Le carnaval de sang [Brimstone]

Marine abaissa ses armes devant les propos du régulateur mais elle savait qu’il avait raison. Il valait mieux s’occuper des prisonniers qui restaient encore dans la zone. Elle regarda le groupe repartir vers la sortie. Elle les envia un peu mais d’autres personnes avaient besoin d’elle.

Pour une fois, ses talents de combattante étaient utilisés à bon escient. Elle avait tellement tué pour pas grand-chose sauf pour la gloire de quelques grands, là elle avait l’occasion de faire quelque chose de bien.

Elle réarma ses pistolets semi-automatiques et commença à avancer avec les régulateurs.

La troupe repartis pour arriver finalement face à un nouveau monte charge. Curieusement Marine sentis une odeur de formol et de produit chimique qui contrastais l'odeur de boucherie omniprésente dans cet endroit.

" Le territoire des Féroces Morticiens dit un des prisoniers en blémissant. "

Une des machine au coté de Marine se tourna vers l'ancien prisonier pour se renseigner. Le prisonier expliqua alors que les feroce morticien étaient de monstrueux tortionaire en robe rouge. Personne n'a jamais vu leur visage par contre ceux qui ont été choisit par les feroce morticiens ne revienne jamais. Il expliqua aussi que ses monstres avaient beaucoup en commun avec Brimstone mais en plus monstrueux.

Ils reprirent leur route et arrivèrent devant un nouveau monte-charge. Les odeurs, qui les entouraient, avaient changées. Ce n’était plus des effluves de sang et de chairs putréfiées  mais celles de formoles et autres produits médicaux. Ça sentait un peu comme dans un hôpital ou une morgue plutôt mais en pire.
 
L’un des anciens prisonniers parla des « Féroces morticiens ». Les regards convergèrent vers lui. Il ne savait pas vraiment ce qu’ils étaient à part qu’ils portaient un long vêtement rouge et qu’on ne voyait pas leur visage. Ils semblaient se rapprocher un peu des régulateurs mais en pire. Ce devait être pour cette raison, entre autre, qu’ils avaient été si terrifié en les voyant arriver. Au lieu de libérateur, ils les avaient pris pour des tortionnaires.

La jeune femme appréhendait ce qu’ils allaient trouver en-dessous d’eux mais il devait encore y avoir des prisonniers. Ils devaient aller les libérer de cet enfer.

Le monte charge finis par arriver à destination pour déboucher sur un décors bien différent que l'horrible décors industriel. En fait il débouchat sur une grotte naturelle aussi humide que trés froide. Plusieurs machines notament les plus cybernétiser sortire des lampe torche intégrés pour s'éclairer car l'endroit était trés obscure.

Aprés avoir marcher dans la grotte un moment la troupe finis par déboucher dans une sale gigantesque ou se tennais une sorte de construction batis à même la roche. Un grand pont se trouvais au millieux du gouffre ou au fond se trouvais une énorme bourbier verdatre de produit chimique orange et verdatre.



De l'autre coté des créatures montaient la garde et ses créatures ne remblaient à uncune créatures que Marine et Brimstone n'ont jamais vus.

Les dix premières sont de gigantesques créatures de plus de trois mètres de haut. Le corps de ces monstres est fait de métal et de fer noir, de verre et de chair, de sang et de muscle. Leur yeux brillent d’une lueur maladive jaunâtre. Deux trous entre les yeux leur permettent de respirer. Leurs joues sont entièrement constituées d’alliages d’un autre monde et dotées de crocs acérés. Les fluides vitaux des monstres circulent à travers des tuyaux et des conduits de métal. Ces créatures sont soutenues par un squelette métallique externe partiel, recouvert de chair et de muscles. Il manipulaient des arme énorme qui n'étaient pas de ce monde.



