Prénom: Theodor, Karl
Nom: Friedrich
Surnom: Théo
Age: 27 ans
Sexe: Masculin
Race: Humain
Occupation: Chasseur de démons, « fangstfolk »
Orientation sexuelle: Bisexuel
Description physique: Que dire, que dire... C'est un Friedrich, ça veut presque tout dire. DONC! Theodor est un homme d'environ 1m85 pour 70kg, et quelque peu gringalet. Mais il faut avouer que parmi ces pauvres kilo, certains sont de muscle. Des muscles finement taillés, certes, mais présents. Il est plus taillé pour la course que le combat rapproché, mais cela n'en fait pas moins un homme agile doté d'une grande force malgré son poids plume.
Sinon, c'est un bel homme aux traits fins sur une peau presque aussi blanche que la neige. Si vous avez déjà eu l'occasion de croiser son regard, vous avez du remarquer ses yeux aussi noir que le charbon, et aussi froid que la glace. Un regard mystérieux, ne reflétant aucune émotion. Enfin... son œil serait plus juste, car il est borgne, enfin... presque (voir histoire). Il cache cet œil (le gauche) grâce à divers cache-œil pour paraître plus élégant. Il ne serait pas étonnant de voir des cernes sous ses yeux, causées par ses nombreuses nuits d'insomnies. De plus, ce n'est pas dans son habitude de sourire... On va dire que le voyage forge le caractère. Mais il faut ajouter qu'un Friedrich n'en serait pas un s'il n'était pas blond. Theodor n'échappe pas à cette règle: des cheveux presque blancs lui tombent sur le visage et les épaules, tout en laissant une longue mèche pousser, lui arrivant maintenant dans le bas du dos.
Par facilité, Theodor est plutôt du genre à s'habiller pour voyager, sans pour autant négliger ses tenues, en y rajoutant une pointe d'élégance. Il faut aussi préciser qu'il est toujours armé, au cas où une occasion se présenterait.
Caractère: Possessif et jaloux, Theodor n'hésitera pas à s'en prendre à quiconque qui s'approche un peu trop de sa jeune sœur. Il serait prêt à tuer pour ça... De nature méfiante, il ne donne pas sa confiance à n'importe qui et à n'importe quoi, car on ne peut se fier à rien, ni à personne dans ce monde. Voilà ce qui peut expliquer sa froideur et son caractère distant. Selon lui, le fait que les personnes s'attachent trop à lui n'est pas bon, car il a peur de les décevoir par la suite et de les rendre malheureux. Et il ne veut pas se trimbaler des « amis », il préfère la vie en solitaire.
Ce qui le force à se méfier de tout, c'est son instinct de survie plutôt développé du à son occupation de chasseur de démons. Il les déteste, pensant que leur place n'est pas parmi les humains, et aussi il n'apprécie aucune créature impie comme ces sangsues, tentatrices du diables, créatures de la nuit, démons pervertis, bref la liste est longue.
Mais cela ne veut pas dire qu'il est méchant, bien au contraire. C'est un homme gentil, seulement une fois que l'on a gagné sa confiance. Il aidera toujours les personnes en difficulté, car il déteste voir les gens en détresse. Le voir en présence de Frig pourrait en choquer plus d'un, car là vous apercevrez un grand frère d'une grande gentillesse et d'une grande patience, ce qui n'est pas dans son habitude avec les personnes extérieurs à sa famille. Sinon, c'est un homme bon-vivant, avec un très mauvais humour, il faudra l'avouer. Mais il compense ce manque par son « regard de la mort » qui est près d'en refroidir plus d'un qui ne rirait pas à une de ses petites plaisanteries. Oui, il est un peu susceptible...
En présence d'un démon (ou éventuellement à un prétendant de sa sœur), il se montrera sans pitié. Theodor fera tout ce qu'il pourra pour l'éliminer et ce par tous les moyens possibles. Ce sera aussi le cas quand quelqu'un agitera une bouteille d'absinthe sous son nez quand il sera dans une période de manque d'alcool. Ça en deviendrait presque une habitude chez les Friedrich...
Histoire: Entretien avec un chasseur de démons... dans un bar.
