait dans ses yeux noir, il était triste d'avoir fait confiance a une personne qui était capable de le rejeter aussi facilement. Il s'assit, repliant les jambe et posant les bras de part et d'autre, comme un chien, avant de passer sa laongue queue sur ces dernieres comme pour se cacher. Il savait que ce n'était pas naturel d'etre un loup garou, mais l'expression de la jeune femme, sa démarche hésitante le blesserent comme si 1000 lames étaient brandi contre lui.

Oui, tres mal, en géneral c'est mon orgueil qui souffre, ne me touche pas! Je ne veux pas te ta pitié, j'ai vue comment tu t'es comporté en me voyant, tu crois que je n'ai pas remarqué ton horreur alors que tu posait ta main sur ton ventre, comme si tu venait de te faire souiller par un monstre? Je suis ce que je suis, je te l'ai dit, ravale ta pitié, le mal est fait, si tu veux toujours de moi, tu reste, si je te dégoute au point que tu me la montré, parts, je ne te retiendrais pas.

C'était vrai, la douleur qu'éprouvait Marcus était morale, il voyait toujours la meme chose, on le lachait, horrifié de voir un loup qui se terre dans une enveloppe humaine. Il ne voulait pas de ca, il en avait assez de souffrir ce genre de chose. C'était un homme apres tout, qu'importe sa forme, il reste le meme, mais ca, personne ne se donnait la peine de le comprendre, seul une personnne n'avait pas été répugné et ne le regardait pas avec horreur quand il changeait de forme, plus ca allait et plus il se demandait pourquoi, pourquoi ne pas rester avec elle, vivre chez elle et l'aimer, elle et personne d'autre. la réponse est simple, il avait peur, peur de lire sur son visage ce qu'Heilayne lui offrait, peur d'etre finalement vue comme un monstre et rejetté. Si il avait put pleurer, il pleurerait toutes les larmes de son corps tellement ka douleur était atroce. Mais personne ne le comprendrait, un loup garou ca n'a pas d'état d'ame, c'est bien connu, un loup garou violerait la jeune pucelle qui se tient a coté de lui en ce moment, mais pas Marcus, personne ne pouvait comprendre sa douleur de se sentir regeté a cause d'un cliché. Cependant, l'humaine avait toujours le choix, rester ou partir, a elle de voir, il ne la forcera en rien de toute maniere

Suivant Marcus du regard, Heilayne n’en revint pas… Il avait raison, pourtant, la vérité faisait mal. Elle qui s’était toujours dit de restée joyeuse, souriante et surtout gentille, elle venait de perdre ses trois même qualités, et par égoïsme. L’une de ses mains vint se déposer sur sa nuque, pressant fortement sur celle-ci du bout des doigts avant de tomber quelques minutes nostalgique, incapable d’excuser son comportement… Il était effrayent, oui, il serait mentir que sous cette forme, il lui faisait peur, mais c’était simplement le physique qui la rendait hésitante, comment réagir lorsqu’on croit que toute la planète n’est habitée que d’humain, et que dès sa première sortie, on voit un loup-garou?... Rien ne l’avait préparer à sa, et rien ne l’avait préparer à se sentir aussi idiote… Tout doucement, Heilayne vint s’asseoir à son tour sur les pavés de la douche, face à Marcus sans pouvoir par contre le regarder. Non pas par dégoût, mais par malaise… Quitter? Ce n’était même pas envisageable, pourquoi devrait-elle partir? Bien que sa première réaction ait été de se toucher le ventre, il n’en restait pas moins que le pourquoi n’avait pas été ce que le loup avait dit; la sensation bizarre d’une soudaine liberté pesait dans le creux de son ventre, comme si le chemin que le membre de son interlocuteur avait ouvert une porte en elle, c’était bizarre… Comme d’habitude, elle c’était mal exprimée, non seulement en paroles mais en gestes, sûr, elle ne pouvait se faire pardonner aussi vite, ou plutôt, se faire pardonner tout court, mais elle pouvait, en un sens comprendre ce que vivait cette créature… Aussi bizarre que ça puisse paraître, la vie d’une noble n’est pas aussi rose qu’on le prétend, pour une femme du moins. Être élevée dans un climat constant de solitude, vivre tel un bambin effrayer pendant une grosse partie de sa vie et se marier avec un pur inconnu pour préserver la lignée de sa famille, c’était la seule chose que les jeunes femmes pouvaient faire. C’était égoïste de comparer sa vie à la sienne, très égoïste, mais ses pensées s’enchaînaient tellement rapidement dans sa tête, se bousculaient avec une telle hargne que la comtesse ne pouvait rien faire d’autre que de penser à n’importe quoi, penser à des choses inutiles ou, comme dit plus haut, égoïstes.