Les deux dernières sont d’hideuses créatures massives mesurant plus de 9 mètres de hauteur,  ressemblant à de gigantesques humanoïdes hérissés de pics, leur chair est recouverte de plusieurs lambeaux de peaux assemblés par des sutures. Leurs bras sont amputés au niveau du coude et remplacés par d’énormes armes, telles que des tronçonneuses et mitrailleuses lourdes. Ces géants particulièrement massifs ont besoins d’un exosquelette pour leur permettre de supporter leur propre poids.

A la grande surprise de la jeune femme, l’univers de prison laissa place à une caverne naturelle très sombre et très froide. Marine s’entoura de ses bras pour tenter de se protéger du froid glacial qui régnait. Son souffle se transformait en fumée blanche à la sortie de sa bouche. Pourquoi faisait-il si froid ici ?

Le monte-charge stoppa et ils se mirent à avancer dans la grotte naturelle ou pas d’ailleurs. Plusieurs régulateurs allumèrent leurs lampes torches pour éclairer un peu les lieux. La combattante n’aimait pas du tout ça. Là-haut, dans cet univers de cauchemar, elle savait à quoi elle avait à faire, ici elle était dans le flou absolu.

Au bout de quelques minutes d’avancé dans un silence total, le flou disparût pour laisser place à une réalité d’horreur. A l’opposé du groupe dont elle faisait partie, au bout d’un pont surplombant un gouffre, douze créatures monstrueuses les attendaient.

Dix d’entre elle devaient faire trois mètres mais les deux autres représentaient bien un immeuble de trois étages au moins. C’était des créatures qu’elle n’avait jamais rencontrées. Vu leur taille et leur masse musculaire, inutile de les attaquer à la dague ou au katana. Les seules armes dont elle disposait qui pourraient avoir une quelconque efficacité étaient ses magnums mais la quantité de balles était réduite. La jeune femme espérait que les régulateurs avaient un plan.

« On fait quoi maintenant ? »

Elle murmura sa question pour ne pas que les anciens prisonniers l’entendent.

" Reste ici avec les humains tu nous sera d'une grande aide comme renfort on va tacher de les attaquer par surprise. " Dit une machine tandis que les tueurs se préparèrent à attaquer.

Entendant du bruit de l'autre coté du pont trois monstre à l'aspect de crustacé s'avançèrent sur le pont pour voir ce qui ce passe. Ils étaient à peine arriver au millieux que les tueurs ouvrirent le feu et un déluge de balle de mitrailleuse lourde s'abatirent sur elle. Deux montre furent tuer sur le champ mais le troisième eu le temps de tirer un rayon qui arrachat l'avant bras d'un des tueurs et l'envoya au sol.

Le reste des machines partirent à l'assaut et en quelque enjambés ils réussirent à aller à l'autre bout du pont tuant au passage la troisième créature d'un coup de sawtana et semant la confusion parmis le reste des monstres et des deux géants. Partient toutefois à l'assaut aprés la mort de plusieurs monstre par surprise.

Les Machines avaient semer le foutoir mais elle risquaient fort de se faire démolir si Marine ne réagissait pas.

Marine observait le déroulement des opérations. Elle se tenait prête à leur apporter les renforts qui leur seraient nécessaire. Leur arrivée surprise leurs donna un avantage non négligeable. Deux des monstres qui s’étaient avancés sur le pont furent tués dès le départ. Malheureusement le troisième eut le temps de blesser l’un des régulateurs en lui arrachant le bras.

La jeune femme eut mal pour lui comme le dit l’expression. Elle n’avait jamais pensée à demander à son compagnon de cellule s’il ressentait la douleur. Il était comme une machine mais il avait une âme ou un équivalent. La douleur était donc possible. Quelque part, elle espéra que ce n’était pas le cas et qu’il ne la ressentait pas mais cela, par opposition, voulait dire qu’il n’aurait prit aucun plaisir avec elle. Elle secoua la tête pour chasser ses questions, elle devait se concentrer sur le combat et non sur des questions existentielles.

