une étrange rencontre en forêt (pv Xenom et kumiko)

Continuant son exploration de Terra, elle avait aperçu un étrange gouffre de lumière. Curieuse, elle s’était approchée d’un peu trop près et avait été aspiré par celui-ci. Complètement effrayé, elle se mit en petite boule et trembla d’effroi pendant plusieurs minutes. Finalement, voyant que rien ne se passait, elle ouvrit un œil, puis l’autre. Rien de menassent ne semblait se manifester. Elle se releva donc tranquillement et observa se qu’y l’entourait. Elle n’était plus du tout au même endroit et manifestement, ici il faisait nuit. Complètement désorienté, elle commença à explorer ce nouvel environnement. Soudain, un peu plus loin, elle vit une silhouette se dessiné. Il y avait quelqu’un. Pleine d’espoir, elle courut à la rencontre de ce randonneur nocturne. Pourtant, plus elle s’approchait, plus un étrange sentiment de danger l’envahi. Cette étrange créature avait une grande queue et quelque chose de gros et d’étrange sur la tête.
*Je ne devrais pas rester ici*
Elle voulu se cacher derrière un arbre mais il était trop tard. La créature l’avait repairé.

Xenom était dans la forêt finissant de se repaitre d'une victime qu'il venait tous juste d'inséminer. Soudainement, son attention fut attiré par une étrange lumière qui apparut à quelque mètre de lui. Xenom connaissait ce que cela signifiait. Quelqu'un ou quelque chose venait de traverser une faille et était arrivé près de lui. Déposant sa pauvre victime qui était inconsciente sur le sol, la femme possédé par un parasite extra-terrestre se faufila sans bruit dans la direction d'où venait cette apparition. Mais quel surprise, une Terranide et d'une beauté sublime. Xenom resta caché dans l'ombre à l'observer un petit moment. Elle semblait perdu et effrayé au point qu'elle c'était dirigé vers Xenom en pensant avoir de l'aide. Elle eut surement peur en voyant l'apparence qu'avait le formien et tenta de fuir dans l'autre direction et se cacher, cette erreur réveilla en Xenom son instinct de chasse.

Tendant ses deux bras en avant, Xenom fit apparaitre deux tentacules qui se jetèrent contre l'arbre d'où était caché sa petite victime et s'enroulèrent autour pour la coincer tous contre. Le haut du corps et ses jambes était coincé par les tentacules. Xenom s'approcha d'elle et avança son visage féminin près de sa nouvelle proie et après luis avoir donné un coup de langue sur son visage, il lui dit.

-mais quel chance, j'ai eus de proie aujourd'hui.

Le monstre laissait ses mains se balader sur le corps de la jeune femme, malaxant tendrement ses seins.

Cachée derrière un arbre, Kumiko attendit. Soudain, quelque chose de très puissant lui attrapa le ventre et le bas du corps pour la maintenir contre l’arbre. Elle baissa un peu la tête et vit les tentacules qui l’essaieraient. Un frisson d’effroi et de dégout la saisi. Mais elle n’eu pas le temps de faire quoi que se sois car elle entendit des bruits de pas qui se rapprochait. Elle se débâti de toutes ses forces pour se libéré mais rien à faire les tentacules étaient beaucoup trop solide. La créature qui, de plus près ressemblait à une femme, approcha son visage et la licha le visage et murmura quelque chose que Kumiko ne comprit pas car elle criait maintenant aussi fort qu’elle pouvait. Les mains de la créature se mirent à parcourir son corps. Elles firent une escale sur les seins de Kumiko qu’elles malaxèrent doucement pour continuer ensuite. Les tentacules de la créature qui lui essaierait toujours le corps à lui en faire mal et les mains baladeuse de la créature la firent frissonner de plésir.

*Ah non…pas ça!*

La douleur était devenue au fil des ans un stimulant sexuel très puissant. Plus elle se débattait, plus les tentacules lui faisait mal, plus elle était excité. Pourtant, elle ne pouvait pas se laisser cette chose la violer et elle se débattait donc encor plus.

La jeune terranide se débattait du mieux quel pouvait pour se libérer du puissant lien qui la maintenait prisonnière contre l'arbre. Cela excitait Xenom qui adorait voire ses proie se débattre sans la possibilité de s'échapper, il adorait quand ses proie refusait d'admettre qu'il sous son emprise.

Soudainement, Xenom arrêta des malaxage de la poitrine de sa jeune victime et recula. Les tentacules ce détachèrent faisant tomber la pauvre Kumiko sur le sol. Xenom relâchait sa proie ? Non pas le moins du monde. L'instant d'après, une tentacule s'enroula autour du cou de la jeune fille et la souleva pour le mettre debout, puis il continua à monter pour légèrement la lever du sol. Deux nouvelle tentacules agrippèrent ses bras pour l'immobiliser le mieux possible et une autre encore s'enroula autour de de sa taille pour l'empêcher d'étouffer.

Deux autre encore se dressèrent devant le visage de Kumiko et s'engouffrèrent dans le sa robe et d'un geste en direction du bas, ils déchirèrent le vêtement avec son soutien-gorge dévoilant ses seins. Les deux tentacules ne s'arrêtèrent pas là, ils s'enroulèrent chacun le sien et se mirent à les malaxer plus fermement qu'avant.

Les tentacules de l’étrange créature la relâchèrent et Kumiko alla s’écraser au sol. Elle eu quelque instant d’espoir. Elle avait réussi à se libérer. Mais la joie ne fut que de courte durée car un tentacule s’enroula autour de son coup et la souleva lentement jusqu’à quelque centimètre au dessus du niveau du sol. Elle commençait à étouffer quand un autre tentacule lui entoura la taille et deux autres autour de ses bras. Kumiko paniqua. Elle était complètement prit. Elle n’avait plus aucune chance de s’en sortir. Elle continua quand même à se débattre. Après que sa robe et son soutien-gorge lui furent arraché, deux autres de ses étranges lianes gluantes lui entourèrent les seins et les pressèrent à lui faire mal. Kumiko poussa alors un cri autant de douleur que de jouissance. La sensation de douleur était divine. Sa petite culotte, qui était quand à elle encore intact, était mouillé. Signe plutôt flagrant de son plaisir. Mais quelle honte pour la petite Kumiko de prendre plaisir à une agression aussi étrange. Le rouge lui monta au joue quand elle poussa un gémissement qui n’avait plus rien de mécontentement. Elle continua à se débattre mais de plus en plus faiblement.