« Tu as raison… J’ai été… surprise… Bien que tu m’ais dit ne pas être humain totalement… »
Parlant bas, d’un ton hésitant, ses bras vinrent se croiser contre sa poitrine, comme si la gêne était revenue. C’était le cas. Puisqu’il ne la touchait plus, puisqu’ils n’étaient plus en pleine extases et ne pensaient plus à leurs nudité, la gêne était revenue, mais le dégoût d’avoir été souillé par un monstre? Jamais, ô grand jamais cette pensée aurait pu traverser l’esprit de la belle.
« Je ne veux pas partir… Marcus… J’ai du te blesser en agissant comme j’ai fais, je ne te demande pas de m’excuser… Je ne m’y attendais pas… Mais je ne suis pas dégoûté, et je ne veux pas partir… Est-ce que.. hmf… »

Relevant un peu son menton finalement, une petite rougeur avait reprit place sur le visage de la noble, c’était gênant d’être ainsi exposée à un homme qui, pensait-elle, la détestait pour ses agissements, ce qui était normal. C’était même idiot ce qu’elle tentait de demander, mais elle le voulait, ce n’était pas de la pitié cette fois, c’était simplement vouloir passer du temps avec lui… Qui qu’il soit.
« Je peux quand même rester…? JE sais que je me suis conduit et… Ou…. Je me conduis comme une idiote… Moi qui t’ai dit te faire confiance… Je suis une menteuse… M….Mais… J’aimerais me faire pardonner… Je sais bien que comment j’ai agis, ça ne se pardonne pas, mais… Je veux quand même… Rester avec toi… »

Des excuses? Qu'est ce qu'il en avait a faire? la jeune femme l'avait profondément entaché, elle avait détruit la confiance qu'il avait placé en elle, Heilayne ne mesurait pas la porté de ses gestes, la surprise fait pousser un cri, mais elle ne fait pas prendre ses distances, avancer prudemment et éviter de regarder la magnifique fourure bleue claire du loup, il n'avait rien de monstrueux, bien au contraire, il était un beau et grand loup atlétique mais pas aussi trapue que les lycans normaux, son corps était taillé pour la vitesse, pas pour la force brute, il était d'ailleur bien plus apréciable comme ca, qu'avec des cuisses deux fois plus grosse et une musculature monstrueuse. Non, elle n'avait aucune raison de se sentir térroriser, il est juste tres poilu comme chebacca, mais en bleu et en mieux peigné.

Peuh! j'ai l'habitude, tu m'as blessé, mais je te rassure t'es pas la derniere personne qui me blessera, mais le pire c'est que toi et moi on passait un moment tres agréable, je me sent mauvais, je n'ai meme pas été capable d'achever de te rendre femme avant de subir cette faiblesse, maintenant a toi de voir, je peux finir ce que j'ai commencé plus tot, mais tu devra absolument tout faire, je ne suis capable que de te blesser avec ces griffes...

C'était son moyen de lui dire que malgres tout, il lui faisait confiance et il voulait continuer a lui donner ce qu'elle avait déja accepté plus tot, Soudains, il tendis le bras, caressa la joue de la jeune femme avec le dos de sa main qui était d'une douceur incroyable a cause de sa pillosité animale.

