[ UA - Karl&Rubis ] Un boulot pleins de surprises et d’inattendus ~

Alors que la tigresse tatoué se lâchait, laissant place à son désir et rien d'autre, Karl lui, en profitait amplement. Il adorait la voir ainsi, le surplombant, jouant de son regard et de son visage qui trahissait son envie dévorante, le fait que cela lui plaisait d’être au dessus de lui, sentant ses griffes marquer sa peau tatouer, sentant ses hanches, son bas ventre et son délicieux fessier rebondir encore et encore contre son corps dans un rythme des plus sulfureux déjà, ce qui promettait une soirée des plus chaude à ses yeux.

Et quel chanteuse, Karl était d'autant  plus excité, souriant de plaisir en l'entendant couiner, gémir et grogner de plaisir sous chaque va et viens qui laissait son membre caresser, frotter, masser et presser ses parois intime divinement accueillante, pulsant de temps à autre de plaisir et d'envie quand la demoiselle s'amusait à l’enserrer vigoureusement dans son fourreau. Il aimait beaucoup aussi la sensation de ses gambette s'écartant et se resserrant contre lui lorsqu'elle se soulevait puis revenait se plaquer contre lui.

De son coté, il n'était pas en reste, continuant de pincer délicatement ses tétons dressé avant de les relâcher d'un coup, recommençant plusieurs fois avant de caresser sa poitrine plus amplement, laissant ses mont être cajolé et ses pointes excité être baladé sous ses phalanges et sa paume de main. Son autre main elle continuait de jouer de son pistil parfaitement gonflé d’excitation, venant rouler, frotter et effleurer son doux bonbon, y mettant un peu plus d’intérêt par moment avant de ralentir, jouant avec son corps dans un plaisir intense. Mais ce n'était pas suffisant à son goût, la demoiselle lui donnait trop envie, le plaisir qu'elle lui offrait en devenait une drogue et, comme toute drogue, on en voulait toujours plus, alors, Karl continua de jouer de ses hanches avec plus d'insistance, venant la rejoindre par moment avec vigueur au point de la soulever sous ses coups de reins, ses mains venant désormais glisser sur sa taille et ses hanches, caressant le creux de ses reins, puis, il décidé de sa redresser.

L'heure d'ajouter un peu de piment pour la demoiselle était arriver, alors, levant son dos du canapé, Karl s’assied plus droit dans celui-ci, venant mordre le menton de la demoiselle en signe de défi, la fixant du regard avant de redescendre, embrassant sa nuque, laissant la pointe de sa langue la caresser, venant appliquer un délicieux suçon sur le cou de la demoiselle pour en soutirer un possible cri de plaisir. Puis, continuant de rouler son bassin sous elle, il courba un peu plus son dos, embrassant ses trapèze, sa clavicule, descendant fiévreusement sur son buste avant de se retrouver à passer un coup de langue d'avertissement sur ses seins, humidifiant bien ses tétons de sa salive avant de venir les susurrer avec envie.

Rubis était sur un petit nuage, grimpant aux rideaux sous tant de bonheur et délice qu’elle ressentait en ce moment, dansant à en perdre haleine tout en chantant à en perdre la voix, tout cela sans sourciller ou cligner un seul instant des yeux, ne quittant pas un moment le regard de Karl. Oui, elle prenait son pied, et elle savait pertinemment que cela ne faisait que commencer, mais ça ne l’empêcher de se donner avec passion pour autant, bien au contraire même, ça l'inciter à poursuivre, en désirant toujours plus comme une petite droguée, voulant déjà par avance sa prochaine doser alors qu’elle n’avait pas déjà finie celle qu’elle dégustait.

Et qu’est-ce qu’elle adorait tout ce qu’il lui faisait, pouvant ressentir avec extase ses mains s'occupaient de sa poitrine et de son petit bourgeon qui étaient si sensible à son toucher mais aussi tant demandeur, tandis que son chaud jardin se faisait explorer par sa belle lame aventureuse, en découvrant chaque recoin et venant s’enfoncer au plus profond de ces terres quand il lui offrait de puissants coup de bassin à l’en faire sautiller en l’air en criant de bonheur tant c’était merveilleux. Oui, tout son corps était en demande de lui, désirant que cela continue et ne s’arrête pas

Mais la suite ne manqua pas de la surprendre, le voyant et sentant se redresser, lui faisant face à présent à l’en faire rougir légèrement, la faisant chanter différemment à cause du changement d’angle, mais qui était tout aussi délicieux ainsi positionné. Puis elle se mit à gémir plaintivement quand il vint mordre son menton en la défiant du regard, avant de venir s’occuper de loger sa tête dans sa nuque en venant la bichonner de sa langue et ses lèvres, la faisant soupirer de plus belle en resserrant ses mains posées contre son torse à présent. Puis, doucement et lentement, elle vint faire glisser l’une d’elle, la faisant remonter le long de son torse, venant caresser une de ses épaules avant de venir la lové dans sa nuque, caressant celle-ci ainsi que le bas de ses cheveux en l’encourageant tendrement dans le suçon qu’il lui faisait, la faisant pousser la chansonnette encore plus fort d’une voix plaintive.

Son bassin ne s’arrêta pas pour autant d’onduler contre le sien, se frottant, se caressant et sautillant en le percutant dans ses vas et viens, calinant encore et encore sa lame dans son chaud fourreau qui l'enlaça avec envie et plus fort, voulant lui donner à tout prix encore plus de plaisir. Et en parlant de plaisir, la petite serveuse en prenait plein sa petite fraise, chantant à tue-tête sous les roulements de bassins que lui offrait le séduisant videur, mais aussi sous ses baisers, coups de langues et suçages brûlants sur le haut de son buste ainsi que sa poitrine, la faisant se pencher un peu plus en arrière afin de lui offrir plus de champs de jeu pour faire ce qu’il voulait d’elle, ne demandant que ça d’ailleurs. Puis, lentement, elle vint faire glisser doucement son autre main le long de ses flancs, avant de la faire glisser dans son dos et venir le caresser sensuellement avec vitesse avant de se mettre à le griffer ici aussi pour le marquer de son désir pour lui. Quant à ses petites gambettes qui continuaient leurs petits jeux de serrer et desserrer autour de ses hanches et ses jambes, elle vint les lever légèrement, venant les déplier de tout leur long avant de les passer derrière lui, venant l’enlacer avec ses longues jambes pour s'agripper autrement à lui et ainsi être bien collé à son corps, lui permettant de mieux le ressentir de tout contre elle et surtout en elle, offrant un nouveau pas de danse à leur danse sans cesser d’onduler son corps contre lui, le réclamant ardemment en chantant de tout son être.

