La torture que lui infligeait Kasuli était des plus agréables, si seulement il savait qu'il pouvait la faire jouir simplement en s'occupant de la zone la pls sensible de son corps...Il ne serait que plus lent et langoureux a la tache, mais sa vitesse lui plaisit. Elle pouvait pleinement sentir cette pression futile qu'exercait son doigt sur sa poitrine en ébulition. Elle se senti mouiller, quoi de plus normal me direz vous, et pas qu'un peut, tant qu'elle craignait qu'il le sente a travers le pantalon le maillot et la culotte de la succube, mais c'était s'inquietter pour rien.
Elle se laissa lentement torturer, haletant legerement lorsqu'il se raprochait de son téton dur comme l'acier. Comment pouvait il encore soutenir ce regard empli de larme? Il était d'un vert foudroyant et ses larmes le rendait encore plus craquant, quant au contraste qu'il offrait avec les paumettes maintenant bien rouge de la succube, il n'y avait pas plus beau spéctacle sur cette terre.
Je crois que cette vue est préférable aux étoiles tu ne trouve pas?
Le champs était parfait, le soleil cuivré se couchait et offrait aux amants une intimitée toute singuliere avant de se faire faucher par la fraicheur et le draps noir de la nuit. Une soirée digne des romans d'amour mais emplie de larme et de tristesse.
Larmes qui finirent gobé par les levres douces de Kasuki, Aya pouvait le sentire, il se gavaitde sa tristesse, comme si il voulait la débarasser de son malheur. Mais il ne s'aretta pas là, il tomba sur son oreille, mais évita la zone purement érogene du lobe superieur. Ce qui laissa une moue boudeuse et arreta momentanements les caresses mais se reprit iméditaement en lachant un cri surpris lorsqu'il sucota le cou de la succube.
Ha,, tu es pas si mauvais que tu le laisse croire....continue, montre moi ce que tu sais faire....
Mais cette pensé ne la réconforta pas, enfin, rien ne la réconfortait, les larmes coulaient, c'est tout, pas de tristesse, pas de rancune, juste une exteriorisation de sa tristesse et de sa solitude interne. Il le prendrait pour lui, mais ce n'était aps le cas, il étiat le déclancheur, mais maintenat c'étiat sa simple solitude de coeur qui s'exprimait. Dur pour cette femme qui en a crever des milliers et qui voit le sien voler en éclat en un soir