Bien lui en prit de revenir à la scène qui se déroulait devant ses yeux. Les régulateurs avaient mis en fuite certains des monstres et avaient pu en tuer quelques uns mais l’instant de surprise passée, les monstres pouvaient reprendre le dessus. Elle devait les aider maintenant.

La combattante se tourna vers ses accompagnants et leurs fit un signe de tête pour leur dire d’y aller. Elle s’élança la première, les anciens prisonniers sur ses talons. Ces derniers étaient fous de rage et comptaient bien se venger de leurs bourreaux. Marine sortit ses pistolets et tira à plusieurs reprises sur les deux monstres les plus costauds. Elle tentait de viser la tête, seul point véritablement mortel et relativement facile d’accès. Cependant la taille des deux titans ne facilitait pas les choses pour la jeune femme. La chance fut cependant avec elle, une de ses balles atteignit l’un des deux dans l’œil et une autre balle entre les deux yeux. Ça en faisait déjà un de moins mais il restait l’autre géant et les monstres, certes plus petits, mais énormes quand même.

L'arrivée de Marine et des renfort pris de court les monstres déja en combat contre les machines mais même pris par surprise les monstre se montrèrent plus coriace que prévus. Leur carapace étaient vraiment coriace à entamer et plusieurs humain moururent dans l'assaut matraquer à mort par les fusils des créatures ou désintégrés par les tirs.

Néanmoin les humain aider par les machines rendirent coups pour coups et plusieurs créatures mordirent la poussière réduisant leur nombre. restais le problème du géant qui causait pas mal de difficultés à marine. Ce dernier étais équiper d'une mitrailleuse lourde et ce mis à tirer tout zazimut tuant des humains et détruisant une machine.

Il se tourna vers Marine et poussat un cri de rage en la chargeant pour l'écrabouiller avec ses énormes pieds indifférent aux tirs et balayant le mastodonte qui tentaient de l'arrêter.

Marine se battait comme un beau diable. Plongée dans la mêlée, elle ne voyait que peu de choses de ce que faisaient ses camarades. Elle était trop concentrée sur son combat avec les différents monstres qu’elle ne se rendait pas compte des morts qui s’accumulait dans son camp. Elle ne devait d’ailleurs pas y prêter attention ou elle perdrait tous ses moyens et n’arriverait plus à combattre.

Après s’être débarrassée de deux monstres, elle se retrouva face au dernier et ultime géant. Elle tenta de faire comme avec le premier mais, si a distance viser était simple, se retrouver au pied d’un monstre de neuf mètres était plus compliqué. Celui-ci tenta de la tuer à la mitraillette mais la combattante était trop agile et trop rapide pour la montagne humaine qu’il était.

Fou de rage, il tenta alors de l’écraser contre la paroi rocheuse. Il bondit vers elle, pieds en avant, et ni les balles, ni un des régulateurs s’étant mis en travers de son chemin pour protégée la jeune femme, ne l’arrêtaient. Si elle ne trouvait pas une solution dans la seconde, elle allait mourir. Ses armes étaient vides, elle ne pouvait plus compter dessus. Elle sortit son katana et son poignard et courut vers la paroi rocheuse. Elle se jeta contre elle, plongeant son poignard dans la roche pour qu’elle puisse y grimper plus facilement. Elle attendit l’impact du monstre. Celui-ci ne s’attendait pas à ce que, d’elle-même, elle aille escalader le mur. Il frappa la paroi avec grand bruit. Plusieurs blocs se détachèrent et tombèrent dans le gouffre. Marine profita de la déconcentration du monstre pour se jeter sur lui. Elle n’aurait qu’une seule chance avec une masse de muscles pareils. La combattante visa la jugulaire avec son katana. Ce dernier était affuté à l’extrême. Il perfora sans soucis le cou du monstre, qui paru surpris de cette attaque, et le tua quasiment sur le coup. Le sang gicla et la jeune femme en fut couverte mais le titan fut vaincu.