Karl soupirait et soufflait à plein poumon sous le plaisir qu'il prenait à danser ainsi, à la prendre ainsi, la sentant se déplier pour l'entourer de ses douce gambette couverte par ses bas. Ses lèvres, collé à sa poitrine, englobait l'un de ses sein le suçant délicatement, laissant sa langue passer et repasser sur sa peau avec envie, mordillant par moment son tétons sucré et dressé, sa main droite remontant sur son corps en longeant son dos pour sentir avec envie son dos arqué, sentir la musculature de la demoiselle jouer sous ses doigts avant de lui rendre les griffure qu'elle venait de lui offrir.

Roulant de son bassin plus librement maintenant qu'elle venait entourer sa taille de ses jambes, il pouvait mieux se mouvoir, jouant de ses hanches sous elle avec plus d'intensité, venant rouler et coulisser sa lame en elle avec plus d'intensité et, laissant aussi son bas ventre caresser le sien dans leur va et viens enflammé. Ensuite, sa main droite redescendit un peu, tournant sur son flanc pour venir caresser et s'occuper du sein dont ses lèvres ne pouvait s'occuper en cet instant pour ne pas faire de jaloux, massant tendrement, laissant ses doigts effleurer et appuyer sur son téton tandis que sa langue jouer avec l'autre.

Sa respiration était lourde d'envie ainsi que de plaisir, son torse se soulevant sous les doigts de la demoiselle, puis, sa main gauche, elle, vint descendre dans le creux de ses reins, venant alors se servir de son bras pour donner de l'amplitude au mouvement de la belle, la poussant à remonter plus haut contre lui avant de retomber avec plus de vigueur sur sa lame. Dans un premier temps, son bourgeon se retrouvait à frotter le bas de ses abdominaux, sa lame menaçant presque de quitter son fourreau si parfait, puis, quand elle redescendait, elle pouvait en sentir toute la longueur glisser de nouveau entièrement en elle, le moindre relief de son membre frotter contre ses parois, décalottant de nouveau sous chaque va et viens avant de combler entièrement son intimité de sa virilité.

Il continua ce petit jeu pendant un bon moment, profitant de toute cela tel un drogué, remontant son visage pour venir passer un coups de langue excité sur les lèvres de Rubis, tandis que son regard montrait bien la flamme qu'elle avait allumé en lui. Là, il lui dit dans une voix des plus chaude

" Table basse ou canapé ? "

Il en dit rien de plus que cela, continuant ses mouvements sous cette femme qui lui donnait  beaucoup trop de plaisir, attendant sa réponse avec faim.

Rubis soupirait de bonheur en sentant tout ce que lui faisait Karl, couinant et tremblant sous sa bouche bichonnant l'entièreté de son sein, se cambrant à n’en plus finir sous ses caresses et ses griffures dans son dos, la faisant rouler et frotter avec plus d’intensité son bas-ventre contre lui alors que ses ongles reprirent de plus belle le marquage de son territoire dans le dos musclé du beau brun. La suite ne manqua pas de la pousser à continuer à chanter davantage, criant de bonheur à en manquer de voix ainsi que de souffle sous les mouvements de bassin du videur, sans parler du traitement qu’il offrait à sa poitrine, venant s’occuper avec passion et tendresse de ses deux voluptueux seins, sentant sa bouche en bichonner un tandis que sa main cajolait l’autre, faisant gémir et trembler de plus belle la serveuse qui était particulièrement sensible de cette partie-là de son corps.

Quant à la jolie labinos, elle ne resta pas là seulement à subir, même si elle adorait ce que lui faisait son séduisant collègue en ce moment qu’elle en voulait plus encore. Non, elle aussi s’activa à le câliner, continuant de marquer l'ensemble de son dos avec envie de sa main gauche, tandis que sa main droite venait se glisser dans sa chevelure qu’elle caressait avec fougue sous le plaisir qu’il lui donnait, alors que ses belles gambettes recouvertes de ses bas se croiser et décroiser autour de sa taille, permettant de caresser l’ensemble du bas de son dos ainsi que ses reins, pendant que son intimité continuer de jouer à serrer et desserrer son membre en elle.

Mais la suite vint un peu la sonner, la déstabilisant et la faisant perdre un peu le contrôle sur ce qu’elle lui faisait. Subissant avec plaisir les nouveaux assauts qu’il lui offrait en la soulevant avec son bras qui l’enserrait dans son dos, venant bien la soulever avant de la faire retomber avec force le long de son membre, pouvant en ressentir toute la longueur et les reliefs qui la façonnait, faisant chanter à en péter des vitres la demoiselle qui en avait des larmes aux yeux tant c’était bon de le sentir ainsi revenir en elle avec puissance, elle adorait ça même qu’elle en laissa échapper des « Oui » et « encore » ou même des « Plus fort » .
 
C’était l’extase et Rubis prenait son pied, adorant danser avec Karl et aimant tellement tout ce qu’il lui faisait, en réclamant encore et encore dans de longs et chauds soupirs de sa petite voix aiguë, venant par moment embrasser sa tête ou sa chevelure selon ce qui se trouvait sous ses lèvres à ce moment-là. Alors que cette délicieuse et merveilleuse danse suivait son cours, ainsi que la chanson que la belle étudiante chanter rien que pour son professeur, elle put avoir le bonheur de revoir le visage de Karl sortirent de sa poitrine, retrouvant le contact avec ses beaux yeux dans lesquels elle aimait tant se noyer. Puis Rubis se mit à soupirer longuement au coup de langue du beau brun, fermant les yeux quelques instants tant c’était bon avant de les rouvrir et replonger son regard dans le sien, l’écoutant avec attention en venant se lècher les lèvres avec envie là où sa langue était passée.

