Petit elfe deviendra grand... [PV Rhavek]

Alraunya avait faim. Cela devait faire près d'un mois que personne n'avait mis les pieds dans son domaine. Il faut dire aussi que l'endroit était plutôt mal choisi, au milieu de nul-part, dans une région escarpée difficilement praticable pour un être humain. Elle s'était placée à u endroit stratégique de la vallée, pouvant voir les sommets nus de chaque crête. C'est grâce à cela qu'elle le vit. Un être humanoïde descendait en direction de la forêt. Il marchait tranquillement, ne semblant pas gêné outre-mesure par la topographie des lieux. Pas un humain, assurément, son agilité était bien supérieure.

Quand il arriva à l'orée des bois, elle remarqua ses oreilles. Un elfe? Elle n'en avait jamais vu, mais avait entendu moult histoire à leur sujet. De farouches défenseurs de la forêt, aussi graciles qu'une jeune biche et élancés comme un oiseau de proie. La faim la tiraillait, mais elle devait en savoir plus sur ce peuple, savoir s'il valait mieux en faire des amis ou les consommer comme les autres.

Il avait l'air jeune, un adolescent peut-être? Pourquoi était-il seul? Qu'était-il venu faire par ici?
S'il continuait sa route dans la même direction, il tomberait sur un village terranide en pleine célébration quotidienne du culte de Lust. Autrement dit une période d'accouplement, en couple ou en groupe, qui partait parfois en orgie. Il ne devait pas tomber dessus. S'il était choqué, elle n'en tirerais rien.

Elle entreprit donc de se placer à mi-chemin, créant un autre corps végétal différent de l'original par plusieurs points. Elle avait l'aspect d'une femme elfique de 35/40 ans (humains) incroyablement belle et bien conservée. Un air maternel doux pour le mettre en confiance, mais en même temps impérieux, indiquant clairement que c'est elle qui commande. En somme une mère autoritaire.

Pour une fois, elle ne préparait pas de coups fourrés. Vraiment intéressée par l'individu qui foulait son sol, elle passa en revue quelques détails. Elle recréa une atmosphère un peu humide, mais pas trop chaude, sentant bon l'humus, l'écorce et le miel. Sous la canopée il faisait assez sombre, des rais de lumière jaillissants par endroits, donnant un côté mystique et envoutant à la forêt.

Lorsqu'il arriva, il s'arrêta net, une expression de surprise gravée sur son visage. Il ne devait jamais avoir vu de femme-plante, et pour cause, elle était la seule à sa connaissance.

Elle entama la conversation, essayant d'apaiser ses craintes.


« -Bonjour mon enfant. Je suis Alraunya, la protectrice de cet endroit. Détends-toi, je ne te veux pas de mal. J'aimerai juste que l'on discute un peu, toi et moi. »


Elle s'assit sur un gros rocher présentant un creux, le faisant ressembler à un trône. Négligemment, elle désigna un autre rocher plus petit sur sa droite. Un tabouret en comparaison du premier. Elle le fixait constamment depuis qu'il la vit, mais d'une manière attentionnée, sans aucune méchanceté.
Elle attendit une réponse.

Le soleil commencer ça descente sur les crête inhospitalière de cette région désolé, notre jeune elfe avait marcher une bon partit de la journée a travers ce paysage en direction d’un village terranide dont des bohémiens lui avait indiquer la route. Cela faisait plusieurs jour qu’il errer sans but dans cette région et malgré sont l’endurance et la volonté hériter de son peuple la fatigue commencer quelque peu à l’envahir.

Au détour d’une colline, Rhavek aperçut un bois dont il était presque sûr qu’i n’était pas la il y a quelques heures, mais sur le moment il se dit que ceci était une facétie de son esprit quelque peu fatigué par ces jours de marche. Notre elfe aurait très bien pu contourner ce bois mais pour une raison que seul le destin peut expliquer il décida de passer par ce bois
.
Très vite l’elfe atteint l’orée de la forêt,  lorsqu’il y pénétrit ces sens sylvains ne firent qu’un tour c’était forêt renfermer une puissante aura mais qu’il ne pu identifier, surement a cause de sa jeune expérience qui lui faisait défaut. N’écoutant que ses sens, le jeune elfe avancer avec prudence, la canopée rendant cette forêts légèrement sombre mais ceci fus plus accueillant que effrayant pour lui, l’air humide et l’odeur d’humus lui rappeler la forêt de son enfance et la nostalgie s’empara vite de lui.