Le géant poussa un gargouillement d'agonie et tomba face contre terre entrainant marine dans sa chute. Il était au bord du gouffre et allais tomber dedant et aurais pus entrainer marine dans la mort si l'inséminateur n'avais pas bondit pour mieux saisir la jeune femme avant que le géant tombe dans le bouillon d'acide et de lave en contrebas.

Une fois sur le plancher des vache Marine et Brimstone ne purent que faire le bilant. Sur les soixantes esclaves seul le moitier avaient survécus. Une dizaine étaient blessé. Quand au machines seul quatre était en état de combatre. Un Tueur, un Mastodonte un peu cabossé, L'inséminateur et le régulateur qui à servis d'amant à Marine.

Marine regarda autour d’elle. Peu d’entre eux avaient survécus. Elle-même avait bénéficié d’une chance insolente. Elle devrait être aplatie contre un rocher ou dissoute dans le lac d’acide au fond du précipice. La combattante n’avait dû son salut qu’aux réactions rapides de l’inséminateur qui l’avait rattrapée avant le grand plongeon.

A présent, ils n’étaient qu’une poignée. Pouvaient-ils encore objectivement continuer avec si peu d’entre eux ? Pourtant, ils étaient peut-être le seul espoir de plusieurs prisonniers.

Marine n’avait plus ses magnums. Il ne lui restait que son katana, son couteau long et deux poignards. Cela semblait bien maigre à la jeune femme pour poursuivre mais elle n’allait pas s’arrêter là. Elle espérait que la majorité des monstres avaient été tués là. Un espoir bien maigre mais c’était déjà mieux que rien. En plus, il était peut-être possible de récupérer certaines armes de leurs adversaires. Elle se tourna vers l’inséminateur.

« Merci… de m’avoir sauvée – elle porta son regard sur les autres régulateurs et son amant notamment – On continue ! »

PERONA
Aprés s'être réveillé et maintenant en colère. Perona se rendis compte que hormis des machines et beaucoups de gens en gueunilles et des blessés elle ne trouva pas Marine.

" Ah non tu ne va pas recommencer à te plaindre et hurler à tout bout de champs." Dit l'inséminateur qui la posa et lui rendis ses affaires.

" Bon écoute on a du se diviser en deux groupes pour acheminer les blessés à l'abris. Comme tu était inconciente j'ai décidé que tu partirais avec les blessés tandis que Marine et un groupe de mes autres moi fouillerait cet endroit. Si tu nous aide à les remonter à la surface je te donnerais de l'or, un chateau, n'importe quois mais arrête de hurler ! " Ordonna la machine.

MARINE
Les machines hochèrent la tête et suivirent Marine à l'interieur du temple de pierre non sans avoir pris par précaution les gros flingues des monstres qu'ils avaient tuer.

A l'interieur la puanteur des produits chimique et du formol était trés forte et trés étoufante. Un bruit de crissement et des hurlement se firent entendre ce qui étaient assez éprouvant pour les nerfs des humains présent avec marine. Au bout de quelque minute la troupe arriva dans un lieu de cauchemard.

Ce sont des lieux d’une terrible souffrance et du mal le plus redoutable. Ils ressemblent à de grandes salles de chirurgie, mais l’anesthésie n’y est jamais utilisé, et les docteurs infligent des blessures à leurs patients plutôt que de les soigner. Les Bourreaux y torturent leurs victimes, leur arrachant la peau par lambeaux avec un scalpel. Ils y pratiquent tout leur art, des esclavagistes souriants assistant aux événements tels des spectateurs devant un divertissement plaisant. Ces lieux rassemblent tous les instruments de torture jamais inventés, le pire étant un auto-excruciateur, une machine redoutable qui est un croisement entre une table d’opération, un fauteuil de dentiste et une chambre des horreurs. Le divan capitonné est habituellement trempé de sang. Il possède d’épaisses sangles renforcées pour maintenir immobile la victime. De longs bras télescopiques supportent un terrible assortiment de tronçonneuses, étaux, scalpels, lames et électrodes. Il dispose également de bobines d’induction à la douleur, de lampes puissantes destinées à être mise devant les yeux de la victime, et toutes sortes d’outils trop horribles à mentionner. Il s’agit de l’instrument ultime de torture.