Allez, viens plus pres de moi, tu commence a greloter, je suis désolé de ce que je t'ai dit, j'étais en colere, j'avais surement tort, j'ai du mal interpreter tes gestes, pardonne moi de me sentir autant viser, c'est juste que a part la haine, personne ne m'accorde le moindre sentiment, sauf une seule, elle a été la seule a ne pas me considerer comme un monstre, mais je l'ai laissé, je ne veux pas la blesser sans le vouloir un jour où je suis en colère, je ne veux pas voir mes traces sur son corps... je comprend que tu sois dégouté d'avoir perdu la chance de te marier vierge a cause d'un monstre comme moi... moi meme je me dégoute quand je me vois dans cette eau.

Il frappa violement la flaque d'eau, enfonceant les dalles qui craquerent sous sa force dans le sol. Il n'était plus du tout bridé par son enveloppe humaine, maintenant, c'était lui, 100% lycan. Mais c'était une colere saine, il s'en voulait a lui meme d'avoir été aussi dur avec la comtesse, il s'en voulait d'avoir fait une telle erreur en parlant aussi rudement alors qu'elle était simplement sous le choc.

(un peut pourri désolé)

[Prochaine fois que tu t’excuse, je te frappe xD C’est amplement suffisant, AMPLEMENT! ^^ C’est plutôt moi qui devrait m’excuser… Ses temps y, mes posts sont de plus en plus nul… Vraiment, je suis désolé.. ]

Abaissant un peu les yeux, la comtesse ne savait plus quoi dire… Elle avait vraiment mal réagit, et avait sans doute mal parlée aussi, elle n’était peut être pas aussi gentille qu’elle avait pu penser toutes ses dernières années. Elle n’était qu’au bout du compte, une simple noble avec un petit air hautain comme tous les autres, et même si ce n’était pas la vérité, elle commençait à le croire. Un petit sursaut prit tout son corps par la suite, suivit d’un doux frisson au contact de la peau poilue de Marcus. La prunelle de ses yeux revint se glisser dans la sienne, ses lèvres s’étirèrent lentement pour lui offrir un doux sourire et son corps se redressa un peu pour, par la suite, venir se blottir tout contre le sien, faisant attention de ne pas accrocher son membre.

« Je ne le regrette pas… Marcus… »

Accotant doucement sa tête contre son torse, tout près de son cou, Heilayne glissa sa main sur la fourrure bleuté du loup-garou, la caressant du bout de ses doigts avec un petit sourire aux lèvres, à bien y repenser, il ne faisait pas si peur, il avait le même caractère et, sa fourrure était d’une grande douceur; comme lui.

Sursautant lorsqu’il enfonça son poing dans les pavés de la douche, le corps de la comtesse se blottie un peu plus contre le sien, étirant un peu les bras par la suite pour venir tirer le sien vers elle, regardant sa patte voir s’il ne c’était pas fait mal. Bizarre de s’inquiéter pour ça, mais… Étant soigneuse, Heilayne ne pouvait faire autrement que de toujours s’inquiéter, toujours, toujours, sur tout, sur tout le monde, et sous toutes les occasions. Son menton se releva un peu, et du bout de ses lèvres, la jeune femme vint déposer un petit baiser sur son cou.
« Je suis désolée… Je n’aurais pas du agir comme je l’ai fait, tu as eu raison de réagir comme tu las fait, alors s’il te plait… Ne t’en veux pas pour ça. »

(je m'excuse... mais ton post est tres bon tu sais, frappe moi au oui oui oui!!!)

