Tout cela promettait d'être intéressant. Le baiser était doux et sucré, suite aux nombreux verres d'absinthe qu'avait bu Nate et Anthéa (même si Nate en a bût plus, faut dire, c'est un jeune alcoolique...). C'était particulièrement agréable, et il aurait aimé que ce moment dure plus longtemps. Il sentait la langue de la jeune femme caresser la sienne. Il sentit alors la main de la jeune femme repousser lentement la sienne qui se trouvait sur sa cuisse. Anthéa lui demanda alors si il voulait vraiment voir. C'était une question idiote, comme si maintenant il allait tourner les talons. Il ne répondit pas vraiment, la jeune femme devait déjà connaitre la réponse.
Il l'a vit alors se lever, refermant alors les rideaux de l'alcôve, permettant plus d'intimité. C'est vrai, il avait oublié ce léger détail. Comme quoi, parfois il était trop impulsif. On peut pas être bon partout, hein. Elle repris alors place sur la banquette, se tournant vers le jeune homme dévoilant alors la vision de son décolleté. D'une voix provocante, elle lui dit de venir voir par lui-même. Nate était légèrement hésitant, il ne faisait pas vraiment ça tout les jours. Il n'avait qu'à suivre son instinct.
Il embrassa alors à nouveau la succube, rompant les limites de ces lèvres avec sa langue pour pouvoir caresser la sienne de la même manière qu'elle l'avait faite plus tôt. Glissant alors ces mains sur ces épaules, il les fit lentement descendre. Elle était habillé d'une belle chemise blanche ainsi qu'un jean. Cela allait facilité Nate pour la suite des évenements. Quelques boutons de la chemise de la succube était déjà enlevés. Il glissa alors ses mimines sur les différents boutons, sans les enlever, faisant durer tout de même le plaisir.
Il commença alors à enlever un premier bouton. Il y allait doucement, sans se presser. Ils avaient du temps, donc inutile d'y aller trop vite. Et puis, cela m'étonnerais qu'elle apprécie que cela se termine en quelques minutes. Il continua alors lentement, un par un, jusqu'à finalement les avoir tous enlevés. Ces lèvres se décollèrent alors de ceux de la jeune femme, avant qu'il ne baisse sa tête, embrassant, léchant la peau du coup de sa partenaire, pendant que ces deux mains enlevaient la chemise de la belle.
Une de ses mains venait de se poser sur le soutien-gorge de la jeune femme, caressant lentement le tissu. Son autre main, elle, alla alors dans son dos pour retirer l'agrafe (ou un autre nom, m'en souviens plus et flemme de chercher...) qui soutenait sa poitrine. Il glissa lentement les deux bretelles de la jeune femme pour retirer le morceau de tissu.
Il releva la tête, adressant un léger clin d'œil à la jeune femme avant de l'embrasser à nouveau. Dieu sait comment il aimait se goût sucré qu'était sur ses lèvres. C'était un véritable délice. Sa main se posa alors sur la poitrine nue de la jeune femme. Elle était ni trop grosse, ni trop petite. Elle était parfaite, en vérité. Il caressa le sein d'Anthéa, le malaxent doucement. Son autre main, elle, c'était poser dans le dos de la jeune femme, ses doigts effleurant la peau douce de la succube, suivant sa colonne vertébrale, caressant ces omoplates. Sa main qui était en train de caresser la poitrine de la jeune femme commençant alors à lentement titiller son téton, faisant toujours durer le plaisir.