Mais au détour d’un fourré une étrange vision le rappela a la réalité, devant lui ce tenait une créature qu’il n’avait jamais vu. Au premier abord celle-ci lui fit penser a une femme elfe dans la force de l’âge, ceci lui fit apparaitre de flash des souvenir de ça mère mais très vite il remarque que son corps n’était composé uniquement de végétaux. Rhavek fut surpris mais ça curiosité l’emporta très vite sur son appréhension et sur sa peur sans pour autant les estompé.

La créature s’adressa a lui : « -Bonjour mon enfant. Je suis Alraunya, la protectrice de cet endroit. Détends-toi, je ne te veux pas de mal. J'aimerai juste que l'on discute un peu, toi et moi. »
Sur ces paroles, elle désigna un siege en pierre et lui fit signe de s’assoir. L’elfe réflechit un cour instant et s’assit a l’endroit indiqué en remarqua que la femme la fixer sans cesse, ce qui fit légérement rougir le jeune éphèbe.
Visiblement elle ne lui voulait pas du mal, mais il resta sur ses garde et répondu a la femme qui ce tenait devant lui.

« - Bonjour, je me nomme Rhavek, je suis un elfe qui voyage dans la région et je me diriger vers un village terranide quand j’ai du traverser ce bois. » durant ces paroles l’elfe sembler légèrement intimider par le regard de la femme et il en ne voulant pas la regarder droit dans ses yeux imposant, il ne pus s’empêcher d’apercevoir ce corps dont les partis intimes et la poitrine généreuse n’était occulter que par quelque feuilles et fleurs. Et sans qui ne sache pourquoi l’elfe rougit comme une pivoine et sentit la chaleur en lui. Tous ceci était des senstion nouvelle pour cette elfe candide et il était gêné.
Et en continuant de regarder les formes de la femme dont in ne pouvait pour des raison qu’il ne comprenait pas ce défaire, s’adressa a la créature sylvestre : « -Sans vouloir paraitre malpolie madame, qu’est te vous et que me voulez vous exactement ? ». ces paroles fut dite avec un ton brute qui aurait pu blesser si elle était sortit d’un adulte mais qui paraissez comique de la bouche d’un enfant comme lui.

Le jeunot n'avait pu s'empêcher de regarder ses gracieuses formes dénudées, et une rougeur se fit une place sur son visage pâle, ne la rendant que plus visible encore. Il n'avait pas l'air méchant, bien au contraire, timide même.


« -Décrire ce que je suis serait un peu compliqué. Mettons que je suis la personnification de la forêt. La mère douce et attentionnée qui veille sur cet endroit et ce qu'il renferme. Des terranides y vivent, d'ailleurs. Un peu plus de 800, répartis en trois villages.
Si je veux te parler, c'est parce que c'est la première fois que je vois un membre de ton espèce. On dit que vous autres, elfes, vous entendez plutôt bien avec la nature. Tu comprendras donc mon intérêt à votre égard.
Mais, je ne vais pas t'embêter immédiatement avec mes questions, mon petit. Tu as l'air exténué et un bon bain ne te ferait pas de mal. Il y a non loin un petit lac, je vais t'y conduire. Tu pourras t'y laver, boire, manger et te reposer.
Tu me suis? »


Les dernières phrases furent prononcées comme une mère le dirait à son enfant. Tout en douceur, mais ne lui laissant pas vraiment le choix.
Elle se leva, lui tendit la main et quand il la prit, l'entraina un peu plus profond dans la forêt. Une ou deux minutes plus tard, un lac d'une vingtaine de mètre apparut entre les arbres. L'eau, chauffée par le soleil devait y être bonne. Elle fit pousser trois arbres avec différents fruits, dont des gourdes pleines d'eau très légèrement sucrée. A un endroit l'herbe s'étoffa, faisant un véritable matelas.


« -Voilà, tu peux prendre ce que tu veux. Tu pourras dormir là-bas et ces fruits-ci contiennent beaucoup d'eau. Je vais te laisser faire tes petites affaires et je repasserai plus tard. Si tu as besoin de quoi que ce soit, surtout tu m'appelles, d'accord? »


Et elle disparut dans les bois, le laissant seul dans un petit paradis terrestre.
Enfin, seul... Elle l'observerait, bien évidemment, elle savait tout ce qui se passait à chaque instant en son sein, et les caractéristiques morphologiques de cette race l'intéressaient.