Marcus la regardait se blotir contre lui, elle prenait bien garde de ne pas toucher sa virilité, en avait elle peur? c'est possible, il était bien plus imposant sous cette forme, elle avait pleuré en le sentant entrer en elle, si il recommencait maintenant, il lui procurerais que douleur, c'était ainsi, Marcus le loup ne peut rien faire, il est condamné a faire souffrir les autres quand il perd son corps humain. Meme si il n'est pas inhumain pour autant. Une larme aurait eut une place dans ce moment, mais les loups ne savent pas pleurer, c'est bien dommage car la tristesse du jeune homme était si grande qu'elle en troublait son timbre de voix qui vacillait entre haut et bas.

J'ai honte, honte d'etre ce que je suis, honte de ne pas pouvoir redevenir  moi, tu ne mérite pas ca, tu... tu mérite l'amour d'un dieu, pas d'un monstre.

Alors qu'elle l'embrassait délicatement, la gueule menacante de Marcus s'enfoncait dans l'épaule de la jeune femme, il se reposait dans la douceur et la tiedeur de son corps alors qu'elle regardait sa main. Il aurait bien dit que ca ne servait pas, que c'était dans sa nature que de guerir presque cinquante fois plus rapidement qu'un homme, que ses mains n'ont rien de grave, mais sentir qu'il capte son attention et ses caresses lui donnait tant de plaisir. Il soupira et émit un grondement tendre, comme celui d'un chiot qui a le ventre rond du lait de sa mere. Lentement, il lutta contre lui meme, essayant de redevenir l'homme qu'il était quand il a commencé a rendre femme la petite comtesse tellement insignifiante dans ses bras puissants alors que sa queue caresse tendrement ses fesses et le bas de son dos.

Je vais essayer de redevenir homme. Ferme tes yeux et bouche toi les oreilles, les sons qui sortent de mon corps ne sont pas des son qu'une belle jeune femme devrait entendre.

Il se recula legerement en léchant tendrement la gorge de l'humaine avant de fermer les yeux en s'agitant de tremblement, c'était douloureux, il sentait et entendait son ossature se craqueler pour se replacer, c'était douloureux et franchement désagréable. Apres une petite minute, une main douce passa sur le menton de la jeune femme avant de l'embrasser tendrement et de la faire se blotir contre un corps moins massif, poilu et monstrueux.

J'ai... reussis...

Il haletait, sa métamorpgose était douloureuse et fatiguante, a part le réconfort qu'offrent les bras doux de cette femme, rien n'aurait put lui rendre une douceur tendre qu'il souhaitait tant. Il la cajolait, la caressait et embrassait son coup en reprenant son souffle.

Et... Et si on finissait ce qu'on avait commencé princesse?

« Tu n’as pas à avoir honte de toi Marcus, tu as tant de qualités… »

Du bout de ses doigts, Heilayne caressait la fourrure contre sa patte, visiblement inquiète. L’insouciance et la naïveté étaient sans doute ses deux plus gros défauts, mais si eux le sont, alors la gentillesse et l’attention peuvent se dresser contre et se faire voir en devenant de grandes qualités. Ses petites plaies se refermèrent sous les yeux interrogateurs de la comtesse qui, suivit de ce geste esquissa un tendre sourire rassuré. Il avait beau ne pas être humain, être un loup qui terrifie les humains, il restait malgré tout un petit quelque chose qui faisait qu’on ne pouvait le détester; son caractère. Même loup, il le gardait. Il était si doux, gentil et attentionné… Toutes les qualités d’un homme dont toutes femmes rêves, c’était injuste que sa double nature soit si imposante et monstrueuse… Mais dans un sens, elle pouvait se montrer mignonne. Une belle fourrure bleue douce, de la fourrure blanche ici et là, des petits yeux noirs traître des sentiments et une longue crinière de la même couleur que ses yeux, tout aussi douce que son pelage. Un doux sourire prit place sur le minois de la jeune femme tandis que sa main vint se glisser contre son torse, le caressant du bout de ses doigts en restant silencieuse. Il avait l’air à la fois si inoffensif et épeurant, bon sang… Y avait-il d’autres créatures de la sorte dans ce monde? Tellement intriguant est-il, ce monde…