Vous tendez une liasse de billet à l'homme blond.« Merci. Vous me verserez l'autre partie quand je vous livrerais la tête de ce cadavre ambulant. »
Par politesse, vous décidez de lui offrir une bonne bière, tout en le questionnant sur ses origines.« Je suis né à Trondheim, en Norvège, parce que mes parents ont fait trop de galipettes dans le dortoir de la fac de médecine. Ma mère voulait pas avorter (enfin, elle n'avait pas le courage), alors elle a décidé de m'abandonner. Enfin... de me léguer à un couple qui ne pouvait pas concevoir d'enfants. Mais c'est elle qui a choisi mon prénom. Theodor. Celui de mon grand-père. Elle a aussi insisté pour que je porte le nom de son futur époux. Friedrich. Un riche allemand de qui j'ai hérité les yeux et le visage. Après, je ne sais plus trop ce qu'ils sont devenus, et je m'en fiche pas mal. Ce ne sont plus mes affaires. »
Le serveur pose deux bières sur la table, et vous faites signe à Theodor de continuer.« La famille dans laquelle j'ai vécu était très gentille, mais pauvre. J'avais pas les loisirs comme la télévision ou les jeux vidéos. Je préférais lire, de toute façon. J'étais un bon élève, je faisais toujours le travail demandé et je suivais attentivement les cours. Mais cela ne m'empêchait pas de me battre avec mes camarades à la sortie des cours. D'ailleurs j'étais très bon, pour me battre. »
L'homme ria, avant de boire une gorgée de sa bière.« J'ai toujours adoré ça, me battre. Pis les flingues et les armes, en générale... Je lisais plein de trucs sur le sujet, je souhaitais à tout prix devenir un professionnel. Plus tard, je voulais être un tueur à gage. J'avais 8 ans. »
Vous esquissez un sourire à l'évocation de ce souvenir.« On a déménagé à Londres, parce qu'on pensait qu'la vie y était meilleure. Pis mon père adoptif est mort, ne laissant qu'un maigre héritage à ma mère adoptive qui n'était qu'une simple employée de ménage. C'était juste. Alors voilà pourquoi je m'enfuis de chez moi, je ne voulais plus être un poids pour elle. Depuis je ne l'ai plus jamais revue. Dans la rue, je vivais avec des garçons de mon âge, j'avais environ 12 ans. C'est là qu'ils m'ont appris à me servir d'une arme à feu, parce que c'est utile quand la police intervient. J'étais un sacré voyou... »
Il reprit une gorgée de bière.« J'ai fait les 400 coups avec mes nouveaux amis. Vols, bastons, tout. On aimait bien se battre, ça nous occupait le temps, puis ça nous aidait à nous réchauffer l'hiver. Des fois, on en perdait, lors des hivers trop rudes... Mais ce sont des choses qui font partie de la vie, des choses qui font de nous des humains. »
Le blond poussa un soupir.« Puis moi et mes potes on a commencé à grandir. On a arrêté nos gamineries, comme se battre ou bien les petits vols à l'étalage, on voulait quelque chose de plus concret. On voulait une vraie maison, pas un squat. On voulait à bouffer tous les jours. Alors on s'est dit qu'on devait travailler. J'ai commencé comme livreur de journaux à un salaire assez médiocre. J'ai enchaîné les petits boulots petits à petits, et avec cet argent, je me suis payer un allé simple en bateau vers Saint-Malo. Après de déchirants adieux avec mes amis, compagnons de rues, je navigue vers la France. Une fois arrivée sur terre, je me trouve un transport vers Paris, puis je commence à errer en ville en quête d'un logement. Apprenant le français, je commence à travailler chez un horloger. Un brave type, qui avait eut pitié de moi le jour où j'ai flâner devant sa vitrine. C'était l'un des derniers horlogers traditionnels du coin. Nous étions en 1997 et j'avais 15 années de misère derrière moi... »