« Mmmmh… Je dirais les deux, mais… J’imagine qu’il faut faire un choix maintenant… Mmmmmh… Puisqu’on est sur le canapé, je dis table basse pour varier les plaisirs. »

Répondit-elle d’une petite voix chaude et emplie de désir, venant donner à son tour un long et lent coup de langue sur ses lèvres en le regardant avec un beau sourire, attendant patiemment la suite tout en continuant tout comme lui à se mouvoir sans jamais s’arrêter tant c’était beaucoup trop bon et qu’elle était terriblement affamée de lui.

A peine la demoiselle avait elle finit par choisir entre le canapé et la table basse que Karl se mit à exécution. Sous  le lent coups de langue de Rubis sur ses lèvres qu'il répondit en venant attraper les siennes entre ses dents, il vint placer ses bras autour d'elle pour la plaquer contre lui, écrasant son corps contre le sien avant de se relever et de venir se pencher pour la poser rapidement contre le bois de la table basse, dégageant d'un mouvement de bras tout ce qui pourrait gêner dessus au bon déroulement de tout ceci.

Un de ses bras redescendit sur le corps de la demoiselle, attrapant ses hanches tandis que l'autre, appuyé au dessus  de sa petite tête blanche vint caresser ses cheveux. Si déjà leur danse sur le canapé l'avait enflammé, ce qu'il allait lui offrir allait la consumer ardemment. Désormais, il pouvait se mouvoir en total liberté contre la demoiselle et, son premier réflexe fut donc de répondre à sa demande arrivé plus tôt.

Elle avait demandé plus fort, alors, un genoux sur la table basse à coté d'elle, il prenait appuis pour donner de puissant coup de bassin qui venait claquer divinement contre son corps, faisant rebondir son fessier contre son bassin ,faisant danser sa poitrine alors qu'elle reculait sur le mobilier, seulement empêché par les bras de Karl de le fuit, venant la ramener avec envie contre lui. Il serrait la mâchoire sous le plaisir de la sentir aussi bien, de pouvoir la prendre sans restriction, sans rien pour les gêner et sans personne pour les importuner, de pouvoir la faire crier sans aucune retenue et se lâcher l'un contre l'autre tel des animaux en rut. Son rythme, puissant, était pour le moment lent, jouant de son bassin en le roulant pour que ses profonds assaut vienne bien caresser se parois dans un angle délicieux, tandis que son regard lui, restait dans le sien, venant se baisser au dessus d'elle avec un sourire carnassier avant de venir l'embrasser avec fougue, suivant son corps qui bouger sous va et viens animal.

La suite ne manqua pas d’étonner la demoiselle, venant s’agripper instinctivement de ses jambes et ses bras à son charmant collègue, alors qu’elle le sentait la serrer contre lui tout en se relevant, avant d’entendre des choses tombaient au sol tandis qu’elle se faisait allongée sur la table basse par ses soins, pouvant l’admirer ensuite la surplomber de toute sa carrure alors qu’elle se pinçait les lèvres tant il était magnifique. Mais l’installation n'était pas finie ! La jeune serveuse put avoir le bonheur de sentir un des bras du videur venir l’attraper par les hanches tandis que l’autre était non loin de sa tête, le sentant caressait ensuite sa chevelure, lui faisant beaucoup d’effet d’être si tendre en faisant cela.

Maintenant bien installée, Rubis put avoir le bonheur de sentir soudainement Karl y aller plus fort comme elle l’avait demandé, la faisant écarquillé les yeux sur le coup avant de se mettre à les plisser de plaisir tandis qu’ils pétillaient d’extase, la faisant pousser la chansonnette de nouveau plus intensément en lâchant plusieurs « oui » brûlants à la suite en se mordillant les lèvres, ne le quittant pas un seul instant du regard. Tout en recevant avec bonheur chacun de ses délicieux assauts en et contre elle, la jolie albinos ne cessa pas d’onduler, rouler et frotter son corps contre celui du beau brun, répondant à chacun de ses plaisants vas et vients, les suivants parfaitement en total syncro avec son corps dansant contre et avec le sien, ne voulant pas le lâcher une seule seconde. Puis quand Karl vint se rapprocher d’elle avec son sourire carnassier, faisant battre son cœur car elle le trouvait terriblement beau et excitant, Rubis se mit doucement à rougir. Et quand il vint se saisir de ses lèvres pour l’embrasser avec fougue, elle se mit à soupirer plaintivement d’extase et de soulagement, heureuse de retrouver ses lèvres mais aussi sa langue qu’elle vint chercher sans perdre un instant, venant rendre leur baiser encore plus enflammé et fougueux qu’il l’était en gémissant de bonheur.

Après un temps à danser merveilleusement ainsi de leurs corps mais aussi de leurs bouches, Rubis relâcha ses bras d’autour de Karl, venant poser l’une de ses mains sur ses hanches à lui, s’y agrippant tout comme lui aux siennes, tandis que son autre main vint s’agripper à un coin de la table basse, non loin de son bras. Ainsi positionnée, elle lui offrait plus de liberté pour se mouvoir et faire ce qu’il voulait, ne le limitant pas en le serrant contre elle. Elle en fit de même avec ses jambes, venant les décroiser et libérer sa taille, venant plier ses jolies gambettes pour poser ses pieds au sol, ses jambes toujours autour de lui mais ne l’emprisonnant plus, les écartant bien pour lui offrir tout le terrain de jeu qu’il pourrait souhaiter. Tout cela bien sûr, sans jamais cesser un instant de mouvoir son bassin contre et avec le sien, poursuivant leurs vas et viens paradisiaques qui faisait brûler la demoiselle de désir sur place.

Karl n'allait pas la laisser sur sa faim, non, c'était un fait, il allait faire en sorte que la demoiselle, à la fin de cette soirée, ne puisse plus s’arrêter de trembler de plaisir et la voix cassé d'avoir crier sans s’arrêter, ou seulement pour l'embrasser et encore, les deux n'étaient incompatible.