Les boureaux n'étaient pas humain non plus et Marine et Brimstone comprenais pourquois le prisonier avait frissoné en citant les feroces Morticiens. Ils ont une apparence grande et dégingandée sous leur peau à l’épaisseur de cuir. Leur longue tête ressemble de façon obscène à celle d’un insecte avec quatre grandes mandibules en lieu et place de leurs mâchoires. Les mains sont longues et se terminent par des griffes qui sont capable d’inoculer du venin s’apparentant à la soude caustique. Ils prenaient un malin plaisier à torturer à mort des femmes et des enfants.

Marine fut abasourdie par le spectacle macabre qui se jouait devant elle. Même dans ses pires cauchemars, elle n’aurait pu imaginer pareils horreurs. Comment pouvait-on construire de tels engins de torture et de mort ? Quel plaisir pouvait-on retirer à faire ça ? La colère et la rage inondèrent les veines de la jeune femme.

Visiblement les bourreaux n’étaient pas humains. Marine aurait même dit qu’ils n’étaient pas terranides mais elle ne pouvait l’affirmer. Une chose était sûre, elle allait se faire un immense plaisir de les envoyer en enfer. Néanmoins, la prudence s’imposait. Ne connaissant pas ces créatures, elle n’avait aucune idée de leurs capacités et elle détestait les mauvaises surprises.
 
Elle s’arma d’un des fusils empruntés à l’un des monstres tués. Le doigt sur la gâchette, elle était prête à tirer. Les muscles tendus, elle attendait le moment d’attaquer.

PERONA
Le type poussa un couinnement pitoyable quand Perona lui donna un coup de pied. Il était blessé et incapable de faire ce que Perona ordonais. En fait tout les humains ou presque étaient blessés et trop faible pour marcher et plusieurs machines avaient du s'improviser infirmier pour les maintenir en vie en attendant des renforts dans une des grande salle du labyrintes d'acier.

L'un des régulateur appela d'ailleur Perona pour qu'il bienne l'aider à extraire une balle fiché dans l'épaule d'un esclave d'une maigreur effrayante à cause de la malnutrition.

MARINE
Pour le moment aucun des tortionaire et des gardes n'avaient pas remarquer la présence des intrus qui avaient réussit à se déployer dans l'imence salle de torture. Il y avais une dizaine de ses boureaux insectoides en train de selectioner leur victimes ou de pratiquer leur torture immonde sur leur malheureuse victimes.

Outre cela se trouvais une douzaine d'esclavagistes, quatre ogres et trois monstre monstre aux alure de crutacés comme ceux qui gardaient l'entrée du temple.

Par chance Marine et ses compagnons purent se déployer dans la pièce sans se faire repérer, un véritable exploit ! Ils pouvaient en venir à bout même si ça allait être difficile. L’effet de surprise serait déterminant pour eux. Ils devaient tous attaquer en même temps. En coordonnant leurs efforts et en utilisant les armes récupérées, ils pourraient tuer en un seul coup les tortionnaires. Il faudrait être rapide et précis. Le droit à l’erreur était prohibé en cet instant.

Marine se plaça dans un coin de la pièce et attendit que tout le monde soit en place. Elle regarda les régulateurs attendant le feu vert.

La jeune femme était tendue comme toujours avant d’attaquer. C’était le moment où le stress était le plus fort et le plus intense pour elle. Sur le moment, dans le cœur de l’action, elle ne songeait ni aux risques, ni à la mort mais dans ce temps d’attente, la peur pouvait s’immiscer en elle. Là, elle essayait de la contenir et s’employait à respirer calmement attendant le moment de bondir.