« -Voilà, tu peux prendre ce que tu veux. Tu pourras dormir là-bas et ces fruits-ci contiennent beaucoup d'eau. Je vais te laisser faire tes petites affaires et je repasserai plus tard. Si tu as besoin de quoi que ce soit, surtout tu m'appelles, d'accord? »
Sur ces mots, la femme disparu dans l’épaisse forêt, laissant Rhavek seul devant ce paysage irréel.

L’espace de quelque instant, le jeune elfe resta droit et ne dit aucun mot comme si il chercher a comprendre ce qu’il venait de ce passer, puis un large sourire apparut sur son visage et il s’assis dans l’herbe avant de dévorer plusieurs fruit d’une manière peu élégante pour un être de son espèce,  apparemment il n’avait pas a manger a sa faim depuis plusieurs jours vu la vitesse ou il dévora les fruits ! 
Après ce repas improviser Rhavek s’allongea l’espace d’un instant dans l’herbe et regarda le ciel, puis il se chuchota a lui-même : « ça me rappelle la maison… et les fois ou on s’allonger dans l’herbe avec maman et qu’elle s’occuper de moi…maman… », un larme discrète parcouru son visage avant de disparaitre dans l’herbe épaisse.

Puis sans crier gare, Rhavek se leva et parla comme si une personne se tenait a coter de lui « tiens l’eau a l’air bonne, je vais me prendre un bain, ça me fera le plus grand bien ! », Sur ces mots, l’elfe enleva ses vêtement, laissant alors visible son corps a peine pubère, il avait un très beau corps incroyablement fin et sculpté pour un garçon de son âge.
Puis il pris la direction de l’eau et se détendit dans l’eau incroyable bonne et agréable puis plusieurs minutes plus tard, il sortit et fit sécher son corps au soleil, oubliant l’espace d’un instant qu’il n’était peut-être pas seul…

Ce que l'ont racontait sur les elfes était vrai. Ils sont d'une grande beauté. Svelte, mais toutefois musclé, le port naturellement altier, le spectacle qu'offrait le jeune homme faisait envie.
Rien n'échappe à la reine dans sa demeure, et les chuchotements pensifs tombèrent dans son oreille. Elle pouvait être une nouvelle mère pour lui, au moins l'espace d'un instant.

Elle attendit le moment où il sortit de l'eau, un bon moment plus tard, pour apparaître dans l'herbe touffue, allongée comme une romaine à l'heure du repas. Il était déjà complètement sec lorsqu'il la vit. Il semblait gêné et voulait visiblement remettre ses vêtements. Elle, était entièrement nue, comme à son habitude.


« -Tu n'as pas besoin d'habits ici. Au milieu des bois, la pudeur n'a pas lieu d'être. Et tu ne risques pas de tomber malade. Ici, il n'y a ni automne, ni hiver.
Viens donc plutôt t'allonger à mon côté, le ciel est agréable et se laisse regarder. Viens que je prenne soin de toi. »


Bien qu'ayant assez peu d'expérience dans le domaine, elle tenta de lui parler comme une mère à son fils, pour le rassurer, faire tomber son appréhension à son égard.

La gêne emplie très vite l’esprit de l’elfe, tous d’abord, il essaya tant bien que mal de cacher d’une maladresse attendrissante sa nudité.

Très vite son regards se posa sur le corps dévêtit de cette magnifique femme. Ces courbes et ses forme généreuse allonger avec nonchalance sur l’herbe lui rappela quelque instant le corps peu vetu de sa mère, lorsque celle-ci se coucher avec notre jeune elfe pour admirer le ciel.
Puis la créature allonger a ces cotés prit la parole : « -Tu n'as pas besoin d'habits ici. Au milieu des bois, la pudeur n'a pas lieu d'être. Et tu ne risques pas de tomber malade. Ici, il n'y a ni automne, ni hiver.
Viens donc plutôt t'allonger à mon côté, le ciel est agréable et se laisse regarder. Viens que je prenne soin de toi. »

Sur ces parole, Rhavek sans trop comprendre pourquoi ce sentit légèrement moins gêné. Timidement il vain s’allonger sur le dos près du corps de la femme, le visage rouge comme une pivoine et cachant son intimité avec ces mains.
Son regard se tourna vers le ciel, dans son esprit lui viens des visions de lui et sa mère regardant le ciel dans une affection qu’il ne retrouva depuis.

Mais soudain une seul question lui viens a l’esprit mais que pouvait bien lui vouloir cette magnifique femme…