La demoiselle bien installé sur la table basse avait donc droit à un cours des plus torride de sa part, sa main gauche bien ancré sur ses hanches, la tenant bien fermement en s'aidant de celle-ci pour ajouter es accoue puissant dans ses va et viens, faisant se mouvoir tout le corps de la belle ballerine se trouvant sous lui. Quand il la sentit se détendre, venant agripper ses hanches elle aussi, et, décontracter ses belles jambes, il profita de l'instant pour se redresser au dessus d'elle, la surplombant de sa taille en venant placer ses deux genoux à terre, à bonne hauteur pour que ses va et viens soit bien profond, mais surtout, un sourire au coin des lèvres, il faisait d'autant plus attention à faire rouler son bassin bien amplement pour que la demoiselle le sente autant en elle qu'entre ses mains, son bas ventre venant frôler son pistil sous chacun de ses mouvements alors que l'angle de sa virilité changeait constamment sous chaque centimètre qui glissaient, sortaient ou revenait en elle.

Oh oui, il la trouvait sexy et prenait son pied d'une façon inimaginable en cette instant, l'admirant se tenir à la table, regardant son corps réagir à leur dans, l'expression de son visage, sa poitrine subjugué par son tatouage, se balançant sous ses coups de reins. Puis, vu que la demoiselle avait décidé défaire son emprise sur lui, il décida d'en profiter, venant attraper ses cuisses pour venir placer les jambes de la serveuse sur son torse ainsi que ses épaules, ses mains venant alors caresser ses hanches, ses cuisses, suivant ses bas avant de remonter en caressant son bas ventre, frôlant son intimité. Sous cette angle, il décida de se donner un peu plus, faisant claquer plus vigoureusement sa virilité en elle et son corps contre le sien, venant meme mordre sensuellement la jambe droite de la demoiselle avant d'y déposer un langoureux baisé.

Une fois que Rubis libéra Karl de l’étreinte de ses bras ainsi que de ses jambes, elle put le sentir libérer ses lèvres à son tour tout en éloignant son corps du sien. Là, la petite banchette put l’admirer la surplomber de toute sa carrure en souriant, faisant battre son coeur de plus belle sous cette vision qui ne la laissait pas de glace. Au contraire, il mettait d’autant plus le feu à son être tout entier ainsi qu’à son petit cœur qui faisait quelques saltos dans sa poitrine, tandis que ses généreux seins dansaient sous les puissantes et délicieuses attentions que lui prodiguait le beau brun dans ses divins vas et viens puissants et amples.

Ho oui, il lui faisait beaucoup d’effet et l’a rendait dingue de lui, à tel point qu’elle le désirait encore plus et le réclamait sans cesse dans ses petits cris, chantant son prénom sans s’arrêter mêlés aux soupirs de plaisir qu’il lui faisait avoir. Son petit corps de déesse si pâlichonne n’arrêtait pas de glisser sur le bois de la table basse. Pourtant, son corps ne pouvait pas s’éloigner pour autant, le videur tenant bien les hanches de la jeune serveuse qui ne pouvait s'échapper de lui. Et cela tombait bien, car elle n’avait absolument pas envie de le fuir, au contraire, elle ne demandait que ça d’être son otage et rester sous son emprise. Et c’est donc avec bonheur qu’elle subissait chacun de ses assauts, tremblant d’extase en poussant la chansonnette à plein poumons, le sentant de toute sa force claquer son bassin entre ses cuisses en venant ensuite faire rouler son bas-ventre contre le sien, faisant bien parcourir sa lame de tout son long en elle dans chaque recoin de son jardin, la faisant se cambrer et onduler davantage en en demandant encore plus de sa petite voix plaintive dans ses gémissements, adorant le ressentir dans tout son être et sous tous les angles délicieux qu’il lui offrait en la rendant accro à la drogue qu’il était pour elle.

Mais la suite allait encore plus plaire à la demoiselle, sentant son séduisant professeur attraper ses cuisses pour venir placer ses jambes le long de son torse ainsi que ses épaules.Cela les fit changer de position de danse, mais surtout, cela offrit de nouvelles sensations à Rubis qui put sentir Karl en elle explorait de nouveaux angles de son jardin, la faisant chanter et trembler de plus belle, surtout en le sentant prendre plus de force et vitesse, faisant bien résonner leurs intimités qui s’entrechoquaient dans une violence sans merci. Quant aux caresses de Karl le long de ses jambes et sur son bas-ventre, elle se mit à trembler davantage, ses yeux le regardant avec appréhension, se demandant bien ce qui se passait dans sa tête et ce qu’il avait prévu de lui faire, la faisant se mouvoir en se cambrant encore plus d’appréhension et d’envie. Puis elle se mit à gémir encore plus fort quand il vint mordre sensuellement une de ses gambettes pour ensuite l’embrasser, la faisant trembler encore plus qu’elle manqua d’en griffer le bois de la table basse sous ses ongles tant c’était bon. Son autre main ne manqua pas de réagir non plus, s'agrippant à la hanche du videur en y plantant bien ses ongles de minettes excitée, alors qu’une nouvelle chaire de poule vint se saisir de l’ensemble du corps de la serveuse sous le bonheur qu’il lui faisait ressentir, la faisant se mouvoir encore plus vite et avec gourmandise contre lui, ses fesses rebondissant contre le bas de son ventre tandis que son entrejambe claquait avec faim contre son bassin, le tout en chanson sans le quitter des yeux, le regardant de ses yeux plissés de plaisir et larmoyant de bonheur.

Karl continuait ses caresses sur ses jambes à se damner tandis que ses coups de reins puissant faisait danser la demoiselle sur la table basse. Caressant, massant retenant son corps de fuir sous ses va et viens qui se faisait diablement sonore, l'humidité de la demoiselle venant amplifié le son qu'émettait leur deux corps s'entrechoquant, sa lame frottant, malaxant et repoussant ses parois encore et encore avec une envie toujours plus forte.

