Après une petite virée au bar pour jouer quelques parties de billard, et bien évidemment plumer tous ses adversaires, Anne Marie était sur le chemin du retour. Et par soucis de cacher au mieux ce qu’elle était allé faire après les cours, elle n’avait pas appelle son chauffeur tout de suite. Ce qui serait une grosse erreur, car des hommes qui étaient de mauvais perdants profitèrent qu’elle passa dans une rue sombre et étroite pour se jeter sur elle et réclamer leur du. Et celui-ci ne serait malheureusement pas la récupération de l’argent.
En effet, malgré de malgré tentatives de défenses, la jeune femme serait vite adossée au mur, alors que ses agresseurs la dénudaient avec un couteau. Elle avait beau se débattre, ses gesticulations ne parvinrent pas à la libérer des mains d’un des hommes, alors que le froid de la lame d’un autre s’occupait de ses vêtements, frôlant par moment sa peau. Et même les coups de pieds qu’elle parvint à donner semblèrent inefficace. Elle se retrouva donc impuissante lorsqu’elle vit que le troisième homme avait descendu sa braguette et sorti son pénis, de petite taille cela dit, et était en train de se masturber.
C’est alors que le pire calvaire commença, alors qu’une jeune femme étrange, puisqu’elle était toute bleue et assez translucide venait de faire son apparition dans une chute des plus comiques. Cependant, Anne Marie n’aurait guère le temps de s’en préoccuper, qu’une langue vint titiller ses seins, alors que l’homme, qui avait sortit son pénis, s’était approchée et venait frotter ce dernier sur le bas ventre de la jeune femme. Celle-ci avait serré les jambes en signe de résistance, mais, il s’y glissa entre, sans que cela ne le gène réellement. Au contraire, même s’il ne la pénétrait pas encore, la pression des cuisses de la demoiselle sur son membre semblait le ravir, ce qui au contraire déplaisait à Anne Marie, qui grimaçait de dégoût.
Et alors qu’elle tentait d’échapper à un baiser, Anne Marie entendit alors une voix, qui prononça des paroles dans une langue qu’aucun ne sembla comprendre. En effet, si elle était soulagée d’échapper au baiser pendant quelques temps, puisque les paroles avaient attiré les regards des trois hommes qui semblèrent surprirent. Cependant, ils revinrent vite tourner leur attention sur elle, avant d’être finalement gênée. La raison fut toute simple, la jeune femme venue à son secours venait de tirer Anne Marie par un bras, de façon suffisamment puissante pour la dégager des divers liens la collant au mur. Mais, avant qu’elle ne puisse dire ou faire quoi que se soit, elle se retrouva soulever et poser, enfin avec un peu d’aide de sa part pour éviter de tomber, sur le haut du mur coupant la rue avant de se laisser tomber de l’autre côté.
La chute avait été un peu brusque, et une fois la surprise passée, elle n’eut pas de quoi se réjouir. En effet, elle se retrouvait nue dans une rue, et donc à la vue de tous, et elle n’avait ni ses affaires, ni son sac pour se sortir d’affaire. Elle croisa les bras sur sa poitrine, l’un d’eux descendant pour cacher au mieux son intimité, mais, elle savait que s’était futile.
- Et je fais quoi moi dans cette tenue sans moyen d’appeler mon chauffeur ?
Dit-elle en regardant le haut du mur, comme si elle attendait qu’on lui envoie son sac et de quoi se couvrir. Elle n’avait pas réalisé que si ce dernier tombait entre les mains des voyous, ceux-ci pourraient venir continuer leur jeu chez elle, si tel était leur but. Même si cela serait plus difficile pour eux, vu qu’il y avait un service de sécurité, Anne Marie était en effet loin d’être une jeune femme ordinaire, comme les autres femmes de sa famille. Elle se tourna alors vers l’autre sortie de la rue, se demandant si elle devait s’y rendre ou non, sachant que tous les regards seraient braqués sur elle. Bien que dans un sens, attiré l’attention des autorités lui permettrait de se mettre en sureté.