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Un combat éreintant (pv Saphyra)

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War

Un combat éreintant (pv Saphyra)

mardi 28 septembre 2010, 19:36:07

Les terres dévastées ruisselées de sang, des sillons écarlates étaient creusés à même la terre alors que le cavalier se tenait victorieux au milieu d’une horde de démons et de guerriers en tout genre. Néanmoins, le colosse était épuisé de cette bataille où sa lame avait virevolté pour trancher les têtes et couper la chair. Sa lame, large épée titanesque était lourde depuis que la déesse de la discorde lui avait retiré quelques uns de ses dons, même s’il parvenait à la manier, ce n’était pas comme avant. Pour preuve, une simple bataille comme celle-ci l’éreintait plus que nécessaire !  Retirant son manteau écarlate, il demeurait seul au milieu de ce champ de bataille. Il lui fallait du repos. Oui, il fallait qu’il puisse récupérer et pourtant voilà qu’une présence se rapprochait de lui…

Sodom Saphyra

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Re : Un combat éreintant (pv Saphyra)

Réponse 1 samedi 02 octobre 2010, 05:19:55

Quel plaisir... parfois de remettre les pieds dans des domaines aussi proches de l'enfer, les corps étendus... le paysage désolé parsemé de petits cratères, d'autant de marques de combats, de fureur qui laissaient l'esprit de la démone imaginer quels genre d'hommes au corps bien battit, musclé avaient pu ici abattre leurs lourdes armes, dans l'effort, les cris rugissants, la mêlée mortelle.

Pourquoi s'était elle encore perdue dans un endroit aussi moche tout compte fait... parce que c'était aussi l'un des rares endroits où elle pouvait assouvir ses pulsions sur des soldats blessés, les soigner un peu pour obtenir une récompense, récompense qu'elle prenait de force quand on lui résistait de toute manière, la silhouette de la plantureuse donzelle démoniaque se dandinait sur ses hauts talons, déjà qu'elle était grande, elle portait des espèces de hautes plate formes, semelles épaisses qui, permettaient à quiconque croisant son chemin d'avoir une incroyable vue sur certaines parties de son corps.

Alors qu'elle s'apprêtait à rebrousser chemin aux détours de deux chariots brisés, et de vieilles ruines de maisons détruites, quelque chose...

...l'odeur...

...haaaaah...

... La délicieuse... odeur d'un mâle... d'un mâle haletant... d'un mâle en sueur... d'un mâle épuisé par son combat acharné, celà lui fit immédiatement tourner la tête, elle s'approcha en direction de la silhouette armurée, devinant à l'odeur, devinant à la condensation s'élevant dans les airs, à quel point son corps devait être chaud, raffermit par l'effort.

Elle se planta devant l'homme, posant ses mains sur ses hanches, assez proche de lui pour qu'il ait une vue imprenable sur ses courbes féminines, sa peau violacée, ses jambes bien écartées, face à son "repas" elle s'accroupit, posant doucement ses mains autour de son torse, laissant ses ongles presque griffus gratter sur ses plaques d'armure, et son regard néantin se planter dans celui du guerrier.

-Quel beau fruit bien mûr tu fais... mais de quel arbre es tu tombé ? Laisses moi donc t'éplucher un peu...

Ses ongles, s'intercalèrent entre les plaques et les rivets de soutient, les faisant sauter un à un, laissant retomber ses plaques sur le sol, afin de dévoiler à ses yeux ses épaules, son torse et son ventre, terriblements chauds, sur lesquelles ses mains récoltaient la sueur avant que sa langue ne vienne s'ajouter aux fines caresses de ses doigts, qu'elle lèches et goûte à cette peau chaude, à cette sueur salée, accumulée par des heures de "cuisson" sous son armure.

-Voilaaaahhh qui est mieux, n'est ce pas hmmm ?

Evidemment, ce qui ne risquait pas de passer inaperçu pour ce pauvre bougre exténué, c'était évidemment le service trois pièce dont elle était dotée, et, si les uns l'auraient espéré discret, ce n'était en rien le cas chez cette entreprenante démone, son vit était dressé à tout rompre, comme d'habitude lorsqu'elle était à ce point excitée, obsédée... Il finirait probablement par avoir peur, vouloir fuir, ce qui rendrait les choses plus compliquées... Mais si elle était venue à sa rencontre, c'était également pour profiter de sa grande fatigue, de son exténuation, pour goûter à ce guerrier affaibli.





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