Le borgne se tut quelques instants.« C'est l'une des meilleures étapes de ma vie. Ici je ne faisais de mal à personne, et j'apprenais à faire des montres de toutes sortes, ainsi qu'à parler français, italien, et allemand. C'était important pour les affaires. Ce type qui m'hébergeait, Perregaux, était proche de la retraite. Et il n'avait ni femme ni enfant, c'est pour ça qu'il me considérait presque comme un fils. Ici je dormais au chaud, j'avais à manger, je portais des vêtements neufs... Mais dans mon lit, chaque soir, je sortait ce flingue de ma poche, et jouait avec la détente. Parce que les armes ont toujours été ma passion. Je me demandait vraiment ce que j'allais faire de ce vieux flingue, qu'un ami mourant de froid m'avait donné, car il appartenait à son grand-père, on à son arrière-grand père. J'étais son meilleur ami à ce moment là, l'hiver de mes 13 ans. Je me souviendrais de ce moment là... Il est mort dans mes bras... Comme vous le dite, c'était dur... Je me posais tous les jours la question de est-ce que je vais mourir aujourd'hui, ou demain, ou l'hiver prochain. »
Vous affichez un sourire gêné face à ce souvenir.« Ah... Perregaux... Il a prit soin de moi jusqu'à mes 19 ans. Pourquoi je ne suis pas resté chez lui? Parce qu'il s'est fait tué. Balle perdue lors d'une fusillade, à Paris. Il allait juste chercher du pain... Je me disais chaque jour que j'aurais du y allé à sa place, parce que j'ai un flingue. J'aurais pu me défendre. Hélas, le destin en a fait autrement. Je suis parti de Paris clandestinement (avec comme seul butin de cette vie une simple montre à gousset en argent et quelques billets), grâce à un camion s'en allant pour l'Allemagne. Me voilà à Munich. Je recommence à enchaîner des petits boulots et à vivre au jour le jour, ne sachant trop où le loger et si j'allais avoir à manger. C'est là que j'ai commencé à sérieusement déraper... Là j'ai intégré une sorte de gang. Des gens sympas, qui m'ont accueillit les bras ouverts. J'ai recommencé à voler. Et ce fut la première fois que je réussis à tuer quelqu'un. Un flic, poumon perforé d'une balle. Je voulais m'enfuir et me défendre, le coup est parti tout seul. Mais cela ne m'a pas fait grand chose. C'était le premier sur une liste interminable... »
Quand Theodor reposa son verre vide sur la table, vous remarquez que, trop attentif à son histoire, vous n'avez pas commencez le votre. Vous portez le verre à vos lèvres et buvez une grande gorgée.« C'est là que ma période drogue/alcool à sérieusement commencée... Je buvais chaque soir en compagnie de mes nouveaux amis, et je me droguais. Héroïne, morphine, cannabis, haschisch, mélangé à de la vodka, bière, whisky, gin... Après m'être shooté, j'allais voler, cambrioler... Puis un jour, j'ai commencé à devenir un vrai tueur à gage. Un ami me promit que si je tuais untel, je percevrais tant. Et ce « tant » était une sacré somme, croyez moi! J'ai commencé à percer dans le domaine. »
Vous questionnez l'homme sur sa vie sentimentale à ce moment là de sa vie.« Ouais, j'avais une copine. Sonja. Une chouette fille allemande chez qui je logeais. Elle faisait partie de la bande elle aussi. La première fille avec qui j'ai couché... Que de bons souvenirs... Avant qu'elle se fasse tuer par un groupe ennemi. Bien sûr j'étais en pétard contre ces gars là. C'est pour ça qu'on a fait une descente chez eux, et qu'on y a perdu les trois quarts de notre groupe. C'était ma faute. Et les gars l'ont pensé très fort. C'est pourquoi j'ai du m'en aller de Munich avant de me faire liquider par le frère de mon ex-copine... Cette histoire de gang? Ben... en fait, il y avait deux groupes dans la ville. Le mien, et celui des autres. On s'était regroupé pour nos magouilles, pis on se couvrait mutuellement, vous voyez... On était des pros en matière de vols et cambriolage dans les centre de paris. S'pour ça que les autres n'étaient pas très content. Eux, c'étaient des bookmakers, des vrais de vrais, des pros qui gagnent du fric très facilement. Y'avaient des mafieux dans la bande, ça j'en suis certains. C'était pour ça qu'ils nous aimaient peut-être pas... Enfin voilà. »