Relâchant le cou de l’homme, un petit air interrogateur ce glissa un bref instant sur le visage de la comtesse. La curiosité était là, oui, mais aussi… La peur… Plus tôt, lorsqu’elle l’avait déçu au point tel de le rendre hostile, il lui avait bien dit que c’était douloureux de se transformer, alors… Pourquoi le faisait-il…? Ses joues devinrent un peu plus rosées, mal à l’aise. Était-ce parce qu’elle avait semblée dégoûtée au premier regard? Apeurée plutôt? Il était beau, même en loup, il était vraiment et toujours aussi beau, mais c’était vrai que… Bien qu’elle n’osait l’avouer, ses caresses lui manquaient… Ses doigts frôlant chaque partie de son corps, son souffle lui caressant le cou, ses lèvres lui embrassant les siennes, était-elle vraiment rendue folle pour le vouloir encore et encore? Vouloir ressentir encore une fois son corps pressé contre le sien, son membre en elle, sa langue caressant la sienne à tâtons? Peut être, mais peu importe, elle savait ce qu’elle voulait, encore fallait-il que lui, la veuille toujours.  Sa langue contre son cou la fit sortir de ses pensées, laissant, sans le vouloir, un petit soupire s’expirer de ses lèvres. Non pas un soupire de désespoir ou de tristesse, mais un soupire d’aisance, de bien être. Obéissant à ce que plus tôt, Marcus lui avait dit de faire, ses mains vinrent se poser contre ses oreilles et ses paupières se fermèrent doucement. Ce qu’il faisait pouvait être très douloureux, et pourtant, il le faisait. Était-ce pour lui-même ou pour la jeune Heilayne? Quel que soit la réponse, la comtesse se plaisait à pensée qu’il faisait ses efforts pour elle, c’était un geste tellement attachant, c’était un geste qui l’avait séduite, comme ceux plus tôt. L’angoisse prit un peu son corps, bien qu’elle aimait pensée qu’il allait se retransformer et redevenir le jeune prince avec qui elle avait partagée, pour la première fois sa nudité, son corps, elle avait peur… Priant pour ne pas qu’il ait trop mal, pour ne pas qu’il souffre trop de sa faute, elle sentie une main venir se glisser contre son menton, lui relevant délicatement avant que, tendrement, ses lèvres se pressent contre les siennes. La nervosité parti aussi rapidement qu’arrivé, il avait réussit, certes il avait l’air d’avoir eu mal, mais il était là, il était toujours là! Ses bras vinrent rapidement enlacer le cou de l’homme, le serrant contre elle fortement. Aucun mot n’aurait pu décrire ce qu’elle ressentait présentement; elle était tellement heureuse…

« J..J’espère… Que tu n’as pas eu trop… mal…? M..Mais je suis contente… »

Étirant un large et doux sourire, Heilayne vint reprendre les lèvres de son amant, les embrassant avec une grande douceur. Bien que ce qu’il vivait présentement allait, sans doute ne plus se reproduire, Heilayne se plaisait bien à penser à le revoir. Non pas à coucher avec lui, mais simplement le revoir, tel un ami, un bon ami à qui elle pourrait parler, c’était sans doute idiot de pensée ça, mais elle se plaisait à le faire… Chaque effleurement de sa peau contre la sienne, si frêle la faisait frissonner, la faisait tant frissonner que, même lui pouvait sentir les frissons bercer son corps. Ses lèvres ce quittèrent finalement et, silencieusement, elle écouta sa requête. Un hochement de tête accompagna doucement ses paroles.
« Oui… Je serais vraiment heureuse… de continuer, avec toi… »

Glissant ses doigts contre le haut du dos de l’homme, Heilayne rapprocha ses lèvres de celles de Marcus, commençant à les presser contre avant d’entamer un tendre et langoureux baiser, sortant même sa langue pour caresser à tâtons la sienne si désirante.