Ses lèvres continuait d'embrasser les jambes de la demoiselle, juste au dessus de ses genoux, tandis que ses mains elle s'occupaient de ses cuisses, passant de l’extérieur à l’intérieur de ses dernière, venant effleurer le creux de ses jambes, la où naissait son bas ventre chaud et délicieux, venant frôler son intimité entre deux coups puissant de ses reins, sentant ses pétales trempé frôler ses doigts avant d’être pressé contre son bas ventre. Il ne put d'ailleurs s’empêcher de venir caresser sa fleur meme pendant leurs ébats sulfureux, le faisant certes, aller moins loin en elle, mais, laissant la possibilité à ses doigts d'encadrer sa fleur, la caressant lentement en contrastant avec la vitesse de ses va et viens. Puis, il s'amusait à venir resserrer ses pétales sur son membre dur comme l'acier, lui faisant sentir d'une autre façon le va et viens de sa lame, ses veines gonflé et pulsante en et contre elle. Puis, quand il trouva ses doigts suffisamment humide à son goût, il vint remonter sa main, venant lécher ses doigts en laissant son regard braqué dans le sien, faisant tout cela à la fois pour la rendre folle que pour la savourer de toute les façon possible. Ses assaut reprirent ensuite de leur superbe, perdant un peu de vitesse, mais, il combla cela en jouant beaucoup plus de ses reins, les faisant rouler bien plus en arrière, laissant la pointe de sa lance presque à en sortir de son fourreau si parfaitement accueillant avant de revenir dans un roulement le laissant bien glisser contre ses parois jusqu'au fond.

Il continuait ainsi sans s'en lasser, sans fatigué, totalement drogué par la serveuse qui lui faisait beaucoup trop d'effet ayant hâte de la sentir jouir à nouveau et donnant tout ce qu'il avait pour cela. Ses mains continuaient donc de caresser son corps, passant sur son ventre doux, remontant entre ses seins avant d'en suivre les contour si parfait, prenant en mains ses derniers un instant avant de revenir jusqu'à ses jambes. Là, ses doigts vinrent doucement remonter sur ses collant, juste à leur naissance, venant en relever un lentement pour venir laisser sa chair à l'air libre juste au niveau où sa tête pouvait l'atteindre. La, de nouveau, ses lèvres vinrent se poser sur ses cuisses, venant embrasser avec envie et sensualité ses belles gambettes, venant laisser ses dents tirer délicatement sa chair si appétissante tout en s'assurant de pouvoir admirer ses réactions.

Telle une minette en chaleur, Rubis n’arrêtait pas d’onduler son corps sur la table basse, jetant et claquant son intimité contre le bas-ventre de Karl, miaulant à en casser des vitres tandis qu’elle griffait avec force le bois sous ses ongles ainsi que la chaire des hanches de son séduisant professeur qu’elle désirait follement. Il l’a rendait complétement folle et avide de lui, la faisant le réclamer sans cesse dans ses gemissements étranglés tant elle chantait sous le plaisir qu’il lui donnait sans s’arrêter un instant, ne laissant aucun moment de répit à la demoiselle. Cela étant dit, elle n’en avait pas besoin, puisqu’elle ne se stoppa point de danser et chanter en même temps, ne le quittant pas un moment des yeux et le regardant aux abois mais aussi aux anges.

La jolie albinos se mit à trembler de plus belle en sentant le beau brun continuer à embrasser ses jambes, caressant ses cuisses et son bas-ventre, avant de le sentir venir cajoler sa fleur humide et brûlante, lui faisant écarquillé les yeux en criant plus fort totalement en manquant d’air, sa voix s’étouffant sous tous ses chants en détresse alors que des larmes coulaient de ses jolis yeux écarlates. Et ce fut encore plus intense quand son professeur vint jouer avec sa fleur de ses doigts, venant la serrer autour de son membre que son corps en sautilla sur la table base, la faisant s’étrangler de plaisir en cambrant tout son corps sur le meuble, tremblant de plus en plus en ressentant tellement de bonheur en ce moment à lui en faire perdre la tête, ayant la joie de sentir son membre autrement et avec délice, lui en faisant avoir un joli sourire tant c’était paradisiaque.

Réussissant tant bien que mal à récupérer un peu de souffle, Rubis se mit à rougir en voyant Karl venir se lêcher les doigts mouillés de son plaisir, faisant battre son coeur de plus belle mais la faisant mouiller davantage tandis qu’elle se mordait les lèvres en le regardant, curieuse et envieuse de savoir quel effet pourrait avoir sa langue sur sa fleur. Mais elle fut vite sortie de ses songes en le sentant reprendre ses assauts puissants, la faisant écarquillé de nouveau les yeux en laissant sa tête tomber en arrière, luttant pour garder ses yeux ouverts et ne pas le lâcher du regard, criant de tout ce qu’elle pouvait en manquant d’air et en perdant la voix par moment, continuant à griffer de tout ce qu’elle pouvait dans le bois de la table basse et dans la chaire des hanches de Karl, son corps s’activant en ondulant, claquant et sautillant de plus belle sur le meuble, tremblant dans des soupirs plaintifs sous les caresses addictives du videur sur tout son corps, encore plus sous ses baisers ainsi que ses dents sur la peau de ses jambes dont il s’était amusé à dévoiler en jouant avec ses bas. Tout ce qu’il lui faisait la rendait dingue, son corps tout entier envahi par la chair de poule ainsi que de spasmes qui commençait à prendre possession de celui-ci, la faisant pleurer et crier plus que de raisons tant elle perdait le contrôle.

Oui, il la faisait monter sur un petit nuage à tant la bichonner et être aux petits soins avec elle, lui procurant un bonheur immense qu'elle sentait la chaleur parcourir de nouveau son corps ainsi que l'électricité qui fourmillait dans toute son anatomie, s’en mordillant les lèvres tant c’était trop bon. Mais ce n’était pas encore finie, ho non, mais elle les sentait se rapprocher dangereusement de plus en plus ces portes divines du paradis qu’ils avaient déjà franchis dans les vestiaires.