Vous demandez à Theodor comment il a fait pour arriver où il en est, en pointant son cache-œil du doigt.« J'ai continuer à exercer le métier de tueur à gages un peu partout en Europe. Je me faisais une petite fortune, le tout gardé dans un compte en banque en Suisse, bien en sécurité. Je n'étais pas riche, mais j'avais de quoi me payer un appart' et à bouffer. Tueur à gage. Le métier dont je rêvais à mon enfance. Je m'achetais de bonnes armes, du bon matos... Je me faisais connaître. Pis un jour y'avait ce type bizarre, à Kiev... Il m'a demandé d'abattre un gars dans les bas-fonds de la capitale ukrainienne. C'est ce que j'ai fait... Avant de me faire tirer dessus. Et oui... La cible m'a abattu, enfin presque. Je me suis réveillé quelques temps plus tard dans une pièce vide, où j'étais enfermé, et attaché par les poignets au plafond. »
Il vous fait signe de vous rapprocher afin de ne pas trop attirer les oreilles baladeuses.« Il faisait froid, sombre et humide. Je parie qu'il y avait des rats, des araignées, et tout ce que vous voulez. Puis là, y'a un gars qui est entré... »
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(Là c'est une version bien raccourcie des faits, je n'avais aucune inspiration, hélas!)
Un homme entra dans la pièce. Il était habillé d'un costume noir ne comportant aucune froissure. Il portait un bandeau sur ses yeux, mais son sourire sadique se reflétait sur son visage d'ivoire. C'était un peu comme une copie brune de Theodor, mais en plus cruelle et sans pitié. Bien que ses yeux soient cachés, l'homme avança d'un pas sûr vers le blond et s'arrêta devant lui, chargea son revolver et le pointa sur Theodor.«
C'est Bretjnev qui t'envoies? »
« Qu'est-ce que ça peut vous foutre... »
Theodor cracha à terre, mais en retour l'inconnu tira sur ses cheveux en arrière et braqua le flingue sur sa tempe.«
Je te pries de rester poli, t'es encore qu'un gamin. Respecte moi, je t'en prie, et ça ira mieux pour toi. » Dit-il avant de marquer un silence. «
Alors, QUI T'ENVOIES?! »
« Bretjnev... »
«
Bien, nous allons être copains, tous les deux. »
Theodor savait qu'il n'aurait jamais du faire ça. On ne dénonce pas son employeur, quand même. Mais la panique l'y obligea. Puis il devait sauver sa peau, en priorité. C'était la première fois qu'il se faisait prendre à ce genre d'activité. Et si on allait le livrer à la police, voir pire, si on le torturait avant de le tuer?«
Moi c'est Wladimir. Enchanté, Theodor. »
Et pourtant, Theodor ne lui avait jamais dit son nom. Wladimir relâcha sa prise et rangea son arme.«
Désolé pour toute ces violences, mais il faut se montrer persuasif. Mais tu sais, je ne t'aurais jamais tiré une balle, car je sais que tu te serais montré coopératif. Même si tu ne voulais rien me dire. Ça, c'est l'avantage du charme démoniaque, bien que je ne pense pas qu'un homme comme toi soit intéressé par les gars. Dommage, tu dois avoir du succès auprès des filles... Enfin, assez parlé! Tu es bien un tueur à gages, non? »
« Euh... oui... »
«
Alors j'ai besoin de toi! J'ai besoin de quelqu'un de jeune, doué, agile, fort, quelqu'un comme toi! Je suis trop vieux, du haut de mes 423 ans, je pense que je vais songer à retourner de là où je viens... Je vais arrêter de errer sur Terre, tu vois... »
« Vous vous moquez de moi?! »
«
Hélas non mon cher ami! Ce monde n'est pas seulement peuplé d'humains, y'a aussi nous, démons... Puis il y a aussi des êtres angéliques, et des neutres, comme moi... Je suis neutre, je suis la Suisse! »
« Bon j'en ai marre, dites moi ce que vous voulez... »
«
Soit pas grognon, l'ami! Pour faire bref, je voudrais que tu chasses des démons, voir des anges, et ce, à ma place. »
« C'est tout simplement grotesque! »
Theodor n'en croyait pas ses oreilles, bien évidemment. Il écarquilla les yeux devant de tels propos, mais il devait admettre que Wladimir disait vrai. L'inconnu enleva le bandeau qui couvrait ses yeux, pour révéler deux rubis étincelants. Des yeux rouges illuminaient son visage avec un air bienveillant mais pourtant si... démoniaque?«
Oh non loin de là! J'ai besoin d'un agent sur Terre! D'après ce que j'ai compris, tu te débrouilles très bien avec les humains, reste à voir avec les démons... Allé! Y'a pas d'os! Et t'as rien à perdre! »
Ce Wladimir était des plus expressifs...« Vous me demandez de tuer des démons et autres créatures sur Terre pour vous, et c'est tout, si j'ai bien compris?
