Mortal Kamping

La pauvre Sophie sentit cette virilité monstrueuse s'enfoncer brutalement dans sa rondelle. Prise par derrière, les va-et-vient de Mean la labourait impitoyablement tandis que les mains du tueur avaient arrachées le chemisier et le soutien-gorge et pétrissaient rudement ses seins généreux.

La bouche ouverte, en une expression figée d'horreur, la malheureuse subissait les assauts sauvages du tueur au masque qui émettait des cris bestiaux et gutturaux qui donnaient la pleine mesure de son plaisir infernal...

Un dernier coup de rein et Mean éjacula une généreuse quantité de sperme chaud dans l'anus de Sophie. Il y en avait tellement que le surplus débordait de l'orifice, tombant sur le dallage de la maison.

oOo

Pendant ce temps là, Zoé, Katia et Peter avaient déjà franchi la porte de la maison et s'enfuyait à toutes jambes à travers le chemin forestier.

Zoé : z'était quoi za ?
Peter : j'en sais rien et je veux pas le savoir !
Katia : il va les tuer, on aurait dû aller à leur secours !
Zoé : et comment ? T'as vu ze monstre ?! On était pas de taille !
Katia : il aurait fallu tenter quelque chose !
Peter : si tu te sens l'âme d'une guerrière, vas-y alors !

Katia ne trouva plus rien à redire. Zoé avait raison : ils n'étaient pas de taille face à ce monstre.

Mean aprés avoir éjaculer dans l'Anus de sophie la retourna pour la prendre dans son minou mais la jeune femme se débatis et donna un violent coup de pied à Mean pour mieux s'échapper. Elle couru jusqu'au sallon mais Mean la ratrappa et la poussa sur le cannapé ou elle tomba la tête la première sur le sac de poudre.

Mean plaquas sa tête sur le sac qui se déchira sous le choc. Il ravagea litéralement son minou mais en trois coup de pine le corps de sophie devint tout mou. Mean se rendit compte qu'elle était morte la bave au lèvre et avec des convultion. Elle avait sniffer trop de coke sur le sac et cela le lui avait fait faire un shoot mortel.

Déçut et furieux Mean jeta le cadavre de sophie à travers une fenètre avant d'empoigner son hachoir et reprendre sa traque meurtrillère. Une fois hors de la maison il poussa un cris bestial qui se répercuta dans tout les bois avant de commencer sa traque.

Entre temps Zoé et les survivant attégnirent une ferme isolée au fond des bois. Elle semblait habiter car une des fenêtre semblait illuminé.

Les jeunes gens fuyaient à travers le chemin forestier. A la lumière de la lune, les chênes projetaient une ombre fantastique sur le sol, tandis que les arbres eux-mêmes arboraient des formes torturées, inquiétantes...

Ils virent au loin, sur la droite une maison qui, malgré l'heure tardive, était éclairée.

Katia : nous sommes sauvés ! Nous pourrons demander de l'aide !
Peter : et appeler le poste de police le plus proche.
Zoé : bizarre, je me zouviens pas avoir vu zette bicoque en arrivant...
Peter : aucune importance, on y va !

Et les 3 jeunes gens coururent jusqu'au bâtiment qui s'avérait être une ferme, se dirigeant vers le perron.

Zoé : je me demande zi on ferait pas mieux de jeter un coup d'oeil dizcret à la fenêtre avant de frapper à la porte...
Peter : et pourquoi donc ?
Zoé : je zais pas mais je zuis un peu méfiante...
Katia : elle a pas tout à fait tort, après ce qu'on vient de voir, il y a de quoi être parano.

Pendant  qu'ils discutaient de l'attitude à adopter, la porte de devant s'ouvrit et une silhouette apparut dans l'embrasure.

Quand la porte s'ouvrit Zoé et ses compagnon d'infortune virrent une silhouette voutée et bossue. Son visage était moche et ridé. Il était revétus de vêtement marron et assez grossier. Il se tennait sur une canne de chêne en bois brut. Il n'avait pas vu les jeunes, par contre il les avait clairement entendus.

" Qui est là ? Il y as quelqu'un ? " Cria t'il d'une voie chevrotante et anxieuse.

Pendant ce temps Mean battait la cambrousse la soif de sang intacte et se basant sur son flair pour trouver des traces mais pour le moment il faisait choux blanc. Il n'empèche qu'il n'était pas trés loin de la maison et faisait du bruit en s'approchant ses pas lourd brisant des branches et jouant du hachoir sur la végétation comme une machette.

" Qui est là ? Il y as quelqu'un ? "

Les jeunes gens se retournèrent et virent une silhouette contrefaite sur le seuil de la maison, éclairée par la lumière qui venait de l'intérieur. Ils poussèrent tous en même temps un cri de frayeur et se mirent à détaler comme des lapins, poursuivant leur course effrénée à travers la forêt...

Peter : c'était quoi ce type ?
Zoé : j'en zais rien mais il n'avait pas l'air razzurant !
Katia : on a peut être jugé un peu trop vite non ? Si ça tombe il aurait pu nous aider...
Peter : non merci, pour ma part j'ai mon compte d'horreurs pour cette nuit !
Zoé : z'est vraiment une région de zauvages ! Plus jamais je remettrai les pieds izi !

Cette forêt n'avait pas l'air d'avoir de fin. Au bout d'un moment, le trio s'arrêta car ils étaient tous essoufflés. L'endroit où ils se trouvaient était une petite clairière chichement éclairée par la lune ; ils s'assirent sur un gros tronc d'arbre.

Zoé : vous penzez qu'on l'a zemé ?
Peter : je pense que oui, on a couvert une bonne distance mine de rien.
Katia : quand je pense aux autres qui ont été massacrés par ce malade, ça me fout les boules !
Zoé : j'ai du mal à croire qu'ils zoient morts...

Zoé avait à peine prononcé ses mots qu'un gros objet tomba avec un bruit mou et roula au pied du groupe.

C'était la tête de Jimmy que Mean avait concerver à sa ceinture. Une grimace de terreur pure déformait ses trait et le rictus d'horreur ou d'horreur signifiait que sa mort n'était pas agréable du tout.

Mean venait de retrouver ses proie et les avaient suivis jusqu'ici. Il les observa dans la brousse en train de joir de leur terreur.

Katia craqua litéralement et aprés avor pousser un hurlement de terreur elle se mis à s'enfuir à l'aveuglette dans la foret avant même qu'on ai eu le temps de l'empêcher. Peter était aussi à la limite de craquer à son tour.