Il continuait ses baisers charnel sur ses belles gambettes, mordant lentement, embrassant sensuellement, laissant sa langue traîner sur sa peau avec envie de ce goût addictif qu'elle avait, venant, de ses mains, doucement la débarrasser de ses bas pour la mettre complètement nu contre lui. Désormais tout les deux en tenue du jardin d’éden, il était temps pour lui de venir transporter la demoiselle jusqu'au paradis. Il prenait son pied de façon incommensurable avec elle, ressentant un plaisir des plus intense sous chaque va et viens en elle, sous chaque frottement de son intimité chaleureuse et humide autour de son membre, sous chaque caresse de son bassin contre le sien, sous chaque cries, hurlement, gémissement et sous chaque expressions explosant sur le visage de la demoiselle

Ses mains continuaient leur travail assidûment, caressant de toute leur longueur désormais les jambes de Rubis, si douce, si bien dessiné, comme tout le reste de son corps de toute façon se disait-il. Sous sa peau blanche comme la neige, le passage de ses dents se laissait facilement voir et cela lui plaisait, marquer son passage, marquer chaque moment où il avait put la tirer plus prêt d'un orgasme, se laissant guider pas les cries et les spasmes de la belle pour l'y emmener avec joie. Embrassant ses mollet, sa tête était tourné sur le coté, mais son regard ne quittait pas le sien, tel un regard de défi, un regard animal, puis, il était temps à ses yeux de faire en sorte que la demoiselle ne change d'octave.

Là, ses deux mains vinrent se poser sur le bois de la table de chaque coté de la demoiselle, tandis que son corps se penchait de nouveau au dessus d'elle, mais cette fois, il avait bien fait attention, venant garder les cuisses de la jeune femme sur son torse, la faisant obligatoirement se courber sous son approcher, offrant un angle, mais surtout une profondeur de pénetration des plus ample pour lui, le poussant à donner un peu plus d'élan et de vitesse dans ses coups de reins. Ses va et viens se mettait donc progressivement à monter ne régime, alors que son corps venait de tout son poids et sous une animalité palpable, s'écraser contre le sien, claquant, frappant son bassin contre le sien dans un rythme de plus en plus rapide, ses pétales trempé venant s’étaler contre la naissance de son sexe, assenant des va et viens sauvage à la demoiselle en dessous de lui, tout en venant y ajouter une autre touche. Car  oui, de nouveau penché au dessus d'elle, Karl put venir la narguer à nouveau en venant attraper ses lèvres si appétissante entre ses dents, les tirants légerement avant de l'embrasser avec fougue, tandis que ses mains s’agrippait au bord de la table avec force.

Tout ce qu’il lui faisait était extrêmement divin. Ses assauts puissants et merveilleux en elle qui la faisait chavirer d’extase, ses caresses buccales, linguales et charnelles sur ses jambes désormais nues, pouvant enfin ressentir la peau du videur contre celle de ses jambes, savourant les glissements qui se faisaient entre leurs deux corps, pouvant ressentir avec bonheur le moindre détail à présent de leurs deux corps révélés l’un à l’autre, l’en faisant presque rougir de se rendre compte qu’ils étaient enfin tous deux totalement dénudés à présent.

Alors que Rubis subissait avec bonheur et désir chacun des puissants assauts de Karl entre ses cuisses, tout en continuant à pousser la chansonnette à en prévenir tous les voisins du concert qui se passait chez son séduisant collègue, la jolie albinos en profita pour l’admirer dans toute sa splendeur. Il était vraiment magnifique, une carrure des plus imposante et bien bâtie, des cicatrices à certains endroits et des tatouages qui les recouvraient sur sa peau dont elle admirait le grain ainsi que le teint, constatant qu’il était légèrement plus foncé que le sien et contrastait avec sa pâleur par cette légère différence. Elle admira aussi ses muscles, les sentant se mouvoir contre son bassin mais les voyant aussi, les admiraient se contracter et se relâcher dans ses vas et viens, le tout sublimé par son rythme respiratoire qui faisait danser sa peau sous ses yeux. Évidemment, la demoiselle contemplait aussi ses grandes mains qui la cajoler, admirant son cou qu’elle avait très envie de pouvoir bichonner de ses lèvres et ses dents, zieutant ses lèvres qui s’occupaient de ses mollets et adorant son sourire qui ne les quittait pas un instant, appréciant ses beaux yeux et son regard qui lui faisait battre son coeur tout en lui donnant si chaud, voulant pouvoir continuer à s’émerveiller de le regarder encore et encore en cet instant exquis.

À croire qu’il était vraiment capable de lire dans ses pensées quand elle le vit se rapprocher d’elle, sentant et entendant ses mains venir s’appuyer sur la table basse autour d’elle, le voyant se pencher et se plaquer contre elle, la coinçant ainsi entre lui et le meuble, lui permettant au passage de pouvoir le zieuter de plus près, ce qui ne manqua pas de la faire rougir de nouveau tandis que son coeur s'emballer sous la vision qu’il lui offrait de son joli minois. Mais elle fut vite sortie de ses songes quand elle le sentit autrement en elle, pouvant le sentir complètement glisser et tamponner en elle, la faisant crier d’un nouveau timbre de voix par ce changement de position et d’angle en elle qui était des plus surprenant.

Ainsi collé à Karl, Rubis ressentait à merveille toute la longueur de sa lame dans son fourreau, sentant parfaitement son bassin claquait avec avidité contre le sien, dégustant avec délice le contact de son bas-ventre tamponnant dans ses pétales complètement trempées et écartées, alors que ses parois brûlantes enlaçait avec passion son membre en elle, jouant de nouveau à se serrer et desserrer autour d’elle pour lui faire ressentir du plaisir, ondulant et frottant son bas-ventre au sien comme une envoûté, savourant les caresses de leurs peaux ainsi échauffées contre leurs intimités connectés. Mais leurs corps ainsi collés n’étaient pas en reste, plaisant fortement à la demoiselle de le sentir de tout son poids sur elle, adorant sa peau brûlante et glissante contre la sienne, pouvant mieux ressentir son corps ainsi contre le sien et en apprécier avec délice leurs caresses corporelles si merveilleuses.