«
En gros c'est ça. Tu sais, y'a beaucoup de gens qui cherche à éliminer des démons sur Terre, faut pas croire! Et ils payent mieux. Terriblement mieux. C'est tout bénef'! Crois moi... »
« En gros...? Non là vous avez oublié un détail... avouez... »
L'inconnu dans son beau costume se tut quelques secondes avec un air gêné. Il avait l'air de ne pas savoir ce qu'il voulait dire...=================================================
« Cet homme m'expliqua que je pouvais pas éliminer ces foutus démons en étant humain. Il m'a pris mon œil gauche et me donna le sien en échange (une expérience assez douloureuse je dois dire), avant de se retirer de Terre après que j'ai réussi à éliminer mes premiers démons... »
Theodor pointa son doigt sur son œil gauche.« Grâce à cet œil rouge sang, j'arrive à voir les démons. Quand j'en vois un, une sorte de lumière rouge s'échappe d'eux. Au contraire un ange laissera voir une lumière blanche. Mais faut pas croire, même à travers ce cache, je vois avec mes deux yeux... Troublant, en effet, hein... Ça fait des années que je suis entrainé. »
Le blond sort un revolver de sa poche et le pointe entre vos deux yeux, malgré le fait que vous soyez dans un bar.« Gå tilbake til helvete, démon! C'est toi le contrat maintenant! »
Et un coup de feu retentit dans l'auberge, et le chasseur de démons détala du bar.Situation de départ: N'est plus vierge, a eu quelques copines au cours de sa vie, mais rien de bien sérieux. Il prétend se foutre de ces choses, même si au fond ce n'est peut-être pas vrai.
Autres: Theodor est un homme très agile et rapide en combat, ce qui en fait un adversaire coriace.
Il est équipé de deux revolver:
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Ibenholt (ébène), un modèle assez récent et moderne, généralement caché à l'intérieur de sa veste et accrochée à celle-ci par une chaine. Cette arme est chargée de balles sacrées utilisées pour détruire plusieurs genres de créatures démoniaques. Il en existe différents types selon les démons poursuivis (Vampires = balles en argent, etc.)
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Elfenben (ivoire), un modèle de 1870. Theodor le garde car c'est un cadeau d'un de ses amis d'enfance mourant. Il peut facilement tuer un être humain avec, et c'est d'ailleurs pour ça qu'il l'utilise toujours. Il peut aussi être chargé de balles sacrées, mais il est moins efficace que son « grand frère ».
Il peut savoir qui est un avatar, grâce à son œil gauche. Quand Theodor voit un démon, sa silhouette est éclairée d'une petite aura rouge. Un ange est ainsi éclairé d'une lueur blanche, mais il existe beaucoup d'autres couleurs, mais Theodor n'a pas rencontré tous les types d'êtres qui errent sur Terre. Quand il porte son cache-œil, il ne voit que faiblement l'aura des autres, mais il la voit toujours, et il voit toujours comme s'il voyait avec ses deux yeux. C'est juste que c'est plus agréable de ne pas voir des silhouettes briller à tout coin de rues.
Parfois, à cause du "pacte" qu'il a scellé avec le démon, il se peut qu'une étrange force violente s'emprenne de lui...