Bataille sur la place [Pv Sameshima Kabuto]

Une matinée pluvieuse, Piroxya détestait la pluie, elle rendait les vêtements lourds et gênait les mouvements, mais bon, pour aujourd'hui, ce n'était pas grave, Piro ne contait pas se battre, elle allait simplement profiter de la prime qu'elle venait de gagner pour s'acheter de nouvelles armes. En effet, elle avait perdu les siennes contre son dernier adversaire, ce dernier avait le pouvoir de faire fondre tout métal sur lequel il posait son regard. Piro bénissait le fait qu'elle ne combatte jamais en armure, car sinon cet adversaire aurait eu raison d'elle en plus de ces épées. Enfin, maintenant il était mort et la prime qui y avait sur sa tête rembourserait grandement les frais qu'il causait à la guerrière.

Laissant son esprit vagabondait, Piroxya se mit à arpenter le quartier marchant, cherchant à repérer le meilleur armurier qu'elle finit par trouver aux bouts d'une demi-heure. Si elle jeta son dévolue sur celui là, ces pour plusieurs raisons: En premier car il provoquait une jalousie incroyable chez ces voisins, les pensées de ces derniers exprimaient une jalousie immense, il n'arrêtait pas de se plaindre que tous les clients allaient vers cet enfoiré de Brimgard. En deuxième, elle choisie cette armurier car les clients qui quittaient son établissement étaient tous satisfait. Et enfin elle choisie ce marchant car si connaissant elle-même bien en arme, elle put juger de leurs bonnes qualités.

Une fois à l'intérieur, Piroxya mit peu de temps à choisir son équipement, un jeu de six dagues de lancer et deux épées bâtardes.

-Alors, deux épées plus un jeu de dagues, ça fait 400 pièces d'or Mademoiselle.: lui demanda le marchant.

Piroxya le paya sans dire un mot. Elle venait de capter les pensées d'une personne qui se trouvait dans la rue. D'après ces pensées, deux personnes se battaient sur la place et Piro avait décidé d'aller voir ce combat, qui sait, peut-être tomberait-elle sur un maitre d'arme dont elle pourrait prendre les connaissances.

« Une belle journée pour mourir » se dit Kabuto alors qu'il était en train d'affronter un adversaire particulièrement coriace. L'homme en question était presque deux fois plus grand que lui et il était armée d'une masse d'arme. C'était un membre d'un mystérieux gang qui se faisait nommer le gang du Red-Snake. L'homme en question était accuser de plusieurs viole et trafique d'arme à feu interdit. Sa faisait plus de deux jours que le Kamikaze c'était mit en tête de le chercher pour récolter la prime qui était mise sur sa tête. Cette argent servirait pour le projet que Sameshima avait derrière la tête.

En attendant, le Kamikaze savait que si il faisait la moindre erreur sa pourrait être fatal pour lui. Alors toute sont attention était tourné vers cette masse qu'était sont adversaire. Il ne s'était non plus pas rendu compte de la présence de spectateur. Le combat durée déjà depuis plus d'une demi-heure. Trente minutes ou Kabuto n'avais plus fais que d'esquiver les coups de son adversaire. Il en avait profité tous ce temps de bien l'énerver en l'insultant et du coup, ses attaques se faisait de moins en moins réfléchit puisque qu'il agissait plus sous l'effet de la colère qu'autre chose.

Personne ne put entendre se que dit soudainement Kabuto, mais son adversaire s'énerva encore plus et le chargea. Le jeune guerrier put sauter sur le coter pour l'esquiver et la masse-d'arme se bloqua dans le sol. Kabuto lui fit un clin d'œil provocateur juste avant de lui coller le pommeau s de son katana dans la nuque de grand type.

Ce n'était pas le combat le plus spectaculaire que Kabuto ai fait mais cela suffit pour amuser la foule et qu'ils se mettent à l'applaudir. Kabuto s'amusait à les saluer jusqu'à que son regard se pose sur sur une rousse qui le fixait fermement. Il lui fit un sourire juste avant de demander si on pouvait aller chercher un responsable de la garde de Nexus.

Alors voilà le fameux Kamikaze de Nexus, effectivement, ce que l'on dit sur lui est vrai, c'est assez bon combattant, un peu trop portée sur l'esquive à mon gout, en tout cas, il sait déstabiliser son adversaire.

Voilà ce que pensait Piroxya quand elle regardait ce combat qui ne semblait ne pas vouloir finir, cela faisait déjà dix minutes qu'elle observait ce combat et d'après les pensées qu'elle captait, il avait déjà commencé il y a quinze minutes. Occultant les pensées des spectateurs, Piro se concentra sur celle des deux combattants, pour le Kamikaze, les pensées se résumaient à esquiver et insulter son adversaire pour qu’il commette une erreur fatale. Pour l’autre combattant, elles se résumaient à écraser ce moustique qui commence sérieusement à l’énerver.

Le combat fini lorsque Kabuto l’achat une insulte qui mit le géant complètement hors de lui, ce dernier frappa de toutes ces forces à l’endroit où se trouvait auparavant le Kamikaze et bloqua son arme dans le sol. Kabuto profita bien sûr de cette situation pour frapper son adversaire dans la nuque, mettant ainsi définitivement fin au combat.

 La foule commençait à applaudir et le vainqueur se mit saluer ces admirateurs, il gratifia même d’un sourire Piroxya qui était en train de le fixer. Cette dernière, au lieu de lui retourner son sourire, s’approcha du guerrier et une fois en fasse de lui, elle lui dit:

-Insulté votre adversaire de lâche et de grosse fiente [HRP=désolée, je n’avais pas mieux comme insulte] pour le pousser à commettre une erreur, voilà une tactique des plus inattendue, sinon vous venez de me piquer un contrat, mais bon, comme on le dit souvent, premier arriver premier servi. Par contre, la prochaine fois, si prochaine fois il y a, je viendrais dans le combat et je ne vous laisserais pas vous amuser avec votre adversaire, c’est moi qui le neutraliserait et qui embaucherait la prime. Encore une chose, il y a deux autres membres du groupe de votre adversaire dans la zone et ils ne semblent pas avoir apprécié que se sois vous le vainqueur du combat.

Piroxya avait en effet capter les pensées de deux personnes qui projetaient de tendre une embuscade au KamiKaze pour venger leur compagnon.
Au moment où la jeune femme venait de finir de parler, la foule s’écarta pour laissait passer une dizaine de garde.

-Tient voilà les gardes, ils arrivent toujours quand la bataille est finie eux : ne put s’empêcher de dire Piroxya.