Et bien entendu, elle fut au paradis de retrouver ses lèvres après qu’il se soit amusé à tirer dessus, lui arrachant un cri plaintif d’envie et suppliant, venant gémir et soupirer de bonheur de ses baisers fougueux, auxquels elle vint répondre de manière langoureuse, venant chercher sa langue avec envie et rapidité pour l’embrasser avec bestialité et en manque. Quant à ses petites mains qui n’ont pas été oubliées pour autant, une ne cessa pas de lâcher le coin de la table basse qui se faisait lacérer sous ses ongles, alors que l’autre après avoir bien marquer son territoire sur les hanches du beau brun, vint remonter tout le long de son dos, le caressant dans de rapides et affamés vas et viens de ses doigts avant de le griffer avec force de tout son longs, marquant ainsi son passage sur son corps.

Mais après un merveilleux et long moment à danser ainsi, la chaleur et l’électricité qui avaient repris place dans tout son être l’avait totalement envahit, aidant donc son merveilleux professeur à conquérir l’entièreté de sa personne totalement envoûté, lui faisant ressentir l’arrivée proche du paradis et l’ouverture de ses portes pour monter au 7e ciel avec lui. Et c’est les yeux larmoyants de bonheur qu’elle le regarda aux abois, venant le supplier d’une petite voix plaintive, en manque de souffle et presque exténuée.

« K-K-Karl… Je… Je… Je te… Je te v-veux… Je… Je t’en pr-prie… V-v-viens avec m-m-moi… J’ai en-en-envie de t-t-toi… »

Il n'était pas prêt de s’arrêter en si bon chemin. Certes, il prenait son pied comme jamais, que ce soit physiquement ou visuellement, la demoiselle ressemblant plus à une déesse qu'à une humaine en cet instant, mais, il avait encore beaucoup de ressource. La demoiselle venait lacérer sa peau de ses griffes de minette en chaleur et cela l'excitait beaucoup trop, ce qui faisait qu'elle en subissait forcement les conséquences.

Lorsqu'elle lacera sont dos pour le marquer au sang de son passage, Karl lui offrit des puissant coups de reins qui vinrent frapper le fond de son lieu sacré avec fougue, trop fort pour que la petite main qu'elle avait laissé sur le coin de la table ne suffise à la stabilisé. Poussé de quelques centimètre en avant sur le mobilier, Karl n'était pas prêt non plus à la laisser partir sur facilement, venant rapidement de ses mains la ramener vers lui en le synchronisant avec ses coups de hanches pour que cela soit caler à la perfection et pouvoir bien emplir son intimité de toute sa virilité pulsante et brûlante. Son regard en disait long alors qu'il était collé à elle et que ses lèvres dévorer les siennes, tandis que sa langue ne se lassait pas de se battre avec la sienne pour savoir qui aurait le plus de l'autre, non, son regard disait bien qu'elle était à elle à ce moment là, qu'elle ne repartirait pas de la temps que le soleil ne se serait pas lever et qu'elle n'aurait aucun repos.

Là, alors que les claquements humides et les cries de la belle, couplé à son souffle lourd et de plus en plus bruyant se transformait en une symphonie, venant à être rejoint par le bruit de la table basse craquant sous leurs ébats et leur poids combiné, il put l'entendre se mettre à le supplier. Tout, que ce soit dans son corps dansant et tremblant, dans sa voix aigu et larmoyante, dans ses supplication de venir avec elle, trahissait son envie de jouir, et cela lui plaisait beaucoup. C'est donc dans un sourire carnassier qu'il la regardait droit dans ses magnifique prunelles écarlate, ralentissant volontairement ses coups de reins pour quelque chose de plus fort, de plus intense, quelque chose qu'elle pourrait sentir et qui la ferait trembler de plaisir, voulant achever cette résistant qui faisait qu'elle n'était pas encore au paradis. Ses hanches venaient se coupler au sienne dans un ample roulement, laissant son membre en caresser son fourreau si parfait dans plusieurs angle sous toute la longueur de ses va et viens, encore et encore avec une intensité sulfureuse. Puis, d'une voix séductrice, brûlant de désir pour la belle minette qu'il torturait avec un plaisir indescriptible, il vint lui chuchoter, toujours en ne lâchant pas son regard dans le sien

" Et tu bien sure de ton choix ? Dois-je te rappeler que nous dansons sans tenue ? "

Oh il en était prêt oui, continuant de s'occuper d'elle pour la torturer dans sa réflexion, mais, il avait raison, s'il venait à venir avec elle, c'était un risque, un risque exquis, mais un risque quand même.

Leur danse était si divine et délicieuse qu’elle en fit onduler et miauler de plus belle la petite minette en chaleur qu’était Rubis en ce moment, savourant avec extase tout ce que lui faisait Karl, adorant cela à un tel point qu’elle n’avait encore jamais connue, venant à déchaîner son petit côté sauvage qui sommeillait en elle et s’éveillait très rarement, n’ayant jamais ressenti un tel bonheur charnel jusqu’à aujourd’hui. C’est donc tout naturellement que la minette à son professeur chanta et dansa de plus belle, faisant danser tout son corps contre le sien et le marquant de son désir en venant le marquer de ses griffures bestiales remplie d’envie. Mais, la jeune serveuse n’avait pas prédit les répercussions qu’allait avoir l’ensemble de sa performance de danse, le tout sublimé par ses ongles qui marquaient son territoire sur la peau du videur, ho non.

C’est donc avec surprise qu’elle se retrouva à lâcher prise sur la table basse, se retrouvant à glisser rapidement sur le bois du meuble, avant de se sentir attraper par les puissantes mains du bellâtre, qui la ramena avec force contre lui, faisant claquer son bassin contre le sien, venant la faire trembler et crier plus intensément sous le merveilleux effet que cela lui procurait. C'était si puissant et tellement bon qu’elle se retrouva à pleurer de bonheur de plus belle, tandis qu’elle se mit à pousser la chansonnette si fort qu’on aurait presque dit qu’elle exécutait un chant lyrique tant elle montait dans les aigus en appuyant sur certaines notes. Et bien évidemment qu’elle craqua, sentant le bonheur et cette sensation merveilleuse envahir tout son être, menaçant de pousser et ouvrir les portes du paradis. Ce qui  poussa Rubis à venir réclamer Karl dans un supplice exquis, l’implorant de venir à elle, lui déclarant à quel point elle avait envie de lui et le sentir venir avec elle.

Mais la réponse de son talentueux et merveilleux professeur se fit un peu attendre, la poussant à chanter de plus belle en yoyotant dans l’intonation de sa voix, se retrouvant parfois à manquer d’air et de coffre, la faisant gémir dans de léger sons étouffés avant de reprendre plus intensément son chant grégorien. Et ce fut pareil pour son corps, s’adonnant à lui de plus belle et plus intensément en le sentant continuer la danse en lui souriant sans un mot, lui procurant encore plus de plaisir mais la poussant à lutter contre ce qu’elle ressentait, essayant de retenir comme elle pouvait les portes du paradis qui menaçaient de s’ouvrir, ce qui la fit trembler encore plus sous lui à en avoir de plus en plus de spasmes incontrôlables en retenant tout cela. Puis, quand elle entendit le timbre de sa voix dans un délicieux chuchotement, la faisant avoir la chair de poule tant il lui faisait de l’effet, elle se mit doucement à rougir avant de venir lécher lentement ses lèvres d’envie, venant lui répondre sur le même ton.

« Comment pourrais-je oublier ce détail alors que je te sens divinement bien en moi sans tenue de danse ? »

Ensuite, elle se mit à déposer de doux baiser sur ses lèvres, alors que son corps ondulait et frotter contre le sien, à la fois très rapidement et lentement, savourant de le sentir en elle de toute sa longueur jusqu’au fond, ne faisant que nourrir l’explosion qui menaçait d’éclater en elle sous tout ce qu’il lui offrait.

« Je… Si cela peut te rassurer, il n’y a quasiment pas de risque car… Je prend ce qu’il faut pour… Mais si tu préfères, tu… Tu peux venir en dehors ou ailleurs… »

Vint-elle chuchoter sur le même timbre de voix, venant lui proposer deux solutions pour éviter les risques. Premièrement, elle vint le rassurer sur le fait qu’elle prenait la pilule et qu'elle ne lui ferait pas de surprises dans son dos, donc que ça serait presque sans risque. Elle n’était pas spécialement jouasse de prendre ce truc-là, mais elle avait pris l’habitude de le faire puisque les hommes en général n’aimait pas vraiment porter de tenues de danse. M’enfin, elle n’allait pas rentrer dans les détails de cela maintenant, c’était pas vraiment le moment pour discuter de cela, et pas sûre que ça l’intéresse non plus d’ailleurs. Deuxièmement, elle lui proposa de venir avec elle, mais en dehors au moment où il se sentirait venir, de finir autrement, finissant dans sa bouche, sur son corps ou bien entre ses reins, sans vraiment rentrer dans les détails au moment des choix qu’elle suggéra.

« Je… Je te laisse choisir donc… »

Termina-t-elle par dire, venant se saisir de ses lèvres et l’embrasser passionnément, dansant contre lui avec envie et sensuellement, gardant le même rythme pour le laisser réfléchir et choisir, tout en continuant à entretenir leur merveilleuse et paradisiaque danse en attendant d’aller danser ensemble au paradis.

La sentir prise de spasmes, tremblante, convulsant par moment sous ses coups de reins était un aphrodisiaque et un excitant des plus puissant. Ses lèvres contre les siennes, ses baisers de faisait plus sauvage, tandis que ses mains se serrait plus fermement sur son corps soyeux. Sa main gauche bien placé sur ses hanches, la gardait et la ramenait encore et toujours contre lui sous chaque coups de reins envieux, tandis que sa main droite, elle, vint se loger sur sa nuque, son épaules, la caressant avec envie, s’arrêtant de temps à autre sous des vagues de plaisir avant de reprendre.

Là, la demoiselle venait de lui dévoiler que les porte du jardin d’éden étaient prête à s'ouvrir pour elle, prête à se laisser emporter jusqu'au nirvana, ce qui ne put pas pour lui déplaire. La sentir jouir, là était quelque chose qui l’intéressait plus que tout, il l’avait déjà senti tout à l'heure dans les vestiaire du bar et il en était devenue accroc. Mais fou d'envie d'elle qu'il était, il n'en oubliait pas les fondements meme de la vie, lui rappelant qu'il dansait sans rien tout en continuant de jouer avec la belle pour qu'elle craque sans avoir besoin de sa compagnie pour cela.

Sa première réponse ne fut pas sans lui déplaire,, le faisant doucement rire contre ses lèvres alors que ses reins claquaient contre le siens tout en faisant attention à bien rouler ses hanches quand il la sentait en faire de meme, venant appuyer et frotter divinement sur son pistil tout en laissant sa lame bien appuyé au fond de son fourreau si excitant et confortable. Là, elle finit par ajouter, après quelques va  et viens de plus en plus torride, quelques solutions, lui faisant comprendre qu'elle ne risquait rien, qu'elle prenait ce qu'il fallait pour que ses graines ne prennent pas dans son jardin, mais que, s'il préférait, il pouvait venir en dehors.

Tout était tentant, mais, ce n'était pas là le détail qu'il l'importait. Il souriait donc toujours dans un regard séducteur et de défi, venant plaquer son front contre le sien, sentant son corps d'autant plus sursautait sous ses coup de reins brûlant, il décida de les ralentir, mais de garder cette bestialité, car, il était allé beaucoup trop loin et en voulait beaucoup trop pour diminuer tout cela, il la voulait et il ne la lâcherait pas si facilement. Il se mit alors à dévorer de nouveau sa nuque avec sensualité et bestialité, faisant bien-sur attention à ne pas lui faire mal non plus, juste assez pour l'exciter, mais pas assez pour la blesser. Il remonta alors sur son oreille et vint lui susurrer dans une voix qui ferait meme frémir d’envie une succube.

" Oh non ma chère, c'est votre premier cours ici, alors la coutume veux que se soit vous qui choisissiez comment se passera se bouquet final."

On pouvait entendre dans sa voix toute l’envie qu’il avait pour elle, toute la malice en sachant bien l’effet qu’il lui faisait, la chaleur de cette danse qui arrivait pour lui aussi si proche d’exploser, mais aussi son souffle glissant sur sa nuque et sa joue.